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J'essaie d'imaginer ce qu'aurait été la littérature française du XIXe siècle avec des romans en feuilleton forcés de toujours commencer sur les chapeaux de roues
C'est tout de même un peu ce qui ce passe en ce moment avec les séries des années 2000. Pour créer un choc, ce stratagème est utuliser à quasiment à tout bout de champs. C'est ce que représente le format de type feuilletonnesque. Il y a toujours un événementiel grossit et artificiellement gonfler censer créer l'addiction aux événements suivant.
Cela marche de moins en moins sur moi. Surtout quand l'événementiel est répétitif ( d'ou ce fameux "dong"

). Je ne dis pas que je suis contre ce genre de stratagème, juste qu'aujourd'hui c'est devenu un automatisme tant que l'évenementiel se trouve réduit a sa simple expression et ne construit plus véritablement une histoire propre mais plus des bouts éparses appeller à évoluer ou non. ( Exemple dans Prison Break pour changer, la téte de la petite amie du héro qui finalement se retrouve ne pas être cette fameuse petite amie, si c'est pas un "Dong" artificiellement gonflé cà ??

)
A partir de celà ce n'est pas étonnant que se soit les personnages que les scénaristes tente alors de mettre en avant, puisque l'histoire qu'ils vivent n'est réduite qu'a de l'événementiel. Avant BsG, en SF c'était le contraire, L'histoire était un vrai scénario et les personnage eux n'étaient là que pour vivre cette histoire non pas pour la faire vivre. ( je ne sais pas si je suis trés claire

)
Cela n'a pas empécher de superbes séries avec une histoire aussi solide que des personnages d'une grande profondeur ou "multifacettes". Je pense toujours à Babylon 5 et DS9 ou encore Doctor Who et Farscape...Notez que cette fois je n'inclu pas BsG

qui me semble toujours la moins SF du lot de ce "top five" . Même Si SgU et Caprica m'ont toute deux prouver le contraire aujourd'hui. ( Je ne parle même pas de Defaying Gravity

)
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La SF se caractérise différemment en fonction des individus. On en attends tous des choses différentes.
C'est clair, et me demande aussi si ce n'est pas justement à cause du fait que ma SF de prédilection soit le " Space Opéra" voir même la SF dite "Classique" que je ne fais souvent que m'insurger par ce que nous présente la SF télévisuelle de nos jours.
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Ce que tu dis de l'idéal d'un bon scénario : continuité, solidité, crédibilité... ne me semble pas prouvé. Les systèmes à patchwork ou ceux à Flash-back ne sont pas mauvais parce que tels, solidité, je ne vois pas trop ce que tu veux dire, quand à la crédibilité, Mars Attack n'a rien de crédible et n'est vraiment pas mauvais.
C'est pas dans leur construction qu'ils sont foncièrement mauvais dans SgU mais c'est plus dans le montage même de la série. Leur trop grande importance face à une histoire "vécue" que par l'entremise d'événementiels bien plus anecdotiques me rend pour le coup les personnages quasiment insipides.
Ainsi, les Aliens n'arrivent pas à avoir de réel importance "propre" ils ne servent quasiment que de décors ou de prétexte de "dong" en la transformation de Chloé. Transformation qui d'ailleur n'est pas une surprise en soi. Car c'était le seul moyen de rendre ce personnage autrement interessant que la simple midinette de base.
Enfin de compte je trouve l'évolutions des personnages de SgU sans surprise et prévisible.
Puis pas si crédible, surtout en ce qui concerne le personnage de Scott. Personnage le plus "bancal" de SgU.
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En fait, c'est moins la situation dans laquelle elles se présentent, que les querelles elles-mêmes, qui agacent le plus, à mon avis, ceux qui n'aiment pas SGU. C'est une autre question
C'est, je pense , le surgonflement de ce genre de situation face à de la SF réduite qu'à de l'évenementiel qui joue pour beaucoup, du moins en ce qui me concerne.
Pour vous donner un exemple, le 201 de SgU m'a laisser froide pourtant, je suis pas un monstre

.
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Car les réactions des personnages sont illogiques et peu crédible. Dans si court espace de temps qui plus est. Contrairement à ce qu'essaie de nous faire croire des émission du genre de Kolen-tha, en cas de coup dure, dans l'immense majorité des cas et à quelques rares exceptions notables, l'être humain se serre les coudes pour s'en sortir. Et ça on en est plus ou moins conscient. L'être humain n'est pas si individualiste que l'on veut nous le faire croire. C'est l'une des raisons du malheur de notre société. Si l'humain était aussi égocentrique que l'on veut nous le faire croire, il aurait disparue. Aristote a dit une phrase célèbre. « L'homme est un animal social ». Et c'est vrai. Sans cette extraordinaire capacité à travailler en commun, l'homme aurait disparue depuis longtemps. C'est pour ça que SGU nous sonne faux. C'est pour ça que les réactions des personnages nous sembles vaguement illogiques. Face aux menaces impératives de survie, les petites coeurelles d 'égos font vite place à des nécessité plus évidentes. SGU auraient du montrer un petit groupe d'humains faisant tout pour survivre dans un univers hostile, et pas un mélo grotesque et poussif. Malheureusement, je doute que Mallozzi ai lu Aristote .
C'est la socièté actuelle qui veux cela, l'homme est dépeint comme individualiste et égocentrique. Puis l'héroisme n'est valable que par l'anti héroisme. Une personne héroique dans le sens noble du terme n'est pas humaine pour beaucoup, dans sa globalité. Tout ce concentre sur le personnage le plus "Badass", il n'y a que ce type de caractère qui semble pouvoir évoluer dans l'optique général des séries d'aujourd'hui. Des personnages comme Picard de TnG ou Archer Enterprise qui sont avant tout des personnages qui font preuve d'une certaine droiture teintée d'intégrité ne sont plus interessant car si ils vivent et comettent les même erreurs, ils n'ont pas vraiment d'excuse "primaire" à leur comportement contrairement aux personnages foncièrement dépeint comme "torturés" ou "mauvais" dès le départ.
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Personnellement, à l'exception d'un court passage entre les saisons 3 et 4, je suis resté scotché devant l''extraordinaire capacité dramatique de cette série. Les concepteurs de SGU n'ont pas comprit ce qu'était l'essence de l'univers de BSG.
Les concepteurs de SgU ont avant tout suivit le mouvement c'est sur. Tout comme Caprica et Defaying Gravity. Autrement dit la porte

. Je reste persuader que ce type scénaristique ne convient pas à la science fiction dans tout les cas et aucune séries de SF qui en a abusée n'a prouver le contraire jusqu'a présent.
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Et non, ce n'est pas du poussif (oui il y a des épisodes moins bon que d'autres), c'est de la lenteur !!! Et bordel, la lenteur, c'est aussi beau (et aussi SF en soit) qu'une explosion !!! Hélas, ce n'est pas vendeur ! mais - bien que d'accord avec lui sur son analyse concernant SciFy - je ne suis pas Yarrick dans sa conclusion : pour moi, le pilote était un démarrage fulgurant.
Tout comme Yarrik, j'ai trouvé ce pilote assez ennuyeux. Ce démarrage fulgurant c'est avant tout dans les bases psycologiques des personnages qu'il s'effectu. Dès le début le pilote promulgue et revendique sa différence. Mais après j'ai attendu "trop" longtemps pour voir vériablement l'histoire SF apparaitre. J'ai pas tenu plus que 201 et 202 et demie. Si la série démarre vraiment aprés le 208, cela n'a plus d'importance pour moi, puisque le "vécu" des protagonistes m'a laissé indifférente et que l'histoire indépendante de leur volonté qui soit disant les fait évoluer dans le théme de la science fiction n'a pas su me convaincre.
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J'ajoute pour conclure que par rapport à la situation de l'équipage du Destiny, les querelles ne sont pas non plus si importantes que ça, et que, comme le remarque Yarrick, SGU reste quand même "gentille" sur certains points (on a une seule personne qui n'a pas du tout supporté la situation, sur environ 80).
Celles de BsG m'ont mises mal à l'aise et celles de SgU m'ont parrut surgonflées par leur trop grandes abondances ne servant autrement que les personnages eux même que véritablement l'histoire qu'ils sont censés vivre.
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D'ailleurs, j'ai l'impression (mais je ne suis pas le seul!) que la tendance est allé plutôt du deuxième côté plus la série progressait. Le problème que cela pose, c'est qu'au bout d'un moment on ne sait plus trop sur quel pied danser, et que les choses sérieuses risquent de ne plus être ressenties comme telles, si l'on est devenu habitué à l'ironie et au côté autodérisionnel..
Bien le ton lèger d'énormément d'épisode de Sg1 ne m'a pas perturber bien au contraire. C'est bien plus ce qui force à la dramatisation d'épisode comme Héros, Zénith, Le jour sans fin ( mort de Sha 'ré ) et autres.... Quant on voit vivre les personnages dans de multi événements et pas uniquement la dramatique cela pousse au contraire bien mieux à l'indentification et donc à l'attachement des personnages eux même. Aprés, je m'attarde pas vraiment non plus vers les S9 et S10 de Sg1 cela va sans dire ^^.
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Je voudrais clore le débat de la "série d'origine" : ce n'est pas BSG, ce sont les BSG de 1970 et Cosmos 1999 (dont le BSG actuel à également récupéré des morceaux).
Je ne parlais pas de Galactica ( ma chouchou) mais bien de BsG c'est elle qui a créée ce mouvement en SF du moins. Aprés la différence entre BsG et Galactica vient bien plus de de leur époque respective de création que de leur histoire même. Galactica et bien plus porteuse de foi et d'espoir en l'être humain que BsG. BsG raconte la même histoire que Galactica en poussant et en approfondissant bien plus le réalisme que ce que l'on pouvait faire dans les années 70 ( déjà limiter dans le bujet) C'est surtout comme je disais plus haut, la vision du monde qui à changer.
Cosmoss 1999 fait trés hard-science" pour son époque cela n'a pas empéché tout comme ToS une certaine facilité à utuliser le "monstre de la semaine". Chose que les séries n'osent plus vraiment faire aujourd'hui par peur de perdre en "crédibilité"

à moins d'en assumer complètement cette facette un peu comme Warehouse 13 et Sanctuary actuellement.