[FANFIC] Eternité

Répondre
alyasg1
Avatar de l’utilisateur
Soldat
Messages : 28
Inscrit : 12 juin 2006, 16:40
Pays : france
Contact :

[FANFIC] Eternité

Message non lu par alyasg1 »

voivi ma première fanfic sur Stargate fusion j'en ai bien fait une avant mais elle est comment dire plutôt ... nule? je crois que je l'ai même effacée... :lol:

a vous de me dire comment vous trouvez celle-ci afin que jeme decide enfin a la continuer !


ETERNITE


chapitre 1 : le réveil.


Je viens de me réveiller, j’ai mal à la tête. Je ne sais pas pourquoi je me sens aussi lasse. Tout mon corps est endolori. Mais mon esprit lui est vif, comme s’il ne c’était rien passé… et pourtant ! je trésaille, que ce passe t’il dehors ? un bruit, une porte que l’on cherche à forcer. Des bribes de souvenirs me viennent en mémoire, des images plus exactement…je vois des hommes que je ne connais pas traverser la porte… ils parlent ma langue, ils me sont semblables physiquement mais pourtant si différents !
J’ouvre les yeux, enfin. Ce que je peux voir me rassure. Je suis dans la même salle que lorsque je me suis endormie, les surfaces de travail sont à la même place, rien n’a changé. Hormis un détail : tout est recouvert d’épais draps blancs. Mais bien que tout me paraisse familier un frisson me saisit, qui se transforme bien vite en un tremblement difficilement contrôlable. La réalité me saisit ! je suis toujours dans le tube qui m’a gardée endormie, ce tube rempli d’eau ou de ne je sais trop quoi !
Je me ressaisis et avec je ne sais quelles forces, je réussis à défaire certains des tubes qui ont servit à m’alimenter, pour les autres je n’ai eu qu’a forcer un peu dessus. Reste le problème du respirateur… que m’avait dit le médecin ? respirer, souffler… d’accord c’est bon je m’en souviens maintenant ! je prend une profonde inspiration, de quoi faire des réserves pour remonter jusqu’à la surface. Et je recrache ce damné engin…
Je ne sais trop comment mais au moment où je rejetais l’appareil au fond de l’eau, je vis ces hommes, ceux dont je me souvenais, en face de moi. L’un paraissait inquiet, les autres curieux. Mais les deux jeunes femmes qui les accompagnaient elles plutôt affolées ! l’un des hommes se détacha du groupe et couru sur la passerelle. En levant la tête je vis qu’il commençait à défaire les écrous qui maintenant la plaque en haut du tube hermétique. Au moment où je me débarrassait des derniers tuyaux, il enlevait la plaque. Je n’eu plus qu’a me laisser tomber au fond et à donner un grand coup de pied. Quand même je me demande comment les scientifiques ont pu réussir à maintenir mes muscles aussi toniques alors qu’après 10 000 ans je ne devrais logiquement plus pouvoir les bouger !
Peu importait de savoir comment et surtout pourquoi j’étais en vie… arrivée à environ un mètre de la surface, l’homme plongea son buste afin de m’aider. Il me prit les deux mains. Et là je n’eus plus qu’à me laisser tirer.
Il m’allongea sur la passerelle. Un autre homme l’avait rejoint entre temps, il enleva sa veste et me couvrit avec. La quinte de toux qui me prenait m’empêchait de parler. Mais à bout de patience, anxieuse, je ne faisais que les repousser alors qu’ils tentaient de me calmer. Je réussis enfin à me lever, le deuxième homme me regarda avec surprise. Le premier lui, m’aida. Nous avons pu dès lors descendre les escaliers, ce qui ne fut pas chose aisée. Mais ce qui le fut encore moins, c’était de lui faire comprendre que je voulais me rendre à l’un des pupitres. Quand enfin il comprit, une nouvelle quinte de toux me prit, je sentais mes forces me quitter petit à petit. Il fallait que je sache. Je posais ma main sur le clavier et tout s’illumina. Ce qui était déjà une bonne chose en soi, ces étrangers n’avaient donc pas tout chamboulé sur leur passage. Malheureusement j’avais trop présumé de mes forces et, au moment où les données que je recherchais s’affichaient à l’écran, je m’évanouissais. ------------------------------------------------------------------
John : alors Docteur, comment va- t’elle ?
Beckett : plutôt bien étant donné les circonstances. Néanmoins, je ne peux pas dire grand chose sur elle. Je sais seulement que c’est une Ancienne et ce, grâce au scanner que je lui ai fais passer.
Weir : dans combien de temps pensez-vous qu’elle se réveillera ?
B : je ne peux pas vous le dire. Je peux seulement vous faire une estimation. Je pense que d’ici quelques jours lorsque son corps ce sera complètement réhabitué à la vie au « grand air »,qu’elle reprendra conscience. Vous savez, elle a subit un grand choc avec ce réveil. Avez-vous trouvé ce qui l’a déclenché ?
J : non toujours pas le docteur Mac Kay pense que c’est l’introduction du virus des Wraiths qui a déclenché l’alarme nous menant à la salle où nous l’avons trouvée et simultanément le mécanisme de son réveil.
B : Docteur Weir je suis actuellement en manque de personnel en ce moment et j’aurais besoin de quelqu’un qui puisse rester à ses cotés afin de la veiller.
W : le colonel s’en fera un plaisir n’est-ce pas ?
J : j’allais même vous le proposer !
W : mais bien sur… je dois vous quitter le travail m’attend. Colonel je compte donc sur vous pour me tenir au courant des évolutions de santé de notre mystérieuse inconnue.
J : il n’y a pas de soucis.
Le docteur Weir sortit de l’infirmerie un sourire aux lèvres.
J : bon ben je crois que je suis bon pour passer la nuit à son chevet. Je vais de ce pas chercher un livre et un bon oreiller.
B : allez-y je resterais avec elle en attendant.
Le colonel sortit de l’infirmerie. Un air inquiet passa sur le visage de Beckett.
B : il serait sage que vous songiez à vous réveiller belle inconnue.
---------------------------------------------------------------------
Le colonel Sheppard était assoupi sur le rebord du lit de la jeune fille, il lui tenait la main. Ses paupières frémissaient sous son sommeil agité. Cela allait bientôt faire 3 jours qu’il veillait et il venait de céder au poids qu’imposaient ses paupières.
Soudain il se réveilla en sursaut. Quelque chose avait changé. Il lui fallu bien quelques secondes pour réaliser que son inconnue était assise sur le matelas et qu’elle tentait de se lever.
J : attendez ! où comptez-vous aller dans votre état ? je vous en prie recouchez vous, lui dit-il tout en faisant le tour du lit. J’appelle Docteur.
La jeune femme ne semblait pas avoir entendu, elle se leva tout de même, et ferma les yeux quelques secondes. Lorsqu’elle les réouvrit, elle accrocha le regard de John.
J : Si vous comptez retourner voir le pupitre, vous pourrez y aller ne vous inquiétez pas mais allongez vous d’abord, j’appelle le docteur. Je m’appelle John Sheppard et vous ? quel est votre nom ?
Ses yeux se troublèrent. Elle se rassit sur le bord du lit mais ne lâcha pas la main de John. Elle ne détourna même pas le regard lorsque Beckett arriva et commença à l’examiner.
B : bien, il me semble que vous soyez en parfaite santé. Si l’on excepte le fait que vous ayez passé 10 000 ans cryogénisée.
J : j’en avertit tout de suite le docteur Weir. Docteur Weir est-ce que vous me recevez ?
W : je vous écoute colonel. Des nouvelles de notre invitée ?
J : on peut dire ça… elle vient de se réveiller.
W : c’est une bonne chose. J’arrive tout de suite.
--------------------------------------------------------------
Dix minutes plus tard le docteur Weir était là.
J : elle n’a toujours rien dit.
W : serait-elle muette ?
B : non je ne pense pas. Je suppose plutôt qu’elle ne connaît pas notre langue tout simplement.
La jeune femme s’arrêta de regarder John. Et se leva.
W : où va-t’elle ?
J : je n’en ai pas la moindre idée ! je suppose qu’elle voudrait faire ce qu’elle souhaitait déjà faire en se réveillant.
W : c’est - à dire ?
J : aller aux ordinateurs de la base.
La jeune fille continua à marcher en direction d’un transporteur. Au moment où elle allait appuyer sur l’écran John se précipita pour l’accompagner.
W : je veux un rapport toutes les 20 minutes ! hurla-t’elle en voyant la jeune fille appuyer sur l’écran.
-------------------------------------------------------------
Lorsque la jeune fille descendit les quelques marches, Sheppard fut émerveillé.
Jamais, dans la cité il n’avait vu une pièce pareille ! Il regarda la jeune fille qui ne semblait pas du tout perturbée par ce quelle voyait.
Cette pièce était rectangulaire, blanche avec très peu de tableaux, eux se trouvant dans la partie la moins large, en face d’eux, sur toute la portion du mur, se tenait une baie vitrée.
Au centre un canapé et une table basse faisait face à une immense bibliothèque remplie de livres de toutes sortes et de tous les langages comprit John en allant voir de plus près.
J : si c’est votre appartement et que ceci sont vos livres alors vous devez sûrement être une personne très intelligente…
La jeune fille ne répondit rien. Sur le mur de gauche se trouvait une porte. L’inconnue la franchit. Ils se trouvèrent alors dans un espèce de sas. Elle appuya sur un bouton en face d’elle. Une porte s’ouvrit. C’était sa chambre. Un drap recouvrait tous ses meubles et des boîtes étaient disposées ici et là contenant des vêtements entre autres. Une larme perla sur la joue de la jeune fille. Elle enleva le voile recouvrant la penderie et se choisit des vêtements.
Elle se tourna vers John.
J : oui j’ai compris je vais à coté !
Lorsqu’elle reparut devant lui elle était tout simplement resplendissante. Elle portait à présent une robe qui ressemblait fort étrangement à celle que portait les romaines sur Terre il fut un temps. Ses cheveux était attachés en chignon et quelques mèches s’en échappaient. Elle ne portait aucun bijoux hormis une bague à son annulaire droit.
J : vous êtes magnifique… mais cela ne résout toujours pas notre problème ! ajouta-t’il en fronçant les sourcils. Quel est votre nom ? parlez-vous notre langue ? comprenez vous au moins ce que je vous raconte depuis tout à l’heure ?
L’inconnue sourit. Pour sur qu’elle comprenait mais elle ne possédait pas encore les mots. Cette bague lui sonnait le pouvoir de comprendre n’importe quel langage existant dans cet univers et dans les autres. Comment lui faire comprendre qu’elle avait besoin de visiter sa mémoire pour y copier LES mots.
Une idée surgit en elle : le seul moyen qu’elle connaissait pour pouvoir lui faire comprendre était la borne qui avait déjà rassemblé les informations sur la cité que l’expédition avait vu à son arrivée.
Elle retourna jusqu’au transporteur. John ne put que la suivre en courant.
J : mais où allez vous ?
« vous le saurez bientôt pensa-t’elle »
Une fois arrivés dans cette salle, ils échangèrent un regard. Que pouvez bien vouloir cette jeune fille ? se demandait John. Dans le doute il appela le Docteur Weir.
J : docteur Weir ? nous sommes dans la salle de la borne. Vous vous souvenez quand nous sommes arrivés la borne que Carson a découvert ?
W : nous arrivons tout de suite.
La jeune fille s’était rapprochée de la borne, elle ouvrit le capos du bas, et échangea quelques cristaux après quelques minutes de réflexion. Sa tache terminée elle se releva et se rapprocha de John avec un air si déterminé qu’il en eut presque peur. Elle finit par lui prendre la main et le conduire au milieu de l’espèce de plate-forme. C’est à ce moment là que le Docteur Weir, Mac Kay, Beckett, Teyla et Ronon arrivèrent.
Il ne se passa tout d’abord rien mais après uquelques secondes une coupole holographique se forma autour de John et de l’inconnue.
the_phoenix
Avatar de l’utilisateur
Premier Lieutenant
Premier Lieutenant
Messages : 300
Inscrit : 31 mai 2006, 13:55
Pays : France
Lieu : 78 Mantes-La-Ville

Re: [FANFIC] Eternité

Message non lu par the_phoenix »

Moi ça me plaît bien, et je lirais la suite ! :)
Let's check it out !
alyasg1
Avatar de l’utilisateur
Soldat
Messages : 28
Inscrit : 12 juin 2006, 16:40
Pays : france
Contact :

Re: [FANFIC] Eternité

Message non lu par alyasg1 »

ca fait plaisir ! :lol:
je crois que je vais m'y mettre demain en cours d'anglais, à la place de mes sudokus ou de mes mots croisés! ben ouais je torche en anglais je comprend tout le texte ! :lol:
Dernière modification par alyasg1 le 18 oct. 2006, 23:13, modifié 1 fois.
Répondre

Revenir à « Fan Fictions »

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit