[fanfic]dfn-5487

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kolodz
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Message non lu par kolodz »

Cette fan fic est d’un longueur incroyable en ce qui concerne le début, la mise en place des personnages principaux et l’arriver dans le monde SG ne se fait que très tard dans ce 1ere chapitre qui se trouve être l'intro.

Titre: "DFN-5487"
Auteur: Kolodziejczyk
Série de référence : SG1
Période couverte par la fanfin : de la saison 1 à la 10.
Spoiler
La Série ne perturbe jamais les événements de SG1 sauf erreur(s).
Les prénoms des deux principaux personnages ne seront révélés que dans le dernier chapitre où l'un d'eux sera déjà mort.
Et enfin la civilisation présenté dans le 1ere chapitre ne sera plus présente dans les autres chapitres quand le 1ere sera fin.
Tout commentaire est le bienvenue...

Chapitre 1 : L'initation

Communication sub-spatiale entre un vaisseau en orbite sur Terre et son centre de commandement :
-Nous avons trouvé deux individus qui pourraient être ces de la prophétie, je vous envois mon rapport.
-Ils n’ont pas toutes les caractéristiques demander. Etes vous sur de vouloir lancé le projet avec eux ?
-Nous ne pouvons pas attendre encore plus, nous avons apporté des modifications à notre programme que nous nous devons de finir leur mise en place par un test à grandeur réel. De plus, le sujet femelle a le plus grand % que nous avons peux observer jusqu’à aujourd’hui même si le male ai un % plus que passable. C’est la première fois que nous avons autant de paramètre de notre coté.
-Nous allons donc lancer le projet avec l’accort des autres.
-Nous vous donnons notre accord, quels seront nos sujets.
-Les noms de codes de nos individus sont :
-Léon pour le male
-Célia pour la femelle

-Capture des deux individus…
Après cette dernière transmission le vaisseau quitta son orbite pour larguer deux modules.
Ceci été de la taille d’un Teltak mais avoir plus la forme d’un Jumper.
Ensuite les deux modules approchèrent d’une zone habitée. Là chacun d’eux débuta ce pourquoi il été là, capturé le sujets.
Ceci ce fis avec une grande simplicité, en 2 passage au-dessus d’un sujet, le première pour neutralisé le sujet avec des armes paralysantes qui été fixé la coque des modules. Et le deuxième pour embarquer les sujets, grâce à 2 hommes qui les portaient.
De retour, au vaisseau principal, les deux modules embarquer le vaisseau passa en HyperEspace.



Léon se réveil ...
Il se demande où il est et pourquoi. Il se remémore juste qui à été attaquer.

Peu à peu, il ouvre les yeux, il ne voie que des murs d’une netteté qu’il n’a jamais vue. Il est lui-même couché dans un lit. Puis doucement, il prend conscience qu’il est nu. Il se relève, alors la couverture qui le protégeait se rangea et voie deux tas de vêtements pose sur une table, et à cote de son propre lit se trouve un autre lit identique. Sans réfléchir, il prend le tas de vêtement et s’habit. Puis dans un sentiment de nouveauté, il examine la table qu’il trouve étrangement épaisse pour une table aussi lisse, ensuit ce fut le tour des murs, qu’il scruta avec étonnement.
Il n’y trouve rien de particulier mis à part cette pureté étrange et le fait qu’il n’y ni porte ni fenêtre ou tout autre moyen de sortir pour rejoindre l’extérieur. Ce ne que lorsque qu’il repassa devant la table et le seconde tas de vêtement qu’il repense à l’autre lit.
Au pas de course, il regarda le lit et y vue une femme de son age. Sans plus attendre, il la réveil au plus vite.
Pour ce fait il la retourna à fin de la voir son visage. C’est a ce moment, il la reconnu, c’est l’ancienne camarde de classe qu’il aimait et il l’aime encore...

Dans le trouble du réveil, Célia repousse instinctivement Léon encore sous le choc, d’être avec elle ici. D’une grande vivacité Célia, qui retrouve ses esprits sans perdre une seconde, demande :
-Pourquoi je suis nue ? Où je suis ? Et pourquoi tu te trouves à mes côtés.
Dans son trouble, Léon répondit qu’il ne sait rien de rien tout en les donnant le second tas de vêtement et va le plus loin possible d’elle (7 à 8 mettre )tourne le dos.
Et lui demande de mètre les vêtements, ce qu’elle fit, puis il fini par dire :
-Je pense qu’on nous a capturé.
Célia réplique :
-C’est tout que tu a trouve à dire ? Tu penses que l’on nous a capture ?
Léon toujours collé à son mur, s’exclame qu’il n’est pas responsable, de plus il n’est éveillé depuis 10 min.
Célia regarde à son tour la pièce.
Puis brusquement, une partie du mur qui se trouve face à la table où se trouvaient les vêtements s’enfonce, pour laisser la place à un écran.
Bien entendu, l’écran s’alluma. Celui, affichait un texte qui était diffusé dans toute la salle par un système audio, en voici de cours extraits :

« Bonjours, et bien venu dans votre nouvelle « maison », et qui le restera pour les prochaines années de votre vie sans aucun doute. Vos anciennes vies n’ont pas d’existence ici.
Dans cette maison qui forme dès maintenant une famille, vous avez de nouveau noms, Léon pour le male et Célia pour la femelle. Vous devrez donc vous appelez par ces noms et uniquement cela.

En outre, l’utilisation de « je » et « tu » sont interdits dans tout vos conversation de même que les différentes forme qu’ils peuvent prendre.

Pour en revenir aux terme de famille, sous ce toit, nous sommes vos parents et donc pour cela vous nous devez obéissance et respect, en contre partie, nous vous donnerons tous les moyens de vivre.
… »
Après avoir écouté pendant près de 25 minutes, Léon demanda, tout en respectant le plus possible les règles déjà énoncé :
-Quand et comment pourrons-nous sortir d’ici ?
Le récit du texte s’arrêta, d’un seul coup un silence s’installa. Puis après dix secondes, très douloureuse pour Léon, la voix s’exprima :
- Le temps que vous passerez ici, ne dépens que de vous. Pour ce qui concerne, le comment, cela est simple, derrière l’un de ces murs se trouve une succession de salles, après les qu’elles se trouve la sortie, franchisé toutes les salles et vous serez libre.
Sur cette dernière phrase, Célia prix la parole :
- Et où se trouve notre problème ? Car J…
La Léon lui coupa la parole du plus fort qui pouvait :
- Vous nous avez enlevé pourquoi !!! (Puis il rajouta plus bas) Fessons attention à ce que nous disons …
- Vous ne devriez pas parler sur ce ton. Mais maintenant, nous allons reprendre ce qui nous avons laissé. Nous serons toujours là pour répondre à vos questions…
Puis la lecture du texte reprit comme si de rien n’était, ce qui laissa nos deux comparses sur leur fin.
« Comme vous le constaterez, vous devrez travailler pour avoir ce que l’on va appelée des points de travail. C’est points de travail pourront être perdu. Tout ce qui concerne votre conforte est lié à l’utilisation des points.
Nous allons enfin vous parlé du pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.
Nous somme une organisation très ancienne, notre origine vient d’une personne connue sous le nom de « L’ ANCIENS », celui-ci a parlé d’une Prophétie, a ce qui aller deviner les 1ere membres de notre organisation, il y de ça bien longtemps.
Cette Prophétie, dit qu’un jours viendra où l’équilibre de l’Univers ne reposera plus que sur deux personnes, mais que ces deux personnes ne pourront le maintenir seul.
Après cela, il nous donna un livre, ce livre est ce qui a basé notre action, celui décrie les personnes dont « L’ ANCIENS » avait parlé, l’un est « l’élue » et l’autre « le Protecteur ». Bien entendu vous n’êtes pas ces personnes, mais vous correspondez bien plus à eux que n’importe qui de votre planète et il nous est nécessaire de mettre en place un système perfectionne pour pouvoir leur transmettre toutes les connaissances que nous possédons. Ainsi nous pourrons les préparé à leur tache. »
Dans incompréhension complète, Célia explosa de rire :
- Vous voulez nous faire croire que vous nous avez enlever seulement parce qu’un malade, qui est mort depuis longtemps, vous a fait par d’une prophétie ? C’est un canular ? Si c’est le cas c’est pas drôle du tout.
- Nous n’avons pas besoin de votre avis encore mois de votre croyance pour ce sujet.
Léon s’exclama :
- Mais pourquoi cette Anciens, vous inspire temps de dévouement.
- Il s’appelle « L’ANCIENS » et il est l’homme le plus sage de l’Univers. Nous savons qu’il est lié avec Les Anciens mais celui-ci n’appartient à aucuns peuple et aucunes race. Et nous lui fessons confiance car il a sauvé notre planète de la destruction.
- Votre planète ? La Terre n’appartient à personnes !
Dit Léon un peu perdu, Célia ne l’était pas beaucoup moins pour autant.
-Quand nous disons notre Planète nous ne parlons pas de la Terre. Et nous n’y sommes pas en ce moment, si cela peut vous aider. Bien nous avons assez parle pour aujourd’hui.
Après ces mots le texte disparu laissant la place à une fenêtre comme cette de nos ordinateurs.
-tu regardes quoi …
En un instant, une décharge électrique parcourue le corps du pauvre Léon, cette décharge été due à ses vêtements. Puis la voix se mit à parler.
-Ceci été un avertissement pour avoir enfreint nos règles. Faites attention à ne pas recommencer si vous ne voulez pas en payer les conséquences.
Quelques secondes en suite :
- Nous vous invitons à vous rendre à la table de travail à fin que vous puissiez commencer vos études.
A ce moment la deux chaises sortie du sol et la table que trouvait Léon si lisse se transforma en un bureau avec deux écrans et deux zone pour interagir avec ce qui semble être un ordinateur. Sur l’un il été écrie Célia et l’autre Léon. Chacun prix sa placé et les écrans passa un cours d’Histoire sur L’Univers.
En résumé, nos deux amies, on apprit l’existence de la Porte des Etoiles et l’existence des différentes races et civilisation que vous connaissez et quelque petit détail de plus. Permît les quel les Oris et les Altérans auraient eux, bien avant leur schisme, un leader scientifique qui aurait entre autre trouver les bases de la porte, celui-ci parti, à la fin de sa vie, dans l’un des prototypes de cette civilisation à travers la 1ere porte des étoiles.
Après ceci un questionnaire leur a été posé.
Avec la fascination de tout ce nouveau pend d’Histoire illustré, ils n’eurent aucuns mal à y répondes, ce qui leur donna des point qu’ils utilisèrent pour manger.
Pendant leur repas, Célia avait l’air mélancolique pendant que Léon mangeait avec hâte, celui-ci n’ai mais pas trop rester là sans rien faire pour sortir. Célia pour brisé le silence et retrouver un peu de connue dans cette endroit.
-Vous vous souvenez lorsque nous étions dans la même classe ? Vous étiez fou de moi et pourtant Vous n’avez jamais tenté vous rapprocher de arrrrrr c’est trop dur avec toutes ces règles là. En fin vous comprenez.
- Oui, c’est pour cela que nous devrions éviter tout sujet qui parle de nous directement et remplace tout les mots interdits par Célia et Léon. Pour ce qui concerne le passé c’est le passé et il doit rester où il est.
- Nous devrions aller sur leurs Ordinateurs car il m… il semble qu’il n’y ait pas que des cours d’histoire et c’est notre seul occupation qu’il y a.
- Nous avons donc du travail même si cela n’est pas plaisant.
Ils allèrent donc travail sur les ordinateurs, en apprise plus sur ce qui semblait être le merveilleux moyen de transport ne la galaxie, sur les relation diplomatique et sur la construction de vaisseau et des technologie qui y sont relié. Et au fils des jours, ils commençaient à connaître toutes sur le bout des doigts. Tout en apprend à gérer la vie de tout les jours dans leur salle qui été leur seul espace de vie.

Après quelque temps, passer à étudier des technologie totalement inconnue, la voix qui avait entendue à leur arriver se amorça un discours tout en le passant sur l’écran:
« Vous avez parfaitement assimiler les règles et le travail de base de cette « maison ». Nous donc commencer la partie pratique de votre enseignement. Pour ce faire, certaine règle vont changer et vous allez avoir des épreuves à passer celle-ci sont les plus important si vous voulez revoir la Terre et toutes les personnes qui y sont un jour. »
-Des épreuves, pi quoi encore ?
S’exclama Léon qui en avait plus que mare de vivre dans une pièce de 8 par 8 sans jamais sorti ni voir l’extérieur.
-Pouvons nous savoir où et quand nous passerons ces épreuves ?
Demande Célia perplexe, tandis qu’une porte se laissait apparaître dans l’un des murs.
Sans demandé son reste Célia entra dans la salle qui s’offrait à elle, pour ne pas resté seul et par curiosité Léon la suivit.
Une fois entré la porte qu’il s’était formé disparue de la même manière ceci ne posa pas de problème à nos deux amie. Devant eux se trouvaient, deux animaux chacun dans une cage, on pouvait constaté que les deux rongeurs allait subir un mauvais sort sans intervention. En effet par un jeu complexe de boucliers, d’un Appareil Anti-Gravité, les deux cages donneraient la mort aux animaux au moindre monvement brusque.
Après une courte observation, Léon et Célia se rendirent conte qu’il était impossible de sauver l’un sans tuer l’autre et leur objectif été de sauver les deux.
-Célia, on ne peut pas y arriver, on leur laisse plus de chance de survie sans intervenir.
-On peut toujours trouver un moyen, il suffit de cherché, on connais tous sur ce qui compose de système, on devrait pouvoir arriver à nos fin.
Après une très longue discutions, ils finirent par conclure qu’ils devaient non agir directement mais faire agir les deux animaux en même temps.
Après de longue heurs passer à faire « agir » leur rongeur, il finir par sortir les deux petites bestioles.
Ultérieurement, ils résolurent mille et un problèmes mettant leur connaissance et leur imagination à rude épreuve.
Un jour, une nouvelle voix s’exprima :
- Bonjours, je suis le dirigent de la planète sur la quel vous vous trouver, mon nom est Nripesh. Je tiens à vous rappeler que tout notre espoir et basé sur ce programme. Bien que, cela face déjà bien longtemps que notre civilisation vie cacher du reste de la galaxie, nous avons appris que, depuis quelques années votre planète exploite sa Porte des Etoiles. C’est pour cela uniquement que nous entravons momentanément le bon déroulement de ce projet.
- Momentanément ? bon déroulement ? Ca fait près de 3ans et demi qu’on est ici et vous nous parler comme si de rien n’était.
- Léon, je viens seulement vous annoncé la naissance d’un être important, c’est un Harcesis, il a été confier une élevée, l’une de nos informatrices indirecte viens de nous l’apprendre.
- Ca va nous permettre de sortir d’ici ?
- Non, mais cette information nous donne des précisions sur l’avenir. Voyer vous nous savons que les personnes de la prophétie sont nées avant cet être. Ce qui nous obliger à concéder que vous pouvez être ces individus.
- Vous croyez le contraire, non ?
- C’est exact, mais nous ne jouons pas avec les probabilités, c’est pourquoi dans 8ans nous vous offrions, votre liberté. Même si vous pouvez toujours sortir d’ici.
- Pourquoi dans 8 ans ?
- Cela ne peut encore être dit, mais il y a un ordre à toutes choses, pour le moment vous devez clore ce qui a été amorcé.
Après cette annonce, le ressentiment et le désespoir les gagnèrent.
- 8 Ans quand nous renterons sur Terre tout le monde nous aura oublier.
- Ca nous sert a rien de leur obéir aux doigts et à l’œil si c’est pour rien.
- T’as raison, autant profité. Car j’en ai plein de cul de parler aux pluriels.
A cet instant, la combinaison de Léon délivra non pas comme à son habitude une décharge électrique mais un détendant musculaire qui le fit tomber au sol.
- Ba, tu tiens plus sur tes pieds ? C’est comme ça que tu rattraperas le temps qu’on a perdu étudier toutes ces technologie, leur diplomatie et j’en passe.
Ce qui devait arriver arriva, et la très cher Célia se retrouva dans la même posture.
- Toi non plus tes jambes ne te soutiens pas. Comme ça on va pouvoir parle du bon temps.
- Ah ah très drôle, ça ce vois que tu n’est pas dans ma position.
- Je te rassure, je vais aussi avoir des crampes si je n’arrive pas à bouger. Et en parlant de ça, tu ne crois pas que leur « programme » est purement une bêtise. Quand je pense qu’on apprend le procédé des Machines Mnémonique et qu’on ne les à jamais utilise.
- C’est sans doute parce qu’il ne veulent pas des personnes capable de faire appelle à des souvenirs mais des êtres capable de trouver une solution à tout. Mais c’est vrai que ça en devient stupide.
- Ce n’est pas pire de nous demander de trouver le moyen de neutraliser des boucliers, en menaçant des personnes innocentes.
- Non, c’était assez soft comparer à la fois où on a utilise le Disperseur Moléculaire.
- Oui, mais le problème été simple.
Après un longue discussion sur quel été la pire expérimente pratique faite. Chacun si mit à parlé des difficultés qu’ils avaient à vivre sur cette planète dont ils ne connaissait même pas le noms. Que ce soit, les problèmes psychologiques du l’un pour vivre avec un amour qu’il savait impossible (en particulier au moment de la toilette qui avec les « règles » été une authentique torture), ou l’autre qui ne pouvait supporter une tel situation sans pouvoir parler à ses proches et plus particulièrement à ses deux petites sœurs. À la suite, de nombres sujets viens à la conversation, pendant achevé que le produit finissait d’agir.
- Bon, qu’allons nous faire ? On ne va pas continue notre discussion éternellement, et encore moins rester ici 8ans de plus. Si on se mettait à chercher un moyen de sortir ?
- Il y a qu’une solution d’après eux, c’est la succession de salles. Mais on n’y a pas accès.
- Il subit de demander, non ? Et, il y a quelqu’un ? On voudrait savoir comment on a accès aux salles qui mène à la sorti.
Et encore une fois, une voix se mit à répondre à la question :
« Il suffit que vous nous demandiez son ouverture mais cela n’est valable seulement pour la première des 5 salles vous. Vous seul pourrez intervenir dans ces salles, vous pouvez donc risquer votre vie en y allant. Mais après les avoir franchie, vous aurez fini votre initiation. »
Après cette dernière phase, une nouvelle porte s’ouvrit, ce n’était pas celle qu’ils connaissaient si bien pour lavoir utilisé pour aller aux « Epreuve pratique ».
Comme à leur habitude, ils entrèrent dans la salle pour savoir à quoi s’attendre. On pouvait y voir un sarcophage Goa’uld, celui-ci était casser et sur le mur était écrie en Goa’uld « Le prolongement de la vie, guide vers chemin de la divergence. »
Sans trop cherche à comprendre dans quel état était le sarcophage, Célia affirma :
- C’est simple, comme bonjours réparé un sarcophage sans pièce de rechange.
- Ba, oui si non, ce n’est pas amusant.
- On peut toujours crée un autres appareil moins puissant avec ce qui reste ce tas de naquada.
- Oui, même si je doute de ce que veux dire cette phrase, on dirait une phrase d’un de nos prof de philo.
- Tiens, on peut parler sans retenue ici.
- on ne va pas s’en plaindre. Si non, pour notre petit problème je dès os ce machin pendant que tu regarde ce qu’on peux faire avec ce qui marche.
Plusieurs heurs après, ils avaient fini par construire un nouvelle appareil de guérison. Ce qui leur permit d’accéder à la 2eme salle après cela un message fut diffusé :
« Vous venez d’ouvrir la seconde salle. Vous pouvez aller vous reposer et vous restaurer jusqu’à demain après quoi son accès sera refermer et la salle 1 modifier. Félicitation. »
- Bon, on déjeune et on file à la 2eme salle.
-D’accord, mais cette fois ici c’est moi qui commande le repas, car question nourriture t’es nul.
- Merci, c’est normal, je suis un homme.
Dit-il avec un petit rictus. Et après avoir manger le repas que notre demoiselle avait commandé. Ils partirent pour la 2eme salle.
Dans cette nouvelle salle, les murs étaient décorés ce qui surprirent avec joie nos deux comparses. De plus au milieu de la salle était disposé un hôtel Nox.
Et encore une fois, un texte était écrie au mur celui-ci était dans la langue des Nox, ce qui fit réagir Léon :
- Et merde, je n’aime pas cette langue de malade.
- Tu veux dire que tu n’aime pas les langue tout cours.
- T’a raison, tu peux faire la traduction, moi c’est au-dessus de mes forces.
- Alors, … une cérémonie vous ouvrira les portes de …euh … le dernière mot est trop complexe pour moi.
- Vie, c’est vie. L’un des rares mots que j’arrive à garder en mémoire dans cette langue.
- Donc on a qu’à faire une petite cérémonie Nox.
- Oui, mais je crois pas qu’on arrive a reproduire ce que les Nox arrive à faire.
- On n’a pas leur sagesse, mais on peut le faire, même si c’est beaucoup moins efficace, notre but n’est pas de redonner la vie aux morts.
Après 3 longs heurs à faire et refaire la cérémonie, ils parvinrent à faire un tout petit effet qui suffit pour l’ouverture de la 3eme salle.
- Moi, je dis respect les Nox, eux-ils l’apprend simplement par la méditation et nos on nous a donner toutes les informations pour réussir et on y arrive de justesse.
- C’est normal, tu ne crois pas qu’un homme peut arriver à leur stade en seulement 3ans.
« Vous venez d’ouvrir la ... Félicitation. »
- Bon, on va direct à la salle 3 non ?
- C’est une bonne idée.
Entrant dans la 3eme salle, ils tombèrent sur un dispositif holographique de communication.
Et toujours une phrases qui demande une traduction au mur, cette fois ci elle été en Asgards tout comme le dispositif.
- A ça, j’arrive à le traduire. Alors … présenté vous à notre peuple… dans le but qu’ils vous… ouvres la voie.
- C’est plus simple, que ce que je pensais.
- Je te laisse, en communication je ne suis pas très bon.
Après un long discours monologue, on vie apparaître une assemble, qui réunissait près de 200 personnes. L’un prix la parole :
- Pensez-vous que vous pouvez digue de notre enseignement ?
- Votre enseignement, nous a apprit beaucoup et sans celui-ci nous ne serions pas ici pour vous parler.
- Qu’elles sont les sentiments que vous éprouver en vers notre peuple ?
- Bien, qu’il existe beaucoup d’amertume dans nos cœurs, nous avons apprit à comprendre vos choix et en cela nous avons bien plus de sympathie en vers vous. Mais le fait que notre place n’est plus ici.
- Et vous Léon que pensez vous de nous ?
- La question serait plutôt, que pense votre peuple de nous ? Et en cela, je répondrais qu’il sait qui nous somme et que nous somme plus des enfants que l’on doit éduquer à l’abrie du monde extérieur.
- Bien, nous allons arrêter cette conversation ici. Nous vous ouvrions peut-être la voie d’ici peu.
- Merci.
S’empressait de rajouter Célia, juste avant la désactivation du système. Quelques minutes plus tard la porte vers la 4 s’ouvra avec le même message que les autres.
- Bon, on va manger quoi ce soir ?
- Je ne sais pas mais en tout cas, j’ai l’impression que tu ne leur as pas fait mauvais effet.
- C’est possible mais ce n’est pas moi qui ai réussie à captiver ce comité pendant plus de 20 min sans préparation.
Après un bon dîné, la question de savoir si la salle 4 devait être fait le soir même ou le lendemain matin. Après une courte controversions, la décision fut prise de ne plus perdre de temps ici.
Donc d’un pas sur les compagnons de fortune entrèrent dans la salle 4. Celle-ci n’avait rien mis à part une console et un artéfact de la civilisation Furlings. En s’approchant Célia regarda ce qu’indiquait la console et à sa surprise, elle y constata qu’une question été posé et qu’un compte à rebours été en marche.
- Je crois que cette salle doit ce fait dans un temps limité. Et il faut répondre à une question. Mais c’est en Furlings et moi, je n’y arrive pas.
Léon qui regardait l’artéfact (de la dimension d’un bureau) se tourna et alla déchiffrer la question.
- Encore heureux que les 4 langues de l’alliance aient des bases communes, si non on n’aurait aucune chance. Bon ce n’est pas tout mais je comprends que la question parle du machin qui est là et de son utilisation. Mais après je sèche, et le compteur tourne.
- Bon, on va compléter la question pour avoir une idée de la réponse à donner et étudier ce machin, comme tu dis.
Après un très court examen Léon dit :
- Ca ne peux être qu’une bombe, car il y a une source d’énergie trop puissante à l’intérieur et pas de connections externe. Et elle se charge !
- Je te rappelle pour mémoire que les Furlings sont pacifique, donc ça ne peut pas être une bombe.
- Moi, je te dis que si et j’en suis sûr. mais toi de ton côté t’as trouvé quoi comme question possible ?
- J’ai : Quel est l’utilisation faite de cet objet ? ou Comment faire fonctionner cet objet ? Et il nous reste que 3min pour trouver la réponse.
- Pile ou face ?
- Non, je pense que la solution est là, juste devant nous… Je penche pour quel est l’utilisation de cet objet » car ça colle plus aux Furlings.
- Ca ne nous dit pas à quoi ça sert, et si j’ai bien compris, c’est cette bombe qui va explosé.
- Alors trouve l’utilisation que tu veux mais dépêche toi.
Après cela un silence s’installa rapidement, ils se regardaient pendant que le temps filait. Il ne restait plus que quelques secondes avant la fin, lorsque Célia tapa sur la console. Puis l’artéfact fut téléporté. Quelque instant après, l’accès pour la 5eme salles s’ouvrit, non pas avec une porte mais avec deux dont chacune été paré de un nom.
« Félicitation, vous pouvez accès à la salle 5, mais cette fois-ci chacun d’autre vous devra prendre le passage qui lui été désigner. De plus vous n’aurez le droit qu’à une tentative à l’intérieur. Vous pouvez toutefois aller vous reposer et vous restaurer jusqu’à demain après quoi son accès sera refermé et les autres salles modifier. »
- T’as répondu quoi ?
- Sonde
- Une sonde, tu plaisant, ce truc allait nous exploser aux visages.
- Non, c’est bien une sonde. Car la seule chose qui peut consommer autant d’énergie, c’est un vaisseau. Ce n’est pas un vaisseau, c’est donc une sonde.
- Pour moi ça restera une bombe… c’est pas tout mais je vais me coucher cette journée à été un peu trop charger pour moi.
S’en allant vers son lit, Léon restait très troublé de voir qu’il n’avait pas du tout saisit cette épreuve, qui a failli leur coûté la vie. Quand à Célia, elle resta un peu de temps devant la console, qui se trouvait hors d’usage, comme elle en avait l’habitude, puis elle alla rejoindre son lit en pensant à ce qu’elle pourra faire une fois sortie d’ici.

Le lendemain matin, c’est avec le réveil quotidien qui leur est imposé. C’est donc, à 7heur qu’ils se retrouveraient sans couverture, une alarme en marche.
Ce fut Célia qui alla, sans se précipité, à l’ordinateur résoudre le problème matinale à fin d’avoir accès au petit-déjeuner, qui était le seul repas pour lequel points de travail ne pouvaient être utilisé.
Ce n’est que quelque minute plus tard que Léon se leva pour prendre son petit-déjeuner.
- Merci ‘avoir résolut « l’encas ».
- De rien, surtout que tu la fait pas mal de fois pour moi.
- On fini ce qu’on a commencé hier ?
Dit Léon qui commençait à se diriger vers les salles de la veille.
- Attend, je fin et j’arrive.
Après l’arriver de Célia, chacun prit son passage et se retrouva dans une seul salle mais celle-ci était divisé en deux par des barreaux des cellules Anciens, ainsi que deux autres portes qui exhibaient aussi leur noms mais celle-ci était inversé par rapport à l’entré. Sur le sol, de chaque côté, se trouvaient deux messages, en Anciens bien sur.
- Une seule tentative, tu te souviens ?
- Oui, bon ma phrase veut dire « Un dirigeant doit savoir montrer le passage. ». Ca mais pas beaucoup. Et toi t’as quoi ?
- Moi « L’univers est infini, il suffit de brisé ses illusions. ». En gros, faut passer par à travers le champ de force.
- Mais il y a un ordre dans le quel le faire. Il faut donc savoir qui est le dirigeant par mit nous deux.
- C’est moi, car j’ai le message qui à la solution. Le deuxième message n’est que du vent pour nous tromper.
- On a qu’une seule chance et si on se trompe, on finira comme le pauvre gars de l’expérience 17.
Sans même l’écouter, Léon avait prit tout son élan pour passe à travers le champ de force et les barreaux. Au moment, où il toucha le 1ere barreau, celui-ci disparue et les autres faisaient de même à toute vitesse.
- Tu vois, c’est simple.
- Ce n’est pas le style de nos hôtes. Quand ils mettent un message, ce n’est jamais pour rien.
- Pas cette fois-ci. Bon, tu prend ta porte puis je prendrais la mienne en suite.
- Il est la le piège, sur les portes.
- Bon, on va faire compliqué. Alors, je suis le dirigeant, je viens de montre le passage. Après que doit-on penser ?
- Que tu dois continue, à me montre le passage. Moi, je te suis.
- Ca reste logique. Donc on passe tous les deux par ma porte, alors.
A ce moment Léon prit la main de Célia et la tira vers la porte où il se rendait.
Ils arrivèrent dans une salle vide d’où ils furent téléportés. Cette téléportation les amena dans un Amphi. Au centre de celui-ci, ils commencèrent à regarder autour d’eux. Ils étaient observer par toute une assemblé, y comprit au première rang, la personne qui les avait interroger la veille. De son bureau, qui fessait face au reste de la salle, le Présidant de la planète prit la parole :
- Bienvenue, je vous félicite vous être les 1ere à arrivé à un tels stade de notre programme. Vous me connaissez déjà, mais je ne pense pas que l’on vous ait présenté l’assemblé gouvernement de notre planète. La personne qui vous à parler hier et notre 1ere ministre, à qui je vais laisser la parole.
- Bonjours, je me présente Dhanesh. J’ai eux en charge le programme Apprentissage collaboratif et de Pédagogie active qui a été utilise dans votre formation. Bien que celle-ci ne soit pas terminer, je suis déjà très fière des progrès que vous avez accomplie depuis votre arriver ici. Et je vous présente, au notre de notre peuple, nos excuses pour certains moyens utiliser, même si cela était nécessaire. Pour ce qui concerne votre liberté, nous vous laisserons utiliser la Porte à votre guise. Toutefois vous ne pourrez rejoindre la Terre avec elle. Sachant cela nous vous proposons de rester ici jusqu’à ce qui vous puissiez rentre sur Terre par vos propre moyen ou décidiez d’habiter une autre planète.
- Vous nous avez enlever vous pouvez nous ramener, j’en suis sur.
- C’est exact, mais nous n’avons pas pour politique de renvoyer nos élevée à la maison quand leur apprentissage n’est pas fini. Entant que Présidant, je vous propose d’intégrer l’une de nos équipes de surveillance galactique où vous pourrez trouver votre moyen de rejoindre la Terre. Mais cette proposition n’est pas sans contre partie, vous devrez suivre un entraînement au combat, avec arme et particulièrement celui sans arme car nos équipes ne sont jamais armées en opération.
- En gros, on change de statue de prisonniers dans une cellule à celui de prisonnière sur une planète ?
- Vous pouvez toujours tenté votre chance sur n’importe quelle planète, mon cher Léon.
- Puisque vous parlez de ça vous pouvez arrêté de nous appelée par ces prénoms ?
- Non, ceci sont le produits de nos observations et de certain fait, ils sont ce qu’on vous a donnez de plus précieux, bien que pour le moment vous ne semblé pas le savoir. Bien, maintenant, je dois faire le vote à main levée ! Je vous rappel la question, qui est pour leur laisser l’accès au Livre ?
Après cette question, nos deux amies se retournèrent et observaient l’assemble qui commençait à s’agiter et parler dans tout les sens. Après un instant, Le Présidant ce mit à compter. A la fin de son compte, il reprit la parole :
- Ils y auront donc accès dès cette après-midi. (En dirigeant son regard vers les deux intrus) En attendant vous viendrez à ma table pour ce midi, et le première ministre va vous présenté notre planet que vous n’avez pas encore eux l’occasion de visiter. L’assemblé est levé.
Après les dernière parole du magistrale Présidant tout les participants quittèrent sans tarder l’assemble sauf bien sur les 4 Principales personnes qui nous concerne. Bien sur, la tension était présente cela faisait presque 4 ans que les deux anciens captifs attendaient, cette occasion de se retrouver devant leurs kidnappeurs. Et de l’autre côté, cela fessait bien plus longtemps qu’ils rêvent de voir ce projet aboutir à un résultat. Ce fut en réalité, un moment de grand silence et d’observation de l’autre. Même si, sans en douter, les deux dernières connaissaient tout de la vie des deux autres. Ce grand jour Historique pour cette planète, fut prolongé par une simple marche sans aucun mot. Celle-ci ce déroula autour du bâtiment de l’assemblé dans un première temps, pour ce poursuivre vers des jardins entouré d’immeuble dont les façades étaient principalement en verre et d’un marbre polie tendant vers un bleu ciel.. Et c’est uniquement à ce moment là que le ministre prit la parole pour parler de l’architecture qu’il aimait particulièrement.
- Vous ne savez sans doute pas mais notre peuple attache beaucoup d’importance à la construction de son infrastructure. C’est pour cela que tout nos bâtiments publique, on des extérieurs travailler.
- Cela n’est pas très utile pour une civilisation que reste cacher aux yeux de la galaxie. Mais, c’est vraie qu’il y a un excellemment travail sur la forme et les couleurs.
- Merci, Célia mais en réalité, ce n’est pas ce qui nous semble le plus important. Car nous avons sans doute fait plus d’étude sur la pièce de 8mettre sur 8 que vous avez utilisé pendant, c’est précédente années que sur l’ensemble de tout les bâtiments que vous pouvez observer.
- Elle est si complexe que ça ? C’est vraie qu’elle est pas mal automatisée mais a ce point là ?
- En réalité c’est surtout la table qui nous à poser problème mais rien que les systèmes pour les lits nous on prit plusieurs années, que ce soit pour la couverture rétractable ou la dureté modifiable ainsi que la hauteur et tout le reste. Ce n’est pas si simple.
- Oui, mais si vous saviez à quel point, j’en ai rien à faire de la composition des devantures de vos bâtiments. Pour ne pas être plus désagréable, j’aimera que nous nous rendions à au repas. Et pendant ce temps j’aimerai qu’on me parle de l’histoire de cette planète car cela n’a jamais été fait mentions lors de nos cours. Comme si une planète pouvait regroupe pratiquement toutes les technologies de cette galaxie sans avoir aucuns contacte politique et commercial.
- Je vais laissé notre présidant répondre à cette question. Alors, mon cher ami comment à ton fait pour avoir accès à des technologies et des savoir, sans avoir de relation ?
- En réalité, nous avons principalement étudier les civilisations de l’intérieur comme les Goa’uld et les Tollans. Pour ce qui été des civilisations disparues, nous avons eux bien du mal, mais de rare planète conserve leur trace nous avons donc étudié sur ces planètes. Ce fut donc un travail très lent, sachant que nous ne devons jamais être découvert. Quand à ce qui concerne les Asgards nous avons connue un personnellement, il y a longtemps. En réalité, c’est les Nox qui nous on donner le plus de difficulté, car il se cache des autres peuple comme nous. Nous avons donc du rusé pour pouvoir apprendre ce que nous nous avons appris d’eux mais nous avons perdu tout contact avec eux, il y a de ça plusieurs siècles.
- Vous avez réponse à tout. Et vous étaler les moyen par les quel vous avez obtenue ces information. Alors que nous ne somme pas de votre peuple et que nous allons sans doute partir avec ce savoir. Cela ne vous semble pas risqué ?
- En réalité, nous savons que vous ne révélerez jamais notre existence à des personnes qui pourraient être une menace pour nous.
Arriver à la maison personnel du présidant, après 5 minutes de marche. Il présenta sa femme ainsi que son 1ere enfants. Sa maison était assez grande mais rien de très imposant, seul la fontaine dans la cours intérieur donnait l’impression de faste. Une table était justement dressée à côté de la fontaine, sur celle-là on remarquait la présence une abondance de fruit et de nourriture équilibré.
- Je n’ai pas l’impression, que c’est aujourd’hui, que je vais manger un bon vieux repas bien gras.
- Nous surveillons votre alimentation pour votre bien même si cela semble superflu. Comme vous le constaterez quand vous rejoindrez notre équipe, nous avons le sens du détaille.
- Nous ne rejoindrons pas votre équipe, du moins pour le moment. On ne vous connaît pas. Nous avons eux plus de contacte humain de puis 2jours que sur le reste des 3 dernières années et cela ne va pas resté sans conséquence.
- Vous apprendrez à nous connaître car temps que vous resterez sur cette planète vous habiterez cette maison, avec ma famille.
- Comment ce fait-il qu’on ait pas eux la présence de garde lorsque nous somme arriver à l’assemblé.
- Tout simplement, parce qu’ils n’étaient pas utile, nous somme des hommes de sciences mais nous avons des connaissance dans les sport de combat. Alors que vous non. Et c’est bien à cela, que nous comptons remédier. Mais maintenant, passons à table, nous aurons tout le temps de parler après.
Le repas familial se déroula dans une ambiance de plus en plus détendue, en effet il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Léon s’identifie à cette nouvelle famille avec un enfant en bas ages, alors que lui-même avait été oncle jeune. De même, Célia retrouvait virtuellement l’ambiance de ça famille qui restait malgré le temps dans son cœur. A la fin du repas, une joie de vivre était dans les cours de tous. Bien évidemment tout le monde le savait, la fin de la journée risquerait d’être charger en événement.
Ce fut donc avec émotion que le repas se termina, même si le petit garçon détendait l’ambiance avec son envie de jouer.
- Bon, je crois qu’il est temps que nous vous amenions à ce qui justifie votre présence ici.
- Nous allons donc aller au muséum, où il se trouve.
- Au muséum ? Vous avez mit ce truc au musée ?
- Oui, affin que tout notre peuple puis savoir pourquoi nous travaillons si dur.
Se dirigeant donc vers le Conservatoire des Pièce Historique que ils apprirent que cette planète se nommait ERNA qu’il y vivait près de 300millions d’habitants, qui ne vivait que sur 1 cinquième de la planète. Quand ils arrivèrent devant le bâtiment qui les intéressait, on peut constater que celui-ci avait été encore plus soigner dans sa finition que les ceux des alentour même si cela était difficilement concevable.
- C’est là ?
- Oui, nous vous laissons découvrir par vous-même ce livre. Quand vous aurez fini, venez nous rejoindre ici. Nous vous donnerons les dernières détailles qu’ils vous manqueront.
- Je … Non, c’est bon. Tu viens Célia.
C’est alors qu’ils montrèrent les quelques marches qui les séparaient de l’entrer. Au centre du grand hall du musée se trouvait le livre posé sur un socle protéger par une vitre. Devant tout ceci se trouvait un écran holographique qui exhibait le texte qui les intéressait. Avec une grande patience que tout deux s’appliquaient à lire l’ouvrage. Tout en tournant les pages de l’hologramme, cette civilisation leur semblait de moins en moins farfelu et même bien plus sérieux et importante que se qu’ils s’attendaient. En effet, « L’ANCIENS » qui avait sauver se monde autre fois n’était pas une personne quelconque. Dans certaines passages, on fessait mention qu’il vivait par mit les Anciens au début de sa vie mais qu’il les avait quitter pour une raison qui n’était pas consigné. Après cet évènement, une grande partie da sa vie manque. On savait seulement qu’il dans sa vie donnée de nombreux conseil à divers peuple, qui n’avait conséquence majeur, car il était très critiqué, bien que ses connaissances scientifiques dépassaient de beaucoup celle du simple chercheur. Enfin les dernières informations sont celles qui les concernent le plus directement nos deux lecteurs. Car l’épilogue, parlait du fait qu’il avait fait une découverte important pour l’avenir, il en fit par à un peuple menacé un fléau après quoi, il sacrifia sa vie pour sauver les seul personnes qui pourrait un jours prévenir du danger qu’il venait de trouver.
- Perso, je n’estime pas cette histoire convaincante, car même si il y a une description qui pourrait nous ressembler, leur danger n’est jamais précisé. Même si c’est une très belle biographie. Tu en penses quoi ?
- Ca reste en cohérant avec se qu’on nous a dit. Mais ça voudrait dire que ce peuple, à plus de 2 millions d’années, car le seul fléau à avoir toucher si fortement notre galaxie est celui qui a fait fuir les Anciens. Leur population devrait être bien plus élevée.
- Allons voir ce qu’a à nous dire leur Présidant. Après nous devrons décider si on part ou pas.
En rejoignant, les deux politiciens. Tout deux se posaient la même et unique question :
« A-t-on le droit de partir comme ça, si ce que dit ce bouquin est vrai ? »
Alors fort de ses nouvelles connaissance Léon, commença à poser ses questions :
- Qu’elle est cette menace ? Comment on l’arrêt ? et Pourquoi nous sommes les plus à même de l’arrêter ?
- On ne sait pas, on ne sait pas et on ne sait pas.
- Et vous savez quoi alors ?
- On sais qu’une personnes qui vivait avant les Goa’ulds savait qu’il y aurait un Harcesis. Et qu’elle nous a prévenue d’un grand danger qui menace l’ensemble de l’univers.
- Oui, ça n’aide pas des masses. Si non commence ce fait-il que votre population soit si peut élevée ? Et avez-vous des pistes sur les quel on pourrait travail, pour ce danger.
- Célia, je vous répondrais que notre population est limitée car cette planète ne supportait pas plus d’habitants sur une longue période. Et non, nous n’avons aucune piste.
- Donc, on peut rentrer sur Terre. Vous nous appèlerez quand vous en serez plus.
- Non, justement. Ce n’est pas à nous de chercher mais bien à L’élue et au Protecteur. Donc à vous, vue que seul vous avez les attributs de nos sauveurs. Nous ne pouvons que vous aider dans votre tache.
- Bon, je crois qu nous devrions en parler seul avec Célia. Si vous n’y voyez pas de problème.
- Je vous en prier. Fait donc.
A se moment là le Présidant se retira un peu plus loin avec le ministre qui n’avait pas dit un mot.
- Donc, on a deux solutions, soit on part d’ici pour trouver un moyen de rentrer sur Terre, soit on reste ici pour déterminer, et éradiquer la menace.
- Je ne sais pas. Tout reste trop bizarre, même si leur technologie est avancée, il ne reste pas moins que personnes ne peut connaître l’avenir, encore moins une personnes qui est morte, il y 2millions d’années.
- De toute façon, si on part d’ici, on n’aura pas beaucoup de possibilités pour renter sur Terre. Et si ils dissent vraie, on aura fait la plus grosse erreur de notre vie.
- J’ai déjà des dizaines de mort sur la conscience, alors ce n’est pas ça qui va me torturer l’esprit.
- On ne parle plus de personne qu’on met en danger pour nous forcer à apprendre mais bien la vie dans l’Univers et ça comprendre toutes les personnes qu’on aime…
- Donc, on reste ? T’es sûr ?
- Oui, et en même temps, on pourra voir pourquoi on t’a donner Léon comme nom…
- Ah ah, très drôle, c’est pas pire que Célia. Bon, on va leur annoncer la bonne nouvelle ?
- Oui, mais tu me laisse faire, d’accord ?
- Si tu veux.
En se dirigeant à nouveaux vers les deux autres protagonistes, Célia finissait de préparer son discours. Dès qu’elle était assez près pour parler, elle commença :
- Alors nous avons décidé de quitter votre planète, car comme vous l’avez dit nous ne sommes très probablement pas les personnes que vous cherchez. Nous allons donc cherche un moyen de retrouver nos familles.
- Comment ça, ce n’est pas possible notre avenir en dépend. Vous devez reste, je vous en prie. Si vous ne restez pas notre Univers est condamné.
- Alors vous devez jouer cartes sur table ! Dit nous tout ce que vous manigancer, on ne veux plus de chantage, ni duperie et encore moins de secret. A ses seules conditions nous envisagerons de revenir sur notre décision, vous m’avez compris Mr Dhanesh.
- En avons-nous seulement le choix. Nous vous révélerons tout. Mais pour cela, il me faudra en aviser l’assemblé. Alors, j’y vais de ce pas.
Après que le Première ministre partie en direction de ses bureaux et de l’assembler. Le Présidant sourie et se tourne vers Célia.
- Vous n’avez peut-être pas beaucoup d’expérience mais vous jouer très bien le rôle de diplomate, ma cher Célia.
- Comment ça ?
- Vous avez réussit à faire plier mon ministre avec seulement quelque phrases, alors que vous aviez déjà prix la décision de rester. Cela restera notre secret, heureusement que vous n’aviez pas informer Léon de cette manœuvre, si non j’aurais aussi marcher.
- Pourquoi vous ne lui avez rien dit ?
- Tout simplement, parce que c’est ce que je voulais.
- Affaiblir votre position, c’est votre but ? Je capte rien…
- Non, c’est renforcer notre position, mais cela veut dire qu’il ne fait pas assez confiance dans son gouvernement.
- Vous comprenez toujours aussi vite mon cher Léon. Mais j’ai toute confiance en mon gouvernement. Seulement, ce n’est pas à lui de sauver la situation. Rentrons à votre nouvelle maison, en attendant que l’assemblé soit réunit et vu l’heur qu’il est cela se passera demain.


A suivre...
Dernière modification par kolodz le 09 sept. 2006, 16:23, modifié 1 fois.
soular12
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Re: [fanfic]dfn-5487

Message non lu par soular12 »

Pas mal ta fic mais il y a plusieurs choses qui me gênent:
- Les fautes d'orthographe qui sont nombreuses et surtout les mots qui manquent en plein milieu de la phrase, je te conseille de relire comme il faut ta fic et de la corriger car ces erreurs nuisent énormément à la qualité de ton histoire.
- La chronologie, je ne sais pas si ca vient de moi ou de l'histoire mais je n'ai pas compris à quel moment ca se passe (par rapport à la série SG) et à la fin, on apprend qu'il s'est écoulé 3ans entre leur arrivée et la fin du chapitre.

Sinon, à part ca, c'est interressant et le mystère est bien conservé.
J'ai hate de voir la suite qui est pour quand stp?

Edit : Désolé j'avais pas vu que tu avais modifié le début en précisant la durée couverte par la fic!
Dernière modification par soular12 le 09 sept. 2006, 12:59, modifié 1 fois.
kolodz
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Re: [fanfic]dfn-5487

Message non lu par kolodz »

En réalité je comptait bien corriger mes fautes d’orthographes {à n'en pas douter, bien trop nombreuses} :lol:
Pour la chronologie, c'est normal l'histoire demande un certain flou et principalement au début.
Pour la suite, elle est encours de rédaction. Donc je pense que ce soir, j'aurai fini ce chapitre même si des fautes persistent.
En ce qui concerne les 3ans qui s'écoule assez vite (à mon goût), elles feront l'objets de flash-back tout aux longe de histoire.

Ajout d'une nouvelle partie du chapitre à 16:21
Dernière modification par kolodz le 09 sept. 2006, 16:22, modifié 1 fois.
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