Bonjour. Pour faire suite à ce que Blackeagle m'a dis, mon compte sur fanfiction a été créé, il faut juste que je prenne le temps de publier sous un format HTML mes 6 précédents chapitres et de demander l'aide d'un bêta lecteur. Pour le moment, je continue la publication de mon travail dans l'état (tout en sachant que c'est déjà de longue d'heures de travail, un chapitre peut demander plus deux semaines de travail). Une fois, les précédents chapitres corriger, je ne manquerais pas de les corriger ici.
Voici le chapitre 7 première partie, certains d'entre vous ont montré beaucoup d'intérêt à ma fic, donc n'hésitez pas à envoyer des commentaires ou des MP, ça fais plaisir. je vous remercie par avance de votre suivi et de vos encouragements (et des critiques aussi
). Suite à une petite remarque, maintenant, je mettrais un petit résumé des chapitres précédents. Bonne lecture !
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Stargate Community : la grande destinée[/font]
Chapitre 7 : Manipulation génétique, première partie[/font]
Précédemment dans Stargate Community
Toujours en fuite, l'équipage du Atlas découvre une station spatiale situé dans un système solaire en formation. Après avoir évité une collision mortelle avec un astéroïde, Christophe disparaît laissant ses amis dans le désarroi et l'ensemble de l'équipage, sans aucun moyen de contrôler le vaisseau-mère des Anciens et encore moins la station. Le vaisseau entre en communication direct avec l'équipage, ils savèrent que l'intelligence artificiel est en réalité un Ancien téléchargé dans la base de donnée du vaisseau. De nombreuses révélations sur le passé des Anciens et des Borgs sont révélées. Finalement, il est décidé d'utiliser un croiseur Ancien pour rentrer sur Terre. Pears et quelques autres volontaires veulent attendre le retour éventuel de Christophe. Pears et un groupe de civil embarque à bord d'un croiseur afin de récupérer des vivres situé sur une planète dans un système voisin.
La routine, c'est le mot le plus adéquate pour décrire la situation. Une station Ancienne en orbite autour d'un planétoïde en formation, la réalité et les faits se limitent à cela. Le temps semble comme figer quand on regarde les poussières, les gaz et la glace se mêler. La nature est si belle mais également si lente. Le major Jeanet dirige cette routine alors que son supérieur est parti à bord d’un croiseur des Anciens afin de trouver des vivres nécessaire à la survie de plus 80 personnes. Un étrange calme règne à bord du vaisseau et de la station. Seule la salle de sport semble active. Il y a des membres d’équipages qui se hâtent à utiliser les machines de musculation créé par les Anciens. D’autres se plaisent à faire des pompes ou des séries d’abdominaux. Finalement, ils s’occupent comme ils peuvent.
Le major Jeanet s’occupe à ce qu’elle sait faire le mieux : étudier, analyser, comprendre. Elle occupe le plus clair de son temps a étudié les systèmes de la station. Elle n’a pas de but particulier à part satisfaire sa curiosité. Ses yeux sont rivés sur les multiples écrans de la salle à la recherche de réponse sur les Anciens afin de comprendre leur technologie, leur ambition ou tous éléments qui pourraient servir à la survie de groupe.
Le groupe des patates comme ils aiment se faire appeler se sont réunis à la cafétéria. Ils profitent de leur journée pour passer un moment tous ensembles. Ils semblent beaucoup s'amuser et plaisantent de n'importe quoi. Ils ont comme oublié le lieu où ils sont se penchant sur l’essentielle, les relations humaines. Le groupe est néanmoins réduit certains sont partis avec Pears, c’est notamment le cas de Frédéric, Sophie et Guillaume. John et Noémie, eux, sont restés dans leur quartier, profitant d’un autre type de relation humaine dites aussi relation physique : la passion et l’amour sont les seuls mots d’ordre. Alors que tous vaquent à des occupations diverses et variés et souvent en groupe, une seule reste à l’écart : Isabelle. Elle vadrouille dans les couloirs de la station. Elle avance, les yeux dans le vide, on pourrait la croire au bord du désespoir, limite dépressive. Elle avance sans but, son amour a disparu, abandonné. Dans sa solitude, elle s'arrête devant un hublot, regardant si elle ne voit rien dans l'immensité de l'espace, puis continue sa marche. Elle s'arrête devant les anneaux de transport et ne bouge plus. Elle se torture l'esprit, se demandant où Christophe est parti. Une silouette arrive derrière elle. C'est un homme, ce dernier arrive peinement à mettre un pas devant l'autre. Cette homme d'une trentaine d'année, à l'allure svelte, brun de cheveux, ne semble pas aller bien, il est en sueur et n'arrive quasiment pas à prononcer un mot. Il tombe à terre, Isabelle entend la chute, se retourne et court dans la direction de celui-ci. Elle l'appelle par son prénom : Quentin. Il ne réagit pas, il a du mal à respirer, et il est au bord de la conscience. Isabelle pose le doigt sur sa tempe pour activer son interface neuronale et appelle Ophélie lui précisant que Quentin ne va bien et lui décrit les faits. Dans la salle du réfectoire, Ophélie accompagné du reste de la bande, reçoit le message. Elle demande à Isabelle où elle est, ce que cette dernière fait. Ophélie court dans les couloirs et empreinte les anneaux de transport. Aude, Damien et Manon la suive, l’infirmière leur dit de ne pas la suivre, ça peut être dangereux. Elle active les anneaux et se rematérialise non loin d'Isabelle. L'infirmière osculte Quentin, elle regard ses yeux, ses mains, prend son poul. Elle l'appelle par son prénom. Aucune réaction. Ophélie regarde Isabelle et lui demande :
- Tu n'as rien vu de particulier ?
- Non, il est tombé derrière moi, répond Isabelle. Et je t'ai appelé.
- Tu l'as touché ? Demande Ophélie.
- Oui, car il ne réagissait pas ? Répond Isabelle.
- Et bien, dit Ophélie. On est en quarantaine jusqu'à ce que j'en apprenne plus.
Plusieurs dizaines de minutes plus tard, Jeanet toujours dans la station et l'ensemble du groupe des patates situé maintenant sur la passerelle du Atlas essaient de comprendre la situation. Jeanet demande s'il s'agit réellement d'une épidémie. Ophélie n'en sait rien mais elle ne veut pas prendre de risque. Le major lui demande s'ils ont besoin d'aide. Ophélie lui répond :
- Je me suis familiarisé avec différentes technologies médicales à l'infirmerie comme des scanners ou des analyseurs de sang. La station dispose d’un centre médical aussi complet un hôpital. Je vais m'y rendre. A partir de là, j'essaierais de voir si nous pouvons tenter quelques choses.
L'Atlas les interrompe. Il est en mesure d'aider les filles. Depuis sa récente connexion, il peut intervenir dans la station. Il propose à Ophélie son assitance. Pour le moment, les capteurs épidémiologiques n'ont rien détecté, il est donc peu probable que le sujet puisse transmettre ce qu'il a. Mais Ophélie affirme qu'elle ne veut prendre aucun risque. La communication se termine. Jeanet discute avec John par les moyens de communication et explique que leur dernière excursion sur une planète remonte à plus d'un mois :
- Quentin faisait parti de la mission, répond John. S'il est tombé malade là-bas, toutes les personnes présentes sur cette planète sont peut être contaminé.
- Nous avions besoin de ses vivres, explique Jeanet. Le SG-C a fais voyager des milliers de personnes à travers la porte des étoiles. Le risque est nécessaire. Je vais analyser les instruments de détection biologique, voir s'il n'y a pas un défaut.
Alors que John propose d'isoler toutes les personnes qui sont allées sur la planète, Ophélie et Isabelle tirent Quentin a travers les couloirs. Difficilement, elles parcourent les couloirs le trainant à terre. Ophélie explique que le centre d'habitation ressemble à une véritable ville, on peut y trouver de tout, habitation, restaurant, et hopital. Parcourant l'un couloir, les filles arrivent devant une grande porte. Ophélie appuie sur le bouton situé sur la droite de la porte qui s'ouvre alors. Elles entrent dans une gigantesque pièce. L'endroit est très lumineux, il s'agit de l'infirmerie. La pièce est d'un blanc imaculé, on y aperçoit de nombreux instruments ainsi que de nombreux lits. Ophélie propose de le poser sur le premier lit disponible. Une voix se fait entendre, c'est Atlas. Il explique qu'en l'installant sur le lit, Ophélie sera en mesure d'utiliser le scanner pour analyser ses cellules. A ce moment là, ils pourront déterminer ce qui le touche.
A des centaines d'années lumières de là et ignorant ce qui se passe sur l’Atlas, Pears et son équipe recherche les denrées alimentaires tant convoité. Le croiseur Ancien est resté en orbite autour de la planète, une planète bleue. Alors que trois personnes jouant aux cartes sont restés sur le vaisseau, le reste de l'équipage est sur la planète. Ils sont descendus avec deux Jumpers empruntés aux Atlas. Ces deux derniers sont posés dans une clairière, le sas arrière ouvert afin de permettre plus facilement d’y déposer les caisses de nourriture. Tous travaillent à la cueillette de ressource nutritionnelle. Guillaume, Gwilherme et Frédéric sont partis à la chasse. Ils ont repéré depuis plusieurs jour, un troupeau d'animaux ressemblant à des chevaux. Pears déplace des caisses vides qui permettront de transporter de nombreux kilos de fruits. Sophie vient l'interrompre :
- Patrick ! On a bientôt terminé.
- Très bien, dit Pears. J'apporte ses caisses et nous pourrons repartir. Des nouvelles de nos chasseurs.
- Pas depuis hier, répond sophie.
- J'espère qu'ils auront récupéré d'avantages de viande, dit Pears. On a eu de la chance, des fruits, des légumes, des crustacés et même du poissons. Cette planète est particulièrement riche en ressource.
- Ça fais quand même cinq sites sur la planète que l'on a exploité, dit Sophie. On s’en sort bien.
- Tu as une question ? Demande Pears à Sophie voyant qu’elle recherche des réponses.
- Toi et Frédéric avait décidé de rester sur la station, dit Sophie. Mais j'hésite encore.
- Tu n'as pas hésite, dit Pears. Sur Terre, je suis considéré comme mort ou capturé et je n'ai pas grand chose qui est a moi là-bas. Le programme porte des étoiles m'a permi de donner un but à ma vie. Donc mon choix est logique. Si tu as quelques choses qui te retient sur Terre, tu dois y retourner.
- Et bien, je crois que je vais rester, dit Sophie. La seule chose que j'ai, c'est Fred. Je l'ai déjà perdu une fois, je vais pas recommencer.
Pears fait un signe de tête lui signalant qu'il a compris. Puis, il lui demande si elle veut bien l'aider à transporter les caisses ce que la jeune femme accepte.
Sur la station, Jeanet n'a pas quitté la salle de commandement de la station. Elle est en attente des résultats. Quentin est allongé sur un des lits de l'infirmerie, Isabelle et Ophélie regarde le scanner passé au dessus de lui. Il s'agit d'une imposante machine blanche, une lumière la domine faisant s’illuminer chaque partie du corps du patient malade. L'examen est terminé, Ophélie regarde le moniteur holographique présent à côté. On y voit une représentation détaillé du corps du patient. De nonbreux points rouges apparaient sur l'image. L’infirmière n'arrive pas à interprêter les éléments qu'elle voit, pour elle, il n'y a aucune trace d'infection mais les autres éléments sont pour elle complètement inconnu. Atlas intervient et fait son rapport :
- L'examen ne révèle aucun agents infectieux. Le sujet est parfaitement sain.
- Alors qu'est-ce qu'on voit à l'image ? Demande Ophélie. On dirait que c'est....
- Des nanites ? Répond Atlas.
Jeanet entend la conversation et demande à Atlas s'il y a risque de contamination. Ce dernier lui répond que non, c'est alors que le militaire quitte son poste afin de rejoindre l'infirmerie de la station. Elle court très rapidement et de façon régulière. Après quelques minutes, elle rejoint le groupe à l'infirmerie et souhaite immédiatement analyser les résultats. Elle pianote sur le moniteur et voit plus en détails l’une des nanites qui se présentaient sous forme d’une sphère avec des connexions en pointe. Et elle s'exclame :
- Bon ce ne sont pas des réplicateurs. Quoique la technologie et la composition est similaire.
- Un réplicateur ? Demande Isabelle. Ce ne sont pas plutôt des crabes qui dévorent tout.
- Nous avons découvert des réplicateurs composés de cellule capable à leur tour d'infecter un être humain, répond Jeanet. Ils ont même réussi à modifier des êtres humains pour reproduire la personnalité de certains membres d'Atlantis.
- Ces derniers sont inactifs, dit Atlas. Ils sont soit en sommeil, soit désactiver. La signature que j'ai enregistré montre qu'ils ont été actif pendant quelques heures. Je vais analyser plus en détails ses éléments. Il me faut un prélèvement.
Ophélie annonce qu'elle va s'en charger, elle saisie un petit objet en cylindre avec une petite pointe au bout pas plus épaisse qu’une aiguille, d'une simple pression dans le bras, le sang rempli le cylindre transparent. Une fois retiré, on ne peut voir sur le bras du patient qu'une petite marque rougeâtre à l'instar des piqures de moustiques. Jeanet demande ce qui met le met le patient dans cette état. En effet, si ce dernier ne présente pas de trace de maladie, et que les nanites sont désactivées, il devrait aller bien. Atlas révèle un mauvais fonctionnement de certains gènes qui semblent comme inactif alors qu'ils sont essentielles dans la production de certaines protéines, parallèlement, d'autres gênes, qui ne devraient pas fonctionner, sont actifs. Jeanet demande à Atlas s'il peut lui permettre d'avoir accès à la base de donnée relatif aux informations échanger avec la station ennemi. Elle pense y trouver les traces d'une manipulation sur des sujets humains. Cette annonce ne rassure pas Isabelle et Ophélie.
Pears et son équipage ramène les dernières caisses dans les Jumpers. Pears entrenant la conversation avec Sophie reçoit un appel de Frédéric. En effet, ils viennent de faire plusieurs prises, et ne peuvent pas les transporter sur les nombreux kilomètres qu'ils ont parcourut, il demande qu'on vienne les chercher. Pears explique qu'ils sont chargés, ils vont d'abord ramener les vivres à bord du vaisseau et il reviendra personnellement les chercher. Il leur demande d'attendre une bonne heure et donc de faire preuve de patience. A des kilomètres de cela, Frédéric rejoint Guillaume et Gwilherme qui ont pris position sur le cadavre trois grands animaux, animaux ressemblant à des cheveux, avec de longs poils gris et un museau très allongé. Gwilherme s'extasie face à cette prise puis leur fait remarquer que ça va lui manquer cette grande aventure quand il sera rentré sur Terre. Frédéric lui dit :
- Bah t'as qu'à rester.
- C'est pas pour nous cette vie, dit Gwilherme. On a de la famille, des proches qui nous attendent.
- Du travail, des impôts, des taxes, dit Frédéric. C'est le pied. Et toi Guillaume, tu t'es décidé.
- Je vais attendre d'en parler avec Aude, dit Guillaume. Je ne suis pas particulièrement proche de ma famille et tout mes amis ont été capturé, donc s'il reste sur cette station j'aurais de grande raison de rester.
- Moi, je trouve ça super, dit Frédéric. On fait ce qu'on veut, on a accès à une super technologie, on peut se nourrir à l'oeil et on a tout l'univers à explorer.
- Tu te prends pour Christophe ou quoi, s'exclame ironiquement Gwilherme. Je comprends pas ce type. Il a une maison, un travail, des gens qui l'aiment et lui, se morfondait parce que sa femme l'avait abandonné. Il critique la société mais adhère à un parti politique qui pensent qu'aux riches. Et là, ils nous abandonnent sans raison.
- Je ne pense pas, dit Frédéric. Ça ressemble plutôt à un rêve pour lui. N'oublie pas qu'il a les connaissances d'une civilisation de plusieurs millions d'années en avance sur nous. Il doit être le seul d'entre nous à ne pas être perdu. Je pense que sa disparition a un sens et quand il reviendra, on n'en sera plus.
- Il a toujours été là pour nous, dit Guillaume. J'en connais pas beaucoup qui te gardent dans ses amis même quand sa meilleur ami te laisse tomber. Et combien d'aller retour il a fais en plein milieu de la nuit pour rendre service ou consoler. Il n'a pas disparu pour rien à mon avis.
Gwilherme est sceptique et surtout il n'arrive pas à entendre raison. Les trois hommes continuent leur conversation alors que Pears et les autres s'embarquent à bord des deux Jumpers pour rejoindre le croiseur en orbite.
Jeanet s'est installé sur l'Atlas. Ce dernier lui a proposé d'aller sur le siège des Anciens afin de se documenter sur les données collectés chez l'ennemi. Mais la recherche des informations la mènent à se documenter sur d'autres sujets. En utilisant le siège des Anciens, les informations défilent dans sa tête beaucoup plus rapidement que sur un moniteur, des milliers d'images sont analysés et des milliers de pages de texte traduits dans sa langue. Ce flot de donnée lui est instantanément proposé ce qui lui permet d'accélérer grande ses recherches. Elle converse avec Atlas par la pensée. Bien loin de ce qu'elle recherche, Atlas lui révèle l'origine des Anciens.
Il lui explique qu'un peuple appelé les Euros ont quitté leur galaxie ravagé par une guerre qui l'a rendu complètement stérile. Ces derniers ont atteint une galaxie situé dans un autre amas, ils étaient des humains très évolués ayant développé la technologie de la porte des étoiles. Installé dans leur nouvelle galaxie, cette espèce humain très avancé s'est développée et a prospéré. Pourtant en paix, le taux de fécondité à fortement chuté faisant craindre une extinction de leur espèce Afin d'enrailler le risque d'extinction, ils créèrent des êtres humains plus primitif, mettant en sommeil de nombreux gênes et les guidèrent grâce à leur savoir. Avec le temps, les Euros ont détecté une structure cohérente dans le fond diffus cosmologique. Étrangement, cette information a poussé les Euros a quitté la galaxie sans donné d'explication. Certains pensent qu'ils ont tenté de trouver l'origine de ce signal, d'autres pensent qu'ils sont repartis dans leur galaxie d'origine. Les êtres humains restés sur place tentèrent d’interpréter ce signal. Les uns y voyaient la preuve de l'existence d'un être tout puissant et créateur de l'univers et d'autres la preuve d'une civilisation avancé alors que l'univers était né depuis seulement quelques centaines de milliers d'années. C'est ainsi que naquit les courants Oris et Altérans. Ces analyses contradictoires menèrent un conflit. Une guerre a menacé l'harmonie qui existait entre les humains. Afin d'éviter un conflit qui aurait mené face à un gigantesque génocide, les Altérans créèrent un gigantesque vaisseau impliquant les ressources de tout une génération. Finalement, ils quittèrent la galaxie Origine. L'étude du signal a permis de localiser des coordonnées et de déterminer une trajectoire. Le voyage a duré des milliers d'années obligeant les Altérans à faire face à de nombreux danger et à créer de nombreux vaisseaux pour se défendre. Les coordonnées les menèrent dans la voie lactée, à leur arrivé, ils n'ont rien trouvé. Les voyageurs épuisés d'un si long voyage décidèrent de s'installer sur la nouvelle galaxie. Mais n'ayant pas abandonné le signal caché dans le fond diffus cosmologique, ils le réanalysèrent de façon directe cette fois. Ils déterminèrent de nouvelle coordonnées situé cette fois-ci à plus de 14 milliards d'années lumières.
- Vous voulez dire que le signal n'a pas donné les mêmes coordonnées entre la galaxie Ori et la voie lactée, dit Jeanet par la pensée. Comment est-ce possible ?
- L'explication la plus logique et accepté par les Anciens, dit Atlas. Est qu'il faut partir de la voie lactée pour rejoindre l'origine du signal.
- Donc le point d'origine est la voie lactée, dit Jeanet.
- Le point d'origine est la Terre, dit Atlas. La mission destinée devait répondre à plusieurs questions notamment pourquoi la Terre était le point d'origine.
Atlas poursuit son récit, les Altérans ont créé un vaisseau et une station spatiale et ont recyclé les vaisseaux créé durant leur épopée pour répondre aux multiples questions de ce signal. La mission du destiné était née installant des portes de première générations à travers l'univers. Puis, les Altérans sont devenus les Anciens, et reproduisirent la technologie de la porte des étoiles des Euros afin de créer un réseau dense sur la voie lactée puis sur Ida, Andromède et bien d'autres.
- La porte des étoiles d'Antarctique a été créée par les Euros ? Demande Jeanet.
- En effet, explique Atlas. Une vingtaine de portes des étoiles ont été récupérées des Euros, les autres ont commencé à être créer en masse une fois arrivé dans la voie lactée, il y a 10 millions d'années.
Les Anciens ont créé un gigantesque empire et maintenu la paix dans tout l'amas local faisant prospérer l'amitié entre les espèces et réprimandant les espèces hostiles. Puis vinrent les Oris décidé à vaincre leur frère. C'est d'ailleurs à ce moment là, que les Anciens ont décidé d'utiliser leur ADN pour protéger leur technologie. Malgré leur similitude, le patrimoine génétique des Oris et des Altérans diffèrent. C'est alors que Jeanet ouvre les yeux et se lève du siège des Anciens, se retourne et regarde le siège. Atlas lui demande :
- Vous n'étiez pas en mesure d'utiliser notre technologie auparavant ?
- Comment vous le savez ? Demande Jeanet. Je viens d'y penser.
- Je suis connecté à tout les membres d'équipages ce qui me permet de mieux vous comprendre mais également, d'apprendre de vous, dit Atlas.
- Comme le Destinée, dit Jeanet. Si je peux utiliser ce siège, c'est qu'il y a eu manipulation.
Le major décide donc de quitter le vaisseau Atlas afin de rallier l'infirmerie de la station. Le déplacement dure plusieurs minutes. John et Noémie la voient, ils la suivent, John lui demande ce qu'elle a sans aucune réponse. Jeanet est arrivé dans l'infirmerie, elle s'installe dans sur l'un des lit, et demande à Ophélie de la scanner. Ophélie demande pourquoi tandis que Jeanet lui répond de le faire s'en attendre. Ophélie s'exécute. John et Noémie arrive, le policier demande des explications. Isabelle leur explique la situation. Quelques minutes plus tard, les résultats sont sans appel, il y a des traces de nanites dans son organisme. Jeanet ordonne que John, Isabelle, Noémie et Ophélie fassent les mêmes examens. Ce qu'ils font. A chaque analyse, le résultat est le même, des traces de nanites. Jeanet leur dit alors :
- Ces nanites ont modifié notre patrimoine génétique. Les Anciens protègent leur technologie avec des clés génétiques. Certains gènes sont nécessaires pour utiliser la technologie des Anciens. Certains humains ont les gênes, soit par sélection naturel soit parce qu'ils ont un lointain ancêtre qui était Ancien. Jusque là, je n'ai jamais eu la capacité à utiliser la technologie des Anciens. J'ai pu utiliser le siège des Anciens ce qui n'aurait jamais pu se faire.
- Tu penses qu'ils ont manipulé nos gênes, dit Ophélie. Une thérapie génétique n'aurait pas été suffisante ? Demande-t-elle.
- L'ennemi utilise la nanotechnologie pour utiliser de nombreuses technologies par la pensée et se soustraire de gadgets, dit Atlas. C’est l'une des bases de leur technologies.
- Atlas, dit Jeanet. Je veux que tu trouves toutes informations concernant des manipulations génétiques. Avec ce que nous avons découvert, il est probable que cela réduise le champs de recherche.
L’atlas s'exécute. Ophélie regarde les résultats de Quentin, le garçon est de plus en plus mal en point. Elle ne pense pas qu'il passera la nuit.
Pendant ce temps, Pears, à bord d'un Jumper, a récupéré Guillaume, Gwilherme et Frédéric. Ces derniers discutent de la décision prise par Pears, celle de rester à bord de la station alors qu'ils sont entrain de regagner le vaisseau. Pears révèle que le projet porte des étoiles est nécessaire à survie de l'humanité et qu'en réalité, si nous n'avions pas eu la curiosité d'utiliser la porte des étoiles, il est probable que la Terre se serait fais envahir tôt ou tard.
- Gwilherme, dit Pears. Je sens que tu n'es pas d'accord.
- Prendre des décisions sans consulté ou informé la population, c'est grave, dit-il.
- Les gens sont cons, rétorque Pears. On se serait retrouvé avec des politiques faisant de lourd discours, je vous dis pas les difficultés de contrôler la population en cas de menace. Non, je pense que c'était la meilleur solution.
- Surtout de mettre tout le monde devant le fait accompli, dit Frédéric. Moi j'adore.
- Je trouve aussi, répond Pears.
Le Jumper entre dans l'hangar du croiseur. Pears continue sa plaidoirie tout en avançant dans les couloirs du vaisseau. Arrivant dans la salle de commandement, ils voient Sophie regardant dehors. Pears lui demande ce qu'elle regarde. Elle lui répond qu'elle a vu un objet se déplacer et qu'il est apparu de nulle part. Pears se positionne dans le siège des Anciens et rend le croiseur invisible. Il fait remarquer à Sophie qu'il fallait l'en avertir immédiatement, ils pourraient s'agir d'un ennemi. Puis une image holographique représentant la planète et l'objet apparaissent au dessus du siège. Guillaume dit alors :
- ça n'a pas l'air bien grand.
- Peut être un chasseur ou une sonde en repérage, s'exclame Pears.
Pears se lève alors et annonce qu'il va prendre un Jumper en mode furtif, il demande à Frédéric de l'assister, il se pourrait qu'il est besoin d'un copilote et demande à Guillaume de prendre les commande du croiseur. En cas de problème, ce dernier a ordre de regagner la station. Guillaume n'est pas rassuré et le fait savoir à Pears.
- Tu as commandé la station, c'est le même principe. L'esprit fait le reste.
- C'est différent pour voyager et s'arrimer, s'exclame toujours hésitant Guillaume.
- Tu penses à la station et tu y seras, dit Pears. Tu feras de ton mieux. Au pire, Jeanet pourra t'aider une fois arrivé. N'est pas peur ?
Pendant ce temps, Jeanet, John, Noémie, Isabelle, Ophélie et Quentin attendent dans l'infirmerie. Ce dernier s'est réveillé, il a de grands difficultés à respirer, toujours en sueur, Ophélie lui donne à boire. Atlas a trouvé un rapport. Il semblerait que l'utilisation de la technologie des Anciens était d'une importance capitale. L'ennemi a donc procédé à l'implantation de certains gênes. Ces manipulations génétiques spécifiques semblent entrer dans un plan plus large de manipulation. Jeanet se demande ce qu'il en est. Atlas s'explique donc :
- Un Ancien et un humain sont très proches génétiquement rendant les deux races compatibles. Ce qui diffère de beaucoup, c'est l'application de certaines protéines capable d'influencer sur la chimie du cerveau et le fonctionnement des cellules.
- Tu veux parler de vos pouvoirs, dit Jeanet.
- Quel pouvoir ? Demande Ophélie.
- On sait qu'en fonction de certains paramètres un Ancien est capable d'hiberné pendant des millions d'années dans la glace, de vivre plus longtemps, de développer des dons extra sensoriels, comme la télépathie, la télékinésie, le don de guérir, explique Jeanet. Les Anciens en sont capables.
- Donc, ceux qui nous ont capturé, chercheraient à nous faire évoluer pour devenir aussi évoluer que les Anciens, dit Ophélie. Quel intérêt ? Ca n'a pas de sens ?
- Surtout qu'on pourrait les surpasser, dit John. On pourrait devenir ainsi des ennemis surpuissants et efficace.
Atlas explique que l'être humain est une espèce particulière. La combinaison de ses gênes lui permet une évolution quasiment infini. Beaucoup d'espèces évolués n'arrivent pas à atteindre de tel capacité. En étudiant le genre humain et en explorant ces possibilités, ils se pourraient que les Borgs cherchent tout simplement à s'attribuer des caractéristiques qui les rendraient supérieur. Il ajoute que les manipulations sont spécifiques à chaque individu, c'est-à-dire que l’ennemi à modifier la génétique de tous en fonction de leur propre patrimoine génétique. Ophélie demande des explications et dans quel mesure cela pourrait les affecter. Jeanet lui répond :
- La base de données d'Atlantis nous a révélé que chaque individu possède dans son bagage génétique les ressources de l'évolution de sa propre espèce. A chaque fois qu'on a des enfants, ces derniers acquièrent de potentiel génétique. Mais à chaque génération, il y a comme un brassage, et finalement seule les caractéristiques générales de l'ensemble du groupe ressortent. Si j'ai bien compris, les Borgs se sont servis de chacune de nos spécificités pour les pousser davantage.
- Tu veux dire par là, dit Noémie. Qu'on pourrait avoir évolué de plusieurs générations.
- Chaque individu est capable de porter en lui les capacités qui pourraient s'implanter à l'ensemble de l'espèce, dit Atlas. Les manipulations, aussi importante sont-elles, pourraient vous rendre chacun aussi différent qu'un Ori et un Ancien.
- Ça serait révolutionnaire, dit Ophélie. Chaque individu pourrait donner naissance à sa propre race. Et que faisons-nous des impasses évolutives ?
- Une impasse évolutive ? Demande Noémie.
- Disons que certains pourraient évoluer mais que leur nouvelles caractéristiques ne serait pas intéressante pour le groupe les obligeant à régresser à acquérir d'autres caractéristiques plus utiles, explique Ophélie.
- Vous en avez une, dit Atlas. Juste-là. Dans le cas présent, l'évolution a conduit à un dysfonctionnement du corps. Dans la nature, l'espèce aurait disparu ou se serait adapté autrement mais comme le processus a été accéléré artificiellement.
- Donc, nous sommes tous potentiellement capable de souffrir des mêmes symptômes que Quentin, dit John. On a comme une bombe à retardement dans nos gênes.
- On peut inverser la solution ? Demande Noémie.
- Christophe m'a parlé d'une machine capable de manipuler les gênes, dit Isabelle. On pourrait l'utiliser.
- Pour cela, il faut connaître les paramètres d'origine de nos gênes, dit Jeanet.
C'est alors qu'Ophélie remarque que Quentin ne réagit pas. Elle pose les doigts sur son cou pour déterminer le pou, regarde ses yeux, puis elle regardent les autres et dit qu'il est tombé dans le coma. Atlas leur informe que les signes vitaux de Quentin s’affaiblissent.
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(la suite le 8 mars 2013)
Très amicalement, Spyce.
Fan Fiction : Stargate Community tome I : La grande destinée (Terminé)
Stargate Community tome II : Aboutissement (en pause)
Stargate Universe saison 3 : La galaxie de tous les dangers (Terminé)
Stargate Universe saison 4 : Convergence
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