Un manque d'amour ? Non je ne pense pas sinon si tel avait été le cas la franchise n'aurait touché personne et pas durée prés de 17 ans.
Je dirais plutôt un manque de passion, de folie comme si la à trop vouloir murir elle en avait tout simplement perdu son âme.
Je me suis refait l'intégrale de la Franchise récemment et oui même SgU...
J'ai revue SgU dans un contexte complètement différent , et totalement indépendamment de la franchise. ( Tout comme Enterprise en fait
).
Et Universe se retrouve être une série enfermant mon appréciation dans un énorme paradoxe.
Si la Franchise n'avait pas exister mais SgU oui, je ne l'aurait de toute façon pas apprécier de part son style narratif que rejette déjà de toute manière dans n'importe qu'elle genre de série, science fiction ou non. Et je ne peux toujours pas la voir comme faisant partie de la Franchise. Pour ceux qui connaissent le terme, elle restera de toute manière "Non Canon" en ce qui me concerne.
Maintenant quand sa qualité graphique, je me surprend à regretter son manque d'audace scénaristique, des allées et retour constant ( ex deus machina ), des non dits en pagaille, des intrigues ne jouant que sur la surface et le visuelle de son histoire. Poussant à l'extrême l'émotion pour palier à la consistance scénaristique linéaire voulant démonter une chose qui à défaut de véritablement éclore, végète trop longtemps à l'état de bourgeon.
Sgu a été un série monté sur pilotis, et même si elle peux s'avéré potentiellement prometteuse sa naration se démarquant de sa franchise pour ressembler aux standards actuels à causé sa perte. A trop vouloir en faire on fini par se perdre.
C'est une bonne chose que SgU ce termine sur une fin ouverte, elle laisse place à l'imagination et surtout ne ferme pas la porte ( si j'ose dire ^^ ) aux possibilités qui sont bien plus explicites et infinie en rapport de SgA.
En ce qui concerne la Franchise, je terminerai par cette citation:
- Si tu veux une fin heureuse, cela dépend de l'endroit ou tu arrêtes ton histoire ( Orson Welles)
L'ironie de cette phrase c'est que c'est l'acteur Willie Garson qui la prononce dans la série White Collar.