[FANFIC] La place forte

[Colonel Mordekaye]

Dernier message de la page précédente :

Super!!! La suite! La suite! La suite!!!!!!!!!!

[Eddy]

Exelent !!
J'ai lus certainement une centaine de fics mais celle-ci arrive en première place !
Moi même j'écris une fic et il y a des idée que j'avais en tête que tu as intégré mieux que ce que j'avais pensé !
L'idée de cette station avec cs vaisseaux est superbe !Les combats y sont bien décrit ce qui nous permet de vraiment nous y croire !
C'est juste domage qu'il n'y est pas Mitchell et d'aventage Landry !
Sinon c'est impecable à quand la suite ??

[iangeman]

je crois que parmis toutes les fics de stargate ta fic arrive en deuxième position, juste avant les fics de CRABY.

j'éspère que la continuera jusqu'a quelle soit fini.
A quand la suite?

[Mik]

Merci à vous , Euh sinon le chpitre 15 ne devrait pas tarder, par contre après il y aura surement una pause assez longue, car les exam arrivent à grand pas, aller quelques ptits spoilers :

Spoiler

Et bien nous repartirons surr Pégase ou la station n'attend qu'une chose ... partir dans la voie lactée , Weir versus Woolsey, un combat au sommet vous attend lol, et les secrets de la cité sur Terre ! voila

[great_xam]

superbe, la suite est reussis parfaitement, le seule defaut de ta fic, cest que le chapitre suivant n'est pas là

[soular12]

Salut Mik, après un peu plus de 2 mois d'absence, je reviens et j'ai la surprise de voir que tu as continué ta fic. Agréable surprise. De plus, il n'y a rien à redire, c'est toujours au même niveau que les autres chapitres, autrement dit, exceptionnel. Continue comme ca et on compte sur toi pour nous faire une belle rencontre Wraiths / Ori. Bonne continuation

[Mik]

Chapitre 15 : Le calme avant « les tempêtes »

Précédemment dans « la place Forte » La situation n’est pas au beau fixe et l’avenir est désormais incertain. O’Neill a réussi à mettre d’accord Adria même si il n’y est pas pour très grand-chose car les Oriis ont senti eux même l’arrivée de l’armada Wraiths. Le point négatif est qu’elle connaît l’existence de la cité d’Atlantis mais pas encore sa localisation précise. Quant à Lorne et Liz ils viennent tout juste de remettre en marche la cité localisée sous terre en Antarctique. Teal’c Et Ronon on été sauvé par Emmerson et Carter, ils sont sur le point de rentrer sur Terre. Pendant ce temps sur Terre Weir prépare la mise à pied de Woolsey, chose qui ne sera pas facile du tout.


A des milliards d’années lumières d’ici sur la place forte ancienne, Sheppard, McKay et Caldwell continuait les préparatifs car le départ de la station ne devrait plus trop tarder désormais. Mckay, lui s’était amusé à créer une série d’Eppz, le nombre s’élevait alors à 8 plus précisément. Sheppard et Caldwell quant à eux passèrent la majeure partie de leur temps dans la grande salle de contrôle. Il fallait absolument qu’ils se familiarisent avec les instruments de bords. Le pilotage nécessitait au moins 5 personnes qui seraient donc assise dans les 5 fauteuils de contrôles qui ornaient le centre de la salle. Les lumières bleues que toutes les 5 dégageaient étaient envoutant, mais d’un autre coté effrayant, car une fausse manœuvre d’un des 5 pilotes pourrait se manifester par leur perte. Pour le moment seul 4 personnes étaient capables de s’y asseoir, en commençant par Sheppard, Mckay, Caldwell et Le Dr. Beckett, qui depuis quelques temps avait pris l’habitude de faire l’allé retour entre la station et Atlantis et ramenait donc par conséquent des bribes de nouvelles concernant les évènement sur Terre, les dernières nouvelles n’étaient par ailleurs pas si mauvaise, la mise à pied de Woolsey s’était vite étendue. Bref, le plus important c’est qu’il manque encore une personne, et personne dans les scientifiques et militaires présents ne s’étaient encore manifestés malgré quelques remontrances de Sheppard.
Il était deux ou trois heures de l’après midi ; tout le monde ou presque faisait une pause. Beaucoup était encore en train de manger un sandwich et de boire un coup dans une des grandes salles de conseil de la station. L’ordre qu’il attendait et qui n’arrivait toujours pas, faisait peser une ambiance assez lourde, sur la station à vrai dire. L’impatience atteignait des limites et ce principalement pour les militaires. Les scientifiques pouvaient toujours arriver à s’occuper, les installations étaient gigantesques et vu le nombre qu’ils étaient, il aurait fallu des années avant de pénétrer dans toutes les salles.
L’heure passait et personne n’aient encore dédaigné bouger. Sheppard se leva et se dirigea vers une des consoles de commandes, il mit la main sur une sorte de bouton, bien que les boutons chez les anciens n’existaient pas, il suffisait de passer la main dessus. Bref, il pausa sa main dessus et la lumière sur la console se modifia aussitôt, il s’agissait d’un haut parleur. Sheppard se pencha vers une sorte de micro, d’après lui les anciens n’était pas top tendance pour l’année 2007.
-A tout le personnel, la pause est fini, tout le monde se remet immédiatement au boulot, et je le répète il nous faut une cinquième personne pour le fauteuil et ce aujourd’hui sinon j’en désignerais moi-même une dit Sheppard assez mollement et sans vraiment convaincre cette « assemblée »
- Je ne pense pas que nous serons capable à 4 de piloter la station dit soudainement Caldwell et se levant d’un des sièges.
-Nous savons et c’est pour cette raison que nous tentons désespérément de trouver une autre personne grogna Mckay.
-Oui Mckay, on le sait, pas besoin d’en rajouté rajouta Sheppard.
-Quoiqu’il en soit, il va falloir commencer sérieusement à se préparer, les Wraiths sont sur le point d’arriver dans la voie Lactée dit Caldwell en contournant le siège et en regardant sur un écran géant, qui montrait précisément la localisation de l’armada Wraiths.
La journée passa, comme une routine que l’on peut prendre chez sois. La station était cependant totalement opérationnelle, les boules réparatrices avaient excellé dans l’art de réparation. Il devait être environ dix huit heures quand la porte de la station s’activa. Tout le monde était sur le qui-vive dans l’espoir que l’ordre de Weir arrive, mais au grand désespoir de tous, ce n’était que Beckett qui arrivait. Sheppard l’avait fait appeler, car ils allaient tenter une manœuvre. Il revenait d’Atlantis et n’était pas seul par ailleurs, un homme d’environ 25 ans le suivait et c’était un soldat, l’uniforme permit à Sheppard qui s’était rendu dans la salle de le savoir rapidement.
Beckett se dirigea vers Sheppard tout en le saluant et présenta rapidement le jeune homme qui se nommait Max. Puis Sheppard s’empressa de poser de nombreuses questions sur l’état actuel de la situation sur Terre mais aussi sur Atlantis, qui pour le moment est contrôlé par Teyla.
-Atlantis est sous bonne garde colonel Sheppard, Teyla s’en sort à merveille, elle à géré tranquillement le départ des militaires mais aussi leur retour, certes pas en totalité mais une grande partie.
-Très bien cela me rassure, Weir à donc réussi à rabaisser ce Woolsey dit Sheppard comme si il était dégoutant.
-Eh bien pas tout à fait, il a juste été mis à pied, maintenant elle va s’entacher de le destituer de sa place, en attendant la démilitarisation est stoppé et a même en partie été inversé fit remarquer Beckett.
Tout en parlant les trois hommes se dirigeaient désormais vers la salle de contrôle. Ils leur fallut prendre le téléporteur situé au fond de la salle de la porte des étoiles.
Une fois arrivé dans la salle de contrôle Mckay se dirigea tout droit vers Sheppard pour lui énumérer quelques théories complètement incompréhensible pour maximiser la puissance des armes de défenses de la place forte. Sheppard fixa Mckay comme ci il essayait réellement de comprendre ce qu’il disait. Cependant il pensait à autre chose, ou plutôt à quelqu’un d’autre… Puis alors que Mckay débitait tout son charabia sur la théorie de l’équilibre quantique des eppz, Sheppard se retourna vers le jeune militaire Max, et coupant la conversation à Mckay se qui l’irrita fortement, il engagea la conversation avec la nouvelle recrue.
-Mais au fait qui est tu ?
-Je suis sergent Howard mon colonel.
-Et puis savoir se qui t’amène parmi nous ? demanda Sheppard en fixant le jeune homme qui fut déstabilisé par la question.
-Ah j’avais oublié intervint Beckett qui se rapprocha, je l’ai amené car il possède le gène des anciens et à montré sur Atlantis une capacité incroyable à maîtriser la technologie des anciens. Donc j’ai pensé qu’il pourrait très bien être notre cinquième personne.
-Très bien dit Sheppard sergent allez vous asseoir sur un des fauteuils de contrôles, nous allons tester vos compétence sur le champ. Se n’est pas que je ne vous crois pas Dr. C’est juste pour que je l’évalue moi-même et voir de quoi il est capable.
Max alla donc s’asseoir sur le fauteuil de contrôle le plus proche d’un pas timide. Il s’était déjà assis sur le fauteuil d’Atlantis, mais cette fois ci, l’enjeu n’était pas le même. Sheppard se rapprocha et fini par s’asseoir à son tour dans le fauteuil situé tout juste à coté de lui.
-Pensez aux armements et faites en sorte qu’elle soit juste activé.
-Très bien colonel Sheppard
-Vous ne croyez pas que c’est un peu prématuré intervint Mckay. Je pense que pour commencer il devrait faire apparaître seulement quelques images de la station, ou bien de la gala…
-Mckay je ne vous est pas demandé si votre grand-mère faisait du vélo, donc retourné à vos occupations, la station doit être opérationnel demain alors ne perdez pas de temps.
Mckay regarda alors Sheppard, Max, Caldwell, Beckett et tous les scientifiques qui se trouvaient dans la salle, tout le monde avait entendu Sheppard envoyer balader Mckay. Il se retourna sans rien dire et se dirigea en direction d’une des console, mais il du reprendre ses esprits quelques secondes, car il n’aimait pas être blessé de la sorte dans son amour propre. En attendant Max commença à se concentrer, les armes s’activèrent toutes assez rapidement, puis une chose surprenante se passa. Alors que Sheppard lui demanda de se relever estimant qu’il avait prouvé sa capacité à utiliser la technologie ancienne, des images holographiques apparurent entre les cinq sièges.
La station apparaissait dans son intégralité, puis seulement quelques parties apparurent, Max passait en revu l’intégralité de la station, les lumières de la salle changèrent comme ci il y avait des pertes de puissances, mais de façon régulière. Tout le personnel se retourna alors vers Max, Sheppard ne comprenait pas se qu’il faisait, mais dans le doute il voulu relever Max pour qu’il stop immédiatement. Mais au moment ou il s’approchait du fauteuil, un champ de force le stoppa net et le fit reculer et trébucha se retrouvant par terre.
-Colonel vous allez bien
-Très bien Carson ne vous inquiétez pas pour si peu. Puis son regard se tourna vers Max, Que faites vous Max ?
-Ne vous inquiétez pas colonel Sheppard, ne vous inquiétez pas, c’est pour votre bien à tous répéta t-il.
-Il est en train de reconfigurer toute la station, je n’ai pour le moment plus accès à aucune commande dit Mckay en se retournant.
Tout le personnel s’activait à reprendre le contrôle de la station, mais il n’y avait rien a faire Max la contrôlait dans son intégralité. Pendant plusieurs minutes, des solutions étaient émises pour reprendre le contrôle, jusqu'à ce que Mckay reprenne en partie le contrôle de certaine partie de la station.
-Sheppard venez ici tout de suite beugla Mckay.
-Que se passe t-il ?
-Notre cher Max est en train de reconfigurer l’intégralité de la station, ainsi que de mettre à jour la base de donnée.
-Mais comment est ce possible ?
-Je… je n’en sais rien bafouilla Mckay.
-Comment peut il faire ça, il faudrait posséder une grande connaissance de la technologie ancienne rajouta Sheppard.
-Où être un ancien dit Mckay.
Puis les lumières arrêtèrent de clignoter pour reprendre leur teinte bleutée habituelle.
Mas se redressa et s’avança vers Sheppard et Mckay, Caldwell et Beckett n’étaient pas très loin derrière.
-Mais qui êtes vous bon sang, quelque chose me laisse pensez que vous n’êtes pas tout à fait humain.
-Et vous avez raison colonel Sheppard.
-Mais alors qu’est ce que …
-Je suis un de ceux que vous appelé ancien.
Tout le monde se regarda, Beckett fut le ^lus surpris dans l’affaire, car rien des actions que Max avait entrepris depuis plusieurs semaines sur Atlantis n’aurait pu lui faire penser qu’il était un ancien.
-Ecoutez moi, je n’ai que peu de temps désormais. Les Oriis ont triché en créant une Orisi, une grande partie des miens ne veulent pas le reconnaître, mais pour certain cela n’a que trop duré. J e suis revenu ici pour reconfigurer la station de tel sorte que vous n’ayez aucun problème pendant la bataille.
-Mais qu’avez-vous fait exactement, je veux dire si on ne sait pas se que vous avez….
-S’il vous plait laisser moi finir dit Max en coupant Mckay. Cette politique de non interférence devient incompréhensible pour certain ancien tel que moi, mais nous ne sommes pas la majorité. Par conséquent ma venu ici est caché, mais pas pour très longtemps, je vais donc devoir repartir immédiatement. Pour ce qui est du fonctionnement de la station vous y arriverez, le contrôle mental des fauteuils vous fera un petit résumé de tout se que j’ai modifié. Sur ce je vous dit bonne chance et adieu.
Max se changea aussitôt en pure énergie et disparu sans que personnes ne puissent réagir à tous ces propos. Tous restèrent ébahis pendant plusieurs instant, car tout s’était déroulé à une vitesse impressionnant, l’arrivé de Max, la reconfiguration de la station et la révélation de l’ancien. Des clans se forment au sein des êtres élevé mais ils ne sont pas assez nombreux pour intervenir de façon intense. Mckay fut le premier à réagir.
-Ah ! Ces anciens, il faudrait qu’un jour il sache se qu’ils veulent.
-C’est bien vrai poursuivit Sheppard.
Puis après encore quelques instants d’attente Caldwell rompit le silence.
-Allons sur les fauteuils tous les quatre pour voir se qu’il à fait. De sorte qu »on soit près pour le départ.
-Très bonne idée approuva Sheppard
-Vous croyez vraiment que c’est une si bonne idée ajouta Beckett qui bien qu’il maîtrisait de mieux en mieux la technologie, il se rappelait toujours de ses débuts « prometteurs » en Antarctique.
-Carson je suis sur que ça va aller ne vous faites pas de soucis.
Beckett le regarda et s’assis sur le siège qui s’illumina. Sheppard, Caldwell et Mckay le rejoignirent aussitôt. Ils se concentrèrent tous et passèrent près de deux heures à visionner tous les changements qu’avait faits Max. Par ailleurs il avait laissé comme un mode d’emploi, leur expliquant les différentes directives à suivre. De plus Max avait fait en sorte que quatre pilotes suffisent pour manœuvrer le bâtiment, par conséquent la recherche d’un cinquième membre était inutile. Après ces quelques heures passées à visionner mentalement les modifications de Max ils se relevèrent tous les trois exténués par les efforts qu’il venaient d’accomplir. La place forte était désormais prête à partir pour la bataille. Bataille qui devrait commencer dans très peu de temps, tout le monde le savait, le départ est une question de quelques heures désormais. Mckay comme tous les autres bien que préoccupé par l’annonce imminente du départ fit une annonce très intéressante enfin pour lui.
-Et si on allait manger un morceau, car je ne sais pas vous, mais moi ça ma creusé tout, et vous savez que Max à changé la répartition bilatérale de … … … …
Bref ils partirent manger avec un petit bruit de fond qui en exaspérait plus d’un.


Cela fait plusieurs jours maintenant que le Dr. Weir à réussi avait écarté Woolsey des grandes décisions du conseil au grand désarroi de ce dernier. Weir le savait, le plus dur était peut être bien à venir. Le Gaïa et le croiseur ancien étaient revenus depuis trois jours de Dakkara. Elle n’était plus toute seule désormais, c’est ainsi qu’elle passa les trois deniers jours avec Carter pour tenter de trouver des arguments plus que convainquant pour le conseil international du SGCI.
Quant à Ronon et Emmerson, ils restèrent à bord du Titan, toujours en orbite haute. Teal’c lui était reparti sur une planète Jaffa, la bataille n’était pas encore fini, des planètes se dressaient encore face aux Oriis qui déclenchaient à chaque refus de leur croyance, les hostilités.
Nous retrouvons Weir et Carter dans un grand et sobre bureau qu’on leur avait prêté, dans le cadre de la préparation au prochain conseil, qui par ailleurs devrait avoir lieu dans un ou deux jours. La date n’était pas encore fixée, la bureaucratie est encore et toujours trop lente, les décisions s’éternise au grand regret des deux femmes qui commençaient à s’impatienter. Pendant des heures et des heures elles travaillèrent sans relâche au coup bas qu’elles pourront faire à Woolsey et ainsi l’écarter définitivement du projet. Toutefois la tâche ne s’annonçait pas sans difficulté, surtout qu’elles apprirent toutes les deux que les présidents furent mécontent d’apprendre la mise à pied temporaire de Woolsey, ils étaient presque tous de sont coté.
Leurs journées étaient bien remplies, il faut dire car, dés qu’elles se levaient, elles déjeunaient ensemble et ne tardaient pas à se mettre au travail à chaque fois, mais au bout d’un moment une lassitude pu se voir sur le visage de Weir qui bien qu’elle est un caractère bien trempé, elle commençait à s’épuiser. L’arrivée de Carter l’avait toutefois remonté le morale, mais il arrivait ou elle se collait dos au mesure, puis se laissait descendre en terminant accroupis la tête dans les mains, à se demander si elle était vraiment sur de faire se qu’elle faisait. Elle avait du mal à se faire à l’idée que pour la première fois de sa vie, elle essayait de faire en quelques sortes de faire du mal à une personne. Mais ce Woolsey … il lui sortait tellement par les yeux, elle le détestait vraiment, elle ne savait même pas d’où venait cette haine envers cet individu, mais une chose est sur c’est qu’elle n’avait pas envie de le laisser gagner. Se qui la dérangeait et la stressait c’est quand elle s’imaginait perdre face à lui, et qu’il récupérait ainsi son poste. Plein d’image et d’idées lui traversaient alors la tête à se moment là :
« Devrais-je m’en aller, démissionner, m’exiler sur Atlantis ? »
Elle ne saurait quoi faire, bien que son cœur batte en, faveur de Pégase, car plus rien ne la retenait sur Terre. Pourtant c’était une femme connue et reconnue du monde, mais la célébrité de l’intéressait pas. Elle s’était fort bien accommoder à sa situation sur Atlantis, elle était le leader, qui plus est, un leader fort apprécier qui avait le soutien de tous les scientifiques présents et des militaires. Même Caldwell la respectait sans la contredire, car il faut dire qu’entre les deux ce n’était pas la joie les premiers temps. C’est à tout ça qu’elle pensait quand le monde autour d’elle lui parait terriblement hostile. Elle se rendit aussi compte qu’elle ne parlait que de travail avec Carter, leur conversation s’arrêtait à ce niveau, c’est pour cette raison qu’elle décida de changer pour une fois de sujet, lui permettant par la même occasion de faire abstraction de tout le travail qui leur restait à faire.
-Sam, que font Vala, Daniel et Mitchell.
-Ils sont partis rendre visite à de nombreux peuple, pour leur faire voir que les Oriis ne sont rien d’autre que de faux dieu. Et jusqu'à présent la tâche ne fut pas de tout repos. Mais nous pensons qu’il faut continuer ; qu’il ne faut pas perdre espoir.
Weir Se tourna vers Carter et la regarda d’air approbateur.
-Je suis d’accord, si j’ai bien retenu une chose de mon séjour sur Atlantis, c’est que l’espoir il ne faut pas le perdre. Et je suis content que vous régissiez comme ça, les Oriis sont la pire menace qu’est connue la galaxie et si nous voulons réussir à les exterminer, il faut de l’espoir, il ne doit pas être éphémère.
En reparlant d’Atlantis elle venait de se remémorer des passages heureux de son passage, elle venait de se rendre compte que c’est là qu’elle aurait voulu être, mais elle venait de se promettre que c’est la bas qu’elle retournerait, et ce quelque soit l’issu du proche conseil.
Un, puis deux jours passèrent sans aucune nouvelle de la future date de conseil en présence des représentants internationaux. La matinée avait débuté comme d’habitude, tout le monde se levait, déjeunait puis se rendait tous à leur lieu de travail parfois sans broncher. Carter et Weir était de nouveau réunis dans cet infâme bureau, cela faisait déjà une heure qu’elles avaient commencé à éplucher toute une série de dossiers, peut être capable de compromettre la situation de Woolsey, mais pour le moment rien n’était encrer ; quand quelqu’un frappa à la porte. D’après l’intensité de l’action, Weir devina que se devait être un homme plutôt corpulent, et elle fut presque réjouie lorsqu’elle découvrit l’homme qui ouvrit la porte. En effet il était même très corpulent, mais fort charmant. Il leur fit savoir qu’une date avait enfin été choisie. Toutefois elles furent toutes les deux surprises lorsqu’elles apprirent que c’étaient le lendemain matin. Se soir là, elles ne se couchèrent pas de bonheur, elles devaient absolument finir et c’est seulement à trois heures du matin qu’elles finirent et allèrent se coucher.
Le réveil de Weir sonnait déjà depuis une ou deux minutes, mais elle n’était pas décidée à se lever. L’idée d’aller se confronter à tout un groupe de politicien sans scrupule qui avait par ailleurs été sermonné par leur président sur la mise a pied de Woolsey, ne l’aidait pas à se lever. Six minutes plus tard elle se leva enfin de sont lit alla prendre un douche pour se réveiller, s’habilla de façon classique, c'est-à-dire chemise et tailleur et s’empressa de se coiffer et de se maquiller. Elle mit une heure et demie pour se préparer, c’est pour dire la joie qu’elle ressentait face à la journée qui s’annonçait assez chaotique. Elle ouvrit la porte de sa chambre, et pénétra dans un long couloir qui paressait sans fin. Elle prit de multiple virage et s’engouffra de nouveau dans un couloir qui semblait encore plus long, elle s’immobilisa quelques instant lorsque qu’a travers une vitre elle aperçu la salle de la porte des étoiles. En fait s’était une baie vitré qui longeait une grande partie du couloir. Elle recommença à marcher mais cette fois ci au ralentit. Elle scrutait la salle et fixa son regard sur quatre petits scientifiques qui s’affairaient autour d’une machine qui collait la porte des étoiles. Il lui fallut plisser les yeux et s’arrêter une nouvelle fois pour qu’elle comprenne se qu’était cette machine. Elle vit alors une lumière orange en sortir, puis quand un des scientifiques changea de place, elle reconnue aussitôt l’Eppz. Puis reprenant ses esprit elle entama une marche qui cette fois était plus rapide, elle n’avait, que trop perdu de temps. Elle fila à vive allure et pensa :
« Si je continue comme ça je n’aurais absolument plus de souffle ! Le problème, c’est que si j’arrive en retard ça risque de ne pas paraître très sérieux. »
Elle continua, tourna à droite lors d’une intersection, puis encore à droite à celle qui suivit. Enfin elle reconnut le couloir orné de décoration divers, mais aussi de cadre avec des personnages célèbre, la salle de conférence était au bout. Elle s’aperçut rapidement que des personnes la suivaient et la précédait. Pis elle fit plus attention et vit Carter qui l’attendait et elle alla à sa rencontre.
-Colonel Carter êtes-vous prêtes ?
-non pas du tout, j’en ai encore les mains qui tremblent, j’ai tellement mal dormi cette nuit.
C’est alors que Woolsey passa devant elles, en les fusillant du regard. Weir en fit de même jusqu'à se qu’il disparaisse en entrant dans la salle. Elle échangèrent toutes deux des regards qui trahissait leur haine envers Woolsey, puis elles décidèrent d’entrer dans la salle bien qu’a contre cœur, mais l’enjeu était de taille, rien n’aurait pu à se moment là les dissuader et les empêcher d’intervenir dans ce conseil, de plus les dés étaient jetés, leur performance face aux représentants sera capital, il déterminera le destin et donc le tournant que va prendre le SGIC…
… à suivre

[Eddy]

Toujours d'aussi bonne qualité !
Certains anciens qui ne veulent plus suivre la règle de non intervention chez les êtres inferieures je sens qu'il va se passer un truc avec eux !
Sinon il faut rapidement la suite !!

[Mac kay4]

La suite , la suite , j'ai adore ce chapitre , tu a du talent ,continue et bravo

[Mik]

Merci pour vos commentaires. Sinon après le chapitre 15 , un peu de spoiler, le titre du chapitre 16 sra attaque surprise !! finissant sur un cliffanger assez incroyable par ailleurs, je m'attele deja au chapitre 17, profitez en car 3 chapitres ecrits en deux semine c'est énormes pour ma part.
Surtout qu la fin aproche, mais le meilleur pour ceux qui aiment le style de ma fanfic c'est qu'il s'agit uniquement du tome 1 lol

[Eddy]

Ah je m'en réjouis d'avence !
Sinon on a une date pour le chapitre ? pour savoir le temps qu'il nous reste à attendre .

[Mik]

Chapitre 16 : Attaque surprise !

Weir entra dans la salle en scrutant l’immense bureau qui se présentait sous ses yeux. Elle observa les représentants qui prenaient place sans rien dire. On sentait bien une tension qui régnait entre tous le monde, mais elle n’en fut pas déstabilisée pour autant. Woolsey était déjà assis, il était out au bout du bureau, seul comme les chefs d’entreprises pendant leur briefing. Weir se plaça quant à elle à l’exact opposé de ce dernier, elle prit alors tout son temps pour s’asseoir. Elle scruta alors toute l’assemblé qui était cette fois ci complètement installé. Son regard se posa sur Carter qui lui fit alors un signe de la tête en signe de soutien. Carter n’était pas assise autour de la table, elle n’en avait pas le droit. Elle était positionnée sur la gauche de Weir, ou siégeait d’autre personnalité mais aussi des journalistes qui avaient été convié à se joindre à cette réunion.
Le silence tomba alors lourdement dans la salle, on entendait juste le souffle de l’assemblé, mais personne ne semblait vouloir engager le débat.
Puis soudain Woolsey prit une longue bouffé d’oxygène et tout en souriant déclara :
-Bien, nous somme réunis pour pouvoir permettre aux représentants de décider ou non de mon exclusion au sein du SGIC. Nous laisserons donc la parole au docteur Weir, qui après avoir remis en question mes actions au sein de cette institution, a jugé judicieux de me faire destituer de mes responsabilités. Nous espérons tous alors que vos actions n’ont pas été faites de manière irréfléchie et nous vous donnons l’occasion de vous expliquer. Bien évidement si au bout du compte vous n’en aviez pas, vos serez accusé d’avoir ébranlé un conseil d’ordre internationale et croyez moi, nous ne seront pas clément avec vous.
Weir ravala difficilement ça salive, elle avait bien sur pensée aux conséquences, mais l’entendre de la bouche de la personne qui la répugnait lui faisait mal au cœur. Mais elle fit en sorte d’évacuer cette colère, car elle savait pertinemment que se n’était pas la clé pour gagner. Elle croisa ses bras détourna son regard vers Carter pendant quelques secondes et commença à parler d’une vois sur et posée à la fois.
-Je dois dire que votre mauvaise fois n’a pas de limite. Et bien non ! Je n’ai pas agit de façon irréfléchi et je vais voue le prouver. Par ailleurs je souhaiterais que personnes ne m’interrompe pendant que je parle.
Elle fixa alors Woolsey, de façon à se qu’il comprenne que cette dernière phrase lu était totalement destinée.
-Il y a quelques semaines, je fus surprise d’être rappelé sur Terre, puisque cela faisait des semaines que l’on avait plus de nouvelle sur Atlantis. On me dit alors de revenir sur Terre et qu’un nouveau projet civil avait été créée autour de la porte des étoiles, car les Oriis avaient para ailleurs détruits les SGC. Moi-même j’aspirais à ce que ce programme devienne en partit civil. Toutefois je ne m’attendais pas à vous trouver à la tête d’un tel conseil international Mr. Woolsey.
Elle s’arrêta pour reprendre son souffle tout en fixant immanquablement Woolsey, qui n’était pas très rassuré. Il avait de quoi était capable Weir, et même si de nombreux présidents le soutenaient, ils savaient qu’elles avaient le don et surtout le pouvoir de faire repencher la balance en sa faveur. Elle continua :
-Votre projet de démilitariser Atlantis, me sembla complètement absurde et il se trouve que je maintiens cette position. Il est vrai que la menace Oriis est plus grande que jamais, je ne vais pas le nier. Mais notre meilleure chance de les vaincre, réside encore aujourd’hui dans la technologie ancienne que nous découvrons lors de nos explorations sur Pégase. Or, vous être en train de retirer de Pégase tout notre potentiel de recherche planétaire, sas soldat, pas de mission possible. Les scientifiques seuls ne peuvent pas s’occuper de telles missions, se serait beaucoup trop dangereux.
-Si je puis me permettre intervint Woolsey, La défense de cette galaxie est comme notre priorité maximale, et je ferais tout pour lui permettre de se défendre. Par conséquent je ne puis me permettre de laisser de coté une quantité non négligeable en train de se promener de planète en planète pendant qu’ici les renforts sont plus que nécessaire.
-Mr. Woolsey, souvenez vous ! Dans quelques jours une armada entière de Wraiths va pointer son bout du nez dans un coin reculé de notre galaxie. Si le plan de O’neill fonctionne, les Oriis devraient alors prit aux pièges et une bataille s’en suivra. Nous ferons d’une pierre deux coups, car une fois la bataille terminée, il ne restera plus qu’un ennemi à combattre.
-Seulement c’est encore beaucoup de conditionnel que vous employez Dr. Weir, ce plan que je trouve impossible a réaliser, est semble t-il le seul que nous ayons.
-N’oubliez pas non plus que la place forte ancienne va venir nous prêter main forte dans ce combat, qui n’est pas perdu d’avance. Cette place forte est d’une puissance incomparable, les vaisseaux Oriis si on admet qu’ils remportent la première bataille se retrouveront en difficulté face aux puissantes armes de la station ancienne.
Elle avait donnée l’ordre à la station de partir il y a quelques heures déjà, ordre qui s’était fait désirer par ailleurs par Atlantis, mais surtout par l’équipe de Sheppard.
Weir scruta alors toutes l’assemblé, et vis qu’elle semblait encore excessivement septique face aux propos qu’elles entretenaient. Elles pensaient même que les représentants étaient déjà briefés par leur président et dans ce cas là elle n’aura aucune chance de les convaincre.
Elle continua de débiter une montagne folle d’arguments, capable de prouver la nécessiter de garder ce programme en partit militaire, mais aussi de faire comprendre et accepter le plan qu’ils avaient étudié avec O’neill. La tâche était difficile, Weir n’arrivait pas à lire les pensées des représentants, rien sur leur visage ne pouvait dire si il était d’accord ou non avec elle. Elle commençait à avoir chaud, en fait elle commençait à paniquer, sa détresse se sentait dans sa voix. Elle n’arrivait plus à capter l’attention de l’assemblé et elle ne comprenait pas vraiment pourquoi. Seule l’idée sur laquelle les présidents avaient forcées leur représentant à tel ou tel choix lui revenait à l’esprit. Quelque chose au fond d’elle lui insufflait cette pensée mais elle n’aurait su expliqué pourquoi. Elle se retourna à plusieurs reprise vers Carter qui tentait tant bien que mal de la réconforter ne serait ce que par un signe de la tête. C’était la première fois que Weir se sentait aussi impuissante et l’image d’un possible complot derrière sont dos et par des présidents, la mettait dans un état de rage intérieure. Woolsey voyant la situation pencher de son coté en profitait pour décrédibiliser Weir.
-Dr. Weir, voyons soyez raisonnable tous vos propos sont d’une incohérence totale, et surtout irrecevable vous ne pou…
Woolsey fut alors coupé, les deux grands battants des portes principales s’ouvrirent subitement. Emmerson suivit de plusieurs scientifiques entrèrent dans la salle de conférence. Les yeux des représentant étaient ouvert de façon à se qu’Emmerson comprenne qu’une entrée aussi impertinente dans la salle allait lui couter très cher. Toutefois sa venue n’était pas anodine puisqu’il venait prévenir l’assemblé de fait nouveau de plus haute importance.
Emmerson se tourna rapidement vers Carter.
-Votre présence est requise de toute urgence à la porte des étoiles colonel Carter.
-Que se passe t-il ?
-Je crois que nous essuyons une attaque massive des Oriis par la porte des étoiles, le bouclier ne tiendra pas très longtemps au dire des scientifiques.
Ceux qui étaient derrières Emmerson approuvèrent les propos d’Emmerson d’un signe de tête. Woolsey et les représentants se levèrent aussitôt, ils commencèrent tous à paniquer et certain parlaient déjà de rentrer dans leur pays. Woolsey eu bien du mal à les réconforter en leur disant qu’ils avaient au sein du SGCI les meilleurs scientifiques mondiaux et qu’ils arriveront à trouver une solution. En attendant Carter, Emmerson, Weir et les scientifiques se précipitaient tous dans la salle de la porte des étoiles. Le spectacle était étrange, une multitude de scientifiques s’affairaient autour de la porte des étoiles. Cette dernière était donc activée ainsi que le bouclier. Bouclier qui était identique à celui de la porte d’Atlantis. Toutefois ce n’est pas le reflet de l’horizon que l’on pouvait voir à travers, mais c’était une lumière d’un jaune très puissant. Il était presque obligatoire de porter des lumières de protections pour y voir quelques choses. Le plus impressionnant n’était pas la lumière en elle-même mais l’idée de la puissance qu’elle représentait. Une deuxième chose les interpelle, c’était le bruit qui commençait à leur donner mal à la tête. La lumière intense les avaient tellement attiré qu’ils n’avaient pas fait attention aux bruits qui devenait vraiment insupportable, si insupportable qu’ils durent tous quitter la salle d’embarcation pour aller se refugier dans la salle de contrôle situé en face comme dans l’ancienne base de cheyenne Mountain. Carter Prit place sur un siège et commença à pianoter sur un des nombreux ordinateurs présents dans la salle. Puis elle se retourna vers Weir, Woolsey et les représentants les avaient rejoins dans la salle quelques secondes plus tôt.
-Se sont bien les Oriis qui nous attaquent, la puissance dégagé par le rayon est incroyable, notre bouclier tiendra tend que nous lui fourniront assez d’énergie.
Soudain une étincelle jaillie de la porte des étoiles, mettant tout le monde en alerte dans la salle de contrôle. Carter se retourna alors précipitamment vers l’ordinateur qu’elle avait utilisé précédemment. Soudain les lumières s’éteignirent d’un seul coup, seul celles de secours leur permettait de voir un peu ou ils marchaient. Une voix se fit entendre, c’était Carter.
-Ne vous inquiétez pas c’est moi qui est fait ça. Il se trouve que la puissance du rayon augment de façon presque exponentiel et il faut davantage de puissance pour le bouclier. Donc j’ai détourné toutes les sources d’énergie disponible vers le bouclier, mais croyez se ne sera pas suffisant.
Weir commença à s’inquiéter sérieusement, car elle n’avait jamais vu Carter s’inquiéter comme ça. Certes elle ne la connaissait pas plus que ça, mais sa réputation de la meilleur scientifique connu actuellement dans le monde était très parlant à vrai dire. Par conséquent si elle s’inquiétait se ne devait pas être très bon signe.
-Ne bougez pas je vais devoir aller dans la salle de la porte brancher directement l’Eppz sur le bouclier. Je ne devrais pas en avoir pour longtemps et de cette manière le bouclier devrait pouvoir tenir presque indéfiniment, enfin jusqu'à la prochaine fermeture de la porte.
Les paroles de Carter eues du mal à rassurer tous les occupants de la pièce, mais il n’y connaissait rien en technologie, il ne pouvait qu’attendre et subir les conséquences des actions des scientifiques sans rien dire.
Carter s’était levé si vite de sa chaise que Weir ne senti que le courant d’air qu’elle entraina derrière elle. Elle prit au passage des lunettes de protection qu’un scientifique petit et trapu lui avait apporté. Elle passa la porte et commença à courir en direction de la salle de contrôle. L’accès à cette salle se faisait par le coté, elle du donc emprunter une série de couloir de faible longueur, puis se retrouva devant une grande porte. Malheureusement elle n’avait pas pensé qu’en détournant l’énergie de la base vers le bouclier de la porte elle bloquerait également les portes, c’était une procédure de sécurité. Toutefois la coupure de courant eu lieue pendant que cette dernière se fermait, par conséquent elle ne s’était pas entièrement verrouillé et fermé. Il y avait un faible espace d’où jaillissait la lumière. Carter savait que c’était le seul moyen pour atteindre la salle de la porte en peu de temps c’était de franchir cet entrebâillement. Elle prit une logue respiration puis recracha la totalité de l’air à l’intérieur de ses poumons pour gagner un peu d’espace au niveau du buste. Elle commença à passer, puis rendu à mis chemin elle resta coincé, elle n’arrivait plus à avancer et son souffle était coupé. En effet la pression sur son torse était énorme, et bien qu’elle essayait de repousser le battement de la porte celle-ci ne coulissa même pas d’un centimètre. Elle tâtonna alors l’autre coté de la pièce à l’aide de sa main gauche pour trouver quelque chose à quoi s’accrocher pour se tirer delà.
« J’ai déjà connue pire ! Sam tu vas quand même pas te laisser avoir par une simple porte » se dit-elle.
Puis sa main effleura une série de câble qu’elle saisit aussitôt. Il sembla bien accroché, c’est pour cette raison qu’elle n’hésita pas une seule seconde, elle tira de toutes ses forces. Son corps bougea puis passa enfin, elle reprit alors son souffle et mis les lunettes de protection qu’elle venait tout juste de sortir de sa poche. Elle s’approcha alors de la porte et de l’Eppz qui était comme l’avait remarqué Weir en allant dans la salle du conseil positionné dans une machine. L’Eppz ne brillait il n’était donc pas actuellement en contact direct avec la porte des étoiles. Carter sentant la chaleur traverser le bouclier, la puissance qui le frappait devenait à chaque secondes beaucoup plus puissante. Elle le savait elle devait absolument réussir à brancher correctement l’Eppz. Elle débrancha alors une série de câble entre la machine et la porte, puis pianota sur un ordinateur portable qu’elle venait de prendre sur une table à quelques mètres de la porte.
Pendant ce temps Weir tentait de voir se que faisait Carter au travers de la vitre. Mais la lumière était trop intense, elle n’y voyait absolument rien, pourtant au fond d’elle elle ne doutait pas de Carter elle était persuadé de sa réussite, et qu’elle arriverait donc à temps à brancher l’Eppz sur le bouclier. Cela dit derrière elle, les représentants et Woolsey, ne semblaient pas partager son optimisme. Woolsey s’approcha de Weir par derrière, il posa sa main sur son épaule. Weir tressaillit quelques peu, cela l’avait surprise puis elle dit :
-Mr. Woolsey si vous tenez à garder votre main, je vous conseil vivement de l’ôter immédiatement de mon épaule.
Les paroles de Weir avaient eu à cet instant l’effet d’un marteau. Woolsey retira sa main d’un geste très vif. Il ne la croyait pas capable de lui faire du mal, mais dans l’état actuel des choses il ne fallait pas prendre de risque. Weir se retourna alors vers Woolsey et les représentants.
-Ce n’est pas vraiment le moment de paniquer, si vous voulez être utile à quelque chose faites taire ses bureaucrates, ils commencent à m’exaspérer avec toutes leurs plaintes.
En effet, depuis qu’ils étaient rentrés dans la pièce il n’avait cessé de jurer et de se plaindre. Woolsey ne répondit pas à Weir mais il se tourna vers les représentants.
-Ne vous inquiétez pas nous avons la situation bien en main. Dés que tout sera fini nous pourront reprendre sagement notre réunion.
-Mr. Woolsey vous ne contrôlez absolument rien à la situation, pour le moment se n’est pas vous que nous voyons gérer cette crise, mais le Dr. Weir et le colonel Carter.
Weir bien que personne le vit, souriait à l’intérieur d’elle, Woolsey n’avait aucun pouvoir, ni influence sur le conseil. Elle réalisa que la situation tournait cette fois ci à son avantage. Il fallait désormais qu’elle agisse en conséquence. Emmerson qui était également présent se rapprocha de Weir, de tel sorte qu’il la soutenait aussi bien moralement mais aussi physiquement.
Soudain le bruit qui provenait de la porte des étoiles stoppa, quant à la lumière elle n’avait pas disparut, mais elle était beaucoup moins aveuglante. Carter réapparut quelques minutes plus tard dans la salle de contrôle.
-c’est bon, j’ai réussi à dévier l’énergie de l’Eppz pour qu’il alimente aussi bien la porte que le bouclier.
-Bien joué colonel Carter, en espérant que les Oriis ne maintiennent pas la porte ouverte indéfiniment il nous faudra l’ouvrir vers une autre planète pour plus de sécurité ajouta soudainement Weir.
-Oui c’est une bonne idée je vais programmer la porte pour qu’elle s’ouvre dés qu’elle se fermera ici.
Carter s’empressa alors de pianoter sur le clavier d’un ordinateur. Weir et Emmerson se dirigèrent alors vers les représentants.
-Ne vous inquiétez pas leur dit-elle. La situation est sous notre contrôle, le bouclier est alimenté par une source d’énergie bien supérieur à tous se que vous pouvez imaginez. Nous somme donc en sureté pour le moment.
-Dr. Weir !
Sam s’était retourné pour l’appeler, et vu la tête qu’elle faisait, Weir compris qu’il se passait quelque chose d’anormal. Elle se rapprocha alors de Carter et lui demanda se qu’il n’allait pas.
-Il se trouve que nous ne pouvons pas composer d’adresse. J’ai fait un diagnostique rapide de la porte et rien à faire, le contact entre elles est perturbés
-Et que pouvons nous faire ?
-Je ne sais pas trop, je …
Carter s’arrêta de parler, elle pensait à quelque chose. Elle avait en effet trouvé une autre alternative au problème, mais n’était pas sur qu’il fonctionne.
-Les Oriis ont bloqué si je ne me trompe pas uniquement les liens entre les portes. Donc la porte en elle-même sera capable de fonctionner. Et si je ne m’abuse, les Oriis ne connaissent pas à se jour le réseau de portes de Pégase.
Weir regardait toujours Carter et comprenait à l’instant se qu’elle voulait dire.
-Vous pensez qu’ouvrir la porte ers Atlantis marcherait alors ?
-C’est ça je crois qu’on n’a pas trop le choix. Et puis de toute façon, les Oriis pensent que les portes sont inutilisables, donc ils n’essayeront pas de rouvrir celle-ci aussitôt, en espérant encore une fois qu’elle se ferme.
En attendant Weir emmena les représentants accompagnés de Woolsey et Emmerson dans la salle de réunion placé juste au dessus de la salle de contrôle, Carter quant à elle préféra rester dans la salle de contrôle. La salle était bien mieux que l’autre dans laquelle ils étaient en réunion. Celle-ci avait une grande baie vitré qui donnait sur la salle de la porte des étoiles. La vision n’était pas la même car il se trouvait beaucoup plus en hauteur. Weir songea à quelque chose, depuis plus d’une semaine, elle n’avait pas vu l’ombre d’un militaire, les derniers étaient repartis sur Atlantis. Elle trouvait cela complètement absurde, car dans une situation comme celle-ci, si les Oriis avaient réussis à pénétrer dans la base, personne n’aurait pu les en empêcher, la base était composé que de bureaucrate et de scientifiques. Weir resta plongé dans ses pensées jusqu'à se que la porte des étoiles se referma. Elle se précipita alors rapidement dans la salle de contrôle. Carter s’employait déjà à contourner quelques protocoles de sécurités de la porte. Enfin les chevrons se mirent à s’enclencher, Carter avait réussi, maintenant il fallait espérer que les Oriis n’est pas l’idée de l’ouvrir de nouveau, car il serait bien plus rapide. Puis au bout de quelques secondes la porte s’ouvrit, le vortex se stabilisa. Weir demanda au scientifique le plus proche de la mettre en relation avec Atlantis…

Le haut parleur sur Atlantis fut activé.
-« Teyla vous êtes attendu à la porte des étoiles immédiatement »
Elle avait une nouvelle fois oublié de prendre le kit main libre qui se mettait aux oreilles. Teyla était depuis quelques semaines la personne la plus puissante d’Atlantis. C’est elle qui avait le contrôle de toute la cité. Weir avait confiance en elle, et elle savait que Teyla était capable de gérer une cité entière. Et ce fut le cas, elle avait une autorité naturelle. Le fait qu’elle est l’expérience d’être chef d’un peuple l’avait énormément aidé. Elle était juste, elle ne faisait pas de différence, bien qu’elle s’était rapproché de Zelenka.
Eu moment de l’appelle elle était en train de superviser les recherches de deux scientifiques. Leur travail portait sur la création de nouveaux générateurs bien plus puissants que ceux au naquada. Mais elle aurait été incapable de répéter ne serait ce qu’un quat de se qu’il venait de débiter devait elle. Elle n’était pas familière avec tout le jargon scientifique. L’appelle via le haut parleur l’a surprenait tout le temps, car en temps Normal, c’est le nom du Dr. Weir qu’elle aurait entendu.
Toutefois elle quitta précipitamment la salle en s’excusant auprès des chercheurs, puis se dirigea vers le téléporteur le plus proche. Ainsi il ne lui fallu que trois à quatre minutes pour traverser l’intégralité de la cité et arriver dans la tour centrale. Une fois arrivé, elle monta les escaliers et se dirigea vers la salle de contrôle.
-Que se passe t-il ?
-Nous avons le Dr. Weir qui souhaiterait vous parler.
-Très bien dit Teyla en faisant un signe de tête à l’opérateur.
Il pianota alors sur diverse touche et fit savoir à Teyla qu’elle pouvait y aller.
-Dr. Weir ici Teyla, cela faisait longtemps que l’on n’avait pas eu de vos nouvelles.
-Bonjour Teyla, et je suis désolé je n’est pas pu vous contacter plus tôt. Quoiqu’il en soit nous voulions vous prévenir que nous avions ouvert un vortex vers Atlantis dans un but défensif. Les Oriis ont bloqués toutes les autres portes. Seul celles de Pégase sont accessibles.
-Très bien, je comprends, nous avons une équipe sur le terrain mais je vais envoyer un croiseur les chercher. Sheppard nous en a laissé deux au cas où !
-C’est très préventif de sa part, je suppose qu’ils ont du être content d’apprendre qu’il était temps pour eux de nous rejoindre dans la voie Lactée.
-Ne m’en parler pas, rien n’aurais pu les retenir.

Weir parla avec Teyla pendant environ dix minutes, sur les points les plus importants. C'est-à-dire sur les faits majeurs qui se sont passées sur Atlantis, mais tout était digne de paraître dans la rubrique des chiens écrasés. En d’autre terme s’était le calme plat sur Atlantis depuis son départ. A l’heure qu’il est la station devrait arriver dans quelques heures désormais. Le destin avait désormais un chemin bien tracé, mais la destination elle ne l’était pas encore !
Soudain toute la base se mit à trembler. Weir regarda autour d’elle complètement désemparé. Elle ne savait pas se que c’était, mais d’après elle se devait être une explosion. Puis quelques secondes après, un autre tremblement cette fois ci plus puissant se fit ressentir. Les murs vibraient d’une force incroyable. De la poussière tombait, en fait s’étaient les murs qui commençaient à s’effriter. Weir se retourna vers Carter.
-Qu’est se que c’est bon sens, d’où viennent ces explosions.
Puis un autre tremblement encore plus puissant eu lieu. Les alarmes s’étaient allumées aussitôt. Weir se baissa, la vitre vola en éclat, les morceaux de verre se plantèrent dans les murs, mais un fragment atteignit Carter qui s’était baissé à coté de Weir. Carter hurla de douleur, le morceau de verre avait en parti traversé le bras, du sens gicla alors sur la veste de Weir.
Emmerson entra en trombe dans la salle, et aida Carter à se relever, puis une autre explosion eu lieu, une partie du toit de la salle de la porte des étoiles -s’écroula.-Que se passe t-il ? demanda Weir en regardant Emmerson
-Les Oriis sont en train de nous attaquer, il ne faut pas rester là, et les accès à la surface sont complètement bloqués.
Weir se dirigea vers le micro le plus proche, en espérant que le contact avec Atlantis n’était pas perdu.
-Teyla ici, Weir, désactivé immédiatement le bouclier et faites venir des médecins, nous sommes attaquée par les Oriis.
Carter et Emmerson se trouvaient stupide de ne pas avoir pensés à ça tout de suite. Toute la salle de contrôle se vida, Emmerson avait entamé la marche vers la porte des étoiles en soutenant Carter qui perdait tout son sang. Weir était assez loin derrière, car dès qu’elle voyait quelqu’un elle faisait en sorte qui la suive. Les couloirs étaient très difficilement praticables, parfois des parties de mur entier étaient tombées. Emmerson du aider Carter à enjamber à plusieurs reprises de gros débit. Puis elle perdit conscience, Emmerson la mit sur ses épaules et continua à avancer jusqu’a la porte du hangar principale. Alors que Carter eu du mal à passer tout à l’heure, elle était désormais grande ouverte, surement du aux nombreuses explosions. Emmerson se précipita alors en direction de la porte des étoiles, tout en évitant les nombreux débris qui tombaient encore de la partie supérieure de la salle. Enfin il traversa la porte, quant à Weir elle venait tout juste de rentrer dans le hangar en compagnie de scientifiques. Alors qu’ils se dirigèrent vers la porte deux nouvelles explosions firent voler en éclat la totalité du toit. Weir leva les yeux et vis les bloques de pierres immense tomber tout droit sur elle. La scène se déroula au ralentit pour elle, tout objet, tout être vivant étaient différent sa perception changea subitement, elle leva de nouveau les yeux, les bloques se précipitaient vers elle. Elle ferma alors les yeux sentant la mort inéluctable.

[Mik]

Je ne sais pas si vous le verrez, mais j'ai un peu changé le style de rédaction, cela vous plait il ?

[BOOBY]

C'est toujours aussi bon peut etre meme meilleur je te donnerai mon avis definitif demain matin la je vais au dodo...
Felicitations, j'adore ta fic tout est parfait je bois du petit lait en la lisant...
Bonne nuit

[Colonel Mordekaye]

Je viens de terminer ces deux immenses chapitres, et je tiens à te féliciter pour ton travail! On voit bien l'évolution dans ta technique d'écriture, et malgré qu'il y a quand même d'innombrables fautes, je suis sujugué par cette histoire ^^ J'attends la suite avec impatience

[ciccio51]

ouf le suspens!!!
pas mal du tout je m'y voyait c'est genial

[Eddy]

J eme répète à chaque chapitre cette fic est superbe !!
La fin est horrible commment peus-tu nous laisser sur un tel supens !
Le plus dur sera d'attendre .

[Mac kay4]

la suite est magnifique c'etait genail avec le suspense j'usqua la fin .et surtout ne t'arrete pas .

[babouche382]

aaaaahhhh!!!! tu peux pas nous faire ca !!!!! la suite !!!

[ELIATOR]

pitier la suite je ne sais si on pourra attendre, plus longtemps sinon, trés bon changement de style, mais serieusement donne nous une suite stp.

[SG_Fan676]

Je suis toujours étonné de voir comment tu fais rebondir la situation d'un sens où de l'autre. De plus, je trouve ton nouveau style de rédaction meilleur que le premier.