Ma fanfic "Fragments"...

Ienpk
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Re: Ma fanfic "Fragments"...

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CITATION Ca ne serait pas crédible ; trop de races humaines parlent Anglais. Je préfère l'explication résultant de Moebius, a savoir que SG-1 à apprit aux Anciens égyptiens à parler notre langue, que les Jaffa ont appris cette langue par prudence, pour comprendre toutes leurs paroles, et que les autres races esclaves ont ensuite copié ce language sur les Jaffa. Un peu tiré par les cheveux, mais bon...
Tiré par les cheveux, c'est le cas de le dire. Cela s'est passé il y a 5000 ans. Le Français d'il y a seulement 500 ans, tu ne le comprendrais pas. La langue aurait évoluer dans un tel laps de temps. De plus comme la plupart de ces civilisations ont évoluer indépendamment les une des autres, dans l'isolement, cet Anglais aurait aboutie à autant de langue différentes que de cultures différentes, à tel point que meme si l'Anglais est la langue d'origine, cela n'y changerait rien.

Le traducteur est selon moi la seule possibilité. Trouvé sur Abydos, lors du pilote, c'est lui qui permet au équipe Sg de comprendre les autres cultures. Le fait qu'ils parlent Anglais est alors un retranscription en Goa'uld.
Do you have any memories of Mars?
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Re: Ma fanfic "Fragments"...

Message non lu par Skay-39 »

CITATION (Ienpk,Lundi 20 Mars 2006 à 21:52) Le traducteur est selon moi la seule possibilité. Trouvé sur Abydos, lors du pilote, c'est lui qui permet au équipe Sg de comprendre les autres cultures. Le fait qu'ils parlent Anglais est alors un retranscription en Goa'uld.
C'aurait été une bonne solution, pas de doute ; mais tenter de l'introduire maintenant sertait impossible, du moins pas en restant cohérent. Je tiens à rester dans la veine de la série, et à ne pas partir en "live". Mais c'est vrai que c'était une bonne suggestion...
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Re: Ma fanfic "Fragments"...

Message non lu par Artheval_Pe »

ALors, premièrement, c'est très bien écrit. j'entends par là, qu'il n'y a pas de fautes de français, que les descriptions sont très bonnes, et que tu arrives bien à faire ressentir des sentiments ou des impressions.
L'histoire est bien ficelée, assez complexe, et elle ne comporte aucune inchérence avec la série.

Mais, le défaut, je trouve, c'est que l'histoire est longue... non pas que ce soit un défaut en soi, mais, 150 pages, et seulement trois anneaux récupérés...
Depuis le début, les héros ont passé leur temps dans leur cargo et dans le hatak.... ça fait long.
Je pense qu'un peu plus de diversité aurait été bienvenu. Un des anneaux aurait pu être tombé sur la planète... et, losqu'ils auraient été chercher l'anneau à pied, il y aurait pu y avoir une bataille avec des jaffas, etc...
Je pense aussi que tu aurais pu essayer d'ajouter des élèments personnels (autres que le GMCE, le GCEME, enfin, le machin) à l'univers stargate en écrivant ton histoire (mais ce n'était pas forcémment nécessaire.

enfin, ça, c'est juste mon opinion personnelle.

Dans l'ensemble, c'est vraiment très bon, mais il y a juste quelques défauts qui font que c'est un peu moins agréable à lire que ça aurait pu être.

C'est quand même une excellente fanfic pour les fans des goa'ulds (suivez mon regard vers mat vador :lol: )
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Re: Ma fanfic "Fragments"...

Message non lu par sethnet »

C'eest excelent, oui 150 pages c'est beaucoup mais bon quand on aime on ne compte pas ! ^_^

Les descriptions sont excelentes (perso j'essaye mais j'ai du mal) tu as un vrai talent d'écriture.
Continue et encore merci pour tous ces bons moments à lire ! :clap:
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Re: Ma fanfic "Fragments"...

Message non lu par Skay-39 »

Chapitre X
Compromis

Quelques minutes plus tard, en orbite extrêmement basse autour d’une géante gazeuse du système tobien, dans le vaisseau mère du Seigneur Khnemou.

Tout d’abord, il ne ressentit rien d’autre qu’une violente nausée, accompagnée d’un malaise général. Son corps était comme engourdie, courbaturé. Etrangement, alors qu’il ignorait ce qui était responsable de son état, il avait la certitude que cela lui était déjà arrivé. Souvent. Trop souvent.
Avec un certain professionnalisme, il entreprit d’analyser la situation. Il établit rapidement trois faits essentiels : premièrement, il était paralysé ; deuxièmement, il ignorait qui il était et où il se trouvait ; troisièmement, il ressentait une sensation de danger pressent.
Toujours avec cet étonnant sens pratique, il tenta de se rappeler son nom. Il lui revint après quelques balbutiements : colonel Jonathan « Jack » O’Neill, membre du SGC, matricule 66-789-7876-324.
Et, avec le mot « SGC », lui en revint un autre : « zat’nik’tel ».
Oui. Il avait été atteint par un tir de zat. Dans un vaisseau Goa’uld.
Une attaque. Un Jaffa de… Khnemu.
Carter. Les Fragments. L’anneau.
O’Neill entrouvrit les yeux, encore un peu désorienté. Il réalisa qu’il ne se trouvait pas par terre ; il voyait ses bras, qui se balançaient mollement à une trentaine de centimètres au dessus du sol d’un noir d’ébène.
Ah, oui, bien sûr… La sangle de son sac était sans doute encore coincée dans l’étendard pourpre. Il lui suffisait de…
Soudain, il entendit un étrange claquement accompagné d’une légère secousse, et avant d’avoir réalisé ce qui s’était passé, il atterrit lourdement sur le sol de marbre.
- Aoûtch ! s’exclama t-il lorsque son nez s’écrasa sans douceur contre la pierre froide et polie.
Apparemment, quelqu’un venait de couper la courroie qui le maintenait en l’air. Il devait s’agir de Teal’c et de son inimitable délicatesse – du moins, il fallait l’espérer, parce que dans le cas contraire, il y avait fort à parier qu’une troupe de Jaffa l’entourait, lances braquées sur sa tête.
Feignant de sortir à peine de l’inconscience, il poussa un grognement et se replia légèrement sur lui-même, rapprochant imperceptiblement sa main de son Beretta.
- C’est fait, dit une voix inconnue d’un ton égal. Il est réanimé.
Jack glissa les doigts sous le rabat qui protégeait son arme. Voila qui confirmait ses inquiétudes.
- Ce… n’est pas exactement ce que j’avais en tête, mais ça ira, répondit la voix de Teal’c d’un timbre un peu hésitant, qui semblait dénoter d’un profond épuisement.
Jack hésita un instant, mais la faiblesse qu’il avait détecté chez son ami Jaffa le décida à agir.
Lorsqu’il entendit s’approcher des pas qu’il n’identifia pas comme appartenant à Teal’c, il pivota sur lui-même tout en dégainant son pistolet, et, ôtant la sécurité en plein mouvement, il pressa le canon de son arme contre le ventre du guerrier extra-terrestre.
- Plus un geste, lâcha le colonel froidement, ou je te creuse une deuxième poche symbiotique.
Le Jaffa, un jeune homme blond au teint hâlé, n’eut pour toute réaction qu’un clignement de paupière. Il tenait à la main un large poignard à la lame fendue et ensanglantée, qui lui avait sans doute servit à couper la courroie de son sac. Le guerrier baissa lentement les yeux vers l’arme du colonel, et dit calmement :
- Je vous ai sous-estimé, Tau’ri.
Jack, troublé par les effets conjugués du zat’nik’tel et de cette réaction inattendue, ne trouva rien à répondre.
- Tout va bien, O’Neill, fit Teal’c, un peu plus loin dans le couloir. C’est un allié. Il vient de me sauver la vie.
Avec une extrême prudence, Jack se releva et recula un peu, sans dévier son arme de sa cible. Puis, il jeta un coup d’œil vers Teal’c.
La première chose qu’il remarqua fut l’état ahurissant du couloir. Un grand nombre de banderoles étaient en flamme ou trouées de cercles de feu ; les murs portaient la trace d’impacts de plasma. Dans un coin, l’un des portes-flammes ne lançait plus que des étincelles ; le sol portait des traces de sang. Une bataille acharnée avait eut lieu ici.
Ensuite, il avisa les corps de trois Jaffa étendus un peu plus loin. Deux d’entre eux étaient pourvus d’un casque en forme de tête de mouton, en complément de leur armure. L’un des Gardes Mouton était affligé d’une brûlure ensanglantée au milieu du torse ; les deux autres semblaient intacts.
Et, devant lui, se retenant d’une main au mur de pierre et de l’autre à une bannière écarlate, il y avait Teal’c.
- Au nom du ciel… murmura Jack O’Neill, relâchant un instant sa vigilance.
Le Jaffa avait deux énormes ecchymoses, sur l’œil gauche et la joue droite ; sa lèvre inférieure était fendue, et sa joue gauche était marquée d’une fine et longue coupure aux bords noircis. Une plaie encore plus importante traversait son cou, et avait fait s’écouler une quantité impressionnante de sang sur sa veste déchirée. Mais toutes ces blessures ne suffisaient pas à expliquer l’état de faiblesse extrême du Jaffa rebelle – il y avait eut autre chose. Cependant, quoi que ce soit, il faudrait s’en occuper plus tard.
Jack se tourna vers le Jaffa inconnu.
- Et vous êtes ?...
- Schel’nok.
Il n’avait même pas cillé. Ses yeux noirs comme le charbon, ou l’on lisait une profonde lassitude, étaient sérieusement dérangeants.
- Schel’nok… Oui… répéta O’Neill, qui avait du mal à arracher son regard à celui du soldat en armure.
Il se décida enfin à baisser son Beretta. Rassemblant ses esprits, il s’approcha de Teal’c.
- Et bien, je suppose… commença Jack d’une voix égale, je suppose que nous vous sommes redevable pour nous avoir débarrassé de ces types…
Sans doute aurait-il dû se montrer plus reconnaissant, mais, bon sang… le regard de ce Schel’nok le mettait sérieusement mal à l’aise. Il ramassa une lance serpent – sans doute celle de Teal’c – et la tendit à son propriétaire, qui lâcha sa tenture et s’appuya sur l’arme pour se maintenir debout.
- Ça ira ? s’inquiéta O’Neill.
Pour toute réponse, Teal’c inclina la tête. Le colonel O’Neill dû s’en contenter.
- Eh ben, vieux frère, vos trois collègues ne vous ont pas raté, murmura t-il en examinant les brûlures de Teal’c. Ils se sont acharnés…
Jack cru déceler une brève hésitation dans le regard du Jaffa.
- En effet, répondit-il simplement.
Le colonel fronça les sourcils, le regardant dans les yeux. Il sentait que Teal’c ne lui disait pas tout. Il lui cachait quelque chose…
Soudain, un grognement résonna derrière lui. Jack reconnut la voix de Jacob Carter.
Laissant Teal’c où il était, il s’approcha rapidement du tok’Râ. Son menton portait la trace d’un bleu qui était déjà en train de se résorber.
« Efficace, ces petits symbiotes tok’Râ », songea O’Neill.
Il secoua légèrement le général par l’épaule.
- Jacob ? répéta t-il.
Soudain, le tok’Râ ouvrit les yeux, et une lumière blanche les illumina.
- Non de… murmura le colonel, qui eut un mouvement de recul.
Il se reprit rapidement.
- Selmak ? Quel bon vent vous amène ? demanda t-il flegmatiquement.
Le tok’Râ se redressa avec une étonnante vivacité.
- J’étais en train de guérir Jacob. J’avais donc le contrôle. Quelle est la situation ?
« Et bien, pensa Jack, voila qui s’appelle un « prompt rétablissement ». »
- Teal’c est vivant, mais tout juste, commença t-il d’un ton badin, nos agresseurs sont au tapis, on s’est fait un nouveau copain et Daniel…
- Ah… Ho. Aïe.
- …est apparemment en train de reprendre connaissance, conclu Jack théâtralement en s’approchant de l’archéologue étourdie. Est-ce que ça va ?
- Ho… On ne peut mieux, répondit le docteur Jackson en clignant des yeux – comprenant qu’il avait perdue ses lunettes, il jeta un œil autour de lui et les récupéra. Voyons, en quelques heures, j’ai subis une hyperdécélération subite, un transfert raté par les anneaux et j’ai été zaté. Je crois que je devrais demander une augmentation…
Jack lui donna une tape sur l’épaule, et l’aida à se relever.
- Colonel O’Neill, appela soudain la voix de Selmak.
Le colonel se tourna vers le tok’Râ. Au passage, il avisa Schel’nok, qui n’avait pas bougé d’un pouce.
- Qui sont-ils ? demanda le symbiote du général, en désignant les trois Jaffa inconscients.
- Qui ?... Et bien, ce sont ceux auquel nous devons notre petit séjour au pays des rêves, non ?
- Non.
Le tok’Râ se tourna vers Teal’c.
- Notre agresseur portait une armure noire et possédait un casque de Bélier en argent.
Le Jaffa rebelle soutint son regard un instant.
- En effet, répondit-il finalement sans plus d’explications.
Le colonel O’Neill hésita, regardant tour à tour Teal’c et Selmak. Il ne comprenait pas ce qui…
- C’est moi qui vous ais attaqué.
Toutes les personnes présentes se tournèrent vers celui qui avait parlé. Droit et digne, sur la défensive, Schel’nok les clouait de son regard noir et provocateur. Le chef des armées de Khnemu était majestueux et impressionnant, dans sa lourde armure. Sa lourde armure noire.
- Vous ?... répéta Jack.
Son Beretta remonta de quelques centimètres.
- J’ai reçus l’ordre de la bouche du Seigneur Khnemou en personne de procéder à votre exécution. Je suis venu afin de vous tuer. Et je vous ais laissé en vie.
Sa voix était à la fois calme et dure. Il avait les intonations d’un homme vivant dans un monde impitoyable, et qui ne le supportait plus.
- Et est-ce qu’on peut savoir pourquoi vous avez fait ça ? demanda O’Neill avec méfiance.
Les yeux du guerrier se posèrent sur lui, et il en vint presque à regretter d’avoir parlé.
- Parce que j’ai besoin de vous. Autant que vous aurez besoin de moi.
- Besoin de nous ? fit Jacob prudemment.
Apparemment, Selmak lui avait rendu le contrôle.
- Je vous ais laissé en vie, répéta Schel’nok. Je tenais Teal’c à ma merci. Vous étiez inconscient. J’aurais pu tous vous éliminer, et satisfaire mon Seigneur. Vous avez une dette envers moi.
- Oui, enfin… dans une certaine mesure, répondit Jack O’Neill avec méfiance.
Le primat le foudroya du regard. Il se tourna vers Teal’c, l’air furieux.
- Je lui ais promis notre aide, O’Neill, intervint le Jaffa. Il dit vrai. Il aurait pu me tuer sans la moindre difficulté. Au lieu de cela, il s’est retourné contre les siens. Contre ses frères.
Jack savait pourquoi l’ancien primat d’Apophis insistait sur ce point. Il avait agit de même un peu moins de cinq ans auparavant, en retournant sa lance contre les Gardes Serpents qui avaient jusque ici combattus à ses côtés. O’Neill, comme plusieurs de ses collègues, devait sa vie à ce geste.
Il fit à nouveau face à Schel’nok.
- En quoi est-ce qu’on pourrait vous aider, d’après vous ?
Le Jaffa blond ferma les yeux un instant, comme si répondre nécessitait un effort de sa part.
- Vous avez tué Râ, Hathor, Sokar…
- Hem, et Seth, aussi, glissa Daniel avec une mimique distraite. N’oubliez pas Seth.
Schel’nok ouvrit les yeux.
- Je veux que vous m’aidiez à tuer Khnemou.
Un long silence suivit ces paroles. Daniel, Teal’c, Jacob et Jack se concertèrent du regard, interdis par cette demande.
- C’est d’accord, répondit soudain Jack.
Daniel et Jacob gardèrent un visage impassible, qui n’illustrait en rien leur état d’esprit. Ils échangèrent tout de même un bref coup d’œil étonné.
Schel’nok fixa le colonel O’Neill un long moment, tentant visiblement de sonder son regard. Jack ne détourna pas les yeux, l’air parfaitement tranquille – et pourtant inflexible.
Enfin, le Jaffa de Khnemu cligna lentement des paupières et quitta le colonel des yeux. Il s’avança vers Teal’c et passa par-dessus son épaule le bras qui ne tenait pas la lance.
- Qu’est-ce que vous faites ? demanda Daniel sur le ton de la conversation.
- Il est gravement blessé. L’Alma’ah Orak a empoisonné son corps et son Kala ; si on attend trop longtemps, son corps va peu à peu retourner à l’état de poussière et de liquide.
- Dégénérescence cellulaire artificiel en cascade, commenta Jacob en hochant la tête. Trois tirs de zat’nik’tel amènent une réaction similaire, tout en soumettant les éléments à une forte chaleur qui provoque une combustion instantanée. Mais j’ignorais qu’on pouvait en équiper des couteaux Orak…
- Khnemou est le seul Goa’uld à utiliser cette arme, indiqua Schel’nok tout en faisant avancer Teal’c vers les trois autres. Tout ses Maîtres Jaffa en possèdent un. Une simple entaille peut conduire le faible à la mort, mais les larves des Jaffa parviennent généralement à stopper la destruction du corps. Cependant, une exposition aussi prolongée aux rayonnements ne peut se guérir que par un séjour dans un sarcophage de régénération.
Il passa devant O’Neill.
- C’est là que vous l’emmenez ? demanda le colonel, toujours méfiant. Jusqu’au sarcophage de ce Khnemu… Heu, Khnemoo ?
- Khnemou. Oui, c’est là que je dois le conduire, confirma Schel’nok.
Il toucha le col de son armure, et en quelques secondes son casque d’argent se déploya à nouveau, lançant des reflets lumineux sur les murs.
- Pendant ce temps, vous irez récupérer le dernier Fragment de votre sœur. Je sais que vous connaissez sa position. Une patrouille a examiné le poste de contrôle que vous avez utilisé.
- Pas question, on ne se sépare pas, lâcha O’Neill d’un ton sans réplique.
- Vous n’avez pas le choix, répondit doucement le primat, avec la même inflexion. Il faudra peut-être créer une diversion. Je ne pourrais pas tenir les patrouilles éloignées de la salle du sarcophage le temps nécessaire à sa guérison.
- Ça ira, O’Neill, glissa Teal’c avec difficulté. Vous… pouvez lui faire confiance.
- Dans ce cas, Jacob vous accompagnera, dit Jack comme s’il n’avait rien entendu.
- Et comment expliquerais-je la présence d’un tok’Râ à mes côtés ? demanda Schel’nok d’un ton neutre. Je pourrais prétendre mener Teal’c à la salle du sarcophage sur ordre du Seigneur, mais la présence d’un autre ennemi éveillera des soupçons. Garder votre tok’Râ. Croyez-moi, il vous sera utile en cas de rencontre avec une patrouille.
Jack hésita un instant, mais il n’eut pas le loisir de donner son autorisation. Les deux Jaffa avaient continué leur chemin, et tournaient déjà au coin du couloir, au milieu des bannières en flamme. Bientôt, on entendit plus que les pas vacillant de Teal’c.
- Très bien ! lança Jack d’une voix forte. Oui, très bonne idée ! On fait comme ça !
Il soupira, et partit à pas vifs dans la direction opposée.
- Allez, venez. Je ne veux pas les laisser seuls ensemble trop longtemps. Ce gars me fait froid dans le dos…
- Jack, il y a quelque chose que je voudrais savoir…
Daniel se tenait à sa droite.
- Pourquoi avez-vous accepté aussi rapidement de l’aider à éliminer Khnemou ? murmura t-il en jetant un rapide coup d’œil en arrière. Ça ne rentre pas vraiment dans nos objectifs…
O’Neill se pencha afin de passer sous une tenture noircie.
- Parce que ce type a raison. On a besoin de lui. Ce vaisseau est d’un modèle que ni vous ni moi n’avons jamais exploré, et je crois qu’on ne peut plus compter sur Sam… Lui, il connaît le terrain, et pour l’instant les Jaffa sur place lui font confiance. Il pourrait être un atout précieux. En plus, il est possible que nous nous trouvions confronté à ce Khnemou, et dans ce cas, je me ferais un plaisir de lui régler son compte.
- Et si jamais on récupère l’anneau sans croiser ce Goa’uld ? demanda Daniel d’une voix égale. Si jamais on a la possibilité de quitter cet endroit avec le dernier Fragment ? Si jamais ce… Schel’nok… refuse de quitter le vaisseau sans qu’on ait honoré notre part du marché ?
Jack s’arrêta, et, baissant la tête, exhala lentement.
- Si jamais on a la possibilité de quitter cet enfer et de sauver Carter ? résuma t-il avec lassitude. Il nous a mit le dos au mur. Quoi qu’en dise Teal’c, c’est lui qui nous a attaqué, et il ne nous a épargné que parce qu’on pouvait lui être utile - on ne lui doit rien. Alors s’il fait mine de nous empêcher de partir, on le zat, on l’emmène avec nous dans le cargo et on le dépose sur la première planète munie d’une Porte des étoiles qu’on trouvera sur notre route. Vous avez un problème avec ça ?
Daniel resta silencieux un long moment.
- Oui, dit-il enfin. Mais je ferais avec.
Sans un mot, le trio continua son chemin vers la zone sécurisée où ils pensaient trouver le dernier Fragment, celui qui leur permettrait peut-être de ramener Samantha Carter.
Ignorant que cet anneau n’était plus désormais qu’un tas de débris tordus et brisés, encore tiède des tirs brûlant des lances Goa’uld.

« …route. Vous avez un problème avec ça ? »
« Oui. Mais je ferais avec. »
Schel’nok prit garde de n’avoir aucune réaction qui aurait pu donner des soupçons au shol… à Teal’c de Chulak. L’ancien primat d’Apophis ne semblait pas représenter un danger ; il dérivait entre conscience vacillante et transe hallucinée. Mais Schel’nok avait entendu trop de chose à son sujet pour se montrer imprudent.
D’un discret mouvement de tête, il désactiva la fonction « amplificateur sonore » de son casque de naquadah. Les sons à l’intensité artificiellement augmentée qui résonnaient jusque-là à ses oreilles se turent avec un déclic, et les capteurs situés à l’extérieur de son heaume cybernétique se rétractèrent silencieusement.
Il ne ressentait pas vraiment de colère. La réaction des guerriers Tau’ri et de leur allié tok’Râ n’était pas réellement surprenante, au fond. Rien ne les liait au code d’honneur des Jaffa ; ils avaient une mission à accomplir, et faisait le nécessaire pour parvenir à leur fin. Eux ne pouvaient comprendre toute la portée de son geste. Ces Tau’ri n’avaient jamais connus l’esclavage ; les Dieux avaient quitté leur monde plusieurs milliers d’années auparavant, revenant seulement périodiquement à bord de vaisseaux de transport afin de déporter quelques centaines d’humains vers l’une de leurs mines. Ils n’avaient pas connus l’oppression, la soumission, et la peur incessante de ceux qui savent. Qui connaissent la véritable nature des Dieux Goa’uld.
Il avait eut connaissance de l’histoire de Teal’c. Teal’c le shol’va. Le chef des armées du Seigneur Apophis, qui avait retourné son arme contre les soldats ayant si longtemps servis sous ses ordres afin de sauver et de suivre ce colonel O’Neill et ses hommes – bien que Schel’nok ait beaucoup de mal à concevoir ce dernier point.
Teal’c avait comprit l’ampleur de son geste, toutes les conséquences que cela impliquait. Lorsque le moment viendrait, lorsqu’ils apprendraient que l’anneau ne pouvait plus accueillir à nouveau l’Esprit de leur sœur, Schel’nok pourrait espérer un soutient de sa part. Il allait œuvrer en ce sens.
Et, quel que soit la façon dont les choses tourneraient, il avait une assurance que les humains rempliraient leur part du marché. Il n’y avait que deux façons de libérer leur amie : depuis le pel’tak, où Khnemou passait le plus clair de son temps à fixer l’espace de ses yeux sans vie, ou bien sur les terminaux de la salle de l’ordinateur central, qu’il avait prit soin de protéger par un mot de passe. Ils devraient affronter Khnemou, qu’ils le veuillent ou non.
Un triste sourire apparu sur ses lèvres, vaguement éclairé par la lueur rougeâtre émanant de son écran visuel. Un sourire sans joie, sans plaisir - presque résigné.
Les Tau’ri ne jouaient pas franc-jeu.
Lui non plus.
« Khnemou mourra, Kelt’sär. J’en fais le serment. Pas seulement pour venger ta mort, mais parce que c’est ce qui doit être fait. »
Teal’c poussa un grognement de douleur étranglé. Des nervures noires violacées se déployaient autour de ses plaies, en une arborescence mortelle. Son corps avait déjà commencé à se dégrader.
- Tiens bon, mon frère, dit Schel’nok avec une réelle sollicitude tandis qu’il entrevoyait déjà la salle des anneaux. Tu iras bientôt mieux.
« Tout ira bientôt beaucoup mieux. »

Jacob effleura une pierre mauve en forme de scarabée, et, avec un feulement cristallin, une nouvelle porte ouvragée se souleva. Depuis qu’ils avaient atteints ce niveau, ce type de déclencheur sophistiqué avait remplacé les traditionnels panneaux de commande pourvus de touches vertes rectangulaires.
L’équipe avança, arme au poing comme à l’accoutumée, et se détendit en constatant que le couloir était vide. Depuis leur rencontre avec Schel’nok, ils n’avaient plus croisé une seule patrouille Jaffa. Sans doute le primat avait-il ordonné aux troupes du vaisseau de quitter ce niveau, afin de lui laisser le champ libre.
- Jacob, il y a une ou deux questions que je n’ai pas encore eu l’occasion de vous poser, dit soudain le colonel O’Neill tandis qu’ils reprenaient leur progression. Par exemple, à propos de cet anneau : comment est-ce qu’on est censé le faire sortir de ce vaisseau ? Khnemou ne l’a sûrement pas installé à côté d’un sas de sortie. Ce serait bien, mais j’en doute…
- Nous ne ferons pas sortir l’anneau en entier, répondit patiemment le tok’Râ. Je retirerais simplement les cristaux-mémoires nécessaires à la récupération du dernier Fragment. Une fois arrivé à l’avant-poste de Het’Nomina, ces cristaux seront placés à l’intérieur d’un autre anneau, et la rematérialisation se fera tout aussi bien.
- Je vois… fit O’Neill, qui semblait un peu surprit d’avoir tout compris.
- Et ce petit bricolage prendra combien de temps ? demanda le docteur Jackson.
- Tout dépendra de l’état de l’unité. Si on à de la chance, ça ira très vite. En revanche, si l’anneau a souffert, il me faudra plus de temps pour télécharger les informations dans des systèmes annexes.
- Regardez, fit soudain O’Neill d’un ton vif.
L’équipe était parvenue à un croisement comportant trois itinéraires possibles. Sur la droite et la gauche se trouvaient deux nouveaux couloirs, ou le sol et les murs abandonnaient le marbre et la pierre au profit d’un matériau plus conventionnel dans ce type d’appareil, le naquadah. Quelques hiéroglyphes gravés sur la paroi de droite indiquaient la direction d’une plate-forme de transfert ; la voie de gauche semblait continuer en ligne droite sur toute la longueur du vaisseau.
Et juste devant eux, épaisse et massive, il y avait une lourde porte de naquadah blindée et hermétique. Vingt contreforts métalliques, placés sur l’intérieur du losange gris, en consolidaient la construction ; l’embrasure ressortait du mur, protégeant le sas du souffle d’une éventuelle explosion. Tout semblait avoir été fait pour isoler cette salle du reste du vaisseau.
- Jacob ? fit O’Neill.
- C’est ici.
- Je l’aurais parié.
Sans consulter les autres, Jacob s’approcha de la porte et tendit la main vers un gros bouton métallique et rectangulaire, qui abandonnait l’esthétique au profit du fonctionnel.
« Prudence, Jacob, lui souffla vivement Selmak. Nous ignorons ce qui ce trouve là derrière. »
Le général tint compte de sa remarque, et suspendit son geste le temps de saisir et de déployer son zat’nik’tel.
- Allez-y, fit le colonel qui se tenait prêt, l’arme au poing.
Le tok’Râ pressa la large touche. Un sifflement aigue jaillit de l’embrasure, les faisant grimacer, lorsque l’air du couloir s’engouffra dans la salle maintenue sous légère dépression atmosphérique. Puis, la porte se souleva avec un inhabituel bruissement métallique dû à sa structure particulière, et une bouffée de chaleur funeste leur arrivé au visage. L’odeur facilement reconnaissable des gaz générés par l’utilisation d’armes plasmiques se mêlait à une autre, lourde et cuivrée, qui rappelait à la fois le parfum du sang frais et les émanations nocives d’une voiture en flamme.
Le solide panneau qui fermait la pièce acheva son mouvement et disparut dans le plafond, et le spectacle qui s’offrit alors à eux leur glaça le sang et pétrifia leur cœur un instant.
« Ho, non… » soufflèrent Jacob et Selmak d’une seule voix, unis dans la douleur et le désespoir.
O’Neill posa brusquement une main sur le mur, et le général comprit qu’il avait été prit d’un vertige brutal. Lui-même sentait le sol tanguer sous ses pieds, et il lui semblait que son cerveau fonctionnait au ralentit, l’empêchant de penser à quoi que ce soit.
- Non… murmura le docteur Jackson d’une voix blanche.
La pièce, qui mesurait environ deux cent vingt mètres carré, était de forme rectangulaire. Ses parois, grises et ternes, semblaient capables de résister à n’importe quoi. Il s’agissait probablement d’un entrepôt de matières dangereuses, ou étaient stockés les explosifs et les substances volatiles utilisées pour l’exploitation des mines de naquadah.
Deux pattes d’arrimage mécaniques tordues et noircies par des tirs d’armes à énergie étaient visibles sur le mur du fond, qui portait des traces de brûlures. La troisième gisait au sol, brisée et arrachée à la cloison.
Et, près du crochet déraciné, éparpillés sur le sol comme les débris d’une explosion, il y avait les restes de l’anneau.
Leur anneau.
Les plaques de naquadah constituant l’enveloppe extérieur, éventrées et en partis fondus, formaient sur le sol une sorte de masse torturée ; les systèmes internes, cristaux et processeurs, condensateurs énergétiques et générateurs antigravitationnels, avaient été disséqués par la chaleur intense et projetés jusqu'à six mètres par les déflagrations. Les débris calcinés formaient comme des cercles concentriques autour de la coque déformée.
« Nous voulions des fragments, nous sommes servis » pensa Jacob qui n’avait pourtant pas la moindre envie de rire, encore moins de plaisanter.
« Arrête, Jacob » fit Selmak, alarmé par le chaos dans lequel sombrait l’esprit du général.
« Elle est morte, seigneur, ma fille est morte ! »
« Je sais. »
Le symbiote tok’Râ tenta de reprendre le contrôle avec délicatesse, mais Jacob le repoussa brutalement. Selmak n’insista pas, et se contenta de l’aider à reprendre ses esprits.
« Vous êtes encore en danger, Jacob. Ce vaisseau regorge de patrouilles ennemies. »
« C’est trop dur. Nous y étions presque, il ne nous manquait plus qu’un seul Fragment, un seul ! Je ne peux pas la perdre encore, pas une nouvelle fois !… »
Daniel Jackson s’avança lentement dans la pièce, marchant sur des cristaux qui crissèrent sous ses pieds, et se pencha sur la carcasse brûlée. Il posa précautionneusement les doigts sur le métal.
- C’est encore tiède, dit-il d’une voix atone. Ça a dû se produire au moment ou nous avons perdu la liaison avec Sam.
- Il le savait… murmura O’Neill avec fureur.
- Quoi ? demanda Jacob, faisant un effort surhumain pour revenir à la situation présente.
Le colonel avait les yeux brillants de colère, et pleins d’une détermination glaciale ; ses lèvres étaient crispées, comme s’il cherchait à retenir un cri.
- Ce Jaffa ! cracha t-il. Il savait ce que nous trouverions ici. Il savait que l’anneau était détruit. Il voulait nous éloigner de Teal’c !
Il cligna des yeux, comme si la portée de ses paroles ne lui apparaissait que maintenant.
- Teal’c…répéta t-il. C’est pas vrai... Il faut qu’on le retrouve, vite ! Je n’aurais jamais dû les laisser seul tout les deux. Jacob !
Le tok’Râ tourna vaguement le regard vers lui, encore désemparé.
- Est-ce que vous saurez nous emmener jusqu’au sarcophage ? Jacob. Jacob !
O’Neill le regardait sans compassion. Etrangement, le tok’Râ lui en fut reconnaissant. Il savait que cette façon de se lancer dans l’action sans réfléchir était un moyen pour le colonel O’Neill de maîtriser sa propre douleur ; il n’en restait pas moins que le général Carter avait besoin que quelqu’un prenne la direction des opérations.
- Je pense que oui. Mais on ne devrait pas plutôt chercher du côté du pel’tak ?
- Non, répondit rapidement le colonel.
Il fronça les sourcils, comme pour mieux se concentrer.
- Sur ce point, ce Schel’nok a dit vrai. Il aurait pu nous éliminer et nous livrer à Khnemou. Je ne sais pas pourquoi, mais il voulait être seul avec Teal’c, et il ne pourra rien faire tant qu’il sera mourrant. Ils seront à ce sarcophage.
O’Neill arma son P-90.
- Emmenez-nous.
- Quoi ? fit Daniel faiblement, les regardant l’un après l’autre. Mais… Enfin, qu’est-ce qu’on fait pour Sam ? Je veux dire… C’était sensé être une mission de sauvetage…
Il avait prononcé ces derniers mots d’un ton presque suppliant.
Jack s’arrêta sur le pas de la porte. Il baissa la tête. Expira difficilement.
- Echec mission, Daniel, fit-il d’une voix dur, faussement insensible. L’objectif a changé. Tout ce qu’on peut faire, maintenant, c’est retrouver Teal’c et essayer de nous tirer d’ici sans trop de casse. C’est fini.
Il fit signe au tok’Râ de le précéder. Faisant un nouvel effort de concentration, Jacob se remémora les plans du vaisseau et visualisa le trajet à effectuer pour atteindre le sarcophage. D’abord, il leur fallait changer de niveau ; donc, trouver des anneaux de transfert.
Quittant avec soulagement le spectacle de l’anneau disloqué, le tok’Râ enjamba le léger rebord que comportait la sortie. Puis, apercevant l’inscription sur la paroi de gauche – « chambre de transfert » - il s’engagea dans le couloir, immédiatement suivit par le colonel O’Neill. Le docteur Jackson leur emboîta le pas peu après, et les rejoignit en silence.
L’équipe s’éloigna le long du couloir, sans savoir qu’elle marchait sur les traces encore chaude du Seigneur Khnemou.


« Les Sodans comptaient parmi les guerriers les plus émérites de tout le peuple Jaffa. Leurs techniques de combats, qu’ils pratiquaient déjà sur la Tau’ri longtemps avant que les Dieux ne décident de leur accorder la Prin’tah, faisaient d’eux des adversaires farouches et redoutables ; bien peu de Jaffa purent prétendre avoir survécu à un affrontement avec les Sodans. Les Dieux se disputant la soumission des Sodans, Râ ordonna que le peuple soit séparé et répartit dans les armées des plus puissants Grands Maîtres selon leur influence.
[…] Mais les Sodans bientôt insufflèrent le trouble dans les armées. On dit qu’ils vénéraient d’autres Dieux, des Dieux dont la lumière surpasserait celle des Goa’uld, et qui offriraient une divinité similaire à leurs plus fervents adeptes. […]
Alors, [les guerriers Sodans] se rebellèrent contre leurs Seigneurs. Désertant leurs armées, ils traversèrent le Chap’aï vers une destination inconnue, en disant à tous qu’ils suivaient la Voie de l’Illumination.
Depuis lors, on entendit plus parler des Sodans, de rébellion Jaffa ou des autres Dieux. Mais certains prétendent qu’aujourd’hui, les Sodans ont trouvés la Voie et qu’ils ont rejoins leurs Dieux parmi les étoiles. »


Extrait du recueil interdit des Légendes Jaffa de l’Ancien Temps, « La Vieille histoire des guerriers Sodans », traduit par le Dr. D. Jackson.
Dernière modification par Skay-39 le 07 juin 2007, 14:56, modifié 1 fois.
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