bon, la traduction du Los Angeles Times:
ATTENTION ATTENTION ATTENTION
certain passages de l'article détaillent des scènes du films, abstenez-vous de lire si vous ne voulez rien savoir!!
'Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull'
La plus grande star du dernier Indy : Steven Spielberg
C'est le film le plus attendu de l'été, dernier d'une saga qui a amassé plus de 1,2 milliards de dollars (rien qu'en ticket de salle vendus!!)
Ajouter à cela, la première projection pendant le plus prestigieux des festivals du cinéma international, et le merveilleux Indiana jones IV évite d'être une déception et reste un divertissement dans son pur style.
Bien que les star du film comme Harrison Ford, relaxé et capable de faire encore des prouesses à l'aventurier le plus connu du monde et se vantent de supporter des acteurs de second rang tel que Cate Blanchett dans le role d'une superbe méchante et de Shia Labeouf comme l'inevitable bizuth. Mais le vrai héros est bien Steven Spielberg et son armée de super techniciens qui fabriquent les effets spéciaux dans les trains entre chaque plateau de tournage afin de respecter le temps imparti par les studios.
Les trains ne sont pas en fait une mauvaise métaphore pour représenter les motivations du réalisateur pour ce quatrième Indy, le premier en 19 ans. Comme un amateur de train modélisés qui apprécie de recevoir l'équipement de plus en plus cher comme ses augmentations de revenu, Spielberg a clairement eut l'énorme plaisir d'utiliser tous les style d'effets spéciaux appris durant sa longue carrière (voire sa vie!) et les lancer vagues après vagues entre quelques jeu d'acteurs réussis.
Il est évident que "le crane de cristal", qui sort en salle ce jeudi (USA!!) ne pourrait pas avoir un public plus désireux pour ne pas dire enragé que celui qu'il s'est offert à Cannes lors de la représentation de Dimanche.
[...]
Le scénario écrit par David Koepp (sur une histoire de Georges Lucas et Jeff Nathanson) fut celui retenu en dernier parmi plus d'une douzaine proposé à la production et après près de 15 ans de travail [comme quoi en faite indy 4 était prévu depuis bien longtemps!!]
Le résultat ne pouvait donc être aussi réussit que "la dernière croisade" mais indy 4 reste un agréable moment auquel se suspendre, avec un budget estimé à $185 millions, doit être le film de matinée de samedi le plus cher jamais fait. (--> signifie que le film est destiné aux gamins grâce métaphore des dessins animés que les enfants regarde quasiment tout le samedi matin!!)
Le script de Koep a du aussi recevoir l'approbation de Harrison Ford, qui a du enfin être touché de jouer un personnage ayant son age, dans une histoire au sommet de la peur des rouges (=soviétique, guerre froide) quand en 1957,croyez-le ou pas, le professeur Jones du Marshall Collège est arrêté par le FBI et voit son patriotisme remit en question.
Laissant de côté l'esprit catalogueur d'Indy, Harrison Ford a fait la paix avec son plus grand personnage qui ait incarné et son aisance dans le film ressemble à si méprendre à la rencontre deux 2 amis qui ne se sont pas revus depuis des lustres.
quand on connait la part de son caractère que Harrison Ford met dans le personnage d'Indy, la nouvelle venue Cate Blanchett est un vrai plaisir dans son rôle du colonel Irina Spalko , détentrice de trois Ordre de Berlin, et serait la fille blonde de Staline bien qu'elle porte des cheveux de jais (=chevelure noire brillante)
Le film s'ouvre sur un peloton de soldats russes dirigés par Spalko en direction d'un base militaire US secrète. Ils ont avec eux un professeur Jones qu'ils ont kidnappé plus tôt et le force à les aider à découvrir les restes d'un avion qui s'est écrasé il y a quelques temps et qui furent stockés dans un entrepôt secret du gouvernement, le même que celui que l'on voit à la fin de "les aventuriers de l'arche perdue"( ici l'entrepôt est bien construit car dans Indy 1, l'entrepôt était le résultat d'effets numériques).
Les restes de l'avion sont reliés au fameux crâne de cristal du titre du film, et sont l'objet de l'interêt de Spalko, une croyante dans la recherche des faits paranormaux qui peuvent porter leur fruit dans une guerre psychique(!!
) Elle pense que si elle retrouve le crane de cristal, une grande quantité d'informations l'y attend et l'aideras.
Naturellement le temple dans lequel serait le crane se trouve être au beau milieu de la jungle sud-américaine (=amazonienne?!?) et dont l'accès se révèle être très compliqué.
si le segment de la base nucléaire qui finit par une détonation, littéralement (explosion complète avec le petit champignon atomique dessus) est une des forces du film malgré sa longueur. Cela du notamment aux acolytes d'Indy, incluant Ray Winstone comme George "Mac" MacHale et John Hurt comme le Professeur "laBœuf" Oxley ne sont pas très utile à Indy, voire même déplorable.
C'est encore plus vrai pour Shia Labeouf, indroduit comme une copie totale de Marlon Brando sur une motocyclette dans "Le Sauvage". LaBeouf ne semble pas complètement confortable dans son rôle d'adolescent mal disposé, un role qui ne sied pas à sa sympathie inné qui est une de ses forces.
Et bien qu'il soit exceptionnellement plaisant de voir Karen Allen revenir comme la flamme d'Indy, Marion Ravenwood, le film est trop étreint de leurs disputes incessantes qui déteignent sur toute la première moitié du film. C'est si désagréable, même un des Russes athée est forcé de supplier, "Pour l'amour de Dieu, faites les taire."
La section finale du film, dont chaque personnage s'acharne à retrouver le temple secret et le crane de cristal en forme d'aubergine, compense le temps perdu. On nous offre plusieurs scène autour d'animaux notamment des singes et des fourmis rouges ainsi que des scènes physique, notamment un combat d'épée plagié sur un combat entre Errol Flynn et Basil Rathbone dans "Captain Blood."
quand on y repense, toute la promotion du film qui nous disait que ce 4ème Indy allait être très bon, parait irrationnelle. Etant donné l'orientation du film tourné vers les matinées du samedi, et le fait que la vedette Ford, le créateur, Georges Lucas, le réalisateur Spielberg, le compositeur John Williams, et l'éditeur Michael Kahn, pour ne citer qu'eux, étaient tous de retour, il apparaissait évident que le niveau du film ne pourrait pas être supérieur -voire même atteindre la moyenne - des autres Indiana Jones. Il se trouve que c'est un des meilleurs et que chacun s'est impliqué à fond dans le projet (=ironie à 200%!!)
"Indiana Jones, déconseillé au moins de 13 ans, pour violence et image efrayante (
)"
Bon, celui qui a écrit l'article utilise un peu trop l'ironie, et c'est dommage. le modèle français lui monte trop à la tête.
moi, je ne sais toujours pas si j'irais le voir...