[FANFIC] La Cité Perdue

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lokilanjkiller
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par lokilanjkiller »

Dernier message de la page précédente :

Oui, j'avais une idée bien fixée à propos de ton personnage. Si bien que nous le reverrons un peu dans le prochain épisode. ;)
Oubliez tout ce que vous avez appris, commencez par rever et le reve sera alors réalité..

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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par BOOBY »

Comme dit en MP excellent chapitre loki, se detacher des persos principaux est tres sympa surtout quand c'est reussi :clap:

Bravo, garde cette touche d'humour qui rend ta fic particuliere
Eloa
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par Eloa »

C'est une très bonne suite . :clap: Ca valait le coup d'attendre.
C'est vrai quand lisant ce chapitre je ne me suis pas rendu compte qu'on parlait peu de certains personnages principaux. Ca veut bien dire que cette fic est bien écrite et que l'intrigue est bonne ! :)

Vivement la suite !! :clap:
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mais en ce qui concerne l'univers
je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue."
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par Hawkins93 »

Et bien je viens de finir ta fanfic en entier, il n'ya pas à dire ça prend du temps. Mais, vraiment, elle est de très bonne qualité, de l'humour, de l'action et tout ce qu'il faut pour rendre une fic intéressante. Les deux doubles épisodes sont vraiment très bon ainsi que le 18. Dommage qu'il ne reste que plus que 2 épisodes. :(
Sans imagination, il ne pourrait y avoir création.

Il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser l'imperfection et l'atteindre.

Avant une guerre, la science militaire fait figure de science comme l'astronomie. Après une guerre, elle tient plus de l'astrologie.
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par lokilanjkiller »

Merci à tous.
Je suis content que mon non-utilisation des personnages principaux est satisfaisante.

Hawkins93 Bienvenue dans le cercle de mes lecteurs fanatiques. Les chapitres semblent long en effet mais justement je pense que c'est parce la fic est bonne, et que j'ai de l'inspiration. je compte meme les pofiner à l'avenir et les détailler encore plus, ils seront donc énorme.

Le 19 est en cours d'écriture, j'en suis disons à la moitié. Je vous demande donc de la patience. ;)
Dernière modification par lokilanjkiller le 05 juil. 2008, 12:14, modifié 1 fois.
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par lokilanjkiller »

EPISODE 19 : Abandonnée

Image

Résumé : L’équipe part à la recherche de Sheppard tandis que sur Terre, on se relève difficilement de la récente attaque Wraith. Il semble qu’un nouvel avenir s’ouvre pour Atlantis.


La vie n’est pas simple pour Thomas Svenssen.
Notre personnage est de grande taille, presque les deux mètres pour quatre-vingt dix kilos. Ce n’est pas un athlète de série TV mais il est plutôt imposant.
C’est un homme chauve de trente trois ans. Ses parents l’ont abandonné le jour de sa première érection il y a vingt-trois ans. Il est convaincu dans son fond intérieur que cela en est la raison. Pourtant, il avait découvert dans les archives de Genève que son père était un criminel de la mafia puis que sa mère avait été rejeté par les services de l’immigration, et donc renvoyée en Tunisie suite à la découverte de faux papiers.
Le gamin est élevé dans un pensionnat. Commence une carrière de footballeur. Il n’est pas mauvais en défense mais un matin de juin dix-neuf cent quatre-vingt dix, son genou droit se brise. Il abandonne sa carrière de footballeur, puis échoue ses études de sciences politiques à Genève et fait de son boulot d’été, son boulot de toujours, il est caissier à McDonald. Même si cela est bien pénible pour un individu à béquilles.
Récemment, il regardait la coupe d’Europe, mais voilà que la Suisse est disqualifiée suite à sa défaite face à la Turquie.
Or Thomas n’a pas de femmes à traiter de conne ni même un enfant pour le divertir par une petite chanson en échange du droit de se coucher plus tard.
Du même coup, cet individu, prévu à l’origine par l’auteur pour être le diplomate de la Suisse, lors de la réunion de l’ONU, afin de répondre à l’attaque Wraith, devient un sinistre buveur de bière qui s’endort devant sa télévision.

***

Atlantis…


Nous sommes dans la fameuse salle d’embarquement.
La porte des étoiles s’active comme à son habitude si ce n’est l’excitation qui se dégage des trois personnages qui la traversent.
Ce sont, au milieu le colonel Carter, à sa droite Isabelle, à sa gauche, Rodney McKay, un canadien scientifique.

Beaucoup d’hommes et de femmes s’activent dans cette salle. Certains travaillent, d’autres sont de vulgaires comédiens dont le but est de marcher dans la salle, un grand rôle de figurant, offert parfois à des fans.
Teyla s’est avancée pour les accueillir ? Euh non, c’était pour vite lancer une expédition retrouver Sheppard.
Weir pense la même chose, si ce n’est qu’elle demande tout de même si la Terre est sauvée.
Carter répond de manière positive.
Ensuite, tous les membres de l’expédition organisent une petite fête, on explique dans les détails la bataille. Rodney mange de ce poulet Athosien, boit du champagne, etc etc

Bref c’est une scène assez proche de celle du second épisode de la saison une.
C’est assez sympa.

Si l’on jette un coup d’œil au dehors, nous pouvons voir que la cité est recouverte par l’océan comme à ses débuts. C’est magnifique et émouvant. La légende se répète.
Les capteurs indiquent que des dizaines de ruches assiègent la cité. Il y a tellement de points que c’est fatiguant de compter.

D’ailleurs, je me demande : les Wraiths sont-ils les Grecs de la légende ?

***

Salle de réunion


Autour de la table ronde s’affairent plusieurs chevaliers…Euh, (couic)

Nous avons d’abord le colonel Carter, Rodney qui a un peu mal à la tête suite à hier soir. Zelenka et Isabelle qui quant à eux ont bien dormi, suite à leurs relations sexuelles fanatiques et un tantinet sadomasochistes en directe provenance des pays de l’Est ou peut être d’une province française inconnu.

Non, cela ne peut être la faute des français.

Je vois aussi les beaux yeux du major Lorne qui transperce quelque peu le regard de Carter.
En revanche, le dernier membre a la tête baissée, les cheveux le long du corps et une profonde colère dans l’estomac : c’est Teyla.

- Nous devons retrouver John ! Dit elle.
- Oui, mais avant, nous devons découvrir sur quelle planète il est, fait Rodney.
- Nous devons retrouver John ! Dit elle.
- C’est bon, Zelenka a découvert la destination la plus probable.
- Oh c’est vrai ?
- Nous devons retrouver John ! Dit elle.
- Oui, bien sur Rodney.
- Je ne savais pas que tu serais capable de le faire. Ou est cette planète ?
- C’est une planète encore inexplorée par nos équipes, à la périphérie de la galaxie, en plein territoire Wraith.
- Ce sont donc eux qui l’ont enlevé, fait Isabelle.
- Nous devons retrouver John ! Dit elle.

Tous sont agacés que Teyla répète cette phrase sans cesse. La seule de son scénario. Elle s’était préparée toute la nuit afin de la prononcer de la meilleure façon.
Sam hurla :

- Mais enfin Teyla fermez la !
- Ah vous voyez que vous alliez vous aussi vous énerver sur elle, pas la peine de m’engueuler dans les épisodes précédents fait Rodney.

Isabelle reprend la parole :

- Pardon, je suis la seule à mettre demandée comment le colonel avait pu disparaitre ?

Tous les autres personnages se sentent alors con mais con…

- Mes suppositions sont soit les Wraiths, soit Orichalque, soit les Anciens.
- Ils sont morts.
- Pas ceux qui sont élevés.
- Oui bon bref. Reprend Carter. Dès que vous serez là bas, vous découvrirez qui c’est.
- Ford ? Fait Rodney.

C’est alors que tous les membres de l’expédition se sont mis à rigoler de façon cynique. Quelle espèce de fan pouvait croire cela !

- Carter : Bon alors quelqu’un à un plan ?
- Lorne : On fait comme d’habitude.
- Carter : Comme d’habitude ?
- Lorne : Ben oui ! On envoi une équipe après avoir envoyé un malp ?
- Rodney : Ah pas con. Il ne peut rien nous arriver on est les gentils !

Tac tac tac.
Le malp est lancé, il donne de nouvelles images, et une équipe traverse le vortex. Ce moment me fait penser que je n’ai pas vu de malp depuis les premiers épisodes.

***

Retrouvons nos amis de l’autre coté…


L’équipe qui traverse le vortex bleu est pour le moins originale. Elle est composée de son chef, le major Lorne, fier militaire, au physique capable de charmer une reine ennemie. Ensuite, du scientifique blagueur de service, destiné à devenir chauve, le bien aimé Rodney Mckay. Puis, nous avons deux femmes, une Teyla sur ses gardes, prête à tout pour retrouver son homme, et Isabelle, française divine, intelligente, à fort appétit sexuel etc etc. La femme parfaite.
Cette équipe est en effet révélatrice d’un manque total d’organisation.

Le but est de retrouver Sheppard.
Ford a disparu depuis longtemps et est capable de vous trancher la gorge comme de vous sauver. Ronon est dans le coma. SG 1 n’a jamais muté autant.
Nous pouvons noter que Teyla a les plus gros biceps et que Lorne a les plus beaux yeux tandis que McKay a le plus peur, et qu’Isabelle, oh mon dieu quelle poitrine extravagante.

Un seul spectacle peut pourtant vous faire détourner le regard. C’est la planète.

Vu du système solaire, ce dont nos amis n’ont aucune idée, nous pouvons voir qu’elle se situe en quatrième position d’une immense chaine d’astres. Je compte vingt-six planètes, pas une de moins, dont quatre doivent être habitable. Il y en a des telluriques, d’autres totalement glacé ou encore entouré de légions d’astéroïdes infranchissables. La pire est certainement la plus proche des deux soleils, où il fait environ 450 degrés en moyenne, un enfant si il tend le bras pourrait attraper les deux soleils depuis la planète A.
Chose curieuse. Un troisième soleil vient bercer de sa lumière, les quatre dernières planètes du système, est ce un système superposé ou autre chose. Jamais nos amis ne pourront y répondre.

Revenons à la planète de nos amis.
Elle est de très petite taille, un peu comme la Lune, semble tournée autour d’une autre planète plus imposante. Notre amie, est de couleur très vive, proche du orange.
Cela s’explique par le fait que les deux tiers de la planète sont recouverts de sable, puis l’autre d’un unique océan de sel.
Isabelle constate que tout autour d’elle, il n’y a que d’immenses montagnes très élevées, des dunes de sable à perte de vue, aucunes broussailles, aucunes oasis. La chaleur y est extrême. Le malp est juste à coté d’elle tandis que la porte des étoiles se situe derrière. Elle est fermée.

Juste derrière le DHD, nous pouvons apercevoir un haut obélisque de couleur jaune parcouru de cristaux dont un immense à mi hauteur. Celui-ci se met à briller d’un coup, puis une forte lumière se dégage de l’obélisque pour ensuite parcourir les corps de nos amis de haut en bas.

C’est à ce moment que la peur gagne les esprits, puis qu’un son insupportable se met à s’émettre depuis l’obélisque.

Nos amis tombent à terre, et s’évanouissent.

Rodney saigne du nez.

***


Saviez vous qu’au cours d’un film, il est possible d’apercevoir comme une tache en haut de l’écran. Souvent à droite. Cela s’appelle des brulures de cigarette. Cela indique à cet homme qui se situe au dessus de vous lorsque vous allez au Gaumont, qu’il est temps de changer la bobine du film et donc de passer à la suivante.

C’est ce qui vient d’arriver.

***


La porte des étoiles est active lorsque McKay se réveille.
Il reçoit une communication radio.

- Major Lorne, Rodney, mais répondez bon sang !
- Sam ?
- Rodney ? Vous allez bien ? Cela fait cinq minutes que je cherche à vous contacter.
- Oui, nous avons été abasourdi par un son et une lueur impressionnante provenant de l’obélisque. Mais attendez, oui c’est bon les autres se lèvent, ils vont bien !
- Parfait ! Revenez sur Atlantis !
- Mais nous n’avons pas encore retrouver John, vous aurez reconnu Teyla.
- Je sais, mais Woolsey est revenu de la Terre avec une grave nouvelle. J’ai besoin de vous.
- Et John ?
- C’est un ordre Teyla.

Nos amis passent alors la porte des étoiles. Lorne tient l’athosienne par le bras.

Je profite de ce moment que nous partageons pour une remarque.
Quel est le plus légitime, laisser John s’en sortir seul, l’abandonner à la rigueur ou bien envoyer quatre individus avec le risque de les perdre eux aussi ?

Quelle est la raison de ce mystérieux et soudain rappel ?

Je ne vais pas vous sortir un célèbre : To be continued.

Vous pouvez me remercier.

***

Atlantis…


Dans la salle des réunions, les chefs d’équipes sont réunis. C'est-à-dire les personnages principaux et les secondaires préférés. Toujours les mêmes donc.

Seul Woolsey s’y ajoute.

- Mesdames messieurs, fait il.
- Quelle politesse !
- Rodney !
- Bon ça va. (timidement).
- Hum, mesdames messieurs, reprend Woolsey, l’heure est grave.
- Comme à chaque épisode !
- Rodney !
- Bon sa va. (énervé).
- Docteur Mc Kay je vous en pris. L’heure est donc grave. La Terre est au courant pour le SGC et Atlantis.
- Pardon, cria Sam.
- Ah ben sa, faut être un attardé pour ne pas être au courant que la Terre vient d’être attaquer par des aliens comme les Wraiths.
- A ceci près que nous avons essayé de résoudre la crise. Les gouvernements importants étaient déjà au courant de l’existence du programme. Mais suite à cette attaque, le comité a décidé de rendre public la porte des étoiles afin de remette l’ordre.
- Nous vivons un moment émouvant fait Sam.
- Néanmoins, cela ne se passe pas si bien. Désormais le comité a presque plus de pouvoir que notre président. Le comité veut obtenir le contrôle exclusif de la porte des étoiles. De plus, les français exigent une réponse, et une forte compensation.
- Pourquoi ?
- Les Wraiths n’ont attaqué que Paris.
- Un vaisseau ? Fait Sam.
- Oui, un vaisseau. En effet, il est curieux que les Wraiths n’aient attaqué que Paris. D’ailleurs beaucoup de gouvernement ne comprennent pas pourquoi les Wraiths n’ont attaqué que cette ville, et encore moins pourquoi ne pas avoir attaqué l’Amérique, lieu où est la porte des étoiles.
- Rodney : Les français n’ont pas eu de chance. Non mais sérieusement, les Wraiths s’attaquent à nos vaisseaux en priorité, ils n’ont donc pas toutes leurs forces pour attaquer la population.
- Je le comprend bien, mais même si le gouvernement français est au courant, je pense que c’est un moyen de pression, insurmontable.
- Que pense la Chine à ce sujet ? Fait Isabelle.
- La chine ne comprend pas comment les Wraiths n’ont pas attaqué leur pays. Ce n’est pas qu’ils soient mécontent, mais leur pays reste le plus peuplé.
- Les Wraiths ont peut être eu peur des défenses de la Chine justement. Fait Zelenka.
- Non justement, reprend Carter, les Wraiths, ont les moyens de détecter que c’est la France la mieux défendue des deux.
- Je ne pense pas qu’il y ait quelque chose de particulier à Paris que les Wraiths recherchaient. Au fond la cuisine française a bon gout, fait Rodney.

Ils le regardent tous avec de gros yeux.

- Moi, ce que je ne comprend pas, dit Isabelle, c’est comment la population soit au courant de l’existence d’Atlantis. Vous auriez pu dire que les Wraiths venaient de notre galaxie.
- Nous n’en avons pas eu le temps, fait Woolsey, une grave fuite a mise au courant le monde entier des détails de tout le programme.
- Autre chose ? Reprend Isabelle.
- Oui. Euh, nous avons découvert un Wraith sur la Terre.
- Vraiment ?
- Il est prisonnier d’un immeuble pour l’instant.
- Oh mon dieu, s’exclame Carter.
- Conclusion ? Fait Rodney.
- La pression populaire est si forte qu’une enquête a lieu afin de déterminer les sommes que tous payent depuis le début.
- Ils se servent de vos travaux ?
- En effet. Mais le pire, c’est que les masses réclament l’arrêt immédiat des opérations.
- Quoi ?
- Le SGC doit fermer, au profit d’une agence gouvernementale. La porte des étoiles va être déplacée dans une zone neutre. Nos vaisseaux doivent stationner en orbite. Donc plus de trajet du Dédale. De toute façon le siège rend cela impossible. La construction des vaisseaux puis les investissements sont suspendus.
- Et ?
- Nous devons quitter Atlantis.

C’est à ce moment que la peur remplit les cœurs et les regards. Pour beaucoup, c’est pire que de se faire bouffer par un Wraith.

- Mais c’est impossible, fait Carter.
- Le comité sait la cité assiégée. Si vous êtes certain que les Wraiths ne franchiront pas le bouclier, il suggère de l’abandonner simplement en emportant le plus d’affaire possible. Si elle est prenable, un ZPM doit est mis en surchauffe afin de faire exploser la planète, la cité et nos ennemis.
- Mais enfin, c’est impossible, cette ile est un trésor, notre héritage.
- Rodney, combien pouvons nous emporter de ZPM sans risquer de trop affaiblir Atlantis ?
- Aucun.
- Je vois, aucun des deux. Je veux moi aussi la sauver, c’est pourquoi Isabelle va venir avec moi. Vos qualités de diplomate me permettront d’obtenir le droit de sauver la cité dans l’espoir d’y revenir.
- D’accord.
- Je peux venir ? Fait une Weir très absente depuis son retour. Je veux tout faire pour que nous restions ici. La Cité peut tenir plus longtemps sans nous, mais peut encore tenir avec nous. Nous devons sauver Atlantis autant que John.
- Oui… Fait Woolsey hésitant.

Teyla s’apprête à parler. D’un coup rapide, Rodney la précède.

- Et pour Sheppard, vous devez obtenir un laps de temps. Nous pouvons le ramener.
- Je vais essayer.
- Et les Athosiens ? Les Pégasiens ? Fait Teyla.
- Vous pouvez venir avec nous mais nous ne pouvons rien pour eux…

Cela avait le mérite d’être clair.

Isabelle, Woolsey puis Weir traversent alors le vortex vers la Terre.

L’équipe du départ retente sa chance sur la planète malgré la menace de l’obélisque.

***


Sheppard se réveille.

Le malheureux a été emporté il n’y a pas longtemps par une force invisible qui l’a alors attiré de façon violente vers un vortex déjà enclenché pour une destination inconnue.
Au cours de son réveil difficile, le colonel pousse un petit « han », ce n’est pas de la jouissance c’est au contraire afin de traduire une certaine douleur. Il comprend aussitôt que le sang coule de façon légère sur son crane juste au dessus de l’œil gauche. Mais que lui est il arrivé ?
Il ne se souviens de rien après son enlèvement.

En soulevant difficilement sa tête, il comprend qu’il est assis sur une chaise de bois brillant, ligoté d’une corde blanche épaisse, habillé de sa tenue habituelle, mais pire encore, il est décoiffé.

Il est difficile pour le colonel de décrire la scène. Faisons le donc pour lui.
Il est facile de ressentir que la pièce est très petite. Sa particularité est d’être très sombre. Seule une très faible lueur sort de quatre petites vitres sur le sol, visiblement on ne peut regarder à l’extérieur, ceci n’est pas le fond, ce n’est qu’un moyen de maintenir un faible éclairage. Mis à part Sheppard, cette lueur, il n’ y a rien dans la pièce. Cependant à un mètre devant lui, il semble reconnaitre une petite porte du modèle des Anciens, peut être un jumper.

La porte s’ouvre.

Cette fois la lumière est intense, ses yeux sont fermés tellement la lumière est forte.

La peur l’envahit.

***


Après un bruit relativement calme, la voiture noire s’arrête au milieu d’une vaste banlieue parisienne prête à être détruite, dans l’objectif de construire de nouveaux bâtiments plus contemporain.
Le chauffeur, un militaire habillé de son uniforme du dimanche, sort de la voiture et court ouvrir au passager situé à l’arrière coté droit.

- Mais arrêtez lieutenant ! Je vous ai dit cent fois d’arrêter de m’ouvrir comme cela ! Ouvrez plutôt à Teal’c il est plus vieux !

J’espère que vous aurez reconnu le général O’Neill, accompagné du jaffa.

Le général jette un coup d’œil rapide à ce pays étranger qu’est la France, il se dit évidemment qu’il préfère largement la Tour Eiffel, et la planète Taonas à nos pauvres banlieues lui rappelant une mission d’assassinat à Détroit il y a plusieurs années.

Le colonel Druet ( car c’est bien lui chargé de la mission) se rend vers le général.

- Alors colonel, on vous a retiré l’Odyssée ?
- Mon général ! Oui le temps d’effectuer les réparations. D’ailleurs cela vient de vous non ?
- Non… Hum bref ! Alors comment va notre copain ?

En effet, la nouvelle est assez singulière.
Un extraterrestre se cache dans le vieux bâtiment rouge, plein de tags, prêt à tomber. Il a tué une jeune femme, il n’y a pas longtemps.
Il a été détecté par la police après qu’il s’était approché d’un enfant de huit ans. Il ne lui a fait aucun mal, mais la nature de l’alien ne présageait rien de bon.
La police française est donc intervenu rapidement, après avoir laissé l’alien en question séjourné trois jours en liberté dans une Paris, aux feux éteints mais à moitié détruite par nos ennemis lors de la précédente bataille.

Ensuite, le Wraith s’est enfermé à l’intérieur du bâtiment avec l’enfant.

- Bon colonel, vous me donnez la réponse ?
- Euh, il s’est enfermé depuis deux heures dans ce bâtiment avec un enfant nommé Nicolas. Nous attendions votre arrivée afin de l’intercepter.
- Oui, on nous a téléporté à l’Elysée, puis après nous être disputé avec le président, puis bu un bon petit café, nous voilà.
- Ah ben c’est du joli !
- Non je préfère ma cabane.
- Au fond du jardin ?

L’américain n’a pas compris la blague.

- Vous avez essayé de parlementer ?
- Non, pas encore je, mais enfin c’est un Wraith !
- Alala colonel, voilà pourquoi moi je suis général ! J’ai l’habitude de parlementer.

C’est à ce moment que Teal’c rigole d’un ton ironique à la dernière phrase de O’Neill.

- Dites moi Teal’c, comment vous en êtes vous sortis lorsque votre hatak a explosé ?
- Tout simplement, on nous a téléporté. Je suis surpris que nos vaisseaux ne peuvent rien contre les Wraiths, c’est inquiétant.
- Et Dakara ?
- Reconstruite depuis notre victoire face aux Ori. Mais pourquoi on me pose toujours les mêmes questions ?
- Euh, je ne sais pas, fait le colonel français, je peux prendre une photo de vous ?

Teal’c lève alors le sourcil, vous vous doutez bien.

Le général O’Neill se sert alors du micro afin de communiquer avec le Wraith.

- Euh, hey Dracula ! Vos petits copains sont morts. Il est temps de sortir maintenant, et libérez l’enfant, sinon on vous tue !
- Il a l’habitude de parlementer ? fait le colonel.
- En effet, répond Teal’c.

Soudain, un jeune enfant de huit ans, blond, de très petite taille, sort du bâtiment, sans aucune trace de blessure et avec son age juvénile.

- Le Wraith ne l’a pas touché ! Fait Teal’c.
- Dis moi petit, tu vas bien ? Fait le général.
- Oui, Raphael m’a raconté sa vie, et m’a juste demandé un service.
- Raphael ? Le nom du Wraith ? Les Wraiths ont un nom ? (en se tournant vers son ami jaffa).
- Quel service ? Fait le jaffa.
- M’occuper de Noémie.
- Qui est Noémie ?

L’enfant s’avance sans même répondre aux militaires. Visiblement il n’est pas choqué, mais plutôt triste de savoir la suite des évènements. Fier de sa mission, il sait où trouver Noémie, une petite fille que le Wraith a déposé chez les hommes dans l’épisode précédent. Visiblement afin de lui assurer la survie.

Nicolas devait devenir l’ami de Noémie.

L’enfant ne se retourna même pas lorsqu’un bruit fort se fit entendre, et que des flammes sortirent d’un appartement du troisième étage.

Le Wraith, Raphael de son prénom, satisfait de la discussion, s’est suicidé.

***


Sheppard a peur.

Cette lumière est intense. D’un blanc d’écran d’ordinateur que l’on collerait au visage un soir d’hiver vers minuit sur stargate fusion.

Soudain une petite ombre dévoile une forme visiblement humanoïde. Pourtant quelque chose ne tourne pas rond. Vers le milieu du corps, de petits fils semblent tomber vers le sol.

L’ombre s’avance.

Sheppard comprend que ce sont de longs cheveux bruns.

Son adversaire est une petite fille d’une douzaine d’années. De petites pointes révèlent que ses seins commencent à pousser comme les tulipes de mon jardin. Elle tient comme un voile rouge fait d’une matière inconnu, autour du cou et des épaules. Au niveau du bas, on dirait qu’elle porte une toge blanche, avec aux pieds des sandales bien fixées.

La petite fille le regarde de ses yeux bleus, l’air rassuré. Confiante, elle pose sa main droite sur le visage du colonel. D’un coup, il ne ressent plus aucune douleur, il est guéri.

La petite fille ne dit rien, elle ne fait que sourire.

- Qui es tu ? Fait Sheppard.

Elle sourit de nouveau.

***


Il était une fois dans le pays des fées…

Ceci n’a aucun rapport dans l’histoire, imaginez cela comme une PUB.

Saloperie…

***


La porte était de nouveau fermée. John a profité de la PUB afin de se libérer de ses liens. Par quel moyen, je n’en sais rien. Peut être qu’un mauvais cameraman l’a aidé, le temps que je bois mon café et que je mange ma pomme Pink lady.

Toujours est il que le colonel est libre. Toujours dans le noir, il cherche le moyen d’ouvrir la porte. Sa main droite tombe sur une sorte de cristal, il le pousse. La porte s’ouvre.

Un spectacle incroyable s’offre à lui.

Au premier plan, quatre sièges où sont posées des armes inconnues, beaucoup de lumières, une petite plante bleu dans un bocal de verre. Que vient il faire là ?

Ce vaisseau est il responsable de l’invasion des forets de pins dans toutes les galaxies ?

Sur les sièges avants, nous pouvons voir, à droite, la petite fille, à gauche, un homme de bonne envergure, cheveux bruns courts, tunique bleu et noire. Il pianote sur les consoles.

L’entrée de Sheppard ne les inquiète pas.

Soudain, le colonel constate un vaste hublot au devant qui révèle deux vaisseaux ruches à proximité.

« Un jumper ».

« Je suis dans un jumper modifié ! » pense alors le colonel.

Il ouvrit la bouche, mais avant d’émettre un son, une légère musique se fait entendre, cela ressemblait à du piano aidé d’harmonica.

C’était magnifique.

Le colonel s’effondre d’un coup sur le sol.

Aucun des deux mystérieux personnages ne bougent. Ils sont trop occupés à regarder les vaisseaux ruches.

***


Retrouvons Rodney, le major Lorne puis Teyla sur la planète.

Tandis que l’athosienne se ronge les ongles en répétant frénétiquement dans sa tête : « Ou est John ? », le major Lorne vieille sur l’équipe, puis constate une tempête de sable au loin.

- Bon, je suis désolé, mais avec cette tempête, on va devoir rentrer.
- Non ! Crie Teyla en colère.
- Attendez major, j’ai presque fini d’étudier cet obélisque, fait Rodney. Ah sa y est, j’ai enfin compris ce que c’est !
- Et c’est ?
- C’est un téléporteur d’une portée phénoménale. Visiblement il peut activer de lui-même la porte et téléporter n’importe quoi depuis le vortex, vers n’importe quel endroit, préalablement choisi. Je pense que nous sommes sur la bonne piste.

D’un coup, au pied de l’obélisque, dans une lumière blanche, le colonel Sheppard apparait, allongé, inconscient mais tout habillé, toujours décoiffé.

- J’ai rien fait ! Crie Rodney ! Euh si, c’est moi qui l’ai ramené ! Oui c’est moi ! Enfin je pense, euh, colonel vous allez bien ?
- Colonel ? Fait Lorne.
- Lapin ? Fait Teyla.

Après quelques instants, il daigne répondre, tout en restant dans le cul et d’une manière très faible.

- On doit, on doit partir…

Soudain Lorne cria :

- Des darts, activez la porte !

Nos amis passent le vortex sans se rendre compte que l’obélisque disparait dans la même lumière étrangère que Sheppard.

Mais surtout ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’une fois la porte des étoiles inactive, celle-ci s’est aussi évaporée, comme son DHD, de même que la planète entière. Du même coup les darts se sont retrouvés brusquement dans l’espace alors qu’ils croyaient être sur une planète.

Les deux vaisseaux ruches jadis en orbite les rappellent alors aussitôt.

La petite fille du vaisseau inconnu et familier en même temps, regarde alors son bocal, une petite porte des étoiles apparait dedans. Aussitôt suivi d’une miniaturisation de l’obélisque et du DHD. Le bocal se ferme alors entièrement afin de devenir une boule de cristal des foires terriennes. La fille sourit. Visiblement cette boule de cristal possède d’étonnantes capacités.

Le vaisseau des deux inconnus ne passe pas en hyperespace, une sorte de brume invisible aux Wraiths l’entoure, puis le vaisseau disparaît dans un flash impressionnant.

Mais qui étaient ils ?

De vrais anciens auraient passés en hyperespace, et de toute façon ils sont tous morts !

Une autre race alien ?

Une illusion ?

Qui sont ils ?

***


- Chaya ! J’ai vu Chaya ! Enfin je crois, fait Sheppard, sur son lit d’infirmerie, entouré des personnages habituels.

Autant dire que Teyla est jalouse.

- Je suis rentré dans l’avant du vaisseau, je suis tombé. Et là je me suis retrouvé sur Atlantis. Totalement seul, mais très vite des Wraiths m’ont encerclé. J’ai tiré de mon P90, mais les balles semblaient ne pas exister. Les Wraiths se sont avancés, ils m’ont dit que l’on ne pouvait rien contre eux. C’est à ce moment qu’elle est apparu !
- Qui, fait Rodney ?

Soudain le haut parleur se met en marche : « Le colonel carter est demandé en salle de contrôle »

- C’est Chuck, je reviens, fait le colonel féminin.

Sheppard reprend :

- C’était Chaya, enfin je ne sais pas, c’était elle sans être elle.
- Qu’a-t-elle dit ?
- « Le seul moyen de gagner est de refuser le combat ».

Tous restent incrédule.

- Je me suis réveillé dans les bras de Teyla, et là j’ai compris.
- Quoi ?
- Ils m’ont transmis un message.
- Qui cela ? Chaya ? Les êtres élevés n’interviennent pas dans notre plan. Les Anciens sont morts. Peut être est ce un piège des Wraiths ?

Le colonel Carter rentre à nouveau dans l’infirmerie, mais cette fois avec Woolsey.

- Allez y dites leurs.
- Nous devons quitter Atlantis, prononça froidement Woolsey.

Sheppard lance un petit sourire satisfait.

- Dans cette sorte de rêve, j’ai aussi aperçu Ronon, mais aussi ce moment que nous vivons.
- Quel est le message ? Fait alors Teyla, pour une fois, utile à l’épisode.
- Ils, je ne sais pas qui, mais ils…
- Ils ? Fait un Rodney anxieux.
- Ils veulent que l’on se casse !

***


Je refuse de vous décrire la scène. Je vous laisse imaginer.

Pourtant, elle est seule sur Atlantis, tous sont déjà partis.
La porte des étoiles est active, elle l’attend. Les lumières sont éteintes, seule la porte procure une lueur. Cette personne constate que les draps sont placés sur les consoles comme à son arrivée, il y a longtemps.

Son équipe a récupéré ses affaires, on s’est emparé de tous ce que l’on pouvait, en outre les jumpers et la plupart des informations de la base de données. En revanche, les deux ZPM ont été laissé afin de protéger la Cité contre l’océan et les Wraiths, puis dans l’espoir de pouvoir revenir un jour.

Une petite anecdote, Chuck a essayé d’arracher le cristal d’Orichalque des consoles, mais ce formidable ordinateur Ancien a refusé d’abandonner Atlantis, on l’a alors abandonné lui aussi.

Cette personne.

Weir, passe le vortex qui s’éteint derrière elle.

Le titre de ce chapitre ne concerne pas Sheppard.

Atlantis est abandonnée.

La Cité est perdue.

***


Pourtant d’un coup, le vortex s’active de nouveau derrière nos amis.

Qui est ce ?

Soudain, le cristal d’orichalque s’illumine d’un orange vif, puis se détache des consoles.

Une boule de cristal familière sort du vortex.

Orichalque s’engouffre dans la boule.

Une forte lumière envahit toute la Cité et ses alentours.

D’un coup, la Cité a disparu.

Les Wraiths ne détectent plus rien sur leurs radars. L’océan reprend sa place là où se situait la cité.

La Cité est perdue.

***


Nous spectateurs, nous pouvons la retrouver au dessous d’un autre vaste océan. Il est difficile de reconnaitre cette planète où la Cité est apparu mystérieusement, comme téléporté. Cependant, nous pouvons reconnaitre les baleines.

La Cité est retournée sur Lantia.

Mais par quel prodige ?

Qui peut téléporter une Cité entière vers une autre planète à travers un vortex, et comment ont-ils fait sachant que Lantia n’avait plus de porte des étoiles à ce moment.

Mais comment ?

Mais qui ?

D’ailleurs, la Cité nous était elle destinée ?
Les Anciens ont fuient par la porte des étoiles dans l’espoir de revenir un jour. Eux ou leur espèce, veulent ils dire les hommes, ou leurs propres descendants ?
Une chose est sure, nous n’étions pas prêt à affronter les Wraiths. À découvrir les secrets d’Atlantis.

Notre défaite est la seule fin logique.

Notre départ est la seule fin logique.

Mais qui sont ils ?

Soudain, la porte des étoiles s’active de nouveau. La boule de cristal contenant Orichalque tombe et roule sur le sol.

Ne vous sentez pas, comme aspiré ?
Et si nous étions tous des Anciens ascensionnés venu observer de façon furtive cette scène, afin de savoir qui arrive sur Atlantis. Imaginez vous tous chers lecteurs, nous sommes ensemble devant la porte des étoiles. Ils vont la traverser.

Soudain, ils arrivent…
Dernière modification par lokilanjkiller le 07 juil. 2008, 12:47, modifié 1 fois.
Oubliez tout ce que vous avez appris, commencez par rever et le reve sera alors réalité..

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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par BOOBY »

Merci loky :D


Bon chapitre, comme d'hab quoi, ca valait la peine d'attendre :clap:
Jack Mckay
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par Jack Mckay »

Mouai... Episode moyen.

Trop de délires , trop de langage familier...

Il y a une bonne partie de l'épisode dont on pouvait se passer...
De John.Shep: "Est-ce un avion ? est-ce un oiseau ? est-ce une fusée ? Non ! C'est super-Jack McKay !"
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par Eloa »

CITATION (Jack Mckay,Lundi 07 Juillet 2008 12h03) Mouai... Episode moyen.

Trop de délires , trop de langage familier...

Il y a une bonne partie de l'épisode dont on pouvait se passer...
Je suis du même avis que Jack McKay.

C'est la première fois que je suis déçue par un de tes chapitres. :( J'espère que ce sera la dernière ! ^_^

Ca ne m'empêche pas d'attendre la suite avec impatience !
Dernière modification par Eloa le 08 juil. 2008, 22:38, modifié 1 fois.
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Re: [FANFIC] La Cité Perdue

Message non lu par jéjé »

Pas mal comme épisode ! :)

pour quand la suite ?
"Pour comprendre la profondeur,
il faut savoir chuter"

T'oh ! Ouh pinaise
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