L'intruse

[zona]

L’Intruse

Auteur :zona
E-mail :zona@cegetel.net
Titre :l’intruse
Genre :action, embrouilles…et tout le reste.
Saison :8…
Résumé :Les réplicateurs sont de retour.
Disclamer :Les personnages et les photos ne m’appartiennent pas…
Note de l’auteur :BONNE LECTURE !!!!!!
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13h15, SGC, salle de briefing :
Le général venait d’entrer dans la pièce où il rejoint SG1 qui l’attendait depuis un quart d’heure déjà.
Jack :Salut la compagnie !
Il s’assit, les autres l’imitèrent.
Jack :Daniel, j’ai une bonne nouvelle pour vous.
Le jeune archéologue leva la tête et tendit ses bras sur la table.
Daniel :Ah bon ?
Jack :La planète sur laquelle vous allez est infestée de cailloux.
Daniel :Ah bon ?
Jack :D’après SG3, c’est du Goa’uld.
Daniel :Ah bon ?
Jack :Vous avez autre chose à dire Daniel ?
Daniel :Heu…oui…quand partons-nous ?
Jack :Dans une heure. Vous serez accompagnés de SG11 et SG15. Des questions ?
Sam :Il n’y a que des ruines sur cette planète ?
Jack :Désolé Carter, vous n’aurez pas à emporter vos appareils super-soffistiqués dont je ne voit pas la moindre utilité. Une autre fois peut-être. Rompez !
Ils se levèrent et retournèrent à leurs occupations habituelles.
13h45, SGC, bureau de Daniel :
Son sac était remplit à ras-bord de livres et de cahiers sur l’époque médiévale. Il fourra un dernier bouquin assé poussiéreux. Il était fin prêt. Il n’avait plus qu’à nourrir les poissons, arroser les plantes, nettoyer son bureau, ranger son placard, trier ses livres, apporter un vase canope au docteur Wong…tout ça en moins de trente minutes. Alors qu’il commençait à ranger une étagère de son placard, Teal’c entra dans la pièce.
Daniel :Ah, Teal’c, vous voudriez bien me donner un coup de main s’il vous plaît ?
Teal’c :Avec plaisir docteur Jackson.
Il s’avança devant le bureau de son ami. Il haussa un sourcil en voyant Daniel s’agiter dans tout les sens.
Teal’c :Que dois-je faire ?
Daniel :Heu…apportez ça au docteur Wong.
Il lui tendit un magnifique vase orné de hiéroglyphe sur un fond bleu et beige. Le jaffa le prit délicatement et se retira de la pièce en inclinant la tête.
13h50, SGC, couloirs :
Alors que Teal’c marchait tranquillement, le général O’Neill l’accosta. Il vit immédiatement le vase.
Jack :Je ne savais pas que vous vous intéressiez à l’Egypte !
Teal’c :J’aide simplement le docteur Jackson dans son rangement.
Le général leva la tête en signe de compréhension.
Teal’c :Et vous O’Neill, que faites vous ?
Jack :Je vais voir Carter.
Teal’c :Pourquoi ?
Jack :…Parce que ça me chante.
Le jaffa s’arrêta net en levant un sourcil.
Jack :Quoi ?
Teal’c :Vous ne chantez pas.
Jack :C’est une expression Teal’c. Sa veut dire « parce que j’en ai envie ».
Teal’c :Vous avez envie d’aller voir le colonel Carter ?
Jack :…
Le général s’arrêta, mais Teal’c continua son chemin.
Jack :Et alors !J’ai le droit…non ?
13h55, SGC, labo de Sam :
Comme d’habitude, elle s’acharnait sur son réacteur à naquadah. Plongée dans ses calculs, elle n’entendit pas jack entrer. Il la regarda intensément.
Jack :Vous dîtes au revoir à votre réacteur ?
Elle sursauta.
Sam :Mon général, je ne vous avez pas entendu.
Jack :J’avais remarqué.
Sam :Vous vouliez me voir ?
Jack :Oui.
Sam :…Et ?
Jack :…Je venais prendre de vos nouvelles.
Sam :Je vais bien, et vous ?
Jack :Bien.
Sam :Il y a quelque chose que je peux faire pour vous ?
Jack :Non, pourquoi ?
Sam :Vous n’avez pas traversé tout les couloirs de la base, monté trois niveaux pour me demander si je vais bien…je me trompe ?
Jack :Bon d’accord. Normalement, j’aurai dû vous assigner à une autre mission.
Sam :Je vous demande pardon ?
Jack :J’ai fait un pari avec Daniel sur un match de Hockey.
Sam :Quel pari ?
Jack :Si son équipe gagnait, vous partiriez sur une planète avec pleins de cailloux, mais si mon équipe gagnait, vous partiriez sur une planète avec pleins de naquadah…Son équipe à gagnée.
Sam ne pu s’empêcher d’éclater de rire.
Jack :J’étais pourtant sûr que vous le prendriez mal.
Sam :Vous n’avez rien d’autre à faire ?
Jack (avec une petite moue) :On était en week-end.
14h15, SGC, salle d’embarquement :
Les trois équipes étaient présentes, il ne manquez plus que…
Jack :Où est Daniel ?
A ce moment, il entra dans la grande pièce avec un sac prêt à exploser sur son dos.
Daniel :Mes poissons criaient « famine ».
Il se plaça devant la rampe à côté de ses amis. Le vortex s’ouvrit.
Jack :SG1-15 et 11, vous me ferez un rapport dans douze heures. Revenez entier.
Touts esquissèrent un sourire avant de franchir le vortex. Avant de partir, Sam se retourna vers la salle de contrôle. Jack la regardait. « Un pari ». Elle lui sourit et passa la porte des étoiles.
14h20, M64-8S5, devant la porte :
Le vortex se referma juste derrière la jeune femme.
Sam :A combien de kilomètres se trouve le site ?
Dan :Trois kilomètres mon colonel.
Sam :On vous suis major. Lieutenant, ramenez la sonde et rattrapez-nous.
Will :A vos ordres.
Et ils commencèrent leur marche en direction des ruines.
14h40, M64-8S5, site archéologique :
Sam :Très bien. SG15, vous montez le camp et Sg11, au travail ! Daniel, vous allez avec eux. Teal’c et moi allons sécuriser le périmètre.
15h00, M64-8S5, côté Sam/Teal’c :
Sam:Bon, et bien on va retourner au site. Il n’y a personne.
Mais pendant le retour, le colonel se sentait suivie. Teal’c ne le laissait pas paraître. Elle préféra ne rien dire et mettre cette sensation sur le compte de la fatigue. Ils rentrèrent tranquillement.
15h20, M64-8S5, site archéologique :
Daniel venait de voir arriver ses deux amis. Il alla à leur rencontre.
Daniel :Alors, quoi de neuf ?
Teal’c :Il n’y a personne d’autre que nous ici.
Daniel :Teal’c, vous voudriez venir voir, j’ai trouvé un fragment de ruine où il y a des inscriptions…
Teal’c leva un sourcil, intrigué par la découverte de Daniel. Il laissèrent Sam, plantée au milieu du site. Sa sensation ne s’était pas dissoute. Elle décida d’aller faire un tour, seule.
15h35, M64-8S5, côté de Sam :
Elle avançait prudemment, arme au poing. La forêt qui l’entourait était trop épaisse pour qu’elle puisse distinguer quelque chose. Soudain, elle sentit une présence. Elle n’eut pas le temps de se retourner qu’une violente douleur au niveau de sa nuque la fit perdre connaissance. Elle s’effondra de tout son long. Juste derrière elle se trouvait…elle même. En effet, son double venait de l’assommer. Elle était habillée d’une tunique et d’un pantalon gris. Elle sortit un objet rectangulaire de sa poche, le posa sur le corps de Sam. L’objet sortit un rayon lumineux rouge qui « scanna » la jeune femme toujours inconsciente. Une fois l’opération terminée, elle reprit son scanneur et le posa sur elle. Il recopia l’image de son double sur elle. Suite à cette minute de transfère, elle rangea l’objet dans son treillis. Fière de son coup, elle prit le corps de Sam et le cacha derrière des buissons puis, n’ayant l’air de rien, elle rejoignit les autres au site archéologique.
15h45, M64-8S5, site archéologique :
Il la cherchait désespérément depuis tout à l’heure.
Daniel :Elle n’a pas pu s’envoler quand même !Teal’c, vous n’auriez pas vu Sam par hasard ?
Teal’c :Je n’ai pas vu le colonel Carter depuis que je suis avec vous, mais elle…
Le jeune archéologue lui coupa la parole.
Daniel :Non, c’est bon, elle est là-bas.
Il laissa Teal’c, qui se replongea dans ses découvertes.
15h50, M64-8S5, côté Daniel/Sam :
Daniel :Sam, je vous cherchait partout, où étiez-vous ?
Sam :Heu…je suis allé faire un tour.
Daniel :Ah !
Sam :Alors, où en êtes-vous ?
Daniel :C’est fabuleux, ces ruines nous prouves que les habitants de cette planète on survécu à une attaque Goa’uld de taille. Se sont des témoignages par écrit. Ils ont parlé de vaisseaux, de boules de feux…Je pense qu’ils ont été bombardés.
Sam :Et alors ?
Daniel :Et alors !Mais ils ont trouvé un moyen d’échapper aux Goa’uld qui les attaquaient. C’est remarquable.
Sam :S’ils ont survécu, où sont-ils ?
Daniel :Sam, ils ont vécu ici il y a des millions d’années. Ils ont dû immigrer, ou leur espèce s’est éteinte…Il y a beaucoup de possibilités.
Sam :Cherchez Daniel. Je vais rentrer sur Terre pour faire mon rapport au général.
Daniel :Déjà, mais il a dit dans douze heures.
Sam :Et bien ça sera plus tôt.
Daniel :Mais…
Sam :Bonne chance !
Il la regarda s’éloigner.
Daniel :Merci.
Son attitude était bizarre. Il savait qu’elle n’aimait pas tellement les monuments historiques, mais au point de retourner sur Terre avant l’heure. Teal’c le sortit de ses pensées.
Teal’c :Docteur Jackson, je crois avoir trouvé quelque chose d’intéressant.
Daniel (sans se retourner) :J’arrive.
Il resta songeur, puis rejoigna son ami.
16h00, M64-8S5, côté de Sam :
Elle retourna à l’endroit où elle s’était débarrassée de son double. Elle vérifia une énième fois que personne ne l’avait suivit, puis elle sortit le « scanneur » de sa poche. Elle appuya sur un bouton et le rangea. Elle s’essaya sur un rocher et attendit.
16h10, M64-8S5, côté Sam/Sam :
Elle ouvrit les yeux. Elle avait mal à la tête et ses membres étaient engourdis. Elle regarda autour d’elle et vit quelqu’un qui lui tournait le dos. Visiblement, un membre d’une équipe SG à la tenue qu’il portait. Elle se redressa et sortit son zat par précaution.
Sam :Déclinez votre identité.
Individu(sans se retourner) :Devines.
Cette voix, elle la reconnaissait. C’était la sienne. Elle réalisa que son double se trouvait devant elle.
Sam :Retournez-vous lentement.
Elle obtempéra, mais sortit son zat dans la foulée. Sam tira un coup…rien ne se produisit sur l’intruse. Elle tira un deuxième coup…toujours rien. Son double lui sourit avant de lui tirer dessus. L’effet produit n’était pas le même. Sam s’écroula de nouveau. L’autre Sam se retourna et continua d’attendre.
16h20, M64-8S5, côté Sam :
Trois hommes venaient d’arriver. L’un d’eux devait être le chef. Il avait un blouson vert orné de poches, tout comme son pantalon. Cette homme, d’une trentaine d’année, blond, les yeux bleus, était bien battît et très musclé. Les deux autres hommes qui l’accompagnait étaient vêtus des mêmes habits. Tous deux bruns, l’un avait les yeux bleu, l’autre les avaient verts. Ces hommes, plus jeunes que le premier attendaient bêtement un signe de sa part. le chef s’avança jusqu’à la hauteur de Sam, qui se leva.
Sam :Vous avez la marchandise ?
Homme :Oui, et vous ?
Sam :Comment pourrais-je l’oublier !
Elle désigna l’arbuste situé juste derrière elle. Le chef jeta un coup d’œil à un des garde. Celui-ci s’approcha du buisson. Il y découvrit le corps de Sam. Il se retourna et hocha la tête, sans dire un mot.
Sam :A vous.
L’autre garde tendit un objet ovale à son chef. Sam voulu le lui prendre, mais il l’esquiva.
Homme :Je n’ai pas apporté le mode d’emploi.
Sam :Comment ça marche ?
Homme :Appuyez sur le bouton noir et ça allumera l’autodestruction de cet appareil, appuyez sur le bouton blanc et le dispositif se mettra en route automatiquement. Cela consiste à fabriquer de l’eau indéfiniment. Autre chose, ce bouton rouge sert à éteindre les dispositifs d’autodestruction et de fabrication.
Sam :Une merveille de technologie.
Homme :N’est-ce pas !
Elle prit enfin le petit appareil et tourna les talons en direction de la porte des étoiles. Les trois hommes firent de même, mais dans le sens opposé de Sam et en emportant son double.
16h30, M64-8S5, site archéologique :
Daniel avançait petit à petit dans ses recherches. Alors qu’il se penchait sur un fragment de mur, Teal’c l’accosta.
Teal’c :Savez-vous où se trouve le colonel Carter,
Daniel :Elle est retournée sur Terre tout à l’heure.
Teal’c :Le général a dit qu’il voulait notre rapport dans douze heures.
Daniel :Je sais, elle avait l’air…bizarre.
Ils restèrent songeurs, puis Daniel amena une conversation.
Daniel :Regardez ce que j’ai trouvé. D’après ce villageois, les habitants sont allés se réfugier dans des sortes de bunkers. Le Goa’uld ne les ont pas trouvé.
Teal’c :Ce qui est bizarre, c’est que les Goa’uld ne soient pas restés pour faire de cette planète un poste avancé…
Daniel :…Ou éloigné.
Teal’c leva un sourcil, l’air intrigué. Daniel le regarda, puis se replongea dans ses traductions.
16h35, SGC, salle de contrôle :
Tout était calme. Walter sirotait un café en discutant avec un technicien. Soudain, la porte des étoiles enclencha un premier chevron. Le sergent sauta sur une chaise et saisi un micro.
Walter :Activation extérieur non programmée.
Il pianotait sur son clavier au fur et à mesure que les chevrons s’enclenchaient. Le général O’Neill entra dans la salle au moment où le vortex s’ouvrit.
Walter :Nous recevons un code mon général…c’est SG1 !
Jack :Déjà !Ouvrez l’iris.
Il obéit pendant que Jack se précipitait dans la salle d’embarquement. Ils attendirent quelques secondes avant de voir Sam sortir du vortex. Seule.
Jack :Carter !Qu’est ce qui se passe ?
Sam :Je ne me sens pas bien mon général.
Elle s’avança au bout de la rampe et s’assit sur les trois dernières marches.
Jack(s’adressant au sergent) :Equipe médicale.
Il se retourna vers son second.
Jack :Personne ne vous a accompagné ?
Sam :Non, j’ai préféré…n’inquiéter personne.
Jack :Carter !C’est pas une attitude responsable que vous avez eut, je devrais…
Sam :…Je sais.
Elle se leva, fit deux pas, mais finit par s’écrouler. Les infirmiers arrivèrent à ce moment là. Ils l’emmenèrent sur un brancard, sous les yeux du général et de toutes les personnes présentes en salle de contrôle.
16h50, M64-8S5, côté de Sam :
Elle se réveilla douloureusement. Ligotée sur une chaise, elle se trouvait dans une pièce humide, avec des murs sombres et sales, éclairée par un néon assé bruyant. Vêtue d’un tee-shirt et de son treillis, elle arpentait la cellule des yeux. Rien. Le vide absolu entre ses quatre murs. Elle esseya de ce détacher, mais en vain. La douleur, la fatigue, la faim…n’arrangeait en rein sa situation. Ses souvenirs s’arrêtaient à la vue de son double, puis au tir du zat, ensuite…trou noir. Elle ne savais même pas où elle se trouvait.
17h30, SGC, infirmerie :
Sam :Je vous assure que je me sent très bien.
Le colonel persistait à vouloir sortir, mais le docteur n’était pas de cet avis.
Docteur :Vous êtes encore très faible. Restez allongé.
Sam :Ce n’était qu’un coup de fatigue. Rien de plus. Je me sens beaucoup mieux.
Le général entra à ce moment là.
Jack :Holà, mesdames, calmez-vous !Quel est le problème ?
Sam :Elle ne veut pas me laisser sortir.
Docteur :Je fais ça pour vous colonel.
Sam :Mais je vais très bien, vous…
Jack :AAAAAAAAAAAHHHHH !Carter, après ce que vous nous avez fait dans la salle d’embarquement, il va de soit que vous restiez là un moment.
Sam :Mais…
Jack :AAAAHH !
Sam :A vos ordres.
Jack :Merci.
Le général et le docteur se retirèrent. Jack voulu s’en aller, mais le docteur le retint.
Jack :Qui a-t-il ?
Docteur :C’est au sujet du colonel.
Jack :je vous écoute.
Docteur :Elle a une attitude bizarre. D’habitude elle est plus souriante et surtout plus respectueuse envers moi. Là, on dirait qu’elle me méprise.
Jack :Elle doit être sur les nerfs.
Docteur :Justement, elle était très décontractée tout à l’heure.
Jack :Vous avez une explication ?
Docteur :Non et je ne crois pas au coup de fatigue. C’est trop brutal. On l’aurait vu si elle était fatiguée. Ca ne tombe pas du ciel.
Jack :Bon, gardez un œil sur elle, je vais contacter le reste de SG1.
Et il se retira un peut inquiet par ce qu’il venait d’entendre.
17h35, SGC, côté de Sam :
Tout fonctionnait à merveille. Son plan pour pénétrer dans le SGC était le plus simple. Maintenant, il fallait qu’elle sorte de l’infirmerie et poser son « transformateur » quelque part.
17h40, M64-8S5, site archéologique :
Daniel se redressa une fois de plus. Ses reins le faisaient souffrir. Et travailler à quatre pattes n’arrangeait en rien son problème. Alors qu’il essayait de trouver une position adéquate pour soulager la douleur, sa radio grésilla.
Jack :Ici O’Neill, SG1 au rapport.
Déjà !Mais qu’avait-ils tous a vouloir faire un rapport avant l’heure ?Daniel saisit son talkie et répondit.
Daniel :Jack, c’est Daniel. On avance petit à petit, mais il y a des trucs qui ne collent pas. D’après ce que je lis, ils disent qu’ils ont peur des Goa’uld, mais c’est écrit en Goa’uld. Qu’en dîtes-vous ?
Jack :Continuez les recherches. Au fait, je peux savoir pourquoi personne n’a accompagné Carter ?
Daniel :Elle nous a dit qu’elle allait vous faire un rapport. Pourquoi on l’aurait accompagnée ?
Jack :Parce qu’elle était fatiguée et qu’en arrivant au SGC elle est tombée dans les pommes.
Daniel :Au mon dieu !Comment va-t-elle ?
Jack :Elle est énervée, bizarre et arrogante. Si non, tout va bien.
Daniel :Elle n’est pas comme ça d’habitude.
Jack :Vous croyez ?
Daniel :Jack, ne faites pas l’idiot.
Jack :Vous avez autre chose à dire ?Bon, je vous envoie une autre équipe SG. Au moindre problème, vous rentrez au SGC. Compris ?
Daniel :Compris.
Jack :Terminé.
Daniel :Terminé.
Et il reposa son talkie, pensif.
18h00, M64-8S5, côté de Sam :
Ses mains lui faisait mal. Les liens étaient trop serrés. Quand à ses pieds…elle ne les sentait plus depuis un moment. Le silence régnait. Seul le bruit du néon résonnait dans sa tête. Elle avait essayé de dormir. En vain. A quoi cela aurait-il servit ?Vu la tournure des évènements, elle allait bientôt mourir. Soit de faim, soit de soif. Elle avait affrontée des situations milles fois plus dangereuses et elle s’en était sortie. Aujourd’hui, elle était coincée dans une cellule ou elle allait s’éteindre, lentement, à petit feu. Soudain, la porte métallique s’ouvrit brusquement. Deux hommes entrèrent. Le premier était brun, les yeux bleus. Son tee-shirt kaki était orné de taches rouges…du sang. Son pantalon était sale , recouvert en parti de boue. Il s’approcha de Sam.
Individu :J’espère que je ne vous ai pas trop fait attendre ?
Sam :J’ai failli m’ennuyer.
Individu :Je me présente :Levis Warner. C’est moi qui commande ce bunker.
Sam :Bunker !
Levis :Et oui, vous êtes ici pour un interrogatoire.
Sam :Je n’aime pas les interrogatoires.
Levis :Dommage.
Sam :Où sont mais amis ?
Levis :Oubliez-les.
Sam :Que voulez-vous ?
Levis :Le code de l’ouverture de l’iris en titanium qui…
Sam :Non.
Levis :J’ai oublié de vous dire que vos réponse doivent être plausibles, expliquées et objectives, si non…
Sam :Vous me privez de sortie ?
Levis :Envisager pire que tout ce que vous avez vécu.
18h15, M64-8S5, site archéologique :
SG3 venait d’arriver. Les quatre marines avaient déjà posé les mines, les lances roquettes…au cas où…Daniel commençait à s’inquiéter. On aurait dit qu’ils préparaient un feu d’artifice. Malheureusement, ce n’était qu’une façon d’écarter l’horrible vérité. Pour Daniel, armes signifiaient guerres, qui signifiaient morts, qui signifiaient enterrements, qui signifiaient pleurs, qui signifiaient âmes perdues, qui signifiaient bonheurs perdus, qui amenaient à…une affreuse migraine. Il préféra faire abstraction du remue-ménage qui se tramait autour de lui et se concentrer sur ses fouilles.
18h20, SGC, infirmerie :
Un garde surveillait tout les faits et gestes du colonel Carter. Clouée au lit, elle n’avait pas le droit de sortir de l’infirmerie. Pourtant, il aurait fallu qu’elle trouve une solution pour pouvoir achever sa mission. En effet, il lui restait encore le plan B :Installation du « transformateur ». Elle fouilla dans sa poche et trouva son « scanneur ».
Sam :S’il vous plaît.
Le garde leva les yeux.
Sam :Venez voir.
Il obéit, intrigué. Elle tira sur le garde qui s’effondra. En deux temps trois mouvements, elle se leva et mit le garde à sa place, dans le lit. Une fois l’opération terminée, elle fit comme si de rien n’était et sortie de l’infirmerie en prenant soin de ne croiser personne sur son chemin. Elle entra dans l’ascenseur pour descendre au niveau vingt-trois.
18h25, SGC, centrale d’alimentation de secours :
Elle entra, vérifia que personne ne l’avait suivie et s’enferma dans la grande salle. Elle arriva devant une étagère métallique. Elle sortie son « transformateur », s’accroupit et le fixa en dessous. Elle pressa le bouton blanc, se releva et s’en alla en direction de l’ascenseur. Arrivée à l’intérieur, elle pressa le bouton du niveau onze.
18h30, SGC, réservoir d’eau :
Un énorme réservoir trônait au milieu de la pièce. Les conteurs étaient stable, jusqu’au moment où Sam appuya sur des boutons et baissa un levier. La pression de l’eau dans les tuyaux avait subitement augmentée. Elle préféra partir avant que le réservoir n’explose. Chose faite, elle s’en alla en direction de la salle de contrôle.
18h25, M64-8S5, côté de SG3 :
Le lieutenant James Morrison avançait prudemment en compagnie du lieutenant Matt Johnson, quand tout à coup, ils virent un bâtiment. Ils s’accroupirent derrière des buissons. Johnson sortit ses jumelles de son sac. Ce bâtiment, en béton massif n’était en fait qu’une entrée, gardée par deux hommes. Vu leurs vêtements, des militaires. Vêtu d’un béret et d’un uniforme chacun, ils surveillaient les alentours. Pendant que Johnson les observait, le lieutenant Morrison contacta son supérieur.
James :Colonel Reynolds, ici Morrison et Johnson, nous avons trouvé des habitants.
John :Très bien, je vous envoie Jackson pour un premier contacte. Vous ne bougez pas sans lui.
James :A vos ordres.
18h30, M64-8S5, côté de Sam :
La chaise bascula et sa tête vint frapper violemment le sol. Un garde l’aida à se relever. Sa lèvre inférieur était ouverte, tout comme son arcade sourcilière droite. Elle saignait du nez, et les coups de poings qu’elle recevait régulièrement dans les côtes l’empêchez de respirer normalement. Cependant, elle persistait et n’avait rien dit sur le code de l’iris pour lequel Levis s’acharnait.
Sam :Je ne vous dirais rien.
Il s’approcha d’elle lentement et s’appuya sur les accoudoirs de la chaise.
Levis :Je vous laisse une heure pour réfléchir à ce qui vous arrive. Passé ce délais, je continuerais votre interrogatoire.
Il se redressa et s’en alla avec l’autre garde. Elle était seule. Une heure pour trouver un moyen de sortir. Pourvu que ses amis aient appris sa disparition !
18h35, SGC, côté de Sam :
Elle avançait dans les couloirs de la base d’un pas décidé. Elle n’avait croisé personne. Personne, jusqu’à maintenant…
?:CARTER !
Elle se retourna et vit le général O’Neill sortir de l’ascenseur.
Jack :Vous êtes déjà sortie de l’infirmerie ?
Sam :Oui, j’ai enfin eut l’autorisation du docteur.
Jack :Où allez-vous comme ça ?
Sam :Heu…je repart sur M64-8S5, ma place est là-bas.
Jack :Sans uniforme ?
Sam :J’allais vous demander l’autorisation.
Jack :Ah !
Sam :Je peux ?
Jack :…Oui, bien sûr.
Sam :Merci mon général.
Et elle se retira sous le regard peut convaincu du général O’Neill.
18h40, M64-8S5, côté de SG3 :
James :Le voilà !
En effet, Daniel venait d’arriver. Il s’accroupit aux côtés des deux militaires.
James :Quelle approche envisagez-vous docteur Jackson ?
Daniel :Heu…diplomatique.
Matt :Ils sont armés.
Daniel :Nous aussi.
Matt :Je ne pense pas que la diplomatie soit un bon moyen pour un premier contact.
Daniel :Moi si…et je suis bien là pour ça…non ?
James :Laisse tomber Morrison. On va bien voir leur réaction.
Daniel se leva, escorté des deux lieutenants. Ils s’avancèrent vers les deux gardes.
Daniel :Bonjour, je m’appelle Daniel Jackson, voici…des amis.
Les deux gardes se regardèrent.
Daniel :Pourrais-je parler à votre chef ?
L’un des gardes fit un signe de tête à l’autre qui entra dans le bâtiment, sans un mot.
Daniel :…Merci.
18h45, M64-8S5, côté de Sam :
La porte en métal s’ouvrit, laissant apparaître le garde de tout à l’heure. Il avait un petit bol, remplit d’eau et une serviette sur un plateau. Il ferma la porte derrière lui.
Garde :Il vous a bien amoché !
Il s’accroupit aux pieds de Sam. Il trempa la serviette dans l’eau et voulu l’appliquer sur la lèvre de la jeune femme, mais elle eut un mouvement de recule.
Garde :N’ayez pas peur, je vais vous aider.
Sam :Pourquoi ?
Garde :C’est une longue histoire.
Sam :J’ai tout mon temps.
Garde :Pas moi.
Il voulu reposer la serviette sur la lèvre de Sam, mais elle l’esquiva de nouveau.
Garde :Laissez-moi faire, je ne vous veux aucun mal.
Sam :Vous ne devriez pas être ici.
Garde :Non.
Sam :Expliquez-moi.
Garde :…Nous avons passé un marché avec les réplicateurs :vous contre un appareil que nos chercheur expérimentait depuis un moment. Je travail pour le gouvernement, mais j’ai été viré tout à l’heure.
Sam :Pourquoi ?
Garde :J’ai pris votre défense. Ils voulaient vous brûler vivante.
Sam grimaça en imaginant la scène.
Garde :Ils ne vont pas le faire, rassurez-vous. Je ne sais pas ce qu’ils vont vous faire.
Sam :Parlez-moi plutôt de l’appareil.
Garde :Je ne sais pas grand chose. Juste que votre double voulait prendre votre place dans votre monde.
Sam :Au mon dieu !Il faut que je retourne sur Terre. Détachez-moi.
Garde :Mais…
Sam :Dans mon monde, j’ai accès à tout les donnés confidentiels. Si elle les trouve, ma planète sera en grand danger. Aidez-moi, je vous en supplie.
Il réfléchit une minute.
Garde :De toute façon, je n’ai plus rien à perdre.
Il se leva, sortit son couteau et détacha les liens de Sam. Elle se redressa, voulu partir, mais il l’en empêcha.
Sam :Quoi ?
Il sortit un flacon de sa poche.
Sam :Qu’et-ce que s’est ?
Garde :Ma dernière invention. C’est une sorte de remède magique à base de plantes. Ca guérit toutes les blessures.
Il s’approcha de Sam qui se laissa faire. Il lui tendit son flacon. Elle le prit.
Garde :Buvez.
Elle obéit en espérant que ce n’était pas du poison. Elle avala tout le liquide d’un trait.
Garde :Je n’ai pas eut le temps d’en faire plus.
L’arcade sourcilière de Sam se referma à vue d’œil.
Sam :C’est efficace. Vous me donnerez la recette ?
Garde :Tout est dans la tête.
Sam :Plus tard, il ne faut pas perdre de temps.
Et ils sortirent de la pièce.
Garde :Nous allons d’abord récupérer votre équipement, se sera plus sûr.
Elle acquiesça et ils partirent.
18h50, M64-8S5, côté Daniel/SG3 :
Le garde revint, accompagné d’un homme.
Homme :Je m’appelle Levis Warner, je commande ce bunker
Daniel :Et bien je suis Daniel Jackson, et voici…
James :Lieutenant James Morrison, SG3.
Matt :Lieutenant Matthieu Johnson, SG3.
Ils discutèrent pendant un moment. Juste derrière eux se trouvait Sam et son ami. Dés qu’ils entendirent la voix de Levis, ils firent demi-tour pour sortir de ce bunker et aller directement à la porte des étoiles.
18h55, SGC, Salle d’embarquement :
Walter :Chevron sept enclenché et verrouillé.
Le vortex s’ouvrit et Sam entra juste à ce moment là. Jack l’attendait, en tenue de combat.
Sam :Mon général, vous partez avec moi ?
Jack :Oui, ça me fera faire un peut de sport.
Il n’avait rien trouvé de mieux que cette excuse bidon pour avoir un œil sur elle. Il passèrent la porte ensemble.
19h00, M64-8S5, côté Sam/Garde :
Garde :Nous y serons bientôt.
Ils courraient depuis dix minutes, quand tout à coup, ils s’arrêtèrent et se cachèrent. Deux personnes marchaient dans leur direction. Ils ne les avaient pas vu.
Sam :On dirait…le général O’Neill.
Garde :Qui ?
Sam :Mon supérieur. Il est avec mon double.
En effet, ils avançaient côte à côte en direction du site archéologique.
Sam :Je vais la prendre par derrière.
Garde :Vous êtes sûr que c’est une bonne idée
Sam :On n’a pas le choix, il faut l’arrêter maintenant.
Garde :Je vais chercher vos amis
Sam :D’accord.
Elle sortie discrètement de sa cachette et se positionna derrière la réplicateur qui ne l’avait pas vue. Arrivée à sa hauteur, elle lui sauta dessus.
Le général qui avait vu la scène ne savait pas sur qui tirer. Elles étaient identiques et se tinrent enjoue de zat. Jack essayait de trouver un détail qui pourrait les différencier, mais rien.
Sam 1/2 :Mon général.
Jack :…Oui…
Sam 1 :C’est la réplicateur.
Sam 2 :Non, c’est elle.
Jack :AAAAAAAAAAAAHHH !
Elles se turent.
Jack :Une seule à la fois.
Daniel arriva avec le garde à ce moment là.
Jack :Daniel !J’allais vous appeler.
Daniel :Jack, à quoi vous jouez ?
Jack :A vous de voir.
Daniel regarda les deux femmes tour à tour, puis se lança :
Daniel :Sam, comment va votre sœur ?
Sam 1 :Je n’en ai pas Daniel.
Sam 2 :J’allais le dire.
Jack :Carter, comment s’appelle mon chien ?
Sam1 :Vous n’en avez pas mon général.
Sam 2 :Je peux parler oui ?
Jack :AAAAAAAAAAAAHHH !Calmez-vous mesdames.
Il les regarda attentivement.
Jack :Maintenant, je veux que ce soit vous et uniquement vous qui répondiez à ma question.
Il désignait la Sam de droite.
Jack :De quoi avons-nous parlé avant votre départ pour…ici ?
Sam 2 :…Je ne m’en rappelle plus.
Sam 1 :Moi, je m’en rappelle.
Jack :Allez-y.
Sam 1 :Nous avons parlé de votre pari avec Daniel pour choisir le type de planète que nous allions explorer.
Daniel :Vous lui avez dit ?
Jack fit une petite moue.
La réplicateur, voyant qu’elle était coincée se jeta sur son double et la pris en otage.
Sam 2 :Laissez-moi partir et je l’épargnerais.
Ils n’avaient pas le choix. Ils la laissèrent s’en aller avec Sam, mais ils ne la lâchèrent pas des yeux. Pendant que la réplicateur avançait, Sam sortie son couteau et s’entailla un peu la main gauche n‘échappa pas au général. Alors qu’ils arrivaient prés de la porte, Sam se retourna et planta son couteau dans le ventre de son double. Cette dernière le regarda en souriant, puis leva les yeux vers l’autre Sam.
Sam 2 (soupirant) :Les Tau’ri et leurs armes primitives !
Elle prit le couteau de ses deux mains et le retira de son ventre lentement. Son corps se régénéra automatiquement. Tous firent un pas en arrière. Juste à ce moment là, le talkie de Daniel grésilla.
?:Docteur Jackson, ici le colonel Reynolds, nous sommes attaqués…replis immédiat vers la porte des étoiles.
Jack (tournant les talons):Colonel, ici le général O’Neill. On vous ouvre la porte.
John :Bien reçu mon général.
Le général se retourna vers Daniel.
Jack :Ouvrez la porte, je m’occupe des filles.
Le jeune archéologue s’en alla au pas de course pendant que Jack regardait les deux Sam.
Jack :Et maintenant ?
Sam 2 :Maintenant…
Elle lâcha le couteau et se jeta sur son double. Elles chutèrent et commencèrent un combat à mains nues. La réplicateur avait un avantage sur Sam :Elle ne sentait pas les coups. Jack ne savait plus qui était « son » colonel. Soudain, il vit l’éraflure que Sam s’était faite. Il ne la lâchait plus des yeux. Les deux femmes se bâtèrent quelques minutes avant d’entendre des coups de feu. La réplicateur profita du moment d’inattention de sa rivale, pour l’assommer. Elle réussit à s’enfuir malgré que Jack lui ait tiré dessus. Voyant qu’il ne pouvait rien lui faire, il se précipita vers son second qui revenait à elle.
Jack :Ca ira ?
Elle hocha la tête. Ils se retournèrent et virent SG3 tirer contre des soldats ennemis. Pendant ce temps, Daniel avait ouvert la porte.
Daniel :Jack, la voie est libre.
Jack :Très bien, allez-y on vous rejoint.
Le général prit sa radio et contacta SG3 :
Jack :Reynolds, ici O’Neill. Foncez vers la porte, on vous couvre.
John :Bien reçu.
Il fit signe à ses hommes qui ne se firent pas prier et passèrent la porte, suivis des deux militaires.
19h15, SGC, salle d’embarquement :
A peine arrivée, Sam arpenta la grande pièce des yeux.
Sam (inquiète) :Où est le garde ?
Daniel baissa la tête. Elle compris. Le sergent Harriman entra dans la salle en courrant.
Walter :Mon général, les niveaux vingt-trois et onze sont sous l’eau.
Jack réfléchit.
Jack :Ca doit être la réplicateur. Teal’c et Daniel, niveau onze. Carter, avec moi.
Et ils se séparèrent.
19h20, SGC, niveau 24 :
Les deux militaires se plaquèrent contre le mur et s’accrochèrent aux tuyaux d’évacuation. Sam attendait le signal du général pour ouvrir la porte. Jack baissa la main et le colonel tourna la poignet. Sous la pression de l’eau, la porte frappa violemment le mur. Désormais, ils étaient sous l’eau. Les petites bouteilles d’oxygènes ne leur ferait que dix minutes, pas plus. Il fallait qu’ils se dépêchent. Jack et Sam avançaient lentement en direction de l’escalier de secours. Ils montèrent jusqu’au niveau vingt-trois.
19h20, SGC, niveau 11 :
Teal’c et Daniel était déjà entrés dans la salle. Le réservoir était sous l’eau. Daniel s’approcha d’un compteur et leva un levier. Teal’c l’imita avec un autre.
19h25, SGC, niveau 23 :
Ils tournaient en rond. Ils ne leur restaient plus beaucoup de temps et ils n’avaient toujours pas trouvés la fuite. Alors que Jack entamait un énième tour, il s’arrêta devant une étagère métallique. Il la fouilla et vit en dessous, le « transformateur » de la réplicateur. Il essaya de le détacher. L’étagère bougeait dangereusement. Soudain, il réussit à prendre l’objet, mais en le détachant, il emporta avec lui le pied de l’étagère métallique. Elle bascula sur lui. Sous le choc, la bouteille d’oxygène du général fut projetée et vint se perdre sous une autre étagère. Jack n’avait pas eut le temps de réagir. Il n’arrivait pas à se dégager de cette masse et sans sa bouteille, il ne tiendrait pas longtemps.
19h25, SGC, niveau 11 :
La pression était redevenus normale. Ils sortirent de la salle, encore submergée.
Teal’c (enlevant sa bouteille) :Il faut ouvrir la porte des étoiles pour évacuer l’eau de la base.
Daniel acquiesça et ils partirent en direction de la salle de contrôle.
19h28, SGC, niveau 23 :
Jack savait que s’il ne sortait pas tout de suite de cette étagère, il allait y rester. Carter ne venait toujours pas. Il décida de se concentrer sur le « transformateur ». Il y avait trois boutons. Un noir, un blanc et un rouge. Sur le côté de l’appareil se trouvait une petite lumière verte, allumée. Sans doute pour signaler que le processus fonctionnait. Le général appuya sur le bouton noir. La petite lumière clignota et un décompte s’afficha sur le cadran. Il ne fallait pas être devin pour savoir que s’était une bombe ;dix secondes ;la panique l’envahit ;neuf secondes ;une seule erreur et tout exploserait ;huit secondes ;rouge, signe de sang, blanc signe de néant ;sept secondes ;il fallait qu’il se décide ;six secondes ;il en avait vu d’autre pourtant ;cinq secondes ;la pression augmentée ;quatre secondes ;cette fois, ce sera le hasard qui décidera ;trois secondes ;et que personne ne lui dise que le hasard n’existe pas ;deux secondes ;il avala difficilement sa salive ;une seconde ;il appuya sur le bouton…rouge. Le décompte venait de s’arrêter à une seconde. Le hasard ou la chance ?Il laissa tomber le « transformateur » et s’acharna de nouveau sur l’étagère qui ne voulait plus bouger.
19h30, SGC, coté de Sam :
Elle le cherchait. Il était temps qu’ils sortent d’ici. Soudain, elle le vit, sous l’étagère métallique. Il se débattait. Elle s’approcha rapidement de lui. Sa bouteille n’avait plus d’aire, elle la jeta et se précipita sur son supérieur. Il la vit. Elle souleva l’étagère. Il se dégagea enfin. Ils commencèrent à partir, mais Jack semblait suffoquer. Il se noyait. Sam qui avait vu la scène lui attrapa le bras et l’embrassa pour lui donner de l’aire. Il lui restait un peu d’aire qu’elle lui donna. Jack était surpris de son geste, mais se laissa faire. Le général savait qu’elle voulait se sacrifier pur lui, mais dés qu’il eut assé d’aire pour continuer, il se détacha d’elle. Ils repartirent.
6h10, SGC, infirmerie :
Il ouvrit les yeux. Tout était sombre autour de lui. Il était allongé dans un lit. Il n’y avait personne, sauf :
Jack :Carter !
Sam :…mon général.
Jack :Qu’est-ce que vous fabriquez ?
Sam :J’écris mon rapport.
Jack :Ah.
Elle se leva de son lit et s’approcha de son supérieur.
Sam :Alors, comment vous sentez-vous ?
Jack :Sec.
Elle sourit.
Jack :Merci pour…
Sam :Je n’allais pas vous laisser quand même.
Jack :Vous auriez pu.
Sam :Oui, mais si par malheur vous vous en seriez sortit, vous m’auriez fait un rapport.
Ils rirent. Elle remonta sur son lit et se replongea dans son rapport.
Jack :En tout cas, si un jour vous vous noyez, je me ferais un plaisir de vous faite du bouche à bouche.
Elle lui envoya son oreiller à la figure.
FIN

Un petit message pour la fin, sa fait toujours plaisir. Pensez-y !

[Dack]

excellent sinon je crois que la porte a un champ d'énergie qui empeche les gazs et liquides de passer la porte mais on peut pas etre parfait

[Jack]

c'est super. Continue comme ça !!

[Cortex]

Levis :J’ai oublié de vous dire que vos réponse doivent être plausibles, expliquées et objectives, si non…
Sam :Vous me privez de sortie ?

trop marrant, mais ça me rappel un episode d'alias...

[J.O'Neill]

c'est super du début jusqu'a la fin.
Bravo

[Tenerual]

C'est long, mais c'est bon...

[BRAT AC]

bravo ca le fait