[Fan-fics] Stargate Atlantis -

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Sheekmaat
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Stargate Atlantis

La ville était en effervescence. C’était la première chose que je vis. Je ne réalisai pas tout de suite ce qui se passait et ou je me trouvais. C’est seulement lorsque je me suis retourné que je vis la voiture freiner brusquement avec un crissement assourdissant que je compris la situation. J’étais au plein milieu de la route principale de…
…Washington DC.
Le conducteur n’a eu qu’un mouvement de colère en ouvrant la portière et me criait dessus tout ce qui lui passait par la tête. Ma première réaction fut de me retire sur le trottoir et rejoindre le mouvement des piétons. L’automobiliste reprit les commandes de sa machine et poursuivit sa route. Je tournai la tête et, en face du soleil, je reconnu le Capitole.
C’était la première fois depuis 25 ans que je me retrouvais sur ma planète d’origine. Tout semblait n’avoir pas changé. Comment étais-je arrivé là ? Je ne comprenais pas. La dernière chose dont je me souvenais était l’attaque du vaisseau et mon retour par téléportation… Mais il y avait quelqu’un d’autre…
Ici, c’est comme dans mes souvenirs. Enfin, ce que je me souviens de la Capitale des Etats-Unis. Les maisons, les voitures, les rues et même les vêtements des passants. Pourtant, il y a quelque chose de différent. Il me semble reconnaître des visages. Non pas que je le connaissais dans mon passé, mais comme si tous le monde passaient plusieurs fois devant mes yeux.
Je sentis une forte douleur dans mon bras gauche. Le temps que je me retourne, la femme passa devant moi sans me voir. J’avais ce picotement dans mon corps comme si une décharge électrique m’avait traversé.
Pourquoi certaines personnes me voyaient et d’autres semblaient ne pas reconnaître ma présence ? Etais-je vraiment sur Terre ?
Puis, des hommes, de l’autre côté de la rue. Ils me voient et pointent un doigt dans ma direction. Lunettes noir, costumes cravates, ils ont des armes… Et je ne crois pas qu’ils me veuillent du bien. Je cours le long du trottoir, zigzagant entre les passants. C’est là que je les vois sortirent leurs armes.
- Le voila ! Cria l’un des hommes. Ne le laissez pas s’échapper !
Il me faut courir loin, mais chaque fois que je frôle une personne, la douleur est affreusement intense et je dois m’arrêter. Je reprends mon souffle, mais je les sens déjà derrière moi. Se diriger dans le parc. C’est le seul moyen de ne rencontrer personne.
C’est ce que je fais. Je saute la clôture et me lance dans le gazon fraîchement tondue. Là, il y d’autres hommes. Ils m’attendent. Comme s’ils savaient ce que je voulais faire. Alors je me dis qu’il n’y a qu’une seule solution : Les laisser s’approcher et utiliser les techniques de combats que m’on enseigné les Sheevaa.
Je me prépare à les combattre. Ils m’entours et pointent leurs armes sur moi. Ils approchent lentement. Cette fois, je me prépare à activer mes Nano-bios. Je tourne ma tête d’un côté et d’autre afin de lancer le processus, mais rien ne se passe. Ils semblent ne plus m’obéir. Et les hommes s’approchent dangereusement. Ou suis-je ? Ca ne devrait pas se passer ainsi ! Je ne suis pas sur Terre ! C’est évident !
- Abattez l’intrus !
La voix de l’homme est différente. Elle est presque métallique. Les coups partent. La douleur est indescriptible. Je tombe sur mes genoux et la seule chose dont je me souviens c’est l’homme de tête relevant ses lunettes et la lumière sortant de ses yeux.

Générique
\ImaginFresard[/font]
Présente :

Une fan-fiction dans le monde de Stargate Atlantis avec le Dr Elisabeth Weir, après sa capture par les Réplicateurs.

« Je m’appelle David Barth. J’ai voyagé en 1988 au travers d’un vortex et atterri dans un monde en guerre. Depuis deux ans que cette guerre est fini, j’ai reprit le voyage dans les étoiles à bord du plus prestigieux vaisseau de l’univers : le Sha-Dierra Ambassador. Notre mission : contacter d’autres civilisations et d’autres mondes afin de créer des liens dans l’échange et le développement économique. »

\Nano-bios contre Nanites[/font]

Premier épisode

Il fait froid. Je tente d’ouvrir les yeux, mais je n’y arrive que partiellement. Je devrais être mort, mais ce n’est pas le cas, car je sens encore les douleurs ou j’ai été touché. J’ouvre enfin les yeux. Je suis couché sur le sol et je remarque que je suis encore dans le parc. Une petite brise fraiche me traverse. J’essaie de me relever, mais les douleurs reviennent. Je cherche les impactes de balles. C’est douloureux et étrangement… je ne trouve pas de sang. Ma respiration semble être normal mais, ce qui ne l’est pas, c’est qu’il commence à faire nuit et il n’y a plus personne dans les rues. Je me retourne espérant trouver un regard, mais il n’y a vraiment personne. Plus de voitures sur les routes, ni de bus ou autres véhicules en mouvement. Je fini pas me relever malgré les douleurs. Pourtant, celles-ci semble être moins intense, maintenant. Cela me fait rire à grande voix.
- Je suis vivant ! M’écriai-je. …Et je n’ai pas eu besoin des Nano-bios… !
C’était vraiment surprenant. Jamais je n’avais vécu cela. Pourtant j’en ai vu des choses étranges et insolites dans ma vie et parmi mes voyages dans l’espace… ! Mais là, c’était une sensation étrange et un univers dont je ne connaissais pas encore les règles. Je venais d’en connaître la première : je ne pouvais pas me faire tuer ! Et une seconde : J’ai extrêmement mal. Et cela, je ne voulais plus en renouveler l’expérience.
J’ai du attendre encore quelques minutes avant de me lancer à marcher dans cet univers sans plus personne.

* * *

Elisabeth Weir se réveilla dans le centre commercial. Elle connaissait bien ce centre pour l’avoir fréquenté au temps ou elle travaillait à l’ONU. Tout était comme dans son souvenir. Pourtant, elle comprit tout de suite qu’elle n’était pas sur Terre et que tout cela provenait des Nanites. Cela l’effraya. Elle ne voulait plus revivre ces cauchemars. Cette fois-ci elle se défendrait fermement avant de mourir. Elle était déterminée. Si Mc Kay avait réussi à reprogrammer la cité des Réplicateurs, Elle devait s’attendre à ce que ceux-ci tentent de la maîtriser en détruisant sa conscience. Mais elle était seule contre les Nanites.
Elle prit tout son courage et avança dans le hall. La lumière clignotait par intermittence et elle s’attendit à voir surgir quelqu’un de n’ importe où. Elle avança vers l’escalator et celui-ci se mit en route lorsque son pied se posa sur la première marche. Elle regarda vers le haut et de gauche à droite. Elle était sur qu’ils n’allaient pas utiliser la même stratégie que la dernière fois. Ils en avaient certainement souvenir et il fallait un autre plan. Qu’allaient-ils faire, maintenant ?
Puis, quelque chose passa, dans le fond du couloir. Une ombre, un souffle de vent, une présence de Nanites ! Un frisson lui traversa le do. Combien elle aurait aimé voir surgir Cheppard au-devant d’elle ainsi que Teyla et Ronon. Même le visage de Mc Kay l’aurait rassuré.
Elle était toujours seul dans cet immense bâtiment.
Arrivé à l’étage, elle sentit une fois encore cette présence. L’ombre passa derrière elle. Elle se retourna. Il n’y avait rien si ce n’est que le frissonnement des plantes autour des piliers en granites. Elle se frotta les mains et trembla. Elle finit par demandé d’une voix forte :
- Qui est là ? Montrez-vous !
Pas de réponse.
Elle partit sur sa gauche, là ou elle sentait cette présence. Autour d’elle il y avait les shop tr les articles d’habits qui semblaient donner un gout de printemps. Une fois encore, elle se demandait comment toutes ces femmes pouvaient passer autant de temps à modeler leur apparence et cela pendant des heures entières. Elle considérait cela comme du temps perdu. Alors qu’il y avait bien des choses plus importantes à faire et à découvrir sur Atlantis.
C’est à cette pensée qu’il lui semblait que le bâtiment trembla. Etait-ce une coïncidence ? Puis il y eu un bruit sourd et, cette fois, les tremblements furent plus intenses et elle s’agrippa sur la rambarde pour ne pas tomber tandis que des craquements se firent entendre au travers le centre. Elle eu peur encore plus.
- Qu’est-ce que vous voulez ? Cria-t-elle.
Alors le tremblement cessa. Lorsqu’elle releva la tête, les choses n’avaient pas changé selon ce qu’elle aurait pensé dans une telle situation. Cette fois il n’y eu pas seulement une ombre derrière elle, mais aussi un mouvement qu’elle perçu derrière les habits du shop. Les premiers se balancèrent en crissant. Puis ce fut le silence. Elisabeth entra dans le magasin et chercha qui pouvait bien se cacher là.
La lumière s’était rétablie et maintenant, il n’y avait que quelques lampes éteintes. Le Dr Weir avançait lentement et se penchait de temps à autre afin de voir s’il avait quelqu’un derrière les vêtements exposés. Mais à chaque pas, elle ne se sentait pas vraiment à l’aise. L’angoisse commençait à la saisir et elle aurait aimé avoir au oins une arme dans les mains. Puis soudain, il y eu un bruit derrière elle, dans le fond de la salle. Lorsqu’elle s’approcha, un ascenseur était ouvert. Elle hésita un instant, puis pensant qu’elle n’avait pas vraiment le choix, elle entra. Il se ferma brusquement, sans crier gare. Cela la fit sursauter. Elle n’eu pas le temps de gérer sa frayeur qu’il s’engouffra vers le bas.

* * *

Courir était ma seule préoccupation. Mais ou aller ? Si au moins il y avait une lumière quelque part, un endroit sortant de l’ordinaire, mais je ne voyais rien. La route que je suivais était vide de monde et vide de véhicule. Pas même une seule en stationnement. Pourtant, avant que l’on me tire dessus, tout bougeait. Que s’était-il passé ? Je pensai qu’il y aurait pu y avoir un Dash non loin. Ces mystiques du peuple Boons savent manipuler l’esprit humain. Mais cela n’avait rien à voir avec ce que je connaissais des Dash. Ils se seraient servis de mes souvenirs précis, pas d’images dont les détailles me sont floues. Je connais peu Washington, je viens de Philadelphie et si on avait voulu me manipuler l’esprit, c’est là que je me serai retrouvé. Pas à la Capitale.
Le vent ne soufflait plus et j’avais ralenti ma course. C’est à ce moment que j’ai ressenti une secousse sous mes pieds. Puis toute la ville s’est mise à trembler somme je ne l’avais jamais vu. Je m’adossai contre un mur et ne pu m’empêcher de m’asseoir en me protégeant le visage. Je voyais des murs tomber, des parties d’éléments de voitures s’envoler autour de moi et le sol commença à s’écarter. Je ne pouvais plus bouger. Cela dure quelques minutes. J’étais certain de me faire écraser par les éboulements, mais rien ne me touchait. Toutes les choses semblaient se diriger vers un endroit précis de la ville. Puis ce fut un bruit assourdissant. Je fermai les yeux et me bouchai les oreilles. L’instant d’après, tout était fini. Je relevai la tête et quel ne fut pas ma surprise de voir la ville sans aucune égratignure, comme si rien ne s’était passé. Les buildings se dressaient généreusement vers le ciel et il n’y avait que les lumières des bars qui commençaient à clignoter. Le ciel était devenu plus sombre et les lampadaires s’activaient les un après les autres. J’avais l’impression de me retrouver dans le clip de « Billy Jean ». Sauf que les pavés renonçaient à s’illuminer avec mes pas. Puis, je me rappelai ou allaient se jeter les objets pendant les tremblements de la ville. Je pris cette direction.

Un centre commercial ! Un endroit étrange pour une réunion de d’Objets Volants. Je restai un instant à regarder cet endroit dont la solitude n’avait guère changé des autres rues. Un mystère que je me devais de découvrir si je voulais retrouver mon vaisseau et mes amis.
Je m’approchai de l’entrée et les vitres glissèrent de chaque côté. La lumière du hall reflétait une étrange sensation. Puis il y avait un éco. Comme perdu dans l’immensité du bâtiment, mais encore perceptible. Y avait-il quelqu’un ici ? Etait-il prisonnier comme moi ? Ou faisait-il partie de cet univers ? Je devais le savoir.
Je me rappelais le centre commercial de Philadelphie, mais celui-ci était bien plus grand. Plus haut aussi. Peut-être qu’il me fallait monter… !

* * *

L’arrêt fut brusque ainsi que l’ouverture de la porte. Elisabeth lança un regard de l’autre coté, puis, soulagé de ne voir personne, elle sortit. Il faisait noir dans cet endroit. La seule lumière était l’ascenseur. Elle tâta le mur espérant trouver l’interrupteur. Elle s’aventure un peu plus loin lorsque les portes se refermèrent sans demander leur reste. Le noir était total. L’angoisse la saisit. Elle se savait forte. Elle se savait capable de tenir tête au Réplicateurs et elle se dit que l’obscurité n’était pas un problème pour elle. Cela ne l’empêcherait pas de déjouer les objectifs de ces créatures. Puis il y eu un grondement avant qu’une lueur naisse dans le fonde de la pièce. C’était comme des éclairs. Le peu qu’elle voyait était des grillages et des passerelles métalliques dans ce qui ressemblait à un entrepôt. Les éclairs de faisaient par intermittences et parfois, ils cessaient pendant quelques secondes avant de reprendre. Elle se demanda ce que se passait ici. Peut-être trouveraient-t-elle quelqu’un pouvant la renseigner de ce qui se passait ici ?
Elle emboita le pas dans la direction des éclairs. Ses pas résonnèrent dans toute la pièce. Elle se dit que cet endroit devaient-être bien plus grand de ce qu’elle pensait.
Arrivé au bout de la passerelle, elle vit que les éclairs donnaient encore plus de lumière. Il y avait là un homme penché en avant sur un embout métallique se servant d’instruments de soudure.
Elle l’appela.
Sa voix résonna clairement dans la chambre, mais l’homme n’avait pas bougé de son travaille. Les éclairs reprirent sans interruption. Elisabeth essaya de s’approcher plus de l’homme en prenant un escalier en métal à sa droite. Arrivé à la dernière marche, son regard n’avait pas quitté l’homme. Elle ne pu s’empêcher de crier.
Devant elle se tenait une petite fille de 8 ou 10 ans dont le regard livide lui faisait penser à une orpheline. Elle avait de grands yeux noirs et il était difficile de dire si ses cheveux étaient noircis par la saleté ou s’ils étaient naturellement de cette couleur. Le Dr Weir fixait l’enfant et ne pu s’empêcher de mettre la main sur son visage. Elle sentait son cœur battre vivement et sa respiration s’accélérer. Elle tenta de se calmer et de dire quelque chose à cette enfant.
- Il faut pas l’déranger ! Dit la petite. Il ne laisse passer personne en haut !
Elisabeth ne comprenait pas. Elle regarda l’enfant d’un air étonné comme si elle venait de rencontrer Alice.
- Qu’est-ce que tu veux dire ? Demanda-t-elle.
- Tu ne sais pas ? Les gens du bas ne peuvent pas aller en haut ! C’est interdit !
- Pourquoi ?
- J’sais pas… !
La petite saisit Weir par la main et l’entraina du côté opposé d’où se trouvait l’homme. Elisabeth résista un instant et s’accroupi en face de l’enfant.
- Comment t’appelles-tu ? Demanda-t-elle.
La petite fille ne répondit pas. Elisabeth voulu insister, mais l’enfant n’était pas décidé à parler. Elle tire Weir encore plus fort dans sa direction qu’Elisabeth ne pu faire autrement que de suivre la petite fille.

* * *

Je trouvai un ascenseur. Il était vitré et avait été construit au centre du bâtiment afin que les visiteurs puissent voir le complexe intérieur de haut. Je pressai le bouton pour monter, mais rien ne se passa. « Encore une chose étrange ! » Me dis-je. J’insistai vigoureusement sur l’engin. Une fois encore rien ne se passa. Puis, sans que je comprenne exactement ce qui se passait, les portes se fermèrent et l’appareil prit la direction du bas. Je jurai.
Ce n’était pas dans mes habitudes de dire de gros mots, mais cette fois, j’en avais vraiment marre de cette situation. Quelqu’un se servait de moi pour faire quelque chose. Je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais j’étais beaucoup plus énervé qu’effrayé. Alors la chute fut longue.

L’ascenseur s’arrêta brusquement. Je sentis la douleur dans la colonne vertébrale. Lorsque je relevai la tête, la porte s’ouvrit. Je ne savais pas exactement à quel étage je me trouvais. Mais j’étais au sous-sol, voyant le peu de lumière le long du couloir. Il n’y avait qu’une seule solution pour découvrir ce qui se trame exactement ici.
Dans le couloir, les néons bleus s’allumèrent les unes après les autres. Je les suivis.

* * *

L’enfant s’arrêta. Lorsque Elisabeth leva les yeux, la pièce ou ils se trouvaient étaient plus éclairée que les autres et il n’y savait plus de coupures de courant. La lumière restait pleine et stable dans tout le bâtiment. C’était un endroit nouveau et familier en même temps. Il y avait des couloirs et une humidité sur les murs. Il y avait des sculptures et des signes sur les murs et même sur le sol à certains endroits. Elle était déjà venue ici.
La petite fille empêcha Elisabeth de suivre un couloir d’où l’on pouvait voir un panneau de l’autre côté. L’enfant insista :
- Il ne faut pas aller ici ! C’est dangereux !
- Je connais cet endroit ! Précisa Elisabeth. C’est une station sous-marine des Anciens !
La petite fille ne voulait rien savoir. Elle tira Elisabeth plus fort dans un autre couloir. Mais cette fois, le Dr Weir ne se laissa pas faire.
- Si on veut sortir d’ici, il faut aller par là !
- Non !
La fille cria. Et sa voix fut si forte que la douleur se fit sentir dans les tympans même. Elisabeth ne savait pas quoi faire pour faire taire cette enfant. Puis elle se dit que ce n’était peut-être pas une petite fille. Alors, elle pointa ses doigts dans la tête de la fille. Celle-ci cessa de crier et, devant les yeux d’Elisabeth, son apparence changea. Le corps d’un adulte se forma, un homme d’une quarantaine d’année.
- Vous auriez du me suivre sans résister ! Dit-il dans une voix grave. Maintenant, les douleurs seront encore plus dures à supporter !
Il lui saisit la main et la retira de sa tête. Elisabeth trembla. Pouvait-elle résister à cette force mentale ?
- Vous êtes la conscience des Nanites ! N’est-ce pas ?
- C’est exacte ! Nous sommes programmés pour vous assimiler dans notre collectif. Vous n’avez pas le choix !
- Jamais ! Cria-t-elle. Tant que je serai vivante, je vous résisterai… !
- A chaque minute qui passe, vous faiblissez, Elisabeth Weir. Lorsque nous seront plus nombreux, vous ne pourrez plus nous résister !
- Je serai morte avant !
- C’est grâce à nous que vous êtes encore en vie ! Seule votre conscience mourra. Le reste sera à nous, tôt ou tard !

* * *

Des vois, cette fois, c’était clair. Je les entendais. C’était encore bien loin de l’endroit ou je me trouvais, mais il y en avait pour quelques minutes. J’essayai d’entendre de qu’ils disaient. Mais peine perdu. Mes Nano-bios ne réagissaient plus. Je devais faire sans.
Le couloir me conduisait dans la direction des voix, mais il me sembla un instant que je passais à côté. Ils devaient être dans un autre couloir. En parallèle avec le miens. Je réfléchis un instant. Inventaire de la situation :
1. Mes Nano-bios ne répondent plus à mes ordres.
2. Je suis dans un monde qui ressemble à la Terre, et qui n’est pas la Terre.
3. Les personnes me traversent et me donne des douleurs atroces.
4. Je ne peux pas me faire tuer.
5. La téléportation est certainement responsable de ce qui m’arrive.
6. Il y avait une femme avec moi et je ne sais pas qui c’est !

Je dois retrouver cette femme. Réunir mes souvenirs deviens aussi difficile que de saisir une fourchette avec des gans de boxe. J’ai des flashes.
Dernière modification par Sheekmaat le 04 nov. 2007, 20:48, modifié 1 fois.
Sheekmaat
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« J’étais en conversation avec les dirigeants d’une cité qu’ils disent avoir été construite par des Anciens, il y a des milliers d’années. Ils me donnent plusieurs explications sur leur mode de vie et une vague explication sur leur technologie. C’est en parcourant les couloirs avec eu que je remarque une femme ne semble pas aller bien. Elle était entoure par cinq hommes. Cela dure une fraction de seconde, et mes Nano-bios enregistre le visage de la femme. Je crois l’avoir reconnu, mais il y a trop longtemps. Les dirigeants de la cité me rassure en me développant une théorie dont je n’ais pas suivit. Elle est emmenée dans un local. Ces gens se préparent pour une guerre et demande notre assistance.
- Notre vaisseau n’est pas un vaisseau de guerre ! Dis-je. Il l’a été, c’est vrai, mais nous l’avons désarmé après notre guerre contre les Boons !
- C’est dommage ! Me dit Oberoth. Nous aurions aimé trouvez en vous des alliés !
- C’est dommage, en effet !
Je n’avais pas vraiment les idées claires. Je pensais encore à cette femme. Je recherchai dans ma mémoire et grâce à la technologie de mon monde, les Nano-bios me permettent de visualiser mes souvenirs stockés dans mon subconscient et ainsi les revivre avec tous les détailles. C’est alors que je trouvai d’où je connaissais cette femme : Philadelphie 1987. Un an avant mon voyage dans le vortex. C’était à l’Université de Philadelphie. Elle était venue pour donner une conférence sur la politique de l’Etat et les conflits entre les nations. Elle avait le projet d’entrer à l’ONU. C’était une jeune scientifique qui avait un charisme d’orateur.
Il m’est difficile de me rappeler son nom. Mais je commençais à l’entendre à nouveau de sa bouche :
« - Je suis le Docteur Elisabeth Weir… ! »
Ce fut un déclic.
L’instant d’après, je me retrouvais dans le couloir en revenant sur mon vaisseau. Je contactai mes filles sur le Sha-Dierra Ambassador. Leur exposa mes intensions et, au moment ou nous passions dans la pièce ou se trouvait le Dr Weir, je m’y introduis plus rapidement que les gardes autour de moi. L’instant d’après, je soulevais le Dr du lit médical et la serrai contre moi avant de nous faire télétransporter. Puis plus rien. »

* * *

- Nous sommes nombreux !
L’homme se tenait toujours en face d’Elisabeth. Les murs semblèrent se transformer et des formes humaines apparurent les unes après les autres tout autour d’elle. Ils se rapprochaient lentement. Ce qui ne rassura pas le Dr Weir. Elle se colla contre le mur et attendait qu’ils viennent.
- Laissez-vous aller ! Cela ne vous sera pas douloureux !
- Vous n’auriez jamais du nous défier ! Dit un autre derrière l’homme. Nous vous écraseront par le nombre ! Vous êtes toute seule Elisabeth !
- Peut-être ! Dit-elle. Mais je ne vous laisserai pas me prendre aussi facilement !
Elle réussi à reculer encore d’un pas, mais la muraille commençait elle aussi à se changer et un autre forme humaine la toucha.
Elle cria.
Puis il y eu un autre cri ! Plus fort, plus empli de rage et de détermination. De l’autre côté, une autre forme humaine sortait de la muraille. Mais celle-ci avançaient avec peine comme si elle n’avait jamais fais ça.
Elisabeth regardait avec un grand étonnement. Tandis que les hommes avaient reculé d’un pas. Ils s’étaient immobilisé et fixaient la chose sortant du mur. Un visage se forma tandis que le cri sortait de sa bouche. L’instant d’après il se dégagea du mur et regarda Elisabeth. Il ne criait plus, mais il soufflait fort. Il avança un pas vers elle et essaya d’articuler quelques mots.

* * *

La douleur était encore plus forte que lorsque les balles m’avaient frappée. Il fallait que je lui dise que nous étions dans sa tête. Mais les sons ne sortaient plus de ma bouche. J’ai du me mettre à genoux devant elle. Reprendre mon souffle et relever la tête.
Elle avait peur. Je le voyais clairement. Peur de moi et de ce que je pouvais lui faire. Peut-être pensait-elle que j’étais avec eux ? Il fallait que je lui dise… J’arrivai à lui déclarer quelques mots.
- Pensez… ! …Nous sauver… !
Je repris une fois encore mon souffle. Alors que je tournai la tête vers les autres, je remarquai qu’ils reculaient. C’était notre chance. Je saisis les mains d’Elisabeth. Elle résista un instant. Etrangement, je ne traversai pas son corps comme avec les autres.
- Il faut que nous partions maintenant ! Dis-je.
La voie était libre. Il fallait qu’elle se décide rapidement avant que les Nanites réalisent que je ne suis pas des leurs.
Je me précipitai en avant, entrainant de force le Dr Weir. Elle jubilait. Mais je ne pouvais pas m’en inquiété pour le moment.
Le couloir tournait et cela ne m’inspirait pas confiance. Je devais trouver un endroit ou nous serions en sécurité, enfin pour un instant. Le temps de faire le point de la situation. Je sentais Elisabeth me résister encore… D’une certaine manière je la comprenais. Elle ne comprenait pas ce qui se passait et elle ne m’avait jamais vu.
Nous passons une porte. Celle-ci se ferma derrière nous. La pièce ou nous nous trouvons est équipé d’une table de commande ainsi que d’un écran dont les symboles ne me disent rien. Je n’aimais pas cela. Mais c’était tout de même un endroit ou nous pourrions parler calmement.
- Arrêtez ! Cria-t-elle. Qu’est-ce que vous faites ? Qui êtes-vous ?
Elle se dégagea de moi brusquement. Son regard était rempli de fureur. Cela me fit sourire. Pourtant la situation n’était pas à la plaisanterie.
- Elisabeth ! Dis-je. Nous n’avons très peu de temps ! Il faut que vous sachiez que je ne suis pas avec eux ! …Je vous en prie, il faut me croire !
- Qu’est-ce qui se passe ici ?
Il y eu un profond silence. J’espérai qu’elle comprenne ce que je lui disais.
- Je sais que c’est difficile à croire ! Continuai-je. Mais c’est la vérité : Je suis entré dans votre tête !
- Quoi ?
- Lorsque nous avons été téléporté, il y a du se passer comme un transfert de ma conscience dans votre corps !
- C’est insensé !
- Pourtant, c’est la vérité ! Et vous savez ce que sont ces choses ! N’est-ce pas ?
Je voyais son regard éloigné. Elle commençait à se rendre compte que j’avais raison.
- Nos sommes dans votre tête ! Et ils veulent prendre le contrôle de votre conscience ! Je ne sais pas ce que c’est, mais ils ne sont pas vos alliés, mais moi si !
Elle me regarda fixement essayant de comprendre mes intentions. Je n’étais pas loin de ressentir ses émotions.
- Je ne vous connais même pas !
- Vous ne vous rappelez pas de moi ?
Elle secoua la tête.
- …1987 ! Dis-je. Philadelphie !…L’Université ! Vous êtes venu donner une conférence en fin d’année…
- Philadelphie ? Répéta-t-elle. …Oui, il me semble y avoir été ! Mais c’est si loin !
- Mais moi je me souviens de vous et de ce que vous aviez dit… ! Vous disiez « …La connaissance est le début du dialogue et c’est en cela que nous trouvons un terrain d’entente entre les peuples ! »
- Vous vous souvenez de cela ?
- Vous avez été un exemple pour moi pendant ces 20 dernières années… !
- Mais qui êtes-vous !
- Je m’appelle David Barth et je sui un ambassadeur d’un petit pays appelé WalliNoor !
- …Je ne connais pas !
- C’est normal, il se trouve dans une autre galaxie !

Il y eu un coup violent sur la porte, puis d’autres et les murs commencèrent à se courber.
- Je n’ai pas le temps de tous vous expliquez ! Dis-je. Mais il faut que nous sortions d’ici.
Cette fois Elisabeth s’accrochait à moi et m’attirait vers le fond de la pièce. Je voyais sa peur augmenter chaque seconde. Cette fois il fallait qu’elle fasse quelque chose.
- C’est votre corps ! Dis-je. Moi je ne peux rien faire ! Mais vous, si !
- Comment ?
- C’est votre conscience qui commande votre corps. Pour le reste c’est la même chose !
Maintenant la porte venait de s’écarter et laissait entrer une tête. Les murs changeaient et formait des corps humains puis, certains se détachaient lentement.
- Pensez à un endroit ou vous vous êtes toujours senti en sécurité !
- Je ne sais pas comment faire ça !
- C’est comme l’imaginaire ! Ici vous avez le pouvoir de créer toutes sortes de choses… Changez l’endroit, comme si vous vous téléportiez !
- Vous croyez vraiment que ça va marcher !
- De toute façon, il vous faut faire quelque chose !
Je regardai derrière nous. L’instant d’après, je me surpris à la prendre dans mes bras. Je posai mes lèvres sur son oreille.
- Faites-vite ! S’ils nous prennent, nous allons mourir tous les deux !
Les hommes ne disaient rien mais ils s’approchaient dangereusement de nous. Je vis Elisabeth fermes les yeux. Je fis de même en priant que cela marche. Puis, il me semblait que la main d’un homme se posait sur mon épaule, mais ce fut des sons différents que j’entendis.

* * *

C’était un nouvel endroit. Autour d’eux se trouvaient plusieurs hommes en uniformes de l’armée américaine ainsi que d’autres avec des insignes de plusieurs pays. Canada, Allemagne, France, Etats-Unis et d’autres encore…
David releva la tête. Il était étonné que cela ait marché. Il se détacha d’Elisabeth regarda autour d’eux. Derrière eux se trouvait un énorme cercle de métal avec des inscriptions qui lui faisait penser à l’Egypte. Mais surtout, cela lui rappela le vortex qui l’avait conduit sur le monde de Kaar. Cet endroit semblait étrange et rassurant en même temps.
Elisabeth souriait. Elle vit des visages qu’elle connaissait bien.
- Colonel Sheppard ?
John la regardait avec un large sourire.
- Dr Weir ! Dit-il. Nous sommes envahis, mais rassurez-vous, nous allons régler la situation rapidement ! Les renforts arrivent… !
Il y avait de l’agitation partout. One entendait de nombreux coup de feu survenant de derrière les murs. Puis il y avait Mc Kay sur sa console. Lui aussi agissait étrangement. Il n’exprimait pas son angoisse somme souvent dans une telle situation. Il était calme et confiant.
Cela surprit Elisabeth. C’était l’endroit qu’elle avait imaginé se retrouvé, mais jamais avec autant de différence dans le comportement de ses amis. Teyla aussi était là. Elle venait d’entré dans la salle de contrôler et se retournait pour tirer une rafale contre des Réplicateurs. Ces derniers, contrairement à ce qu’Elisabeth croyait, s’écroulèrent et s’effacèrent immédiatement de cette réalité. Puis il y eu d’autres soldats qui entrèrent. Ils étaient armés et déterminé à détruire l’ennemi.
- Qu’est-ce que ça veux dire ? Demanda Elisabeth.
- Ou sommes-nous ? Questionna David.
Le Dr Weir regarda David Barth comme s’il aurait du être au courent de l’endroit ou ils se trouvaient.
- C’est Atlantis ! Dit-elle.
Il n’en revenait pas. Il ne le croyait pas non plus.
- La cité mythique ? La légende de Platon ?
- C’est une longue histoire… ! Dit-elle.
Il fallut un moment pour que l’ambassadeur du WalliNoor se reprenne et réalise que quelque chose de nouveau venait de se passer dans le corps d’Elisabeth.
- Ca y est ! Dit-il. J’ai comprit !
- Quoi ?
- C’est Dragaan !
- Qui ?
- Les soldats !...Ceux qui se battent pour vous… ! Dragaan vient de vous ingérer des Nano-bios pour combattre les… !
Il lança un regard vers elle, interrogateur.
- …Comment vous appelez ces choses…
- Des Nanites !
- C’est ça ! Les Nano-bios sont en train de s’organiser pour combattre les Nanites ! Je savais qu’il était le meilleur !
Elisabeth se précipita vers l’escalier menant au poste de commandement et regarda ce que lui disait l’écran.
- Il y a des soldats dans toute la cité ! Dit-elle.
- C’est normal ! Répondit David qui venait de la rejoindre. Les Nano-bios son capable de se multipliés en voyageant dans votre corps et ainsi prendre position partout et organiser la défense ! Regardez !
Il pointa un endroit ou disparaissait des points rouges et se multipliaient des points verts. En quelques instant, ces derniers rempli toute la cité et même les endroits qui n’avaient jamais été explorés par l’équipe de Weir.
- He bien c’était rapide !
- Ils sont là pour vous ! Pour vous protéger. C’est leur fonction et leur programme ne peuvent être modifiés si ce n’est que par vous !
Elisabeth regardait l’écran sans vraiment y croire. Que pouvait-elle penser de tout cela ? Tout était allé si vite et David donnait des explications qu’elle ne comprenant pas encore. C’était déroutant. Puis elle eu une pensée sombre. Et si… Tout cela était un piège ? Une illusion des Réplicateurs pour lui faire croire qu’elle gagnait ? Comme elle l’avait fait avec Oberoth. Elle ne avait plus quoi penser. Elle se tourna vers David. Il n’avait rien de quelqu’un venant de ses souvenirs. Elle ne connaissait rien de lui. Pourtant, il avait quelque chose de rassurant en lui. Peut-être un peu enfantin. Et puis, ses yeux bleus avaient quelque chose de séduisant autant que ses cheveux noir ébène. Quel âge pouvait-il bien avoir ?
Elle secoua la tête. Elle ne devait pas penser à cela, surtout pas en ce moment. Mais elle ne pouvait pas détourner son regard de ce visage.
- David ! Dit-elle. Qu’est-ce que cela veux dire ? Et qui est Dragaan ?
- Je ne sais pas exactement ce qu’il a fait, mais il a réussi, apparemment !
Il la regarda en face et lui sourit. Lentement, essayant de la rassurer, il frôla ses bras des mains et se lança :
- Il reste encore une dernière chose à faire pour retourner à la réalité !
- Quoi ? Vous voulez bien m’expliquer ?
David était impatient et il savait qu’il devait faire vite.
- Lorsque nous seront sorti d’ici, je vous expliquerez tout. Et je vous présenterai Dragaan ! Il est un peu surprenant dans son genre, mais lorsqu’on le connait mieux… !
- David ! Dites-moi ce qu’il faut faire ! Vous semblez en savoir beaucoup sur ce monde, et moi je ne sais rien !
- Trouvez une porte, un endroit comme un passage au-travers la matière ou quelque chose dans ce genre… !
- Une porte ?
Elle tourna la tête et vit le Stargate. S’ils étaient vraiment dans ce monde d’illusion, alors c’était peut-être la solution.
- Est-ce que ceci fera l’affaire ? Demanda-t-elle en désignant l’anneau géant.
- Qu’est-ce que c’est ?
David avait les yeux grands ouverts. En arrivant, il n’avait pas remarqué le cercle en anaquada.
- C’est la Porte des Etoiles !
Il la fixa un instant, comme s’il ne comprenait pas encore de quoi elle parlait. Il se demanda à quoi pouvait-elle servir.
- …Et on peut faire quoi avec ? Demanda-t-il.
- Il nous permet de nous déplacer d’une planète à l’autre au travers d’un vortex !
- C’est par-là que vous êtes venu ?…de la Terre ?
Elisabeth acquiesça. Il se rappela comment lui et ses sœurs étaient arrivés sur la planète Kaar. Mais ce qu’ils avaient trouvé dans le Caucase était très différent de cet anneau. Puis ses yeux s’illuminèrent.
- Alors, si on veut sortir, c’est par là !
Il descendit les marches quatre à quatre et s’arrêta devant la Porte des Etoiles.
- Comment ça marche ? demanda-t-il.
- Il faut composer un code de sept symboles et cela nous donne la destination… !
- Alors ! On y va ?
Elisabeth hésita. Elle ne savait pas exactement quelle destination lancer.
- Ou voulez-vous aller ?
- Je ne sais pas ! N’ importe où ! Nous arriverons certainement dans la réalité, de l’autre côté.
- On peut essayer le code de la Terre… !
- O.K. !
Alors, le Dr Weir composa les Symboles sur le DHD. Les signes s’illuminèrent les uns après les autres et un signe s’activa. Puis un autre et enfin le septième compléta la combinaison.
Le vortex s’ouvrit. C’était une sensation dont David n0avait jamais ressenti malgré tout ce qu’il avait vu dans ses missions dans l’espace. Il fut impressionné par le flux liquide gris à la vertical. Cela ne lui rappela pas ce qu’il avait connu dans sa jeunesse. C’était complètement différent.
- Vous êtes sur que nous retrouveront la sortie de cette folie ?
Elle était derrière lui, maintenant. Il posa délicatement sa main à fleur du vortex et ressentit cet aspect enveloppant et l’étrange froid que cela lui procura.
- Cela me semble le plus logique. Mais ça vaut le coup d’essayé !
Ils se regardèrent. Et sans rien se dire, ils savaient ce qu’ils allaient faire. Et ils allaient le faire ensemble.
En même temps, ils avancèrent d’un pas, puis un autre et ils s’engouffrèrent dans le vortex.
Sheekmaat
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Re: [Fan-fics] Stargate Atlantis -

Message non lu par Sheekmaat »

Douleur ! C’est ce que ressentait David. Tout son corps lui semblait en feu. Il essaya d’ouvrir les yeux, mais il ne le pu. Pourtant, il entendait des vois familières ainsi que les odeurs de l’infirmerie du Sha-Dierra. On le mit sur le dos et il entendit la voix de Dragaan :
- Votre Altesse ! Nous avons crains de vous perdre !
Il toussa et essaya de se redresser pour parler, mais on l’en empêcha fortement.
- Ne bougez pas, Prince ! S’exclama une femme. Il faut un moment pour que votre état se stabilise !
- …Et… ! Et…Elisabeth ? Demanda-t-il.
- Cette jeune femme est encore inconsciente ! Lança Dragaan. Mais elle va mieux, depuis que nous lui avons administré un échantillon de Nano-bios !
David finit par ouvrir les yeux. Il fut confronté au visage de l’Adalgaan. Il reconnu sa peau bleu écaillé et ses grand yeux composés des doubles paupières de sa race. Il trouvait toujours étonnant de voir la grandeur de son vieil ami se pencher sur lui dans cette salle.
Il lui sourit. Mais l’Adalgaan n’exprimait rien. Mais David pouvait deviner qu’il n’était pas insensible à ce qui venait de se passer. Puis il tourna la tête vers La femme qui était sur l’autre lit. C’était Elisabeth. Elle était un peu différente, mais il fut rassuré lorsqu’il vit son thorax se lever et se baisser. Elle respirait, c’était une bonne chose.
- Qu’est-ce qui s’est passé ! Demanda-t-il.
Sortant du couloir, une femme dont les bras croisés exprimaient une autorité se présenta dans un uniforme bleu-rouge. Elle avait ses longs cheveux noir attaché en arrière et fronçait les sourcils.
- Nous avons eu de la peine à vous dégager de la salle de téléportation. Vous étiez sans connaissance tous les deux ! Dit-elle.
- Je croyais que tu t’étais chargé de la réparation du téléporteur ? dit-il en lançant un regard vers Dragaan.
- Pardonnez-moi, le temps m’as manqué depuis que nous sommes partit !
David se frotta la tête.
- Cette femme nous à donné beaucoup de soucis ! s’exclama la femme médecin. Les Nanites que nous avons trouvés en elles, sont virulent et extrêmement dangereux !
- …Elisabeth Weir ! Précisa le Prince Dav.
- …Elis…Bet Vert …!
- WEIR ! Cria David.
- Pardon…!
Le Prince regarda le médecin dans les yeux. En lui suggérant de continuer son discourt au plus vite d’un signe de la main.
- Eh bien… ! Nous avons constaté que votre rythme cardiaque s’est accordé avec elle et c’est pourquoi nous avons faillit vous perdre à deux fois… ! Finalement, Dragaan nous à suggérer d’injecter nos Nano-bios dans le corps de cette femme… ! Sans cela, il était certain de vous perdre tous les deux… !

* * *

David Barth était seul avec Elisabeth. Cette dernière était encore dans son sommeil et il lui tenait la main. Cela faisait bientôt deux heures qu’il était ici et il attendait. Il ne pouvait détacher son regard de cette femme. Elle lui rappelait tellement la Terre qu’il ne pouvait s’empêcher de penser qu’en fin il avait quelqu’un avec qui partager des souvenirs, même si ceux-ci n’étaient pas intimes.
Les médecins du Sha-Dierra Ambassador lui avaient assuré qu’elle était hors de danger. Endormie là, elle ressemblait à un ange. Si paisible et si calme. Les épreuves qu’ils avaient endurés dans sa tête se dissipaient et semblait déjà bien loin de la réalité. Il espérait que ce serait la même chose pour elle.
Elle bougea sa main. David se surprit à se lever lui posé la main sur le front. Elle soupira et tourna la tête. Le Prince lui caressa la tête.
- N’ayez pas peur ! Lui dit-il. Tout va bien, Elisabeth !
Elle se força à ouvrir les yeux et, d’une main hésitante repoussa les bras de David. Il se releva et reprit une distance convenable avec elle.
- Qu’est-ce qui s’est passé ? Demanda-t-elle. Ou suis-je ?
- Vous ne vous rappelez pas ?
Elle tenta de se redresser et David l’aida.
- Est-ce que l’on est sur Atlantis ?
- J’ai bien peur que non ! Vous vous souvenez de moi ? David Barth !
Elle le regarda avec étonnement. Tout était encore flou dans son esprit. C’est pourquoi elle avait de la peine à réaliser ou elle pouvait bien se trouver. Elle regardait le visage du Prince avec un air hébété.
- David Barth ? Répéta-t-elle. …Oui !...Je crois que je me souviens ! Washington… Et la cité d’Atlantis… !
- Oui, c’est ça ! Nous avons affronté les Nanites. Ils étaient dans votre corps !
- Ils sont… !
- …Plus aucune trace ! Dragaan me l’as assuré !
- Qui est Dragaan ?
- Je suis désolé, je vous ai promis de vous le présenté, mais il n’est pas là pour le moment !
Le Dr Weir regarda autour d’elle. Elle n’avait jamais vu une telle chambre. Tout semblait tellement illuminé et dans une propreté qu’elle enviait. C’était quelque chose qu’elle aurait bien voulu voir sur Atlantis. Autour d’elle, il y avait des éléments d’une technologie dont elle ignorait l’origine. Des images 3D flottaient dans les airs et elle voyait des courbes de couleurs bouger et changer successivement. Elle remarque sur son corps, des points blancs et brillants et autocollants. Elle voulu les enlevé, mais David la dissuada.
- Je sais que c’est quelque chose de nouveau pour vous, mais je ne vous conseille pas de les enlever. Ils suivent votre rythme cardiaque votre tension et encore bien d’autres choses dont je ne saurais dire !
- Ou sommes-nous ?
David sourit. Enfin il pouvait parler de quelque chose dont il connaissait.
- Ceci, dit-il. Est le centre médical du Sha-Dierra Ambassador. C’est le vaisseau spatial le plus rapide de l’univers et certainement le plus grand construit pas des humains !
- Vraiment !
Elle fronça les sourcils. Maintenant, elle était bien réveillé et pleinement consciente de la réalité. Son regard était provocateur et David n’était pas en reste dans ses propos.
- En tous cas ! Dit-il. Les Réplicateurs n’ont pas réussi à nous suivre… !
Elle sourit de coin.
- On vous à déjà dit que vous étiez arrogant ?
David sursauta. C’était la première fois qu’on le lui disait.
- Je ne suis pas arrogant ! S’exclama-t-il.
- Vous semblez pourtant croire que votre vaisseau est intouchable !
- Ce n’est pas vrai !
Elisabeth le regarda d’un air soupçonneux. Elle ne le croyait pas. David soupira et comprit que la discutions n’iraient pas loin s’ils continuaient dans ce sens.
- Bien ! Dit-elle. Si vous me disiez d’où vous venez exactement !
- …Et vous me direz comment des Terriens sont arrivé aussi loin de leur galaxie !
- D’accord !
Elle lui tendit la main pour sceller leur entente. David lui tendit la sienne.

* * *

- …Kaar est une planète que je considérerais semblable à la Terre ! Disait David. Dans le sens ou les Kaariens sont organisés en différents groupes et nations sur toutes les terres. Et le WalliNoor est un petit pays monarchique gouverné par la Reine Raya-An, qui se trouve être ma sœur !
- Et vous venez tous les deux de la Terre ?
- Ca, c’est encore une longue histoire !
Leurs voix résonnaient dans le couloir du 23ème niveau du vaisseau et ils avaient tous l’espace pour eux deux. A leur gauche, la vue sur l’espace donnait sur une galaxie bien loin de là et le premier soleil d’où ils se trouvaient leur donnait suffisamment de lumière pour suivre leur pas. Cela leur donnait une luminosité qui faisait pensé aux longues soirées d’été sans nuages, mais sans le couché de soleil rouge-orange.
- Je serais très heureuse de l’entendre, mais je sens la fatigue m’envahir et… Je ne sais pas exactement l’heure qu’il est… !
David se tourna vers elle et il semblait ne pas trouver les mots pour exprimer sa confusion.
- C’est regrettable ! Fini-t-il par dire. Notre téléporteur n’as jamais été vraiment au point… Votre bracelet-montre à été désintégré… !
- Quoi ?
- He bien… ! David semblait de plus en plus mal alaise.
Elisabeth était de plus en plus inquiète de ce que le Prince allait dire.
- He bien, quoi ?
- …Il se trouve que notre téléporteur ne permet pas de déplacer les objets !
Le Dr Weir le regarda en plein dans les yeux en fronçant les sourcils. Elle se détendit et sourit.
- Heureusement ! S’exclama-t-elle. Ça ne détériore pas les vêtements !
Il garda le silence. David ne savait pas comment dire cela à Elisabeth. Il affronta son regard et il finit pas soupirer et ferma un instant les yeux.
- Ce n’est pas vrai ! S’exclama-t-elle.
Elle recula d’un pas. Mais son regard ne le quittait pas. Elle commençait à réaliser que la situation a du être autant honteuse pour elle que pour lui.
- Vous m’avez… !
- Non ! S’exclama David. Non ! C’est pas ce que vous croyez !
- Alors, qu’est-ce que c’est ?
David était vraiment gêné devant elle. Il avait redouté cet instant depuis le moment ou il s’était réveillé. Et maintenant il ne pouvait échapper aux explications.
- C’est que… !
Elisabeth croisa les bras et attendait les explications de Dave.
- Je demande la téléportation uniquement dans une extrême urgence !
- Et notre situation était un cas d’extrême urgence ?
David était contrarié.
- Je vous ai sorti de la cité des Réplicateurs ! Si je n’avais rien fait, vous seriez morte ou pire… !
- Ce n’est pas le sujet ! Est-ce que vous m’avez vu dans… !
- Elisabeth ! S’exclama avec fermeté le Prince. La chambre de téléportation se recouvre de gaz amniotique lorsque nous sommes récupéré et il y a quoi se couvrir avant l’ouverture des portes… !
Le Dr Weir avait de la peine à le croire. Pourtant David était déterminé à convaincre cette femme.
- …En plus nous étions tous les deux inconscients !
- C’est vrai ?
David s’approcha lentement d’Elisabeth et pausa délicatement ses mains le long des ses bras. Il la regarda profondément et déclara calmement.
- Je vous jure que c’est vrai ! Je ne me permettrai pas de vous humilié ainsi à une première rencontre !

* * *

Dragaan était dans un laboratoire de science dont la taille et les différentes technologies aliens auraient fait envie à tous chercheurs de la zone 51. Mais pour un Adalgaan comme lui c’était chose courante. Il avait les yeux dans spectromètre de masse et ce qu’il voyait n’était pas plus grand qu’un électron. Il avait réussi à récupérer un spécimen de Nanites avant qu’ils soient tous détruit dans le corps d’Elisabeth Weir. Un seul lui suffisait pour comprendre comment ont été créées ces choses. Cela n’avait rien à voir avec les Nano-bios créés pas les siens, mais il comprenait leur fonctionnalité.
- C’est surprenant ! dit-il pour lui-même. Comment ces Nanites peuvent évolués !
Sous ses yeux, la chose semblait bouger. Dragaan releva la tête et pianota sur le clavier virtuel dans les airs. Lorsqu’il revint voir, il constata que le Nanite s’était dédoublé. Il y en avait maintenant deux.
- Vraiment étonnant !

Fin de l’épisode
A suivre
Sheekmaat
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Re: [Fan-fics] Stargate Atlantis -

Message non lu par Sheekmaat »

Salut à tous les fans de SG1 et SGA,

Tous d'abord je dois m'excuser pour ne pas avoir donné de nouvelle depuis mon dernier passage sur le forum. (J'ai été très occupé)
Encore mil excuses pour ne pas avoir respecté la procédure des messages.
Un grand merci a celui ou à celle qui à réparer cette erreur de ma part.

Permetez-moi tout d'abord de me présenter:
Je prends le nom de Sheekmaat à cause d'une histoire et d'un rêve que j'ai fait il y a presque 5 ans.
Je suis habitant de la Suisse et un grand fan de séries, films et litérature de Science fiction, Héroic fantasy et tout ce que l'on peut trouver dans le genre.
J'écris des histoires depuis l'age de 12 ans, mais sans avoir osé me faire éditer.
Il y a longtemps je voulais déjà écrire des Fan-fics sur les séries de mon enfance (J'ai aujourd'hui 40 ans) Et je trouve que les fan-fic sur ces forum son idéal pour ce genre de choses.

C'est pourquoi j'ai déjà lançé plusieurs histoires sur le net que l'on peut trouver sur:
Mes fans fics
Et tous sous le nom de Sheekmaat.
En général ce sont des fichiers .doc ou format RTF

Voila en quelque mots ce que je fais.
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