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Que le staff de SGA subisse tant de contraintes jusqu'à arriver au point qu'on connaît, moi, je veux bien, mais il n'a vraiment pas de bol s'il est tombé sur une production aussi sévère (et aussi bête et injuste) . Pauvre SGA, victime entre toutes... car ce ne fut manifestement pas le cas pour Doctor Who, BSG, Farscape, Babylon 5... et même SG-1! Pourtant, dans le cas des trois premières, côté "non familial" comme disait le monsieur qui estime que je n'ai rien à dire, on est assez loin de SGA qui fait du politiquement incorrect en révélant 2 semaines après la diffusion qu'on découvrait l'homosexualité d'Alicia Vega (personnage secondaire) dans une scène qui a été coupée... je ne parle même pas de Firefly qui elle pour le coup, a payé son ton particulier et irrévérencieux d'une annulation rapide, ainsi que de Virtuality qui pourrait ne jamais voir le jour pour les mêmes raisons. Alors, contraintes de la production, moi je veux bien, mais il faudrait déjà que SGA montre quelque chose susceptible de passer dans le collimateur. Je ne vois pas ce que les distributeurs pourraient bien en avoir à foutre d'imposer des incohérences type non-drônes Asuran soit-disant contre l'avis des scénaristes.CITATION C'est bien là le probléme, les scénaristes ont un salaire, et son payer pour accomplir le travail que leur oppose leurs superieurs => le réalisateurs, qui lui même doit se plier aux exigeances du distributeur etc...
Les scénaristes ont beaucoup d'experiences, et les incohérences qu'il existes dans la serie (et il y en a beaucoup!) ne sont pas obligatoirement de leur faute.
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Sans oublier, cité ci dessus, les exigeances des superieurs qui changent souvent d'avis, selon la mode, l'économie, les circonstances.
Et puisque le staff ne s'est, à ma connaissance, jamais plaint de pressions, a même toujours manifesté un certain contentement face à son oeuvre, (je parle du blog de Malozzi par exemple) là où on a très bien entendu gueuler JMS et Whedon lorsqu'on a voulu tripatouiller leurs univers... franchement, je suis dubitatif.
Cela, certainement. Mais ce serait très anecdotique si la série était construite de manière viable.CITATION Ça je suis d'accord, c'est sûr que les scénaristes doivent se plier à certaines exigences du genre "voici une belle fille qu'on veut mettre à l'écran, écrit lui un rôle". Mais ça n'explique pas tout.
Je doute que l'argument du "plein de saisons" signifie grand chose, puisque les incohérences destructrices sont arrivées bien plus tardivement. Je dirais mi-saison 3 pour SGA, le final pour SG-1. (plus tôt si on s'attache aux vaisseaux qui changent de taille tout le temps et autres détails du même type dans l'arc Ori, mais il y avait d'autres qualités, y compris scénaristiques) Tout ceci n'est pas progressif, on a l'impression d'un brusque changement de staff alors que tout est pareil.