EPISODE 05 : Résurrection
Alexandre avance vers l'accueil pour demander à une androïde où se trouve la chambre de Amy et Marc. La chose, active l'implant neuronal d'Alexandre pour lui montrer la chambre des deux jeunes. Peu de temps après le courant s'expulse. Alexandre attend que tout revienne à nouveau, et il a enfin la localisation de la chambre. Il s'avance vers l'ascenseur mais le courant s'expulse à nouveau, il allume alors son interface neuronale.
Message de l'interface neuronale (nouvelle) : Mesdames et Messieurs, nous sommes dans le regret de vous annoncer que nous venons de perdre une partie de l'électricité stockée dans nos chargeurs. Le gouvernement fait son possible pour que tout revienne à la normale. Cette perte est liée à une surcharge du système de décryogénisation dans l'un de nos vaisseaux. Nous ajoutons, que toujours d'après le gouvernement, les rations de nourritures seront diminués de 10% pour les adultes et de 15% pour les enfants. Que notre nation survive. Enfin, nous venons d'apprendre qu'un violent tremblement de terre à secoué les montagnes sur Riopo, heureusement, aucun mort n'est à déclaré. Nous reviendrons sur cette nouvelle en cas de victimes. Notre gouvernement est là, et nous seront là pour lui.
Alexandre :: Encore, et toujours, il n'arrêteront jamais. Toujours des pénuries, toujours du rationnement, et jamais une vie normale...
La machine : Oh, mais tu es de mauvais poil mon petit. Tu veux ton mimi …
Alexandre : non, roh, mais,
La machine : Ou la la, il est pas content, pas besoin d'être désagréable grhhh
Un choc électrique est déchargé sur le bras d'Alexandre.
Alexandre : vilaine !!
La machine : Petit coquin,
Alexandre : bon, visiblement on est bloqué jusqu'à temps que le courant soit rétabli.
La machine : J'en ai peur mon ténébreux.
Alexandre : t'es d'humeur toi aujourd'hui
La machine : comme d'habitude...
Alexandre : Bon l'ascenseur, allez, mais c'est pas vrai, toujours à les réanimer, c'est...
La machine : Calme-toi, ça ne sert à rien de s'énerver, le courant finira par revenir.
Josiane : Allez, calme-toi. Mon amour, regarde …
Le courant est restauré, son bras subit un choc électrique, et Alexandre se retrouve au 5ème étage.
La machine : Enfin, [rires]
Alexandre reste perplexe, il a encore revu sa défunte femme, il ne comprend pas. Un infirmier emmène Alexandre devant la chambre d'Amy et Marc, il retrouve la mère d'Amy très inquiète.
Mindy : Euh, qui êtes-vous? Qu'est ce que vous faites là? Vous êtes de la famille de Marc? Il serait temps, personne ne l'a vu...
Alexandre : Non, je m'appelle Alexandre, euh, je suis scientifique en histoire, je suis le sous-responsable du pôle Recherche et Humanité. Je viens ici pour comprendre ce qui arrive à votre fille, Amy.
Mindy : Comment vous connaissez le nom de ma petite fille, ma Amy.
Alexandre: Euh, disons, qu'elle est venue sur Riopo, il y a environ 3 jours, pendant l'année 124, 784ème jour.
Mindy : Mais, c'est impossible, on a pas les moyens de prendre un vaisseau pour se rendre là-bas et encore moins la porte des étoiles.
Alexandre : Je m'en doutais.
La machine : Je détecte des nanites en sommeil. Ils, je n'arrive pas trop à savoir ce qu'ils veulent mais les nanites de Marc sont quelques peu différents...
Alexandre : Pourquoi cela?
Mindy : Mais de quoi vous parlez? Des nanites? Mais, ces , pourquoi les médecins ne m'en ont, pourquoi je sais rien? Pourquoi? C'est parce que je suis une -1. Sales alphas...
La machine : Ces nanites, ils sont, oh, mais ils ne sont pas localisés dans la même zone du corps, ceux de Marc sont principalement situés dans ces gonades, là où ceux de Mindy sont directement implantés dans son cerveau.
Alexandre : je crois que je viens de comprendre comment Marc s'est fait infecter.
La machine : Cependant ça ne résout pas le mystère de Pénélope si c'est par …
Alexandre : ces nanites sont très virulents chez Mindy, visiblement. Pour Pénélope, je pense qu'elle devait avoir un terrain très favorable, essaie de trouver son dossier.
La machine : tu sais que c'est une alpha, son dossier sera, quoi que non en fait.
Alexandre : Ah bon?
La machine : je viens de retrouver son dossier, il y a des traces d'une ancienne maladie inconnue qui l'aurait paralysée, mais aussi, euh, c'est ça, elle a une … anomalie sur son chromosome Y.
Alexandre : Encore? Mais c'est quoi cette erreur, tu es sûre de toi.
La machine : Oui, c'est à n'y rien comprendre, comment des femmes peuvent disposer d'un chromosome censé être spécifique aux hommes. Non, là, y'a une problème.
Mindy : Mais de quoi parlez-vous.
Alexandre : Mme, nous, enfin, je vais me connecter à l'esprit de Amy. Je pense que d'ici elle ne peut rien me faire.
La machine : Non, et de toutes façons, la contamination ne s'opère qu'en cas d'anomalie sur le chromosome Y, or tu en as pas ...
Alexandre [soulagé] : Merci.
Alexandre place sa main sur son interface et se connecte avec Amy. Le sol commence à grésiller de partout, de puissants flash de lumières inondent la pièce de l'hôpital, soudain, une silhouette fuit. En se retournant, Alexandre retrouve sa femme...
Josiane : Mon amour, est-ce que tu commences à comprendre, maintenant?
Alexandre : Mais, euh, qu'est ce que tu fais là, tu es morte … Arrêtes de me faire ça.
Josiane : Je suis peut-être morte, mais pourtant je suis là, à te protéger.
Alexandre : mais de quoi?
Josiane : D'eux.
Soudain, le sol se met à nouveau à grésiller, la pièce de l’hôpital change et devient une sorte de grande pièce. En son centre une chaise, où Amy semble dormir. Le sol est principalement fait de tubes de verre où coule à l'intérieur du plasma. Des jets de vapeur s'échappent des grilles qui sont sous la chaise. Amy semble inconsciente. E hauteur, des bruits, stridents, on peut voir des silhouettes. Alexandre se met à les compter, elles sont au nombre de 10. Il lui est impossible de définir de qui il s'agit. Les 10 silhouettes semblent ne pas apercevoir Alexandre.
Alexandre : Amy... je suis là. Amy, je m'appelle Alexandre.
Josiane : Ne t'approches pas plus.
Les silhouettes en hauteur s'arrêtent et pointent du doigt Alexandre.
Silhouettes : TU ES REVENU [crie]
Alexandre : Mais qui êtes vous?
Silhouettes : NOUS SOMMES TOUS CE QUE TU PEUX IMAGINER, TON REVE, ET TON CAUCHEMAR.
Josiane : Arrêtes de les stimuler, ils vont te tuer sinon.
Alexandre : Mais pourquoi? D'où viennent t-elles?
Amy : De la machine, tu ne comprends pas?
Alexandre : Amy, tu est en vie?!?
Amy : Je ne suis plus vraiment Amy, elle est en train de disparaître. JE ne suis plus qu'une image de la Amy que les gens connaissaient.
Josiane : partons, tu en a assez vu.
Amy : Je peux juste te dire cela, ces silhouettes sont un secret que les humains ont cachés pendant des centaines d'années, jamais, je dis bien jamais il ne faut qu'ils reviennent, sinon, l'humanité cours à sa perte.
Josiane : Allez, mon amour partons.
Une silhouette s'approche dangereusement d'Amy.
Amy : Un danger s'approche, mais je n'arrive pas à définir lequel c'est, ils arrivent, ils sont déjà présent pour certains ...
La silhouette enveloppe Amy qui s'endort de suite. Josiane frappe le sol avec son pied ce qui détruit un tube de verre, Alexandre se réveille.
La machine : Alors, qu'est ce que tu as vu?
Alexandre : On court un grave danger...
Josiane : Allez mon amour repose-toi. C'est mieux.
Mindy : Ma fille.
Amy commence à convulser, du sang s'échappe de son nez et ses yeux. Les infirmiers arrivent mais Amy retombe dans un profond coma.
Alexandre : Je crois que j'ai une idée, si Pénélope m'a appris un truc, c'est que ces silhouettes créent des erreurs, cette salle que j'ai vu, c'est, oui, Marc. Peut être que j'arriverai à en apprendre en sondant son esprit.
La machine : C'est risqué, Pénélope a faillit te tuer la dernière fois...
Alexandre : Sauf que Marc est dans un coma.
Josiane : Ne fais pas ça.
Le bras d'Alexandre lui fait mal, mais il réactive l'implant de Marc pour se connecter à son esprit. Le sol devient très vaseux, des jets d'eau en sortent, Marc est tout seul, sur un pont de Gériopo dans la zone R-05, ancien quartier résidentielle détruit par un volcan.
Marc : Je n'en peux plus, je, ne veux plus revivre cela.
Alexandre : De quoi est-ce que tu parles.
Marc : Ces choses me font revivre l'annonce de mon cancer continuellement avec ma mère et mon père qui pleure car ils savent qu'ils vont être rétrogradé en -1.
Alexandre : Et …
Marc : Et ils se tueront peu de temps plus tard, en voiture... Je suis seule, je ne veux plus jamais revivre cela.
Alexandre : peux-tu m'en dire plus?
Marc : Mais vous êtes qui d'abord, encore une hallucination de ces choses.
Alexandre : Mais non je …
Josiane : Arrêtes, laisse-le en paix, il n'en peut plus.
Alexandre : Mais il faut le sauver.
Marc : je veux que tout s'arrête maintenant, je ne peux plus revivre cela, Amy, je t'aime...
Alexandre : Mais Amy. Elle...
Amy : Allez saute pour moi, on sera tous les deux comme ça.
Marc : Amy, tu, es de retour, ...
Deux silhouettes s'approchent.
Marc : Maman, Papa, vous êtes là. Depuis, vous m'avez manqué,...
Les parents de Marc : Allez saute mon petit, tu étais si jeune lorsqu'on s'est quitté. Si jeune, tu as bien grandi, allez saute, fais-nous plaisir.
Marc : Oui, maman, oui papa.
Alexandre [hurlement] : NON !!
Josiane : On ne pouvait rien faire.
Alexandre : Mais, pourquoi, pourquoi agir comme cela. Qu'est ce qu'ils nous veulent à la fin. Nous ne sommes plus rien, on est à deux doigts d'échouer dans notre recolonisation, et ils veulent nous détruire, mais pourquoi à la fin.
Josiane : Calmes-toi.
A son réveil Alexandre observe un drap blanc sur le corps de Marc. Il est mort.
Mindy : Qu'avez-vous fait? Quittez la pièce.
Alexandre : excus...
Mindy : Dégagez ….
Alexandre quitte la pièce et retourne vers l'ascenseur. Le courant s'arrête à nouveau.
La machine : Tu as vu quoi?
Alexandre : Encore et toujours un cauchemar qui me détruit un peu plus.
La machine : Allez calmes-toi.
Josiane : Reposes-toi.
Son bras lui fait à nouveau mal.
Troisième rencontre – Année 124 – 787 jours.
Ryu remarque que son salaire vient de tomber, il décide d'aller dans un petit salon de gâteau avant de voir le thérapeute. Ce salon est dans une rue faisant l'intersection entre l'immeuble du thérapeute et le pont Mijumaru. Un pont en lévitation, l'une des merveilles architecturales de la nouvelle nation humaine. Dans le salon, on retrouve des gâteaux très bons, mais malheureusement, pour beaucoup d'humain trop cher. Ryu s'approche de la vitrine et remarque un petit gâteau à base de banane de Gériopo. Ce gâteau est très marrant car une fois en bouche, il procure un état de bien être à la personne, de plus, il arrive que des graines soient dissimulées dans le gâteau et en les plantant dans l'hélium liquide, elle peuvent créer un magnifique arbre.
La vendeuse : Et avec cela, ça sera tout?
Ryu : Oui, je vous remercie …
La vendeuse : Ah, il y a un problème, votre rang ne vous permet pas d'acheter cela. Je vous propose ces gâteaux non terminés par des alphas, ils ont moins de 5 jours.
Ryu [dégouté] : non merci, mme, excusez-moi du dérangement.
La vendeuse : Tout le plaisir est pour moi.
Ryu sort de la boutique, affamé, il va voir le thérapeute. Il monte dans l'ascenseur, et se retrouve nez à nez devant Xavie qui sort du cabinet.
Ryu : Vous, je vous, vous étiez devant moi, avec la machine.
Xavie : Euh, oui, euh, j'étais, euh...
Ryu : Qu'est ce que vous faites chez mon thérapeute, je croyais que c'était privé...
Xavie : Ne vous en faites pas, je lui donne juste ma version des faits...
Ryu : Ah bon.
Ryu ne semble pas vraiment le croire mais devra se contenter de cette réponse, quand à Xavie, il est soulagé.
Le thérapeute : Ah, Ryu, rentrez, allez, venez vite vous asseoir.
Ryu : Qu'est ce que ce militaire fait là...
Le thérapeute : Xavie est un militaire, il devait me donner sa version des faits au cas où...
Ryu : Au cas où?
Le thérapeute : C'est pour votre changement de rang, juste pour savoir si vous n'aviez rien fait de mal là bas.
Ryu : de toute façon, c'est très vague, après l'avoir vu, j'étais dans les vapes.
Le thérapeute : Donc que pouvez-vous me dire?
Ryu : D'aujourd'hui.
Le thérapeute : Commencez là où vous voulez.
Ryu : Euh, ben hier, euh, j'ai encore vu des choses étranges, toujours les vers bleus, mais j'ai droit désormais à des passages plus paisibles, moins violents.
Le thérapeute : Moins violent?
Ryu : Oui c'est exact, euh, disons, que j'ai vu comme, enfin, la Terre gelée un rayon a frappé le terminal de la porte et la Terre était gelé.
Le thérapeute : Et ça évoque quoi pour vous cela?
Ryu : Le calme, c'est plus agréable, enfin, ça change, je peux mieux dormir, en ce moment, je me sens mieux. J'espère que les horreurs vont s'arrêter.
Le thérapeute : Donc vous vous sentez mieux... c'est un début.
Ryu : Enfin, je me sens mieux, mais y'a une raison, je dois faire enfin, je dois, vous savez, je, mais, euh, enfin, comment dire, je ne sais pas trop comment vous dire ça mais, disons que j'ai un pacte, enfin, plutôt un accord à respecter avec ces choses.
Le thérapeute : Oui …
Ryu : Je dois, faire, euh, je, bon, je dois faire ce qu'elle me demande.
Le thérapeute : Comme quoi?
Ryu : Euh, je préférerai ne pas en parler.
Le thérapeute : Et vous voyez ces choses comment? Elle représente quelque chose en particulier?
Ryu : Non, enfin, je ne les avait pas vu avant de toucher la machine, et puis maintenant, je les vois, vous voyez … [silence]. Je, bon, je, ne sais plus trop où j'en suis en fait.
Le thérapeute : Vous êtes perdu?
Ryu : Oui, c'est ça, je, j'hésite, je veux que ça s'arrête mais cela semble impossible.
Le thérapeute : Bon, …
Ryu : Enfin, [silence], hier, euh, je suis allé à une fête d'anniversaire, euh, attendez, euh, c'est quand même extraordinaire, euh, comment, enfin, euh, aujourd'hui j'ai voulu m'acheter un gâteau, et on me dit que j'en ai pas le droit, je dois que manger les miettes des alphas, vous trouvez ça normal.
Le thérapeute : Qu'est ce que vous attendez par normal?
Ryu : Enfin, on est humain, et puis, euh, j'ai le droit de manger un gâteau si je peux le payer.
Le thérapeute : Oui.
Ryu : Enfin, je comprends pas. Mais de toute façon, c'est comme pour l'anniversaire de Camille. J'étais là, je voulais juste avouer mes sentiments à Camille, et je me suis retrouvé à embrasser John. C'est, enfin, j'en ai marre, de, qu'on ne respecte pas mes envies.
Le thérapeute : Pour vous, qui est ce 'on'?
Ryu : Euh, les choses, les alphas, les, enfin le monde. J'ai rien contre John, mais honnêtement c'est pas mon tripe. Je, enfin, j'ai pas le choix, je suis contraint je pense.
Le thérapeute : Contraint par le mon...
Ryu : Par moi-même. Peut être.
La chose : Ryu, je préfère te prévenir, attention à ne pas énerver les autres.
Ryu regarde les fruits posés sur le bureau du thérapeute, on trouve des bananes de Gériopo, des fraises, mais aussi des kakis de Piopo, une planète océanique de la zone B.
Ryu : Est-ce que on est obligé d'aimer?
Le thérapeute : Et pour vous?
Ryu : Je ne sais pas, si les choses doivent venir, dois-je m'y opposer ou est-ce que je dois continuer à laisser faire.
Le thérapeute : Vous connaissez sans doute mieux la réponse que moi.
Ryu : C'était bien cette réponse qui me fait peur …
Le thérapeute annonce que la séance est finie. Ryu quitte le cabinet et se rend devant le hall de la résidence. Il décide d'envoyer un message à John.
Xavie et Belladonis se rendent au spatiodôme de Gériopo. Ils doivent voir la chef scientifique à propos de la machine sur Viopo (zone spatiale B – planète recouverte d'un épais manteau de gaz – zone scientifique). Soudain l'alarme s'active.
Xavie : De quoi s'agit-il?
Belladonis : Je ne sais pas, je, attends, regarde, euh, active ton interface …
Interface neuronale (nouvelle) : Ceci est un flash spécial, nous venons d'apprendre qu'un vortex non programmé en provenance de Riopo et à destination de Gériopo vient d'être activé. Nous demandons à tous de rester en calme et d'évacuer le spatiodôme. Ceci est une alerte de niveau lapis. (les couleurs et leur signification ont quelques peu changé, aujourd'hui les seuils d'alertes sont repartis en 3 niveau; le niveau JADE

// le niveau LAPIS :| // et le niveau AMBRE

, ces niveaux sont activés soient par un membre du gouvernement ou un alpha.)
Xavie : viens, il faut qu'on sache ce qui se passe dans la salle de la porte.
Belladonis : D'accord.
Xavie : J'espère que sur Riopo il ne leur est rien arrivé de grave, surtout pas la chose qui souhaite nous détruire.
Belladonis : Si cela devait arriver, il s'agirait de notre extinction, l'humanité va jouer un magnifique coup de belote (jeu extrêmement à la mode sur Gériopo et Piopo mais ringard sur Riopo.)
Xavie : Espérons qu'il ne s'agit que d'une simple erreur.
Belladonis : peut être le tremblement de terre.
Xavie : Alors, euh, non j'en doute... Ils n'auraient jamais activé un vortex comme ça.
La porte des étoiles vient de s'activer, un flash de lumière envahit la pièce, aucun bouclier ne protège la porte, les militaires de secours sont présents, mal préparés. Malgré cela, tous se préparent au pire …