[FICTION] La Guerre d'Aikon
Publié : 07 oct. 2006, 14:59
Salut à tous.
Voici ma nouvelle FanFic, que dis-je ma, premiere Fiction. Car en réalité, cette fiction n'a pas vraiment de liens avec l'univers Stargate, c'est juste une histoire de Science-Fiction de mon cru. J'èspere que cela vous plaira.
Nom: La Guerre D'Aikon.
Chapitre: Chapitre Premier.
Auteur: DucLeto.
Disclaimer: Tous les personnages et/ou lieux et/ou evenements ne sont la proprieté d'aucune marque.
Tous liens avec des faits réels ne sont que pures coincidences.
La Guerre d'Aikon.
Chapitre Premier : La Bataille pour le Letacal.
Fontenot : Journal de bord de l’amiral Fontenot, amiral de la flotte du vaisseau Aikonnien ASS - Letacal.
28 Sommas 458 du second cadran.
Cela fait maintenant deux semaines que nous patrouillons dans le secteur de Otomo IV après avoir suspecter que des vaisseaux rebelles croisent en cette zone.
Nous nous apprêtons à repartir vers Aikon pour la révision complète annuelle.
L’amiral Fontenot était un homme d’une soixantaine d’années, coiffé d’une chevelure blanche allant jusqu’aux épaules, assez massif, il un imposait le « respect naturel », avec ses deux mètres vingt (taille correspondant a notre mètre quatre-vingt-dix actuel) et ses quatre-vingt-quinze kilogrammes. Il était vêtu de l’uniforme blanc d’officier de passerelle, paré de nombreuses cordelettes, de médailles, de deux épaulettes brodées de cinq étoiles dorées chacune et d’un sabre dans son foureau. Il portait tout de même un pistolet 17mm à sa ceinture.
La passerelle de commandement principale du vaisseau amiral Letacal était une pièce rectangulaire de sept mètres de larges sur quinze mètres de long. Dans le fond le poste de l’amiral et de ses deux officiers en second, juste devant eux l’écrans principal, un mètre en avant, les portes gauches et droites puis jusqu’à l’autre bout de la pièce, le long des murs, les différent postes de commandements, chacun occupé en permanence par un officier de passerelle. L’emplacement de la passerelle dans le vaisseau ne vous sera pas révélé pour des raisons de sécurité.
La flotte du Letacal était composée du Vaisseaux amiral (Letacal), de cinquante croiseurs numérotés de ASSBC-USSL-01 à 50 et de deux grands transporteurs contenant chacun cinq cent chasseurs Tornade 546.
L’amiral termina l’enregistrement du journal de bord et pianota sur son clavier. L’alarme retentit une fois et tous les panneaux lumineux du vaisseau passèrent au bleu.
Fontenot : Ici l’amiral Fontenot. A toute la flotte, nous regagnons Aikon, que tout le personnel concerné se mette à son poste. On passe en code bleu.
F à son officier second assis à sa gauche (McKoenigel) : Mac, check list s’il vous plait.
McKoenigel : Tout les systèmes sont prêts amiral.
F : Très bien allons-y.
Tous les officiers s’activèrent sur leurs écrans dans une effervescence contenue.
McK : Propulsion, entrez le cap 94-64-158-026 ,vitesse 8.5
Un des officiers le long du mur droit : Bien reçu !
L’officier second à la droite de Fontenot (Schmidt) : Hyper propulsion, entrez les coordonnées de Aikon et préparez l’ouverture d’une fenêtre hyperespace.
Un autre officier : Bien reçu.
Les vaisseaux de la flotte se regroupèrent et se prirent les cap indiqué, mais au moment ou la fenêtre hyperespace pour Aikon s’ouvrit, une autre s’ouvrit brutalement derrière eux. Plus d’une centaine de croiseur rebelles en sortirent et se placèrent derrière la flotte du Letacal.
F : Fermez la fenêtre hyperespace !
La fenêtre se ferma.
F : Schmidt, rapport de situation
Schmidt : Cent cinquante croiseurs rebelles sont sortis de l’hyperespace et se mettent en position d’attaque, amiral.
F : Ouvrez un canal vers la flotte ennemie.
McK : Bien reçu canal ouvert, amiral.
F : Ici l’amiral Fontenot, commandant du vaisseau Aikonnien ASS-Letacal et amiral de la flotte du Lecatal, à la flotte rebelle. Vous êtes en état d’arrestation pour acte de rébellion, veuillez nous suivre jusqu’au spatioport le plus proche.
La réponse se fit attendre.
Voix dans la radio : Ici Collui de l’alliance rebelle (tiens tiens…) à l’amiral Fontenot. Va te faire foutre connard !!!
Le visage de l’amiral se scia en un sourire effrayant. Fontenot savait pertinemment que cent cinquante croiseurs ne feront jamais le poids contre un vaisseau amiral.
F : Code rouge ! Boucliers à 100% ! Canons à ions, canons à plasma, feu à volonté, préparez les salves de missiles MARK XIX ! Et alerte collision !
L’alarme retentit cinq fois, les panneaux lumineux virèrent au rouge vif. Le vaisseau se dirigea droit vers les croiseurs ennemis, mais les canons refusèrent de tirer.
F : Rapport avarie.
Schmidt : Armement et bouclier HS, amiral.
Mck : Un virus a été introduit dans le système.
F : Changement de cap, manœuvre d’évitement
F : Lancez le diagnostic
Mck : Un virus a été introduit dans les system offensifs et défensifs et il se propage à grande vitesse dans tout le système, on essaie de le détruire.
En effet, tout le personnel de passerelle était affairé sur leur écran.
S : Nous avons plus d’hyper propulsion non plus.
F : D’où a-t-il introduit ?
Mck : Attendez…
McKoenigel, sembla hésiter…
F : Mac !!!
Mck : Escusez-moi, mais il faut que je revérifie.
F : Faites vite.
Mac relança le diagnostic, son visage se blêmit.
F : Mac !!?
Mck : C’est incompréhensible … ce n’est pas possible.
F : Qu’est-ce qui n’est pas possible ?
McK : Le virus a été implanté a partir de la passerelle, du poste 06.
Le visage de Fontenot se durcit, il entra dans une colère noire, son cerveau démarra au quart de tour, ces mots résonnaient dans sa tête « Espion, traître, ‘culé !!!»
Fontenot se leva de son siège et hurla.
F : Werbruggen !!!
Le capitaine de corvette Werbruggen était l’officier responsable des systèmes de défense et avait accès à l’armement, c’était lui au poste 06.
F : Sécurité !!!
Une fois sa tache accomplie, Werbruggen pris son arme de poing, la plaça sur sa tempe, hésita, pensa à sa famille, et appuya sur la détente avant que la sécurité n’ai put faire quoi que se soit. Ses voisins furent recouverts de sang et de morceau de cervelle, ils ne comprirent qu’après quelques secondes que Werbruggen était un traître et qu’il s’était donné la mort après avoir accomplit sa mission, rendre le Letacal sans défense.
Maintenant le vaisseau était vulnérable, il ne fera pas long feu maintenant face aux rebelles, l’amiral le savait très bien.
F : Schmidt, rapport sur les forces ennemies.
Schmidt : Après notre maneuvre d’évitement, les croiseurs enemis nous ont prient en chasse.
F : Raport de menaces.
S : Aucun tir ennemis amiral, il ne veulent pas nous détruire, ils nous veulent vivant.
Mck : Je confirme, aucun tir.
F : Très bien, à tout les croiseurs, attaquez les poursuivants.
S : Mais amiral…
F : Je sais cinquante contre cent cinquante c’est le casse pipe assuré, vous avez mieux a proposer ?
Schmidt baissa la tête, honteux d’avoir tenu tête à Fontenot.
S : Non monsieur, il faut protéger le vaisseau amiral en gagnant du temps.
F : Bien.
F : Je réitère, à tout les croiseurs, autorisation d’ouvrir le feu.
Croiseur leader : Ici croiseur leader, bien reçu amiral.
Les cinquante croiseurs se mirent au niveau des rebelles et commenca une danse des plus impressionnantes, les croiseurs s’entrecroisèrent dans un desordre apparent clairsemé d’explosions et de tirs de missiles et de rayons; tout en suivant le Letacal.
Schmidt : Nous avons déjà perdu trois croiseurs, amiral
Croiseur leader : Ici croiseur leader, on se prends la branlée du siècle, amiral, ils sont bien trop nombr…
Mck : Transmission interrompue, amiral.
S : Croiseurs leader détruit, amiral.
F : A tous les pilotes, a vos chasseurs, allez en renfort avec les croiseurs.
Rouge leader : Ici rouge leader, prêt au décollage.
Vert leader : Paré amiral.
F : Très bien, décollage autorisé, bonne chance.
Les chasseurs se placèrent sur les pistes de lancement dans les transporteurs.
S : Amiral ! Deux missiles ennemis se dirigent droit sur nous !
Les deux missiles fondèrent cote à cote sur le vaisseau amiral, ces deux missiles suffiraient à détruire le Letacal maintenant sans bouclier.
F : Raport de menace.
S : Deux missiles MARK XVII nous ont accroché amiral, impossible de se dégager. Contact dans vingt-deux secondes, amiral
F : Depuis quand les rebelles ont des MARK XVII !!?
S : Aucune idée.
F : C’est pas une réponse.
S : Désolé.
F : Très bien. Contre mesures et réparez moi ce bouclier ! Tentez une riposte !
McK : Négatif, les contre mesures son HS, impossible d’éliminer le virus.
S : Contact dans dix secondes !
L’amiral entra dans une colère noire encore plus forte, mais senti la panique monter en lui. Il savait qu’il ne reverrait jamais Aikon.
Mck : Attendez, je reçois différents rapports sur un changement de trajectoire des missiles. Ils se dirigent... vers les transporteurs.
F : Ou en sont les chasseurs ?
McK : Ils décollent en se moment même
S : Trop tard, contact dans trois…deux...un…
Les missiles s’écrasèrent sur les boucliers des transporteurs, qui furent soufflés par l’explosion. On vit l’onde de choc déformer la coque des deux vaisseaux et furent désintégrés par deux énormes explosions qui secouèrent l’ensemble du Letacal.
F : Transporteurs, au rapport.
Mck : Les deux transporteurs ont été détruits par les missiles MARK XVII. Il n’y a aucun survivant.
S : Il ne nous reste plus que treize croiseurs.
Pendant ce temps la, le croiseurs se livraient une bataille des plus acharnées, Les boucliers étaient sans cesse sollicités par des tirs ou des collisions à très grandes vitesses et des explosions d’autres vaisseaux et les débris devenaient maintenant une réelle menace pour les coques de vaisseaux
McK : Plus qu’un croiseurs, amiral.
F : Dites lui de renter.
McK : Aucune réponse.
Le ASSBC-USSL-28, le dernier croiseur de la flotte n’avait plus ni bouclier, ni armement, ni propulsion, il dérivait dans les débris du champ de bataille, il fut achevé par un croiseur rebelle qui le heurta après avoir perdu le control. Le point lumineux lui correspondant sur l’écran principal de la passerelle disparu. L’amiral dans son fauteuil, s’affaissa sur lui-même.
F : Procédure d’autodestruction.
S : Négatif, le virus a atteint les systèmes concernés.
F : Très bien, il ne nous aurons pas, foncez vers le soleil de ce système solaire.
Tout le monde se tut sur la passerelle. Ils regardaient l’amiral avec un air d’incompréhension.
F : Exécution !
Le vaisseau changea de cap et alla droit sur l’astre lumineux.
Le silence régnait sur la passerelle, tous savait ce qui les attendait mais savait aussi qu’il n’avait pas d’autre échappatoire, il ne fallait surtout pas que l’ennemi capture le vaisseau, il y avait trop d’informations capitales a l’intérieur des systèmes.
McK : Amiral, une centaine de petits appareils arrivent vers nous par tribord.
F : Des chasseurs ?
Mck : Attendez…, non, des vaisseaux d’abordages.
F : Il seront là quand !!?
Mck : Dans vingt-cinq secondes, amiral, ils nous rattrapent.
Les officiers de la passerelle s’exténuaient à chercher de l’énergie à dériver vers la propulsion qui rencontrait de nombreux problèmes. Ils avaient oublié le corps dépourvus de sa tête de Wergruggen qui gisait encore sur le sol gris tâché de sang.
F : Qu’est-ce qui se passe avec la propulsion !!?
McK : Le virus infecte les systèmes mais nous parvenons à le ralentir.
F : Très bien. A tout le personnel combattant, rejoignez les armureries et préparez vous au combat, l’ennemi va aborder le vaisseaux.
F : A mon signal verrouilliez toutes les portes principales.
S : Rapports des unité armées : tous favorables, tout le monde est en place.
F : Verrouillez les portes.
Les portes principales du vaisseau s’abaissèrent pour isoler les différents compartiments.
Mck : Abordage dans dix secondes, neuf…huit…sept…six…cinq…quatre…deux…un… Abordage.
La centaine de petits vaisseaux s’accrochèrent à la coque du vaisseau, avec chacun un emplacement précis, décider a l’avance, ce qui le fit trembler dans la totalité. Chaque abordeur était équiper de chalumeaux au plasma qui commencèrent découper la paroi.
F : Unités armées, vous êtes autorisée à tirer.
Radio : Bien reçu, tirons à vue.
La fin du premier chapitre arrive rapidement.
Voici ma nouvelle FanFic, que dis-je ma, premiere Fiction. Car en réalité, cette fiction n'a pas vraiment de liens avec l'univers Stargate, c'est juste une histoire de Science-Fiction de mon cru. J'èspere que cela vous plaira.
Nom: La Guerre D'Aikon.
Chapitre: Chapitre Premier.
Auteur: DucLeto.
Disclaimer: Tous les personnages et/ou lieux et/ou evenements ne sont la proprieté d'aucune marque.
Tous liens avec des faits réels ne sont que pures coincidences.
La Guerre d'Aikon.
Chapitre Premier : La Bataille pour le Letacal.
Fontenot : Journal de bord de l’amiral Fontenot, amiral de la flotte du vaisseau Aikonnien ASS - Letacal.
28 Sommas 458 du second cadran.
Cela fait maintenant deux semaines que nous patrouillons dans le secteur de Otomo IV après avoir suspecter que des vaisseaux rebelles croisent en cette zone.
Nous nous apprêtons à repartir vers Aikon pour la révision complète annuelle.
L’amiral Fontenot était un homme d’une soixantaine d’années, coiffé d’une chevelure blanche allant jusqu’aux épaules, assez massif, il un imposait le « respect naturel », avec ses deux mètres vingt (taille correspondant a notre mètre quatre-vingt-dix actuel) et ses quatre-vingt-quinze kilogrammes. Il était vêtu de l’uniforme blanc d’officier de passerelle, paré de nombreuses cordelettes, de médailles, de deux épaulettes brodées de cinq étoiles dorées chacune et d’un sabre dans son foureau. Il portait tout de même un pistolet 17mm à sa ceinture.
La passerelle de commandement principale du vaisseau amiral Letacal était une pièce rectangulaire de sept mètres de larges sur quinze mètres de long. Dans le fond le poste de l’amiral et de ses deux officiers en second, juste devant eux l’écrans principal, un mètre en avant, les portes gauches et droites puis jusqu’à l’autre bout de la pièce, le long des murs, les différent postes de commandements, chacun occupé en permanence par un officier de passerelle. L’emplacement de la passerelle dans le vaisseau ne vous sera pas révélé pour des raisons de sécurité.
La flotte du Letacal était composée du Vaisseaux amiral (Letacal), de cinquante croiseurs numérotés de ASSBC-USSL-01 à 50 et de deux grands transporteurs contenant chacun cinq cent chasseurs Tornade 546.
L’amiral termina l’enregistrement du journal de bord et pianota sur son clavier. L’alarme retentit une fois et tous les panneaux lumineux du vaisseau passèrent au bleu.
Fontenot : Ici l’amiral Fontenot. A toute la flotte, nous regagnons Aikon, que tout le personnel concerné se mette à son poste. On passe en code bleu.
F à son officier second assis à sa gauche (McKoenigel) : Mac, check list s’il vous plait.
McKoenigel : Tout les systèmes sont prêts amiral.
F : Très bien allons-y.
Tous les officiers s’activèrent sur leurs écrans dans une effervescence contenue.
McK : Propulsion, entrez le cap 94-64-158-026 ,vitesse 8.5
Un des officiers le long du mur droit : Bien reçu !
L’officier second à la droite de Fontenot (Schmidt) : Hyper propulsion, entrez les coordonnées de Aikon et préparez l’ouverture d’une fenêtre hyperespace.
Un autre officier : Bien reçu.
Les vaisseaux de la flotte se regroupèrent et se prirent les cap indiqué, mais au moment ou la fenêtre hyperespace pour Aikon s’ouvrit, une autre s’ouvrit brutalement derrière eux. Plus d’une centaine de croiseur rebelles en sortirent et se placèrent derrière la flotte du Letacal.
F : Fermez la fenêtre hyperespace !
La fenêtre se ferma.
F : Schmidt, rapport de situation
Schmidt : Cent cinquante croiseurs rebelles sont sortis de l’hyperespace et se mettent en position d’attaque, amiral.
F : Ouvrez un canal vers la flotte ennemie.
McK : Bien reçu canal ouvert, amiral.
F : Ici l’amiral Fontenot, commandant du vaisseau Aikonnien ASS-Letacal et amiral de la flotte du Lecatal, à la flotte rebelle. Vous êtes en état d’arrestation pour acte de rébellion, veuillez nous suivre jusqu’au spatioport le plus proche.
La réponse se fit attendre.
Voix dans la radio : Ici Collui de l’alliance rebelle (tiens tiens…) à l’amiral Fontenot. Va te faire foutre connard !!!
Le visage de l’amiral se scia en un sourire effrayant. Fontenot savait pertinemment que cent cinquante croiseurs ne feront jamais le poids contre un vaisseau amiral.
F : Code rouge ! Boucliers à 100% ! Canons à ions, canons à plasma, feu à volonté, préparez les salves de missiles MARK XIX ! Et alerte collision !
L’alarme retentit cinq fois, les panneaux lumineux virèrent au rouge vif. Le vaisseau se dirigea droit vers les croiseurs ennemis, mais les canons refusèrent de tirer.
F : Rapport avarie.
Schmidt : Armement et bouclier HS, amiral.
Mck : Un virus a été introduit dans le système.
F : Changement de cap, manœuvre d’évitement
F : Lancez le diagnostic
Mck : Un virus a été introduit dans les system offensifs et défensifs et il se propage à grande vitesse dans tout le système, on essaie de le détruire.
En effet, tout le personnel de passerelle était affairé sur leur écran.
S : Nous avons plus d’hyper propulsion non plus.
F : D’où a-t-il introduit ?
Mck : Attendez…
McKoenigel, sembla hésiter…
F : Mac !!!
Mck : Escusez-moi, mais il faut que je revérifie.
F : Faites vite.
Mac relança le diagnostic, son visage se blêmit.
F : Mac !!?
Mck : C’est incompréhensible … ce n’est pas possible.
F : Qu’est-ce qui n’est pas possible ?
McK : Le virus a été implanté a partir de la passerelle, du poste 06.
Le visage de Fontenot se durcit, il entra dans une colère noire, son cerveau démarra au quart de tour, ces mots résonnaient dans sa tête « Espion, traître, ‘culé !!!»
Fontenot se leva de son siège et hurla.
F : Werbruggen !!!
Le capitaine de corvette Werbruggen était l’officier responsable des systèmes de défense et avait accès à l’armement, c’était lui au poste 06.
F : Sécurité !!!
Une fois sa tache accomplie, Werbruggen pris son arme de poing, la plaça sur sa tempe, hésita, pensa à sa famille, et appuya sur la détente avant que la sécurité n’ai put faire quoi que se soit. Ses voisins furent recouverts de sang et de morceau de cervelle, ils ne comprirent qu’après quelques secondes que Werbruggen était un traître et qu’il s’était donné la mort après avoir accomplit sa mission, rendre le Letacal sans défense.
Maintenant le vaisseau était vulnérable, il ne fera pas long feu maintenant face aux rebelles, l’amiral le savait très bien.
F : Schmidt, rapport sur les forces ennemies.
Schmidt : Après notre maneuvre d’évitement, les croiseurs enemis nous ont prient en chasse.
F : Raport de menaces.
S : Aucun tir ennemis amiral, il ne veulent pas nous détruire, ils nous veulent vivant.
Mck : Je confirme, aucun tir.
F : Très bien, à tout les croiseurs, attaquez les poursuivants.
S : Mais amiral…
F : Je sais cinquante contre cent cinquante c’est le casse pipe assuré, vous avez mieux a proposer ?
Schmidt baissa la tête, honteux d’avoir tenu tête à Fontenot.
S : Non monsieur, il faut protéger le vaisseau amiral en gagnant du temps.
F : Bien.
F : Je réitère, à tout les croiseurs, autorisation d’ouvrir le feu.
Croiseur leader : Ici croiseur leader, bien reçu amiral.
Les cinquante croiseurs se mirent au niveau des rebelles et commenca une danse des plus impressionnantes, les croiseurs s’entrecroisèrent dans un desordre apparent clairsemé d’explosions et de tirs de missiles et de rayons; tout en suivant le Letacal.
Schmidt : Nous avons déjà perdu trois croiseurs, amiral
Croiseur leader : Ici croiseur leader, on se prends la branlée du siècle, amiral, ils sont bien trop nombr…
Mck : Transmission interrompue, amiral.
S : Croiseurs leader détruit, amiral.
F : A tous les pilotes, a vos chasseurs, allez en renfort avec les croiseurs.
Rouge leader : Ici rouge leader, prêt au décollage.
Vert leader : Paré amiral.
F : Très bien, décollage autorisé, bonne chance.
Les chasseurs se placèrent sur les pistes de lancement dans les transporteurs.
S : Amiral ! Deux missiles ennemis se dirigent droit sur nous !
Les deux missiles fondèrent cote à cote sur le vaisseau amiral, ces deux missiles suffiraient à détruire le Letacal maintenant sans bouclier.
F : Raport de menace.
S : Deux missiles MARK XVII nous ont accroché amiral, impossible de se dégager. Contact dans vingt-deux secondes, amiral
F : Depuis quand les rebelles ont des MARK XVII !!?
S : Aucune idée.
F : C’est pas une réponse.
S : Désolé.
F : Très bien. Contre mesures et réparez moi ce bouclier ! Tentez une riposte !
McK : Négatif, les contre mesures son HS, impossible d’éliminer le virus.
S : Contact dans dix secondes !
L’amiral entra dans une colère noire encore plus forte, mais senti la panique monter en lui. Il savait qu’il ne reverrait jamais Aikon.
Mck : Attendez, je reçois différents rapports sur un changement de trajectoire des missiles. Ils se dirigent... vers les transporteurs.
F : Ou en sont les chasseurs ?
McK : Ils décollent en se moment même
S : Trop tard, contact dans trois…deux...un…
Les missiles s’écrasèrent sur les boucliers des transporteurs, qui furent soufflés par l’explosion. On vit l’onde de choc déformer la coque des deux vaisseaux et furent désintégrés par deux énormes explosions qui secouèrent l’ensemble du Letacal.
F : Transporteurs, au rapport.
Mck : Les deux transporteurs ont été détruits par les missiles MARK XVII. Il n’y a aucun survivant.
S : Il ne nous reste plus que treize croiseurs.
Pendant ce temps la, le croiseurs se livraient une bataille des plus acharnées, Les boucliers étaient sans cesse sollicités par des tirs ou des collisions à très grandes vitesses et des explosions d’autres vaisseaux et les débris devenaient maintenant une réelle menace pour les coques de vaisseaux
McK : Plus qu’un croiseurs, amiral.
F : Dites lui de renter.
McK : Aucune réponse.
Le ASSBC-USSL-28, le dernier croiseur de la flotte n’avait plus ni bouclier, ni armement, ni propulsion, il dérivait dans les débris du champ de bataille, il fut achevé par un croiseur rebelle qui le heurta après avoir perdu le control. Le point lumineux lui correspondant sur l’écran principal de la passerelle disparu. L’amiral dans son fauteuil, s’affaissa sur lui-même.
F : Procédure d’autodestruction.
S : Négatif, le virus a atteint les systèmes concernés.
F : Très bien, il ne nous aurons pas, foncez vers le soleil de ce système solaire.
Tout le monde se tut sur la passerelle. Ils regardaient l’amiral avec un air d’incompréhension.
F : Exécution !
Le vaisseau changea de cap et alla droit sur l’astre lumineux.
Le silence régnait sur la passerelle, tous savait ce qui les attendait mais savait aussi qu’il n’avait pas d’autre échappatoire, il ne fallait surtout pas que l’ennemi capture le vaisseau, il y avait trop d’informations capitales a l’intérieur des systèmes.
McK : Amiral, une centaine de petits appareils arrivent vers nous par tribord.
F : Des chasseurs ?
Mck : Attendez…, non, des vaisseaux d’abordages.
F : Il seront là quand !!?
Mck : Dans vingt-cinq secondes, amiral, ils nous rattrapent.
Les officiers de la passerelle s’exténuaient à chercher de l’énergie à dériver vers la propulsion qui rencontrait de nombreux problèmes. Ils avaient oublié le corps dépourvus de sa tête de Wergruggen qui gisait encore sur le sol gris tâché de sang.
F : Qu’est-ce qui se passe avec la propulsion !!?
McK : Le virus infecte les systèmes mais nous parvenons à le ralentir.
F : Très bien. A tout le personnel combattant, rejoignez les armureries et préparez vous au combat, l’ennemi va aborder le vaisseaux.
F : A mon signal verrouilliez toutes les portes principales.
S : Rapports des unité armées : tous favorables, tout le monde est en place.
F : Verrouillez les portes.
Les portes principales du vaisseau s’abaissèrent pour isoler les différents compartiments.
Mck : Abordage dans dix secondes, neuf…huit…sept…six…cinq…quatre…deux…un… Abordage.
La centaine de petits vaisseaux s’accrochèrent à la coque du vaisseau, avec chacun un emplacement précis, décider a l’avance, ce qui le fit trembler dans la totalité. Chaque abordeur était équiper de chalumeaux au plasma qui commencèrent découper la paroi.
F : Unités armées, vous êtes autorisée à tirer.
Radio : Bien reçu, tirons à vue.
La fin du premier chapitre arrive rapidement.