Et voilà le deuxième épisode de la première saison. Je me suis relu trois fois en corrigeant toutes les fautes que j'ai pu trouver sans bêta lecteur. Je n'en ai toujours aucun donc je fais de mon mieux pour limiter les fautes. Il y'en a sans doute encore des fautes, je ne me fais pas d'illusions mais j’espère en n'avoir supprimé l'essentiel ou du moins une bonne moitié. Je ne suis pas une pointure en orthographe, désolé.
Bon sur ce bonne lecture. J'espère que cet épisode vous plaira.
Et merci pour vos commentaires, ça fait toujours plaisirs d'en avoir même si tous ne sont pas très plaisant à lire. Critiques comme compliments m'aident à avancer.
Voilà donc en exclu un nouvel épisode

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Saison 1
Episode 2 : Tête à tête
Dans son bureau O’Neill regardait Mitchell assis en face de lui alors que à la droite de ce dernier se trouvait l’italien Rico Delmario un homme d’une trentaine d’années spécialisé dans les renseignements.
- Toujours aucune du capitaine Bailliard et du sergent Esker ? demanda le chef d’état major de l’armée terrienne.
- Toujours aucune. D’après nos dernières nouvelles, la bataille contre les sibtrassis continue de faire rage. De plus nous n’avons à l’heure actuelle aucune nouvelle des autres membres des équipes SG. Je crains que le pire ne soit arrivé, répondit Rico Delmario, membre des services de renseignements terriens.
Flash Back 10 heures plutôt.
L’équipe SG1 explorer une planète à la recherche d’un peuple ou d’une nouvelle technologie. Le sergent Esker regarda la foret qui se présentait devant l’équipe d’exploration terrienne.
- Encore une foret, cette galaxie en est truffé c’est pas possible, se plaignit elle.
L’équipe SG1 s’avança dans la foret, Bridge ouvrant la marche.
Bridge et ses hommes continuèrent leur exploration lorsqu’ un tir de plasma passa juste au dessus de la tête du lieutenant Scott. Un second tir manqua le chef de SG1 de peu.
- On est attaqué, on se replie vers la porte des étoiles.
Les membres de SG1 se mirent à courir échappant à plusieurs reprises de justesse aux tirs sibtrassis.
Soudain deux sibtrassis en tenue bleu arrivèrent de la droite mais Ronon parvint à les abattre avec de tir parfaitement bien tiré. SG1 continua sa route effrénée lorsque qu’une dizaine de sibtrassis arrivèrent droit devant. Ronon, Bridge et Scott sautèrent sur la droite alors que Bailliard et Esker sautèrent sur la gauche. Bridge se releva en premier et ouvrit le feu à l’aide de son P 90 tuant deux soldats ennemis alors qu’une vingtaine de sibtrassis supplémentaire rejoignaient leurs compères.
- On se sépare, ordonna Bridge. Le premier groupe qui atteint la porte contact immédiatement le SGC.
Les deux groupes partirent chacun de leur côté, chaque groupe étant poursuivit par une vingtaine de sibtrassis.
Rapidement Pauline et Maxime arrivèrent devant une cabane en bois, signe qu’il y a ou avait de la vie sur cette planète et entrèrent en trompe dans la cabane. Mais la cabane étant vieille et non rénové, le vieux bois céda sous les pieds des deux membres de SG1 qui tombèrent dans une planque souterraine et furent assommés par la chute.
Fin du Flash Back
Générique.
Flash Back 7 heures plutôt.
Le reste de l’équipe SG1 menait par Bridge parvint à atteindre la porte des étoiles.
- Ronon, composez l’adresse du SGC. Esker, Bailliard, est ce que vous m’entendez ? demanda Bridge par radio
Aucune réponse ne lui vint alors que la porte des étoiles s’activa, le chef de SG1 activa sa radio pour émettre un signal au SGC.
- Général Reynolds, ici Bridge. Nous avons été attaqués par les sibtrassis. Bailliard et Esker sont portés disparus, je demande des renforts immédiatement.
- Reçus colonel, je vous envoie SG2, 3, 4, 5, et 6 en renfort dès que possible.
Fin du Flash Back
Flash Back quatre heures plutôt.
Les équipes du SGC fouillaient la planète lorsque l’équipe SG4 appela les autres équipes par radio.
- Colonel Bridge, ici le colonel Sandford, une cinquantaine de sibtrassis viennent de passer la porte des étoiles et je viens d’apercevoir une frégate ennemie en orbite basse.
- Reçue, restez sur vos gardes.
Fin Flash Back
O’Neill sortit de son bureau rapidement suivit par Mitchell.
- Nous devons vite envoyez des renforts, fit Jack ou la situation risque d’empirer.
- Elle a déjà empiré malheureusement, répondit Mitchell.
- C’est exact, d’après nos dernières informations qui datent d’environ d’une heure, les équipes SG envoyés sur la planète sont débordés et les sibtrassis tiennent la porte des étoiles. En conséquence nous n’avons aucun moyen d’envoyer des renforts au sol, rajouta Delmario.
Flash Back une heure plutôt.
Des échanges de tirs fusèrent dans tous les coins, les terriens tentant d’empêcher les sibtrassis d’avancer dans la foret alors que ces derniers tentaient d’encercler les équipes SG.
Scott tira une rafale de son MP 5 et parvint à abattre un sous officier sibtrassi.
- On se replie, ordonna Bridge.
- Bridge, si on fait cela, les sibtrassis pourront prendre la porte des étoiles, répliqua Sandford.
- Je sais colonel, mais on n’a plus le choix, rétorqua le commandant de SG1.
Fin du Flash Back
Maxime se frotta le front se réveillant avec un sacrée mal de tête. Il secoua la tête et regarda autour de lui, remarquant très vite Pauline par terre qui se réveillait à son tour. Le capitaine de SG1 se releva difficilement alors que Esker ouvrit les yeux en grimaçant.
- Est-ce que ça va ? demanda Bailliard en tendant la main à Esker pour l’aider à se relever.
La jeune femme tendit la main droite mais gémit immédiatement de douleur.
- J’ai mal au bras.
Bailliard s’accroupit et passa le bras gauche d’Esker autour de son cou et se releva, la relevant par la même occasion.
- Bougez pas que je regarde ce que vous avez.
Bailliard examina le bras d’Esker, il ne lui fallut qu’un coup d’œil pour faire un diagnostique simple.
- Vous avez le bras droit démit et la clavicule cassée, pas besoin d’être médecin pour s’en rendre compte.
- Vous n’avez rien capitaine ? demanda t’elle.
- Contrairement à vous non, j’ai eu de la chance on dirait.
- Où son les autres ? demanda t’elle en grimaçant de douleur une nouvelle fois.
- Je ne sais pas mais ils reviendront j’en suis sur.
- Comment pouvez vous en être aussi sur ?
- Parce que sur ma planète, on n’abandonne jamais les siens.
- Dans ce cas, nous n’avons plus qu’à tuer le temps.
- D’accord et comment ? demanda Bailliard
- Question/Réponse, suggéra Esker.
- Pourquoi pas. Je commence. Est-ce que vous avez déjà eu des petits amis ?
- Des quoi ?
- Des amants.
- Oh ! Oui j’en ai eu un. Il s’appelait Delvin. A l’époque je n’étais qu’un soldat et lui un officier. Il a…, je dirais été mon seul et unique amour.
- Comment ça s’est fini ?
- Mal
- C'est-à-dire ?
- Je ne tiens pas à en parler d’avantage. Et vous alors ?
- Quelques unes mais ça n’a jamais duré bien longtemps.
Pendant ce temps dans la foret, le combat continuait de battre son plein. Unissant leurs forces les trois membres de SG1 parvinrent à abattre cinq soldats sibtrassis.
- Il faut vite retrouver le capitaine Bailliard et le sergent Esker, on ne tiendra plus très longtemps, fit le chef de SG2 par radio.
- Je sais, répondit Bridge mais avec les sibtrassis, ça ne va pas être facile.
Scott se baissa évitant de justesse un tir sibtrassi avant de répliquer avec son arme. Bridge tira une slave de P 90 qui parvint à avoir raison de trois sibtrassis alors que cinq autres arrivaient en renfort.
- A ce rythme là, on aura épuisé toutes nos munitions, dit Ronon en tuant un ennemi au passage.
En orbite autour de la planète deux vaisseaux cylindriques sortirent de l’hyper espace et se positionnèrent en orbite géo synchronisé.
- D’après nos capteurs, les terriens sont en train de se faire encercler par nos troupes, commandant.
- Parfait envoyez cent hommes supplémentaires enseigne, je veux qu’aucun d’entre eux ne puisse s’échapper.
- A vos ordres mon commandant. Dois-je envoyer les bombardiers ?
- Affirmatif.
Trois bombardiers sortirent du hangard bâbord du premier destroyer sibtrassi et foncèrent vers la planète.
Maxime regarda sa coéquipière qui éludait presque toutes les questions et ce n’était pas franchement ce que le français appelé un jeu de question/réponse. Il voulait savoir ce qui s’était passé avec Delvin et il comptait bien le découvrir.
- Qu’est ce qui s’est passé avec Delvin ?
- J’ai entendu dire qu’une station de combat et de surveillance allait être construite pour renforcer les défenses de la Terre, fit Esker pour esquiver la question.
- Oui, cette station va s’appeler Purgatoire, en référence à un endroit biblique. Cela a à voir avec les sept planètes. Cette station de combat sera dotée d’une porte des étoiles avec un iris ainsi que des boucliers, des armes à énergies et des canons anti aériens. Je crois même qu’on va équiper la station d’un E2PZ. La station devrait se trouver à l’entrée de notre système solaire près d’Uranus. Et d’après certaines rumeurs, elle devrait aussi servir de base de recherche. En somme tout un programme.
Le sergent Esker opina d’un hochement de tête.
- Il n’empêche, reprit le capitaine, que vous n’avez pas répondu à ma question.
- Je ne veux pas en parler.
- Ce n’est pas ce que j’appelle un jeu de questions/réponses Pauline. Vous pourriez au moins répondre à cette question, si vous ne vouliez pas répondre à des questions concernant votre vie privée, il ne fallait pas jouer à ce jeu. Je vous signal quand même que j’ai répondu à toutes vos questions quelles soit d’ordres professionnels ou privée.
- Vous voulez savoir, s’emporta-t-elle. Très bien. Il est mort, il a été tué. Par… moi.
Pauline s’affaissa sur le sol, pleurant à chaudes larmes alors que Maxime se mordit les lèvres s’en voulant d’avoir insisté.
- Pourquoi ? demanda-t-il à près quelques secondes de silence.
- Il avait l’intention de trahir les sibtrassis et l’empire. Il disait que l’empereur était un criminel, un monstre. Il comptait donner des informations d’ordres top secret et capitaux aux telmacrites. Avec ses informations, les telmacrites auraient pu gagner la guerre contre les sibtrassis. Delvin savait où se trouvait la grande flotte telmacrite et il allait les rejoindre avec les précieux documents. Delvin prévoyait même d’assassiner l’empereur lui-même. C’était de la haute, de la très haute trahison. Il m’a proposé de travailler avec lui et qu’ensuite nous pourrions vivre heureux tous les deux. Mais à l’époque, je ne connaissais pas la vérité à propos de ma planète. Pour moi, c’était Vontros le monstre. Alors j’ai saisit mon arme et j’ai tiré sur Delvin… en pleine tête. Le pauvre est mort sans avoir eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait. J’ai ensuite remis les informations de Delvin au haut commandement sibtrassis, le généralissime a alors pu anéantir les telmacrites et gagner la guerre. Tout ce qui se passe aujourd’hui est de ma faute. Je ne mérite même pas de vivre.
Les pleures de la jeune femme redoublèrent d’intensité. Sa tristesse était telle qu’elle ne ressentait plus la douleur de son bras droit.
- Je suis un monstre, dit-elle entre deux sanglots.
Maxime s’approcha doucement d’elle et s’assit à ses côtés.
- Tu te trompes, tu n’es pas un monstre. Un monstre n’a pas de regret ou de remord, toi tu en as. C’est exactement ce qui fait la différence entre un être humain et un monstre.
- Arrêtes d’essayer de me réconforter, ma vie n’a été qu’une suite d’erreur jusqu’à ce que j’intègre SG1. Comment toi et les tiens avaient pu m’accepter alors que je ne suis qu’une moins que rien et que ma vie n’a aucune importance.
- Cesses de dire n’importe quoi, répondit Maxime qui se retint d’hurler de colère à la dernière réplique de son amie.
Sans s’en rendre compte, les deux jeunes personnes s’étaient mutuellement tutoyer et puis après tout qu’importe. Maxime passa son bras autour de la taille de Pauline et l’attira doucement contre lui. La jeune femme posa sa tête contre le torse du capitaine de SG1. Sans qu’ils s’en rendent vraiment compte leurs cœurs se mirent à battre la chamade. C’était leur moment privé à tous les deux, leur moment rien qu’à eux.
- Si tu savais comme je m’en veux, dit-elle après un moment.
- Il n’est jamais trop tard pour réparer ses erreurs.
- J’espère que tu as raison.
Maxime attrapa le menton de la jeune femme et lui fit monter le visage vers lui. Il ne fallut que quelques secondes pour que leurs visages ne se retrouvent qu’à quelques centimètres l’un de l’autre et ils se regardèrent droit dans les yeux.
- J’ai raison sergent, j’ai toujours raison.
- Si tu le dis mon capitaine.
Subitement Pauline avança son visage vers celui de son supérieur hiérarchique et leurs lèvres se touchèrent. D’abord le baiser fut timide puis il devint vite passionné. Maxime passa ses bras autour de la taille de son amante alors que Pauline passa son seul bras valide autour du cou du jeune homme.
Dans la foret le combat battait son plein. Même si les équipes SG maintenant regroupées parvenaient à tuer un nombre de plus en plus important de sibtrassis. Mais les munitions commençaient à manquer et le nombre d’ennemis était lui, bien loin de diminuer, il augmentait, au contraire, de manière considérable. Dès qu’un sibtrassi mourrait, deux à quatre autres le remplaçait alors que les trois bombardiers sibtrassis les empêcher de battre en retraite vers l’extérieur de la foret au quel cas ils tireraient à vue sur les troupes terriennes, ce qui pour faire simple barrer purement et simplement le chemin de la porte des étoiles aux hommes du colonel Bridge.
Le chef de SG 4 ouvrit le feu sur le soldat ennemi le plus proche le tuant d’une balle en pleine tête alors que Scott arriva à tuer un officier sibtrassis. Le colonel Sandford dégoupilla une grenade et la jeta au milieu des rangs sibtrassis tuant cinq soldat et un sous officier, blessant au passage un officier ennemi à la jambe. Un tir de plasma passa à quelques dizaines de centimètres du visage de Ronon qui aperçut les membres de SG 3 abattre huit sibtrassis supplémentaires.
- On n’en viendra jamais à bout ! s’exclama le chef de SG 5.
- Major attention ! cria Ronon alors que chef de SG 5 s’écroula tué par un tir plein cœur.
- AH ! hurla un membre de SG 2 avant de tomber lui aussi sans vie sur le sol.
- Il faut se replier, fit le chef de SG 3.
- On est d’accord, fit Scott mais où ? Nous n’avons aucun moyen de replie, dit il, bien à couvert derrière un arbre.
Le lieutenant Taculbury, membre de SG 2 roula sur le côté, saisissant son neuf millimètre au passage. Il se releva prestement et tira une balle en pleine tête sur un soldat sibtrassi et se coucha au sol en tirant trois balles dans le foie d’un deuxième soldat qui s’écroula dans un râle alors qu’un tir de plasma frappa le lieutenant de SG2 en pleine tête le tuant sur le coup.
Ronon tira cinq fois faisant mouche à chaque fois. Soudain un tir frôla l’épaule gauche d’un membre de SG 4 . Le colonel Willian Grisom de SG 3 abattit un sibtrassis en tenue bleu.
- Je suis à cour de munition, fit le colonel Sandford avant de sortir son zat.
Le chef de SG 4 tira deux fois avec le zat tuant un sous officier. Un nouveau tir de plasma manqua Ronon d’un cheveu mais celui répliqua immédiatement tuant le malheureux qui l’avait pris pour cible. Scott qui avait sortit son neuf millimètre lui aussi avant d’être touché à la jambe gauche, posa le genou gauche à terre, puis lâcha son arme qui tomba à terre alors que le lieutenant de SG1 laissa échapper un grognement de douleur. Le sergent Krum tira une rafale de P 90 vidant ses dernières munitions sur deux sibtrassis qui succombèrent. Mais Krum n’eut pas le réflexe de se coucher à terre lorsqu’un tir de plasma le frappa en plein cœur, réduisant l’organe vital en confetti, tuant le sergent sur le coup. Celui-ci n’eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait ni même et fort heureusement pour lui de souffrir.
- Scott, baissez vous ! hurla Grisom en abattant un officier une fois Scott couchait à terre.
Grisom allait recharger son arme quand le tir d’un sous officier ennemi le frappa pleine poitrine alors qu’un autre tir le frappait dans le dos. Ronon pivota sur quatre vingt dix degrés et élimina l’homme responsable de la mort du colonel Grisom.
Mu d’une étrange intuition, Bridge se retourna, horrifié, les équipes terriennes étaient encerclées.
- Rendez vous, ordonna un officier qui semblait être plus gradé que les autres. Et aucun autre d’entre vous n’aura à mourir.
- Posez vos armes, dit Bridge à ses hommes.
Les membres des équipes SG sans exception malgré la réticence de Ronon posèrent leurs armes à terre.
- Tuez-les, ordonna le chef des sibtrassis.
Pauline s’était lovée contre Maxime.
- Tu crois qu’on va nous secourir ? demanda t’elle.
- Bien sur.
A ce moment là des bruits de pas raisonnèrent à la surface.
- On est en dessous, attention au sol, il est vieux et cède facilement ! s’écria le capitaine Bailliard.
Les bruits de pas se rapprochèrent au soulagement des deux derniers membres de SG1 lorsqu’un sibtrassi apparut au dessus d’eux.
- On est maudit, maugréa la jeune femme.
Dans la partie non détruite de la cabane, trois sibtrassis tenaient en joug les deux derniers survivants de SG1 après les avoir remontés à la surface.
- Main en l’air, ordonna un sous officier.
Maxime s’exécuta alors que Pauline incapable de lever le bras droit laissa ses bras le long du corps.
- J’ai dis main en l’air.
- Elle ne peut pas, répondit Maxime. Elle a le bras droit cassé.
- La ferme, ordonna le sous officier.
- Laisse tomber, fit un deuxième sous officier. Qu’est ce qu’on s’en fout. On va les tuer de toutes façon alors bon.
- Ouais t’as raison, on s’en moque après tout, concéda le premier.
Les trois sibtrassis levèrent leurs armes alors que les deux amants échangèrent un dernier regard plein de tendresse.
- Je t’aime Pauline
- Je t’aime Maxime, de tout mon cœur.
Les trois sibtrassis visèrent les cœurs de leurs ennemis, la victoire au bout de leurs doigts. Les autres terriens avaient aux dernières nouvelles soit abattus soit sur le point de l’être. Un sourire mauvais apparut sur le troisième sibtrassi.
- Feu, ordonna le plus gradé des trois.