5x10 : Episode 10 : SOLONS
Résumé : Suite à l’étude d’une salle de réunion à la périphérie de la Citée, nos amis découvrent l’existence probable d’autres vies aliens dans Pégase, susceptible de nous aider face à l’arrivée imminente des Wraiths.
Dans une des nombreuses chambre de la Citée d’Atlantis, richement éclairée, le jeune couple était assis sur le lit recouvert de draps blanc, si propre que cela en était étrange, la pièce elle même était rangée, phénomène totalement inhabituel pour le propriétaire masculin, visiblement sa compagne changeait radicalement quelques habitudes que nous pourrions qualifier de dégueulasse, mais que les femmes qualifieraient de masculine.
L’ambiance qui se dégageait des nombreux baisers échangés était assez intense, de toute évidence, la position assise serait vite oublier pour laisser place au traditionnel missionnaire, mais le jeune couple l’avait dépassé depuis bien longtemps, ensemble depuis un moment, les positions amoureuses souvent utilisées étaient bien souvent plus impressionnante.
Ce fut difficile pour tout deux de se dévoiler l’attirance qu’ils avaient l’un pour l’autre. L’homme était bien que peu doué dans les relations sentimentales, là où la femme quant à elle, bien que plus fonceuse ici, était assez partagé par le soucis de la nécessité du maintien de bonnes relations professionnelles, que de toute évidence, une relation amoureuse pourrait bouleverser.
Pourtant ce couple se forma suite à une capture, et des tortures bien douloureuses qui ne firent que renforcer ce sentiment divin. Tout avait débuté par un échange de regards et de paroles comiques peu recherchées, puis par une amitié naissante, qui laissa place à un sentiment de complémentarité en mission pour finalement fleurir en un Amour puissant.
Weir leva sa main pour ouvrir la porte de la chambre sans savoir ce qui l’attendait derrière. Elle fut surprise, gênée et malheureuse à la fois, un coup de poignard bien plus fort et insupportable que celui que le général Landry lui lança quelques heures plus tôt, lorsqu’elle fut à l’unanimité relégué au rang de diplomate, le CSI n’en voulant plus pour diriger Atlantis. Weir ferma les yeux un instant, pour reprendre son souffle ensuite et enfin prononcer les paroles adéquates :
Weir : John, Teyla, excusez moi de vous déranger, mais le colonel Carter m’a envoyée vous chercher pour un briefing exceptionnel !
Le couple fut arrêté net dans ses ébats. Mais sans être plus gêné que l’intrus diplomate. Puis tous les trois se dirigèrent vers la salle de réunion habituelle.
Dans la salle de réunion…
Réunion exceptionnelle pour une situation exceptionnelle pour une nouvelle hiérarchie plus militaire. En effet cette fois c’est le colonel Carter, jadis membre de SG1, ressource naturelle Humaine, d’un physique alléchant pour son age mais surtout d’une intelligence hors du commun. Une militaire scientifique, qui incarnait la volonté significative du CSI très influencé par les USA de militariser Atlantis, en vue de la préserver des Wraiths et des Agénorides, puis d’accentuer le coté recherche, en reléguant alors le coté diplomatie à un rôle second. Etait ce le bon choix ? Dans l’absolue certainement, sur le long terme peut etre pas. Toujours est il que le contingent militaire augmentait sur la Citée, les troupes de marines traversaient déjà le vortex.
Au coté de Carter, se tenaient les colonels Sheppard et Cadwell, l’un et l’autre respectivement chargé de la sécurité de la Citée, pour le premier dans l’exploration et l’interne, pour le second des menaces spatiales. Puis ensuite les deux Pégasiens Teyla et Ronon venaient s’ajouter à une Weir mal à l’aise, représentante officielle du coté diplomatie, et enfin des scientifiques Mc Kay, Zelenka, et Isabelle Fermons, dont la science est plus Historique que technologique.
La réunion commença :
Carter : Bien, si je vous ai fais réunir c’est dans le but de trouver la meilleure solution à la menace Wraith, six vaisseaux ruches arriveront dans quatre jours. Je vous écoute.
Sheppard : Nous pourrions envoyer une mission d’espionnage en jumper comme l’autre fois afin de nous rendre compte de la menace, je sais que nous ne savons que trop bien ce que sont des ruches, mais il serait important de savoir si celles ci sont dotés de boucliers.
Cadwell : Oui cela me paraît nécessaire, nous pourrions aussi envisager une frappe préventive avec nos deux vaisseaux, la téléportation ne marche pas, mais nous pouvons espérer détruire une ou deux ruches avant leur arrivée en orbite avec nos armes Asgardes, puis pour cela je compte surtout sur ce vaisseau Ancien découvert à l’aide du cristal Orichalque. Et pourquoi ne pas utiliser le ZPM pour optimiser nos boucliers ?
Mc Kay : Visiblement ce croiseur Ancien semble en bon état, mais il est très éloigné, il nous faudrait donc envoyer une équipe immédiatement. Concernant le ZPM je suis réticent, il est vrai qu’il augmenterait considérablement la puissance des boucliers, mais ces ruches sont visiblement plus fortes que celles que nous avons déjà rencontrées, tous leurs systèmes semblent actif. Il faut savoir que le Tria était alimenté par un ZPM mais que pourtant il ne put résister à deux simples croiseurs, de même les Anciens avaient la possibilité de fabriquer bon nombre de ZPM, mais cela n’a pas suffit contre les Wraiths, je pense donc que les 304 ne résisteront pas, nous viderions notre unique ZPM pour un résultat faible et finalement plus avantageux pour les Wraiths.
Cadwell : Je propose dans ce cas de nous servir du ZPM presque vide, il faut nous assurer que le croiseur Lantien soit capable d’éliminer au minimum deux ruches. Je vous rappelle qu’une énorme armada viendra très vite remplacer cette petite flotte, cette première vague n’est rien comparé à l’armada.
Weir : Ne pourrions nous pas nous en aller ? Quoi que nous fassions il arrivera toujours plus de ruches.
Mc Kay : Abandonner la Citée est inacceptable, les Wraiths ne marcheront pas dans une seconde fausse autodestruction, passer en hyper espace obligerait à vider le ZPM, pire encore, inutile de penser à rejoindre la Terre, nous n’avons pas assez d’énergie, et de plus cela impliquerait de dévoiler le programme porte des étoiles.
Weir : Pourtant c’est sur Terre qu’elle serait à l’abri des Wraiths.
Carter : Mais nous remplacerions cet ennemi contre les Goa’ulds.
Zelenka : Le mieux que nous puissions faire est de remettre la Citée au fond de l’océan, le ZPM résistera longtemps et la Citée sera à l’abri des tirs Wraiths, du moins nous le supposons, cela a marché il y a dix milles ans.
Isabelle : Oui mais les Agénorides ?
Zelenka : Jamais ils ne passeront le bouclier.
Mc Kay : Il est vrai que le plasma Wraith ne traversera jamais la profondeur de l’océan, mais le fait est que les Wraiths disposent de cette arme étrange que Sheppard et Teyla ont vu il y a quelque temps, et surtout que les Wraiths sont plus que malins.
Cadwell : Oui et aujourd’hui c’est différend, ils ont besoin de la Terre pour survivre, et donc d’ Atlantis, ce qui n’était pas le cas au temps des Anciens.
Sheppard : Je pense que l’aide de l’intelligence artificielle de la Citée est requise.
Carter : Je ne sais pas, le cristal coûte énormément d’énergie, et je pense que la Citée n’est pas trop favorable à l’idée de nous dévoiler tous ses secrets ni même disposer à nous aider.
Isabelle : Je tiens d’ailleurs le cristal dans ma main à chaque minute. Je suis certaine que la Citée refusera toute idée impliquant la mort d’être vivant. Son éthique est différente de celle qui traduit notre programme porte des étoiles.
Carter : Les Agénorides quant à eux commencent à encercler la Citée de nouveau, nous devons réagir, non seulement pour notre sécurité mais aussi la leur, dès que les Wraiths seront là, il est préférable que ce peuple se cache au fond de l’océan.
Sheppard : Je pense qu’une démonstration de force est nécessaire.
Weir : John !
Teyla : Il n’est peut être pas nécessaire de les attaquer, simplement faire atterrir un vaisseau, dévoiler son bouclier ou même détruire l’un de leurs bâtiments devrait suffir.
Carter : Je suis assez d’accord avec cette idée, nous n’avons ni le temps, ni les moyens de négocier. Ils doivent s’éloigner de nous, en faisant cela nous les protégerons du même coup.
Weir : En tuant certains d’entre eux ! Quelle idée !
Carter : Le général O’Neill a déjà approuvé une telle action docteur Weir. J’aimerais parler de cette station Wraith désormais.
Mc Kay : Il est étrange qu’il n’en reste qu’une. Peut être les Anciens les avaient ils toutes détruite, mais que les Wraiths en ont fabriqués une après leur départ, désormais ils n’ont pas besoin d’autant de vaisseaux pour dominer Pégase que jadis contre les Anciens.
Zelenka : Ce que nous savons grâce à Orichalque, c’est qu’elle est très bien protégée, qu’elle est énorme, alimentée de boucliers, qu’une quinzaine de ruches parcourent le système et que c’est de là que les Wraiths planifient leur société et leur attaque. C’est donc un point stratégique à détruire à tout prix, mais une attaque frontale serait suicidaire. Le point faible viendrait de la porte des étoiles à bord de la station, en espérant que les Wraiths ne possèdent pas d’iris. De plus envoyer une équipe à travers la porte serait suicidaire également.
Ronon : J’irais seul.
Carter : Non Ronon c’est trop risqué. Je ne pense pas qu’envoyer une bombe seule suffise, il faut avoir la garantie visuelle que cette station soit détruite, ce qui implique l’envoi d’une équipe militaire, d’une attaque en règle, surprise et unique de préférence, heureusement nous avons des bombes suffisamment puissante.
Mc Kay : La taille de la station oblige d’utiliser un générateur au naquadah. La station fait bien la taille de dix ruches réunis.
Sheppard : je mènerais l’attaque.
Mc Kay : Quoi ? Non je n’irais pas !
Sheppard : Nous aurons peut être besoin de scientifiques.
Carter : C’est moi qui irez, Mc Kay restera ici, je suis militaire et scientifique.
Cadwell : Mais c’est vous la chef de l’expédition.
Carter : Je pense que le docteur Weir se fera alors un plaisir de me remplacer le temps d’une mission.
Weir : Je vous remercie Sam, fit la diplomate tout sourire.
Mc Kay : Non Sam, vous etes trop belle pour y aller ! Envoyez Zelenka !
Zelenka : *********** (En tchèque dans le texte mais tout le monde comprend).
Sheppard : Vous jugez que je suis moche moi aussi ?
Mc Kay : Euh non colonel, mais le colonel Carter est exceptionnelle !
Carter : Vous acceptez donc l’idée que je suis plus intelligente que vous ?
Mc Kay : Mais pas du tout ! Je vous rappelle qu’il y a vous et Rodney Mc Kay ; Oh ! Et puis zut allez vous faire bouffer je n’en ai rien à faire !
C’est à ce moment que Tyler Durden, l’un des nombreux brillants scientifiques de l’expédition fit son entrée bien brutale dans la salle de réunion :
Durden: Colonel Carter ! C’est incroyable ce que l’on a découvert !
Cadwell : Comment osez vous interrompre cette réunion !!!
Colonel Sheppard : Reprenez votre souffle Tyler ! Qu’y a t’il ? J’espère que c’est important sinon je vous livre à Ronon ! (sheppard et Ronon échangèrent un large sourire complice).
Le scientifique remarqua immédiatement la différence d’humour entre les deux colonels, visiblement la densité capillaire n’était pas la seule différence, ce n’était donc qu’une fausse rumeur. Après avoir reprit son souffle, effleuré son dos de sa main droite, visiblement jamais il n’avait courut aussi vite, pourtant il semblait sportif, il s’expliqua alors :
Durden: Les docteurs N’Diapo, Mike Blutch et moi même, avons fait une découverte qui je pense est fondamentale pour notre lutte contre les Wraiths ?
- Qu’avez vous découvert ? Fit Mc Kay.
- Nous avons mis la main sur une salle de réunion, faisant mention de l’Alliance des 4, on y parle des Nox, Furlings, Asgards, Anciens, visiblement la Citée a servit aux réunions de ces races, c’est bourré d’informations mais ce n’est pas tout !
Sheppard : Allez à l’essentiel mon vieux ! Ils faisaient aussi des match de foot ? Qui a gagné, les Anciens par télékinésie ? Les Asgards sur un but de la tête ?
Carter : Ou les Nox par l’invisibilité ? Hum…excusez moi, continuez !
Durden : Mais arrêtez de vous foutre de moi ! je vous jure que c’est fondamental !
Mc Kay : De façon John, je vous dis que c’est le Canada qui va gagner la coupe du monde de rugby alors arrêtez de mettre cela sur le tapis !
Sheppard : Vous rigolez ! Je suis même pas sur que le Canada a gagné contre les îles Fidji, je vais me renseigner une fois sur Terre, je parierais plutôt sur l’Australie ou la Nouvelle Zélande !
Mc Kay : Vous voyez encore une fois, vous ne citez même pas les USA !
Carter : Messieurs ! Je vous en prie, ce moment de détente était intéressant mais écoutons ce que le docteur Durden a à nous dire.
Durden : Merci ! Bon donc… Il semblerait que les Anciens aient de nouveau organisés ce type de réunion dans cette galaxie, mais pas avec les mêmes participants !
Mc Kay : What ? ( Pour ceux ayant vu les épisodes en Anglais, je trouve ce mot prononcé par Hewlett comme magique).
Durden : Il y aurait eu deux races. Les Solons et les Liklic, ces derniers seraient aussi avancé que les Goa’ulds, ils auraient été « une race humanoïde aux pouvoirs extraordinaires », dit le texte Ancien mais il semblerait qu’ils aient été éliminés par les Wraiths.
- Alors pourquoi en parler ? Grogna le canadien.
- Parce que les Solons sont différend.
- En quoi ?
- Les Solons auraient été une race de voyageurs plus vieille encore que les Anciens et donc plus avancé !
- C’est formidable, fit Carter, nous avions toujours supposés que dans l’immensité de l’Univers, les Anciens ne pouvaient être les seuls à exister, les Ori mis à part à leur époque… Ils seraient donc originaire de Pégase ? Pourtant je croyais cette galaxie vide de vie ?
- Non, ils viendraient d’une autre galaxie !
- Oh mais on ne peut pas les rejoindre alors !
- Si si docteur Mc Kay ! Les Solons aimaient venir ici échanger philosophie et savoir, dont l’Ascension était le principal sujet, mais le fait est que les Solons avaient ici une colonie, où avant de partir ils auraient laissés un « moyen de les rejoindre », la base de données ne donnent pas de détails. Il faut savoir que les Solons ont refusés de participer à la guerre contre les Wraiths mais je pense que nous pourrions au moins trouver un générateur, peut être même supérieur aux ZPM sur cette planète, peut être même des armes ou pourquoi pas les Solons eux mêmes…
Pour finir je dirais moi aussi que la Nouvelle Zélande remportera la coupe !
Isabelle : Vous ne connaissez pas l’ego Français vous !
Carter : Bien génial ! Tout cela commence à ressembler à un plan plein d’espoir ! Voici ce que je propose : Sheppard, Rodney, Ronon, Teyla, Durden, N’diapo, Blutch et Weir se rendront sur la planète des Solons.
Weir : Je ne m’attendais pas a avoir une mission !
Carter : Vos compétences en diplomatie vont certainement s’avérer utile pour cette mission docteur. Cadwell ! Vous et le Dédale, vous irez nous chercher ce vaisseau Ancien. Le major Lorne ira quant à lui espionner cette flotte Wraith avec un jumper sur l’une des planètes étapes, dont les Wraiths ont besoin pour leur hyper propulsion. Zelenka, Isabelle et moi même allons étudier cette station Wraith. Messieurs, mesdames, bonne chance !
L’espoir commençait à renaître dans le cœur de nos amis. Notamment celui de Weir qui vint intercepter le colonel Carter avant son départ :
- Je vous remercie de me faire confiance colonel !
- Vous savez Elizabeth, il est vrai que le CSI juge votre négociation avec les Agénorides comme une grave erreur, ils veulent aussi une présence militaire, et une recherche scientifique plus importante sur cette Citée, mais aucun d’entre nous, moi comprise, le CSI également, ne sommes prêt à se passer de vos services. Et puis vous avez toujours l’appui du général O’Neill et des ambassadeurs étrangers!
- Merci… ( Weir fit un câlin au colonel alors très gênée…)
Avant de poursuivre notre Histoire sur les différentes mission, nous sommes obligé de nous arrêter un court instant sur cette salle de la nouvelle Alliance.
Voilà, nous nous sommes arrêtés.
Pardon? Vous voulez une description?
Une petite alors car nos amis attendent pour poursuivre leur mission.
N'Diapo et Blutch s'y trouvaient encore. Ce fut Durden plus casse-cou que ses collègues qui y entra en premier il y a plusieurs heures. Les trois scientifiques avaient finis leur recherche scientifique sur le moteur intergalactique.
Malgré de grandes compétences et six mois de boulot intense coupé de temps à autre par des parties d'échecs, de défaite d'ailleurs contre Zelenka, les trois scientifiques n'étaient jamais parvenus à comprendre l'originalité de ce système. La seule chose notable qu'ils purent conclure sur ce moteur était qu'il était bien plus avancé que tout ce que nous avions pu rencontrer par le passé, puisque intégré dans la conception des cités spatiales, le moteur permit ainsi de traverser les immensités désertiques de l’espace à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Combiner avec un bouclier, cette technologie permet à une cité de faire sans danger le voyage entre les galaxies de notre Univers. C’est avec cette technologie qu’Atlantis fut en mesure de voyager de la Voie Lactée jusqu’à la galaxie de Pégase, un trajet de 3,5 millions d’années lumières. Nous ne savons pas le temps que nécessita ce voyage mais en considérant la très grande performance des moteurs hyper spatiaux des Anciens, il est fort probable que le voyage se fit rapidement.
Voyez rien de plus que nous ne savions déjà. Ce sont des loosers? Pas du tout mais il est normale de ne pas comprendre une technologie qui nous dépasse depuis des millions d'années au fond.
Mais revenons à la fameuse salle...
Elle était située à la périphérie de la Citée. Curieusement elle n'était pas inondée, pourtant les bâtiments alentour l'étaient. Cela avait toujours interpeller ces scientifiques. Désormais que la Citée était pleinement réparée, les trois compères purent se mettre en quete d'une autre recherche à effectuer, un autre motif d'etre conservé dans le personnel de la base.
La porte était similaire à toute celle de la Citée, à ceci près qu'un bouclier énergétique venait renforcer la solidité de la structure. Visiblement le matériau des parois était le même que partout, mais désormais que l'Orichalque remplaçait le matériau d'origine, on ne pouvait l'affirmer.
Il fallut craquer un code. Ce ne fut pas facile, il demandait une certaine fréquence, puis le gène des Anciens dans un bloc de contrôle où il fallait y déposer une main d'une personne possédant le gène et surtout traduire une maxime dans un obscur dialecte des Anciens. Nos amis y arrivèrent pour notre bonheur, notre survie et la suite de notre fan fiction, nous pouvons les applaudir et grandement les remercier.
La maxime n'était autre que
"Clavia Thessara Infinitas", la clé d'un trésor infini. Durden fit alors une petite anecdote, la déesse Goa'uld, Quetesh, symbiote jadis de Vala Mal Doran, avait longuement cherchée les coordonnées d'une porte des étoiles avec Athéna, pouvant mener à une planète des Anciens où des armes ou autre technologie serait conservé. Mais voilà ce n'était pas une porte des étoiles, mais une simple porte de la Citée perdue, ce qui explique que jamais les Goa'ulds ne soient parvenu à découvrir la Clavia Thessara Infinitas.
Alors que la petite équipe entrait dans la pièce, les lumières s'allumèrent, trois petit espace, visiblement conçu pour des sièges ayant disparu, vinrent à s'allumer ensuite, pour dévoiler au milieu de la pièce, ce que vit Daniel Jackson à Heliopolis, base de réunion de l'Alliance des 4 dans la Voie Lactée, vous l'avez compris, tout un système de pages d'hologramme orange représentant les atomes de base de la vie vinrent alors à apparaître. Soit le langage commun à tout être vivant intelligent dans tout l'Univers.
Blutch étudia cette console avec N'Diapo tandis que Durden alluma les ordinateurs, visiblement ceux ci étaient coupés de la base de données principale d'Atlantis.
Le consul Lantien devait participer à cette réunion galactique pour représenter la race Ancienne. C'est après avoir traduit bon nombre de paragraphe que Durden eut la certitude de l'existence probable de deux autres races avancées dans la galaxie de Pégase et courut alors en faire un rapport au colonel Carter.
Quelques minutes plus tard, après la réunion de nos amis…
Une nouvelle fois, une énorme flotte Agénoride, composée de navires et de chars d’assaut amphibie, menaçait de leurs missiles aquatique, la jolie Citée d’Atlantis. Ils semblaient à eux seul remplir l’océan de vie.
En conséquence il fallait prendre des mesures sévères et significatives. C’est pourquoi l’Appolo, commandé par le major Harper, en l’absence du colonel Carter à son bord, entra dans l’atmosphère pour se placer juste au dessus d’Atlantis, évidemment les navires ennemis ne se privèrent pas de l’attaquer, les missiles de forme étrange venaient claquer le bouclier qui ne subissait aucun dommage.
Il envoya en premier lieu un ultimatum qui ne reçu aucune réponse. C’est ainsi que le 304 utilisa la téléportation Asgarde pour expulser les troupes ennemis de l’un des navires, cet équipage fut matérialisé à quelques mètres de la surface de l’eau, pour retomber de façon impressionnante en se claquant violemment contre l’élément. Puis ensuite, le vaisseau tira une rafale de plasma Asgard alors bleu sur le navire, vide de vie, le navire explosa en un temps record. L’Appolo envoya un second ultimatum, si la flotte ne s’écartait pas, le vaisseau ouvrirait le feu, cette fois sur un navire possédant encore son équipage puis sur tous si nécessaire. Il fallut quelques minutes de réflexion, mais finalement les Agénorides bâtèrent en retraite.
Le vaisseau terrien se posa alors sur Atlantis, qui put enfin désactiver son bouclier pour économiser son énergie. La mesure était nécessaire et on espérait que la surprise et la peur gagneraient pour éviter une guerre ouverte. Ce fut le cas.
Pourtant cette action amène à deux débats intéressant, faut il militariser Atlantis, faut il remettre en cause l’éthique du programme, désobéir à celui ci même pour et en utilisant les meilleures intentions ?
***
Pendant ce temps…
Lorne et son équipe de trois hommes avaient été envoyés sur une planète-étape des Wraiths. Ces ruches se dirigeaient sur Atlantis, elles y seraient dans quatre jours, mais avaient besoin de relâcher leur hyper propulsion, incompatible avec la nature organique des vaisseaux.
La mission du major était simple, obtenir le plus d’informations sur cette flotte, surtout si les ruches étaient équipé de boucliers ou non, et si possible déterminer la nature d’un étrange laser provenant du dessous des ruches. Aucune mission de secours, ni même d’attaque n’étaient autorisé.
Le jumper était posé en mode furtif sur la planète. Celle ci vue de l’espace était aussi grosse que Saturne, composée de quelques astéroïdes l’entourant et d’une porte des étoiles en orbite.
A la surface, le paysage était intéressant, de nombreux arbres proches de sapins recouvert de neiges semblaient dominer les lieux. Les nombreuses fumées s’élevant dans les nuages gris d’une planète aux bâtiments scandinaves et au climat froid, prouvaient l’existence de nombreux villages peuplés d’Humains sur cette planète. Ce n’est pas tout, les relevés précédents, laissaient entendre que toute la planète était peuplé, par, selon les signes de vies, deux bon gros millions d’habitants, sûrement l’un des plus gros foyers de nourriture pour les Wraiths. Une vue aérienne des villages indiquait des structures de bois, les habitants ne dépassaient sûrement pas ce que nous appelions nous terriens, le Moyen-Age.
Un autre débat intéressant avait survenu assez récemment. Il était pour les Atlantes terriens, peu logique que les Wraiths empêchent tout développement des sociétés Humaines, car développement obligeait meilleure espérance de vie et donc population plus nombreuse, comme ce fut le cas pour Sateda, de plus les Wraiths étaient largement capable de résister à une société à l’Ere atomique comme la Terre me diriez vous.
Pourtant non, les Wraiths limitaient par des sélections régulières, le niveau technologique de leurs proies, peut être était ce pour oublier que l’Humain est capable de raisonner ? Peut être par simple sécurité ?
Les capteurs du jumper s’affolèrent pour indiquer l’arrivée de six ruches. Aucune d’entre elles ne libéra ses darts par peur des Astéroïdes, au contraire quatre d’entre elles tiraient de leurs plasmas afin de détruire cette défense spatial naturelle de la planète tandis que deux autres descendirent en compagnie des croiseurs, et attaquèrent dans la plus grande cruauté les villages Humains, libérant quant à elles leurs nombreux darts et même quelques soldats Wraiths à la surface.
Lorne et son équipe regardaient cela avec mépris, et même honte de ne pouvoir intervenir. Le major eut un grand moment d’étonnement devant un phénomène particulier qui eut lieu sur l’un des villages proche de leur position, il actionna les commandes du jumper, le fit décoler pour atteindre une meilleure position, assez proche de la ruche.
Le spectacle encore une fois était impressionnant. Un étrange rayon bleu se libéra du dessous de la ruche, puis gagna en diamètre pour finalement recouvrir tout le village. Le rayon semblait avoir plusieurs attributions :
Dans un premier temps il téléportait tous les Humains en son sein, puis les arbres, la terre, les roches, créant alors un énorme trou à la surface, un cratère même, qui s’enfonçait toujours plus dans les profondeurs, pour ensuite au bout de quelques minutes dégager de forte chaleur. La ruche semblait se nourrir non seulement des Humains mais aussi de la planète entière.
La nature organique supposait de nourrir la structure, personne sur Atlantis n’imaginait pourtant cela. Un tel rayon, nourrissant le vaisseau à partir de la planète entraînait il des modifications de l’environnement de la planète par les Wraiths ?
Puis au même moment, de nombreux rayons, provenant des flanc de la coque épaisse, rappelaient les téléporteurs Asgards des Beliskners, ils venaient téléporter les Humains déjà à la périphérie du village.
Soudain le jumper reçu quelques impacts de tirs de darts sur sa coque, puis ce fut la ruche qui tirait. Visiblement nos amis avaient été détectés malgré la furtivité. Tout laissait donc à penser que cette ruche possédait un dispositif capable de localiser les jumpers, pourtant lorsque l’équipe était loin, ils étaient à l’abri, il fallait donc être proche de la ruche pour être détecté.
Fort heureusement Lorne et son équipe après de nombreuses esquives et même un envoi de quelques drones sur les poursuivants, ont été capable de rejoindre Atlantis par la porte. Pourtant Une ruche s’était déjà mise sur le chemin dans l’espace, mais Lorne eut une brillante idée, il actionna l’hyper espace, et parvint alors à traverser la ruche à partir du sub-espace, le jumper était alors à l’abri de l’ennemi pour réapparaître ensuite suffisamment proche de la porte des étoiles, pour la traverser sans encombre et prendre de vitesse notre ennemi.
- Bravo Major ! Criaient ils tous.
***
Sur une toute autre planète…
Nous pouvions retrouver l’équipe habituelle de Sheppard, Weir en prime et les trois scientifiques qui avaient découvert l’existence des Solons sur une planète très originale.
Celle ci était l’unique sphère de son système, composé lui de trois soleils, la position proche de la planète alors de ceux ci, impliquait une chaleur fort éprouvante pour le corps Humain.
La planète, très petite, était vide de vie, l’oxygène y était absent. Il n’y avait même pas de relief sauf une petite montagne vers laquelle nos amis, équipé de combinaisons spéciale milieu hostile, se rendaient. La surface semblait être recouverte d’un sable fin fort rouge, la porte des étoiles au milieu de la vaste plaine planétaire était le seul bâtiment au sol.
Mc Kay après être sortie du jumper le dernier était de ceux qui souffraient le plus de la chaleur, peinant à avancer puisque déjà son casque était recouvert de buée.
Tyler Durden était un homme brun provenant de Floride, de petite taille assez musclé, dessiné en réalité pour un caractère assez protecteur et plein de gentillesse, adepte du sport-regard, c’est à dire courir une fois de temps en temps et regarder souvent les autres courir mais surtout suivre les résultats de sport dans les journaux, il était convaincu que la télévision ne faisait que pourrir l’être Humain.
Scientifique reconnu, et membre du programme depuis ses débuts, d’abord dans la zone 51 puis sur Atlantis. Ses idées politiques plaisaient beaucoup à Isabelle, cet homme était de nature plutôt anarchiste privilégiant l’autodestruction comme solution plutôt que l’amélioration de soi par soi. Pour lui l’autodestruction faisait prendre conscience que nous étions tous égaux, que nous étions tous un tas de chair morte prêt à servir à tout et nullement un flocon de neige lumineux et unique, c’est la conscience de ce fait qui motive l’individu à s’intéresser à tout nottament l'éducation et son prochain, qui motive aussi pour parvenir nous memes à vaincre l’un des pires ennemis de l’Humanité : la flemme.
Le docteur N’Diapo était quant à lui d’origine sud-Africaine, noir de peau, il était très musclé mais son visage n’était aucunement un avantage, par contre sa taille lui permettait de marquer au basket avec la plus grande garantie de succès ou encore de dégager toute personne de sa route avec la plus grande facilité. C’était un individu sec, assez agressif et maladroit. Il avait obtenu un doctorat en sciences après de brillantes études à Londres, pour avoir rejoint ensuite le programme lors de la découverte de la Citée Perdue, de fait il apprit le mieux qu’il pouvait l’Ancien.
Le troisième scientifique s’appelait Mike Blutch, lui était américain, il aimait se vanter d’avoir un père héros de la guerre du Golfe, mort au combat et d’avoir une famille descendant de Robespierre, et même un cousin astronaute pour une mère professeur à Harvard.
La vérité était que jamais il n’avait connu son père, tout ce qu’il savait de lui était que cet homme absent depuis toujours, était vendeur de tapis en Tunisie, et que son cousin était en réalité son demi-frère successeur de l’entreprise du père, qui lors des vacances de sa mère, il y a une bonne quarantaine d’années, avait séduit cette femme pour donner naissance quelques temps plus tard à Mike, homme toujours célibataire, métisse, maigre, aux cheveux absent et assez schizophrène pourtant titulaire d’un doctorat en astrophysique et fier joueur de piano. N’oublions pas de signaler qu’il vivait toujours chez sa mère, bonne cuisinière et coiffeuse dans l’Etat de Californie, il avait pour seul ami : ses deux chats.
Bref !
L’équipe se dirigeait donc vers la seule montagne de la planète :
Mc Kay : Je détecte une très forte source d’énergie ! Mais attendez ! Elle est en augmentation ! Mais c’est incroyable et cela qu’est ce que c’est ?
Weir : Qu’y a t’il Rodney ?
Le scientifique n’eut même pas le temps de répondre.
Sheppard se cogna la tête contre un bouclier de couleur bleu et fut projeté violemment en arrière, une bonne dizaine de mètres plus loin.
Ensuite une tempête incroyablement forte se leva, bien trop forte et bien trop rapidement pour être naturelle.
Recevant bon nombre de rochers, de grains de sable et surtout constatant l’arrivée pressante d’une immense tornade, récemment formée, provenant de la montagne, tornade qui n’avait rien à envier à celles d’Amérique, nos amis couraient aussi vite qu’ils pouvaient, jusqu’à sentir couler de l’acide sulfurique dans leurs veines à la place du sang.
Pour enfin rejoindre l’intérieur du jumper, la tornade se dirigeait vers eux alors Sheppard prit les commandes et actionna le DHD et composa l’adresse d’Atlantis.
***
Atlantis…
Une fois arrivé à la Citée nos amis firent leur rapport à Carter dans la salle du Conseil Atlante après que celle ci les informa de la gravité de la situation concernant les capacités des ruches à détecter les jumpers furtifs mais en rassurant sur le bon déroulement de la mission du Dédale.
Sheppard : Visiblement il n’y a plus rien sur cette planète.
Mc Kay : Je ne suis pas d’accord ! Mais enfin cette tempête n’était pas naturelle, j’en suis certain, pour moi c’était un dispositif de sécurité !
Weir : Que voulez vous dire Rodney ?
- Juste avant que la tornade ne se forme j’ai détecté grâce à mon scanner la forte croissance d’une source d’énergie semblant provenir de la montagne. De l’unique montagne de la planète d’ailleurs, suis je le seul à trouver cela étrange ? Mais il y a mieux !
Durden : J’ai moi aussi détecté cette source d’énergie, et elle semble colossale.
Carter : A quel point ?
Durden : Les niveaux de dégagement détecté étaient similaire à un ZPM, mais puisque cela augmentait, il se peut que cette énergie soit supérieure.
Teyla : Peut être plusieurs ZPM ?
Mc Kay : Oh oh attention miss Athos et monsieur Durden je coupe la parole à Mc Kay chef d’équipe ! On ne s’avance pas, c’est une race différente, donc des ZPM je pense pas, écoutez Sam, il faut y retourner !
Carter : Pas tant que vous n’avez pas un moyen sur de revenir indemne Rodney.
Mc Kay : J’en ai un !
Carter : Vraiment ?
Mc Kay : Bien sur que non ! Mais j'ai détecté un signal régulier pendant que…
Ronon : Vous fuyiez…
Mc Kay : D’abord homme des cavernes ! Je te signale que je ne fuyais pas, j’allais ouvrir le jumper pour que vous puissiez vous en sortir !
Ronon : Pourtant jamais tu n’as couru aussi vite ! Homme des cavernes ? C’est comme cela que tu m’as appelé ?
Mc Kay : Mais que fais tu ? Mais lâche moi !
Il est préférable de ne pas décrire cette scène.
Pendant que Carter, Zelenka et Isabelle montraient à Sheppard ce qu’ils avaient découvert sur la station Wraith, Mc Kay étudiait ce fameux signal, puis fit connaitre le résultat d'une façon Mc Kaysienne:
Mc Kay: J’ai trouvé !
Carter : Déjà ! Je suis impressionné !
Mc Kay : Quand je vous dis que je suis le meilleur !
Carter : Bon alors ?
Mc Kay : Euh oui, c’est un ADN !
Carter : Pardon ?
Mc Kay : C’est un code, visiblement cette fréquence répète l’ADN Humain en continu mais il manque une séquence, je suis certain qu’il suffit de combler le vide, d’émettre sur la même fréquence notre propre signal et le tour est joué, la sécurité se coupera et on pourra approcher !
La même équipe partie alors sur la planète. Une fois arrivée aux abords du bouclier, la sécurité s’enclencha, Mc Kay diffusa le signal de notre ADN complet mais pourtant l’énergie continuait d’augmenter, et devint plus fort que la fois précédente.
- Non ! J’étais sur que sa marcherait !
Sheppard : On s’en va, échec mission !
Une nouvelle fois l’équipe courait en direction du jumper mais une fois à portée, un homme ne put embarquer :
Durden : Non ! N’Diapo est mort, il a reçu un rocher qui a traversé son casque !
Une fois revenu sur Atlantis :
Mc Kay: C’est affreux je suis certain que sa allait marcher !
Sheppard : Rodney un homme est mort par ta faute !
Mc Kay : Je sais John sa aussi c’est affreux ! Je dois y retourner !
Carter : C’est hors de question Rodney !
Mc Kay : Je le dois pour N’Diapo, sinon il sera mort pour rien ! Je ne sais pas pourquoi cela n’a pas marché mais je trouverais !
Carter : Faites moi voir ! (quelques minutes plus tard) Mais enfin Rodney, ce signal ne demande pas l ‘ADN Humain mais celui des Anciens !
Mc Kay : Mais vous avez raison Sam, c’est idiot ! Et c’est évident, les Solons étaient les alliés des Anciens il est donc logique que ce qui se cache sous cette montagne leur soit destiné ! Il nous suffit donc d’ajouter le gène ATA et voilà ! On peut y retourner !
Carter : Cette fois, nous n’envoyions qu’une équipe limitée, John ?
Sheppard : J’y vais avec Meredith !
Weir : Et moi !
Carter : Elizabeth…
Weir : Si l’on rencontre les Solons ils auront besoin de moi !
Carter : Bien vu ! Vous partez dans cinq minutes ! Durden ? J’aimerais que vous m’aidiez pour N’Diapo…
Durden : Avec plaisir ! C’est normal ! Blutch ?
Blutch : Je vais vous aider!
Une fois repartie sur la planète, décidément ce sont des yo-yo sur Atlantis…
Les trois individus arrivèrent, prêt à courir le plus vite possible vers le jumper, du mieux que le permettaient les combinaisons. Mc Kay capta le signal, lui répondit avec l’ADN des Anciens, la tornade ne se forma pas. Et on vit un bouclier se désactiver.
Nos trois héros prirent peur lorsque le vent monta, puis que le sable fut projeté de la montagne mais Sheppard fut attentif et remarqua que cette fois, cela n’était pas une menace.
La montagne était en fait un énorme temple de marbre recouvert de sable fin dont le dessus représentait le visage d’un Solon mais cela du sol nos amis ne le voyaient pas. Ils s’avancèrent, il n’y avait aucune porte, aucune entrée apparente, sauf peut être un petit trou où une main pourrait rentrer, Sheppard engouffra la sienne recouverte de la combinaison, c’est à ce moment qu’une partie du mur se leva à la verticale, il y avait suffisamment de place pour que des être Humains rentrent, ou du moins des Humains à corpulence moyenne.
Cela aurait il marché poue un simple Humain ne possédant pas le gène comme Sheppard? Aucun de nos amis ne se posa la question, sont ils donc vraiment meilleur que nous?
Une lumière blanche éclatante aveuglait nos amis pour d’un coup laissait place au noir total et pour enfin laissait apparaître une carte de l’Univers représentant les différentes galaxies présentes d’il y a des millions d’années. Cette carte était faite de points bleu et blanc de lumière, jaune au centre des galaxies, tout autour de nos amis comme un hologramme inoffensif.
Puis un énorme vaisseau fut dessiné, dégageant derrière lui une lumière bleu, sans doute l’effet des moteurs, tout était miniature évidemment. Ce vaisseau semblait faire des escales dans plusieurs galaxies en y repartant rapidement puis il sembla atteindre Pégase, Atlantis fut dessinée et là l’hologramme changea !
Nous étions dans la salle d’Atlantis découverte par l’équipe : Durden - Blutch et le défunt N’Diapo.
Il y avait trois sièges au creux blanc lévitant dans le vide, ces derniers n’existaient visiblement plus à notre époque.
Trois être bien différent étaient assis sur leurs sièges respectif, le premier était un Ancien, très facilement remarquable par sa forme Humaine, puis il y avait deux aliens :
Le premier était de forme Humanoïde comme le second d’ailleurs, mais ce premier était incroyablement grand et mince, pire que cela même, d’un coup long comme une girafe, pour un petit crane chauve arrondi, d’un corps d’une couleur très blanche et parcouru de quelques rares taches noires comme un dalmatien, il était habillé d’une façon assez noble, une autre particularité de cet être, était qu’il n’avait qu’un unique œil au milieu du visage, un œil rouge de la taille de la paume de ma main. Le long de son dos, cet alien possédait deux ailes pliés, faite visiblement de plumes, blanches elles aussi.
Le second était moins impressionnant, il était assez petit, peut être mesurait il le mètre soixante dix comme votre auteur préféré, pourtant il dégageait une certaine force, une noblesse de caractère impressionnante comme votre auteur préféré également.
Sa forme était humanoïde, comme les deux autres il avait deux jambes, deux bras, ici comme l’Ancien il avait deux yeux, deux oreilles, un crane sans cheveux et assez imposant mais bien plus proche de celui de O’Neill que de celui de l’Asgard Thor, sa peau était d’une couleur kaki, sa bouche n’avait pas de lèvres mais bien une langue rouge, pour des yeux bleus et des mains presque Humaine, mis à part de notables différence, sa forme était proche de son voisin Ancuentas.
Après cette scène où il était facilement compréhensible que ces races eurent de bonnes relations, nous pouvons de nouveau imaginer la carte de la galaxie de Pégase et avec elle, le départ du vaisseau Solon, uniquement gros points bleu d’hologramme, il était impossible de le décrire. Visiblement les Solons quittèrent la galaxie par la faute des Wraiths. C’est de là que vint une vue spatiale de la planète, puis vint à son tour le dessin du temple et à l’intérieur, un petit vaisseau de transport semblait avoir été abandonné par les Solons.
C’est à ce moment qu’un être paraissant être fait de flammes d’une couleur plutôt volcanique qu’enflammé de feu, fit son entrée.
Mis à part cette couleur différente, il était identique à cet alien décrit en second, souvenez vous, le petit comme moi ! (Argh)
Il s’avança tandis que les autres hologrammes disparaissaient, bientôt l’être était la seule lumière apparente. Il ouvrit sa main droite, et laissa apparaître la forme d’un Ancien embarquant dans le vaisseau abandonné. Après quelques minutes, la créature sourit puis disparut comme dans un vent de feu.
Visiblement les Solons avaient eux aussi effectués l’Ascension, nous nous étions toujours demandé si l’espèce Alteran/Ori était la seule, désormais nous avions la réponse, à noter que jamais visiblement les Solons n’ont découvert au cours de leur voyage: les Ori.
A ce moment, le vaisseau fut éclairé de la même lumière blanche que précédemment lors de l’entrée des terriens. Il était d’une taille proche du jumper, totalement bleu mais beaucoup plus élancé comme un dart. Il n’y avait qu’une seule place dans un unique caisson de stase. Rodney eut la bonne conclusion à cela :
- Ils nous invite à les rejoindre !
Weir : Je dois y aller !
John : Elizabeth non !
Weir: John, je dois y aller, comprend le j’ai tout perdu, sur Terre, je n’ai plus rien qui me retienne, ni aucun ami, ni aucun amant. Sur Atlantis, j’ai perdu mon emploi et l’unique personne qui m’intéressait vraiment... Je t’aime John…
L a précédente chef de l’expédition embrassa un Sheppard très gêné qui la repoussa doucement en enlevant ses bras entourant alors son corps de militaire à l’aide de ses mains. Pendant ce temps, Rodney sembla jaloux, mais sa concentration se fit sur une sorte de compte à rebours non loin :
- Euh John, Elizabeth, je ne sais pas qui doit partir dans ce vaisseau mais dans tous les cas je crois que l’on devrait s’en aller !!!
Sheppard : Je suis désolé Elizabeth…
Weir : Je comprend John, sois heureux avec Teyla, je te le souhaite, dis lui que je suis désolé d’avoir été désagréable avec elle et excuse moi pour les Agénorides, je vais essayer de représenter au mieux notre espèce, notre Civilisation auprès des Solons, et peut être accepteront ils de nous aider, je ferais tout pour cela… Au revoir ! Adieu Rodney !
Mc Kay : Adieu Elizabeth, je suis fier de vous avoir connu.(lui faisant un câlin).
Weir : Moi également Rodney, vous etes un homme bon…
Mc Kay : Alors pourquoi avoir choisit Sheppard ? Je vous aime moi !
Weir : Non Rodney, ne dite pas cela, vous ne m’aimez pas comme j’aime John, vous avez Katie Brown qui elle vous aime, je viens de vous dévoiler un grand secret Rodney, allez à sa rencontre, elle en vaut la peine. Et puis il y a aussi quelque chose entre vous et le colonel Carter n'est ce pas? Adieu mes amis !
Tous les deux jetèrent un ultime regard à Elizabeth qui leur lança un dernier signe de la main pour ensuite monter à bord du vaisseau où elle fut dans une grande douceur mise en stase pour assurer sa survie au cours de son long voyage vers Solona, la galaxie d’origine des Solons, qui attendaient un représentant de la race des Anciens depuis longtemps déjà…
Les deux hommes couraient encore plus vite qu’auparavant, montèrent dans le jumper, activèrent la porte, jetèrent un dernier regard en arrière, et virent le vaisseau Solon décoller à une vitesse foudroyante tout en dégageant une lumière bleu par l’arrière.
Nos deux héros passèrent la porte des étoiles pour se retrouver sur Atlantis.
Tandis que sur la planète…
Le temple explosait…