tu a eu deus professeurs de français ainsi que deux documentaliste et un responsable d'une maison d'edition qui l'ont lu et relu.
en ce qui concerne
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Toutes les bombes, toutes les torpilles… Excepté les armes à feu avaient été détruites pour être remplacées par un système de canon à Ion et un bouclier avait été ajouté
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Yio demanda au Colonel, combien de temps, ils avaient mis pour construire le « Y-624 ». Celui-ci répondit qu’il leur avait fallu cinq années...
c'est la suite direct c juste pour le forum j'ai couper
Le Colonel demanda de mettre le vaisseau en pilotage automatique et conseilla à ses hommes d’aller se coucher tout en laissant une équipe de nuit de huit hommes qu’il laissa sous le commandement du sergent Ink.
Le sergent Ink se dépêcha d’aller réveiller le Colonel.
« Que se passe t’il Sergent ?
- L’ordinateur de bord détecte un appareil en approche.
- A quelle distance, sommes nous de la planète ?
- Il nous reste cinq heures de route, Mon Colonel.
Ce dernier appuya sur un bouton rouge qui se situait sur le siège de commandement. Une sonnerie retentit, des lampes rouge se mirent a s’allumer tandis q’une voix féminine répétait « ALERTE GENERALE TOUT LE MONDE A SON POSTE ».
Le commandeur Yio apparut à ce moment dans l’appareil Terrien.
« Bonjour à vous, Colonel
- Que faites vous ici, commandeur ?
- Je vous retourne la question Colonel, Vous êtes loin de chez vous.
- Nous avons capté un message qui ne nous était pas destiné, et la Major Reynold a réussi à trouver les coordonnées de la planète, où des personnes s’apprêtent à lancer leur premier vol spatial, nous allons entrer en contact avec eux.
Le commandeur annonça qu’il allait sur cette même planète pour les mêmes raisons que les terriens. Il se proposa de les accompagner jusqu'à cette planète car à leur allure, ils ne seraient pas dans les temps. Le Colonel accepta.
« Nous vous amènerons dès que notre appareil sera à proximité du votre.
- C’est votre vaisseau que notre ordinateur à détecter.
Le Commandeur se retourna vers un des écrans et approuva. Le Colonel arrêta l’alarme. Le vaisseau de Yio arriva près de l’ « ADONIS » et fut téléporté de ce premier.
« Nous arrivons d’ici 2 minutes, annonça le Commandeur à l’attention du Colonel. Une fois sur place, nous vous laisserons prendre contact avec eux.
Le vaisseau arriva en orbite de cette planète et le Commandeur s’éloigna de l’ « ADONIS » qu’il venait de libérer. Une voix retentit dans la salle de contrôle :
« Veuillez-vous identifier où nous ouvrirons le feu. »
Le message venait des habitants de cette planète. Le Colonel leur annonça qu’ils étaient venus en amis pour apprendre à les connaître, puis il demanda l’autorisation d’atterrir. L’inconnu pris le temps de la réflexion et leur demanda d’atterrir aux coordonnées qu’ils transféraient dans l’ordinateur de bord du vaisseau. Le vaisseau se posa dans une forêt au milieu d’une clairière. Le Colonel accompagna la Major à l’extérieur du vaisseau.
« Vous savez s’ils vont venir, Colonel ?
- Je ne sais pas Major ; Sergent, avez vous détecté une présence autour de nous ? demanda le Colonel par l’intermédiaire de sa radio.
- L’ordinateur nous signale, 1,2,3...10 camions en approche.
Le Colonel s’avança un peu vers le chemin qui s’enfonçait dans la forêt et entendit des bruits de moteur. Une jeep suivit de camions s’approcha du colonel. Un homme qui semblait être un Général ordonna à ses hommes de descendre des véhicules. Ses hommes encerclèrent la Major et le Colonel.
Le Général s’approcha du Colonel et leur dit d’une voix grave :
« Vous êtes nos prisonniers, déposez vos armes.
- Nous gardons nos armes avec nous, annonça le colonel.
- Je vous ai demandé de déposer vos armes je ne répéterai pas mon ordre où j’ordonne à mes soldats d’ouvrir le feu.
- Je vous déconseille d’ouvrir le feu sur nous, Général.
Le Général demanda pourquoi. Le Colonel répondit qu’il avait des hommes à l’intérieur du vaisseau et que si il leur arrivait malheur, l’appareil décollerait pour détruire la planète.
Un vieux monsieur écarta les hommes pour arriver à proximité du Colonel. Cet inconnu portait une longue Barbe grisée par le temps, ses yeux marron semblaient fatigués, le soleil reflétait sur le dessus de son crâne dégarni. Il mesurait approximativement une mètre soixante.
« Madame, Monsieur, Bonjour, soyez les bienvenus sur « ELL RAY » D’où venez- vous
- Nous venons d’une planète appelée la Terre.
A ces paroles, les soldats eurent un sursaut. Le vieux Monsieur invita le Colonel ainsi que la Major à s’installer dans la Jeep et leur annonça que les soldats resteraient à proximité du vaisseau. La Jeep s’enfonça dans la foret, le véhicule était conduit par le General accompagné du vieux monsieur. Le groupe emprunta une toute petite route. Au loin, une ville prenait forme. Un immense bâtiment d’un bleu éclatant apparut, celui-ci était circulaire à la base et le sommet formait une pointe. Autour de ce bâtiment des maisons étaient alignées sur le bâtiment central. La Jeep s’arrêta face à la tour, derrière eux la barrière assortie au bâtiment par lequel il venait de pénétrer se referma lentement. Le vieil homme descendit de la voiture et demanda au Colonel de le suivre. Ils montèrent tous deux au sommet.
« Où sommes-nous ? Demanda Le Colonel. »
Le vieux Monsieur s’assit face au bureau et invita le Colonel à s’asseoir
« Nous sommes au siége du gouvernement de « ELL RAY »
- Pourquoi Vos hommes ont sursauté quand j’ai prononcé le nom de ma planète ? »
Face à l’inconnu, un écran d’ordinateur s’alluma. Puis, le vieil homme demanda au Colonel de venir le consulter. Sur cet écran était écrit :
« L’artefact les Terriens assembleront, la vérité sera révélé. La guerre commencera quand ce message leurs sera révélé. La guerre finira quand l’artefact sera assemblé. »
« Où avez-vous eu ce texte ?
- Nos scientifiques ont découvert ces inscriptions dans une grotte non loin d’ici. Veuillez me suivre s’il vous plait.
- Savez-vous ce qu’est un Artefact ? demanda la Colonel
- Nos analystes pensent qu’il s’agit d’une série d’objet qui s’assemblent entre eux, afin de former un plus gros objet appelé Artefact. »
Tous deux se rendirent à la Jeep. Puis l’inconnu demanda au général de les amener à la grotte. Après une heure de route, le véhicule s’arrêta à l’entrée d’un portail. Le General leur demanda de descendre de la Jeep car il n’était autorisé à entrer dans la grotte que des personnes à pied. Tous les quatre y pénétrèrent. Le vieil homme leur montra l’endroit des inscriptions et leur annonça que seule la dernière ligne du texte leur était indéchiffrable. La Major s’approcha de l’épigraphe
« Colonel, c’est de l’espagnol
- Pouvez- vous le traduire Major ?
- Non désolée je ne connais pas cette langue. Mais le Sergent Ink…»
Le Colonel sorti de la grotte et contacta par l’intermédiaire de sa radio le vaisseau Adonis.
« Sergent, ici le Colonel Bayard me recevez- vous ?
- Oui Colonel, nous vous recevons avec difficultés.
- Localisez-nous et téléportez vous a proximité de nous.
- Bien Colonel »
Un flash blanc apparu à proximité du Colonel. Le sergent était au garde à vous ;
« Repos, sergent. Savez-vous parler espagnol ?
- Oui, Colonel »
Le Colonel invita le sergent à le suivre à l’intérieur de la grotte et lui montra les inscriptions. Le sergent lu à haute voix la dernière ligne :
« UNA AYUDA SE LES APORTARA ce qui signifie UNE AIDE VOUS SERAS APPORTE »
Le Colonel et le vieil homme se mirent à parler pendant plusieurs minutes. Puis, il finirent par décider de parler de tout ceci à l’intérieur de l’Adonis. Le Colonel ordonna au Sergent de téléporter tout le monde dans la salle de commandement du y-624. Il s’exécuta.
- Savez-vous à quoi ressemble l’artefact ? demanda le Colonel
- Nos scientifiques ont découvert un objet qui dégage une importante source d’énergie. Mais nous ne savons pas comment cette énergie se crée, pour le moment l’objet est dans nos laboratoire, il ressemble à un croissant répondit le vieux monsieur.
Le colonel demanda a voir l’artefact, l’inconnu, lui répondit qu’il pouvait aller le chercher mais que cela allait prendre beaucoup de temps car il se trouvait de l’autre coté de la planète. Bayard lui annonça q’il pouvait l’amener grâce a l’Adonis. L’homme accepta.
- Voici l’artefact, annonça le vieux Monsieur.
Face à lui, un coffre en bois, ouvert. A l’intérieur un objet en forme de croissant de couleur rouge. Un des scientifiques du vaisseau prit la parole :
- Colonel, cet objet existe sur Notre Terre aussi, sauf qu’il est de couleur bleu.
- En êtes-vous sur ?
- Oui, Monsieur.
Le vieil homme avant de quitter le vaisseau donna l’artefact au Colonel. Ce dernier, ordonna au Major Reynold de décoller et de retourner sur la terre le plus rapidement possible. Le vaisseau décolla et arriva en orbite de la planète. Là de nombreux vaisseaux spatiaux livraient combat au dessus d’eux. Les vaisseaux des Oxjios affrontaient ceux des Marians.
- Colonel, il ne nous ont pas repérer, s’il nous voient, ils vont nous abattre, nous sommes une cible facile nous n’avons aucune défense.
- Essayer d’enclencher le bouclier.
- Je détecte une présence autre que nos hommes dans la salle des machines. Le bouclier semble capter l’énergie de l’artefact.
- Parfait, faites route vers la Terre. Sergent Ink prenez des hommes et vérifiez moi la salle des machines Immédiatement !
Le sergent descendit dans la salle des machines. Lui et ses hommes se mirent à inspecter chaque recoins de cette salle, au bout d’un laps de temps, le sergent vit face à lui, un enfant. Cet enfant ressemblait à un Humain, c’était une fille, elle avait des cheveux noirs qui lui arrivaient en dessous des épaules, assortis à la couleur de ses yeux, elle avait à peu prés 17 ans. Il s’approcha d’elle tout doucement :
- N’aie pas peur, nous ne te voulons aucun mal. Comment t’appelle tu ?
- Je n’ai pas peur, je vous ai sauvé la vie. Mon nom est Célia.
Le sergent surpris demanda à la fille ce qu’elle voulait dire par « sauver la vie ». Celle ci lui répondit qu’elle avait modifié le bouclier pour qu’il capte l’énergie de l’artefact. Le sergent prit contact avec le Colonel pour lui faire son rapport. Celui-ci lui dit de ramener l’ado avec lui au poste de commandement.
- Célia, c’est ton prénom ? demanda le Colonel.
- Oui, et vous votre nom est Bayard.
- C’est exact, Comment le sait tu ?
- Je l’ai entendu quand vous étiez chez les Oxjios. Quand je suis venue sur votre vaisseau, je voulais vous mettre en garde, je voulais que vous partiez.
Le colonel demanda à Célia, ce qu’elle faisaient sur ce vaisseau. Celle-ci lui répondit qu’elle avait une mission à accomplir :
- Je dois vous amener aux artefacts, et vous aidez à les assembler.
- Comment es tu au courant de l’endroit de ces artefact ? demanda la Major
- Vous saurez la vérité le moment venu. Il y a un second artefact sur ce vaisseau. La première fois, que je suis venue sur ce vaisseau j’y ai caché le second artefact. Colonel, sous votre siège, se trouve un petite trappe. Ouvrez la.
Ce dernier ouvrit la trappe et découvrit, un second artefact. Célia le lui demanda.
- Que veux tu en faire ?
- A la vitesse où nous allons, vous ne serez pas chez avant 10 ans. Grâce à l’énergie de l’artefact, je vais accélérer le vaisseau.
- Major, vous l’accompagniez.
Tous deux se rendirent dans la salle des machines. Célia commença à relier l’artefact au moteur du vaisseau.
- A votre retour sur Terre, les choses auront changé pour vous et votre équipe Major.
- Explique toi, s’il te plait.
- Je n’ai pas le droit de vous révéler votre futur, vous allez voir ce que je veux dire dans quelques secondes.
- Dans quelques seconde que veux tu dire ?
- J’ai terminé retournons en salle de commandement
De retour, dans la salle de commandement, la Major fit son rapport au colonel. L’ado demanda aux personnes présentes de bout de s’asseoir.
- Que fais tu ?demanda la Colonel à l’enfant.
- Je vous ramène tous chez vous mais pour cela j’ai besoin de votre siège
- Prenez le
Célia s’assit sur le siège. Et ferma les yeux. Le vaisseau s’arrêta d’avancer. Puis il accéléra brutalement ce qui fit s’évanouir tous les membres du personnels du vaisseau. Le colonel fut le premier à se réveiller et alla voir l’enfant.
- Que c’est t’il passé ?
- Retournez vous Colonel.
Le Colonel se retourna vers la vitre avant.