Etant une grande timide je n'osai pas posté mais bon il faut se jeter à l'eau un jour où l'autre.... Petit remerciements à ma petite soeur de 8 ans à qui je dédie cette fic, ma puce une histoire que nous connaissons toutes les deux pour te dire que mêm dans le noir je verrai les gens et continuerai à te trouver beklle, non avec mes yeux mais mon coeur.
Salle de contrôle
Soldat : activation non programmé de la porte des étoiles !
E : vous avez un code ?
S : Oui, c’est celui du colonel Shepard !
E : (exaspérée) Dans quel pétrin s’est-il encore mit celui là !
Elizabeth dévalait l’escalier, se préparant au pire, il est vrai que ses rapports avec Shepard n’étaient pas au beau fixe et dès qu’ils avaient le moindre prétexte une dispute éclatait. La colère bouillait déjà dans les veines de la jeune femme. John venait de passer la porte il reculait dos à l’escalier continuant à tirer, Teyla et Ronon apparurent à ses cotés , Rodney traversait la porte quand un violent tir d’une luminosité extraordinaire traversa la porte il vain frapper Elizabeth en plein visage, ses yeux s’étaient agrandi de terreur en voyant la boule blanche fondre sur elle. Les quelques secondes avant l’impact lui parurent être une éternité, elle vit McKay rouler sur le sol et hurler son nom le vortex se refermer…
Rodney croyait en avoir fini avec ses frayeurs pour la journée mais non, il hurla le nom de sa supérieur alors que la boule de lumière la touchait, il la vit s ‘effondrer et dévaler l’escalier et rouler pour atterrir au pied de la première marche.
J : ( qui n ‘avait pas encore vu Elizabeth) Bon, c’est fini McKay ça sert plus à rien de hurler ! Où se trouve le Docteur Weir, d’habitude elle adore venir me passer un savon quand on rentre d’un mission foireuse.
T : Colonel, elle est là…
Teyla indiquait du doigt le bas de l’escalier, Rodney s’était déjà précipité et avait appelé une équipe médicale.
Infirmerie quelques heures plus tard
Elizabeth n’avait aucun traumatismes, et visiblement tout allait pour le mieux, la boule d’énergie avait provoquée une méchante rougeur au visage de la jeune femme mais c’était tout. Carson avait enduit le visage de la jeune femme de crème nourrissante, à présent elle dormait. John qui ne savait plus trop comment réagir, ne sachant s’il devait être soulagé de ne pas à avoir à rendre des comptes immédiatement à sa supérieure ou s’il devait s’inquiéter ne serait-ce qu’un peu pour elle. Pour trancher il avait pris en otage un ordinateur portable de l’infirmerie et tapait son rapport tout en restant aux chevet de la jeune femme. Lorsqu’elle se réveilla, il avait terminé son rapport et jouait aux échecs avec Carson qui n’avait rien d’autre à faire.
C : Elizabeth ? comment vous sentez vous ?
E : (affolée) Carson ? je …je …je …
C : Elizabeth calmez vous ! Vous êtes à l’infirmerie, tout va bien, regardez moi !
E : (de plus en plus paniquée) Carson je ne voit rien !
Carson attrapa sa lampe stylo qui se trouvait dans la poche de sa blouse, l’alluma, et la plaça au dessus des iris d’Elizabeth, visiblement inquiet.
C : Elizabeth, est ce que vous voyez une lumière ?
E : (hurlant) Je vous est dit que je ne voyait rien !
C : Elizabeth calmez vous ! je vais vous faire passé quelques examens, d’accord ? Maintenant, je vais vous mettre un peu de liquide dans l’œil pour l’insensibiliser ça va vous picotez un peu… Colonel vous voulez me passer, un mouchoir ?
E : John ?
J : Oui docteur Weir, en personne !
E : il va falloir qu’on s’explique tout les deux, c’était quoi cette fois–ci ? Des Wraith ? Des paysans armées ?!
J : (levant le ton) c’était nos amis les Genii, vous savez les fous furieux qui vous ont pris en otage ! Sinon, oui merci docteur je vais bien !
E : Si vous croyez que je m’inquiète de votre petite personne ! Vous êtes militaire c’est votre job…
C : Bon c’est fini vous deux, colonel, vous aurez tout le loisir de discuter avec le docteur Weir dès qu’elle sera sur pied, sortez d’ici ! Elizabeth vous vous calmez un peu sinon, je ne serait pas en mesure de dire pourquoi vous ne voyez plus rien !
En voyant la jeune femme faire sa mimique qui en disait long sur ce qu’elle pensait il ne pu s’empêcher de sourire, décidément ces deux là commençait à ressembler à McKay et Shepard lorsqu’ils se disputaient !
Quelques heurs plus tard
C : ce n’est que temporaire Elizabeth !
E : combien de temps ?
C : trois mois tout au plus !
E : trois mois ! Vous ne pouvez rien faire pour arranger ça !
C : je vais vous donner un traitement avec des gouttes mais je ne pourrai rien faire de plus, il va falloir que vous soyez patiente ! je vous laisse vous avez de la visite !
John se tenait dans l’encadrement de la porte, et regardait sa supérieure avec une lueur étrange dans les yeux, même si leurs relations étaient plutôt tendus il se demandait comment la citée allait fonctionner sans Elizabeth, car malgré leurs désaccords elle était la leader de l’expédition. Carson eu un sourire réconfortant avant de partir, à présent il se demandait pourquoi il était venu, il se sentait comme un enfant, prenant son courage à deux mains il se décida à entrer dans la pièce, au bruit des pas sur le sol la jeune femme tourna la tête les yeux dans le vide.
J : Elizabeth, je suis venue m’excuser pour tout à l’heure…
E : En fait ce serait plutôt à moi de m’excuser, je n’avais aucunes raisons d’être agressive…
J : (la coupant) si vous en aviez une, vous vous êtes réveiller à l’infirmerie et vous ne voyez rien, vous aviez toutes les raisons du monde d’être agressive. Carson m’a dit ce que vous aviez, un décollement de la cornée c’est ça ?
E : Oui, je ne vais rien voir pendant trois long mois, étant petite j’avais une peur maladive du noir, là c’est encore pire…
J : Je suis vraiment désolée…
E : Désolée de quoi ? vous n’y êtes pour rien ! Je peux vous demander un service ?
J : Oui.
E : vous voulez bien me donner un verre d’eau ?
J : bien entendu… tenez.
L’opération était laborieuse, il prit les mains de la jeune femme, il la voyait comme une enfant complètement perdue, sa peau était douce et ses mains fines, ce contact le fit frissonner des pied à la tête, cette main, si peu sure d’elle dans la sienne ferme et attentionnée, à cet instant il compris à quel point la jeune femme devait se sentir seule, dans ce voile noir qui l’entourait. Il se sentait coupable de sa propre bêtise, de toutes ces disputes qu’il avait provoqués rien que pour le plaisir de la voir hurler, quelle gamin il faisait !
J : (choisissant ses mots avec soins) Elizabeth… je voulais aussi m’excuser pour toutes les altercations que nous avons eu, c’était stupide de ma part.
E : pourquoi vous me dites ça ? parce que je suis temporairement aveugle et que vous avez pitié de moi, ou simplement parce que vous le pensez ?
J : je le pense, peut-être que votre maladie y est pour quelque chose mais je m’en veut, vraiment, ce serait bien si nous enterrions la hache de guerre, non ?
E : pourquoi ne pas essayer mais nous avons chacun nos torts, essayons de l’enterrer cette « hache de guerre » comme vous le dites.
Quelques jours plus tard
E : (hurlant) John, je vous avait dit d’être prudent, de ne pas vous faire remarquer, mais non vous préférer désobéir et arriver à l’improviste ! Grâce à votre sublimissie intelligence, McKay est à l’infirmerie ! et dans le coma de surcroît !
J : (hurlant aussi) Et parce que les Genii surveillent HYPOTETIQUEMENT cette planète, nous aurions dût faire attention aux Wraiths qui avaient envie d’un goûter ! Non mais, je ne suis pas médium ! Vous êtes au courant !
E : ( hurlant) Peut être que vous n’êtes médium mais vous n’êtes pas non plus l’Indiana Jones de Pégase ! Oh et puis je ne sais même pas pourquoi je vous parle !
Sur ce elle sortie de la salle de briefing seule, c’était un soldat qui avait eu la gentillesse de l’y accompagner, ses mains parcouraient le mur, elle avançait dans la nuit, dans des lieux qu’elle croyait connaître. La trêve entre elle et John n’avait durée que le temps d’une mission, qui s’était révélé être un vrai fiasco, l’équipe du colonel avait été surpris par un groupe de Wraith, Dieu merci il n’y avait qu’un blessé : Rodney, Un Wraith l’avait envoyer voler alors qu’il tentait de se défendre, rien de grave en soit.
John était sorti de la salle de briefing derrière Elizabeth, la voir tâtonner le mur l’amusait un peu, après tout elle avait été plus qu’odieuse, il perdit son sourire et toute ses pensées moqueuses lorsqu’il vit que la jeune femme s’approchait de la volée de marche qui reliait la salle de contrôle aux salles de briefing. Il hurla son nom alors qu’elle trébuchait et tombait par terre.
J : (l’aidant à se relever) ça va ?
E : plus de peur que de mal, je ne devrai pas jouer au cow-boys comme ça ! On a l’impression de connaître la citée, en fait je la découvre maintenant…
J : je ne vois pas ce que vous voulez dire ?
E: (avec un demi sourire) imaginer que vous pilotiez un Jumper alors que vous avez les yeux bandés !
J : Mouais…. Vous voulez que je vous emmène à votre bureau ?
E : Non, je préfère aller dans mes quartiers si ça ne vous gêne pas…
J : Non, prenez mon bras.
Il lui prit la main gauche et la posa sur son coude droit, de manière à ce q’elle sente touts les mouvements qu’il allait faire, Carson le lui avait expliqué.
Tout le temps du trajet qui menait aux quartiers d’Elizabeth, aucuns d’eux ne prononça le moindre mot, Elizabeth était mal à l’aise, et la récente dispute ne faisait rien pour arranger les choses, malgré ce malaise elle se sentait en sécurité, John lui donnait l’impression d’être immunisé contre touts les pièges que la citée lui tendait. John quand à lui se demandait ce qu’il lui avait pris de lui proposer son aide, elle l’avait littéralement incendier et lui crétin comme il l’était il acceptait de jouer aux chaperons ! Il n’empêche qu’il aimait bien le contact de la main de la jeune femme au creux de son coude, et sa proximité lui rappelait à quel point elle sentait bon…
J : (s’arrêtant) Voilà nous y sommes, deus secondes je passe votre carte magnétique dans le lecteur….
Il attrapa la carte que la jeune femme avait sortie dans la poche de son pantalon, détacha presque à contre-cœur la main d’Elizabeth posée sur son coude et ouvrit la porte.
J : Voilà ! je peu faire quelque chose pour vous ?
E : Vous avez un peu de temps, ce serait bien si nous pouvions discuter un moment, sauf si préférez un lieu plus neutre, mais c’est vrai que mes quartiers c’est le seul endroit, où je sais me déplacer sans trébucher touts les trois pas…
J : non il n’y a aucun problème, sauf si vous n’avez pas de quoi étancher ma soif !
E : Je pense avoir ce qu’il faut dans le petit frigo à coté de la baie, il doit y avoir des sodas… Vous pouvez vérifier pour moi, j’aimerai le faire moi même, mais je ne saurai pas vous dire ce qu’il y a exactement, je suis désolée.
J : Ce n’est rien….(regardant dans le frigo) Mmmm….. alors, vous avez des yaourts à boire, des tonnes de canettes de Ice Tea, quelques bouteilles de bières, et du jus de raisins athosiens.
E : Je vais prendre un Ice Tea, (sentant le froid de la canette dans sa main) merci c’est gentil.
Presque naturellement elle porta la canette à ses lèvres et juste parce qu’elle voulait se rassurer elle inspira pour sentir l’odeur de la pêche.
J : Il y a un problème ?
E : Non c’est juste que…c’est idiot mais j’avais peur que vous vous soyez trompé ! Je m’excuse, mais on a tendance à tout suspecter quand on ne voit rien…
J : Arrêtez de vous excusez, vous n’y êtes pour rien, c’est de ma faute si vous êtes dans cet état ! j’aurai du être plus prudent !
E : En fait c’est moi qui suis trop dure avec vous, je vous donne des directives trop rigides, je crois que c’est une bonne chose ce qui m’arrive.
J : Vous plaisantez j’espère ! Vous êtes exemplaire, et pour être franc j’admire ce que vous avez fait jusqu’à présent, vous vous rendez compte de ça ? Toutes les choses que nous avons découverts parce que vous nous envoyez en mission, parce que notre but premier c’est de découvrir ce que nos ancêtres nous ont laissé sur cette cité !
E : Non je ne me rend pas compte, et je n’ai pas non plus tout ce mérite, moi je donne les ordres et vous vous exécutez, je ne me bat pas quand les Wraith débarquent et tout à l’heure encore je vous en ai fait le reproche ! ça fait trois ans que je dirige cette cité et ce n’est que maintenant que je me rend compte de mes erreurs. C’est de ma faute si nous sommes en conflit permanent, je demande trop ! Trop à toute la cité et trop à moi même, je me veux parfaite sur tout les plans et je ne le suis pas ! je ne m’accorde aucun répit, pas une seule faiblesse, et là je sais que je suis dans le vrai, ne me dites pas le contraire !
Elle s’était assise sur une des deux chaises qui entouraient la table, la voyant faire John fit de même, ne sachant comment elle arrivait à se diriger dans cet espace si petit soit-il. En la regardant, John prit conscience de tout ce qu’elle avait sacrifié pour arriver ici, la semi pitié qu’il avait pour elle avait disparue, elle avait laisser place à de l’admiration, et même si les yeux vert de la jeune femme regardaient le vide il pouvait y lire toute sa détresse.
J : Vous êtes dure avec vous même, là vous êtes dans le vrai, mais si vous laissiez tombé les barrières que vous avez mis entre vous et le reste de la cité, ne serait –ce que quelques heures ?
E : Généralement quand vous dites ce genre de chose vous avez un idée en tête, je me trompe ?
J : Vous recommencez ! Est –ce que vous m’accorderiez votre confiance quelques heures ?
E : je ne sais pas… peut être que oui…
En fait elle n’avait qu’une envie : faire confiance à John ! Elle lui avait dit tout ce qu’elle avait sur le cœur, sa culpabilité, son remord, lui n’avait fait que des éloges, et puis malgré leurs disputes elle devait bien se l’avouer, elle n’était pas indifférente au charme du colonel !
En entendant le « oui » hypothétique d’Elizabeth, le cœur du colonel Shepard explosa de triomphe, il voulait lui faire comprendre que ce n’était pas que de sa faute à elle toutes ces disputes. Il se leva et lui prit la main.
J : Faites moi confiance.
[fanfiction] le jour de ma nuit
Re: [fanfiction] le jour de ma nuit
Gymnase quelques jours plus tard
Elizabeth en avait plus qu’assez des gouttes, des contrôles à l’infirmerie en fin d’après midi, elle n’avait qu’une hâte : retrouver sa vue ! Elle ne regrettait pas d’avoir fait confiance à John quelques jours plus tôt, il lui avait fait faire le tour de la cité, puis il l’avait emmener courir avec lui, le tenant au coude. Elle se débrouillait de mieux en mieux seule, et constatait que le fait de ne pas voir lui permettait de voir au delà de l’apparence physique , quand Rodney était sortit du coma, elle eut une longue conversation avec lui, et fut surprise qu’au delà de l’image de scientifique arrogant qu’il donnait c’était un homme d’une extrême gentillesse et sensible.
Elle avait demandé à John si il pouvait lui enseigné quelques rudiments du combat en corps à corps qu’il avait appris avec Teyla, c’était d’étranges moments où toutes les barrières qu’elle s’imposait tombaient, elle se remettait totalement à lui.
J : Bon comme je suis un prof exemplaire….
E : Vous plaisantez !
J : J’ai pas terminé ma phrase ! (elle éclata de rire) bon aujourd’hui on va faire un truc que Teyla m’a appris pour se détendre, et arrêtez de rire !
E : s’était trop tentant !
J : Dites j’ai une question , comment vous faites pour mémoriser les mouvements que je vous apprend ?
E : En fait c’est assez simple, comme je ne vois pas mes autres sens compensent la vue, et ma mémoire travaille un peu plus c’est tout. Vous voulez faire un test ?
J : un test ?
E : vous mettre un bandeau devant les yeux et je vous guide !
J : pourquoi pas, après tout, ça ne va pas me tuer !
Il prit un morceau de tissu qui traînait sur le banc et se laissa guider par la jeune femme. Les instants qui suivirent furent pour lui furent une expérience unique. Elizabeth se plaça derrière lui, elle était un peu plus petite que lui, elle attrapa les poignets du colonel, et se colla contre lui, il était heureux qu’elle ne puisse rien voir de son embarras, les heures passées aux cotés de la jeune femme lui avait fait découvrir à quel point elle lui était chère, et s’en se l’avouer réellement ses sentiments étaient bien au delà de l’amitié. Doucement elle commença à le guider d’une main ferme elle lui fit faire quelques mouvements avec lenteurs tout en lui expliquant calmement comment elle ressentait tout les gestes qu’elle accomplissait lorsque c’était lui qui la guidait.
J : (retirant le bandeau) Woaw ! c’est comment dire, incroyable ! Le geste à mille fois plus de valeur lorsqu’il est accompli comme ça !
E : Vous comprenez mieux maintenant, la mémoire enregistre le mouvement en fonction de ce qu’on ressent, alors on les fait ces mouvements ?!
J : Oui !
Elizabeth était heureuse de pouvoir partager un fragment de l’univers dans lequel elle était plongée. Comme à son habitude John se plaça derrière elle et lui saisit à son tour les poignets de la jeune femme, lorsqu ‘elle sentit l’odeur de son parfum son cœur se mit a battre la chamade et lorsque le buste du colonel frôla son dos elle se mit à frissonner.
Ils passèrent une heure à faire des mouvements dans le calme et le silence le plus complet, quand ils eurent terminés il raccompagna à ses quartiers, puis se décida enfin à franchir le pas, cette question qu’il voulait lui poser depuis si longtemps.
J : Elizabeth, je me demandais… Est ce que vous accepteriez de dîner avec moi ce soir ?
La jeune femme ne put s’empêcher de rougir, elle avait l’impression de rêver, il avait bien dit dîner ?! Rein qu’à l’idée de cette soirée qu’il lui proposait de passer en tête à tête lui donnait le tournis !
E : Oui pourquoi pas, à quelle heure nous nous retrouvons ? j’ai rendez vous avec le docteur Heighmeyer à 17 heure 30, nous faisons des séances d’une heure.
J : Vous feriez bien de vous dépêcher, il est 17 heure ! je passe vous prendre à 19 heure ?
E : Parfait, à tout à l’heure !
18 heure 30 cabinet du docteur Heighmeyer.
La séance venait de prendre fin, Elizabeth se sentait bien, pour une fois elle s’était lâché, au prix de nombreuses larmes, de gêne et même de honte mais elle se sentait mieux. Elle avait une dernière chose à demander au docteur Heighmeyer.
E : Docteur, je peu vous demander un service ?
Dr H : Bien sur !
E : Pourriez vous me raccompagner à mes quartiers, et… En fait c’est assez embarassant, mais… je doit dîner avec quelqu’un ce soir, et j’aurai besoin de conseils pour ma tenue… si ça ne vous gêne pas.
Dr H : pas le moins du monde, j’ai terminé de toute façon !
Elle prit la main d’Elizabeth et la posa sur son coude, dans un sens Elizabeth était soulagée que quelqu’un l’aide, la journée elle portait son uniforme, mais elle n’allait pas aller dîner avec Shepard dans cette tenue ! Il n’empêche qu’elle aurait aimé ne pas avoir à demander ce service, c’est vrai que Kate Heighmeyer, s’était montrée très compréhensive, mais elle n’aimait pas être dépendante des autres ! Elle essayait de se résonner en se disant que c’était passager, mais l’embarras restait présent, c’est vrai elle se débrouillait de mieux en mieux, et comprenait à quel point voir était une chose à la fois essentielle et superficielle, on se borne à regarder les apparences, à admirer un coucher de soleil sur l’océan, mais quand on est enveloppé par le noir, ce coucher de soleil à milles éclats, la chaleur des derniers rayons soleils sur la peau, le calme inquiétant et apaisant qui vient avec la nuit, tout ce qu’elle avait appris à admirer sur Atlantis elle le redécouvrait et l’admirait d’autant plus qu’elles détenaient quelque chose d’unique !
19 heure quartiers d’Elizabeth
le docteur Heighmeyer avait été adorable, Elizabeth savait ce qu’elle voulait mettre mais comment le retrouver dans son armoire? La jeune psychologue, l’avait aidé à se maquiller légèrement tout en laissant à Elizabeth le naturel auquel elle tenait tant ! Après cela, Kate était partie après qu’Elizabeth l’est remercié une bon ne trentaine de fois.
Elle attendait seule assise sur une chaise sur le balcon, elle se demandait à quoi elle pouvait bien ressembler, elle avait choisi un tailleur pantalon beige sur un débardeur noir. La sonnerie de sa porte venait de se déclencher, sa devait être John, elle inspira profondément, et se leva pour lui ouvrir.
J : Vous êtes superbe !
E : Merci, j’ai fait de mon mieux…
J : (en lui attrapant la main pour la guider) vous êtes trop modeste, de toutes façons vous êtes toujours superbe !
E : (qui avait rougi de plus belle) Où va t’on ?
J : (éclatant de rire) Pas au mess si ça peut vous rassurer ! mais c’est une surprise !
John était plutôt fier de lui, il avait trouvé un balcon où l’on pouvait admirer un superbe coucher de soleil, Elizabeth lui avait expliqué comment elle les « voyaient » à présent et il savait à quel point elle les aimaient. Pour le dîner, il avait fait simple une bonne salade composée, elle ne mangeait que ça, et pour le dessert, il avait dénicher au mess des petits fondants au chocolat que l’on gardait pour les grandes occasions, le tout accompagner de jus de raisin athosien.
Balcon
J : On y est.
E : Où exactement, nous sommes sur un balcon, le soleil se couche mais je n’arrive pas à le situer sur la cité…
J : alors on va faire simple vous ne vous prenez pas la tête pour une fois, ça changera ! et ne faite pas cette tête, je vous promet que quand vous aurez recouvert la vue je vous y emmènerai.
E : d ‘accord, alors qu’est ce que vous nous avez préparé ?
J : Vous ne pensez qu’a manger !
E : ça creuse l’exercice !
Ils partirent d’un grand éclat de rire, John fut légèrement surpris que sa supérieure est autant d’humour il ne la connaissait pas sous se jour, mais il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait une chance énorme de passer la soirée avec une femme aussi extraordinaire.
Ils parlèrent de tout et de rien à la fois se remémorant ces trois années passées sur Atlantis, cette course folle qu’ils avaient fait lorsqu’il avaient été les hôtes de Thalen et Phebus, en oubliant touts les deux l’épisode du baiser qu’ils avaient échangé. Bien après le coucher du soleil ils étaient toujours à discuter, puis ils se dirigèrent vers les quartiers d’Elizabeth, devant la porte ils se dire au revoir.
J : nous y sommes…
E : j’ai passé une excellente soirée, merci.
J : heureux qu’elle vous ai plus, j’ai passé une bonne soirée aussi.
Le silence s’installa, lourd et chargé d’émotion refoulées, Elizabeth avait les yeux baissés, une mèche tombait sur ses yeux. Quand à John il la regardait, et sans s’en rendre vraiment compte il avança sa main vers le visage de la jeune femme et balaya la mèche de cheveux pour lui prendre doucement le menton. Elizabeth crut que son cœur allait exploser lorsque la bouche de John frôla la sienne, sa main peut sure d’elle dans le noir qui l’entourait, se détacha doucement du coude du colonel qu’elle tenait toujours, pour cherché sa taille, ses doigts glissaient doucement et se contact timide, ému le colonel au plus profond de lui même, il se décida enfin à l’embrasser. Lorsqu’elle lui demanda de fermer les yeux, il obtempéra sans discuter, et l’entraîna dans ses quartiers. Tout ce passait au ralentit, il se trouvait en fermant les yeux dans le même univers que la femme qu’il continuait à embrasser, il ne put s’empêcher de pleurer lorsque doucement les mains de la jeune femme commencèrent à s’aventurer sur son corps.
Le lendemain matin
La chambre d’Elizabeth ressemblait à un champ de bataille, John ne se remettait toujours pas des émotions de la nuit qu’il venait de passer avec la jeune femme, et sans vraiment savoir pourquoi il aurait voulu que le temps s’arrête pour pouvoir vivre ces moments à l’infini. Elle dormait contre lui la tête niché au creux de son bras il n’osait pas bougé de peur de la réveillée. Le colonel l’admira de longues minutes, le soleil inondait la pièce et ses rayons caressaient la peau de la jeune femme, l’auréolant de blanc qui la faisait ressembler à un ange.
J ( doucement, voyant Elizabeth se réveiller) : Bonjour, bien dormi ?
E (l’embrassant ) : je n’ai jamais aussi bien dormi, et toi ?
J : je t’ai admirer, le soleil m’a réveillé…
E : et …
J : …je n’ai jamais rien vu de plus beau ! je peu te poser une question ?
E : oui.
J : Tu regrette quelque chose ?
E : Rien, et si s’était à recommencer je referai exactement la même chose. Et toi ?
J : moi non plus, je n’ai jamais rien vécu de plus beau, et si tu veux tout savoir tu m’a fait pleurer !
E : Vraiment ?
J : Oui, le contact avec les yeux fermé que tu m’as fait découvrir hier au soir, s’était unique, je ne sais pas si on peu le décrire en fait…
E : tu le décris très bien, tu as la chaire de poule !
Ils éclatèrent de rire, et presque comme si elle voyait Elizabeth attrapa le premier oreiller qu’elle trouva et se lança dans une bataille d’oreillers qui se fini dans un câlin remplis de tendresse.
Quelque mois plus tard
Elizabeth avait recouvert la vue, elle regrettait un peu ce voile noir, elle avait appris une chose essentielle, qu’elle traduisait par une phrase de st Exupéry qu’elle avait lu longtemps auparavant, « l’essentiel est invisible aux yeux, on ne voit bien qu’avec le cœur. ». Elle avait vu avec le cœur et gr^ce à cette expérience unique elle partageait sa vie avec l’homme qu’elle aimait et était beaucoup plus indulgente envers elle même et son entourage.
Elizabeth en avait plus qu’assez des gouttes, des contrôles à l’infirmerie en fin d’après midi, elle n’avait qu’une hâte : retrouver sa vue ! Elle ne regrettait pas d’avoir fait confiance à John quelques jours plus tôt, il lui avait fait faire le tour de la cité, puis il l’avait emmener courir avec lui, le tenant au coude. Elle se débrouillait de mieux en mieux seule, et constatait que le fait de ne pas voir lui permettait de voir au delà de l’apparence physique , quand Rodney était sortit du coma, elle eut une longue conversation avec lui, et fut surprise qu’au delà de l’image de scientifique arrogant qu’il donnait c’était un homme d’une extrême gentillesse et sensible.
Elle avait demandé à John si il pouvait lui enseigné quelques rudiments du combat en corps à corps qu’il avait appris avec Teyla, c’était d’étranges moments où toutes les barrières qu’elle s’imposait tombaient, elle se remettait totalement à lui.
J : Bon comme je suis un prof exemplaire….
E : Vous plaisantez !
J : J’ai pas terminé ma phrase ! (elle éclata de rire) bon aujourd’hui on va faire un truc que Teyla m’a appris pour se détendre, et arrêtez de rire !
E : s’était trop tentant !
J : Dites j’ai une question , comment vous faites pour mémoriser les mouvements que je vous apprend ?
E : En fait c’est assez simple, comme je ne vois pas mes autres sens compensent la vue, et ma mémoire travaille un peu plus c’est tout. Vous voulez faire un test ?
J : un test ?
E : vous mettre un bandeau devant les yeux et je vous guide !
J : pourquoi pas, après tout, ça ne va pas me tuer !
Il prit un morceau de tissu qui traînait sur le banc et se laissa guider par la jeune femme. Les instants qui suivirent furent pour lui furent une expérience unique. Elizabeth se plaça derrière lui, elle était un peu plus petite que lui, elle attrapa les poignets du colonel, et se colla contre lui, il était heureux qu’elle ne puisse rien voir de son embarras, les heures passées aux cotés de la jeune femme lui avait fait découvrir à quel point elle lui était chère, et s’en se l’avouer réellement ses sentiments étaient bien au delà de l’amitié. Doucement elle commença à le guider d’une main ferme elle lui fit faire quelques mouvements avec lenteurs tout en lui expliquant calmement comment elle ressentait tout les gestes qu’elle accomplissait lorsque c’était lui qui la guidait.
J : (retirant le bandeau) Woaw ! c’est comment dire, incroyable ! Le geste à mille fois plus de valeur lorsqu’il est accompli comme ça !
E : Vous comprenez mieux maintenant, la mémoire enregistre le mouvement en fonction de ce qu’on ressent, alors on les fait ces mouvements ?!
J : Oui !
Elizabeth était heureuse de pouvoir partager un fragment de l’univers dans lequel elle était plongée. Comme à son habitude John se plaça derrière elle et lui saisit à son tour les poignets de la jeune femme, lorsqu ‘elle sentit l’odeur de son parfum son cœur se mit a battre la chamade et lorsque le buste du colonel frôla son dos elle se mit à frissonner.
Ils passèrent une heure à faire des mouvements dans le calme et le silence le plus complet, quand ils eurent terminés il raccompagna à ses quartiers, puis se décida enfin à franchir le pas, cette question qu’il voulait lui poser depuis si longtemps.
J : Elizabeth, je me demandais… Est ce que vous accepteriez de dîner avec moi ce soir ?
La jeune femme ne put s’empêcher de rougir, elle avait l’impression de rêver, il avait bien dit dîner ?! Rein qu’à l’idée de cette soirée qu’il lui proposait de passer en tête à tête lui donnait le tournis !
E : Oui pourquoi pas, à quelle heure nous nous retrouvons ? j’ai rendez vous avec le docteur Heighmeyer à 17 heure 30, nous faisons des séances d’une heure.
J : Vous feriez bien de vous dépêcher, il est 17 heure ! je passe vous prendre à 19 heure ?
E : Parfait, à tout à l’heure !
18 heure 30 cabinet du docteur Heighmeyer.
La séance venait de prendre fin, Elizabeth se sentait bien, pour une fois elle s’était lâché, au prix de nombreuses larmes, de gêne et même de honte mais elle se sentait mieux. Elle avait une dernière chose à demander au docteur Heighmeyer.
E : Docteur, je peu vous demander un service ?
Dr H : Bien sur !
E : Pourriez vous me raccompagner à mes quartiers, et… En fait c’est assez embarassant, mais… je doit dîner avec quelqu’un ce soir, et j’aurai besoin de conseils pour ma tenue… si ça ne vous gêne pas.
Dr H : pas le moins du monde, j’ai terminé de toute façon !
Elle prit la main d’Elizabeth et la posa sur son coude, dans un sens Elizabeth était soulagée que quelqu’un l’aide, la journée elle portait son uniforme, mais elle n’allait pas aller dîner avec Shepard dans cette tenue ! Il n’empêche qu’elle aurait aimé ne pas avoir à demander ce service, c’est vrai que Kate Heighmeyer, s’était montrée très compréhensive, mais elle n’aimait pas être dépendante des autres ! Elle essayait de se résonner en se disant que c’était passager, mais l’embarras restait présent, c’est vrai elle se débrouillait de mieux en mieux, et comprenait à quel point voir était une chose à la fois essentielle et superficielle, on se borne à regarder les apparences, à admirer un coucher de soleil sur l’océan, mais quand on est enveloppé par le noir, ce coucher de soleil à milles éclats, la chaleur des derniers rayons soleils sur la peau, le calme inquiétant et apaisant qui vient avec la nuit, tout ce qu’elle avait appris à admirer sur Atlantis elle le redécouvrait et l’admirait d’autant plus qu’elles détenaient quelque chose d’unique !
19 heure quartiers d’Elizabeth
le docteur Heighmeyer avait été adorable, Elizabeth savait ce qu’elle voulait mettre mais comment le retrouver dans son armoire? La jeune psychologue, l’avait aidé à se maquiller légèrement tout en laissant à Elizabeth le naturel auquel elle tenait tant ! Après cela, Kate était partie après qu’Elizabeth l’est remercié une bon ne trentaine de fois.
Elle attendait seule assise sur une chaise sur le balcon, elle se demandait à quoi elle pouvait bien ressembler, elle avait choisi un tailleur pantalon beige sur un débardeur noir. La sonnerie de sa porte venait de se déclencher, sa devait être John, elle inspira profondément, et se leva pour lui ouvrir.
J : Vous êtes superbe !
E : Merci, j’ai fait de mon mieux…
J : (en lui attrapant la main pour la guider) vous êtes trop modeste, de toutes façons vous êtes toujours superbe !
E : (qui avait rougi de plus belle) Où va t’on ?
J : (éclatant de rire) Pas au mess si ça peut vous rassurer ! mais c’est une surprise !
John était plutôt fier de lui, il avait trouvé un balcon où l’on pouvait admirer un superbe coucher de soleil, Elizabeth lui avait expliqué comment elle les « voyaient » à présent et il savait à quel point elle les aimaient. Pour le dîner, il avait fait simple une bonne salade composée, elle ne mangeait que ça, et pour le dessert, il avait dénicher au mess des petits fondants au chocolat que l’on gardait pour les grandes occasions, le tout accompagner de jus de raisin athosien.
Balcon
J : On y est.
E : Où exactement, nous sommes sur un balcon, le soleil se couche mais je n’arrive pas à le situer sur la cité…
J : alors on va faire simple vous ne vous prenez pas la tête pour une fois, ça changera ! et ne faite pas cette tête, je vous promet que quand vous aurez recouvert la vue je vous y emmènerai.
E : d ‘accord, alors qu’est ce que vous nous avez préparé ?
J : Vous ne pensez qu’a manger !
E : ça creuse l’exercice !
Ils partirent d’un grand éclat de rire, John fut légèrement surpris que sa supérieure est autant d’humour il ne la connaissait pas sous se jour, mais il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait une chance énorme de passer la soirée avec une femme aussi extraordinaire.
Ils parlèrent de tout et de rien à la fois se remémorant ces trois années passées sur Atlantis, cette course folle qu’ils avaient fait lorsqu’il avaient été les hôtes de Thalen et Phebus, en oubliant touts les deux l’épisode du baiser qu’ils avaient échangé. Bien après le coucher du soleil ils étaient toujours à discuter, puis ils se dirigèrent vers les quartiers d’Elizabeth, devant la porte ils se dire au revoir.
J : nous y sommes…
E : j’ai passé une excellente soirée, merci.
J : heureux qu’elle vous ai plus, j’ai passé une bonne soirée aussi.
Le silence s’installa, lourd et chargé d’émotion refoulées, Elizabeth avait les yeux baissés, une mèche tombait sur ses yeux. Quand à John il la regardait, et sans s’en rendre vraiment compte il avança sa main vers le visage de la jeune femme et balaya la mèche de cheveux pour lui prendre doucement le menton. Elizabeth crut que son cœur allait exploser lorsque la bouche de John frôla la sienne, sa main peut sure d’elle dans le noir qui l’entourait, se détacha doucement du coude du colonel qu’elle tenait toujours, pour cherché sa taille, ses doigts glissaient doucement et se contact timide, ému le colonel au plus profond de lui même, il se décida enfin à l’embrasser. Lorsqu’elle lui demanda de fermer les yeux, il obtempéra sans discuter, et l’entraîna dans ses quartiers. Tout ce passait au ralentit, il se trouvait en fermant les yeux dans le même univers que la femme qu’il continuait à embrasser, il ne put s’empêcher de pleurer lorsque doucement les mains de la jeune femme commencèrent à s’aventurer sur son corps.
Le lendemain matin
La chambre d’Elizabeth ressemblait à un champ de bataille, John ne se remettait toujours pas des émotions de la nuit qu’il venait de passer avec la jeune femme, et sans vraiment savoir pourquoi il aurait voulu que le temps s’arrête pour pouvoir vivre ces moments à l’infini. Elle dormait contre lui la tête niché au creux de son bras il n’osait pas bougé de peur de la réveillée. Le colonel l’admira de longues minutes, le soleil inondait la pièce et ses rayons caressaient la peau de la jeune femme, l’auréolant de blanc qui la faisait ressembler à un ange.
J ( doucement, voyant Elizabeth se réveiller) : Bonjour, bien dormi ?
E (l’embrassant ) : je n’ai jamais aussi bien dormi, et toi ?
J : je t’ai admirer, le soleil m’a réveillé…
E : et …
J : …je n’ai jamais rien vu de plus beau ! je peu te poser une question ?
E : oui.
J : Tu regrette quelque chose ?
E : Rien, et si s’était à recommencer je referai exactement la même chose. Et toi ?
J : moi non plus, je n’ai jamais rien vécu de plus beau, et si tu veux tout savoir tu m’a fait pleurer !
E : Vraiment ?
J : Oui, le contact avec les yeux fermé que tu m’as fait découvrir hier au soir, s’était unique, je ne sais pas si on peu le décrire en fait…
E : tu le décris très bien, tu as la chaire de poule !
Ils éclatèrent de rire, et presque comme si elle voyait Elizabeth attrapa le premier oreiller qu’elle trouva et se lança dans une bataille d’oreillers qui se fini dans un câlin remplis de tendresse.
Quelque mois plus tard
Elizabeth avait recouvert la vue, elle regrettait un peu ce voile noir, elle avait appris une chose essentielle, qu’elle traduisait par une phrase de st Exupéry qu’elle avait lu longtemps auparavant, « l’essentiel est invisible aux yeux, on ne voit bien qu’avec le cœur. ». Elle avait vu avec le cœur et gr^ce à cette expérience unique elle partageait sa vie avec l’homme qu’elle aimait et était beaucoup plus indulgente envers elle même et son entourage.
- taranee
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Re: [fanfiction] le jour de ma nuit
ouahhh
c'est histoire est superbement bien écrite.
dès que j'ai fini de lire la première ligne, j'ai été absorbée par l'histoire.
d'habitude je n'aime pas les histoires d'amours, mais alors là chapeau, je te tire mon chapeau.

c'est histoire est superbement bien écrite.
dès que j'ai fini de lire la première ligne, j'ai été absorbée par l'histoire.
d'habitude je n'aime pas les histoires d'amours, mais alors là chapeau, je te tire mon chapeau.

que c'est beau...CITATION pour te dire que mêm dans le noir je verrai les gens et continuerai à te trouver beklle, non avec mes yeux mais mon coeur.
Dernière modification par taranee le 31 mai 2006, 21:36, modifié 1 fois.
...............Vaut mieux mourrir que d'en perdre une miette...............
http://australis.eu2.looki.fr/spiel.php?u=1104626
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Re: [fanfiction] le jour de ma nuit

Re: [fanfiction] le jour de ma nuit
j'ai trouvé cette fanfic trés belle...je trouve que tu as 1 joli style la scène ou sheppard a les yeux bandés j'arrive bien à la visualiser donc ta description est bien faite et riche en émotions...merci j'ai adoré!!
tu m'as meme donné envie de m'y metre!! 


- the_phoenix
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Re: [fanfiction] le jour de ma nuit
C'est trop beau... cette fanfic est super, continue comme ça ! 

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