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J'avais déjà vu une vidéo basée sur ce concept, mais là, je trouve ça très bien fait.CITATION (Altaïr,Mardi 16 Décembre 2008 20h06) Magnifique, franchement, très bien réussi!
Et, en plus, ça se passe à Timisoara !CITATION Timisoara, Roumanie
Un homme vient de remporter sa bataille juridique qu'il menait depuis un an pour persuader la Cour qu’il était bien vivant. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées Un homme prouve en justice qu’il est bien en vie Gheroghe Stirbu essayait de renouveler sa carte d’identité quand un agent municipal lui a dit qu’il était enregistré comme décédé. Des officiers municipaux l’avaient pris pour un autre homme. Bien que M. Stirbu leur ait fait remarquer leur erreur, les officiers ont refusé de reconnaître leur faute jusqu’à ce que Gheroghe Stirbu gagne le droit d’être déclaré en vie après un an de procédure légale.
Malgré sa victoire, M. Stirbu devra payer 562 euros de frais de justice. Celui-ci a déclaré : « Quand le juge s’est prononcé en ma faveur, j’étais absolument ravi. Puis quelques secondes plus tard, j’étais totalement choqué de découvrir que je devrai payer une telle somme en frais de justice. Je vais bien sûr faire appel de l’imposition de ces frais. Mais je commence déjà à me demander si je n’aurais pas mieux fait de rester mort. »
Ils ont des problèmes avec leurs morts et leurs vivants là-basCITATION Le charnier de 1989, une falsification célèbre
Affaire des charniers de Timişoara.
On rapporta qu'il y aurait eu 1.104 tués et 3.352 blessés pendant l'insurrection contre le chiffre actuel de 93 morts à la fin. Les images d'un "charnier", fabriquées de toutes pièces et montrées à la presse occidentale, furent abondamment diffusées dans le monde entier. Ce n'est qu'en février 1990 qu'il fut établi qu'il s'agissait là d'une intoxication. Le nom de Timisoara est dès lors resté associé aux manipulations dont les medias sont toujours susceptibles d'être à la fois les dupes et les relais.
Source : Wikipédia
CITATION Soulagement chez les patates. Ce n’est pas tout de se voir sorties de terre, lavées à la pression, épluchées à la machine, coupées en lambeaux, plongées dans de l’huile bouillante, relevées de sel, pour finir noyées dans du Coca. La part la plus malheureuse des frites finit abandonnée sur le sol. La frite délaissée n’est plus broyée par les molaires, mais condamnée à se faire écrabouiller par le pied d’un client. Infortuné client qui chute et se retourne contre la frite, accusée d’être la cause de son malheur. Frite outragée, frite martyrisée et frite accusée… Quelle vie ! I'm a poor lonesome cowboy, I've a long way from home…
Les faits datent du 22 décembre 2007. Une cliente entrant dans le fast-food Quick de Reims coince son talon droit dans le paillasson. Le pied gauche dérape, avec un vol plané, suivi d’une lourde chute et d’une mauvaise fracture du genou droit. Et après la chute, c’est l’accusation qui tombe : c’est une frite qui n’avait rien à faire là. Pour preuve, la chaussure gauche sous laquelle est écrasée une frite, le tout déposé chez huissier.
Le tribunal de grande instance de Reims ce 16 décembre a innocenté la frite, et son gardien d’un jour le patron du Quick. La plaignante se trouve « déboutée de toutes ses demandes ». De quoi être dégoûtée, mais c’est-çà, c’est une autre histoire.
L’avocat de l’assureur du restaurant, Francis Fossier, résume le jugement : « Le tribunal a estimé que la plaignante n'avait pas apporté la preuve de la présence de la frite ce jour-là sur le sol. Il n'y a jamais eu de rapport des pompiers précisant qu'elle avait glissé sur une frite. Le tribunal constate qu'il n'y a que l'attestation de sa sœur, qui est la seule pièce qui pourrait justifier quelque chose. »
Pour sa part, l’avocat de la plaignante, Emmanuel Ludot, déplore un « excès de juridisme » pouvant mener à un « système d'impunité », et annonce qu’il fait appel. glisser-1.gif
« Impunité », c’est certainement beaucoup, surtout pour une affaire portée au civil, et non au pénal. Nul ne songe à emprisonner les frites. Mais, surtout, il s’agit seulement d’un problème de preuve. La plaignante prouve-t-elle que la chute était due la frite égarée ? Preuve certes difficile à apporter, car si la cliente avait vu la frite, pas de doute qu’elle l’aurait évitée, poursuivant son chemin pour les déguster pour de bon, les frites ! Il fallait donc prouver l’existence d’une chose que personne n’a vue, ce qui est toujours difficile... Et la frite écrasée et scotchée à la chaussure, apportée à l’huissier, ne prouve rien. Le rapport des pompiers ne mentionne pas la frite, et quatre membres du personnel attestent que le sol était net et propre, libre de toute frite. De plus, les frites sont tellement bonnes chez Quick que pas un client n’en laisse traîner une, c’est de notoriété.
L’acharnement des plaideurs-chuteurs n’est pas d’aujourd’hui. La responsabilité du propriétaire de magasin pour défaut d’entretien du sol est un classique de la jurisprudence. Dans une affaire jugée le 24 janvier 1985 par la Cour de cassation (n° 83-15378), la responsabilité du magasin avait été retenue pour une chute causée par de la crème glacée tombée sur le sol, et dont la provenance était demeurée inconnue. Dans un autre arrêt du 14 février 1979 (n° 77-12551), un client avait chuté sur une épluchure de légume qui avait rendu le sol anormalement glissant. Même solution encore pour un arrêt du 24 mai 1978 (n° 76-14648) pour des débris de pâtisserie retrouvés à l'endroit où la victime avait été relevée. Il n’est pas besoin de prouver la faute du commerçant, mais seulement le rôle causal de la chose, ce par application de l’article 1384 alinéa 1 du Code civil, aux termes duquel on est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore du fait « des choses que l'on a sous sa garde ». Ce qui vous explique l’attention des grandes surfaces à toujours laisser le sol impeccable.
Et oui, alors même qu’elle le croit, la frite n’est pas abandonnée. Laissée sur sol, exposée aux semelles des clients, elle reste sous la garde du magasin, qui est responsable de plein droit des dommages qu’elle peut, bien innocemment, causer.
CITATION Serait-ce symbolique de notre époque et de la gente féminine qui se tranforme peu à peu en comité de geekettes ?
En tout cas, M. Lavinashree, une jeune indienne âgée de neuf ans, vient de réussir l'examen du MCP (Microsoft Certified Professional) et, sans surprise, il s'agit à ce jour de la personne la plus jeune ayant été diplômée par Microsoft. Ce nouveau record vient détrôner celui de Arfa Karim Randhawa, une jeune pakistanaise qui obtint la certification à l'âge de 10 ans en 2005.
L'examen du MCP valide les connaissances informatiques d'une personne au travers d'un questionnaire abordant plusieurs thématiques telles que le développement, l'administration réseau ou encore l'utilisation d'outils bureautiques.
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que M. Lavinashree bat un record : à l'âge de trois ans elle aurait récité 1300 couplets d'une oeuvre datant de plus de 2000 ans et rédigée en Tamil, une langue parlée en Asie du Sud et du Sud-Est.
CITATION Cette insolite-là est n'est pas drôle, mais elle me paraît tellement absurde...
Condamné à 8 ans de prison, il ressort du tribunal libre comme l'air !
Alain Antczack, condamné à 8 ans de prison pour homicide involontaire après une course poursuite qui a entraîné la mort d'un gendarme, a été remis en liberté à la fin de son procès.
La présidente du tribunal de Guéret, Bernadette Bernier, a omis un détail : elle n'a pas notifié le maintien en détention d'Antczack.
L'avocate d'Antczack, Me Emilie Bonnin-Bérard, qui confirme bien que notre homme "s'en est allé du tribunal correctionnel de Guéret à 19h". Cependant, durant 5 ans, il ne peut plus passer le permis de conduire, ni se rendre dans le département de la Creuse ou porter une arme de catégorie 1.
Toujours d'après l'avocate, "la sensibilité du dossier devrait permettre de faire appel de la décision de justice rapidement".
Tient donc, serait-ce John Sheppard Jr?CITATION Elle n'est pas du niveau des autres mais elle m'a fait bien rire au journal
Un enfant de 6 ans emprunte la voiture de ses parents
Virginie -- Un enfant de six ans qui avait raté l'autobus qui devait le mener à l'école a tenté de s'y rendre en empruntant la voiture de ses parents et a été impliqué dans un accident.
Le jeune intrépide n'a subi que des blessures mineures et la police l'a reconduit à son école après qu'il ait reçu des soins à l'hôpital.
Selon la police, le jeune garçon, dont l'identité n'a pas été révélée, a raté l'autobus scolaire. Il est alors retourné chez lui, s'est emparé des clés de la voiture familiale tandis que sa mère dormait et a franchi 16 kilomètres en direction de son école.
Quelque têtes à queue à une vitesse de 80 KM/h plus tard,il aurait à plusieurs reprises quitté la route avant de frapper un poteau à seulement deux kilomètres de son école. La police a précisé qu'il ne portait pas sa ceinture de sécurité.
Il aurait de plus déclaré avoir emprunté la voiture pour son cours de gym qu'il n'aurait raté pour rien au monde
Personnellement je ne trouve pas que ça soit plutôt vexant. Ils précisent juste que, à l'heure actuelle, une des technologies de stargate ne peut être imaginé comme réel.CITATION (Elf,Dimanche 11 Janvier 2009 18h51) Je ne suis pas sure que ce que je vais dire a sa place ici mais voici un commentaire du site Futura Science très vexant pour les fans de Stargate:
Je n'arrivait pas à copier le texte alors j'ai fait une petite capture d'écran.
Très vexant...?CITATION (Elf,Dimanche 11 Janvier 2009 18h51) Je ne suis pas sure que ce que je vais dire a sa place ici mais voici un commentaire du site Futura Science très vexant pour les fans de Stargate:
Je n'arrivait pas à copier le texte alors j'ai fait une petite capture d'écran.
Tu insinues donc que stargate n'est pas la verité?CITATION IL n'y a rien de vexant là-dedans, juste que Futura Sciences fait revenir sur Terre tout ceux qui regardent un peu trop stargate
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