[FANFICS]Histoire HEMERA

[NCIS]

« Vite, vite, montez dans les voitures !
Quatre voitures noires partirent en trombe, tandis que des coups de feu retentissaient. Les voitures s’éloignèrent à toute allure de ce qui semblait être une base Militaire.

- Avez vous la « PCT-09 » ?
- Oui, Colonel, ça n’a pas été facile, mais nous l’avons eue !
- Parfait ! tout se passe comme prévu ! Nous allons pouvoir terminer notre projet. Chauffeur, mettez moi en relation avec SIRA-5 !
- La connexion est établie Monsieur !
Un écran LCD descendit du plafond de la voiture. Un jeune soldat apparut.
- Merci ! Bonjour Sergent Ink ! Tout se passe comme prévu à la base ?
- Oui, Colonel, il nous manque juste la « PCT-09 » pour terminer l’assemblage.
- Parfait, parfait. Prévenez, la Major Reynold que nous arrivons dans peu de temps. Terminé ! »

L’écran se brouilla et retourna se fondre dans le plafond de la voiture.
Peu après, les voitures s’arrêtaient devant une sorte de hangar, perdu au milieu de nulle part. Il n’y avait que du sable à perte de vue. Un portail s’ouvrit et un garde laissa passer les voitures, qui allèrent se garer près du bâtiment. Le Colonel ordonna à tous ses hommes de poser pied à terre et d’apporter la « PCT-09 » au laboratoire. Un des soldats ouvrit la porte du hangar grâce à un passe magnétique et tous pénétrèrent à l’intérieur. La Major Reynold les y attendait :
- Bienvenu à vous Colonel, votre bureau est installé au niveau-2.
- Parfait, parfait, répondit le Colonel, vous pouvez disposer !

Le Colonel prit un ascenseur qui se trouvait face à lui et descendit au niveau-30. Il arriva dans un immense entrepôt qui abritait un gigantesque appareil. Un homme assez âgé s’avança vers lui.
- Colonel, je vous présente le Y-624.
- Dites-moi… Ce monstre pourra-t-il décoller ?
- D’après nos statistiques et nos simulations virtuelles, il le pourra Colonel !
- Humm… J’en jugerai par moi-même.

Le Colonel remonta dans son bureau et appela le Président de la République ; pour l’informer que le « Y-624 » était prêt. Deux heures plus tard, ce dernier arriva sur le lieu du projet. Le Colonel l’accueillit personnellement, et proposa une visite de l’appareil, ce que le Président accepta.

L’appareil se composait de sept étages. Au premier se trouvaient les soutes, et au second la salle des machines. Le troisième étage avait été aménagé en salle d’armement, dont on ne voyait pas le bout. En effet, cette salle prenait toute la longueur de l’appareil, soit à peu près 1KM de long, pour 500 mètres de large. Le quatrième abritait le quartier des soldats, le cinquième ceux des officiers ; le sixième était consacré à l’infirmerie, tandis que la salle de commandes occupait le dernier.

Dans cette salle, trois sièges étaient disposés face à des commandes. Le siége le plus à droite comportait un équipement radiophonique, et le siège à l’opposé, un tableau de bord. Autour de ces siéges, de nombreux écrans dont un grand nombre de voyants et de boutons illuminaient les parois de la salle. Au centre, trônait, sur un support gris métallique, une sphére vitrée où l’on pouvait voir de nombreux petits points blancs :
« Tenez, asseyez-vous donc, Monsieur le Président annonça le colonel Bayard.
- A quoi correspond cette sphère au centre de la pièce ? demanda le Président.
- Cette sphère représente l’univers connu, et les points blancs, les planètes connues.
- Sur combien de planètes pouvons-nous installer une civilisation ?
- Aucune, Monsieur !

Le Président s’assit sur le siège de commandement qui se situait entre les deux autres, un peu en retrait. Il s’exclama :
- Tout ceci est l’ensemble du vaisseau ?
- En effet Monsieur, de ce siège, nous surplombons le vaisseau dans sa totalité.
- Mais, dites-moi…Combien a-t-il coûté et combien d’hommes faut-il pour le manœuvrer ?
- Le « Y-624 » baptisé « Adonis » (Symbole de la beauté), nous a coûté environ neuf cent milliards de dollars. Pour manœuvrer le vaisseau, une seule personne est requise, répondit le Colonel en montrant le siège de gauche. L’équipage, lui, comportera environ 500 hommes : des médecins, des cuisiniers, des soldats, des techniciens…
- Pour ce que nous a coûté ce petit bijou, il a intérêt de décoller… et vu sa taille, ça paraît improbable ! Avez-vous récupéré la « PCT-09 » ? Pour quand est prévu le décollage ?
- Le décollage est prévu pour le samedi 6 juillet à neuf heures précises. Quand au « PCT-09 », nous l’avons récupéré dans la base Russe.
- Tout semble opérationnel !répliqua le Président

Le Président Creks s’adressa ensuite à l’ensemble des personnes participant au projet « SIRA-5 » Par l’intermédiaire de la radio de bord :
- Je vous remercie tous d’avoir participé à la réalisation du premier vaisseau de combat spatial terrestre, issu des meilleures technologies actuelles.

Sur ces quelques mots, tous les membres de la base « SIRA-5 » applaudirent et le Président retourna dans ses quartiers au niveau-5 de la base.

A SUIVRE ...
DONNEZ VOTRE AVIS SVP

[B.Carter]

bienvenue à toi sur SGF

merci de nous faire partager ta fic mais un p'tit mot explicatif pour placer le contexte n'aurais pas été de trop

et pi

[...] le Président de la République[...]

t'en en France là alors?

[...]nous a coûté environ neuf cent milliards de dollars.[...]

je sais que le dollar est la monnaie internationale mais à l'intérieur du pays on utilise sa propre monnaie.

donc on est en France ou aux States?


le texte brut tel que tu nous l'as donné est pas mal mais j'y aurai mis plus de descriptions histoire de planter le décor, décrit beaucoup plus le vaisseau surtout si il est censé être le fleuron d'une nouvelle lignée de vaisseaux,....

affaire à voir...

[NCIS]

voila la suite

Le lendemain à 8H50, le Président se rendit à l’extérieur du bâtiment. Dehors, des tentes militaires avaient été dressées. Elles servaient à protéger du matériel radiophonique, des radars et autres appareils. A 9H00, un bruit sourd retentit non loin du bâtiment, une énorme porte s’ouvrit latéralement et laissa apparaître l’ensemble du vaisseau, sous le regard émerveillé du personnel de la base et de celui du Président.

Le Colonel qui était à bord vaisseau s’adressa au Président :
- Monsieur le Président, nous sommes prêts à décoller, nous attendons vos ordres.

Sur ces Mots, le Président appuya sur un bouton tout en donnant l’autorisation au Colonel de décoller, Quatre petites explosions retentirent : Les grippes de fixation se rompirent et le vaisseau sortit du hangar.
- Ici, l’ « Adonis », nous avons atteint l’orbite terrestre, tout semble opérationnel, nous attendons vos ordres pour continuer la mission.

Le Président prit quelques minutes de réflexion et ordonna de poursuivre la mission, tout en leur souhaitant « bonne chance »

Le « Y-624 » s’éloigna de la Terre. Au bout de quelques heures de vol, la Major Reynold annonça au Colonel un objet non identifié droit devant.
- Oui, j’ai remarqué... A quelle distance sommes nous ?
- Approximativement 150 KM et il se rapproche à vive allure !
- Major, surveillez cet appareil et avertissez-moi des que quelque chose bouge.
- Bien Colonel… Le vaisseau nous attaque !!!!
- Mettez-vous en alerte ! Prêts au combat !
- Bien, Colonel, nous essayons d’entrer en contact avec le vaisseau ennemi mais aucune réponse…Il attaque !!!

Au bout d’un certain temps de combat, le vaisseau Terrien présentait de nombreuses avaries tandis que le vaisseau ennemi était intact. Le Colonel ordonna de lancer une bombe nucléaire sur cet engin qui leur faisait face. La bombe explosa sur le vaisseau ennemi. Celui-ci s’éloigna de l’appareil.
- Mon Colonel, le vaisseau s’éloigne, nous avons dû l’endommager
- Oui, je pense Major, faites-moi un diagnostic complet du vaisseau.
- Mon Colonel !!!! Un appareil inconnu approche du nôtre, par la droite.
- Restez tous en mode combat !

L’énorme appareil s’arrêta juste au dessus du « Y-624 ». Une voix étrange se mit à parler par l’intermédiaire de la radio de bord. Puis la voix s’adapta à celle des Terriens.
- N’ayez pas peur, nous sommes vos alliés, votre vaisseau présente de nombreuses avaries, il ne va pas tenir longtemps, nous le télèportons à l’intérieur du nôtre !

Un flash blanc apparut à l’intérieur de la cabine de commandement, et un homme tout à fait étrange apparut, assez grand, menu, gris et portait une coiffe ridicule.
- Je suis le Commandeur Yio, je souhaiterais parler au responsable de cet appareil !
- Je suis le commandant de ce vaisseau, répondit le Colonel Bayard.

Un autre flash blanc apparut et le commandeur ainsi que le Colonel disparurent tous deux de la pièce, puis réapparurent dans la salle de contrôle de l’appareil allié.
- Nous vous amenons sur notre planète pour que vous puissiez réparer votre vaisseau.
- Pourquoi devrions-nous vous faire confiance ?
- Nous vous surveillons depuis des millions d’années. Nous vous avons insufflé de nombreuses connaissances. Par exemple, nous vous avons appris à créer le feu, à construire des châteaux, à fabriquer des armes de défense, sur ce sujet nous n’avons pas très bien réussi, vous étiez sensés vous en servir en cas d’attaque provenant de l’espace au lieu de ça vous vous en servez les uns contres les autres …
- Qu’avez-vous appris sur nous ?
- Vous avez un très grand potentiel, que vous ne savez pas exploiter !

Le vaisseau de Yio se posa sur une planète étrange. En effet sur celle-ci ; aucun bâtiment n’était visible au sol, ils volaient tous. Au sol, une végétation pure sans artifice humain. Le vaisseau Terrien fut téléporté à coté de celui de Yio. Une herbe abondante s’écarta pour laisser voir, une plaque de métal de la forme du vaisseau humain.

Le Commandeur s’adressa au colonel :
- Nous allons, vous aider à réparer votre appareil. En attendant vous et votre équipage êtes nos invités et nous allons l’équiper de notre technologie.
- Parfait, mais le vaisseau qui nous attaquait est parti, alors qu’il n’avait aucun dégât visible. Qui étaient-ils ?
- Il est parti car il nous avait détectés. Nous sommes technologiquement plus avancés qu’eux, ils ne s’attaquent pas à nous, ce serait une défaite pour eux. Ce sont des êtres tout à fait étranges, nous ne savons rien de leur morphologie. Nous savons juste que quand ils passent sur une planète habitée, il n’en reste plus rien. On les appelle les « Marians ».
Sur ces mots, le Commandeur renvoya le Colonel sur son appareil et expliqua à ces hommes la situation. Il leur conseilla de se reposer en vue des travaux qui commenceraient le lendemain.

En pleine nuit, la Major Reynold se réveilla car elle avait entendu un bruit provenant de l’ »Adonis ». Puis se dépêcha de prévenir le Colonel Bayard et tous deux se rendirent munis d’un « P-90 » au vaisseau. Le Colonel cria :
- Halte ! Qui va là ? Ne bougez plus où j’ouvre le feu.

Sur ces mots l’inconnu ne bougea plus. Tous les soldats encerclèrent ce petit homme qui semblait être un enfant.
- Que faites vous Colonel ? Intervient le Commandeur Yio.
- Nous avons surpris cette personne !

Le Commandeur s’approcha du petit homme et lui parla une langue inconnue puis l’enfant disparut dans un flash blanc.

Le Commandeur :
- Veuillez, nous excuser pour ce dérangement !
- Qui était-ce ? demanda le Colonel.
- C’est le seul survivant d’une planète où les « Marian » sont passés, Nous lui avons trouvé une famille.

Le Colonel ordonna à ses soldats de retourner dans les tentes qu’ils avaient plantées le soir même.

Le Colonel demanda au commandeur :
- Comment s’appelle votre peuple ?
- Nous sommes les « Oxjio ».

Le Commandeur souhaita une bonne nuit au Colonel, puis il alla se coucher. Le lendemain, ce dernier se réveilla dans une salle qui comportait des lits et sur ces lits tout son équipage. Autour de lui, des murs d’un blanc éclatant, et une baie vitrée l’entouraient. Le Colonel s’approcha de celle-ci : des arbres à perte de vue se présentaient devant lui, il baissa les yeux vers le sol et vis l’ « Adonis ». Le Commandeur apparut à proximité de lui. Après un moment de silence il demanda :
- Pourquoi sommes, nous ici ?
- J’ai jugé que vous n’étiez pas installés confortablement pour vous reposer.

A peine, eut-il fini de parler que le Colonel disparut et réapparut dans une autre pièce voisine avec le Commandeur.
- Comment faites-vous pour passer d’un endroit à un autre, vous utilisez de la magie ?
Le commandeur éclata de rire :
- Non !! Tout ceci est purement scientifique. Chaque « Oxjio » possède un petit boîtier qui nous permet de nous téléporter dans n’importe quel endroit.

Pendant ce temps, les membres de l’équipage du « Y-634 » se préparèrent sous les ordres de la Major Reynold ; le Commandeur expliqua le déroulement de la journée au Colonel. A ce moment, un flash blanc éclata.
- Bonjour, Conseiller Suprême, annonça le commandeur Yio, je vous présente le Colonel Bayard, Commandant de l’ « Adonis ».

Le Conseiller répondit d’une voix grave et autoritaire :
- Bienvenue à vous Colonel, je suis le Conseiller Suprême « Zeus » !

Le Colonel s’adressa discrètement au Commandeur :
- Il ne frime pas un peu votre Conseiller ?
- NON, non, pas du tout, je vous expliquerai plus tard.

Le Conseiller invita le Colonel à s’asseoir.
- Nous vous proposons un accord entre les « Oxjio » et les Terriens.
- Quelle sorte d’accord ?
- Cet accord consiste à vous protéger en cas d’attaque de votre planète…
- Je n’ai pas les autorisations nécessaires pour pouvoir accepter cet accord.

Le conseiller Suprême leva la séance et disparut.
- Je l’ai fâché …
- Non, notre Conseiller n’est pas très bavard mais il est très direct.
- Dans la mythologie grecque, il est question d’un « Zeus », y aurait-il un rapport ?
- Je vois que vous comprenez vite Colonel. En effet, Le Conseiller a été le premier « Oxjio » à entrer en contact avec la Terre, à cette époque, il n’était pas encore Conseiller Suprême, il a guidé votre peuple dans le droit chemin…
- Que représentait le Mont Olympe ?
- Ce que vous appelez le Mont Olympe n’était rien d’autre que le vaisseau « Olympus » du Conseiller. Nous allons retourner auprès de vos hommes qui ont dû commencer les réparations de votre appareil en compagnie de mes collaborateurs.

Le Commandeur se téléporta à proximité de l’«Adonis » et du vaisseau de Yio.

Au bout de quelques heures, le vaisseau fut réparé et réaménagé, les trois premiers étages furent transformés en salle des machines, toutes les portes furent bouchées et le Commandeur avait fait installer un téléporteur ce qui permettait de passer d’une pièce à l’autre et de pouvoir sortir du vaisseau. Tout le système d’armement avait été remis au goût des « Oxjio ». Toutes les bombes, toutes les torpilles… Excepté les armes à feu avaient été détruites pour être remplacées par un système de canon à Ion et un bouclier avait été ajouté.

Je vais tenir compte de ta remarque et modifié en conséquence mon histoire B.Carter

[NCIS]

A croire que sa interesse personne

[B.Carter]

t'a posté hier soir laisse le temps au gens de venir lire. c'est un forum pas un chat.

sinon je suis étonnée qu'il n'y ait pas de phase de test pour ton super vaisseaux et que les terriens ne soient pas plus méfiants que ca face à des gens qu'ils ne connaissent pas

[NCIS]

bah justement la premier mission c'est le test

[B.Carter]

ha!

parce qu'en général on ne teste pas un nouveau "jouet" en mission on fait d'autres test avant (puissance, résistance,...)

[NCIS]

Merci B carter je vais corriger ce probleme en effet sa serai mieux une phase de test avant. cette fanfic na pas l'air de faire un malheure comme les autres.

[heavyarms]

ta fic n'a pas de rapport evrc SG1 ou SGA?

[Alcyon]

Pour moi la fic est bien écrit mais l'histoire me semble un peu trop facile pour les terriens...
Ils fabriquent un vaisseau,au premier vol il se fait attaqué puis aidé par des inconnus qui leur offre leur technologie comme ça alors qu'ils savent que les Terriens ne vont pas forcément en faire bon usage...

Ton histoire est bonne mais manque de rebondissement pour moi.
Si c'est ta première fic je t'encourage à continuer...

Bon courage

[NCIS]

des rebondissement jte garantie que tu en aurras.

[NCIS]

Yio demanda au Colonel, combien de temps, ils avaient mis pour construire le « Y-624 ». Celui-ci répondit qu’il leur avait fallu cinq années...
- Cinq ans, c’est très long pour un vaisseau primitif, annonça le Commandeur.
- Notre vaisseau est issu de notre meilleure technologie, nous avons eu de nombreux problèmes technique et matériel, un autre pays qui s’appelle la Russie était sur un projet similaire et ils nous ont pris notre technologie tel que la « PCT-09 … Répliqua le Colonel vexé !
- Qu’est ce que la « PCT-09 ? Coupa le Commandeur.
- C’est une « Pile à Combustion Thermique » qui nous sert de carburant, le 9 correspond au prototype numéro 9, intervient la Major Reynold, nous devons retourner sur Terre Colonel ».

Le Colonel ordonna aux membres de son équipage de monter à bord du vaisseau. Puis, il alla remercier le Commandeur. Celui-ci lui dit qu’ils se reverraient prochainement. Le vaisseau décolla.

Après un laps de temps de vol, L’ « Adonis » rencontra le même appareil qui les avait attaqués mais celui-ci ne semblait pas vouloir combattre. Le Colonel ordonna de passer en mode combat et d’activer le bouclier qui ne fonctionna pas. Le vaisseau s’approcha lentement d’eux. Le Colonel commanda à son équipage de prendre les armes, mais celles-ci avaient disparu.

Un être étrange apparut, il avait sur le dessus de la tête, une imposante bosse et possédait quatre paires de bras, celui-ci se mit à parler :
« Bonjour, à vous Terriens, nous ne vous ferons aucun mal, nous sommes venus en amis !
- Comment Puis-je vous faire confiance ? Vous nous avez attaqué et les « Oxjio », nous ont mis en garde contre vous.
- Ils ont dû, vous dire que, nous détruisions des planètes ? Nous ne faisons rien de ce genre, nous téléportons dans notre appareil tout être vivant, végétation… Pour les protéger.
- Les protéger de qui ? De vous même ?
- Non, d’après une légende de notre peuple, dans peu de temps, une grande guerre va s’abattre sur notre galaxie qui causera d’énormes pertes humaines. En prévention de cela, nous essayons d’évacuer toutes les planètes de cette galaxie pour une autre planète dans une galaxie lointaine sans danger.
- Je ne vous crois pas. Prouvez-le nous !
- Nous allons vous le prouver, nous allons sur notre planète. »

A ces mots, le vaisseau se mit à avancer à allure réduite, puis accéléra brièvement. Une petite planète apparut, puis se mit à grossir à vue d’œil.
« A quelle distance, sommes-nous de notre point de départ ? demanda un soldat inquiet au Colonel.
- Environ quatre cent millions d’année lumière de chez vous, répondit l’étrange homme.
- Nous avons parcouru quatre cent millions d’années lumières en même pas cinq secondes, tout ceci est impossible. Sommes-nous vos prisonniers ? intervient la Major
- Non, pas du tout, vous êtes nos invités !

Le Colonel Bayard demanda où étaient passées leurs armes. L’étrange homme répondit qu’elles étaient à l’armurie. Le Colonel ordonna à ses hommes d’aller les chercher et demanda à l’extraterrestre, pourquoi il les avait enlevées. L’homme répondit qu’elles étaient toujours à la même place mais que celles-ci avaient été cachées par un effet optique. La Major donna un « P-90 » au Colonel. Celui-ci le pointa sur l’homme qui lui dit :
« Je vais m’absenter quelques instants pour aller chercher les preuves.
- Ne bougez pas sinon je tire, cria le Colonel.
- Avec quelles armes, allez-vous tirer ?
Le Colonel regarda ses mains, son arme avait disparu, il se retourna pour prendre celle d’un de ses soldats, mais il se rendit compte qu’aucun d’entre eux n’avait d’armes. Il se retourna vers l’inconnu qui avait disparu. Le Colonel ordonna au Major de mettre en fonctionnement le vaisseau. Elle s’exécuta, mais le « Y-624 » refusa de s’éloigner de la planète, elle fît un diagnostic complet du vaisseau et se rendit compte que celui-ci était attiré par la surface de la planète par un puissant champ magnétique, On put apercevoir la planète prendre forme. Arrivé approximativement 3000 mètres d’altitude. Un Marian fit son apparition et demanda au Colonel s’il pouvait allez à la rencontre d’êtres qui effectuaient leur premier vol spatial. Le Colonel approuva ! Le « Marian » leur annonça qu’ils allaient les accompagner à proximité de la planète et les laisser entrer en contact avec ce peuple, afin que les « Oxjio » ne les repèrent. La Major remit les propulseurs conventionnels en fonction et amorça la monté. Le « Y-324 » arriva an orbite où les attendait le vaisseau du Marian celui-ci prit l ‘ « Adonis » dans les griffes de son appareil.
« Dans une minute, nous arriverons à destination. En ce moment, nous vous transférons les coordonnées de cette planète dans votre ordinateur de bord
- Parfait, répondit le Colonel
- La menace dont vous parliez, serait-ce les « Oxjio » ?demanda la Major.
- C’est exact, madame, vous devez partir maintenant »

Le Colonel commanda de mettre en marche les propulseurs et le vaisseau se mit à avancer de plus en plus vite.
« D’après vous à qui pouvons, nous faire confiance, aux « Oxjio » ou aux « Marians », demanda la Major au Colonel
- Je donnerais plus ma confiance au « Marian », mais ce qui me trouble, c’est cet enfant qui venait sur notre vaisseau lorsque nous étions avec les « Oxjio ».
- Ah ! oui ! cet enfant qui venait d’une planète où les « Marian » ont téléporté ou tué toute la population, on ne sait pas où sont passées toutes ces personnes. Nos ennemis sont peu êtres les « Marian » ou bien les « Oxjio ».
- Oui, vous avez peut être raison, pour le moment, nous ne pouvons accorder aucune confiance aux deux parties. Lorsque nous serons de retour sur Terre, nous en parlerons au Président qui j’espère prendra une décision juste en ce qui concerne une alliance entre l’un de ces deux peuples. Dans combien de temps arrivons-nous en vue de cette planète Major ?
- Dans dix heures cinquante huit minutes et quarante cinq secondes, Colonel

Le Colonel demanda de mettre le vaisseau en pilotage automatique et conseilla à ses hommes d’aller se coucher tout en laissant une équipe de nuit de huit hommes qu’il laissa sous le commandement du sergent Ink.

[NCIS]

merci a DAVALEX28 pour ses images 3D

Y-624 L'adonis

Le vaisseau des OXJIO

[B.Carter]

c'est moi ou j'ai l'impression que t'es post ne se suivent pas

de plus tu utilise mal certain verbe : au début on pose une question au colonel et au lieu de répondre, celui-ci annonce sa réponse

[Davalexz28]

Moi je trouve cette histoire pas mal. C'est imaginatif. Bon boulot je trouve.

[NCIS]

si si mais post ce suivent tous c'est dans le fils de l'histoire mon histoire est deja ecrite depuis deux ans actuellement vous etez plus d'une centaine a l'avoir lu et a bien aimer. j'ai eu résamment une proposition d'une maison d'edition.

[NCIS]

c'est moi ou j'ai l'impression que t'es post ne se suivent pas 

de plus tu utilise mal certain verbe : au début on pose une question au colonel et au lieu de répondre, celui-ci annonce sa réponse 

heu tes pas trés clair la dessus ou c moi qui comprend pas

[Nébucadnézar]

ton histoire est super et comme je te l'ai dit tu devrait trouver un producteur pour au moin faire un bouquin

[B.Carter]

si si mais post ce suivent tous c'est dans le fils de l'histoire mon histoire est deja ecrite depuis deux ans actuellement vous etez plus d'une centaine a l'avoir lu et a bien aimer. j'ai eu résamment une proposition d'une maison d'edition.

c'est p'têtre méchant ce que je vais dire mais j'espère qu'il y aura des gens derrière toi pour te relire avant que ton bouquin soit vendu

sinon quand je lis tes post j'ai l'impression que ton histoire n'est pas très suivie :

Toutes les bombes, toutes les torpilles… Excepté les armes à feu avaient été détruites pour être remplacées par un système de canon à Ion et un bouclier avait été ajouté

Yio demanda au Colonel, combien de temps, ils avaient mis pour construire le « Y-624 ». Celui-ci répondit qu’il leur avait fallu cinq années...

tu fini un post par la réfection du vaisseau et puis tu commence direct l'autre par un semblant de dialogue. tu ne fait rien qui amène à ce dialogue. une mini-intro pour situer le contexte du dialogue aurai été pas mal (style : " Yio, curieux comme une fouine, s'approcha du colonel qui s'affairait sur la passerelle et lui demanda en combien de temps le vaisseau a été construit...").

tu comprend?

[NCIS]

tu a eu deus professeurs de français ainsi que deux documentaliste et un responsable d'une maison d'edition qui l'ont lu et relu.

en ce qui concerne
QUOTE
Toutes les bombes, toutes les torpilles… Excepté les armes à feu avaient été détruites pour être remplacées par un système de canon à Ion et un bouclier avait été ajouté


QUOTE
Yio demanda au Colonel, combien de temps, ils avaient mis pour construire le « Y-624 ». Celui-ci répondit qu’il leur avait fallu cinq années...


c'est la suite direct c juste pour le forum j'ai couper