Nouvelle fanfic, chaud devant !

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Sandstorm
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Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

Salut tous le monde.

J'ai commencé à écrire une fanfiction au mois de juin que j'ai terminé en cinq jours. Après maintes érreurs et connerie, j'en ai ré-écris une autre qui celle-là est complètement inédite. Bien entendu, avant de vous la faire lire, je tiens à remercier et à embrasser GGO pour sa fanfic "Echange Internationale", car pour le début de ma fanfic je me suis inspiré de sa fanfic et j'ai citée le surnom de son parsonnage deux fois.

Résumé :

Ayant été sélectionné pour participer à un échange de connaissance par l'armée française, le capitaine Sadoune Yacob est aux USA. Il va découvrir le projet Strargate et y contribuer d'abord à court et moyen terme, et enfin à long terme.

LISEZ ET DITES MOI CE QUE VOUS EN PENSEZ, ET ENCORE MERCI POUR CEUX QUI LE LIRONT (ET ENCORE MERCI GGO POUR TA MERVEILLEUSE FANFIC !!!)
MaXLeLoveur
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par MaXLeLoveur »

Ben ecoute je veut bien te donner mon avis mais faudrait un moyen de lire ta fanfic pour pouvoir le faire :D
Sandstorm
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

Aéroport de Denver, Salle d'attente
18 juin 2005, 09H00
(PROLOGUE)

Je sortais du Falcon 50 que le gouvernement m'a affrété pour pourvoir venir aux USA. J'arrivais à la porte de la salle d'attente en poussant un énorme soupir de fatigue. Ça faisait plus de 12 heures que j'avais quitté la base de Villacoublay pour venir ici. Le douanier m'ayant dirigée dans la salle d'attente, j'étais là entrain d'attendre. «Un vrai purgatoire, ici !». Elle était très grande, des siège très confortable en cuir de couleur noir, climatisée et au moins ils ont eu la bonté de nous laisser des distributeurs de boissons et de friandises. Au moins ça avait le mérite d'être très agréable. «Mais qu'esc-ce que je fous là moi ? J'étais tranquille en France. J'ai rien demandée !». Nous étions huit dans la salle et en tenue de sortie officiel. Il y avait un soldat britannique du 22nd SAS, un allemand du KSK, un russe du Spetsnaz*, un chinois de la Shi-Haï-Den, un espagnol du GEO, un autre appartenant au GROM polonais, un italien du San Marco et moi. Ah, tiens, j'ai oublié de me présenter : Je suis le capitaine Sadoune Yacob (du 9e Bataillon Parachutistes de Choc des forces spéciales françaises) communément appelé Makiavel depuis qu'un idiot de mon groupe a décidée que moi et le célèbre philosophe italien avions des gênes en commun. Je suis ici dans le cadre d'un échange de connaissance «Je préfère plutôt le terme 'Sélectionné' makiavel !», mais bon je sens que ça va être très intéressant, du moins au point de vue communicatif. En sept minutes, j'ai regardée l'horloge au moins une trentaine de fois en poussant un soupir d'énervement et d'impatience, mais une très bonne ambiance régnait en maître dans la salle. En fait la barrière des langues n'était pas une si grande barrière. Je parlais au moins 10 langues dont le français, le chinois, l'arabe (je suis aussi algérien), l'anglais et l'espagnol (classique de l'enseignement en France), l'allemand et le Russe. D'ailleurs on s'était racontée des blagues sur les ricains. «Finalement, makiavel, ça valait le coup que tu viennes !». J'allais à la pêche aux infos quand une femme rentrait dans la salle. Elle est mince, grande, cheveux blonds assez court et les yeux bleus «finalement je préfère le terme de 'désigné volontaire'.». «messieurs...», une voix douce et claire sortait de sa bouche, mais elle dégageait beaucoup d'autorité et d'aplomb. «Je suis le lieutenant-colonel Samantha Carter de l'US Air Force. Vous avez tous été choisi par vos gouvernement respectif pour participer – et peut-être faire parti – à ce projet. Je ne peux pas en dire plus pour le moment. Je vais vous accompagner dans notre base, mais avant je souhaite savoir qui est le plus gradée parmi vous ?». «Le plus gradée ? Oh merde, c'est moi ! Aller c'est le moment de se taper l'affiche, faisons bonne impression.»
– C'est moi, mon colonel
– Présentez-vous !
– Je suis le capitaine Sadoune Yacob, des forces spéciales de l'armée française.
– Très bien capitaine, vous allez venir avec moi dans le Humvee de fonction. Les autres dans l'autocar prévue à cette effet.

Enfin, c'est pas trop tôt, Avais-je soupiré, un peu trop haut car Carter avait entendu. J'ai baissé le regard pour ne pas jouer les troubles-fêtes «Agh bravo ! Toi et Pit, vous avez tous les deux une grande gueule. Tu peux pas te taire juste deux minutes ?». Carter me demanda...

– Vous avez dit quelque chose, capitaine ?
– Je disais que c'était pas trop tôt qu'on bouge un peu. C'est à cause du décalage Horaire.
– Je comprends, vous devez être très fatigué ?
– En effet. Désolé si j'ai dit quelque chose qui ne vous a pas plu.
– Ce n'est pas grave.

«T'as eu un sacré coup de bol, mon pote. La prochaine fois parles dans ton esprit, ducon !». Au fait, tout comme Pit, je me parle beaucoup. Selon elle c'est un signe de sénilité mais je lui ai clairement dit que c'est un signe de sagesse et d'intelligence.

Base de Cheyenne Mountain
18 juin 2005, 10H00

Nous arrivions à la base mythique de Cheyenne Mountain. Cette même base qui servait de centre de commandement au NORAD servait apparemment de base pour un pseudo-projet top secret développé par l'US Air Force. En tout cas, on était dans la salle de briefing et je discutais avec mes autres collègues. Ayant fait un stage d'entraînement avec les Recon de l'US Marines, j'étais avantagée par la langue et par les connaissances en techniques militaires US, mais j'étais très désavantagé lorsqu'il s'agit de procédures et autres types de procédées pour les autres choses. Quoi qu'il en soit, le colonel Carter arrivait dans le bureau du général O'Neill (Qui, au passage, est devenue très proche de Jack. Et en fait, c'est aussi réciproque !)

– Mon général ?
– Carter. Heu pardon, Sam : Je t'ai demandée de m'appeler Jack et de me tutoyer quand il y'a personne
– Désolé, Jack. Ils sont arrivés, tu viens ?
– j'arrive tout de suite. Je préviens Teal'c et Daniel de nous rejoindre.
– Très bien, Jack... Au fait : C'est quand tu veux pour ce que tu sais...

Et ayant compris le double-sens de cette phrase, il fut gêné et rougit. Quant à Carter, elle lui fit un petit sourire et un regard qui en disait long de ce qu'elle voulait faire plus tard

– Sam, un peu de tenue, s'il te plait...d'accord pour ce soir ?
– Très bien !

Dans la salle de briefing,10 H 45

«Ah, c'est génial. Je vais me taper une migraine de 15 mégatonnes à la fin de cette journée.». Ils rentrèrent tous dans la salle. Carter discutait avec un technicien. Jack jettes un regard circulaire et fit signe à Carter ce qui la fit sourire. Sinon tous les militaires présent sont vraiment de pays étrangers. Heureusement que je parle plusieurs langues sinon ça allait être plus dur. O'Neill s'approcha et fit un
«hum hum» pour attirer l'attention.

– S'il vous plait ? Je suis le brigadier-general Jack O'Neill de l'US Air Force, voici le lieutenant-colonel Samantha Carter, Commandant en second de la base. C'est elle qui supervisera le projet dont nous allons vous en parler. Parmi vous j'en connais un. N'esc-ce pas maldhiny-sergent Galinsky ?
– Désolé mon général, mais c'est sous-lieutenant Igor Galinsky maintenant.
– Maldinhy-Sergent ? S'exprima le soldat anglais ?
– Sergent-Instructeur si vous préférez, Sergent. M'exclama.

Malgré que j'ai parlé très doucement et à une voix très basse, le général m'a entendu et ce qui l'a un peu mis en colère. «Eh merde, ça commence mal pour toi, Yacob.»

– Tiens, on a un officier de l'armée française qui visiblement n'a rien à faire de ce que je vous dis. Vous êtes ?
– Capitaine Sadoune Yacob, Forces Spéciales de l'armée française. Mais sinon ce que vous dites m'intéresse, hein.
– Forces Spéciales, hein ? Quel unité et quelle cercle du COS* ?
– 9e Bataillon Parachutistes de Choc, premier cercle du COS
– Je vois. Qu'esc-ce qui vous amènes chez nous ?

«Si seulement j'étais au courant, mon pote» murmurais-je en français.

– Et bien, mon général, je suis un spécialiste des opérations spéciales, notamment pour les actions d'acquisition du renseignement, contre-espionnage et espionnage, lutte antiterroristes, informatique et électronique, brouillage, sabotage, intervention en milieu urbain et hostile et aussi en négociation «Et aussi en infiltration et assassinat.» Ajoutais-je tout bas en français
– Pas mal et vous avez quel âge ? Parce que vous m'avez l'air très jeune, sans vous offenser.

«Eh merde, c'est secret défense, mon âge ! Si il sait que j'ai à peine 16 ans c'est la merde.»

– Secret Défense, mon général. Mais bon, vu que j'ai le pressentiment qu'on y est en plein dedans, je vais vous le dire quand-même : 16 ans.

Ce fut un grand élan de stupeur et d'étonnement. 16 ans et déjà j'étais capitaine. Ils se demandent même comment j'ai fait pour y arriver.

– Vous vous moquez de moi, capitaine ?
– Non, mon général, je vous l'ai dit c'est secret défense. Regardez mon dossier militaire !

O'Neill le regarda et fut stupéfait. Il s'aperçut de mon année de naissance : 1988. O'Neill se disait «Bientôt 17 ans et c'est déjà un soldat expérimenté et il devrait avoir le grade de général à 20 ou 25 ans.». Bon sang, mais j'aurais du dire un autre âge et le laisser découvrir le poteau rose.

– Effectivement, oui c'est vrai ! Carter, je vous laisse leur expliquer pourquoi ils sont venus.
– Merci, mon général. Ce que vous allez voir dépasse tout bonnement ce que vous croyez savoir sur l'espace ou sur la vie extra-terrestre. Le projet se nomme «Porte des étoiles» et vous allez voir pourquoi on la nomme ainsi.

Un énorme rideau de fer se leva sur le côté gauche de la salle de conférence. Un anneau gigantesque se montra à nous. «Merde, mais qu'esc-ce que c'est que ce truc ?». Apparement, le seul qui ne fut pas étonné était le russe, il nous cache quelque chose. Je lui demandais pourquoi il ne fut pas surpris en la voyant et il me répondit tout simplement «On en a une aussi !». «Ah bon ? 'on en a une aussi !' Et t'aurais pas pu le dire avant ?». Quoi qu'il en soit je demandais à Carter de quoi il s'agit

– Mon colonel ? Excusez-moi mais j'ai peur de comprendre. Vous êtes entrain de nous dire – exceptée au sous-lieutenant Galinsky qui était au courant – Que les extra-terrestres existent et qu'on peux les rencontrer ?
– Exact, capitaine. C'est comme si vous prenez l'avion de la Terre à une planète.
– «Fous-toi de ma gueule, toi !» Très intéressant. Et en combien de temps on fait le voyage ?
– C'est le temps que vous mettez quand vous frappez à une porte, qu'on vous disent «entrez» et que vous y entrez : deux secondes. Les molécules de votre corps se désintègrent et refont surface à la sortie de la porte qui est à l'autre bout.
– «Oh non, mon crâne !». En fait, c'est pas si compliquée que ça !?!
– En fait, c'est beaucoup plus complexe que ça.
– Je vois.

Je faisais semblent de prendre des notes, juste pour éviter de prendre ma tête entre mes mains et de dire en anglais «J'ai la migraine». Merde je l'ai dit en français et super haut. J'espère que personne ne parle français dans l'assistance. Trop tard, Le petit intello à lunettes fit un rire étouffée. «Ah toi et ta grande gueule ! Tu vas te retrouver encore dans tes quartiers consignées pendant 24 heures.». O'Neill a entendu Jackson rire.

– Quelque chose qui vous fait rire, Daniel ? Capitaine ?
– Je crois qu'ils ont envie de se dégourdir les jambes et de se reposer un peu, ou aller manger quelque chose.
– Mon général, je crois que Daniel a raison. Et puis la visite de la base est dans 120 minutes. Ils devraient revêtir des tenues un peu plus confortable et des chaussures qui ne leurs font pas mal aux pieds.
– D'accord. Sur ce, messieurs. Bienvenue dans la base de Cheyenne Mountain. Allez vous reposer. Rompez !

Tout le monde parti, et j'en fis de même. Lorsqu'on est parti se changer, Carter, Teal'c et Jackson sont restés avec O'Neill et parlait de ce charmant groupe dont j'en faisais parti.

– Dites-donc, vous pensez pas que le capitaine Sadoune vous fait penser à quelqu'un ?
– A vous, mon général
– Elle a raison
– Je suis de l'avis des deux, O'Neill.
– Vous rigolez ? Ce morveux serais mon alter ego français ? Il passera toute sa vie a flinguer tout le monde et ils mangent des grenouilles en France.
– Mon général, je doute qu'il mange des grenouilles. Et puis c'est pour cette raison qu'il vous ressemble, surtout à son sens de l'humour.
– Il n'en mange pas ? Mais il est français oui ou non ?
– Il est français sans pour autant en avoir les mêmes comportements. D'autant plus qu'il est algérien et français.
– Eh bien, dans ce cas, laissons le tranquille un moment. Allons à la cafète manger un morceau à la cafète du coin.

Salle de conférence du SGC, deux heures plus tard...

«Ah enfin, une tenue hyper-confortable avec des rangers qui ne vous tuent pas les pieds !». Pour une fois, j'étais content de porter un treillis. On fit la visite de la base et j'ai découvert beaucoup de choses parfois surprenantes, mais très intéressantes. Et c'est à ce moment que la porte des étoiles s'ouvre.


– Activation non-autorisée de la porte.
– Fermez l'iris...On a un code d'autorisation ?
– C'est SG-8.
– Ouvrez l'iris.

Une unité SG en action. Je voulais au moins en voir une pendant que j'étais là. Mais cela avaient l'air d'être en difficultés. Un des soldats avait l'air touché et ça canardait beaucoup. On était dans la salle d'embarquement et les soldats qui assurent la protection en cas d'invasion était en difficultés. Alors j'ai décidée de prendre la grosse mitrailleuse qui était du côté droit de la passerelle et de tirer jusqu'il y en ai qui crèvent. Il fallait dire que là haut ça n'allait pas fort à cause d'un tir de rayon laser. J'ai demandé au général ou au colonel d'aller fermer l'iris.

– Fermez l'iris ou je ne sais pas quoi, nom d'un chien !
– Attention capitaine.

Je m'éloignais rapidement sur le côté pour éviter un tir de lance-serpent. L'iris s'est refermée et la porte désactivée. Apparement mon action héroïque n'avait pas plu à O'Neill. Ce qui le mit dans une colère rouge. Il arriva et me cria dessus et en plus j'étais déjà pas très en forme je ne sais pas pourquoi

– Non mais qu'esc-ce qui vous a pris de vous jeter dans le feu ennemi, capitaine Sadoune ?
– Désolé mon général mais...Ils étaient sur le point de...
– Ca va aller, capitaine ?
– ...Se faire descendre. Je les ai...aidées...
– Une équipe médicale, vite !

Maintenant je savais pourquoi je ne me sentais pas bien : J'ai été touché à l'épaule droite et je perdais beaucoup de sang. J'étais dans les vapes et je me réveillais cinq heures plus tard dans l'infirmerie de la base. O'Neill et Carter sont venues me voir.

– Pas trop secouée, capitaine ?
– J'ai rien senti, mon général. Euh, comment ça se fait ? Et s'il vous plait : pas de sciences naturelles.
– C'est à dire qu'elle vous a éraflée l'épaule, donc c'était assez superficielle. Mais elle a faiblement touchée une veine artérielle, d'ou la perte assez conséquente de sang.
– «J'ai rien compris !». Je vois. Mon général, si vous avez décider de me renvoyez je comprends parfaitement.
– Qui vous a dit que je vous renvoyais ? Au contraire je veux que vous restiez. Mais à l'avenir tâchez de tirer quand vous en voyez. Vous pouvez vous déplacer ?
– Sans problème.
– Très bien. Docteur, il peut se déplacer ?
– Aucun os ou organe vitaux a été touchée. Ça devrait partir en trois jours. Il peut sortir
– Merci beaucoup, docteur. Mon général, Mon colonel je vais devoir vous laisser et aller me reposer un peu.
– Allez-y, et reposez vous bien.

Dans la base, 20 juin 2005, 12H45

La brûlure qu'il y avait sur mon épaule a totalement disparu et je me sentais en forme. Assez pour pouvoir m'occuper dans une salle d'informatique, aller au stand de tir ou bien aller faire de l'exercice. On m'avait demandée de me ménager mais j'en ai ras le bol de rester allongé sur un lit alors que mes collègues s'éclatent avec leurs instruments. Ça faisait trois jours déjà que j'étais ici et pour une fois il y avait de l'ambiance. Je suis parti voir le général O'Neill car je voulais taper un footing dehors. Quatre jours sans revoir le soleil peut vous ruiner psychologiquement un homme. J'allais voir O'Neill dans son bureau détendu et calme, avec un regard froid mais fatigué, très fatigué «d'avoir dormi pendant 12 heures, ah ouais c'est fatiguant !». Je m'approches vers la pote et toque. J'entends un «Entrez !», puis je rentre.

– Mon général ?
– Capitaine, ça va mieux votre épaule ?

J'ai mis un peu de temps à répondre car une jolie demoiselle de mon âge était dans son bureau. Elle était brune aux yeux verts, elle mesurait au minimum 1m70 ou 1m72. «Ouh ! Mais qui esc-ce cette demoiselle ? Elle est très mignonne !»

– Allô capitaine ? Ici O'Neill
– Ah...désolé mon général, oui beaucoup mieux merci.
– Je vous présente Cassandra Fraiser Cassandra, le capitaine Sadoune Yacob des forces spéciales françaises. Il a un an de moins que toi, tu sais ?
– T'as 16 ans et t'es à l'armée de ton pays avec le grade de capitaine ? T'es pas un peu trop jeune ?
– Heu...ouais, c'est vrai, ça en a étonné plus d'un ici, et puis...enfin bref. Je suis enchanté de faire ta connaissance.
– Moi de même
– Vous vouliez me dire quelque chose ?
– Euh...Oui. Vu que ça fait quatre jours que j'étais allongé sur un lit sans bouger, pourrais-je avoir quelque chose à faire ? Parce que je m'ennuie comme une souris de laboratoire et ça m'inquiètes. A croire que vous m'aviez oublier, mon général !
– Justement, j'ai une mission pour vous. Vous savez conduire ?
– Je vous conduis même un hélicoptère les yeux fermées.
– Très bien. Je vous charge d'escorter et de protéger cette demoiselle partout où elle vous dira d'aller.
– A vos ordres. Je mets mon uniforme de sortie et je suis prêt dans cinq minutes.
– Justement, pas d'uniforme, capitaine. Allez-y en civil !
– A vos ordres, mon général !
– Très bien. Je veux vous voir à 17H00 dans mon bureau ce soir, capitaine.
– Compris. Au fait, ou esc-ce ?
– Colorado Springs.
– «Colorado Springs ? Elle est ou le Dr. Quinn au cas où j'ai mal au crâne ?» Très bien.

Dans Colorado Springs, le même jour, 13H00

J'étais dans la voiture avec la charmante Cassandra. Je suis concentrée sur la route même si l'idée que je la trouvais super canon me traversais l'esprit. «Quelle...merveille. T'en as de la chance de pouvoir l'escorter.». Un silence régnait dans la voiture. Elle a engagée la conversation.

– Alors t'es français ? T'habites à Paris ?
– Oui, j'habite juste à côté de paris, dans sa banlieue. Mais on met à peine cinq minutes pour aller à paris de là ou je suis.
– Intéressant. C'est la première fois que tu viens aux USA ?
– Oui, en fait j'ai été sélectionné pour venir ici. Et finalement je ne regrette pas d'être venu.
– Pourquoi ?
– Disons que c'est intéressant et que le projet porte des étoiles m'intéresse beaucoup. Tu es lycéenne je suppose ?
– Oui, je passe en terminale.
– Intéressant.
– Ça te dérange si je m'assois devant ?
– Pas du tout, viens !
– Merci beaucoup. Ça te dérangerais si tu peux m'emmener au centre commercial ?
– D'accord. Par contre je te préviens je ne suis pas très loquace, exceptée le Métal, le Hard-Rock et les avions de combat, je ne suis pas très causant.
– Toi aussi ? Alors t'aimes aussi le Rock et les avions de combat ?
– Pourquoi ? Toi aussi t'aimes ça ?
– J'adore les avions de combat. Je voudrais faire pilote de combat.
– «Makiavel à Yacob, âme sœur en vue. Je répète : âme sœur en vue.». Trop cool, je voulais faire ça aussi mais, disons que le destin en a choisi autrement. Ah, je crois qu'on est arrivé !

Centre Commercial de Colorado Springs


Je croyais les centre commerciaux Américains plus grand et sur plusieurs étages. Mais finalement c'est pas si différent de chez nous. Cassandra allait faire des courses et avait donnée rendez-vous à des amies. Elle partit les voir

– Hé oh Cassandra
– Jane. Sheryl. Ann. Comment ça va ?
– Ça irai mieux si ta marraine arrêtes de te coller un toutou
– C'est pas un garde du corps, c'est mon ami, Yacob. Il vient de France.
– Enchantée de vous connaître, mesdemoiselles.
– Moi de même. Il est super canon ce gars.
– Attention : pas touche, (en me regardant avec les yeux doux) il est à moi
– Ouh, attention les filles, ce beau gosse est déjà pris.
– Drôle. Eh bien, si ça ne vous dérange pas, on ferais mieux de bouger.
– D'accord. (vers moi) Reste en retrait sur six mètres et regarde autour de toi !
– Bien reçu, Cassandra.

Puis pendant trois heures, on se baladait dans le centre commercial. Elles faisaient des achats. On sortait enfin et Cassandra me demandait de rester dans la voiture. J'y restais lorsque trois hommes mal habillés venaient vers elles, armées d'armes blanche et leurs demandant :

– Donnez nous vos affaires et votre argent où on vous taille une jolie cravate, mes jolies.

Ayant vu ça, je suis sortie de la voiture avec mon arme de service, un pistolet H&K Mk.23, puis je me suis approché d'eux, j'ai collé un flingue sur la nuque de l'un des gars et je lui glisse à l'oreil :

– Toi, tu bouges un seul de tes doigts, je t'explose la cervelle et on retrouveras le dernier de tes neurones à Los Angeles ou à Vladivostok. Tu vas poser ton jolie porte-bonheur au sol et tes petites copines devraient en faire autant !
– T'es qui toi ?
– Capitaine Sadoune Yacob, Armée de l'air des Etats-Unis d'amérique.
– Hé, mec ! C'est un militaire, mieux vaux lui obéir !
– D'accord, tout ce que tu veux mec !
– C'est bien : Fais de beaux rêves.

Je met un coup de crosse à celui à qui j'ai braqué mon arme et les deux autres étaient les mains levées. Lorsqu'une de ces amies a vu ça, elle a dit à Cassandra.

– Un ami, hein ?
– Un ami qui me veux du bien. Ça va, Mack ?
– Ouais ça roule. Bon mes jolies, je crois que vous connaissez la réplique : Vous êtes en état d'arrestation. Vous avez le droit de garder le silence, mais tout ce que vous direz sera et pourra être retenu contre vous. Vous avez le droit à un avocat, si vous en avez pas, on vous en donnera un commis d'office. J'espère que vous avez compris vos droits ?

A ce moment, le téléphone sonne. C'était Carter.

– Capitaine. C'est le colonel Carter
– Mon colonel.
– J'ai remarqué que vous vous disputiez avec des personnes sur le satellite. Ça va aller ?
– Ouais, deux ou trois idiots qui se prenaient pour des gangsters. Ils sont hors d'état de nuire.
– Très bien. Bon boulot. J'ai pris la liberté d'envoyer la police.
– Parfait, du moment que ça me fait les pieds. Sadoune, Terminé.
– Bien reçu. Rentrez vite !
– Roger. Désolée de vous faire faux bonds, mais cassandra et moi devont partir de toute urgence. A bientôt j'espère.
– Au revoir, Mack !
– Moi c'est Yacob, Makiavel pour les intimes. Pas Mack !
– D'accord !

Base de Cheyenne Mountain, à l'heure prévue (17H00)

Nous étions rentrée à la base et nous étions très détendus et nous rigolions à propos de ce qu'il s'est passée. Puis nous avancions vers le bureau d'O'Neill.

– Au fait. Remarqua Cassandra. Tu l'as trouvée où cette phrase «à Los Angeles ou à Vladivostok». Sérieusement, t'es trop cool, mais t'es dingue.
– C'est plutôt moi qui devrait dire ça. Au fait tu ne révises pas pour ton certificat d'études ?
– Si mais de temps en temps...Tiens, v'la le boss.
– Mon général ?
– Capitaine. Il parait que vous avez fait un carnage avec trois délinquants juvéniles ?
– Eh bien, vous m'avez demandé de l'escorter...ce qui sous-entends que si elle était en danger, j'aurais le droit d'utiliser la force...N'esc-ce pas, mon général ?
– Heu, oui. Enfin, elle est saine et sauve, donc votre mission est terminée.
– Très bien. Je crois que c'est la dernière fois qu'on se voit, à bientôt, j'espère !

À ce moment, elle me prend la tête avec ses mains et m'embrassa. «Hein, quoi ? Mais qui c'est qui m'agresse ? Ah, non, on m'embrasse !». ça m'a étonné sur le coup, mais je lui demandait :

– C'est gentil, merci. Mais en quel honneur ?
– En l'honneur d'un mec super mignon et super drôle que j'aime beaucoup. À bientôt, beau gosse.
– «Je vais m'évanouir !». A bientôt, jolie demoiselle.

Puis elle partait vers la sortie. Et moi je regardais le général et lui, ayant deviné ce que je voulais a dit :

– Prenez une feuille et notez...1045 Denver road, dans le quartier nord. Son numéro de téléphone est le 555-0145/45 et son mobile c'est 802-555-4877
– Merci beaucoup. Je pourrais aller la voir.
– Je vous donne la soirée d'aujourd'hui et demain en permission.
– Merci beaucoup.

Chez Cassandra, 30 minutes plus tard...

J'arrivais devant chez elle en voiture. Elle habite dans une belle maison et en plus c'est bien retapée. Enfin, je descendais de la caisse, allait devant sa porte et sonna. La porte s'ouvre et elle fut étonnée de me voir devant chez elle.

– Yacob ? Qu'esc-ce que tu fais là ?
– Eh bien, j'avais envie de passer par là pour visiter la ville. Et puis je me suis rappelé que O'Neill m'a donné une adresse et deux numéros de téléphone. Alors je suis ici !
– T'es un vrai incorrigible. Tu entres ? J'ai quelque chose d'important à te dire.
– Pourquoi pas

Elle m'a pris la main, et me fit son regard d'ange. Comment pouvais-je refuser son offre. J'entrais chez elle et je remarquais un superbe salon avec un écran géant plat, tout un home cinéma et un lecteur-enregisteur de DVD. Elle m'a demandée :

– Tu veux boire quelque chose ?
– De l'eau, merci. Tu as donc quelque chose à me dire ?
– Oui, mais je ne crois pas que tu va être content.
– Vas-y je t'écoute.
– Eh bien, j'ai parlé avec Jack et il m'a dit que tu n'était pas vraiment un gars qui tombe amoureux tout le temps.
– Et toi, tu es tombée amoureuse de moi et tu penses que tu vas te prendre un vent ? Laisse moi te demander quelque chose.
– Quoi, j'espère que tu ne vas pas être en colère, parce que je serais vraiment désolée et...
– Arrêtes un peu et laisse moi parler. Esc-ce que tu veux être ma valentine ?
– T'es sérieux ?
– Jamais aussi sérieux de toute ma vie. T'es super belle, sympa, et en plus tu aimes le hard-rock, le métal et les avions de chasse. Comment ne pas s'en apperçevoir qu'on est des âmes sœurs ?

Puis c'est à ce moment qu'elle m'embrassait. Et je répondis langoureusement et fougueusement. Puis elle me chuchote à l'oreil «Tu viens, on va dans ma chambre ?». Euh...là on va sauter. Vous mêmes vous savez ce qu'il va se passer !

Base du SGC, Cheyenne Mountain
28 juin 2005, 08H00

Ca faisait une semaine que je suis ici et que je sors avec Cassandra et je ne le regrette pas. Elle est heureuse et lorsque j'ai un peu de temps libre je vais la voir mais la plupart du temps c'est elle qui viens me voir. Lorsqu'elle nous rends visite, elle est plus heureuse mais j'ai cru que j'allais mourir un jour lorsque j'étais dans le bureau d'O'Neill

– ...Oui c'est sur que dans ce cas là, on devrait renforcer la sécurité au niveau de l'accès et du contrôle mais dans ce cas là on devrait confier cette tâche au SRT et non au 101st AA.
– Oui mais ce projet appartient à l'USAF et on est en embrouille avec l'US Army.
– Mais le SRT appartient au département de la défense donc l'US Army ou l'Air Force on s'en fous royalement. A la limite moi je veux bien assurer la sécurité et commander un groupe de 45 hommes du SRT si le Pentagone...

Et c'est à ce moment que Cassandra débarque et s'approche de moi

– ...Cassy, comment vas-tu ?
– Mais je vais très bien, mon amour !

Et elle m'a embrassé devant O'Neill.

– Salut Jack, comment ça va ?
– Je vais bien, merci. Et toi, Cassandra ?
– Super bien. Dis donc, toi, il faut que tu passes...
– Cassandra, ça ne te déranges pas si je peux lui parler en privé.
– Mais bien sur. A tout de suite, mon ange.
– Je ne serais pas long, mon bébé !

Puis je me retournais vers le général O'Neill.

– Désolé, mon général, mais bon quand on aime...
– Pas grave. Demain vous êtes en mission sur une planète déjà explorée pendant trois jours. Et je compte bien vous intégrer dans SG-1 pendant cette periode. Sur ce allez rejoindre votre valentine et prenez votre journée. Vous avez quartier libre.
– Merci beaucoup. Au fait : Si vous croyez que je ne vous ai pas grillée en flagrant délit à propos de Carter...
– il n'y a jamais eu, il n'y a rien et il n'y aura jamais rien entre elle et moi. C'est purement amicale et professionnel.
– Ouais, ouais, ouais ! À d'autres, mon général. J'ai déjà parié 100$ que vous embrasseriez le colonel Carter et que vous lui direz ce que vous ressentez. Je veux repartir avec l'énorme cagnotte réunis (avant la disparition du dr. Fraiser) dans les cinq jours.
– Encore cette histoire ?...Bon vous avez gagné ! C'est vrai je suis fou amoureux de Carter. Mais ne le dites à personne.
– Je mourrais avec ce secret !
– Y'a intérêt ! Rompez, capitaine.
– A vos ordres.

«Dis donc sympa le général pour une fois !», il m'a laissé 24 heures avec elle. Je sens que je vais en profiter un Max avant la mission sur P3X...machin chouette truque muche. Enfin bref j'aperçois le Dr Jackson et me dis

– Je comprends mieux pourquoi Jack t'as laissé une permission, mon gars
– Drôle, Daniel. Très drôle ! Enfin je suppose que t'es venu nous souhaiter une bonne journée ?
– Non mais si ça te fais plaisir, Bonne journée les amoureux
– «Tu me le paieras, enfoiré !» à toi aussi, Dany Boy !
– Yacob ? Combien de fois je t'ai dis d'éviter de m'appeler Danny Boy ?
– Désolé Danny boy mais je vais aller me promener avec ma dulcinée avant la mission d'observation demain. On se voit demain à la salle d'embarcation ?

«Oh la gueule qui tirait le pauvre. Tu l'as tué sur place, joli mon beau !» Pour une fois, je pouvais être fier de mon coup. Quoi qu'il en soit la journée allait se résumer à : Soleil, Bisous, Promenade en amoureux. Mais désolé de vous décevoir les lecteurs, mais on va sauter ma journée en amoureux (En gros : allez voir ailleurs si j'y suis !). Maintenant, on va voir cette journée du côté du SGC. Le temps n'était pas à l'éclate et encore moins à la détente. Paraît-il que je suis le seul avec le sous-lieutenant Galinsky, le général O'Neill et le SG-1 à savoir que demain on est en mission. Officiellement, cette planète n'est pas aux mains des Goa'ulds. Mais officieusement...

– Sam, je devrais lui dire à ton avis ?
– Pour la mission de reconnaissance et d'exploration ? Mais il le sait déjà
– Ce qu'il ne sait pas, c'est que sa mission est de neutraliser un groupe de Goa'ulds que la Tok'ra a détectée depuis deux jours.
– Eh bien, on lui dira, Jack. De toutes façons il est plutôt d'une bonne humeur et en plus dans son dossier militaire on raconte qu'il obéit sans poser de questions et sans remords.
– Très bien on lui dira sur le terrain. Quant à moi, je viendrai pour la mission «d'exploration».
– Très bien. Et si on allait quelque part pendant une ou deux heures ?
– Non, ne me dis pas que...
– Si maintenant !

Salle d'embarquement, base du SGC
29 juin 2005, 09H00.

«Dis donc, ils ont du bon matos question flingue. Mais hors de question que tu laisse ton arme fétiche ici !». J'étais en treillis avec un P90 que j'ai modifié spécialement et un H&K Mk.23. Tout le monde était prêt à passer la porte. Il faut dire que j'appréhende ce moment. C'est la première fois que j'allais la passer et c'était quelque chose apaisant. Au moment ou j'allais passer la porte, je vis le général O'Neill.

– Alors, capitaine. Prêt à voyager ?
– Mon général, Vous ne deviez pas rester à l'arrière ?
– Disons que j'ai envie d'une ballade. On n'y va ?
– Après vous, mon général !
– Merci.

On passa tous la porte et on arriva tous sur P3X-108. Une planète avec un paysage tellement beau qu'on réfléchirais à deux fois avant de se battre. Une sensation de froid m'envahis. Carter avait décris cette effet secondaire : un léger froid passager et des frissons. La porte se ferme derrière nous et nous commencions notre exploration. Cette planète déjà explorée était habitée par un peuple ayant les mêmes avancées technologiques que nous. O'Neill vient discuter avec moi.

– Alors ce voyage, capitaine ?
– Pas mal, je dirais même «on remets ça ?» mon général.
– Très bien, capitaine. Vous savez, j'ai lu votre dossier, impressionnant : 35 missions toutes réussies, 150 terroristes mis hors d'état de nuire (dont six tuées et dix autres blessées), 180 otages libérées et protégées ainsi qu'une mission de protection à l'étranger avec le président français.
– Vous savez, on est professionnel ou pas. Et puis, j'aime mon boulot et...j'aime aussi Cassandra.
– Je vois. Au fait, je voulais vous dire qu'à part moi et Carter, vous serez le seul à savoir ce que je vais vous dire. Si vous êtes ici, c'est pour accomplir une mission Eyes Only de niveau 5.
– Reconnaissance, Nettoyage et Sauvetage. Où, quand et comment ?
– Dans deux jours, ici avec SG-1 et SG-7
– Très bien.
– Bon, bien, Bonne journée à vous Capitaine.
– A vous aussi. Au fait : Dites-lui !
– Capitaine !
– Vous voulez savoir comment j'ai su : très bien, je vais avouer. J'ai remarqué que quand elle est rentrée dans votre bureau : vous lui avez demandée qu'elle vous tutoie et elle vous a demandée quelque chose à propos d'une soirée que vous aviez prévue de faire vous deux et que vous avez fait !
– Comment savez-vous que...
– Je lis sur les lèvres. Faites ce que vous voulez mais après vous allez le regrettez !
– Quand j'en aurais l'occasion, je lui dirais !
– Très bien, je vous fait confiance. Soyez courageux !

Je voyais le général O'Neill partir voir carter. Apparemment ça fait quoi, allez, huit ou neuf ans qu'ils se connaissent et même pas une fois qu'ils sont sortis comme ça, ''Entre potes''. Paraît-il qu'ils se sont déjà embrassés mais bon je n'en crois rien.

Sur P3X...Machin chose (J'en ai marre de son nom !)
deux jours plus tard...

Deux jours qu'on est sur cette planète et pas un seul monstre à la tête de serpent qui se ramènent. A croire que ça n'existe pas leur truc. Enfin j'étais assis sur un rocher et j'avais la photo de Cassandra dans les mains et j'étais entrain de penser à elle. Je vis le ciel et j'aperçu un sorte de lune – plutôt les lunes, vu qu'on est à environ 2,4 millions d'années lumières de chez nous – éclairaient le ciel et il faisait chaud avec une légère brise dans ma nuque...Qui finalement se transformait en une grosse rafale de vent qui sentait le brûlée...C'était eux, les goa'ulds. Le bruit a réveillé tout le monde dans le camp qu'on avait fait et le vaisseau s'est écrasée pas très loin. Tout le monde était sur le pied de guerre et prit leurs armes au cas où ça devrait sentir le grabuge et qu'il fallait tirer dans le tas. J'avais déjà la mienne sur moi et le général O'Neill s'approcha vers moi.

– Capitaine Sadoune, c'est parti pour la mission.
– Youpi, enfin de l'action. J'ai trouvé un endroit où on peux faire une embuscade. Venez !
– C'est parti. Carter, Teal'c et SG-7 derrière Sadoune et moi. Les autres, rentrez sur terre.

L'évacuation se fit sans encombre et sans problèmes. Tous avait respectées les consignes de sécurité pour les scientifiques et les militaires non armées.

Deux heures durant on les attendait, mais finalement ils ne vinrent pas ici, mais ils ont été vers le village. Ce sont des tirs de lance-serpents qui m'ont alertés et m'a conduit à vite faire un plan d'assaut du village avec le général O'Neill. Les goa'ulds appartiennent au seigneur goa'uld ba'al. On y est tous allées et on a commencer à progresser maison par maison, rue par rue. On essuya des tirs de la part des Goa'ulds ce qui m'a un peu amusé, puis ça a commencer à me les briser menus. Je reçois un message radio de la part du lieutenant-colonel Carter.

– Carter à Sadoune, esc-ce que vous me recevez ?
– Cinq sur cinq. Alors comment ça se passe chez vous ?
– Plutôt mal. Ils ont un canon lance-serpent, ils nous empêchent de progresser. Vous êtes le seul à pouvoir le mettre hors d'état de nuire.
– A quelle distance se trouve-t-il ?
– Environ 150 mètres devant vous puis à gauche à deux pâtés de maison plus loin.
– Bien reçu, je vous ouvre la voie.

J'étais déjà en forme et j'avais tué déjà au moins une dizaine de goa'ulds à moi tout seul. Je progressais dans les rues du village en nettoyant les zones. J'arrivait sur les lieux et il y avait au moins une trentaine de jaffas qui étaient réunis autour du canon «Heu...makiavel ? Tu vas faire comment pour ouvrir la voie à SG-1 et au reste des soldats ?...ah ha ! Malin les grenades que t'as sur toi !». Je m'avançais discrètement, grenade incendiaire à la main, et j'en lançait deux. Elles ont explosée et tuées la plupart. J'ai bien dit la plupart, parce qu'il en restait au moins cinq et les tirs allaient sur moi.
«Merde, mais qu'esc-ce que tu fous dans cette galère ?» et c'est là que j'ai pensé à un petit trafic de grenade : une grenade avec un bon morceau d'explosif C4 pour tout faire péter. J'ai pris une charge de C4 et je l'ai collé avec la grenade. J'ai enlevée la sécurité et lancée la grenade...Un grand BOUM ! Le canon était quasiment détruit et il ne restait plus rien. «Makiavel Lead The Way !».

– Sadoune à O'Neill La voie est libre. Passez je vous couvre !
– Bien reçu. Joli boulot !
– Copy That. Daniel ?
– Oui, capitaine ?
– J'ai trouvé des cailloux pour toi !
– Très drôle, capitaine !
– Si tu ne veux pas les explorer, mon pote, je le fais sauter !
– Non, surtout pas ! J'arrive.

«C'est bon, mec, laisse le tranquille !» J'avais envie de le taquiner un peu, le Danny Boy, mais finalement, il a pu faire ses recherches sur place et il a trouvée ça fascinant. Mais le répit n'était que de courte durée car un vaisseau-mère Goa'uld se pointe à l'horizon. «Oulàlà, là Yacob, il faut que t'évacues et vite, toi et toute l'équipe.»

– Alpha-1 pour Leader SG-1
– Leader SG-1 j'écoute.
– Vaisseau-mère Goa'uld en approche. Evacuation directe des villageois et des membres de l'équipe d'exploration conseillée.
– Bien reçu, terminé
– Alpha-1, terminé.
– C'était le capitaine Sadoune. On doit partir de toute urgence. Y'a un vaisseau mère qui se pointe !
– D'accord. Daniel vous avez fini ?
– Depuis un bon bout de temps.
– D'accord. EVACUATION TOUT LE MONDE !

Tout le monde sortait de l'édifice. Les villageois sont évacuées et emmenées vers la porte des étoiles. Des sortes d'avions commençaient à nous attaquer et c'était la panique. Les messages radio fusaient dans tous les sens. On arrivait à la porte et on envoya le code d'autorisation avec un petit message radio qui était bien claire

– Ouvrez l'iris, lieutenant, on est entrain de se faire canarder , y'a des civils préparez une équipe médicale.
– Bien reçu capitaine. J'ouvre !
– Roger. ALLEZ PLUS VITE FONCEZ DROIT DEVANT !

Tout le monde passait la porte et j'étais le dernier à sortir du vortex. J'étais entrain de reprendre mon souffle et je dis en français «Yahoo ! Putain, si c'est ça tous les jours je veux recommencer encore et encore !». Quoi qu'il en soit je pétait la forme, au moins pendant cinq minutes...

– Capitaine, vous avez été du tonnerre sur ce coup ci !
– Merci mon général. Mais je n'ai fait que mon devoir... J'ai la tête qui tourne là !

«Oh putain, ça ne va pas recommencer...ooups là c'est du sérieux. Merde ressaisis-toi, ne me lâches pas !» C'était assez grave. J'ai été touché au ventre et là c'était sérieux.

Infirmerie de la base du SGC
9 juillet 2005, 09H00

Une semaine de repos dans un lit après un tir de lance-serpent dans le ventre ça vous motive pour recommencer. J'étais allongé sur un lit dans la base alors que les sept autres étaient déjà chez eux. Pendant ce temps le Général O'Neill a reçu une lettre de mon patron pour leur signaler que je restais définitivement aux USA. O'Neill, enchantée par cette nouvelle décide alors de m'intégrer officiellement au programme porte des étoiles et m'intégrer dans l'armée de l'air des Etats-Unis et de plus me recommande pour une promotion au grade de major. J'étais déjà en tenue de sortie officielle et m'apprêtais à faire mes bagages après m'être réveillé deux jours plus tôt quand je vis Carter, O'Neill, Teal'C, Jackson et Cassandra.

– Bien le bonjour tous le monde. Alors que s'est-il passée pendant huit jours.
– On était inquiets, On ne savait pas si vous alliez vous en tirer, capitaine.
– En tout cas, je me sens mieux. Désolé de t'avoir fait peur pendant une semaine Cassandra
– Pas grave, Yacob. Jack, tu n'as pas quelque chose à lui dire ?
– En effet. Capitaine, je dois vous annoncer une très bonne nouvelle : vous restez ici !
– Pardon ?
– Votre gouvernement nous a autorisés à vous garder et faire parti du projet.
– Ce qui veux dire que je suis un officier de l'US Air Force ?
– Exact. D'autant plus que vous pourriez rester avec Cassandra.
– Merci beaucoup. «De la bombe !»
– Félicitations, Major Sadoune Yacob, Bienvenue dans l'US Air Force.
– Merci mon général...Hein quoi ? Major ?
– Je vous ai recommandé pour une promotion. La cérémonie aura lieu dans trois jours. Reposez vous en attendant, c'est un ordre
– Très bien mais je dois faire rapatrier des affaires, surtout quelque chose en particulier.

Trois jours plus tard...

Si seulement j'aurais su. Y'a encore trois semaines j'étais un bouffeur de grenouilles pour eux et maintenant je suis un homme digne de confiance. La cérémonie se déroula avec tous le personnel de la base, le Brigadier-General Jack O'Neill, le Lieutenant-General Georges Hammond, le Secrétaire d'état à la défense et le président lui même. O'Neill avait prévu un speech assez classique mais finalement ça tourna court...

– Mesdames et messieurs, si vous êtes réunis ici c'est pour...non je vais la jouer original : Yacob a été un soldat français qui pendant une période qui était défini sur quinze jours devait connaître le projet porte des étoiles. Aujourd'hui il est un soldat américain qui a un sacré tempérament et surtout un sens de l'humour aussi tranchant que drôle. Si on est ici à le complimenter, c'est qu'il a mérité sa promotion. Au nom du gouvernement, du département de la défense et de l'armée de l'air des Etats-Unis d'Amérique, c'est avec honneur et plaisir que je vous annonce que vous êtes promu au grade de major de l'armée de l'air des USA. Félicitations major Sadoune.
– Merci, mon général.

O'Neill et Hammond m'enlevèrent l'insigne de capitaine pour me mettre une feuille de chêne d'or, qui signifiait que je suis le Major Sadoune Yacob, officier de l'armée de l'air des Etats-Unis d'Amérique. Après la remise de grades, les Généraux Hammond et O'Neill s'approchèrent de moi.

– Major Sadoune, je vous présente le lieutenant-general Georges Hammond. Georges, je vous présente le Major Sadoune Yacob
– Mon général, c'est un honneur de rencontrer le mythique ancien-chef du SGC pendant sept ans.
– Moi de même. Alors, ça vous plait d'être ici ?
– Beaucoup, oui. Maintenant que je suis un officier de l'air force, je vais pouvoir mettre à contribution mes connaissances.
– Parfait. Dites moi quand vous avez dit au général O'Neill que vous deviez faire rapatrier toutes vos affaires, surtout une en particulier. Qu'esc-ce ce «quelque chose» ?
– Je préfère garder le mystère, je suppose que vous ne pourrez venir si souvent que vous en avez envie, notamment avec le poste de commandant en chef de la défense terrienne ?
– En effet. Sur ce major : continuez de faire du bon travail.
– Merci.

QG du SGC, deux semaines plus tard
(EPILOGUE DE LA FANFICITION)

Il y a une semaine, Cassandra m'a proposé de venir habiter chez elle et m'a annoncée qu'elle a eu son certificat de fin d'études. Désormais on vit en couple et pour la première fois de ma vie je me sens comblé et heureux. Heureux de me lever tous les matins et de croiser le regard d'une jeune femme très cool et magnifique. Chaque jour me rend plus heureux et fier de ce que j'ai accompli. O'Neill est venu m'attendre à la base pour me demander quelque chose à propos de la «chose» que je voulais à tout prix ramener aux USA



– Major, ne me dites pas que ce monstre est votre tenue de combat ?
– Eh bien, mon général. Je vous présente FELIN
– Il rugit comme un lion ?
– Non, c'est une combinaison avec interface informatique et électronique.
– Et quand esc-ce qu'on aura l'occasion de voir ce FELIN en marche.
– Quand il y aura une mission.

Et finalement, il y en a eu une trois heures et demi plus tard.

– Major ?
– Mon colonel ?
– Ça vous a compté combien ?
– 25 000 euros, je préfère ne pas en parler. Mais comme on dit...
Et c'est là ou tout SG-1 a répété en chœur : «Ou on est professionnel ou on ne l'est pas»

– «Espèce de sales copieurs !». ça c'est ma phrase : j'interdit toute personne de l'utiliser.
– Allez : allons-y

Et c'est reparti pour un tour : SG-1 passa la porte des étoiles pour de nouvelles aventures !
Sandstorm
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

Donc, ceci est mon dernier message et celui-ci est à l'intention des modérateurs, voire au webmaster :

Si vous la jugez intéressante, je vous l'envoie !!!
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par mat vador »

CITATION (Sandstorm,Samedi 20 Août 2005 à 19:27) Donc, ceci est mon dernier message et celui-ci est à l'intention des modérateurs, voire au webmaster :

Si vous la jugez intéressante, je vous l'envoie !!!
si tu dit ça pour qu'elle soit mise dans la partie fanfic du site, sache qu'elles ne sont pas mises en ligne selon l'avis du staff, mais à la demande. je crois même que Goycar est le seul membre du staff à lire des fics. si tu veux que ta fic soit sur le site, tu l'envoie au format WORD à kio07@laposte.net
ils te la mettrons en ligne sans problème ;)

bon, moi, je vais lire ça, et te donner mon avis plus tard. ;)
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par BelGarion_76 »

Je voulais savoir un truc Sandstorm. Ta FanFic tu la considère comme une fan-fic délire ou un truc sérieux?

Car je viens de la lire, et pour moi c plus un ptit délire non ?!? Ne le prends pas mal surtout. Mais je vois mal ta fic comme un épisode de SG...

Donc, je n'ai pas trop aimé, désolé.
Le perso principal est assez bien travaillé (mais pourquoi si jeune, irréaliste... dommage) et le style bien qu'à retravaillé assez fluide. Le mélange de temps ( présent et imparfait) dans les descriptions est dommage. Les pensées du persos sont intéréssantes mais trop familières... En fait c toi dans SG non ???

Enfin si c un truc que t'avais envie de faire, un ptit délire c sympa !
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

CITATION (BelGarion_76,Dimanche 21 Août 2005 à 03:52) Je voulais savoir un truc Sandstorm. Ta FanFic tu la considère comme une fan-fic délire ou un truc sérieux?

Car je viens de la lire, et pour moi c plus un ptit délire non ?!? Ne le prends pas mal surtout. Mais je vois mal ta fic comme un épisode de SG...

Donc, je n'ai pas trop aimé, désolé.
Le perso principal est assez bien travaillé (mais pourquoi si jeune, irréaliste... dommage) et le style bien qu'à retravaillé assez fluide. Le mélange de temps ( présent et imparfait) dans les descriptions est dommage. Les pensées du persos sont intéréssantes mais trop familières... En fait c toi dans SG non ???

Enfin si c un truc que t'avais envie de faire, un ptit délire c sympa !
Je vais te répondre franchement : oui je voyais ça comme un délire. Quant à ce que tu as dis à propos de ton opinion personnel à la chronologie de ma fanfic, en éffet moi-même j'ai un peu de mal à la voir dans la série, mais ce que j'ai homis de dire, c'est qu'en fait elle se situe pas dans une saison elle-même, mais entre deux saisons (en l'occurence, la saison 8 et 9).

P.S. : En ce qui concerne le personnage, le nom que j'ai utilisé pour le nommer est le mien. Donc, j'ai pris la liberté de m'intégrer dans ma fanfic. Quoi que tu en penses, peu de personnes oserait le faire !!!
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

P.S. N° 2 : Ce que tu vois entre guillemets, c'est ce que mon personnage pense et se dit à lui-même et non ce qu'il dit vers les personnages. ça aussi j'ai oublié de le dire, désolé !!! :D
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par BelGarion_76 »

T'inquiète pas je me suis bien douté que ce qui est entre parenthèses ne sont que les pensées du perso.

Et pour un ptit délire c cool.
C vrai que Cassandra n'est pas mal, bon choix, héhé ! :D :rolleyes:
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par major aknin »

C'est vrai que ca correspond plutot a un delire qu'a un episode realiste (on ne passe pas de militaire francais a officier americain comme on change de chemise, un etranger ne pourrait pas etre assigne a une mission SG quelques jours apres son arrivee au SGC sans qu'on connaisse rien de lui, etc ...)

Mais sinon si tu le lis comme un delire que t'as toujours voulu realise, la c'est sur c'est plutot sympa ...
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

CITATION (BelGarion_76,Lundi 22 Août 2005 à 00:05) T'inquiète pas je me suis bien douté que ce qui est entre parenthèses ne sont que les pensées du perso.

Et pour un ptit délire c cool.
C vrai que Cassandra n'est pas mal, bon choix, héhé ! :D :rolleyes:
Merci !!!
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

CITATION (major aknin,Lundi 22 Août 2005 à 02:27) C'est vrai que ca correspond plutot a un delire qu'a un episode realiste (on ne passe pas de militaire francais a officier americain comme on change de chemise, un etranger ne pourrait pas etre assigne a une mission SG quelques jours apres son arrivee au SGC sans qu'on connaisse rien de lui, etc ...)

Mais sinon si tu le lis comme un delire que t'as toujours voulu realise, la c'est sur c'est plutot sympa ...
Eh bien en fait, tu as raison sur un point : Certes on ne change pas d'armée comme de chemise. Mais, je ne l'ai pas fait dans le contexte de la série, mais bien dans le contexte réel de la chose. Un officier d'un autre pays (Ex : la France) peut très bien intégrer une autre armée (Ex : l'US Air Force) pendant une certaine periode, mais il peut très bien choisir d'y rester à long therme !

P.S. j'ai bien l'intention d'approfondir le dossier militaire mon personnage dans une prochaine Fanfic. Sois patient !!!
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Message non lu par Jack »

c'est pas mal. Y'aura une suite ?
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

CITATION (Jack,Lundi 22 Août 2005 à 13:34) c'est pas mal. Y'aura une suite ?
Il y en aura bien une suite, en éffet. d'ailleurs la fanfic est la première d'une série de vingt fanfics. Tout ce que je peut te dire pour le moment, c'est que le nom de la fanfic est "Lance Folle" est que c'est un crossover avec les romans et des scénarios de jeux vidéo de Tom Clancy (Rainbow Six et Splinter Cell en l'occurence)
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par leprechaun »

J'ai mis toute la bonne volonté du monde pour lire ton prologue, mais il y a une telle quantité d'incorrection et de barbarismes que je n'ai pas pu finir. Merci de corriger toutes ces fautes! :blink:
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

CITATION (leprechaun,Lundi 22 Août 2005 à 13:56) J'ai mis toute la bonne volonté du monde pour lire ton prologue, mais il y a une telle quantité d'incorrection et de barbarismes que je n'ai pas pu finir. Merci de corriger toutes ces fautes! :blink:
Je veux bien te faire une traduction, mais il me faudrait des siècles et des siècles pour te les faire comprendre !!
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Cyril »

C'est plutôt pas mal mais parfois j'avais l'impression que y'avez des énormités ... Je doute qu'a 16 ans on puisse connaître tant de langue, être capitaine et possédez autant de spec. ...

Enfin bon :rolleyes: Vu que c'est plutôt un Délire:

BoBoulot !
Dernière modification par Cyril le 22 août 2005, 14:28, modifié 1 fois.
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Re: Nouvelle fanfic, chaud devant !

Message non lu par Sandstorm »

CITATION (Cyril,Lundi 22 Août 2005 à 14:10) C'est plutôt pas mal mais parfois j'avais l'impression que y'avez des énormités ... Je doute qu'a 16 ans on puisse connaître tant de langue, être capitaine et possédez autant de spec. ...

Enfin bon :rolleyes: Vu que c'est plutôt un Délire:

BoBoulot !
Je le redis encore une fois : MERCI BEAUCOUP !!!
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