Un très bon épisode.
une intrigue très intéressante qui repose sur les relations entre USA et Russie, relent de guerre froide. En plus, le début est très surprenant avec ce cher Kinsey. Une nouvelle fois, on apprend que la Confrérie est au centre des attentions. Il n'y a pas à dire, elle est mise à l'honneur dans cette saison 8.
Le plan de SG-1 pour pister Kinsey montre qu'ils sont aussi capables de se servir de moyens peu conventionnels pour arriver à leur fin (comme mettre en danger Kinsey, mais bon, peut-on vraiment les blâmer pour cela?). Un bon petit suspense ensuite, avec le coup de la mallette et comme d'habitude je dirais, le bon vieux petit coup de la téléportation un peu simple.
Ce qui est intéressant dans cette saison 8, c'est la manière dont a été exploité cette équipe à 3 qu'il était difficile (à mon sens) d'envoyer en exploration, il aurait forcément manquer quelqu'un. Ici, Daniel est dans son élément, la diplomatie (un peu comme dans l'épisode
48 heures). De nouveau un retournement de situation, la capture de Daniel puis Kinsey en Goa'uld
. Voilà qui est pour le moins surprenant et l'interrogatoire pour connaître les buts des Goa'ulds est très captivante je trouve.
Au SGC, on assiste à une crise internationale qui change des crises interplanétaires
. Le petit plus c'est le Defcon qui pour une fois n'est pas au niveau 5. Le petit problème je dirais, c'est qu'on est persuadé que la conspiration vient des Russes et non des américains. de ce côté là, le seul suspens vient des missiles et encore.
Pour ce qui est de la fin, c'est un peu précipité, on se débarrasse du vaisseau d'Osiris (j'ai envie de dire enfin) mais on a pas mal d'interrogations. Comment va tourner la Confrérie? On aura les réponses lors des saisons 9 et 10, que va t-il ariver à Kinsey? Mais ça malheureusement, on aura jamais la réponse.
17/20.
Sans imagination, il ne pourrait y avoir création.
Il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser l'imperfection et l'atteindre.
Avant une guerre, la science militaire fait figure de science comme l'astronomie. Après une guerre, elle tient plus de l'astrologie.