Enfin voilà la dernière partie, j'aurais mis le temps
SG1 et SG3 sont maintenant dans une gigantesque salle, qui s'apparente plus à une grotte, ils sont piégés par les armées Oris.
O'neill : Vous allez me dire que que ce truc permet de s'élever !
Carter : je m'attendais à quelques choses de moins........ différent
Daniel : Les archives expliquent que les Anciens utilisaient le noyau de la planète comme source d'énergie pour leur base et cette machine fait parti intégrante de la structure
Reynolds : Qu'est-ce qu'on fait ?
O'neill : J'allais dire la même ?
Daniel : Il ne faut pas que la machine tombe au main des armées Oris.
Teal'c : Il faut détruire la machine.
Carter : L'ennuie c'est je ne vois pas comment détruire l'arme sans détruire la base.
O'neill : Le vaisseau !!!
Carter : Oui, les drônes doivent être assez puissant pour faire le travail.
Daniel : On pourrait pas surcharger la station.
Pendant ce temps de l'autre côté de la porte, les soldats continuent de tirer avec leur lance. Un petit groupe d'hommes arrivent avec une sphère métallique en lévitation et une lance Ori qui aurait pris des kilogrammes en trop. La sphère se pose au sol, sur le dessus on peut voir comme une grosse entaille, l'ennemis pose le canon sur le dessus. Puis un des soldat dirige le canon en direction de la porte et du bout de l'arme une décharge bleue vient percuter la porte générant d'énorme étincelle et des débris métallique. Suite aux premiers impacts, les soldats s'écartent et se mettent en position d'attaque. Puis, le soldat armé du canon réplique et cela régulièrement, l'arme semblait charger son énergie après chaque tire offrant un tant de pause de plus ou moins 5 secondes.
O'neill : Ouh là, ils s'excitent !
Reynolds : Ils vont bientôt débarquer mon général. Quels sont vos ordres ?
O'neill : Carter ?
Carter : Il faut mettre en marche le générateur et le chargé. Et avec le vaisseau ancien on aura plus qu'à détruire la station.
O'neill : On fait comme vous avez dis ! Reynold et vos hommes de chaque côté de la porte. On va essayer de perser en force. Teal'c et Daniel avec moi. Carter.....
Daniel : Et pourquoi pas prendre la porte de derrière ?
O'neill : Euh, je vous demande pardon.
Daniel : Il y a un sas par là.
O'neill : Il mène où ?
Daniel : D'après les plans, nous pouvons rejoindre la salle d'embarcation.
O'neill : Et c'est maintenant que vous le dites ?
Daniel : Mais vous ne m'avez pas laissé le temps de..............
Carter : J'ai besoin de Daniel pour désactiver les protections. Ça peut prendre un certain temps.
O'neill : Bon on en revient au plan A mais sans Daniel.
Carter (à Daniel) : Bon, au travail
O'neill : Les gars en position.
SG-3 se sépare en deux groupes de deux hommes positionnés sur les flans gauche et droite de la porte d'entrée. Teal'c et O'neil près de l'un des pilliers centrales de la salle, un pilier dont le diamètre avoisine les 3 mètres de diamètre?. Tous charges les mitraillettes. Pendant ce temps, Daniel et Carter se penchent sur le terminal central du générateur positionné au centre de la pièce à plus de 30 mètres de la porte d'entrée.
Pendant ce temps, le combat Asgard, terrien et Oris prend toute sa forme. Les deux vaisseaux terriens ont adapté une formation en parallèle tirant simultanément sur le même vaisseau Oris et toujours au plus près. Tandis que les vaisseaux Asgards ont adapté une tactique plutôt aléatoire, fonçant sur un vaisseau sur sa partie supérieur à l'abris de canon principale.
Mitchell (criant sous les multiples bruits d'impacts) : Marks, on s'approche du vaisseau centrale
Vala (se tenant au siège du commandant derrière Mitchell) : Vous voulez détruire la super porte ?
Mitchell : On a pas le choix.
Major Marks : Impossible, sans essuyer un feu nourris.
Vala : Qu'est-ce qu'on fait ?
Mitchell : Je me pose la même question. Colonel Caldwell. Nous n'arrivons pas à atteindre le vaisseau centrale.
Caldwell (à l'écran) : Attaquer le vaisseau pour le moment est du suicide. Il faut adopter une autre tactique.
Mitchell : On s'en sort plutôt bien.
Major Marks : Bouclier à 73%
Mitchell : Enfin presque. On devrait se séparer.
Vala : Et pourquoi pas utiliser les chasseurs ?
Mitchell : Pourquoi faire ?
Vala : Vous m'avez dis que les chasseurs disposent de bouclier et de phaseur Asgard. Qu'ils aillent s'occuper du vaisseau et de la superporte
Caldwell (regardant Mitchell) : ....
Mitchell : Vous en pensez quoi mon colonel.
Caldwell : Que c'est la seule idée qu'on est. On envoit tout les chasseurs disponibles.
Mitchell (regardant Vala avec un sourire) : Vous voyez que vous servez à queques choses.
Caldwell à bord du Dédale avance au bruit des étincelles et entrent en contact avec le chef des escadrilles.
Caldwell : Major Pears, je veux que vous emmeniez l'escadrille en direction du vaisseau centrale. Vous avez ordre de détruire le vaisseau.
Major Pears : Combien d'hommes ?
Caldwell : Tous !
Major Pears : C'est risquez mon colonel !
Caldwell : je sais major, bonne chance.
A bord d'un F-302, le major Pears homme ayant la trentaine devait se résoudre à amener ses hommes face à une lutte sans merci.
Major Pears : Qu'est-ce que tu en pense ?
Capitaine Jeanet : Je pense pas, j'suis la seule nana de l'escadrille.
Major Pears (en communication avec le reste de l'escadrille) : Bon, nous avons l'ordre d'attaquer la vaisseau qui porte la superporte Ori. Essayez de distance les chasseurs.
Capitaine Jeanet : Distancez, major.
Major Pears : je sais, mais en pilotant les F-16 j'avais l'habitude de dire ça. Bon, souhaitons-nous bonne chance.
Capitaine Jeanet : J'appellerais pas ça de la chance.
Ainsi l'escadrille de 15 F-302 se dirigent vers le vaisseau central. Ils avancent à travers un véritable déluge d'arme à énergie, de vaisseaux se croisant. Poursuivit alors par l'escadrille de vaisseaux Oris, les terriens ne pouvaient plus qu'espérer franchir les défenses du vaisseau et donner tout ce qu'il avait pour réussir. Après avoir longer un vaisseau Ori, ils pouvaient voir en ligne directe le vaisseau tant visé. L'espace l'entourant était particulière vide les autres vaisseaux étant bien loin.
Major Pears : Messieur nous voilà à porter de tire, utiliser les phaseurs Asgards.
Lieut
enant Grison (à bord d'un autre chasseur) : Nous sommes limités à quelques tires monsieur.
Ma
jor Pears : Il a raison, nos chasseurs ne peuvent envoyer que 4 ou 5 tires maximum.
Capitaine Jeanet : J'ai peut être une solution mais vous allez pas l'aimer.
Major Pears : Le générateur à naquadria ?
Capitaine Jeanet : Il est connecté à l'hyperpropulsion mais je peux programmer une procédure connectant le générateur au reste des systèmes.
Major Pears : Combien de temps ?
Capitane Jeanet : Quelques minutes ?
Major Pears : A toute l'escadrille, nous allons brancher le générateur à naquadria sur l'armement. Maintenez votre trajectoire.
Pendant ce temps l'escadrille avance toujours en essayant d'éviter les tires ennemis de ses poursuivant toujours derrière elle.
Major Pears : Capitaine ?
Capitaine Jeanet : C'est terminé. A toute l'escadrille, je vous télécharge la procédure
Major Pears : Bravo capitaine. Je vous invite à diner ce soir......... si on s'en sort.
Capitaine Jeanet (parlant au reste de l'escadrille) : Evitez de trop sollicité le générateur, il pourrait exploser à tout moment.
Major Pears : Encourageant. Bon et bien c'est parti.
L'escadrille est donc à porter de tire. Le chasseur de major envoit donc une décharge venant percuter le bouclier du vaisseau ennemis. Les autres chasseurs de l'escadrille font de même. Alors que chaque chasseur a envoyé une salve, une mauvaise surprise leur tombe dessus. D'autres chasseurs ennemis arrivent en face et les attaques.
Major Pears : Rupture de la formation. Vous avez ordre de tirer à volonté, je répète vous avez ordre de tirer à volonté...
C'est alors que deux chasseurs présent de part et d'autres du F-302 du chasseur de Major explose percuté par une arme à énergie venant des chasseurs.
Maj
or Pears : C'est la poisse.
A bord de l'Odyssey, Mitchell écoute attentivement les échanges entre les pilotes de chasseur.
Mitchell : On les a envoyé à la mort.
Vala : Et nous, je vous rappelle qu'on est fichu.
Major Marks : Bouclier à 53%. Les Asgardes ont perdu la moitié de leur flotte. Nous avons des brèches sur les sections lattérales, j'isole les sections endommagés.
Pendant ce temps les équipe SG1 et SG3 doivent faire face à l'arriver imminente des soldats Oris qui vont bientôt percer la porte.
O'neill : Carter.
Carter : On a fini mon général, je viens de déconnecter l'ordinateur. Mais.......
O'neill (Approchant de Carter) : mais quoi ?
Carter : Il n'est pas dis qu'il arrive à rebrancher l'ordinateur et tout annuler.
Daniel : On fait comment ?
O'neil prend son P-90 et tire une grosse rafale sur l'ordinateur, des étincelles jaissent de la console et les lumières de l'interface s'éteignent.
O'neill : C'est bon comme ça ?
Carter (regardant surprise le général) :.............
Teal'c (se rapprochant) : Ils vont percer la porte.
O'neill : On a combien avant que tout saute ?
Carter : Dès que l'alarme retentit, nous aurons 10 minutes avant que tout n'explose.
O'neill : Il faut pas trainer dans ce cas !
Carter : j'en ai profité pour télécharger les plans du réacteur. On pourra nous aussi exploiter l'énergie du noyau d'une planète.
Et l'alarme retentit.
O'neill : C'est pas bon ça.
Teal'c : on devrait partir !
Colonel Reynolds (criant): Mon général, ils vont entrer
Dans un bruit sourd, le centre centre de la porte est percé, une grande quantité de projectile sont expulsés et de la fumée épaisse apparait. Les soldats Oris pénètrent dans la grotte par l'ouverture créée et tirent à vue. Les équipes terriennes répliquent et reculent tout en couvrant leur arrière. Le général O'neill ordonne le replit.
O'neill (vidant le magasin de P-90) : Dépêchez-vous
Sous l'ordre de replis, les deux équipes SG fuit par l'issu de derrière et se mettent à courir très rapidement dans les couloirs. O'neill en profite pour lancer deux grenades en direction de la porte qu'ils viennent d'emprunter. L'explosion fait s'effondrer des morceaux du murs mais durant l'éboulement, un tire ennemis arrive à toucher un des soldats de l'équipe de SG-3, le soldat est touché en plein dans la cuisse. Reynolds et Teal'c prennent le soldat de chaque côté et le soulèvent et courent dans les couloirs. O'neill reste en arrière pour vérifier que personne les surveilles.
Il ne reste plus que 5 minutes avant l'explosion de la base et les deux équipes terriennes arrivent seulement au vaisseau. Durant leur course, O'neill profite de fermer chaque porte derrière eux jusqu'à leur arriver à la passerelle.
Carter : Mon général installez-vous sur le siège.
O'neill : Vous êtes sûr ?
Daniel : Jacques
O'neill : Très bien.
Renynolds (penché sur son soldat et maintenant sa jambe) : c'est pas méchant, il va s'en sortir
Teal'c (approchant de l'écran principal de la passerelle) : Deux vaisseaux oris approchent de notre position.
Carter : Mon général, il faut se désengager.
O'neill (fermant les yeux) : Absorbeur inertie pleine puissant et boucleir activer. On décolle.
Le vaisseau de classe Aurore se désarrime de la base sous les tires des deux vaisseaux Oris. A l'intérieur, des étincelles jaillissent des consoles.
Carter : Bouclier à 95%. Mais leurs tires nous ralentissement
Daniel : Combien de temps avant l'explosion ?
Carter (penché sur la console principale du vaisseau) : trop peu de temps.
Teal'c : Il faut s'éloigner le plus possible et mettre toute la puissance sur les boucliers.
Reynolds : Mon général, attaquez l'ennemis
O'neill : j'ai compris !
O'neill referme les yeux c'est alors qu'une nuée de drône sortent par le dessus du vaisseau et se dirigent droit vers les vaisseaux Oris. Les premiers drônes percutent le bouclier sans générer aucun dégât.
Carter : Les drônes n'arrivent pas à faire de dégâts sur les vaisseaux. Leur boulier tiennent bon.
Reynolds : Comment est-ce possible ?
O'neill : Je tente le tout pour le. Pleine puissance sur la propulsion.
Le vaisseau s'éloigne plus rapidement de la base, le général O'neill a fais le choix de diminuer l'apport en énergie sur les boucliers afin de s'éloigner un maximum.
Carter : La base va exploser d'une minute à l'autre. Les vaisseaux Oris nous poursuivent
C'est alors que la base explose. Une gigantesque explosion de lumière très clair vient illuminer l'espace obscure avoisinant, les astéroïdes sont projetés dans tout les sens, certains d'entrent eux sont propulsés contre les vaisseaux Oris qui arrivent à tenir le choc lors de l'impact. Puis l'onde de choc de l'explosion percutent à son tour les deux vaisseaux ennemis qui disparaissent tout deux dans une explosion aveuglante.
Carter : Mon général
O'neill : Pleine puissance sur les boucliers
L'onde de choc percute le vaisseau ancien. Tout l'intérieur du vaisseau tremble, les étincelles apparaissent de partout, tout le monde tombent à terre. Mais le vaisseau a tenu le coup. Le pire a été évité. O'neill se lève de son siège et se dirige vers son équipe.
O'neill : Vous allez bien les enfants ?
Carter : je crois que oui
O'neill : Doucement
Daniel (se relevant) : Je vais bien
Teal'c : Idem ici
Reynolds : Personne n'a rien
Soldat blessé (souffrant de sa blessure) : Parlez pour vous mon colonel.
Reynold (se penchant) : ça resaigne, je vais arranger ça.
Carter (revenant sur la console) : La base a entière été détruite.... les Vaisseaux Oris ont été détruits
O'neill : Bien fais pour eux.
Carter : La coque est intact...... bouclier à 32%........ mais de nombreux système sont surchargés, je vais devoir procéder à des dérivations.
Daniel : Qu'est-ce qu'on fait ?
Teal'c : Il faut retourner sur la planète Asgard. Ils ont besoin de nous.
O'neill : Le vaisseau est en état de marche.
Carter : L'hyperpropulsion fonction, il nous faudra une heure pour atteindre la planète Asgard.
O'neill : On perd pas de temps, on retourne là-bas.
La vaisseau ancien ouvre une fênetre d'hyper espace et disparait dans un nuage de lumière. Pendant ce temps, l'Odyssey est sous le feu ennemis.
Major Marks : il nous reste que 5 F-302 et ils sont en difficultés
Vala : il n'y a pas que.
Mitchell : Toutes les batteries sur les chasseurs environnant. On se dirige vers le vaisseau principal.
Major Marks : On va essuyer un feu nourri.
Mitchell: C'est déjà le cas major.
Major Marks : .......
L'Odyssey se dirige donc en direction du vaisseau Oris. Proche de lui, un vaisseau Asgard explose, et les chasseurs ennemis viennent dans tout les sens. L'Odyssey lors de sa longue approche en profite pour détruire des dizaines de chasseurs ennemis. A bord, du Dédale, c'est la stupeur :
Pilote : L'Odyssey se dirige droit vers le vaisseau mère ennemis
Caldwell (en communication) : Mitchell, vous voulez faire quoi ?
Mitchell (par écran) : on doit tenter le tout pour le tout. Il faut détruire le vaisseau mère ennemis, sinon c'est fini des Asgards.
Pilote : Il a raison. La vaisseau mère Ori enclenche son arme principal.
Caldwell : Mitchell faite vite, il s'apprète à faire feu.
A bord de son F-302, le major Pears entend la nouvelle.
Major Pears : Tu entends.
Capitaine Jeannet : on ne peut plus rien faire, nous n'avons plus assez d'énergie, si nous sollicitons le naquadriah, on est mort.
Lieutenant Grison (A bord de son chasseur endommagé): Major, je suis touché, je ne vais pas m'en sortir.
Major Pears : On vous couvre, regagner l'Odyssey.
Lieutenant Grison : Négatif, major. J'ai pas l'intension de mourir sans les envoyer en enfer.
Major Pears : Lieutenant, qu'allez-vous faire. Revenez sur l'Odyssey c'est un ordre
Le F-302 du lieutenant Grison se dirige vers le vaisseau mère Ori, le lieutenant évite tant bien que mal les assaults des chasseurs ennemis. Le lieutenant à surcharger son générateur à naquadriah, la console indique qu'il va exploser d'ici peu. Puis, le lieutenant dit : c'est un honneur d'avoir servi avec vous les amis. Et sur ces derniers mots, le F-302 vien percuter le bouclier du vaisseau mère Ori, déclenchant une explosion aveuglante. Contre toute attentent, un second F-302 fait pareil. Les deux explosions simultanés sont si puissante que le vaisseau mère Ori se met à trembler, et les composants de la super porte Ori finissent par se détacher comme s'il n'était plus alimenté par le maintient magnétique qui les tenaient jusque là.
Capitaine Jeannet : c'est terminé. Il ne reste plus que nous.
Major Pears : On devrait faire pareil. On finirait par les achever
Capitaine Jeannet : je ne suis pas d'accord major. Il faut rentrer sur l'Odyssey.
Major Pears (hésitant) : Très bien. On rentre au bercail. Accroche-toi ?
Le F-302 du major Pears change de trajectoire et se dirige droit vers l'Odyssey qui essuie continuellement les tires ennemis. C'est alors que le Dédale vient seconder l'Odyssey. La bataille est rude.
Major Marks : Le dédale est en plein dans nos 6 heures, il nous couvre mais eux aussi essuie un tire nourrit. Nous n'avons plus qu'un F-302, il n'a plus de munition.
Mitchell: Qu'il rentre dans le hangar tribord.
Pendant ce temps, le vaisseau Ancien file dans l'hyper espace.
Carter : Nous arriverons dans 5 minutes.
[/B] : SG-3 s'est installé dans l'infirmerie, il soigne le sergeant.
O'neill : Je ne comprends pas, pourquoi les drônes n'ont rien pu faire.
Teal'c : Ils se sont protéger contre ce type d'armes
Carter : Pas du tout. Un drône possède son propre bouclier, et en fonction de la fréquente, il le franchit. Seulement, le bouclier des Oris est un bouclier à modulation de fréquence comme celui des boucliers Asgard et des vaisseaux anciens.
O'neil : ça veut dire quoi
Carter : Les drônes communiquent entre eux par un signal subspatial, les premiers viennent percuter le bouclier et informe les autres des fréquences. Les premiers drônes n'ont pas réussi à passer à travers le bouclier.
Teal''c : Mais les autres le pourraient grâce au premier drône qui communiquent aux autres la nouvelle fréquence
Carter : Exactement.
O'neill : Donc il faut juste attendre que les drônes fassent leur effet.
Daniel : Et on s'en sort comment ?
Carter : Pas génial. Le vaisseau est endommagé, les boucliers sont à 50%, les drônes fonctionnent mais pas le reste de l'armement. J'ai procédé à des dérivations mais je ne suis pas sûr que ça suffira.
O'neill : On verra bien.
Le Dédale couvre toujours l'Odyssey. Le F-302 est en approche du hangar qui vient d'ouvrir ses portes. C'est alors que le F-302 est touché par un tire de chasseur sur l'un des propulseur. L'impact fait dévier la trajectoire du chasseur terrien, de la fumé sort par l'arrière.
Capitaine jeannet : On est touché
Major Pears : Sans blague
Capitaine jeannet : On a un second problème, on ne pourra pas franchir le bouclier de l'Odyssey.
Major Pears : on active le notre, on pourra passer
Capitaine Jeannet : Le générateur a naquadriah va exploser.
Major Pears : On le sollicitera pendant quelques secondes
Capitaine Jeannet : ça le fera.
Major Pears : Bon capitaine, c'est décidé, je suis en pétard.
Le F-302 reprend la trajectoire d'entrer, toujours poursuivit par les chasseurs ennemis. Le chasseur avance à pleine puissance, et à quelques kilomètres du hangar, ralentit brutalement. Alors qu'il n'est qu'à quelques centaines de mètres du hangar, le major ordonne d'activer le bouclier quelques secondes avant de franchir le bouclier du vaisseau. Le F-302 passe le bouclier et entre dans le Hangar. Les trois chasseurs ennemis qui le poursuivaient percutent le bouclier et explosent. Le capitaine désactive le bouclier et le major entâme une procédure de ralentissement impossible.
Capitaine Jeannet (ferme les yeux) : On est foutu.
Le F-302 percute le sol, et se met à tourner dans tout les sens, une des ailes est parti en éclat lors de l'impact, le chasseur glisse le long du hangar et vient percuter violemment le mur du fond explosant la dernière aile. Les deux militaires sont alors secoués dans tout les sens. Le major Pears relève la tête, enlève ses sécurités et se retournent vers le capitaine.
Major Pears : Capitaine ?
Capitaine Jeannet (relève la tête avec un peu de sang sur le front) : Major, vous êtes un malade.
Major Pears : On est vivant
Capitaine Jeannet : Le générateur à naquadria est intact.
Major Pears : Allez, on dégage.
Les deux militaires s'entreaident pour sortir du vaisseau en épave. Une équipe d'infirmier arrive avec des valises de secours. Le capitaine se retoure devant l'épave du F-302 :
Capitaine Jeannet : On s'en ait sorti comment ?
Major Pears : Je sais pas, mais ce chasseur est bon pour la casse. On recommence quand vous voulez
Sur la passerelle, les étincelles jaissent de partout
Major Marks : Bouclier à 23 %. Je détecte une importe source d'énergie venant du vaisseau Ori
Vala : Ils vont tirer.
Mitchell : on se met entre le tire et la planète.
Major Marks : attends, je détecte une fênetre d'hyper espace. C'est un vaisseau de classe Aurore
Vala : Les revoilà.
Le vaisseau ancien sort de l'hyper espace et attaque les premiers vaisseaux Oris.
O'neill (assis dans le siège des anciens) : Où en est la situation
Carter : Il reste deux vaisseaux Asgards, le Dédale et l'Odyssey. Le vaisseau mère aussi est intact et il reste 6 vaisseaux Oris.
Daniel : On a pris une raclé !
O'neill : j'envoie la sauce.
Les drônes sortent du vaisseau ancien. La nué vient percuter simultanément deux vaisseaux Oris qui explosent après plusieurs impacts. Les 4 derniers vaisseaux Oris changent leur trajectoire et viennent attaquer le vaisseau ancien; leur arme principal viennent percuter le vaisseau.
Carter : Multiple brèche dans la coque. Bouclier à 15%
O'neill : je n'ai presque plus de drône
Mitchell (apparaissant à l'écran) : Content de voir voir.
Vala (à côté) : il faut détruire le vaisseau mère
O'neill : ça ne sera pas possible.
Teal'c : je crois que si général
Daniel : Une mission kamicaze.
O'neill : Encore ! Vous avez pas d'autres idées.
Carter : On abandonne le vaisseau.
Mitchell : on va vous téléporter.
O'neill : je dirige le vaisseau sur le vaisseau mère. Je libère tout les drônes.
Carter : Cameron, j'ai harmonisé les boucliers, vous nous téléportez quand vous voulez.
C'est alors que SG1 et SG3 sont téléportés sur la passerelle de l'Odyssey.
Mitchell : J'suis content de vous revoir.
O'neill : Major, où on en est.
Major Marks : le vaisseau ancien se dirige droit vers le vaisseau mère. Mais les 4 autres vaisseaux Oris l'attaquent. Le vaisseau ancien va perdre ses boucliers.
O'neill : On va....
Thor (apparaissant sur l'écran) : O'neill !
O'neill : Toujours avec nous.
Thor : Que faites-vous ?
O'neill : On s'apprête à scratcher le vaisseau ancien.
Thor : La probabilité que le vaisseau arrive à ses fins sont quasi nul.
Mitchell : On a qu'à le couvrir.
O'neill : Vous avez raison. (au major marks) On se dirige vers la flotte Oris.
Thor : Vous avez déjà fais beaucoup. La fin des Asgards est écrite depuis longtemps. Ne faites pas les mêmes erreurs que nous.
Carter : Qu'allez-vous faire ?
Teal'c : Vous allez droit au suicide !
Thor : Vous êtes la cinquiète race, votre rôle est clair. S'il y a des chances d'un avenir radieux, cela repose uniquement sur votre peuple. Je vous laisse notre héritage mes amis. Adieu
O'neill : Thor ! Repondez !
Major Marks : les deux vaisseaux Asgards ont changé leur trajectoire et se dirigent droit vers les vaisseaux Oris.
O'neill : Parez à faire feu. On donne tous ce qu'on a.
Les deux vaisseaux Asgards envoyent de nombreuses déchargent à plasma en direction des quatres vaisseaux Oris et continuent leur progression. Les deux vaisseaux terriens suivent derrière et se mettent à porter pour seconder les vaisseaux Asgards.
Marjor Marks : on y arrivera pas. Nous allons manquer de puissance mon général. Les capteurs indiquent que le vaisseau ancien va perdre ses boucliers.
O'neill : Mettez toute la puissance sur les phaseurs.
C'est alors que le vaisseau ancien perd ses boucliers. Et dans le même moment, les deux vaisseaux Asgards percutent chacun un croiseur Ori qui explosent sur le coup. L'explosion et les débris de l'un des deux vaisseaux détruits viennent percuter l'un des deux derniers croiseurs ennemis faisant dévier ce dernier.
Major Marks : Les asgards ne sont plus là. Il reste encore deux vaisseaux Oris l'un d'entre eux semblent endommager.
O'neill (enrager): Mettez toutes la puissance sur ces fumiers. Envoyez tous ce qu'on a. Envoyez les moi en enfer.
Les deux vaisseaux terriens continuent avec les déchargent à plasma et complètent leur tire avec une nuée de missiles. Le vaisseau Ori endommagé explose sur le coup et le second se retrouve submerger par une nué de tires à plasma entrainant son explosion à lui aussi. A bord de l'Odyssey, l'ambiance est froide.
Major Marks : La flotte Ori est détruite. Le vaisseau ancien va percuter le dernier dans 5 secondes.
Le vaisseau ancien finit par percuter le vaisseau mère Ori par l'arrière alors que celui-ci est entourer des éléments de la super porte flottant autour de lui. Alors qu'il explose à partir de l'arrière, un faisceau d'énergie est projeté sur la planète puis le vaisseau Ori explose totalement dans une formidable boule de feu.
Major Marks : Le vaisseau est détruit
Mitchell : Parfait, on a gagné.
Carter (penché sur le console de vaisseau près de Marks) : Attendez, ils ont eu le temps de tirer sur la planète.
O'neill : C'est pas possible.
Vala : Pourtant, on l'a détruit
Teal'c (regardant vers le hublot) : Regardez la planète s'effondre
C'est alors de ce qui reste du nuage de débris produit par la destruction du vaisseau Ori, sortent les éléments de la super porte. Ces derniers prennent position en orbite autour de la planète et forme une super porte complète. Pendant ce temps, la planète s'effondre et la singularité qui en découle se jète sur la super porte.
Carter : La porte est en place.
Vala : La civilisation Asgard est détruite ?
Daniel (désemparé) : On a fais tout ça pour rien.
Teal'c : Nous avons détruit une flotte Ori
O'neill : Et à quel prix ?
Caldwell (apparaissant à l'écran) : Mon général, que faisons-nous ?
O'neill (démoralisé) : Je ne sais pas.
Caldwell (apparaissant à l'écran) : le Dédale est sévèrement endommagé, nous devons procéder à des réparations
Carter : Pareil ici, mon général.
O'neill (approchant du hublot) : Procédons à la réparation des vaisseaux et rentrons à la maison.
Après plusieurs heures, Mitchell discute dans un couloir avec Vala et Daniel.
Mitchell : Vous pensez qu'on pourra reproduire cette technologie sur les notre.
Vala : C'est fortement probable. C'est plutôt impressionnant que les Asgards est pensé à nous laisser leur connaissance. Ça fais bizarre
Daniel : Il voulait nous aider. Incapable de se sauver eux-même, ils se sont sacrifiés pour nous.
Vala : Les réparations avancent.
Mitchell : Carter a dis qu'on est mal en point mais on devrait pouvoir rentrer chez nous dans quelques heures.
Vala : Vous avez pas peur que d'autres vaisseaux arrivent par la porte.
Mitchell : Vu la cuisante défaite et l'envoie de tout les moyens qu'il avait. Ils vont avoir du mal à se relever.
L'alarme retentit alors dans le vaisseau.
Mitchell : Je crois que j'ai parlé trop vite.
Les trois coéquipier courent jusqu'à la passerelle.
Mitchell : Qu'est-ce qui se passe ?
Carter : La super porte s'active.
O'neill : Préparez l'armement.
Carter : Mon général, on est pas en état de se battre. Les boucliers sont rechargés à 50% et le Dédale et l'Odyssey présente d'important dégat sur la coque.
Mitchell : On doit s'en aller.
C'est alors que la super porte Ori s'ouvre et que quatre vaisseaux Ori sortent et se mettent en formation.
Mitchell : Les Asgards sont morts et la clés des trésor infinis détruites. Ils n'ont plus rien à faire ici.
Daniel : Mitchell a raison. On devrait partir.
O'neill : Très bien. On y va.
Tout à coup, le vaisseau se met à trembler, les étincelles apparaissent partout dans le vaisseau.
O'neill : On dégâge.
Les deux vaisseaux font demi tour et se propulsent loin de leur position. Carter en salle des machines expliquent que l'hyper propulsion est déconnecté, que cela va prendre quelques minutes.
Caldwell (à l'écran) : Mon général, on est prêt à partir en hyper espace.
O'neill : Allez y, on vous suit.
Caldwell : Mon général !
O'neill : Colonel c'est un ordre.
Le Dédale finit par entrer en hyper espace. O'neill au siège de commandement demande que l'Odyssey fasse demi tour et tire à volonter sur un des vaisseaux Oris. Après de nombreux tirent le vaisseaux Ori explose. Le vaisseau terrien est pris au piège et se retrouve cerner par les autres.
Major Marks : Le bouclier va nous lâcher.
O'neill : CARTER
Dans la salle des machines, Carter procède à des manipulations sur l'interface Asgard. L'Odyssey perd ses boucliers et alors que le dernier tire va les achever, il s'arrête lentement et se stop net à seulement quelques mètres du vaisseau. Le calme règne dans le vaisseau, l'équipage est surpris.
O'neill : Carter ?
Carter (à la radio) : J'ai activité une bulle temporelle autour du vaisseau.
O'neill : Si vous le dites.
Carter : Le temps s'écoule plus vite à bord du vaisseau. Ça va nous permettre de gagner un peu de temps.
En salle de réunion, l'équipe SG1 est au grand complet et font un rapide tour de la situation avec le général O'neill.
O'neill : Alors on est coincé dans une bulle temporelle et on va faire quoi ? Du roller
Carter : On devrait avoir le temps de trouver une situation à notre problème.
Mitchell : Déjà réglons le problème. Et réparons le vaisseau et ensuite on sera prêt au combat
Carter: toute l'énergie est concentré sur la boucle temporelle. On peut réparer le vaisseau mais pas recharger les boucliers
Mitchell : Et on ne peut pas s'enfuir en F-302, puisqu'on en a plus.
Daniel : Et se téléporter est impossible, il n'y a pas de planète à porter.
O'neill : On attend que le Dédale revienne avec des renforts
Vala : On est dans une boucle temporelle. Si on passe des années dans cette boucle temporelle, il s'écoulera tout au plus quelques secondes dehors.
Carter : Je propose de recréer la machine de merlin et ainsi nous déphaserons le vaisseau.
O'neill : C'est génial, j'adore. Faites donc ça.
Carter : ça risque de prendre du temps.
Mitchell : Combien ?
Carter : 3 mois plus ou moins
Daniel/Vala/Mitchel/O'neill : 3 mois
O'neill : Vous voulez rire
Carter : Pas vraiment mon général.
L'équipage s'est mis au rétablissement de l'Odyssey. Chacun vaquent à ses occupations et effectuent les différentes tâches nécessaires aux réparations. Au bout de 2 semaines, Carter décide de réunir SG1 et le général O'neill afin d'évoquer sa découverte.
Carter : Avant de construire le déphaseur de Merlin, j'ai décidé de faire une simulation. Et ça ne marchera pas !
Mitchell : Vous voulez dire que ça a pris deux semaines pour découvrir que cette idée ne marcherait pas?
Carter : Je suis désolée. J'essayais d'ajuster les paramètres. Selon Thor, le problème est qu'il semble impossible de déphaser le vaisseau, avant de couper le champ.Et une fois le champ de dilatation désactivé, nous avons 0,86 s avant que la décharge nous atteigne et c'est simplement trop court pour déphaser le vaisseau.
Mitchell : OK, passons au plan B.
O'neill : Quel plan B
Mitchell : On peut pas se servir de l'E2PZ ?
Carter : L'E2PZ alimente la machine temporelle et la génératrice Asgard est presque épuisé.
O'neill : On fait quoi ?
Carter: Il me faut du temps.
O'neill : Encore ! On me l'a déjà fais
Carter : OK, ça fait seulement deux semaines.
O'neill : J'ai un problème avec le mot "seulement".
Carter : La bonne nouvelle c'est que les Asgards nous ont offert des technologies vraiment étonnantes.
Mitchell : Mais rien qui puisse nous sortir de ce pétrin!
Carter : Ça je ne le sais pas encore. Néanmoins, une modification mineure du téléporteur, le transformera en un synthétiseur, qui nous permettra de produire de la nourriture, de l'eau, de l'oxygène, à peu près tout ce dont nous avons besoin.
Mitchell : Sauf un moyen de quitter ce vaisseau!
O'neill : Je doute que Carter ait même entamé la surface de ce qui est possible. Bon les enfants, vacance forcé.
Cela fait 3 mois, que l'équipage est bloqué à bord du vaisseau, tout le monde trouve de quoi s'occuper, il règne une ambiance apaisante à bord de l'Odyssey. Alors que tout est calme, Daniel et Vala discute dans la chambre de Daniel. Ce dernier lui fait part de sa découverte de la base de donnée;
Daniel (à Vala) : En fait, tout ce qu'ils voulaient c'était juste vivre un peu plus longtemps. Nous ne sommes pas différents. Séquençage de l'ADN. Guérison des maladies. Et une seule...erreur fatale, et ils condamnent leur race entière. J'imagine que, quoi qu'on fasse, en fin de compte... la vie est trop courte.
Vala (enlevant son pull) : Je suis d'accord.
Daniel : Qu'est-ce que tu fais?
Vala : Quelque chose que nous aurions dû faire il y a bien longtemps.
Daniel : Ne fais pas ça.
Vala : Pourquoi pas? Nous sommes là depuis trois mois
Daniel : TROIS........ MOIS
Vala : Tu es hétéro...
Daniel : Oui!
Vala : Eh bien, je ne vois pas vraiment d'autres choix ici, et toi? A moins que, tu ne... me trouves vraiment pas attirante.
Daniel : Est-ce que tu veux une réponse honnête à cette question?
Vala : Non, j'y tiens pas.
Daniel : Non sérieusement, c'est toi qui a commencé! Veux-tu une réponse honnête à cette question?
Vala (se rabillant ) : Non, ne te fatigue pas.
Daniel : Crois-tu que je puisse avoir un quelconque sentiment sérieux pour toi?
Vala : Je ne suggérais pas que tu aies de sérieux sentiments, Daniel.
Daniel : Et quoi? Quoi alors? On couche une fois ensemble, et après? On travaille ensemble! Tu sais, rien que le dire à voix haute semble incroyable. C'est que... Allons! Je ne peux même pas imaginer à quoi ressemblerait une relation avec toi! Je sais, oui, oui, tu as prouvé être... digne de confiance, du point de vue professionnel et je suis très fier de toi, mais sur le plan personnel? Vala, allons, lâche-moi! Au mieux, tu es une loque instable au niveau émotionnel. Je ne dis pas que je suis beaucoup mieux! Il fut un temps où je pensais que jamais je n'oublierais ma femme. Juste l'idée... d'être blessé de cette manière encore une fois. Et je suis enfin à l'endroit. Je suis enfin, pour la première fois depuis longtemps, à l'endroit où je peux enfin sentir que je pourrais devenir de nouveau intime avec quelqu'un. Mais jamais au grand jamais, je n'envisagerais que tu sois cette personne! Nous sommes... tellement opposés et dépareillés que ce n'est même pas marrant.
Et le pire, le pire dans tout ça c'est que, tu le sais! Et toutes ces avances sexuelles que tu fais, c'est juste pour pouvoir rire à mes dépens. Alors je suis désolé si je ne m'y montre pas très sensible et je suis vraiment désolé que tu t'ennuies. Et ne prétends pas qu'il s'agisse d'autre chose...... Ne fais pas semblant d'être blessée.
Vala (pleurant) : Donne-moi juste une minute.
Daniel (s'avançant vers elle) Hé. Regarde-moi. (lui saisisant le visage et la regardant dans les yeux) : Tu ferais mieux de ne pas déconner avec moi.
Et Daniel embrasse Vala. Pendant ce temps, Carter est venu rendre visite à O'neill dans ses quartiers
O'neill : Entre. Alors tu avance bien
Carter : Difficilement mon général
O'neill : Sam, qu'est-ce que j'ai dis ? Tant qu'on reste dans ces conditions, tu oublie les mon général.
Carter : L'habitude.
O'neill : Alors, où en es-tu ?
Carter : Pas grand chose. J'ai découvert tout à un tas de chose qui n'ont aucun rapport avec notre situation
O'neill : Tu es intelligente. Tu nous sortiras de là.
Carter : Je voulais savoir. (hésitante) Et vous, vous allez comment. J'ai remarqué que vous n'étiez pas dans votre assiette.
O'neill : Je suis enfermé dans un vaisseau depuis trois mois. Et même pas une game boy pour me détendre
Carter : ça ne serait pas la mort des Asgards qui vous met dans cet état.
O'neill : Ah tu veux parler de ça.......... Si, on peut dire ça.
Carter : Vous voulez en parler.
O'neill : j'y tiens pas
Carter (tournant le regard) : Je vois !
O'neill : Ok ! On a pas pu les sauver. Ils se sont sacrifiés, nous ont donné leur connaissance et on a rien pu faire pour eux.
Carter : Je me sens coupable de rien n'avoir pu faire pour l'en empêcher
O'neill : C'est pas de votre faute. Ce sont les Oris.
Carter (l'arme à l'oeil) : Qu'est-ce qu'on va devenir sans eux.
O'neill : Comme toujours de notre mieux. Thor était devenu un ami et voir son vaisseau explosé pour une cause perdue..... j'ai du mal à l'accepter.
Carter se met alors à pleurer, O'neill un peu dans l'embarras saisie sa subordonnée dans ses bras et la serre fort contre lui. Il lui rappelle qu'il est là.
Les mois défilent à bord de l'Odyssey. L'équipage essait de se trouver une occupation. Mitchell et Teal'c s'entrainent tout les jours au combat, Daniel occupe ses jours à lire la base de donnée Asgard et Vala et Carter travaillent d'arrache pied pour se sortir de la situation. Les mois et les années défilent, tous semblent avoir perdu l'espoir. Parfois désespéré comme Mitchell qui a mis à sac plus d'une fois sa chambre. Chacun à un moment donné a eu besoin de craquer ou de se trouver de nouvelles occupations. Cela fait 10 ans que l'équipage, soit quelques 200 personnes, sont enfermés. Au messe des officiers, tout les membres de SG1 sont réunis.
Mitchell : Quand je disais que je voulais réunir SG1, je pensais pas que je passerais 10 ans à vivre au quotidien avec eux.
Daniel : tu l'as déjà dis.
Teal'c : Et la veille aussi.
Mitchell : Désolé.
O'neill : on se calme les enfants.
Carter : j'ai trouvé un moyen d'inverser la boucle temporelle.
O'neill (rompant le long silence) : Quoi ?
Carter : L'ennuie c'est qu'on a pas l'énergie pour le faire.
Vala : Et l'E2PZ ?
Carter : J'y ai réfléchis, mais le vaisseau serait détruis avant que la boucle s'inverse.
Daniel : Donc on va rester coincer
Carter : J'ai remplacé le problème par un autre. Excusez-moi !
Mitchell (regardant par la fênetre) : Tu te rappelle quand la machine de merlin n'était plus alimenté. J'ai utilisé une lance Ori pour l'alimenter.
Carter : Oui, en effet. Tu veux en venir où ?
Mitchell (saisisant Carter et l'amenant devant la fenêtre) : ça te suffit
Carter : Mais même si j'arrive à canaliser l'énergie du tir..........
O'neill (avec un grans sourire) : elle a trouvé.
Teal'c : En effet !
Carter : Seulement, il y a un problème si on fait ça, rien ne nous empêchera de recréer une nouvelle boucle temporelle.
Daniel : ça veut dire que quelqu'un doit rester.
O'neill : C'est-à-dire ?
Carter : Nous allons désactiver la boucle temporelle. L'arme Ori va détruire l'Odyssey. Si nous canalisons suffisamment d'énergie, la boucle temporelle va s'inverser et nous en reviendrons au début. Mais il faut exclure quelqu'un de l'équation.
Vala : Quelqu'un devra garder ses 10 ans de plus.
Carter : Oui
Teal'c : Je le ferais.
O'neill : Il en est hors de question. je vais le faire.
Michell : Tu as quel âge Teal'c, 117 ans.
Vala : tu as vieilli tout autant que nous
Teal'c : Mais je vivrais encore de nombreuses années, c'est ce qui fait que je suis le plus apte à accomplir cette mission.
Mitchell : tu es sûr
Teal'c : Montres-moi ce que je dois faire.
Dans un des nombreux couloirs, Daniel et Vala se parlent et expliquent qu'ils ne sont pas mis ensemble parce qu'ils étaient enfermés dans ce vaisseau. SG1 et O'neill se réunissent en salle des machines.
Carter : On va procéder ainsi. Teal'c, tu vas te mettre dans le hangar à F-302. Tu seras protéger par un bouclier individuel. Et tu garde avec toi ce cristal. Dedans est enfermé tout les protocoles de dérivation. Une fois connecté à l'ordinateur, en quelques secondes, l'ordinateur va procéder à la mise en place des dérivations et réactiver l'hyperpropulsion.
Teal'c (hôchant la tête) : j'ai compris
Carter : Je vais désactiver la boucle temporelle. Le vaisseau sera détruit par le tir Ori, puis la boucle va s'inverser et nous reviendrons avant l'instauration de la boucle.
Mitchell : On ne peut pas gagner quelques minutes ?
Daniel : Il a raison. On sera sans bouclier et à la merci des Oris.
Carter : Je peux nous faire gagner une ou deux minutes mais pas plus, la machine sera incapable de gérer le paradoxe qu'il en découlera.
O'neill : ça veut dire qu'on ne se souviendra plus de rien ?
Carter : C'est tout à fais ça.
O'neill (regardant Carter avec un sourire) : C'est dommage, j'ai quelques bons moments en tête.
Carter (souriant) : Oui
Vala : Bon c'est bien beau tout ça. On y va.
O'neill : Teal'c. Mets-toi en position.
Teal'c (hôchant la tête et partant) : ..........
O'neill (appelant Teal'c qui se retourne) : Merci
Teal'c : En effet.
Teal'c se met en position dans le hangar à F-302 complètement vide. Un champs d'énergie l'entoure. O'neill averti l'équipage de la marche à suivre puis Carter, en salle des machines, désactive le champs temporelle. Le tir à énergie percute le vaisseau qui explose entièrement. Puis, le temps s'inverse et le vaisseau se reconstitut. Les évènements à bord du vaisseau sont redevenus comme avant.
O'neill est à la passerelle avec Daniel et Mitchell. Le major Marks indique que les boucliers vont céder. Carter en salle des machines se penchent sur l'ordinateur Asgard quand Teal'c vient l'en empêcher.
Teal'c (tendant le cristal) : Je vous le déconseille.
A bord d'un vaisseau Ori, le prêcheur est stupéfait de voir ce qui arrive. Le vaisseau s'est reconstitué, il se lève de son siège se demandant comment cela était-il possible. Devant l'hésitation, il voit le vaisseau Odyssey partir en hyper-espace.
Après quelques instants, les trois vaisseaux Ori partent en hyper espace laissant la super porte en sommeil et dans le vide spatial. Quelques minutes plus tard, dans le vide cosmique non loin de la superporte, un vaisseau apparaît de nul de part. Un vaisseau Asgard de classe O'neill s'est désocculté. Dans une pièce bien vide, un caisson s'ouvre laissant une créature nue sortir et tomber à genou. A travers, la brume, on peux voir une créature à la peau grise avec une tête disproportionné et des yeux noirs. Il s'agit d'un Asgard, plus précisément d'un ancêtre Asgard. L'alien semble avoir froid, il tremble. Un second alien vêtu d'une combinaison noir partant du cou jusqu'aux mollets, ressemblant lui aussi à un des ancêtres Asgard, le recouvre d'un drap souple à l'aspect métallisé. Et dans la langue Asgard, il lui demande :
Alien : Vous allez bien Thor.
Thor : Ces sensation sont étranges, je n'avais rien senti de tel.
Alien : Vous vous y ferez vite.
Thor : Heguir, fais-moi ton rapport.
Heguir : Orrila a été détruite, et une nouvelle super porte Ori est en place. Les terriens ont détruis toutes la flotte Ori sacrifiant le vaisseau ancien. 4 autres vaisseaux ennemis ont emprunté la super porte. Les terriens se sont enfuis en hyper-espace.
Thor : Parfait !
Heguir : je tenais à m'excuser Thor. Vous aviez raison, ils ont su se servir de nos connaissances en procédant à la création d'une boucle temporelle et en l'inversant. Vous avez eu raison de défier le conseil.
Thor : Ils sont la cinquième race, mais pour la première fois de leur existence, ils vont devoir se débrouiller seul.
Héguir : La flotte d'évacuation est dans le vide galactique, ils attendent notre retour avant de partir pour notre nouvelle galaxie.
Thor (s'avançant près d'une table là où se trouve une combinaison noir) : Je n'imaginais pas reporter des vêtements un jour.
Héguir : Nous recommençons de zéro, Thor. C'est une chance que nous tend le destin
Thor : Tout est prêt.
Héguir : La nouvelle galaxie ne dispose que d'un réseau de 3 portes étoiles, le conseil des 4 races va en profiter pour se réunir.
Thor (portant sa combinaison s'avance vers le hublot et regarde l'espace) : Maintenant la cinquième race fait ses premiers pas, je vous souhaite bonne chance les amis, ils vous restent tant à faire.
Puis le vaisseau Asgard disparaît dans une fenêtre de l'hyper-espace.
Teal'c est dans ses quartiers et soufflent sur les bougies. Vala entre dans la pièce :
Vala : Oh, vas-y, ça me rend dingue! Il n'y a aucun risque de créer un paradoxe temporel, parce que nous avons déjà changé le futur. Vous n'altérerez pas le futur, en nous disant ce qui ne va pas arriver!
Teal'c : Alors pourquoi vous en souciez-vous?
Vala : Dix ans ? Il a bien dû se passer quelque chose d'intéressant. Je me suis mise avec quelqu'un, c'est sûr. C'était toi, Monsieur Muscles? Ça n'a pas pu être Mitchell,
n'est-ce pas? Le général O'neill ? Un beau séduisant jeune homme de l'équipe de l'Odyssey ?
SG1 est réuni dans la salle d'embarcation devant la porte des étoiles. Le général Landry arrive près des moniteurs.
Général Landry : Composez, Walter!
Walter : Oui, Monsieur. Chevron un encodé.
Mitchell : C'est comme ça qu'on est supposés voyager à travers la galaxie, pour aller sur d'autres planètes.
Walter : Chevron deux encodé.
Mitchell (parlant à Teal'c) : Vous savez, j'aime à penser que je me suis bien comporté, mais j'imagine que j'ai dû péter les plombs, enfermé sur ce vaisseau si longtemps.
Walter : Chevron trois encodé.
Daniel : Vous savez, Teal'c m'a dit quelques trucs que j'ai appris de la base de connaissances des Asgards.
Vala (regardant Teal'c) : Il a fait ça? Quels trucs?
Daniel : Bon sang, qu'est-ce que c'était?
Walter : Chevron quatre encodé.
Daniel : Nécessité fait loi. Mieux vaut tard que jamais. Il faut réfléchir à deux fois avant d'agir. Les meilleures choses de la vie sont gratuites.
Vala : Laissez-moi deviner. La beauté n'est pas tout?
Daniel : Le silence est d'or.
Walter :Chevron cinq encodé.
Mitchell : Propre à tout et bon à rien.
Carter : Qui ne risque rien n'a rien.
Vala : La vie est trop courte.
Walter : Chevron six encodé.
Teal'c : Tout vient à point à qui sait attendre.
Carter : Vous savez, aussi dur est-ce pour nous de ne pas savoir, ça doit être une réelle torture pour vous de ne rien nous dire
Teal'c : En effet.
Walter : Le chevron sept est enclenché.
Général Landry : Bonne chance, SG-1.
Mitchell : C'est simplement une mission comme les autres pour sauver la galaxie, Monsieur.
SG1 au complet : En effet
Puis SG1 s'avance vers la porte des étoiles et disparaît dans l'horizon des évènements.