Salutations, déjà je m'excuse du temps mis pour réécrire.
Après une longue léthargie, je recommence l'écriture de cette fic. J'espère juste que cela n'enlèvera rien au plaisir si cela plait. N'hésitez pas à donner vos avis. la suite est en cours d'écriture. J'en suis au tout début cependant.
l'Epée de Damocles :
Houston, texas :
Le soleil matinal brillait sur la ville Texane, elle n'avait pas connue de bombardement mais était déjà très agitée.
De nombreuses routes étaient déjà engorgée par les automobilistes fuyant la ville.
La nouvelle de l'arrivée imminente de forces ennemies faisaient déjà fuir des habitants.
Mais dans une bâtisse au milieu de la ville, quasi déserte se trouvait un bâtiment fortement surveillé par des véhicules de l'armée et de la police.
L'air était lourd, les stores des rideaux dessinaient des stries sur le sol avec la lumière qui pouvait passer. Un téléviseur était allumé :
RTI :
Ici Serge N'gongue, comme promis ce reportage sera retransmis à nos confrères partout dans le monde. nous apprenons que de violents affrontements ont lieux dans le nord du pays entre les forces aériennes françaises et celles des envahisseurs extra-terrestre. Il semble cependant que la situation soit sous contrôle. Mais cette bonne nouvelle est suivie par de nombreuses autres préoccupantes, de nombreuses troupes ont débarqués près de la ville de Lyon en France, là même où selon certaines rumeurs se trouverai le président Chirac. La bataille s'étant engagée au sol entre l'infanterie française et les envahisseurs est acharnée. Mais l'ennemi possède des appareils aériens et causent beaucoup de problèmes aux français. Cependant on apprend que des unités blindés et anti-aériennes sont en route pour la bataille.
Ici à Abidjan la peur et la colère se répandent dans la ville, la population reprochant aux occidentaux d'apporter le malheur dans le pays...
De nombreuses personnes étaient regroupées autour d'une longue table. Au bout de laquelle se trouvait le poste de télévision.
Au fond un panache de fumée s'élevait et dansait dans les quelques rayons matinaux.
L'homme prit une télécommande et baissa le volume du poste. Puis il posa son cigare.
Ce qui provoqua la réaction des autre individus se tournant vers lui.
-Que se passe t'il Général Vidrine ? Qu'est-ce qui vous prend ? Lui demanda un homme âgé, de manière fort peu polie.
Son interlocuteur, un grand afro américain d'un age approchant probablement la quarantaine, en uniforme se leva et répondit avec autorité et respect.
-Sénateur Hurley , pendant que nous nous attardons ici, une force ennemie se dirige vers nous ! Nous ne pouvons nous permettre de douter plus longtemps. Il faut prendre une décision.
-Et que proposez vous général? Ajouta alors l'autre individu.
Ce dernier réfléchit à peine avant de répondre. Il fut écouté par chacun des partis présent.
Tous les militaires présents semblaient plutôt de son côté alors que par ailleurs, les sénateurs, ou autres membres de quelque sénat que ce soit semblaient plutôt indécis.
-De faire comme les Français, les bouter hors d'ici.
-Et bien général, je dois dire que je suis d'accords ! Qu'ils voient à qui ils aient affaire. S'ils sont facile à vaincre au sol il vont s'en mordre les doigts.
Une femme se leva subitement, son tailleur à carreau changeait des costumes masculins.
Ses cheveux noirs étaient lâchés, allant jusqu'à se terminer sur ses épaules.
Le rouge à lèvre qu'elle s'était mis semblait finissait par attirer le regard.
-Vous n'y pensez pas? Général en tant que conseiller militaire et homme d'expérience ici vous ne pouvez tolérer ça! Que faites vous du vaisseau au dessus de nos têtes ? Vous pensez aux représailles? Une attaque massive, surtout si elle réussie, contre leur force pourraient causer une terrible vengeance!
La jeune femme fixa alors les deux hommes fermement et ce sans baisser les yeux.
Vidrine lui fit signe de se calmer, puis regardant chacun des membres de la salle il se racla la gorge avant de reprendre la discussion avec elle. La doctoresse l'écouta alors attentivement sentant le respect dans son intervention.
-Docteur Weir, j'en suis conscient mais il faut qu'on ai du temps pour pouvoir réfléchir à comment s'en sortir. Ce n'est pas en leur cédant plus de terrain que nous en auront!
Lui répliqua l'afro américain comme elle l'attendait, sans être blessant.
Son interlocutrice prit tout de même un air surpris à ces mot et se décida à répondre.
Car c'était son opinion qui l'étonnait. Certes elle comprenait, les américains tenaient beaucoup au concept de liberté et de patrie. Mais là, en ce moment, il fallait savoir mettre de côté leur ressenti. Elle se lança donc :
-Ce n'est pas en nous faisant détruire que nous aurons l'occasion de les jeter hors d'ici et par ici j'entends, la terre.
Hurley sursauta puis regarda d'un air hautain la jeune femme avant de prendre la parole.
Son costume cravate allait de paire avec ses cheveux gris, il était la représentation parfaite du personnage politique. Les quelques rides ça et là lui donnait faisaient penser à un personnage dur et froid. Surtout quand on les regardait en fonction de son expression.
-Nous subissons déjà un massacre, nous devons frapper là où nous le pouvons, qu'est-ce que cela change? Ils auront cet avantage quoi qu'il arrive, autant leur montrer que les Etats-unis d'amérique ne s'inclineront pas si facilement ! Fit il.
Le sénateur se lança alors dans une série de geste qui poussait presque au sourire avant de se s'asseoir. Elisabeth Weir, plutôt en désaccord ne se gêna pas pour le faire savoir.
-Leur montrer que nous avons de la force plutôt que d'utiliser notre cerveau ? Sénateur, soyez raisonnable, on ne peut rien contre ce vaisseau pour l'instant mais on peut trouver une solution. Mais pas en subissant plus de pertes ! Répliqua Weir.
-Je partage votre avis Docteur, mais pas sur la manière de procéder. Ce n'est pas en leur permettant de créer des bases et faire des prisonniers que nous allons avoir ce temps. Il faut les ralentir tant qu'on peux. Lui répondit alors Vidrine en la fixant longuement.
Plusieurs chuchotements des autres protagonistes, issus de la politique et ce qui reste du milieu militaire se firent entendre.
L'un d'eux proposa d'attendre et voir ce qui se passe ailleurs dans le monde. Il renonceraient à toute opérations autre que le secours en attendant. Un autre proposa de quitter immédiatement la ville.
-Quitter la ville ! Bien sûr, on ne va pas rester là, nous sommes ceux qui peuvent encore prendre des décisions dans ce pays ! Mais nos forces doivent les frapper sans attendre !! Général... vous êtes avec moi ?!!! Insista Hurley.
Vidrine réfléchit longuement, allumant par ailleurs un deuxième cigare. James Vidrine était avant cette crise encore colonel dans les marines. Il attendait depuis un moment ce grade de général et une place dans le commandement. Mais son refus de participer à un projet gouvernemental secret, géré par l'air force et ce par respect pour son corps d'armée, semblait lui avoir fermé bien des portes.
Il se souvenait que le président Hayes disait de lui que son talent était aussi grand que son orgueil. Probablement si il n'y avait pas eu cette crise, il ne serait même pas encore général. Il était néanmoins apte à prendre des décisions difficiles mais avait peur de se tromper, par orgueil. Puis il prit enfin la parole.
-On évacue la ville et on attends de voir. On ne se confronte à aucune force d'invasion. Mais cependant les opérations de secours déjà en cours ne doivent pas être annulées mais signalons aux unités d'éviter tout combat de grande envergure.
Le reste de l'auditoire semblait en pleine réflexion mais allait vers l'approbation des mesures citées. Hurley , lui, tiqua, il regarda les autres membres avec un agacement allant jusqu'à secouer un de ses collègues. Puis il tenta de les convaincre.
-Hey, ho, réveillez vous. On parle ici de leur céder des villes américaines, avec des citoyens américains. Commença alors Huley avant que Vidrine ne lui réponde.
-Cela ne me fait pas plus plaisir que vous mais Weir a raison!
-Weir a raison ? Vous parlez de celle qui préconisait de renoncer à Guantanamo pour se rapprocher de Cuba ? Et monsieur le général, en tant que sénateur ici dois-je vous rappeler que la sécurité et l'intégrité...Renchérit Clark Hurley, mains posées avec force sur la table.
Elisabeth Weir serra les lèvres, se retenant d'une intervention blessante. C'est qu'il avait raison le bougre! Malgré son manque de discernement, il avait plus de pouvoir que Vidrine en ces lieux. Elle espérait que ses arguments auraient conquis les autres sénateurs de la salle. Le brouhaha repris alors et chacun se contredisait.
-Bon sang ils arrivent !! Et si vous êtes incapables de prendre une décision dans les délais, personne ne le pourra, je vous ai donné mon avis, faites jouer votre pouvoir. Cria alors James Vidrine.
Toute la salle se tut. Chacun regarda le général et ne savait quoi lui répliquer.
En fait ils ne savaient pas si, de la part d'un général il pouvait se permettre ou s'ils étaient vraiment des incapables.
New york :
La ville était en ruine, bien que des bâtiments étaient encore debout et que nombreuses ruines pouvaient encore servir d'abris, elle était devenue l'archétype du chaos.
Une cinquantaine de personnes avançaient prudemment dans les rues jonchées de débris. Elles ne voyaient pas qu'a quelques kilomètres seulement des centaines de fantassins ennemis les recherchaient activement.
Le petit groupe avait profité de la nuit pour avancer mais maintenant que le soleil était levé, ils devaient rejoindre rapidement Turtle bay.
Chose difficile tant la ville était méconnaissable. Elisha avançait en compagnie de son caméraman, observant les trois hommes armés de mitraillettes légères au devant.
Elle se dit que ce n'est pas non plus les cinq autres, sous équipés pour un théâtre de guerre qui allaient les tirer d'affaire en cas d'embuscade.
-Agent Straumer ? Êtes vous certain que ce que nous faisons pourra nous tirer d'ici ? Demanda alors la jeune femme au chef de file.
-Mademoiselle ! Il faut bien tenter quelque chose. Lui rétorqua le leader.
-Mais cela m'étonnerai qu'ailleurs ce soit différent. Vous avez vu ce qui nous est tombé dessus ? Et quand bien même nous trouvions des secours, que pourraient t'ils faire...Tenta elle d'argumenter.
Un civil les accompagnant s'arrêta et prit la parole. Il était couvert de poussière, le visage noirci et affichant quelques cicatrices. Comme tous les autres d'ailleurs.
-C'est vrai ça ! S'ils nous repèrent ou nous attrapent à cause de notre activité. On aurait dit une colère divine lorsque ces trucs. Si nous restons cachés...
-Pourquoi vous arrêtez vous ? Ecoutez, cachés ou pas nous sommes beaucoup trop près d'eux. Alors je ne tolérerait aucun autre écart, vous menacez la survie du groupe. Ordonna l'agent Sean Straumer lorsque tout à coup deux individus sortirent des décombres. Un homme d'âge mûre et une jeune femme, tous les deux en haillons se tenaient entre deux épaves de taxi.
-Ne tirez pas ! Tempéra alors l'inconnu.
Straumer regardait avec attention mais sans aucunes surprise. Il en avait déjà vu d'autres depuis l'attaque. Et il espérait encore en voir mais les dernières rumeurs ne sont pas réjouissantes. Il ajusta, ce qui s'apparentait encore à son smoking et répondit.
-Encore des rescapés, américains ? Fit il à l'adresse de l'autre homme.
-Oui. Mais nous souhaiterions nous joindre à vous.
-Il en va de soit...
-Pardonnez moi de vous interrompre mais nous avons entendus votre discussion et il faut partir au plus vite.
L'homme semblait inquiet mais Straumer souriait plus qu'autre chose, comme si toute cette catastrophe l'amusait.
-Avez vous une bonne raison de nous dire ceci ? Ou est-ce juste du bon sens ?
L'homme leur montra alors une radio portable et l'alluma. Il avait changé de bandes plusieurs fois avant de trouver une fréquence encore en activité.
-Elles arrêtent d'émettre les une après les autres. Mais il y a des gens encore près à tout pour aider leur prochain Et qui commencent à créer leur propre station.
Vous suivez John Conner la voix de la liberté, la voix de New York. Comme prévu un flash d'information pour tous ceux qui pourraient l'entendre et faire passer le mot.
Nous recevons toujours des appels de détresse de divers endroits de la ville. Mais les secours tant promis sont en retard, la difficile victoire sur l'ennemi dans le monde ont causés un terrible bombardement sur les régions voisines des métropoles assiégées. Craignant le même type de vengeance, le gouvernement temporaire décide de réviser sa manière de porter assistance aux démunis. Ils vous demandent de ne pas perdre courage, votre pays ne vous a pas oublié, continuez à donner des informations et restez à l'abris. Nos pensées vont aux nombreux américains et aux citoyens du monde actuellement en souffrance. Nous n'oublions pas non plus les victimes du massacre de Berlin, vengence des forces ennemies repliés en Allemagne suite à leur défaite en Pologne. Soyez fort, ne renoncez jamais, car les Etats unis d'amérique ne renonceront pas! Que dieu bénisse l'amérique et le monde. Je vous laisse en compagnie du pasteur...
-Ca passe en boucle depuis quelques heures, ils changeront quand il y aura du nouveau. Continua l'inconnu. Fit le nouvel arrivant en désignant la radio du doigt, puis en faisant des boucles imaginaires avec l'index.
-Bon sang ! C'est de plus en plus mal. S'inquiéta l'agent fédéral se frottant le front de sa manche droite.
La jeune femme intervint alors. Elle passa ses mains dans ses cheveux qui en comparaison d'Elisha étaient bien plus foncés. Ses traits fins et le brun de ses yeux attirèrent alors le regard de l'agent fédéral.
-Probablement mais vous avez raison sur ce qu'il faut faire ! Commença elle.
-Plait il ? Répliqua Straumer.
Elle comprit qu'il fallait se présenter. Et après avoir vainement tendue la main à Straumer, la demoiselle secoua les manches de son chemisier et enfila sur celui ci l'uniforme qu'elle tenait dans ses bras. Puis parla à son tour.
-Lieutenant Isabelle Kershaw, de L'US air force.
-De l'air force ? Et que faite vous dans cette tenue ? Ne me dites pas que c'est la permission...
-Mise à pied de six mois pour insubordination. Voulez vous en savoir plus ? Car j'ai quelque chose de plus important à vous dire.
-On reparlera de ça. Allez y expliquez donc? Lui fit Straumer sceptique.
Tout le monde la fixait avec des regards interrogateurs, d'autres étaient sceptiques, d'autres encore exaspérés. Mais tous étaient exténués, il ne fallait pas leur en tenir rigueur.
Elle ravala sa salive puis mettant les mains aux hanches, elle reprit.
-Je pense pouvoir fournir, à ceux qui nous gouvernent des informations sur l'ennemi.
-Ben voyons... S'amusa son interlocuteur.
-Je ne sais pas réellement qui ils sont. Mais je peux fournir des informations sur la raison de leur attaque, cela permettra peut être à ces gens d'agir et de mieux décider à l'avenir. Elle sourit alors, puis reprit. Et je souhaiterai partir en mission dès que possible. On en profitera pour vous tirer de là.
-Et qui sont ils ? Répliqua le fédéral méfiant.
-Vous le saurez une fois que nous auront atteint la zone. Assura elle, en le défiant du regard.
-Biens ! En route. Hurla l'agent Straumer. Il lui jeta encore un regard puis se retourna.
En orbite :
La salle était majestueuse, les murs couvert d'or et de glyphes attestaient d'un raffinement certain. Et pourtant l'être qui résidait dans les lieux semblait, tout, sauf raffiné.
Il était fou de rage et avait renversé le plat qu'une esclave lui avait apporté. Cette dernière avait fui en courant lorsqu'il lui ordonna de se retirer. Klorel avait les yeux rivés sur la vitre donnant vue sur ce cailloux qu'était la terre. Il observait cette maudite Tau'ri, elle osait lui résister et défaire ses jaffas au sol. Et ces idiots avaient fui devant la vermine humaine. Puis le Goa'uld se retourna pour fixer d'un air supérieur et avec colère celui qui était dans l'angle de la porte.
Brattac s'inclina aussitôt et écouta son maître.
-Tu dis, que nos guerriers ont massacrés des prisonniers sans mon accord ?
-Oui seigneur Klorel. Répondit alors Brattac avec humilité.
Ce dernier ramassa une coupe et la jeta contre un mur. Il laissa un temps de latence avant de répondre. Ses lèvres tremblaient avec la rage.
-De quel droit se croient t'il permis de prendre une telle décision sans mon accord ! Tu leur fera bien comprendre que si cela se reproduit, je m'occuperai de détruire toute la brigade moi même. En dehors de cela ce massacre est une bonne punition pour ces Tau'ris ! Comment osent ils me résister !
Klorel reprit son souffle et passa les mains dans sa chevelure, où plutôt le parasite contraint l'hôte à le faire. Il semblait visiblement reprendre son calme.
Pendant ce temps le jaffa en profita pour lui parler.
-Vous avez châtié ceux qui ont détruit nos troupes. Les autres guerrier humains semblent avoir compris et fuient sans résister devant nos jaffas, maître. Ils laissent derrière eux vieillards, femme et enfants.
Brattac toujours incliné, réprima un sourire se gardant bien de dire qu'il avait ordonné le massacre afin d'éviter que Klorel ne se venge de façon bien pire.
Le Goa'uld reprit alors l'autorité qui lui était due et commença à donner des ordres.
-Bien, dès que possible je souhaiterai visiter notre plus grande prise d'esclave et notre plus beau trophée.
-Maintenant sir ? Vous...Commença le vieux guerrier.
-Ne discutes pas Jaffa et obéis. Je veux que tu me dise où je dois aller, afin de montrer aux misérables Tau'ris le visage de leur dieu.
-Bien...
-Qu'attends tu jaffa?
Le vieux mais non moins expérimenté guerrier se leva aussitôt. Toujours sans regarder son dieu, il se dirigea vers une console. Une grande sphère métallique, que Klorel avait préalablement sortie, se mit à briller tandis qu'une légère brume l'enveloppait. Puis une image apparut montrant le globe terrestre.
Le jaffa pointa une zone de la planète du doigt, tandis que de l'autre main il dirigeait la console.
L'image devenait de plus en plus nette, de plus en plus précise sur la région.
Puis affichèrent une grande structure, intacte sous laquelle une grande masse d'humains étaient cantonnés encerclés par les troupes d'invasion.
On observait un Al'kesh se déplacer vers d'autres lieu de la ville, l'image provenait sûrement d'un autre de ces bombardiers et transport Goa'uld. Au sol plusieurs autres unités de jaffas quadrillaient la zone en fouillant les débris et bâtiment.
-Bien je te laisse jusqu'à demain pour préparer ma venue. Déclara le faux dieu avec autorité.
-Voulez vous dire que je dois aussi descendre au sol ? Le questionna son prima l'air faussement surpris.
-Aurait tu peur Brattac ?
Le soldat resta de marbre et s'inclina encore plus. Puis il s'adressa à son maitre.
-Non mon seigneur ! Je voulais juste savoir si cela était dans votre optique.
-Je te le permet si tu y es contraint. Allé sors de ma vue maintenant.
Lui fit le Goa'uld en souriant de déjà pouvoir faire main basse sur des milliards d'esclaves, chiffre bien loin devant son premier rival.
-Vos désirs sont des ordres ! Fit le vieillard en se retirant, un regard de mépris se dessinait alors sur son visage.
Chicago :
Le groupe de civils de la sénatrice Braun avait du attendre qu'une patrouille ennemie passe afin de se diriger vers la plaque d'égout la plus proche. Bien qu'un policier et certaines personnes purent y entrer, les autres avaient du refermer la trappe. Des ennemis les ayant tantôt repérés. Ils avaient à peine pu dire aux personnes de prévenir les secours que la sénatrice de l'illinois était en vie, pour le moment.
A présent tous prisonniers, ils étaient cantonnés avec des milliers d'autres dans le centre ville.
Nombreux furent ceux à lever les yeux vers le firmament.
Plus haut dans le ciel ils voyaient un vaisseau tirer vers une zone de la ville. Puis trois explosions retentirent. Et ils observaient d'autres vaisseaux en faire de même dans d'autres direction.
Effectivement plus loin, presque une centaine de jaffas étaient bloqués par un barrage de police.
Deux fois moins de forces de l'ordre leurs faisaient face. Accompagnés de deux dizaines de SWAT.
Trois voitures de polices étaient détruites sur la dizaine formant le barrage, derrière quelque fourgons blindés parsemaient la rue.
Il y avait de nombreuses victimes de part et d'autres. les pertes se comptant proche de la trentaine.
Le feu était nourri, les balles des forces de l'ordre perçaient la cuirasse des garde serpents. Tandis que les tirs de lances énergétiques causaient d'effroyables blessures dans la chaire humaine.
Plus loin les civils fuyaient, certains à pieds et d'autres plus loin se battaient pour entrer dans les véhicules venus transporté d'autres SWATS, ces derniers amenaient les non combattants vers les faubourg. Où l'état avais mis une ligne de train et des navettes de bus vers l'ouest à leur disposition.
Ce que personne ne voyait c'était les deux silhouettes se déplacer le long des murs de l'autre rue. Ils avaient repéré un groupe d'ambulance et véhicules de secours en tout genre, là aussi des bien portant faisaient la queue pour fuir au milieu des blessés.
C'était l'homme accompagné de son compatriote gangster. Ils s'apprêtaient à fuir lorsque une bouche d'égout se souleva près d'eux.
Un policier en sortit, accompagné d'une vingtaine de personnes.
-Tiens donc ! Les rats remontent on dirai. S'amusa le membre des Real brothers, le plus puissant gang local.
-Kennet Baxter. J'ai un dossier sur vous...mais je ne pense pas que ce soit le moment.
L'accompagnateur du jeune homme sembla gêné de la situation et prit la parole.
-Excusez mon...voisin ! nous allons quitter la ville...Une violente explosion couvrit alors le bruit des coup de feu dans la rue de l'autre côté.
Tout le monde se baissa par réflexe, scrutant les hauteurs.
Puis le calme revenu chacun reprit son rôle.
-Et vous êtes ? Lui fit le policier en rangeant l'arme qu'il avait dégainé.
-Docteur Jay Felger. Docteur plusieurs fois je dirai...bien que j'ai toujours eu un faible pour l'armée, d'ailleurs l'air force...
L'agent de police, commençant fort à être lassé du discours ininterrompu du scientifique, se retourna vers les autres personnes présentes.
-Bon on y va ? Je dois prévenir les autorités compétentes que la sénatrice est retenue prisonnière au centre ville.
-La sénatrice ? Fit alors le physicien avec une surprise un peu exagéré.
-Heu oui, la sénatrice...Confirma son ancien interlocuteur.
Felger s'approcha alors de lui en mimant des gestes de panique.
-On ne peut pas la laisser, ils risquent de le torturer pour tout savoir de nous...
-Nous allons prévenir...
Le gardien de la paix tenta bien de lui faire entendre raison mais il fut surpris par la réaction de l'inconnu.
Sans attendre, Felger arracha le glock de la main de son camarade Kennet. Ce dernier le pointa aussitôt avec le UZI.
-Non ! Mais tu débloque mec ? Rend moi ce pistolet tout de suite...le menaça alors son acolyte
-Messieurs ! Tenta l'agent de police.
Felger le pointa du doigt, semblant déterminé et osa même donner des directives.
-Vous partez prévenir les autorités et moi je vais tenter de libérer madame Braun.
-Jouez pas au héros, on doit...
-Venez m'arrêter !! Ajouta le docteur avant de courir vers la direction opposée.
Son camarade lui aussi médusé mit du temps à réagir mais le naturel revint vite.
-FELGER MON FLINGUE !
Le policier tapa sur l'épaule du gangster et lui dit de laisser cet homme à la santé mentale douteuse s'en aller.
-Quel con ! Il va se faire trucider.
-Laisse le allez...
-Evacuez ces gens...
-Joue pas au bon samaritain Baxter, t'es un dur toi...
-Il m'a pris mon flingue ce con...lui répliqua Baxter en souriant.
-Baxter !! Prend ça ! Fit l'homme de loi en tendant son propre pistolet.
Puis chacun partit en courant vers son objectif.
Rio de janeiro :
Tv globo :
Olivia Texeira en direct de Rio. L'attaque sur Sao paulo a cessé depuis que l'attention ennemie s'est reporté sur l'europe. Mais suite à la victoire des migs Russes contre une flottille de bombardier et de chasseurs, au dessus de l'Ukraine. C'est maintenant Moscou qui subit une colère sans nom. Le gouvernement ayant fui dans un lieu tenu secret, a quand même dévoilé la convocation d'une réunion de crise. La rumeur parle de métro 2 et laisse croire que les services secrets y ont une place importante. Les états-unis sont la seule grande puissance où les forces ennemies ont fait de nettes avancées sur des terres intactes. Malgré le mécontentement populaire et l'élan patriotique, ceux qui semblent diriger le pays hésitent encore. Les autres pays du monde vivent d'ailleurs dans l'effroi, refusant pour certains tout contact avec les nations touchés. Seul Abidjan n'a rien subi comme représailles, suivant la victoire franco espagnole en Afrique.
Autre sujet, le nouveau siège de l'ONU devrait être situé sur un des sites suivants...
Le policier regardait la télé tandis que son camarade observait l'agitation au loin.
La piste était chaude et une odeur de Kérosène flottait dans l'air. Le transporteur arborant les couleurs de la fédération de Russie était prêt à décollé. Au sol une dizaine de véhicules militaires brésiliens assuraient la sécurité de la piste.
Un homme approchant la quarantaine avançait vers l'avion militaire venu le rapatrier. Il était en costume cravate, comme le voulait l'usage. Mais ce n'était pas des gardes du corps gouvernementaux qui l'accompagnaient. Il avait à ses cotés une jeune militaire et trois autres soldats.
-Je vous ai dit capitaine. Ne vous inquiétez pas du retard. Le risque d'interception de nos appareils était trop grand. Commença le politique.
-Bien monsieur le ministre. J'espère que votre entretien avec les américains et les brésiliens se sont bien déroulées ! Car, excusez moi de le dire, c'est autre chose qui vous attend au pays. Lui répondit la jeune femme.
En arborait un air très sérieux mais dont pourtant on su distinguer une pointe d'humour.
L'homme sourit alors à la situation, puis observant la militaire, qui malgré sa grande taille lui arrivait à peine à hauteur du visage.
-Je vous adore capitaine Varonkova. Haha Votre cran n'est plus à prouver. Je verrai bien en arrivant si c'est pire qu'un américain qui radote.
Cette dernier mimant l'incompréhension lui répondit avec un air faussement surpris.
-Merci monsieur le ministre...mais permettez moi. Vous faites de l'humour ? Car la situation...
-Oui capitaine, il faut garder la tête haute.
Le politique entra alors dans l'appareil pendant qu'un équipier attrapa le bras de la jeune russe. Ce dernier était vraiment très grand en comparaison de la conventionnelle demoiselle brune était un géant blond. Il ne l'impressionnait pourtant pas et le savait. D'où un certain respect dans sa question.
-Oui Alexei ?
-Désolé mon capitaine. Mais...êtes vous sûre que le vol est sécurisé ?
-Et bien, je ne sais pas mais nous sommes loin des zones de conflits majeurs ici. Et nous survoleront l'espace aérien Chinois avec leur protection. Cependant ici aucun soutien n'est à attendre.
-Je parlais de l'épée de Damoclès au dessus de nos têtes.
-Et bien, prions pour que la mission du général Kiselev soit une réussite. Fit elle avec un peu d'ironie. Comme voulant dire qu'on ne pouvait rien y changer.
Un haut gradé se présenta alors à la porte de l'avion, il n'y resta que quelques secondes mais sa voix fut suffisante.
-Capitaine Varonkova !
-Désolé général Kiselev, nous arrivons.
Elle embarqua alors à son tour. Et lorsque toute la troupe y fut, l'appareil décolla.
Et se dirigea vers le ciel brésilien direction le nord ouest.
Paris :
CNN :
-Ici james gardner, vous pouvez voir derrière moi alignés contre le mur une trentaine d'hommes. Une formation hétéroclite de réservistes, de gendarmes et de policiers. L'armement est précaire. Hormis quelques FAMAS ramenés par des militaires seul des armes de poing circulent. Il n'y a ni de quoi nous défendre efficacement ni de quoi libérer les prisonniers sous la tour Eiffel.
On envisage déjà le moyen de fuir la ville mais chacun ne se fait pas d'illusions. Et puis pour aller où ? Fautes de moyens de communication nous utilisons les médias, mêmes médias qui nous montrent que toute tentative de résister dans le monde cause aussitôt une punition encore plus violente...
De son côté Méliens oscultait la moindre parcelle de sa zone, en réalité il y avait une centaine d'homme près à combattre mais c'était l'armement qui manquait. Cependant tandis que certains passaient à la télé, les autres regardaient la moindre entrée du métro et le meilleur moyen de se protéger s'ils venaient à être attaqués.
La fuite lui aussi n'y croyait pas trop.
Il s'assied quelques minutes dans les escaliers. Sa barbe avait repoussée, certes une barbe de quelques jours mais elle était bien là.
Notre jeune français avait un nez qui tirait vers l'avant, le peu qui avait repoussé de sa chevelure blonde était parsemée de gouttelettes de sueur. Il toussota quelque secondes et observa son uniforme. Vidot en avait vu de belle avec lui. Surtout lors de la guerre du golf il y a quelques années. Un vrai massacre pour les Irakiens se dit il cependant ils l'avaient cherché en envahissant le Koweit. Puis ses pensées vagabondèrent et il se demanda si la terre l'avait bien cherchée elle aussi ? Qu'avait elle bien pu faire pour mériter un tel massacre. Il avait entendu dire presque 70 millions de personnes en quelques jours selon les estimations.
Au moins à Lyon on leur a réglé leur compte à ces bâtards. Mais cette guerre le faisait s'enrager encore plus. Il voulait lui aussi donner des coups.
-Vous savez jeune homme, j'admire votre courage. Fit une voix dans le brouillard qu'il avait laissé s'installer.
Notre lieutenant n'avait pas vu, ni entendu arriver ce vieil homme qui lui faisait face.
-Monsieur je...vous ne devriez pas rester là.
-Allons petit, j'ai déjà connu ça.
Intéressé le novice écouta le vétéran qui reprit l'histoire une fois assis près de lui.
-Vous voyez ça, lui dit le vieil homme en tendant un béret, c'est ce que j'ai porté pendant la seconde guerre mondiale.
-Vous faisiez parti du commando Kieffer ? Monsieur c'est un honneur.
-Ecoute gamin, tu as déjà connu le feu.
-Guerre du golf monsieur. Répondit Méliens presque au garde à vous.
-Comment a tu senti cette guerre ?
-Comme une mission à accomplir monsieur !
L'interlocuteur repris son histoire. Il était plutôt pensif.
- Avant le débarquement tu sais ce qui m'a animé pour m'engager ? Mon pays était occupé, je ne pouvais m'y résoudre, je voulais me battre comme plein d'autres. Et si quelqu'un m'en donnait l'occasion je la saisissait. Et j'eu droit au débarquement. Au delà de nos peurs, il y avait cette détermination. Cette envie de se battre nous à menés au côté de nos alliés à gagner la guerre. Je te ferai la version longue quand on aura fini celle ci.
-Vous êtes optimiste monsieur.
-Allons, dis moi, cette guerre ci...pour toi est-ce juste une mission...
Méliens réfléchit quelques instants, il semblait gêné et d'ailleurs ont voyait bien une certaine tension en lui. Il rougissait d'être si impatient d'en découdre devant le modèle qu'était pour lui cet ancien combattant mais il laissa là cet impression d'égoisme. il sentait qu'il pouvait se livrer. Chose difficile pour lui.
-Il n'y a pas réellement de guerre pour moi actuellement, nous nous cachons.
-Tu aurais aimé être à Lyon ?
Le jeune laissa apparaître une éclaircie sur son visage, puis une détermination qui rassura l'ainé.
-Oh oui monsieur, je veux pouvoir me battre moi aussi. Mais vraiment me battre, pas faire des plans de fuite ici.
-Donc ce n'est pas juste une mission alors que de sauver ces gens ?
-Non je veux...c'est égoiste...mais je veux aller combattre, jeter ces extra-terrestres hors de notre maison.
L'autre sourit alors en offrant son béret. Il l'avait ammené là où il voulait.
-Dans ce cas tu mérite ceci, car c'est avec des gens comme toi que nous pourrons gagner cette guerre.
-Espérons qu'au moins nous ayons un De Gaulle, un Churchill et un Roosevelt alors ! Mais je me passerai bien de Staline.
Les deux personnages rirent alors aux éclats sans se contrôler, attirant l'attention de quelques personnes.
Houston :
Les quelques troupes laissées pour ralentir l'ennemi, attendaient avec appréhension. Ils le savaient, on les avait laissés là en pâture pour donner l'illusion d'une défaite, tandis que la population et les autres forces de la zone se repliaient.
Sur la piste d'un aéroport les différents décideurs se ruaient vers un avion.
A l'intérieur se trouvaient déjà les trois fortes tête.
-Vous devez être contente Weir ? On leur laisse la ville. Et on leur offre des centaines de jeunes soldats.
-Ca suffit sénateur ! Vous avez bien vu ce qui s'est passé ailleurs. Répliqua celle ci.
-Et qui se passera toujours, alors résistons tant que nous en avons les moyens. Quand il verront notre détermination...
Vidrine les fit taire tous les deux.
-On vient de m'informer qu'une trentaine de vaisseaux semblables à ceux de Chicago sont en route vers la terre accompagnés de deux autres vaisseaux de grande envergure.
Hurley laissa apparaître une vision d'effroi, tout comme Elisabeth qui ne put même pas savourer ce moment.
Elisabeth se passa la main dans les cheveux, tirant sa chevelure d'un noir plutôt léger vers l'arrière.
C'était bien la peine qu'elle les avait lissés. Et son maquillage qu'elle avait essuyé a force de stress.
-Que va t'on faire alors? Demanda le sénateur avec la voix tremblante.
-Je ne sais pas mais ce dont je suis sûr c'est qu'a moins d'avoir une stratégie sur le long terme, nous devons trouver un moyen d'agir au plus vite ! Répondit le général tout en posant fermement les mains sur le dossier d'un siège.
Elisabeth les regarda alors à tour de rôle, elle se décida alors à parler.
-Sans oublier que nous ne savons pour ainsi dire rien d'eux !
-C'est là où le bas blesse en terme de stratégies et d'opérations militaires. Ajouta alors Vidrine.
L'avion se mit alors en marche pendant que depuis le hublot on distinguait de vagues formes au loin, dans le ciel.
On observait aussi quelques échanges de tirs.
New York :
Le groupe avançait au milieu d'une vaste concentration de véhicules détruits et de murs effondrés. Certains étaient éreintés, le visage noirci par la poussière.
Une jeune femme blonde complètement décoiffée et un homme en haillons discutaient.
-On approche ?
-Oui c'est là ! Répondit Elisha en indiquant ce qui restait du siège de l'ONU.
Dans la rues se trouvaient des épaves d'hélicoptères, quatre à leur vue et des dizaines de véhicules militaires. Un groupe de soldat survivant vint à leur rencontre. Ils étaient huit accompagnés de dizaines de civils.
-Encore des survivants. Commença alors le soldat à la tête des locaux.
-Nous avons quelque chose de spécial...vous êtes caporal à ce que je vois. Lui répondit une jeune demoiselle du groupe.
-Et vous êtes ?
Elle sourit alors et prit la parole sur son subordonné.
-Lieutenant Isabelle Kershaw, US air force. Avez vous des radios ou de quoi contacter...
-Oui mais n'avez vous pas eu la nouvelle ? Ils ne feront rien. Les secours vont se contenter des banlieues de la ville afin d'éviter le combat tandis que la police se fait massacrer.
-Je vais leur faire changer d'avis !
-Sauf vôtre respect mon lieutenant...
-Caporal ! Une radio ! Et dites à quelqu'un de discuter avec les fédéraux.
Un peu plus tard dans un immeuble effondré, Isabelle était à la radio. Elle semblait plutôt tendue mais gardait un air à la fois dur tout en souriant lorsqu'on la regardait.
-Oui c'est bien ça ! Je veux parler à ceux qui ont donné l'ordre de ne plus nous évacuer.
La voix qui lui répondait semblait peu enclin à la laisser ce privilège.
-Ecoutez, j'ai des informations concernant l'ennemi...
Renonçant à débattre son interlocuteur lui permis alors de prendre contact via une ligne sécurisée.
Et la discution qui s'en suivit fut celle ci :
-Général Vidrine, je vous écoute lieutenant, vous avez semble t'il des informations.
-Mon général, en effet. Je pense que si vous venez me chercher je pourrai vous être fort utile. Je pourrai vous donner des informations sur notre ennemi. Je pourrai vous aider à vaincre leurs hommes !
-Des hommes dîtes vous ? Je vois lieutenant.
-Vous...vous doutez ? Je vous assures que...
La jeune femme commença à montrer de l'affolement mais elle reprit rapidement du poil de la bête et afficha une posture droite. Se voulant dur et froide.
-Nous ne rencontrons réellement peu de problème au sol. Mais à moins que vous sachiez quelque chose sur leur vaisseaux je ne peux vous aider.
-Ce n'est pas possible mais...mon général je faisait partie des recrues pour un projet secret...
-Lieutenant ! Croyez moi, que vous soyez utile ou pas je suis actuellement dans l'incapacité de vous aider.
-Quoi c'est tout ?
-Vous parlez à un supérieur !
-Désolé monsieur, je vais les attendre venir me chercher monsieur.
-Je ne vous permet pas !
Isabelle quitta la ligne fortement déçue et alla hurler de rage près d'un mur avant de se défouler sur une porte à moitié détruite.
-Lieutenant, cette porte en a déjà subit. Commenta Straumer.
-Oui et alors ?
-Vous n'aviez pas l'intention de nous aider pas vrai ? Vous vouliez juste partir, d'ailleurs pensiez vous réellement à combattre ?
Straumer qui se grattait la paume de la main avec le mur la mit dans sa poche, il eut alors un autre tic, puisqu'il se frotta le nez avant de sourire.
-Taisez vous ! Vous ignorez de quoi vous parlez.
-Allons ! a part le fait vous prétextez un projet secret dans lequel vous auriez à peine fourré votre nez. Et vous vous targuez d'être importante ? Vous voulez juste sauver votre peau...
La jeune femme lui avait asséné un coup de poing en plein dans la mâchoire surprenant l'agent du FBI. Celui ci sourit à nouveau en crachant un petit filet de sang.
-C'est ça j'ai touché une corde sensible on dirai...dites vous qu'on est tous dans la merde. Et vous y êtes avec nous...Lieutenant !
Kershaw s'éloignait mais elle ne semblait plus folle de rage, plutôt pensive.
Straumer s'en aperçût et ne la lâcha pas.
Il retrouva cette dernière assise près d'un pneu en feu, elle fixait le sol et s'était mise à l'écart pour se calmer.
-Excusez moi...je...alors comme ça on les as déjà croisés ?
-Que voulez vous ? Laissez moi. Lui lança elle sans lui jeter un regard.
Straumer comprenant qu'il y avait quelque chose qui motivait son comportement exagérément égoiste. Il tenta de faire un mea-culpa, non pas uniquement par compassion mais aussi pour retirer le peu d'infos qu'il pouvait.
-Je m'excuse, je voulais juste vous faire comprendre que nous sommes là avec vous.Vous pourriez nous laisser ainsi, comment est-ce possible ? Allons parlons de votre projet secret.
Elle osa le regarder quelque instant son air distant et son sourire charismatique avaient laissé place à un visage fatigué.
-Je ne sais pas vraiment, vous avez raison je n'était qu'une simple novice. Mais j'ai cru comprendre que ces aliens auraient capturé des humains en Egypte ou un trucs du genre il y a des milliers d'années. Finit elle en essuyant des larmes qui commençaient à perler sur ses joues.
Elle les essuya aussitôt, Kershaw ne pouvait pas pleurer, son entrainement ne permettait pas...mais en de telles circonstances peut être avait elle le droit de craquer.
Straumer reprit alors.
-Vraiment ? C'est...je ne sais pas quoi dire...c'est tellement improbable, je ne sais même pas si je suis fasciné ou si je les déteste.
-N'exagérons rien, je les déteste moi. Mais je n'en sais pas plus, ce projet était dans une sorte de léthargie et moi je n'y était pas encore.
-Ah mais cela reste une histoire qui mérite attention non ? Bon je vais vous laisser.
Il sentait qu'il ne pouvait en retirer plus d'elle et se décida à laisser la dure militaire seule afin de craquer.
-Straumer ! Attendez.
-Oui ?
-Vous savez, j'ai été mise à pied pour insubordination car j'ai j'avais désobéis volontairement et sans raison à un supérieur que je déteste. Se confia elle la voix tremblante.
Ce dernier comprit qu'il voyait juste sur elle, faussement dure.
-Pourquoi ça ?
-J'étais selon lui loin de ce que devrait être un soldat. J'eu droit à l'humiliation, j'ai du me battre pour prouver que je pouvais servir mon pays.
Au dessus du pacifique :
Daria était assise près du ministre et face au général. Silencieuse et bien droite elle n'osait trop parler. Elle avait des cheveux d'un noir profond ainsi que des yeux d'un brun léger et d'ailleurs elle n'appréciait pas la manière dont le général les regardaient. Encore heureux qu'il ne la dévisage pas de la tête au pied, pour une militaire elle avait quand même de sacré formes. Elle était exaspérée mais respectait son supérieur.
Cependant elle fut tirée de sa réflexion par une agitation inhabituelle, d'ailleurs elle vit l'inquiétude se dessiner sur les yeux des soldats.
Mais lorsqu'ils eurent la nouvelle, pourtant loin d'être bonne, ils furent tous rassurés.
On leur annonça alors que la Chine et L'inde refusaient tout passage au dessus de leur territoire. Par crainte de subir une attaque. Leur seul couloir aérien résidait donc dans le fait de remonter le pacifique mais avec l'insistance de Moscou on leur obtint une autorisation pour atterrir à hawai.
Le général les mit alors au parfum.
De nombreux pays, bien que la situation soit impalpable et paniquante, commençaient clairement à afficher une politique adaptée à la situation.
Certains résistant jusqu'au bout, d'autres généralement les plus épargnés et lointains témoins, voulaient se démarquer de leurs congénères.
Peut être pensaient ils sérieusement être épargnés.
La réaction officielle Russe restait elle évasive pour le moment.
Le monde entier était désemparé et eux ils allaient en territoire américain. Les ennemis d'hiers et concurrents d'aujourd'hui. Comme si cela allait arranger les chose. Comme si la super puissance occidentale nourrissait et représentait encore l'espoir d'une victoire.
Daria se mit à sourire, elle fut amusée de la situation. Ils allaient sur une base de la nation la plus puissante qu'ai jamais porté l'humanité, alors que l'humanité ne s'est jamais trouvée aussi mal.
En orbite :
Le goa'uld était en admiration devant sa flotte de Al'kesh se dirigeant vers la terre quand il entendit la porte s'ouvrir. Il vit son Prima agenouillé face à lui. Klorel bien que sachant probablement la raison de sa venue s'informa auprès de lui.
-Que veux tu Brattac ?
-Votre venue a été annoncée aux hommes sur le site choisi. Souhaitez vous que j'inspecte le prochain ?
Le parasite se retourna en regardant la Terre, il était impatient mais peut être inconscient aussi. L'extra-terrestre réfléchit quelques instants avant de faire un mouvement de main. Toujours sans regarder son soldat.
-Non envoie un de tes hommes. J'ai besoin de toi ici pour diriger la flotte, j'irai demain ! Je n'avais pas prévu que les renforts arrivent aussi vite. Retire toi à présent !
-A vos ordre !
Le jaffa se retira et alla vers un couloir ou l'attendait deux hommes. Ils observèrent les alentours longtemps. Et chacun vit sur le visage du vieux Jaffa une perplexité qui ne rassurait pas. Mais il mit de côté ses doutes pour commencer à parler.
-Em'zel, Reyak. Ravis de vous revoir ! Em'zel j'ai besoin que tu ailles à cette endroit de la Tau'ri et que tu fasses tout ce que je t'indiquerai. Je devais le faire moi même mais Klorel me veut ici. Toi Reyak c'est moi qui a besoin de toi. Comme tu le sait Klorel va bientôt visiter la Tau'ri et les renforts sont arrivés.
Un géant en armure fixait Brattac avec attention, pourtant c'est avec humilité que Reyak s'adressa à lui. Tandis que Em'zel observait le couloir zat à la main.
-Et que voulez vous que je fasses maitre ?
-Que tu m'assiste ici. Em'zel, n'attend point ici et accomplis ta mission. Ajouta Brattac en tendant un communicateur à son élève.
-Bien.
Le jaffa se mit alors à courir vers les anneaux. Les deux autres se dirigèrent vers la direction opposée et se séparèrent quelques minutes après.
Paris :
CNN :
Nous venons d'apprendre que d'autres appareils ennemis sont arrivés et ici c'est la consternation.
Le moral est au plus bas et certains se demandent si se rendre est une mauvaise idée. Par ailleurs nous avons eu vent, grâce aux téléviseurs des vagues de révoltes et de panique de part le monde...ici aussi, à côté des défaitistes siègent ceux qui veulent en découdre. Et malgré l'annonce du retour de l'armée de l'air cela ne risque pas de changer.
Autre sujet abordé, de nombreux témoignages de soldats affirment que sous les cuirassent métalliques se cachent des êtres humains laissent pantois, nous même n'y croyons pas. Ce serait incompréhensible d'ailleurs personne n'a même osé faire de théories hasardeuses sur...
Méliens, jusque là sur la défensive étudiait maintenant des plans d'assaut vers la tour.
Il devait faire quelque chose, lorsque Gardner vint le filmer il commença à expliquer.
Puis il laissa ses plans pour aller s'asseoir. Il se demandait s'il pourrait rentrer dans sa petite bourgade en Alsace. D'ailleurs existait elle toujours ? Il savait juste que certaines villes et villages ont été épargnés.
Puis cette colère revint en lui, il voulait aller dehors se battre mais c'était stupide. Et puis qu'est-ce que c'était que cette histoires d'hommes dans les cuirasse ? Ils seraient humains ? Imposible.
Bah, il s'énerva encore plus et préféra entretenir pour la troisième fois son arme.
-Lieutenant !
Méliens regarda alors l'homme qui se tenait devant lui. Il reconnu un policier qui l'avait soutenu au moment où il était arrivé. Il ré-assembla son FAMAS tout en parlant à son compatriote.
-Commissaire.
-Certains parmi nous sont d'accords sur le fait qu'il faut un leader. Mais votre silence commence à faire douter...
L'alsacien leva la tête vers lui. Il continuait toujours son activité sans regarder.
-A douter dîtes vous?
-Et bien, certains ici ont des idées et veulent se faire entendre.
-Allez en au but !
Le policier s'assied alors à ses côté. Il semblait plutôt gêné, ce dernier n'avais jamais demandé à être l'émissaire de qui que ce soit. Et au font de lui il savait que l'un ou l'autre des plans étaient soumis à des risques inouïs.
Méliens le voyait bien, lui aussi. Il se gratta la barbe en déposant son arme intacte à côté.
Puis attendit la réponse de l'agent.
-Certains sont partisans d'une attaque sur les forces ennemies. Ils pensent qu'on ne peux pas rester là...
-Ils veulent se battre, ils pensent qu'on a perdu et qu'on doit frapper coûte que coûte ! Je les comprends...
-Mais... L'interrompit l'autre inquiet.
Vidot leva la main et reprit.
-Mais, ceci reste une solution à éviter. Nous serions bêtes de nous mettre hors course si futilement.
-Exact, c'est pourquoi certains pensent vraiment à quitter la zone. On a encore l'électricité. Les lignes fonctionnent...
-Je comprends, pour les civils surtout...mais nous devons nous informer sur la situation ailleurs !
Il se passa la main dans les cheveux, la tension était à son comble. Il devais endosser un rôle qu'il avait pris malgré lui.
Son complexe le reprenait, il se sentit alors égoiste de vouloir encore se battre alors qu'il avait des gens sous sa responsabilité.
Peut être n'était il pas l'homme de la situation.
Chicago :
Felger avançait de manière désordonnée, pas du tout sûr de lui et prenant des poses exagérées pour se cacher, de manière souvent inutiles.
Il fut alors prit par surprise et tiré vers un immeuble mais il fut rassuré de voir Baxter, lui faisant signe de se taire.
Une patrouille ennemie passa près d'eux mais ce coin avait déjà été fouillé semble t'il.
Le ganster chuchota alors.
-Mais qu'est-ce qui vous a pris ?
-Ben, je voulais voir leur vaisseaux de près et aussi sauver la sénatrice. Assura naïvement le scientifique.
-Mais pourquoi ?
-Car je veux trouver leur point faible et ... et puis j'aime ce qu'elle fait.
Fit alors Felger en tentant de se justifier. L'autre se frappa le front et fit comprendre qu'il trouvait cette idée, complétement idiote.
-Crétin !
-Quoi ? Vous savez un grand président a dit un jours : ne te demande pas ce que ton pays peux faire pour toi mais ce que tu peux faire pour ton pays. Fit alors le scientifique avec un air élogieux. L'autre resta d'abord muet devant le cinéma de son camarade mais rapidement les évidences ressortaient de sa bouche.
-Le flic a raison t'es taré. Bon on se casse de là.
-Ah bon ? Et pourquoi dont? j'étais sur la bonne direction !
-Car la mère d'un grand rappeur a dit un jours : rappelle toi de rester en vie, il n'y a rien de plus important.
-Et la mission ?
-On prendra un autre chemin. Allez suis moi.
Les deux hommes se dirigèrent alors dans la rue opposée, ils la traversèrent et arrivèrent près d'un immeuble encore debout. Jay semblait plutôt pensif. Ou plutôt interrogateur.
-Ce rappeur c'est qui ?
-Tupac.
-Connais pas !
-Passons, tu sais utiliser ça ? Demanda Kennet en montrant le pistolet.
-heu je suppose qu'il suffit de viser et tirer.
-La sécurité ! Débloque là si tu veux pouvoir tirer.
-Ah oui, bien sur.
Ils se turent lorsqu'ils aperçurent au loin un regroupement, une dizaine de gardes surveillaient les prisonniers.
Tout à coup des anneaux apparurent et laissèrent derrière elles un homme. Il avait la même armure que les autres, la même lance hormis qu'il n'avait pas de casque.
-Vous voyez ça c'est un mec, sous leur truc là ce sont des gens ? C'est...Commença Baxter au comble de la surprise.
-Impossible...Compléta l'autre.
-On dirai le chef, regardez comme tous lui obéissent.
-Et mais là qu'est-ce qu'il fait, c'est pas la sénatrice ça ? Mais il l'emmène où ? Remarqua l'américain en voyant que l'extra-terrestre l'entrainait vers un bâtiment isolé.
-Et ben Felger c'est le moment ou jamais de nous montrer si ta des couilles.
Jay le fixa alors longuement avant de décider quoi répondre.
-Heu on y va en douceur ou ?
-En douceur tu veux rire ? Allez on avance.
Ils sortirent de leur cachette furtivement. Cachés derrière un véhicule détruit, Baxter visa la cible la plus proche. Mais il ne tira pas encore et fit quelques signes discrets.
-Quand je te dit cours, tu va vers la prochaine voiture et tu tire sur tous les aliens les plus proche...enfin tout ceux qui portent une armure.
-Euh, pourquoi moi ? Commença le docteur avant que son ami ne lui donne un fameux ordre.
-COURS !
Sans avoir le choix Felger se rua vers l'autre voiture, il attira alors l'attention ennemie. Ils se mirent à se diriger vers lui en ajustant leur lance.
Mais ils furent surpris de voir l'autre humain se lever et leur tirer dessus, trois s'écroulèrent dans les premières minutes. Avant que les tirs dans sa direction ne contraignent le jeune homme à se baisser.
Felger, hésitant finit par se lever et pointa son arme sur le guerrier le plus proche puis tira, enfin tenta de tirer. Puis se cacha de nouveau proférant divers jurons.
-LA SECURITE IMBECILE ! Lui hurla alors son collègue.
Il retenta sa chance et eut un ennemi, après avoir utilisé un chargeur. Notre homme commença alors à paniquer.
-Heu je fais quoi maintenant ?
-Ben tu recharges ! Lui répondit, non sans agacement le membre de gang.
-Je ne peux pas faire ça !
-C'est pas compliqué...
-Non je n'ai aucun autre chargeur.
Un petit moment de latence inquiéta alors le scientifique. Il entendait les tirs de lances ne cessant pas. Et ces sommations dans une langue inconnue l'agaçaient. Mais rapidement il fut, presque rassuré.
-Ah oui ils sont avec moi ! S'amusa alors Baxter.
-C'était censé être une blague ?
Kennet se leva à nouveau et tira sur une cible, avant d'envoyer deux chargeurs à son allié.
Ceux ci glissèrent alors vers l'autre homme, qui semblait se demander ce qui lui était passé par la tête.
-C'est tous ce que j'ai !
-Ca ira je pense.
Felger rechargeait tandis que l'autre échangeait des coup de feu avec l'ennemi.
Il eut à peine le temps de voir la lance ennemie l'approcher qu'il entendit un tir énergétique, puis il y eut un long râle.
Le garde serpent s'écroula devant lui. Tout comme les autres sous les coups combinés des balles et du plasma.
Il se leva et observa avec stupeur le chef ennemi accompagné du sénateur pointant sa lance vers celui qui allait devenir son pote.
Il fit de même en braquant sur l'homme son pistolet. C'est alors que la représentante politique intervint expliquant qu'il était de notre côté. Et qu'il se constituait prisonnier si on le souhaitais mais qu'en attendant il les aiderai à s'échapper, son but étant de rencontrer les puissants de ce monde.
-Ah le chef est un traître. Fit alors Kennet en essayant de baisser lentement son arme.
-Ou même un espion. Expliquant qu'il soit humain...enfin mais c'est étrange quand même. Ajouta son voisin.
-Silence humain ! Ordonna alors le jaffa.
-T'a vu ta tête avant de me traiter d'humain ?
En effet, les protagonistes avaient remarqué sans problèmes l'apparence humanoïde de leur adversaire. Et force est de constater qu'ils étaient bien plus surpris que s'il avaient eut affaire à autre chose.
-Vous nous faites perdre du temps en bavardages inutiles, votre intervention nous a fait repéré et maintenant je ne peux plus faire s'échapper cette femme sans éveiller les soupcons. Reprocha alors le guerrier ennemi en montrant la sénatrice du doigt.
-Si, bien sûr que si...Commença Felger lorsqu'on entendit plusieurs bruits de bottes au loin et des hurlement dans une langue inconnue ... Bon là on est mal ! Repris ce dernier.
Le troisième protagoniste intervint alors. Il les poussa légèrement avant de s'éloigner en parlant. Baxter semblait avoir réfléchi. Mais personne ne comprenait ce qui le motivait.
-Je vais les retenir mais il faut que vous partiez ! Fit il sans les regarder.
-Quoi mais vous êtes malade ? Vous ne pourrez pas...Lui intima alors son compagnon de route. Mais l'autre persista.
-Personne n'aura le temps de partir, il faut les tromper, qu'ils croient que je suis venu libérer ces gens.
Une vague de protestation dans la foule s'en suivit avant qu'il ne tire en l'air.
Puis il s'adressa à eux plutôt énervé.
-Vous ne comprenez pas qu'ils vont tenter de monter un plan pour sauver vos fesses ? Hurla il avec autorité, puis se retournant vers les autres : Et vous ? Que faites vous encore là, du vent.
Felger trainé par la sénatrice finit par entrer dans le tunnel, en jetant un regard sur l'autre homme. De son côté l'extraterrestre impressionné par cet acte s'arrêta temporairement.
-Quel est votre nom Tau'ri ? Hurla le Jaffa.
-Kennet Baxter. Répliqua l'autre sans plus d'intérêt.
-Je ne l'oublierai pas ! Votre nom restera parmi celui des grand guerriers à mes yeux. Répondit le jaffa en partant.
Lorsqu'ils refermèrent la plaque d'égout ils entendirent de nombreux coup de feu et même des tirs de lance tout proche, sans doutes des citoyens modèles.
Ils continuèrent leur route avec dégoût.
A suivre
Un mensonge trop réel :
La communauté mondiale découvre avec stupeur que leurs ennemis sont humanoïdes. Ils en ont la preuve avec un prisonnier récemment capturé ! Mais il semble que celui ci a bien plus à leur offrir que la nature de son peuple.