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Mais chut ! Ca reste entre nous.
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C'est un coup des Américains, c'est sûr !CITATION 02-12-2014 à 07h38 — Nouvel Obs
Les gouvernements indien et français veulent lever rapidement les blocages et mener à bien les négociations de vente de 126 avions de chasse Rafale à l'Inde.
Les négociations de vente du Rafale à l'Inde entamées en 2012 se "déroulent bien" et tant les gouvernements indien que français veulent les conclure, a dit le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, à un quotidien indien mardi 2 décembre.
En visite deux jours en Inde, le ministre de la Défense a rencontré lundi son homologue indien Manohar Parrikar, entré en fonction en novembre, pour discuter notamment de la vente de l'avion de chasse de Dassault.
Ils se sont mis d'accord, selon Reuters, pour surmonter leurs différences en vue de la finalisation d'un contrat, estimé à 15 milliards de dollars (12 milliards d'euros).
"Tous les sujets ont été évoqués, y compris le Rafale. Il a été décidé que tout désaccord serait résolu de manière accélérée", a dit un porte-parole du ministère indien de la Défense.
Invité à réagir en marge de la visite de l’Institut du sport à Paris, François Hollande n'a pas voulu trop s'avancer :
Il faut être toujours prudent sur ces contrats. Le travail se fait. Et lorsqu’il sera conclu, nous pourrons parler. Jusqu’à présent, le silence est plutôt la bonne méthode. Et il y a du bon travail qui a été engagé."
126 Rafale dont 18 fabriqués en France
L'Inde est entrée en négociations exclusives avec Dassault en janvier 2012 pour l'achat de 126 Rafale, dont 18 fabriqués en France puis 108 sous licence en Inde, mais ces discussions ne sont toujours pas conclues.
Les négociations se déroulent bien. Pour un projet de cette taille et de cette complexité, qui implique le transfert de nombreux savoir-faire à des partenaires industriels en Inde, le rythme est comparable à celui d'autres négociations", a dit Jean-Yves Le Drian au quotidien "Pioneer".
"Les deux gouvernements partagent la volonté de les conclure et ceci est bien sûr, essentiel", a-t-il ajouté. "Plus vite le contrat sera finalisé et signé, plus vite les avions pourront sortir des lignes des sites de production en Inde".
Partage de technologies
Le contrat du Rafale estimé à environ 12 milliards de dollars implique un complexe partage de technologies et selon la presse indienne, les discussions achoppent actuellement sur la question des responsabilités (délais, dommages..) pour les appareils produits en Inde.
La fabrication des avions sous licence sera réalisée principalement par le groupe public indien Hindustan Aeronautics Limited (HAL). "HAL possèdera la technologie complète et la licence pour fabriquer des appareils supplémentaires qui, en outre, pourraient être exportés", a souligné le ministre français.
Le ministre britannique de la Défense, Michael Fallon, a récemment indiqué que l'offre de vente de l'Eurofighter, concurrent du Rafale, était toujours sur la table en cas d'échec des négociations avec Dassault. L'armée indienne a cependant toujours souligné qu'une telle éventualité était exclue.
Le ministre français a également mis en avant le fait que tous les contrats de défense négociés entre la France et l'Inde "contribueront à développer le programme 'Make in India' dans le secteur de la défense".
Le Premier ministre indien Narendra Modi a lancé cette initiative afin d'attirer les investisseurs industriels étrangers pour qu'ils produisent en Inde. L'Inde est le premier importateur mondial d'armes conventionnelles.
Pour que Le Drian multiplie les allers-retours, ces derniers temps, c'est que la négociation du contrat est dans sa phase finale. Après, je ne connais pas le calendrier budgétaire de l'Inde. Mais, conclure le contrat en fin d'année civile est cohérent en vue de pouvoir l'intégrer dans la prochaine "loi de finance" indienne (= ou un texte similaire, peu importe l'intitulé). Parce que préparer et débattre sur une LdF devant le Parlement prend du temps (ex : en France, c'est 4 mois en général. Avec une première lecture en septembre puis, généralement, un vote définitif fin décembre, après les multiples amendements déposés. Reste encore son examen par le Conseil constitutionnel tout juste avant le jour de l'an).CITATION (brian norris,Mardi 02 Décembre 2014 14h23) On risque d'attendre encore jusqu'en mars de ce que j'ai compris. On est a peu près sûr par contre, que l'Inde ne peut plus reprendre l'appel d'offres à zéro, ils ont attendu trop longtemps pour changer de fusil d'épaule. Du coup c'est fini pour nos chers concurrents.
A mon avis l'enveloppe budgétaire pour le programme est déjà prête. Donc cela ne devrait pas poser problème vis-à-vis de leur loi de finance. Ils pourront l'intégrer à la dernière minute. C'est plus le détail du contrat, notamment sur les responsabilités d'HAL qui posent problème.CITATION (Everett,Mardi 02 Décembre 2014 13h31)Pour que Le Drian multiplie les allers-retours, ces derniers temps, c'est que la négociation du contrat est dans sa phase finale. Après, je ne connais pas le calendrier budgétaire de l'Inde. Mais, conclure le contrat en fin d'année civile est cohérent en vue de pouvoir l'intégrer dans la prochaine "loi de finance" indienne (= ou un texte similaire, peu importe l'intitulé). Parce que préparer et débattre sur une LdF devant le Parlement prend du temps (ex : en France, c'est 4 mois en général. Avec une première lecture en septembre puis, généralement, un vote définitif fin décembre, après les multiples amendements déposés. Reste encore son examen par le Conseil constitutionnel tout juste avant le jour de l'an).CITATION (brian norris,Mardi 02 Décembre 2014 14h23) On risque d'attendre encore jusqu'en mars de ce que j'ai compris. On est a peu près sûr par contre, que l'Inde ne peut plus reprendre l'appel d'offres à zéro, ils ont attendu trop longtemps pour changer de fusil d'épaule. Du coup c'est fini pour nos chers concurrents.![]()
Ça choque que moi cette phrase ?CITATION (Everett,Mardi 02 Décembre 2014 13h45) "HAL possèdera la technologie complète et la licence pour fabriquer des appareils supplémentaires qui, en outre, pourraient être exportés", a souligné le ministre français.
Perso je suis pour cette solution depuis le début. Il faut voir le rafale comme un projet au long terme, évolutif. Avec l'Inde, on a une belle opportunité de construire pour l'export un rafale de base (c'est-à-dire aux standards actuels) pas très cher et ainsi gagner des marchés extérieurs.CITATION (Gwénaël,Mardi 02 Décembre 2014 15h21)Ça choque que moi cette phrase ?CITATION (Everett,Mardi 02 Décembre 2014 13h45) "HAL possèdera la technologie complète et la licence pour fabriquer des appareils supplémentaires qui, en outre, pourraient être exportés", a souligné le ministre français.
En gros, on leur file les plans, la technologie, la licence pour les construire, et en plus le droit de les vendre eux-mêmes et s'en mettre plein les fouilles pendant que nous on se fait b****r ???
Le transfert complet de technologies a toujours fait part du contrat. Le truc, par contre, c'est que connaissant HAL, il leur faudra beaucoup de temps pour maitriser la technologie que Dassault avait dans les années... 90. Sans compter que tu peux probablement être sûr que toute vente de Rafale made in India nous rapportera aussi un pourcentage.CITATION (Gwénaël,Mardi 02 Décembre 2014 15h21)Ça choque que moi cette phrase ?CITATION (Everett,Mardi 02 Décembre 2014 13h45) "HAL possèdera la technologie complète et la licence pour fabriquer des appareils supplémentaires qui, en outre, pourraient être exportés", a souligné le ministre français.
En gros, on leur file les plans, la technologie, la licence pour les construire, et en plus le droit de les vendre eux-mêmes et s'en mettre plein les fouilles pendant que nous on se fait b****r ???![]()
Conclusion, quand ils parviendront à maîtriser les technologies du Rafale via la conception d'un chasseur national, nous, on aura soit un Rafale de nouvelle génération ou bien déjà un nouveau chasseur. Je penche plus pour la seconde hypothèse. ^^ Sans parler des connaissances nouvellement acquises grâce aux divers programmes de recherche dans le domaine des drones de combat et autres !CITATION (Rufus Shinra,Mardi 02 Décembre 2014 18h52)Le transfert complet de technologies a toujours fait part du contrat. Le truc, par contre, c'est que connaissant HAL, il leur faudra beaucoup de temps pour maitriser la technologie que Dassault avait dans les années... 90. Sans compter que tu peux probablement être sûr que toute vente de Rafale made in India nous rapportera aussi un pourcentage.CITATION (Gwénaël,Mardi 02 Décembre 2014 15h21)Ça choque que moi cette phrase ?CITATION (Everett,Mardi 02 Décembre 2014 13h45) "HAL possèdera la technologie complète et la licence pour fabriquer des appareils supplémentaires qui, en outre, pourraient être exportés", a souligné le ministre français.
En gros, on leur file les plans, la technologie, la licence pour les construire, et en plus le droit de les vendre eux-mêmes et s'en mettre plein les fouilles pendant que nous on se fait b****r ???![]()
Si ces royalties ont un impact sur le volume acheté par l'armée française, ça sera à la baisse : Dassault aurait besoin de moins d'appareils produits en France pour atteindre son seuil de rentabilité sur le Rafale.CITATION (brian norris,Mardi 02 Décembre 2014 17h45) Ça présente à mon sens plusieurs avantages:
-d'abord cela va permettre de faire rentrer des jolies royalties, ce qui va rentabiliser le programme et faire baisser la facture des avions construits en France pour l'armée de l'air. Donc cela veut dire plus de rafale pour l'armée de l'air à moyen terme, ce qui est le but premier de l'armée.
Ouais, alors, le PAK-FA, il est conçu par les Russes, les Russes et les Russes. Les Indiens, ils essaient de débugger leur appareil national sur lequel ils bossent depuis des décennies et qui est une grosse bouse :CITATION (Gwénaël,Mardi 02 Décembre 2014 22h42) Mouais niveau techno, si je me trompe pas, l'inde est deja en train de plancher sur une version made in India by HAL du Pak-Fa en grande collaboration avec la Russie, donc maitriser les technologies des années 90, c'est fait depuis un moment, d'autant qu'ils ont deja conçu des avions de A a Z.
Mais bon, c'est mon point de vue, je trouve que c'est une connerie sans nom, on verra a qui l'avenir donnera raison. ;-)
Oui, je plussoie grandement. Pour en avoir parlé avec des ingénieurs du milieu, l'une des raisons qui a fait que le contrat a mis (met?) tant de temps à être signé, c'est qu'on a un putain de problème pour mettre en place les capacités chez les Indiens à produire pareils avions. Industriellement, ils sont aux fraises. Ils ne maîtrisent pas encore, ou alors ils commencent juste, les technos et les process industriels afférents.CITATION (Rufus Shinra,Mardi 02 Décembre 2014 17h52)Le transfert complet de technologies a toujours fait part du contrat. Le truc, par contre, c'est que connaissant HAL, il leur faudra beaucoup de temps pour maitriser la technologie que Dassault avait dans les années... 90. Sans compter que tu peux probablement être sûr que toute vente de Rafale made in India nous rapportera aussi un pourcentage.CITATION (Gwénaël,Mardi 02 Décembre 2014 15h21)Ça choque que moi cette phrase ?CITATION (Everett,Mardi 02 Décembre 2014 13h45) "HAL possèdera la technologie complète et la licence pour fabriquer des appareils supplémentaires qui, en outre, pourraient être exportés", a souligné le ministre français.
En gros, on leur file les plans, la technologie, la licence pour les construire, et en plus le droit de les vendre eux-mêmes et s'en mettre plein les fouilles pendant que nous on se fait b****r ???![]()
On en parle pas bcp du Quatar, et pourtant ^^CITATION
Pourquoi le Rafale va s'exporter
La Tribune
Michel Cabirol
Il y a 5 heures
Qatar, Inde, Émirats Arabes Unis, Égypte, Malaisie, Indonésie, Belgique et pourquoi pas la Finlande... Ce ne sont pas les principales destinations des tour-opérateurs en 2015 mais la possibilité de voir un jour le Rafale atterrir dans un ou plusieurs de ces pays soucieux d'acquérir un avion de combat certifié "combat proven". Des pays qui souhaitent également disposer d'un outil militaire de puissance capable de se projeter sur un théâtre d'opérations complexe. Et pas seulement pour les parades militaires ou pour la police du ciel pour les sommets du G20.
Car en dépit du "french bashing" récurrent à propos de cet avion de combat, l'alignement des planètes pourrait enfin sourire à ce bijou technologique français. Et dire qu'aux États-Unis, il est très respecté... mais aussi combattu avec force. Tous les moyens sont bons pour le battre sur tous les appels d'offre internationaux. En Corée du Sud, où le Rafale avait surclassé le F-15 à l'issue des évaluations, il a fallu que George Bush décroche son téléphone pour appeler Séoul à la raison... et lui rappeler la forte présence militaire américaine. Avec succès malheureusement pour Paris.
Les opex, une vitrine pour le rafale
Pourquoi reparle-t-on du Rafale à l'export maintenant ? Car l'appareil développé et mis au point par Dassault Aviation et ses partenaires au sein du GIE Rafale (Thales et Safran) a atteint un degré de maturité opérationnel de très haut niveau. Ses nombreuses interventions en Libye, où il est entré en premier dans l'espace aérien libyen, en Afghanistan, au Mali et aujourd'hui en Irak, ont été suivies avec beaucoup d'attention par la plupart des armées de l'air du monde entier. Et cela compte. Car rien de plus facile pour le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Denis Mercier, de captiver lors de rencontres bilatérales ou à plusieurs ses homologues en racontant les missions du Rafale dans le ciel libyen, afghan, malien et irakien. Alors que d'autres ne peuvent raconter que des scénarios de missions...
Au Qatar, c'est brûlant. Après trois semaines de négociations entre Dassault Aviation et le Qatar en France, l'avionneur est vraiment très proche d'un premier contrat export pour le Rafale (36 appareils).© Fournis par La Tribune Au Qatar, c'est brûlant. Après trois semaines de négociations entre Dassault Aviation et le Qatar en France, l'avionneur est vraiment très proche d'un premier contrat export pour le Rafale (36 appareils).
C'est évidemment une vitrine commerciale pour le Rafale. « La capacité de la France à intervenir en premier, avec des matériels capables de traiter les cibles de manière précise - bien plus qu'en envoyant une centaine de Tomahawk dans la nature -, et d'y effectuer des missions longues - directement entre Saint-Dizier et le Mali - a été appréciée, avait estimé en 2013 le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier. Non seulement elle l'a été sur le plan politique - car n'importe quel pays n'a pas une telle capacité d'intervention -, mais elle l'a été aussi sur le plan des moyens matériels et de la faculté à opérer parfaitement les manœuvres. Cela s'est vu un peu partout dans le monde. L'opération au Mali a donc eu une influence positive sur l'image du Rafale, comme avant celle effectuée en Libye ».
Un armement de haut niveau
En outre, le Rafale est également un avion de combat, qui bénéficie de missiles extrêmement performants, qui peuvent séduire les pays intéressés. Grâce notamment à MBDA et à un degré moindre Safran avec la bombe guidée de précision AASM Hammer. C'est d'ailleurs pour cela que Dassault Aviation empêche souvent avec succès à MBDA et Safran de fournir d'autres avions de combat concurrents. "Le Rafale est le seul chasseur au monde capable de porter 1,5 fois sa propre masse", grâce à ses capacités de 14 points d'emport, assure Dassault Aviation. Et de préciser que "deux Rafale représentent un potentiel équivalent à six avions de la classe Mirage 2000".
Le Rafale a été conçu pour accomplir toutes les missions de l'aviation de combat : interception et combat air-air avec canon de 30 mm, missiles Mica IR/EM et missiles Meteor (à partir de 2018) ; appui au sol avec canon de 30 mm, bombes guidées laser GBU-12/24, bombes guidées GPS AASM et GBU-49 (utilisés en Afghanistan, en Libye et au Mali) ; frappes dans la profondeur avec missiles de croisière Scalp-Storm Shadow (utilisés en Libye) ; attaque à la mer avec missile Exocet AM39 Block 2 ; reconnaissance tactique et stratégique en temps réel avec nacelle Areos (utilisée en Afghanistan, en Libye et au Mali) ; ravitaillement en vol d'un Rafale à un autre ("buddy-buddy") et enfin dissuasion nucléaire avec missile ASMP-A.
Des pays intéressés par le Rafale
Une petite dizaine de pays restent intéressés par le Rafale à des degrés divers. Cela peut surprendre mais c'est bien le cas. Tout simplement parce que leurs armées de l'air ont besoin de renouveler actuellement leur flotte d'avions de combat. Et surtout ces pays souhaitent diversifier leur approvisionnement pour ne pas rester dans les mains d'une seule puissance capable d'exporter ce type de matériel comme les États-Unis et la Russie. C'est donc une vraie chance pour le Rafale qui peut bénéficier de cette posture stratégique. Par exemple sans les Mirage 2000-9 la chasse émiratie n'aurait jamais pu intervenir aussi rapidement en Libye contre des positions islamistes cet été. Pas sûr que les États-Unis auraient donné non seulement leur accord et mais aussi dans les temps pour une opération engageant des F-16, fussent-il propriétés des Émirats Arabes Unis.
Alors pourquoi tant d'échecs auparavant ? Pour des raisons surtout liées au poids des États-Unis en Corée du Sud et Pays-Bas en 2002 et à Singapour en 2005. Mais aussi par la faute de la France qui a mené des campagnes politico-commerciales prometteuses mais gâchées au final par des maladresses incroyables. Notamment au Maroc (2007), en Suisse (2011) et au Brésil (2013). Au Maroc pourtant prêt à s'offrir l'avion de combat français, la France n'a pas su répondre à temps à une demande de financement pourtant récurrente du royaume pour l'achat de 18 Rafale (2,1 milliards d'euros). Et les États-Unis s'engouffreront dans la brèche faisant une proposition moins chère que celle des Français dépassés. Avec succès.
En Suisse, alors que Dassault Aviation croit dur comme fer à un premier succès export, Nicolas Sarkozy douche tous les espoirs de l'avionneur en accusant Berne d'être toujours un paradis fiscal, lors du G20 à Nice en novembre 2011. Furieuse la Suisse, pourtant elle aussi intéressée par le Rafale, préfère le Gripen. Enfin, au Brésil, la relation entre le président brésilien Lula et Nicolas Sarkozy est excellente. Mais en 2010, Paris ne soutient pas Brasilia sur le dossier du nucléaire en Iran. Lula, qui était deux doigts d'acheter 36 Rafale en 2009, en prend ombrage. D'autres raisons occultes seraient également avancées.
Le Qatar premier pays export ?
Au Qatar, c'est brûlant. Après trois semaines de négociations entre Dassault Aviation et le Qatar en France, l'avionneur est vraiment très proche d'un premier contrat export pour le Rafale (36 appareils). Elles sont très avancées, à tel point que les négociateurs en seraient à parler des modalités de paiement et de garanties bancaires. En tout cas le cheikh Tamin ben Hamad Al-Thani souhaite conclure avant la fin de l'année.
En Inde, les négociations avec l'Inde sur un contrat d'environ 15 milliards de dollars (12 milliards d'euros) portant sur 126 Rafale sont "sur le point d'aboutir", a-t-on dit mardi dans l'entourage du ministre français de la Défense. "Nous pouvons dire que les négociations sont sur le point d'aboutir", explique-t-on dit dans l'entourage de Jean-Yves Le Drian, qui était en Inde en début de semaine. Il n'est pas impossible que New Delhi notifie un contrat avant la fin de l'exercice budgétaire fin mars.
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