CITATION
(Webkev,Mercredi 14 Octobre 2009 07h35)
CITATION
En fait le timing aurait été parfait si la première activation avait marché ... le temps de préparer le malp et tout cela, l'attaque aurait eu lieu à peu près pile poil quand la porte était ouverte sur le Destiny.
Et cela explique de plus l'hyper stress de Rush qui semble trrrrrès pressé soudainement de trouver la solution, même au point que cela peut pas attendre le temps d'un repas !!!
Et comment Rush aurait pu contacter un groupe disposant de 3 Ha'taks et réussi à convaincre ceux-ci de se lancer à l'assaut d'une base terrienne, sans être soupçonné par le personnel du SGC, sans rien offrir en échange aux assaillants...
Sinon, Rush semble être le personnage toujours convaincu d'avoir raison... L'échec qu'il subit lors de la connexion avec le Destiny qui échoue le pousse à se remettre au boulot pour comprendre la raison de cet échec alors qu'à priori ca devait se passer comme sur des roulettes...
Bah que sait on sur Rush, sur son passé ? Rien, nada, nihil .
Qui sait même s'il n'était pas déjà même au courant pour le Destiny.
Qui sait s'il est en contact avec des Luxiens (ou autres car rien ne prouve toujours que ce sont des Luxiens) depuis bien longtemps.
Qui sait si ces Luxiens (ou autres) n'ont pas une infiltration sur Terre (après tout infiltrer la Terre n'a jamais posé de problème particulier à Bahl non plus)
Et il aurait pu organiser cela le plus simplement du monde ... pas besoin de contacter les Luxiens devant les autres.
Rush devait être persuadé que cela allait marcher du premier coup, il a donc dû arranger le coup avec eux à l'avance (par exemple à l'occasion de son voyage sur Terre) - quelque chose du style ... vous attaquez 1/2 h ou une heure après l'arrivée du Hammond (et la sortie du Hammond de l'hyperespace est détectable par n'importe quel senseur sur un Hatak standard il me semble)
Quant à les convaincre d'attaquer ... pas de problème, il a certainement dû leur promettre que le Hammond ne riposterait pas ... et bien sûr omettre de préciser que la planète allait leur péter à la figure (commode pour se débarrasser de complices encombrants sans les payer)