Stargate Community : la grande destinée[/font]
Chapitre 2 : Exploration, seconde partie[/font]
Soudain, Christophe s'arrête, terminant sa conversation avec lui-même. Il se retourne et montre une porte. Il informe ceux qui l’accompagnent que cette salle est l’armurerie principale du vaisseau. Il l'ouvre et pénètre dans une salle de 30 m² environ, l’endroit est vide, on y voit que les murs semblable à ceux du couloir et de 80% du vaisseau. Le jeune homme avance au fond de la pièce, soulevant l’interrogation de ses compagnons. Il pose la main sur le mur. C’est alors qu’en sort une longue étagère d’environ deux mètres où l’on peut y voir plusieurs rangées d’armes. Pears, l’arme au poing, est tout d’abord surpris, puis un sourire envahit son visage, il baisse son arme et examine le contenu des étagères, il demande des explications. Le nouveau commandant lui explique tout simplement qu'il vient d'apprendre l'existence de l'armurerie des Anciens.
- Elles sont jolie ces armes, j'aime bien, dit Pears. Elles font moins tapette que les autres armes Ancienne que j'ai vu.
- Vous êtes américain ? Demande Christophe étonné des propos du militaire.
- Affirmatif, répond Pears. Mais je viens en vacance tout les ans en France depuis l'âge de 3 ans. Ce qui m’a permis de me familiariser grandement avec la langue. Ça répond à votre question.
- J'adore votre façon de parler, dit Frédéric.
- Merci, répond Pears. Commandant Christophe, dit-il ironiquement, vous nous faites un inventaire de ces armes. Un commandant doit savoir ce qu'il a en stock.
Christophe présente une petite boule noire parfaitement sphérique et lisse précisant qu'il s'agit d'une grenade à usage multiple. Elle pouvait autant éblouir un ennemi, qu'envoyer un gaz hilarant ou somnolent. Elle peut également servir de simple explosif. Il sort ensuite un petit pistolet aux allures de pistolet de Far West. L'arme fait un peu rétro avec une cross imitation bois et une base montrant trois canons. C’était un peu comme concilier technologie du passé avec celle du futur.
- C'est l'arme de Ronon, s’extasie Pears. Je me demandais où il avait obtenu cette arme. C'est génial. Donc paralysante, et qui tue.
- Elle peut également désintégrer, répond Christophe. Pour cela il faut avoir la recharge triple action mais ça demande plus d'énergie. Vous la trouverez par ici.
- Triple actions, répond Frédéric. Ça fait très Ariel comme produits.
- C'est quoi ? Demande Guillaume présentant un cristal bleu.
- C'est un cristal pour le pistolet, répond Christophe. Si tu le mets, tu as une capacité de douze tires anti chasseurs, ça fait également du hachis Parmentier avec n'importe quelle viande animal.
Pears saisit alors le cristal des mains de Guillaume et place ensuite la ceinture équipé de cette arme fabuleuse autour de sa taille. Ensuite, Christophe présente une arme plus lourde ressemblant à une gatline portable avec un long canon et sept sorties à la base. De part son poids, le porteur est obligé de transporter l'arme avec ses deux mains et un harnais permettant de facilité le transport. Pears fait remarquer qu'une telle arme, malgré sa puissance de feu évidente, empêcherait un soldat de se déplacer rapidement. Christophe rétorque que l'arme est étonnamment légère de par sa composition et qu'elle offre des milliers de tires à énergie. Puis, il appuie sur un bouton situé sur la cross de l'arme. Soudainement, l'arme change de forme, comme modifier atome par atome, pour devenir une arme plus petite semblable à une mitraillette. L'arme lourde est devenue est légère, la cross est resté comme à son origine, seul la taille du multi-canon a changé laissant apparaître un canon ne mesurant pas plus de quelques centimètres.
- Oh ça déchire, une mitraille interchangeable pour la chasse, dit Frédéric.
- J'en prends une, dit alors Pears.
Les garçons en prennent tous une, la mettant en position arme légère.
- Et voilà un bijou de technologie, dit Christophe montrant un objet similaire à son interface neuronale. Grâce à ceci, vous avez une radio capable de discuter dans le subespace permettant de s'affranchir des distances et surtout de la composition environnemental tel qu'un mur épais. Ça fait jumelle, rayon X, détecteur de chaleur, on peut même y recevoir des données venant du vaisseau... grâce à l'écran holographique qui apparaît devant les yeux
- Ça fait télé en gros, dit Frédéric.
- Il y a quoi au programme, dit Pears. J'en prends un.
Sur une seconde étagère activée par le lieutenant colonel Pears, on peut y voir des tenus d’équipage. Pears estime que les tenus civils qu’ils portent ne sont pas vraiment adaptés. Il demande à ses compagnons de ce changer et de porter les uniformes. Il justifie son choix par la présence de nombreuses poches où ranger les armes et tous autres objets qu’ils auront à transporter sur eux. Chacun s’exécutent. L’uniforme composé d'un pantalon et d'une veste noir offre de nombreux avantages, en plus de celui mentionné par Pears, la matière, probablement des fibres manipulées au niveau nanoscopique, garantit une protection contre les projectiles, la chaleur et les conditions extrême d’une planète. Le dernier avantage est celui de pouvoir se fondre dans l’environnement d’où la capacité de l’uniforme de changer de couleur. L'ensemble permet ainsi de disposer d'un pistolet léger et de quoi accrocher la mitraillette. D’ailleurs, c’est l’analyse des uniformes par Pears qui le motive à prendre une telle décision. Ce qui l’étonne c’est la nature des uniformes anciens. Les différents rapports, qu’il a lu juste que là, n’ont mentionné en aucun cas ces caractéristiques.
Après avoir accroché les interfaces de communication sur leur lob frontal, Christophe leur demande de le suivre. En sortant de la pièce, et après avoir parcourut quelques mètres, ils arrivent au bout du couloir, dans une impasse. Guillaume lui fait remarquer qu’il n’y a aucun accès. Christophe le regarde avec l’air à se moquer du monde, il pianote sur un clavier tactile présent sur le mur du couloir. Le jeune homme leur demande de se réunir au centre de l’impasse et sans dire un mot de plus, il les rejoint. C’est alors que des anneaux sortent du sol et les entourent. Les voilà téléporté. Ils arrivent dans une pièce sombre et apparemment immense. De l’obscurité, on passe à la lumière permettant ainsi d’admirer le gigantesque hangar. On peut voir face aux hommes 6 navettes ressemblant à des cargos rectangulaires et ne présentant aucuns angles. Le lieutenant colonel Pears les désigne comme étant les Jumpers. Des navettes capables de franchir la porte des étoiles, naviguant facilement dans les airs, les eaux et l'espace. Pears avance vers l’un des Jumper et en fait le tour, arrivant au bout, ils constatent avec étonnement que l’hangar dispose d’un autre type d’appareil. Le spectacle lui apporte tout de suite le sourire.
On peut alors voir une vingtaine de chasseur alignés sur deux rangées. L’appareil est de couleur noir et gris avec une dominance pour la dernière couleur mentionné, il est semblable à des chasseurs terriens comme le rafale ou le F-16. La différence tient par contre par sa forme, plus larges que longs et par une absence d’ailes. Le cockpit est dominé par une grande vitre où l’on peut y voir deux places probablement pour le pilote et son navigateur. A l’arrière, on peut y voir quatre petits réacteurs et un plus gros au centre. Sur ces derniers, on peut y voir comme des alvéoles. Le lieutenant colonel Pears est réellement surpris de cette découverte qu'il ne peut se retenir et laisser exprimer sa joie par un grand cri de victoire. Les autres autour sont plutôt étonné de son comportement ce que Guillaume ne manque pas de lui montrer.
- Je suis pilote, répond Pears. J'ai mené des hommes à bord de F-16 avant d'intégrer le programme porte des étoiles. J'ai conduit deux grandes batailles spatiales à bord de F-302, contre les Oris et contre les Wraiths. J'ai hâte d'essayer celui-là.
- Ces chasseurs, comme les navettes, se pilotent grâce à un module d’assistance neuronale, explique Christophe. Ça lit dans les pensées et permet de manœuvre l’appareil. Il faut des gênes spécifiques pour les piloter.
- Je sais tout ça monsieur je sais tout, dit Pears.
Alors que Pears examine les chasseurs, Christophe regarde la scène de loin et se perd à nouveau dans son esprit.
- Ce sont des armes qui pourront vous donner une chance face à l'ennemi
- Seul ennuie dans ce que tu dis, Pears et Jeanet pourront être les deux seul pilotes.
- Mais toi aussi. Le savoir que tu as, te donne toutes les capacités nécessaires pour piloter ce genre d'appareil. Tu l'as dis, ça se commande par la pensée. Et puis, il n’y a pas que toi. Nos amis en seront sûrement capables s’ils en ont les gênes.
- J'suis d'accord, mais c'est trop m'en demander. Je ne suis pas sûr de pouvoir faire cela. C'est au-delà de mes capacités. Et je ne suis pas certains que les autres soient plus disposés que moi à les piloter.
- Tu verras que j’ai raison et plus vite que tu ne le penses. Pour le moment ne montre aucune faiblesse, tu t'en sors très bien.
- On fait quoi pour la suite ?
- Je viens de trouver une réponse.
A peine ces quelques mots furent prononcés, que le regard de Christophe se fige dans le vide, comme si une idée géniale venait de lui traverser la tête. Puis, il demande à ses compagnons de le suivre. Il se retourne et active les anneaux de transfert. Les trois hommes face à l'incompréhension sont étonnés et finissent par le suivent. Christophe, après sa matérialisation se met à courir dans les couloirs suivit de loin par Pears, Guillaume et Frédéric qui viennent d’emprunter les anneaux. Pears, alors en pleine course, lui demande ce qui se passe.
Le jeune homme n’est même pas essoufflé quand il arrive à la passerelle, les gens présent se lèvent comme attendant une réponse. Noémie et Isabelle, qui discutaient jusque là, le regardent et lui demande ce qui se passe. Le jeune homme ne répond pas et s'arrête près de l’écran holographique. Isabelle s'approche de son homme et lui demande de nouveau ce qui se passe quand soudain, un tremblement se fait sentir. Le vaisseau sort alors de l'hyper espace. Le colosse spatial apparaît près d'une géant gazeuse au ton bleuâtre, probablement une planète de type Neptune. Non loin, on peut apercevoir une lune recouvert par de nombreux cratères d'impact. Le vaisseau avance dans le vide. Le major Jeanet toujours en salle des machines constate que le vaisseau est de nouveau en espace convention, elle demande à Jean-Paul de la suivre et de se dépêcher. Elle court dans les couloirs très rapidement alors que l'ingénieur est loin derrière à bout de souffle après seulement quelques dizaines de mètres parcourut, probablement à cause du manque d'exercice. A la passerelle, Pears, Frédéric et Guillaume sont arrivés, Christophe regarde l'image holographique représentant une carte d'un système solaire. Pears demande ce qui se passe, Christophe lui répond qu'ils sont arrivés à destination.
- La planète habitable que je visais est à un milliard de kilomètres environ. J'ai demandé au vaisseau d'arriver à cette distance délibérément quand j’ai découvert qu’on approchait du système. Mais ce dernier a pris l'initiative de nous camoufler dans le champ magnétique de la géante afin de rendre notre arrivé invisible.
- Il peut vraiment faire ça, répond Pears étonné. C'est On ne pouvait rien décider de mieux…... Et maintenant.
Christophe demande à Pears une minute. Soudainement, la lumière de la passerelle se tamise et l’image holographique se transforme et fait apparaître l'image d'une galaxie. La galaxie se rétrécie et on peut voir alors un amas de galaxie. Le major Jeanet arrive dans la salle avec étonnement. Elle approche de Christophe et dit alors :
- C'est une carte de l'amas local.
- C'est plus que ça, explique Christophe désignant l'image avec son doigt. Cela représente l'amas local et les amas avoisinant. Actuellement, nous sommes ici dans l'amas de Cane 1. C'est un amas densément peuple par des galaxies naines. Avec ce que je sais de cet amas, je peux dire avec certitude qu’on est à plus de 10 millions d’années lumières de chez nous.
Christophe a localisé le vaisseau dans une galaxie naine aux confins dans un autre amas, appelé Groupe de Cane 1, c'est un amas relativement proche de l'amas local dans la direction de l'amas de la Vierge. Maintenant, il tente de déterminer la distance réelle. Pour cela, il s'aide de la distance Voie lactée et Andromède dont il connaît à peu près la distance. En effet, depuis tout petit, il s’est passionné d'astronomie et s'est intéressé à tout sujet entourant ce qui s'en rapproche. Bien que le sujet l'intéresse, les nombreuses années d'études pour devenir astronomes l'ont découragé préférant un métier plus abordable pour son intellect à savoir la comptabilité. Une ligne rouge apparaît partant de l'emplacement actuel du vaisseau jusqu'à la voie lactée. Avec ses doigts, il se sert de la distance de référence ici Voie lactée/Andromède et fais son calcul. En effet, l’image était à l’échelle c’est d’ailleurs pour cela que les galaxies sont si peu visible et représenté par des points.
- On est à 20 millions d'années lumières de la Terre environ. On va dire à quelques centaines de milliers d'années lumière près.
- Et vous savez comment ça ? Demande Pears.
- Christophe est passionné de l'univers et de ses mystères, répond Noémie. On peut lui faire confiance sur ça.
- Ce vaisseau dispose d'une hyper propulsion intergalactique, dit Jeanet. Maintenant que l'on sait où on est, on peut rentrer chez nous.
- Ce n’est pas la porte à côté major, ajoute Pears. Si nous sommes à 2000 années lumière de notre point de départ et en prenant en compte le temps qu'il nous a fallu pour y arriver. On devrait mettre un peu moins de 100 jours pour rentrer.
- Et il faut prendre en compte le temps de ravitaillement, explique John. Il faudra peut être s'arrêter plusieurs fois.
Pears et Jeanet trouvent que la situation n'est pas alarmiste quand soudain Christophe intervient :
- Le vaisseau a quelques avaries, on a peu de réserve en énergie mais par chance, nous sommes dans un système disposant d'un astéroïde de naquadah. Les Anciens en ont envoyé dans les différentes galaxies situées dans leur zone d'influence sur un rayon de 20 millions d'années lumières autour de la voie lactée.
- Vous n'avez pas choisi ce système par hasard, répond Pears. Mais par défaut. Je comprends mieux votre choix. Parmi les systèmes disponibles, ils étaient le seul à répondre à nos besoins dont le naquadah.
- C'est ça, répond Christophe. Le prochain système disposant de ressource en naquadah est situé à 54 000 années lumières. Mais vous oubliez un second problème, ajoute Christophe
Soudainement la ligne rouge disparaît et une autre trajectoire se calcule après quelques secondes, c'est une ligne en zig zag qui apparaît.
- Qu'est-ce que c'est ? Demande Jeanet. Une autre trajectoire ?
- Notre trajectoire, répond Christophe naturellement. Pour se ravitailler et cela en comptant un effectif de 83 personnes, le vaisseau a calculé qu’il va devoir se ravitailler tout les trois semaines environ. Quand on connaît tout ses paramètres, on s'aperçoit que le tracé en ligne droite ne traverse que deux galaxies et de plus sur leur côté périphérique.
- Et comme les planètes sur les abords des galaxies sont moins propices en ressources à cause de leur éloignement par rapport au centre de la galaxie, explique Jeanet.
- Les étoiles proches des galaxies se perturbent gravitationnellement, explique Frédéric à Pears qui semble ne pas comprendre le problème. Et donc, les nuages de comètes les entourant sont souvent perturbés ce qui fait que la vie dans ces systèmes là connaissent des extinctions plus importantes. Et inversement, les étoiles plus éloignés connaissent des impacts moins importants. Sur Terre, chaque extinction a permis une explosion de la vie et le dernier en date, celui d'il y a 65 millions d'années...
- … a permis au Dinosaures de passer l'arme à gauche, ajoute Pears et donc permis notre apparition.... avec l'aide des Anciens, ça va de soit. Bon vous voulez dire que ces mondes extérieurs pourraient ne pas nous apporter toutes les ressources qu'on a besoin.
- C'est ce que montre la carte des Anciens, répond Christophe. J'ai accès à la cartographie de toutes les galaxies sur 20 millions d'années lumières et des ressources de chacune.
- Sur une base de donnée d’il y a 8 000 ans, ajoute Pears.
- Naturellement. En modifiant notre trajectoire, la longueur du voyage est d'au-moins 32 millions d'années lumières, finit d'expliquer Christophe.
- Bah heureusement qu'on a l'hyper-espace galactique, s'exclame Pears. Donc ça veut dire.
- Ça veut dire que si on prend en compte une semaine pour charger des vivres et trouver une planète habitable et en comptant le temps de trajet des 32 millions d'années lumières.
- Il faudra compter bien 250 jours avant d'être de retour sur Terre, dit Frédéric. Et sans compté les surprises bien sûr
- J'ai oublié de donner suffisamment de croquette au chat, répond Pears.
- Attends une minute, dit John. Les sous-marins peuvent rester en mer près de six mois sans se ravitailler. Pourquoi pas nous ?
- Vous oubliez que nous allons devoir collecter la nourriture sans pouvoir la conserver longtemps, dit Jeanet.
- Et n’oublions pas que l’équipage est inexpérimenté, ajoute Pears.
Le major Jeanet explique également que le vaisseau a de nombreuses avaries et que les générateurs ne disposent que de 10% de carburant. Christophe explique que la présence des matières premières dans la ceinture d'astéroïde et de la réserve de naquadah présente sur l'astéroïde vont permettre de faire les réparations. De plus, le vaisseau dispose de canons de téléportation, des machines capable de téléporter les matériaux voulus et de les rematérialiser à volontés sur n'importe quelle partie du vaisseau. Le vaisseau est en mesure de le faire de façon automatique.
- C’est étonnant, dit Jeanet. Ni Atlantis, ni les vaisseaux anciens, que l’on a vu, ne disposent de ces technologies.
- Peut être que si, dit Pears. On a jamais pensé qu’il y avait une interface de prise de contrôle de la cité et pourtant l’équipage du Tria a prouvé le contraire.
Les explications utiles étant dites, Christophe ajoute lançant ainsi un pavé dans la marre :
- Cela fait 11 mois qu'on a été capturé nous et des centaines d'autres humains.
- What ? Demande Jeanet. Comment ça 11 mois, je ne comprends pas.
- Les archives du vaisseau révèlent que de nombreuses navettes nous ont téléporté.
- Combien ? Demande rapidement Pears.
- Précisément 16 navettes sur toute la surface du globe, répond Christophe. Apparemment, nous avons été capturé tous par la même navette celle réservé à la France les autres se sont fixés sur d'autres pays, USA, Angleterre, Allemagne, Chine, etc.
- Ça explique qu'on soit avec vous, explique Pears. On était parti en vacance sur la côte d'Azur.
- Oui et tu m'as dis, viens voir la France, tu vas adorer, dit Jeanet. Il fait chaud, de la bonne humeur, tu vas pouvoir en profité. Et maintenant, je suis là.
- Enfin bref, dit Pears. Vous avez eu de la chance qu'on soit là en touriste.
- Comment cela fait-il que ça fasse autant de temps et qu’on ne s’en soit pas aperçu ? Demande John.
- Ils nous ont téléporté et rematérialisé, s'exclame Jeanet. Entre temps, il pouvait se passer n'importe quoi et autant de temps qu'ils voulaient.
- Nous sommes là c’est sûr, dit Christophe. Mais il est probable que des gens de notre planète soient encore piégés là-bas. Sans m'avancer, je dirais que c'est plus d'un millier de captif qu'il reste là-bas.
Soudainement, Aude demande à tout le monde de regarder. La jeune femme est près de la baie vitrée. Le spectacle est magnifique. On peut apercevoir une planète bleue au loin. Le vaisseau est arrivé près d'une planète de type terre. Il semble y avoir plusieurs continents, et de nombreux océans. Durant toute la conversation, le vaisseau a continué son voyage en espace convention afin de rallier l'unique planète habitable du système solaire.
- L’Atlas a fais son travail, dit Christophe. A nous de faire le notre.
- Atlas ? Dit Pears. C'est le nom du vaisseau ?
- Le nom que les Anciens ont donné à leur vaisseau-mère, répond Christophe. Le fleuron de leur technologie la plus avancé.
Pears se retourne de nouveau sur la vue de cette magnifique planète, il est entouré de beaucoup de curieux, eux aussi venu regardé le spectacle que de rares astronautes ont pu admirer, le militaire s'exclame :
- Écoutez tous. On a besoin d'eau et de nourriture. On doit s'unir pour survivre tous ensemble. Je vais descendre sur la planète avec des volontaires. Christophe, vous avez dis que le vaisseau ferait tout en automatique. Vous restez donc ici afin de donner les ordres nécessaires au vaisseau. Jeanet, tu piloteras un Jumper pendant que j'en prendrais un second. Après avoir formé les équipes, nous irons sur ce caillou.
- Vous devriez en profiter pour former des pilotes. Comme ça, je vous propose, John, Guillaume, Frédéric et Damien, rétorque Christophe.
- Il a raison, ajoute Jeanet. Plus nous familiariserons ces gens à l'utilisation de la technologie des Anciens et plus nous seront efficace.
- A condition que ces derniers aient le gêne. Mais c'est l'une des choses les plus censés de la journée que j'ai entendu, répond Pears admirant toujours la planète.
- Durant les manœuvres, explique Christophe. Le vaisseau aura besoin de s’éloigner de la planète pour collecter les minéraux nécessaires à sa réparation.
- C’est noté, dit Pears regardant toujours la planète.
Le vaisseau est enfin en orbite autour de la planète. L'équipage, fraîchement libéré d'un ennemi aussi inconnu par son origine que par ses intentions, se préparent à faire le plein de nourriture afin ensuite d'entamer un long voyage de retour sur Terre. Pour le moment, les deux militaires aider de Christophe, désigné commandant par le vaisseau Ancien, vont devoir former des gens à l'utilisation d'une technologie extraterrestre dont ils ignoraient tout. La survie du groupe en dépend. Le nouveau commandant se demande ce qu'il fait ici lui qui n'est pas certains de correspondre aux attentes de tous.
Et voilà, le chapitre 2 est terminé. On en apprend peu plus sur les repères temporelles et spaciaux. Les bases sont posés et l'histoire va enfin commencer à prendre son essor.
Chapitre 3 : Les vivres : Sur une planète habitable, l'équipage collecte des vivres mais la faune locale va se montrer particulièrement agressif. Pendant ce temps, le vaisseau s'auto-répare
Très amicalement, Spyce.
Fan Fiction : Stargate Community tome I : La grande destinée (Terminé)
Stargate Community tome II : Aboutissement (en pause)
Stargate Universe saison 3 : La galaxie de tous les dangers (Terminé)
Stargate Universe saison 4 : Convergence
Mon blog : http://sg-fic.skyrock.com/