Stargate Community : la grande destinée

[Spyce]

Bonjour à tous. Stargate est une grande aventure, une épopée contemporaine où le génie humain repousse sans cesse les frontières du possible. SG1 a fait grandir un véritable univers, le résultat est tel que parfois je me surprends à considérer Stargate comme une œuvre adaptée de la réalité (la vérité est ailleurs). Je propose un énième spin-off, rien que ça. Ou plus précisément, une nouvelle aventure avec une nouvelle équipe. Après SG1 et la naissance d'une Terre devenue puissance galactique, après SGA et la mythique cité des Anciens, après SGU et l'origine de l'univers.... Je propose Stargate Community.

Stargate Community : La grande destinée racontera l'histoire d'un groupe humain civil et militaire capturé sur Terre afin de servir les plans d'une civilisation inconnue. Après leur évasion et malgré eux, ils seront entraînés dans une épopée initiatique où ils tiendront entre leurs mains la destinée, passée et future, de l'humanité.

Objectif : Je souhaite avant tout me perfectionner, développer un style d'écriture où je me sens à l'aise, où je me reconnais, donc toutes critiques dans le but de m'améliorer sont les bienvenues. Soyez correcte mais aussi faites preuve de tact, je suis sensible. Le tout sera écrit comme un roman, mais je n'exclus pas d'utiliser certains chapitres pour innover, proposant d'autres styles peut être pas le mode script ni le thème poétique, mais la littérature en propose tellement. Le trame de l'histoire est faite jusqu'au final. Il y aura un prologue, 25 chapitres et un épilogue.

Avancée : La fan fiction est entièrement écrite. Thegatergod a procédé à la correction de la présentation,du prologue et du premier chapitre. il s'est proposé de corriger l'intégralité de la fic ce qui est autant une surprise, qu'un plaisir et je l'en remercie d'avance pour moi mais aussi pour vous car grâce à lui, c'est encore un peu plus de qualité qui s'offre à vous.

Ambition de la fiction : Le but étant de créer un spin-off avec sa propre identité avec une construction progressive et continue. J'ai rajouté des passages de Stargate SG1 : 10x20 - Destinée et de Stargate Atlantis : 5x20 - Ennemi à la porte. Je me ferais aussi plaisir en développant un chapitre plutôt humoristique. J'espère monter en puissance, chapitre après chapitre jusqu'à atteindre un point culminant sur le dernier chapitre.

Objectif plus lointain :

Ce qui devait être une fan fiction a vite tourné à la création d'un univers qui lui est propre avec de nouvelles races, de nouvelles technologies et surtout un objectif obscur. Si ça avait été possible, j'aurais écrit une saison 11 et 12 à SG1, une saison 6 et 7 à SGA et une saison 3, 4 et 5 à SGU, en plus d'un tome II et III à SG-Com. Mais il faut l'avouer, ça serait un boulot monstre et finalement juste pour me faire plaisir moi et pas sûr qu'à terme tout le monde accroche. Finalement, j'ai décidé, sous l'impulsion et le retour de beaucoup d'entre vous, de me fixer cet objectif que je vous présente maintenant.

- Prochainement sera ouvert un topic pour une saison 3 de SGU, dont le titre principal sera la galaxie de tous les dangers. On y retrouvera tout l'équipage plongé en stase. Pour des raisons évidentes, je ne révélerais que très peu d'informations mais l'équipage pourra enfin compter sur des alliés, les menaces seront toujours bien présentes et la mission du Destinée commencera doucement à se dessiner. Je créerais ensuite un topic pour une saison 4, on y rencontrera directement des intrigues révélées avec SG-Com notamment un lien direct avec le chapitre 22 en fin de saison. Et enfin, j'ouvrirais un topic pour la saison 5 qui donnera le final de cette série qui mérite belle et bien une fin. SGU prendra en compte les corrections des finals de SG1 et SGA que j'avais écrit et bien évidemment de SG-Com, le but étant d'approfondir l'univers Stargate.

- Chose qui n'était pas prévue mais qui s'avère essentielle maintenant, c'est de développer quelques épisodes de SGA, ou de téléfilm version fan fiction. On aurait donc de gros chapitre en perspective. Pour le moment, j'ai prévu de reprendre le téléfilm Extinction ainsi que deux autres épisodes clôturant l'arc scénaristique des Wraiths et développant un nouvel arc. Par la suite, j'envisage d'écrire trois autres épisodes publiés en parallèle du tome II de Sg-com, correspondant à des chapitres complémentaires niveau intrigues. A terme, c'est six épisodes qui seront écrit, ce qui ne représente pas un gros travail.

- Le tome II de Sg-COM se déroulera près de trente ans après le tome I, nos héros ont bien changé et la menace est plus grande que jamais. On en arrivera à un moment clé de l'histoire de l'être humain. On y retrouvera d'ailleurs, dans les derniers chapitres, une scène déjà dévoilée dans le chapitre 13, la retransmission télévisée. Ce tome clôturera l'intrigue déjà apportée sur le tome I, mais il en révélera une autre qui composera donc l'intrigue du tome III. Tout sera révélé concernant l'alliance des sept piliers, on en apprendra plus sur les quatre races et bien évidemment de nouvelles intrigues apparaîtront.

- Le tome III n'est pas encore d'actualité mais si l'ambition est toujours là, il pourrait suivre avec le tome II et la publication de SGU saison 5. Cette fois-ci, c'est l'univers Cosmonien qui sera dévoilé et cette fois-ci, c'est un nouvel ennemi qui fera son apparition : les Universatis... On découvrira que l'univers est bien plus vaste que l'on imaginait, et surtout que tout ce que l'on connaît de Stargate avec son univers étendu est directement lié à des événements qui remontent à la nuit des temps.

C'est certes trop pour s'emporter et parler d'autant de projet à la fois. Mais Sg-COM tome I est quasiment terminé me concernant. J'espère que les modifications que j'y apporterais avec l'aide que l'on va m'apporter, rendra mon œuvre complète et plaisante. J'ai déjà établi le scénario de SGU dans sa totalité où j'ai déjà commencé deux pages. Ce jour là, je n'avais pas ma clé USB, j'ai donc commencé cette seconde œuvre. J'espère d'ailleurs arriver à une première publication durant les vacances d'été et le scénario de SGA est déjà fixé. A terme, je m'accorde encore deux ans de travail pour clôturer SGU, Sg-Com tome II (dont la trame est entièrement construite) et SGA. Le tome III sera sûrement à ce moment en pleine actualité et en cours de publication.

En tout cas, je cherche vraiment à me faire plaisir et à le partager avec vous afin qui sait de vous faire rêver encore un peu. L'écriture devient une véritable passion et je n'ai plus peur de partager. Ces publications sont une manière pour moi de m'entraîner pour un projet plus sérieux encore qui sera à terme, l'écriture d'un véritable roman complètement différent du cadre Stargate.

A l'occasion, venez sur mon blog destiné uniquement à mes fans fictions Stargate appelé Sg-Fic

Voici le détail des chapitres de SG-Com

Prologue - Complet

Une race extraterrestre très évoluée appelée les Hostiliens se sentent menacée par une prophétie qui leur prédit la remise en cause de leur position.


Chapitre 1 : La fuite - 1ère partie - 2ème partie

Deux militaires du programme porte des étoiles tentent par tous les moyens de libérer un groupe d'humain capturé sur la Terre. Parmi les captifs, certains vont se montrer d'un grand secours.


Chapitre 2 : Exploration - 1ère partie - 2ème partie

Le retour sur Terre s'avérant plus long que prévu, l'équipage va se familiariser avec le vaisseau.


Chapitre 3 : Les vivres - 1ère partie - 2ème partie

Sur une planète habitable, l'équipage collecte des vivres mais les animaux locaux vont se montrer particulièrement agressifs.


Chapitre 4 : Révolution - 1ère partie - 2ème partie

L'équipage découvre dans les archives du vaisseau, le déroulement de leur capture survenue un an plus tôt. Ils découvrent notamment qu'une grande bataille a eut lieu et que les militaires n'ont pas pu le cacher au reste de la population terrienne.


Chapitre 5 : La station - 1ère partie - 2ème partie

L'équipage découvre une station spatiale Ancienne dans un système solaire en formation. L'environnement local menace de détruire le vaisseau et la station.


Chapitre 6 : Disparition inexpliquée - 1ère partie - 2ème partie

Après le sauvetage de la station, Christophe disparaît, l'équipage est livré à lui-même sans être capable de faire fonctionner l'Atlas. Pears se remémore la bataille d'Orilla.


Chapitre 7 : Thérapie génique - 1ère partie - 2ème partie

Craignant une épidémie, l'équipage découvre que le peuple alien qui les a capturé à procéder à de nombreuses expériences génétiques sur eux. Pears, aidé par des volontaires, part sur une autre planète collecter des vivres avec un vaisseau de classe Aurore.


Chapitre 8 : Le plan - 1ère partie - 2ème partie

Depuis son retour, l'équipage s'alarme de l'attitude de Christophe qui s'est mis en tête d'entreprendre un plan de sauvetage afin de libérer les otages toujours aux mains de l'ennemi.


Chapitre 9 : Libération - 1ère partie - 2ème partie

L'équipage aidé par la flotte Ancienne tente de libérer les terriens captifs.


Chapitre 10 : Perdu - Complet

L'équipage est perdu dans le vide galactique, l'autorité militaire pose des problèmes.


Chapitre 11 : Ennemi à la porte - 1ère partie - 2ème partie

Alors qu'ils sont à proximité d'une planète pour faire le plein de vivre, Pears et Jeanet se remémorent avec leur ancien coéquipier la bataille avec les Wraiths lorsque ces derniers sont arrivés sur Terre. Pendant ce temps, les militaires collectent des informations sur le vaisseau, la station et Christophe.


Chapitre 12 : Mutinerie - Complet

Suite à la découverte de la porte des étoiles, les militaires aidés par l'équipage entreprennent une mutinerie afin de renverser le commandant Christophe.


Chapitre 13 : Révélation - 1ère partie - 2ème partie

Christophe révèle ce qui s'est passé durant sa disparition.


Chapitre 14 : D'un monde à l'autre - 1ère partie - 2ème partie

Une équipe d'exploration tente de rallier la galaxie Origine grâce au réseau de porte des étoiles.


Chapitre 15 : Réplication - 1ère partie - 2ème partie

A la surprise générale, deux êtres ascensionnés viennent prévenir l'équipage du Atlas, qu'une menace plane sur eux. L'identité de ces deux êtres est une grande surprise car connue par l'autorité militaire.


Chapitre 16 : Le berceau - 1ère partie - 2ème partie

L'équipe d'exploration découvre le monde d'origine des Altérans et des Oris et font la rencontre d'un ennemi surpuissant.


Chapitre 17 : Course poursuite - 1ère partie - 2ème partie

Alors que l'équipe d'exploration tente de rejoindre le vaisseau Atlas à l'aide du vaisseau Ori, l'équipage fuit un ennemi redoutable sans pouvoir le semer.


Chapitre 18 : Les Euros - 1ère partie - 2ème partie

L'équipage est à la merci des Hostiliens. Un allié de poids vient les secourir.


Chapitre 19 : Temps 0 - 1ère partie - 2ème partie

Plusieurs membres d'équipages souffrent de déséquilibre génétique menaçant directement leur vie.


Chapitre 20 : La Cinquième race - 1ère partie - 2ème partie

L'équipage prend contact avec la Terre grâce aux pierres de communication. Pendant ce temps, alors que SG1 négocie avec les représentants de l'Alliance Lucienne, ils sont contactés par une délégation Nox.


Chapitre 21 : La porte spatiale géante 2.0 - 1ère partie - 2ème partie

Les Euros et les membres de l'expédition d'Atlantis tentent de créer un passage reliant leur deux galaxies respectives malgré les menaces dans Pégase. La conception de la flotte prend forme.

Chapitre 22 : Message dans une bouteille - 1ère partie - 2ème partie

L'équipage du Destinée découvre une structure extraterrestre comportant des symboles similaires à la langue cosmonienne. Christophe s'intéresse fortement à cette découverte délaissant la conception de la nouvelle flotte.


Chapitre 23 : Very bad surprise - 1ère partie - 2ème partie

Alors que Christophe encadre la construction du premier vaisseau de la flotte des Races-unies, Pears, Zelko, Frédéric et John sont à la recherche de leur(s) moitié(s) disparue(s) dans l'immensité de la galaxie Euros.


Chapitre 24 : Retour sur Terre - 1ère partie - 2ème partie

Le retour sur Terre est devenu maintenant possible. Mais une menace pèse sur la planète bleue avec l'arrivée imminente d'une flotte ennemie. La Terre mobilise ses ressources, sa population et ses alliés.


Chapitre 25 : Crossroads - 1ère partie - 2ème partie - 3ème partie - 4ème partie - 5ème partie - 6ème partie - 7ème partie

Christophe et ses amis retournent sur Terre afin de livrer un terrible combat.


Epilogue - Complet

Suites aux derniers événements, tous vont devoir prendre des décisions impliquant leurs avenirs respectifs.

[Spyce]

\Stargate Community : la grande destinée

Prologue :[/font]

Parfois, une civilisation dite pacifique respecte un non interventionnisme dicté par un code moral parfaitement honorable. Et parfois, d'autres optent pour l'élimination d'une menace. Comment être certain qu'une espèce qui se fait la guerre depuis des millénaires ne décident pas une fois qu'elle aura atteint les étoiles, de faire la guerre à d'autres mondes. C'est une question épineuse, faut-il laisser une civilisation se développer et être potentiellement une menace ou attendre qu'elle soit une menace et se défendre quand elle attaquera.


C'est ainsi qu'ils l'ont décidés. Les Hostiliens, une espèce forte et grandiose peuplant d’innombrables mondes. Prospérant sur des planètes, des lunes, des astéroïdes et des stations spatiales, respectant leurs équilibres écologiques, affranchis de tout idéal politique, économique, social. Une société où règne l'ordre, le respect, l'égalité et la solidarité. Une véritable utopie pour une vision humaine primaire mais parfaitement réelle pour cette espèce. Une espèce humanoïde de toute beauté, un croisé entre les mammifères et les reptiles, une peau écailleuse, souple et colorée, des yeux immenses et transperçant capables de voir les moindres détails de la nature, un crâne disproportionné par rapport à leur corps capables de contenir leur cerveau si développé, dépourvu d'oreille et ne laissant apparaitre que des nasaux à la place de leur nez, une ossature et une musculature rendant cette créature aussi souple que puissante. Leur diversité à travers leurs nombreuses colonies laisse apparaitre une diversité impressionnante de couleur autant au niveau de la peau que de la couleur des cheveux. Leur science leur permettant de se vêtir de façon légère tout en ne subissant pas les intempéries du temps ou l'hostilité de la nature.

Cette espèce très ancienne a su repousser les limites de la mort à des centaines de milliers d'années, ne souffrant d'aucune maladie, d'aucun handicap, d'aucune dégénérescence. Leur salut, ils le doivent à une force. Une armée privée partant en campagne par delà les galaxies pacifiant les mondes par des accords ou par des guerres efficaces. Mais dernièrement, le corps armé va en dérive et considère tout peuple comme potentiellement une menace qu'il faut contrôler ou éliminer. C'est ainsi que des espèces entières ont disparu et d'autres réduites à quelques centaines milliers d'individus. Ces actes, que beaucoup considéreraient comme inhumains, sont justifiés par un profond désir de garantir la paix et l'intégrité de milliards d'Hostiliens et de centaines d'espèces qui ont décidé de vivre dans la plus grande des paix. La charte militaire n'avait qu'un but, protéger l'empire Hostilien.


D'ailleurs ce genre d'action fut condamnée par de nombreux peuples et déclenchèrent de multiples guerres. Beaucoup d'alliances se sont forgées, beaucoup sont tombées. Une seule continue la lutte se faisant appeler les cinq piliers. Ils sont tous unis contre un ennemi qui refuse d'entendre raison.


Pour atteindre la paix, ils ont fait le choix de la guerre. De nombreuses batailles se déroulent dans le cosmos, beaucoup de systèmes connaissent l’horreur de la guerre, des mondes ont été soumis et d’autres exterminés. Parfois, une étoile se meurt, et parfois un monde s'éteint de sa vie, les explosions multiples s'ajoutent aux cris et à la désolation, le sang est versé au nom d'une guerre sans gloire, sans leader, sans soif de pouvoir, d'une destinée sans morale, d'un accomplissement dont les effets ne garantissent en rien le résultat. C'est soit détruire, soit être détruit. En somme, la fin justifie les moyens. Si la destruction d'une étoile permet la survie de milliards d'êtres, ce n'est pas un choix, mais une décision logique. L'Univers est devenu une lutte de contrôle de l'espace où le plus déterminé sera le dernier survivant. Des vaisseaux, des flottes, des soldats se livrent des batailles des plus impitoyables. Le but n'est pas la souffrance ou le chaos mais l'extermination. Il faut frapper un grand coup, avec une force telle que l'autre ne puisse se relever. Dans l'embrasement des flammes, des hautes densités énergétiques et de tous les déchaînements de la physique abordables par la technologie, le combat semble la seule issue possible.


Dans une galaxie fort lointaine, dans un système quelconque, le spectacle est saisissant, l'espace sombre est dominé par un épais brouillard, un pilier de la création aux couleurs multiples, les teintes rougeâtres et verdâtres de la nébuleuse nous rappellent à quel point nous ne sommes rien face à de telles merveilles, on peut y apercevoir des bulles de vides, parmi les mélanges de poussières, de gaz et de glaces amassant les milliards de tonnes d'acides aminés, constituant de tout ce qui est vivant. Face à la beauté, c'est la guerre. Deux forces ont décidé d'ignorer le jeu des couleurs offert par la nature préférant profiter d'un autre art, celui de la destruction. En orbite autour d'une planète noire recouverte par des cratères de feu visibles depuis l'orbite, trois vaisseaux mesurant vingt kilomètres de long, à la cuirasse épaisse, métallique et bien sombre, à l’allure irrégulière, allonger et harmonieuse sont positionnés en triangle dans cet espace tridimensionnel. Leurs canons latéraux, de gigantesque machine à détruire, propulsant d'intenses boules de plasma vert, visent une zone confinée par cette formation en triangle. En réalité, ils détruisent un vaisseau devenu, depuis quelques minutes, un amas de débris. On ne peut y voir que l'embrasement des flammes signe qu'il reste encore de l'oxygène à brûler, et des milliers de débris de métaux connus et inconnus. Ce système est inhabitable, ou du moins, ne l'est plus, encore une victime de la guerre céleste.

Un quatrième vaisseau identique aux trois autres domine la scène profitant de ce spectacle macabre mais tout autant magnifique de par ces tonalités de lumière. Dans une grande salle bien sombre, vide laissant place à une longue passerelle, un être gigantesque apprécie la vue à travers son imposant hublot. C'est un Hostilien. La créature à la forme humanoïde faisait au moins 2m50 de haut, sa combinaison vraisemblablement un uniforme militaire noir, laissait apparaître ses muscles au niveau des bras, des jambes et du torse, le tout dans une imposante corpulence. La combinaison noire ressemblait à du métal, elle semblait au toucher, très fine, très résistante et très souple à la fois. On pouvait voir sur les épaules un logo schématisant la structure des superamas galactiques. Alors que l'être de l'espace, à la peau verdâtre parsemée d'écaille, regarde l'espace de son œil noir, une seconde créature moins imposante mais de la même espèce et à la couleur rouge arrive derrière lui. Il parcourt la longue passerelle d'un pas sûr, déterminé et très fluide. L'arrivant pose la main sur son torse, baisse la tête et la relève puis explique dans une langue incompréhensible pour le genre humain et probablement imprononçable de par les tonalités, la situation. Se désignant comme le colonel Fragnar, il informe, ce qui semble être son supérieur, que la bataille est terminée et que la menace est une nouvelle fois écartée. Il ajoute que malgré la résistance et la détermination de l'ennemi, ces derniers n'arriveront pas à inverser la tendance. C'est alors que cette extraterrestre resté jusque-là silencieux se retourne rapidement et avance d'un pas lent mais tout autant assuré. Après s'être arrêté, il dit d'une voix calme, grave et soutenu, ces mots là :

- Il y a toujours une menace, l'univers est vaste et nous n'en connaissons qu'un fragment.

- Commandeur suprême, dit humblement le colonel Fragnar. Aucune puissance n'a pu nous surpasser et nos forces se renforcent avec les campagnes militaires.

- Et pourtant, le commandant, de ce vaisseau perdu dans la nuit, a énoncé une prophétie annonçant le contraire, rétorque le commandeur. Ils viendront d'un monde humain, ils seront capables de rivaliser contre bien des menaces autant par leur force que par leurs connaissances. Leurs déterminations auront raison de notre supériorité, cite l'alien puis reprenant son souffle. L'histoire nous a enseignée que tout ne peut être éternel.

- Une prophétie ? Une fable contée par des créatures faibles voulant nous moraliser. Est-ce seulement possible ? Questionne Fragnar d'une voix dénigrante. Dans quelles mesures ces connaissances nous surpasseraient. Notre puissance est totale.

- Des humains façonnés par la science, des connaissances provenant d'un autre univers.

- Est-ce que le combat est justifié si on en connaît le dénouement ? Demande Fragnar, puis sortant d'un long silence, il ajoute. Autant refuser l'affrontement.

- Refuser l'affrontement, c'est refuser d'exister, c'est refuser ce que nous sommes.

- Les mondes humains sont nombreux, certains évolués et d'autres beaucoup moins. Leurs mondes s'étendent dans de nombreuses galaxies bien au-delà des mondes contrôlables ou abordables par notre empire ou nos armées.

- Ils viendront d'un monde primaire et non unifié, orbitant autour d'une petite étoile, sur une planète très riche de vie, dit le commandeur énonçant, en réalité, les paroles de la prophétie. Que des espèces alliées recherchent les acteurs de cette prophétie et comprennent la véracité du dénouement de cette dernière.

- Et où se trouve l'étoile de ce monde humain, demande le militaire. Comment allons-nous les retrouver ?

- Les retrouver ! Pour toutes prophéties, il y a un auteur et ce dernier nous a donné la clé pour les retrouver, dit-il puis reprenant son souffle, il ajoute. Un monde au centre d'une sphère où le temps s'est écoulé différemment.

- De quel monde s'agit-il ?

- Les peuples non unifiés de ce monde, la nomme Terre !


Le silence revient. Le colonel remit la main sur son torse, penche sa tête et la relève afin de garantir sa soumission et de reconnaître l'autorité du commandeur. Puis il fait demi-tour et quitte la salle. Le commandeur se retourne à son tour et regarde la flotte terminer son œuvre de mort. L'histoire est en marche.


******************************************************************


J'avais proposé un nouveau prologue suite à la critique de certains d'entre vous notamment sur mon amorce un peu philosophique qui paraissait être de trop. Maintenant, je vous propose un prologue corrigé par thegatergod qui me comble de joie avec ce travail d'initiative personnel et ce que je considère comme un réel plaisir.[/font]

Spoiler

Chapitre 1 : La fuite : Deux militaires du programme porte des étoiles tentent par tout les moyens de libérer un groupe d'humain capturé sur la Terre. Parmi les captifs, certains vont se montrer d'un grand secours

[leflicdecbs]

Je ne vais pas te mentir : Je n'ai jamais rien lu d'aussi beau ! Que ce soit Zola, Asimov ou même Robert C Cooper, je n'ai jamais rien lu d'aussi....bien écrit. Je ne trouve pas les mots pour décrire ton prologue.
Bravo

Tout ce que je peux te demander c'est d'écrire encore et toujours, un beau jour tu seras publié et tu toucheras beaucoup d’esprits !

[Blackeagle]

Y'a des fautes. Par rapport à l'histoire, j'ai pas encore fini de lire.

"- Les retrouver ! Pour toutes prophéties, il y a un auteur et ce dernier nous a donné la clé pour les retrouver, dit-il puis reprenant son souffle, il ajoute. Un monde au centre d'une sphère où le temps s'est écoulé différemment."
Le point casse la progression du lecteur.

Il faut te relire en faisant plus attention à la structure des phrases. J'en ai repéré quelques uns dans le texte.

[Rufus Shinra]

*voit le commentaire de leflicdecbs* Bon, je sens comme une certaine pointe de sarcasme ici. Ce qui me convainc de lire ce début de fic en espérant que ça ne finira pas en poney.

Tahar Ben Jelloun a dis un jour : "Le destin est ce qui nous arrive au moment où on ne s'y attend pas". La société de nos jours est pollué par les messages rocambolesque du cinéma adaptant des idéologies pro-religieuses et moralistes du bien contre le mal. La réalité des choses est beaucoup moins humaines et surtout beaucoup plus dramatique, la destinée n'est pas simplement une notion subjective, elle est surtout une fatalité.

Heu, c'est une fic ou un texte de philo ? Parce que là, désolé de le dire, mais j'ai l'impression de lire le début d'un essai de BHL (indice : ce n'est pas un bon auteur).

Oki, j'espère ne pas tourner "Filles d'Ananké" pour ce commentaire, mais je vais essayer de faire plus ou moins rapidement, puisque je n'ai eu que 4 heures de sommeil cette nuit et que je vais apparemment m'en reprendre autant là si je m'attarde trop. Bref, la suite...

Nous pouvons philosopher, prier, espérer, refuser, croire que tout est possible mais cela reste de l'illusion psychologique. C'est ainsi le cas pour notre espèce, mais c'est surement le cas de bien d'autres à travers l'espace. Une civilisation grandit en fonction de ses idéologies sans cesse décrier, sans cesse renouveler afin de devenir aussi complexe que la société qui les porte. Il est étonnant d'imaginer qu'une espèce évolué puisse être mauvaise par de simples sentiments comme l'arogance, l'élitisme et la tromperie. Mais l'être humain est-il si différent ? Quels est son rapports avec le monde animal, un monde dans lequel il est née ?

Euh, oui, là c'est vraiment un texte de philo très scolaire. Bonne syntaxe et orthographe, certes, mais avec des thèmes qui, plutôt que d'être profonds, sonnent creux et faux sous la lime.

Cela signifierait-il qu'il soit normal qu'une civilisation avancée se considère comme prioritaire et surtout dominante par rapport à une autre moins avancés. C'est dans ce contexte, que des guerres de monde ont lieu dans tout l'univers pour répondre à cette question. Parfois, une civilisation dites pacifique respecte un non interventionnisme, diter par un code moral parfaitement honorable. Et parfois, d'autres optes pour l'élimination d'une menace. Comment être certain qu'une espèce qui se fait la guerre depuis des millénaires ne décident pas une fois qu'elle aura atteind les étoiles, de faire la guerre à d'autres mondes. C'est une question épineuse, faut-il laisser une civilisation se développer et être potentiellement une menace ou attendre qu'elle soit une menace et se défendre quand elle attaquera.

Mais... mais on ne demande pas l'établissement d'une problématique ou d'une ouverture-type dans un récit de type romanesque !

C'est ainsi qu'ils l'ont décidé. Les Hostiliens, une espèce forte et grandiose peuplant des millions de mondes à travers les étoiles et les galaxies. Prospérant sur des planètes, des lunes, des astéroïdes et des stations spatiales, respectant leurs équilibres écologiques, affranchit de tout idéal politique, économie, social, une société où règne l'ordre, le respect, l'égalité et la solidarité.

Hostiliens ? M'est avis qu'ils vont être hostiles...


Stop Rufus ! Vilain Rufus, tu es en train de tourner "Filles d'Ananké", et c'est mal.

OK, reprenons, et soyons constructifs.

*avance dans sa lecture*

La suite de ton texte est meilleure (parce que, franchement, le début, c'est une intro de philo très clichée qui fait assez prétentieux dès lors qu'on a passé le niveau Bac/Licence), mais tu souffres d'un problème assez important quant à la lisibilité de ton histoire : tu ne fais que dire plutôt que de montrer. Le narrateur est un outil à utiliser avec modération car il définit des absolus, des piliers fondamentaux de vérité autour desquels vont s'articuler les impressions et les émotions des personnages, les aprioris du lecteur, etc.

Tu as construit un gros background pour ton univers, et c'est une bonne chose. Cependant, ce background doit être distillé et pas déversé brutalement, sans quoi ton lecteur ne pourra pas s'approprier chaque élément aussi bien que tu le désirerais. Il faut au contraire présenter chaque chose dans son contexte, mettre en scène les faits dans leur contexte. Là, on se prend tout dans la face comme une liste à la Prévert. Le résultat est que l'on n'a aucune idée de quoi il s'agit, qu'on ne sait pas quand l'histoire commence et que l'on aura oublié la moitié avant d'avoir fini le bloc de texte.



Bref, tu as les éléments requis pour faire du largement au-dessus de la moyenne en termes de matériaux de construction (background et bonne maitrise de la langue), mais ton point faible est celui de l'art narratif lui-même, je dirais. La règle principale à appliquer avant toute chose est le "show, don't tell", centrale à toute histoire réussie. Ensuite, éviter les propos ronflants sur les grandes réponses de la vie, l'univers et tout le reste. Un, parce que c'est ronflant. Deux, parce que le créneau des auteurs prétentieux et médiocres est déjà largement occupé (par BHL entre autres). Trois, parce qu'un excellent auteur a de toute façon déjà répondu de façon brève et efficace à ce problème (la réponse à tout ça est 42).

Ce prologue me semble davantage correspondre à un fichier de notes que tu garderais de ton côté pour te fixer certains éléments de ton scénario et de ton univers. Pas à une partie du texte final. Lis quelques romans de SF, Fantasy ou Fantastique de qualité pour voir ce que je veux dire en termes de narration, ils devraient bien illustrer mon propos et t'aider à réorganiser ta création.



Voilà, j'espère que j'ai été constructif ici.

Le verdict est donc :

Pas de poneys sur ce topic !

[Zap]

Je n'ai pas encore lu ta fic, pour 2 raisons :

Tout d'abord ton premier message : bourré de ce genre de chose :

A faible dose c'est marrant, à forte dose (plus de 2 ou 3 par paragraphes) pour un message de présentation, ça fait très peur. On va dire que tu aurais été tout nouveau sur le Forum, je n'aurais même pas lu la suite, de peur de croiser une nouvelle fic Kikoulol.

Deuxièmement (mais ça à la rigueur c'est moins grave) lorsque la fic commence, les blocs de texte son trop massif...bon alors c'est peut-être qu'un avis personnel, mais c'est le genre de chose qui visuellement est pas très attractif (surtout quand on a pas un grand écran pour lire...). Il faudrait peut-être aérer un peu plus...profite en, le forum est grand !

Voilà, c'était juste deux petits conseils, histoire de ne pas faire fuir d'hypothétique futur lecteur. Néanmoins dès ce soir, je commence à lire ta fic (dès que j'ai un grand écran à dispo), et tu auras un com sur le fond plutôt que la forme

[Spyce]

*voit le commentaire de leflicdecbs* Bon, je sens comme une certaine pointe de sarcasme ici. Ce qui me convainc de lire ce début de fic en espérant que ça ne finira pas en poney.

Tahar Ben Jelloun a dis un jour : "Le destin est ce qui nous arrive au moment où on ne s'y attend pas". La société de nos jours est pollué par les messages rocambolesque du cinéma adaptant des idéologies pro-religieuses et moralistes du bien contre le mal. La réalité des choses est beaucoup moins humaines et surtout beaucoup plus dramatique, la destinée n'est pas simplement une notion subjective, elle est surtout une fatalité.

Heu, c'est une fic ou un texte de philo ? Parce que là, désolé de le dire, mais j'ai l'impression de lire le début d'un essai de BHL (indice : ce n'est pas un bon auteur).

Oki, j'espère ne pas tourner "Filles d'Ananké" pour ce commentaire, mais je vais essayer de faire plus ou moins rapidement, puisque je n'ai eu que 4 heures de sommeil cette nuit et que je vais apparemment m'en reprendre autant là si je m'attarde trop. Bref, la suite...

Nous pouvons philosopher, prier, espérer, refuser, croire que tout est possible mais cela reste de l'illusion psychologique. C'est ainsi le cas pour notre espèce, mais c'est surement le cas de bien d'autres à travers l'espace. Une civilisation grandit en fonction de ses idéologies sans cesse décrier, sans cesse renouveler afin de devenir aussi complexe que la société qui les porte. Il est étonnant d'imaginer qu'une espèce évolué puisse être mauvaise par de simples sentiments comme l'arogance, l'élitisme et la tromperie. Mais l'être humain est-il si différent ? Quels est son rapports avec le monde animal, un monde dans lequel il est née ?

Euh, oui, là c'est vraiment un texte de philo très scolaire. Bonne syntaxe et orthographe, certes, mais avec des thèmes qui, plutôt que d'être profonds, sonnent creux et faux sous la lime.

Cela signifierait-il qu'il soit normal qu'une civilisation avancée se considère comme prioritaire et surtout dominante par rapport à une autre moins avancés. C'est dans ce contexte, que des guerres de monde ont lieu dans tout l'univers pour répondre à cette question. Parfois, une civilisation dites pacifique respecte un non interventionnisme, diter par un code moral parfaitement honorable. Et parfois, d'autres optes pour l'élimination d'une menace. Comment être certain qu'une espèce qui se fait la guerre depuis des millénaires ne décident pas une fois qu'elle aura atteind les étoiles, de faire la guerre à d'autres mondes. C'est une question épineuse, faut-il laisser une civilisation se développer et être potentiellement une menace ou attendre qu'elle soit une menace et se défendre quand elle attaquera.

Mais... mais on ne demande pas l'établissement d'une problématique ou d'une ouverture-type dans un récit de type romanesque !

C'est ainsi qu'ils l'ont décidé. Les Hostiliens, une espèce forte et grandiose peuplant des millions de mondes à travers les étoiles et les galaxies. Prospérant sur des planètes, des lunes, des astéroïdes et des stations spatiales, respectant leurs équilibres écologiques, affranchit de tout idéal politique, économie, social, une société où règne l'ordre, le respect, l'égalité et la solidarité.

Hostiliens ? M'est avis qu'ils vont être hostiles...


Stop Rufus ! Vilain Rufus, tu es en train de tourner "Filles d'Ananké", et c'est mal.

OK, reprenons, et soyons constructifs.

*avance dans sa lecture*

La suite de ton texte est meilleure (parce que, franchement, le début, c'est une intro de philo très clichée qui fait assez prétentieux dès lors qu'on a passé le niveau Bac/Licence), mais tu souffres d'un problème assez important quant à la lisibilité de ton histoire : tu ne fais que dire plutôt que de montrer. Le narrateur est un outil à utiliser avec modération car il définit des absolus, des piliers fondamentaux de vérité autour desquels vont s'articuler les impressions et les émotions des personnages, les aprioris du lecteur, etc.

Tu as construit un gros background pour ton univers, et c'est une bonne chose. Cependant, ce background doit être distillé et pas déversé brutalement, sans quoi ton lecteur ne pourra pas s'approprier chaque élément aussi bien que tu le désirerais. Il faut au contraire présenter chaque chose dans son contexte, mettre en scène les faits dans leur contexte. Là, on se prend tout dans la face comme une liste à la Prévert. Le résultat est que l'on n'a aucune idée de quoi il s'agit, qu'on ne sait pas quand l'histoire commence et que l'on aura oublié la moitié avant d'avoir fini le bloc de texte.



Bref, tu as les éléments requis pour faire du largement au-dessus de la moyenne en termes de matériaux de construction (background et bonne maitrise de la langue), mais ton point faible est celui de l'art narratif lui-même, je dirais. La règle principale à appliquer avant toute chose est le "show, don't tell", centrale à toute histoire réussie. Ensuite, éviter les propos ronflants sur les grandes réponses de la vie, l'univers et tout le reste. Un, parce que c'est ronflant. Deux, parce que le créneau des auteurs prétentieux et médiocres est déjà largement occupé (par BHL entre autres). Trois, parce qu'un excellent auteur a de toute façon déjà répondu de façon brève et efficace à ce problème (la réponse à tout ça est 42).

Ce prologue me semble davantage correspondre à un fichier de notes que tu garderais de ton côté pour te fixer certains éléments de ton scénario et de ton univers. Pas à une partie du texte final. Lis quelques romans de SF, Fantasy ou Fantastique de qualité pour voir ce que je veux dire en termes de narration, ils devraient bien illustrer mon propos et t'aider à réorganiser ta création.



Voilà, j'espère que j'ai été constructif ici.

Le verdict est donc :

Pas de poneys sur ce topic !

Bonjour. Je vous remercie pour ses indications.

@leflicdecbs : Si c'est du sarcasme, ça m'aide pas beaucoup, si c'est à prendre au pied de la lettre, je dirais que tu pousse peut être le bouchon loin. Malgré que je suis plutôt satisfait de ce que j'ai écris, je reste convaincu que le travail peut être davantage amélioré d'où la publication de mon aventure sur ce forum.

@Blackeagle : j'ai pris bien note de tes indications. Malgré mes multiples corrections et la relecture par un tiers, je constate effectivement que certaines sont passées à la trappe. Je t'assure que c'est une chose à laquelle je fais particulièrement attention. Donc, je te remercie pour tes indications.

@Rufus Shinra : Comme toujours, tu es celui (peut être ) qui donne une analyse le plus pertinente. J'avoue que mon premier paragraphe, ressemble davantage à un essai de philosophie qu'à un début de roman. Je voulais me démarquer, peut être maladroitement, tout en exposant dirons-nous le thême général de l'histoire dans sa globalité. La probabilité posée servait (probablement maladroitement) d'amorce pour justifier les acts des Hostiliens et montrer qu'on avait pas à faire face à des Wraiths qui cherchent juste à manger ou des Goa'ulds dominateur d'espèce.

Les Hostiliens sont effectivement l'ennemis de l'histoire mais on comprendra que leur société est plus complexe que cela. Cela, vous le découvrirez dans l'histoire au fur et à mesure.

En y regardant de plus près, c'est vrai que je présente la civilisation Hostilienne et leur ennemis comme ça, hors contexte. J'expose sans laisser le lecteur découvrir. Mais je dirais que là encore, je me suis servi de mon prologue plutôt comme une introduction et non comme un début de roman. Avant tout, je cherchais à poser le contexte et l'éléments déclencheur de mon roman et pas débuté direct l'histoire et découvrir après coût les raisons.

Ma qualité narrative est effectivement une lacune que je compte améliorer avec l'expérience et les critiques. Le chapitre 1 est nettement différent car on entre dans l'histoire. Je pense que j'ai cherché à en faire trop afin d'éblouir avec mon prologue...

Pas de Poney... Cool et pas cool. Cool, ça veut dire que je suis pas trop nul et pas cool parce que : c'est mignon les poneys

@Zap : Pris en considération, et j'ai ajouté quelques sauts de lignes. Les smileys, j'ai pas l'habitude d'utiliser, mais je me suis dis pour détendre l'atmosphère. Why not ?

[Rufus Shinra]

@Rufus Shinra : Comme toujours, tu es celui (peut être biggrin.gif ) qui donne une analyse le plus pertinente. J'avoue que mon premier paragraphe, ressemble davantage à un essai de philosophie qu'à un début de roman. Je voulais me démarquer, peut être maladroitement, tout en exposant dirons-nous le thême général de l'histoire dans sa globalité. La probabilité posée servait (probablement maladroitement) d'amorce pour justifier les acts des Hostiliens et montrer qu'on avait pas à faire face à des Wraiths qui cherchent juste à manger ou des Goa'ulds dominateur d'espèce.

Le thème de l'histoire doit, à mon avis, se manifester au travers de l'histoire elle-même et non dans une présentation. Surtout, tu risques de te rendre compte que certains thèmes ne seront pas ceux que tu as prévu initialement (par exemple, dans EP, que, oui, je compte continuer, avant qu'on me le demande, l'un des thèmes devenus finalement centraux est celui du divin : jamais prévu au début).

Les Hostiliens sont effectivement l'ennemis de l'histoire mais on comprendra que leur société est plus complexe que cela. Cela, vous le découvrirez dans l'histoire au fur et à mesure.

En y regardant de plus près, c'est vrai que je présente la civilisation Hostilienne et leur ennemis comme ça, hors contexte. J'expose sans laisser le lecteur découvrir. Mais je dirais que là encore, je me suis servi de mon prologue plutôt comme une introduction et non comme un début de roman. Avant tout, je cherchais à poser le contexte et l'éléments déclencheur de mon roman et pas débuté direct l'histoire et découvrir après coût les raisons.

Le prologue doit accrocher le lecteur, l'intriguer. Pour cela, tu peux tester le "In Media Res", assez classique mais toujours efficace, ou alors faire une montée en puissance lente, ou encore suivre un personnage alors qu'il découvre lui-même l'univers à présenter (ça aussi, une très vieille et efficace recette).

Ma qualité narrative est effectivement une lacune que je compte améliorer avec l'expérience et les critiques. Le chapitre 1 est nettement différent car on entre dans l'histoire. Je pense que j'ai cherché à en faire trop afin d'éblouir avec mon prologue...

En général, et c'est vrai pour les nouveaux comme pour les vétérans, il ne faut pas chercher à éblouir, mais à transmettre les émotions et informations recherchées. Être efficace avant d'être classe.

Pas de Poney... Cool et pas cool. Cool, ça veut dire que je suis pas trop nul et pas cool parce que : c'est mignon les poneys

Bah, les poneys, c'est vraiment quand le texte est caricaturalement pourri et qu'on peut considérer le topic comme perdu d'avance. Et je suis d'accord : c'est cool, les poneys !

[Spyce]

En général pour son histoire, il faut maitrîser son sujet, pas de miracle... Et peut connaître les subtilités de la langue français pour donner un style ravageur à sa manière de raconter... c'est à voir me concernant. Il est vrai que j'ai eu la maladresse de proposer un prologue ressemblant plus à un lancement de débat philosophique que d'une amorce d'histoire.

J'ai eu quelques messages perso m'indiquant vouloir du spectacle, de la destruction massive, du gros canons. Personnellement, je ne suis pas d'avis que la Terre doit obtenir davantage de puissance qu'elle n'a car ça manquerait en cohérence... et faire de la Terre, une puissance supérieur aux Anciens, c'est aux limites de l'acceptable même si la population connaît le programme porte des étoiles. En tout cas, les terriens restent les acteurs principaux.

Je ne peux pas en rêvéler d'avantage sans dévoiler l'histoire même. Juste que chaque détails n'est pas anodin. Vendredi, vous en serez davantage lors de la publication du chapitre 1.

[Rufus Shinra]

En général pour son histoire, il faut maitrîser son sujet, pas de miracle... Et peut connaître les subtilités de la langue français pour donner un style ravageur à sa manière de raconter... c'est à voir me concernant. Il est vrai que j'ai eu la maladresse de proposer un prologue ressemblant plus à un lancement de débat philosophique que d'une amorce d'histoire.

J'ai eu quelques messages perso m'indiquant vouloir du spectacle, de la destruction massive, du gros canons. Personnellement, je ne suis pas d'avis que la Terre doit obtenir davantage de puissance qu'elle n'a car ça manquerait en cohérence... et faire de la Terre, une puissance supérieur aux Anciens, c'est aux limites de l'acceptable même si la population connaît le programme porte des étoiles. En tout cas, les terriens restent les acteurs principaux.

Je ne peux pas en rêvéler d'avantage sans dévoiler l'histoire même. Juste que chaque détails n'est pas anodin. Vendredi, vous en serez davantage lors de la publication du chapitre 1.

La puissance, la destruction massive et les gros canons sont, il faut être très honnêtes, secondaires. Secondaires par rapport à un univers cohérent, crédible et fouillé. Les fics pan-pan ne sont pas particulièrement appréciées par un bon nombre de membres parce qu'on en a eu énormément et que, très souvent, leurs auteurs commettent un grand nombre d'erreurs et/ou de fautes dans la description des éléments militaires et politiques : si on veut lire du gros pan-pan bien bourrin et bien écrit, on va chercher les livres de David Weber et on apprécie.

Ici, il faut chercher à comprendre la franchise Stargate pour en distiller les spécificités et la développer dans sa propre voie.


Pour faire plus simple : dans les travaux médiocres, l'histoire sert l'action, alors que dans les bons, l'action sert l'histoire.

[Blackeagle]

Les fics pan-pan ne sont pas particulièrement appréciées par un bon nombre de membres parce qu'on en a eu énormément et que, très souvent, leurs auteurs commettent un grand nombre d'erreurs et/ou de fautes dans la description des éléments militaires et politiques : si on veut lire du gros pan-pan bien bourrin et bien écrit, on va chercher les livres de David Weber et on apprécie.

Ici, il faut chercher à comprendre la franchise Stargate pour en distiller les spécificités et la développer dans sa propre voie.


Pour faire plus simple : dans les travaux médiocres, l'histoire sert l'action, alors que dans les bons, l'action sert l'histoire.

Et Rufus et moi-même avons un bon palmarès des fics assujetties à ces erreurs. Donc, prend bien soin d'être cohérent par rapport à ces évènements dans ta façon de les intégrer.

[Rufus Shinra]

Les fics pan-pan ne sont pas particulièrement appréciées par un bon nombre de membres parce qu'on en a eu énormément et que, très souvent, leurs auteurs commettent un grand nombre d'erreurs et/ou de fautes dans la description des éléments militaires et politiques : si on veut lire du gros pan-pan bien bourrin et bien écrit, on va chercher les livres de David Weber et on apprécie.

Ici, il faut chercher à comprendre la franchise Stargate pour en distiller les spécificités et la développer dans sa propre voie.


Pour faire plus simple : dans les travaux médiocres, l'histoire sert l'action, alors que dans les bons, l'action sert l'histoire.

Et Rufus et moi-même avons un bon palmarès des fics assujetties à ces erreurs. Donc, prend bien soin d'être cohérent par rapport à ces évènements dans ta façon de les intégrer.

Eyup, comme dirait Big Mac. On peut de toute façon faire de l'excellence dans SG sans pour autant faire du militaire : voir L'Ombre du Passé pour un exemple éclatant.

[Spyce]

Les fics pan-pan ne sont pas particulièrement appréciées par un bon nombre de membres parce qu'on en a eu énormément et que, très souvent, leurs auteurs commettent un grand nombre d'erreurs et/ou de fautes dans la description des éléments militaires et politiques : si on veut lire du gros pan-pan bien bourrin et bien écrit, on va chercher les livres de David Weber et on apprécie.

Ici, il faut chercher à comprendre la franchise Stargate pour en distiller les spécificités et la développer dans sa propre voie.


Pour faire plus simple : dans les travaux médiocres, l'histoire sert l'action, alors que dans les bons, l'action sert l'histoire.

Et Rufus et moi-même avons un bon palmarès des fics assujetties à ces erreurs. Donc, prend bien soin d'être cohérent par rapport à ces évènements dans ta façon de les intégrer.

Effectivement, j'espère filer droit En tout cas, c'est pour cela que je la publie sur ce forum, j'estime qu'il y a de très bon critiques ici.

J'aurais forcément des batailles spatiales à vous raconter, mais là encore, j'estime être suffisamment cohérent dans mes arguments pour en présenter. Mais bon, à moi également de faire mes preuves et de m'imposer, je dirais.

[Rufus Shinra]

Bon, et bien tant qu'on a une attitude constructive de tous les côtés, c'est déjà largement mieux que pour la majoritédes autres topics de fics. ^^

[Spyce]

Bon, et bien tant qu'on a une attitude constructive de tous les côtés, c'est déjà largement mieux que pour la majoritédes autres topics de fics. ^^

Tu m'étonne. Parfois, ça tourne aux carnages... Résultat combien de fics pas terminer. J'estime qu'il faut être de bonne fois.... Ensuite, j'avoue être un peu manipulateur, et il m'est arrivé d'être de mauvaises foi. Mais bon, ils sont gentils sur ce forum..... normalement

[John.Shep]

Je rejoins la critique de Rufus, ton prologue est trop grandiloquent. L'envolée lyrique sur le sens de la vie n'était vraiment pas nécessaire. Tu pourras apporter de l’ambiguïté à tes Hostiliens au fur et à mesure de ton récit, ce n'est pas la peine d'être si pressé.
Qui plus est, tu en fais un peu trop sur les Hostiliens tout de même. Une galaxie, c'est déjà immense alors être établi sur un million de galaxies...

Sinon, pour le style, n'ayons pas peur de le dire, c'est un cran au-dessus de ce qu'on trouve généralement sur SGF, même s'il y a quelques points qui clochent. Notamment, quand tu commences à narrer la bataille, tu emploies le présent mais dès que tu passes à la scène dans le vaisseau hostilien, tu changes de temps et passes au passé. Attention à ce genre de détails.

[Spyce]

Je rejoins la critique de Rufus, ton prologue est trop grandiloquent. L'envolée lyrique sur le sens de la vie n'était vraiment pas nécessaire. Tu pourras apporter de l’ambiguïté à tes Hostiliens au fur et à mesure de ton récit, ce n'est pas la peine d'être si pressé.
Qui plus est, tu en fais un peu trop sur les Hostiliens tout de même. Une galaxie, c'est déjà immense alors être établi sur un million de galaxies...

Sinon, pour le style, n'ayons pas peur de le dire, c'est un cran au-dessus de ce qu'on trouve généralement sur SGF, même s'il y a quelques points qui clochent. Notamment, quand tu commences à narrer la bataille, tu emploies le présent mais dès que tu passes à la scène dans le vaisseau hostilien, tu changes de temps et passes au passé. Attention à ce genre de détails.

Oui, je reconnais ma maladresse. C'est mon côté, je veux en faire trop sans avoir trop le niveau. Trop ambitieux peut être.

Le million de galaxie n'est pas trop ambitieux... Après tout, avec Stargate, SG1, SGA et SGU, en 18 ans, la Terre dispose bien de technologie millénaire voir même même millionnaire. Donc image une civilisation très ancienne de 500 millions d'année. 500 ans pour envahir une galaxie, c'est plutôt abordable, en tout cas les Wraiths ont dominé Pégase en 100 ans et en général, plus tu as de ressources plus tu as production de masse.

J'avoue que mon niveau en français n'est pas top mais n'hésitez pas à me l'indiquer, au contraire, ça montre que vous y portez véritablement de l'intérêt. Malgré mes corrections et la relecture de ma chérie, il y peut arriver que ça passe à la trappe. Et à force de lire et relire les textes, je les connais tellement bien, qu'ils arrivent parfois que je n'arrive plus à trouver de simples erreurs.

Bon maintenant, j'ai la pression. Les commentaires sont plutôt positifs, ça m'oblige à pas trop vous décevoir. Euh je peux m'enfuir en courant. Restons digne.

[Rufus Shinra]

Bon, et bien tant qu'on a une attitude constructive de tous les côtés, c'est déjà largement mieux que pour la majoritédes autres topics de fics. ^^

Tu m'étonne. Parfois, ça tourne aux carnages... Résultat combien de fics pas terminer. J'estime qu'il faut être de bonne fois.... Ensuite, j'avoue être un peu manipulateur, et il m'est arrivé d'être de mauvaises foi. Mais bon, ils sont gentils sur ce forum..... normalement

Quand une fic est massacrée, ce n'est pas sans raison. L'auteur nous pond des nullités mal orthographiées, clichées au possible et en script-fic ? Il ne faut pas s'étonner alors que tout parte en poney. Les shep12 ne sont pas trop appréciés, parce qu'ils ne font aucun effort et s'attendent à recevoir des louanges : monumentale erreur.

[Spyce]

J'avais oublié ton "anti script-fic", je ne trouve pas ce mode de narration particulièrement gênante, mais c'est vrai que certains auteurs pourraient opter pour y ajouter plus de description.

Shep12, celui-là, je m'en rappelle pas trop, mais c'est devenu une référence autant que le poney.

J'aime bien les louanges à condition que c'est mérité et constructif... Le genre, "j'adore ta fic, à quand la suite, ça me laisse sur ma fin. A mon sens, même si une fic est géniale, il y a toujours des détails à améliorer. En tout cas, il n'arrive pas une seule fois où en relisant l'un de mes paragraphes, je sois obligé de changer des mots ou ajouter des phrases. Résultat, je passe de 9 pages Word à 10, 11 voir 12 pages par chapitres.

[Rufus Shinra]

J'avais oublié ton "anti script-fic", je ne trouve pas ce mode de narration particulièrement gênante, mais c'est vrai que certains auteurs pourraient opter pour y ajouter plus de description.

Shep12, celui-là, je m'en rappelle pas trop, mais c'est devenu une référence autant que le poney.

J'aime bien les louanges à condition que c'est mérité et constructif... Le genre, "j'adore ta fic, à quand la suite, ça me laisse sur ma fin. A mon sens, même si une fic est géniale, il y a toujours des détails à améliorer. En tout cas, il n'arrive pas une seule fois où en relisant l'un de mes paragraphes, je sois obligé de changer des mots ou ajouter des phrases. Résultat, je passe de 9 pages Word à 10, 11 voir 12 pages par chapitres.

Le style "script" n'est pas adapté pour un travail purement écrit, puisqu'il manque alors au récit tous les éléments circonstanciels qui sont habituellement présents dans une narration romancée ou de façon visuelle ou auditive dans un film ou une pièce de théâtre. Tout se base alors sur les dialogues et donc, à moins d'être extrêmement compétent dans leur écriture, le texte sera très probablement plus faible que son équivalent romanesque.