Voici ma première Fan Fic sur laquelle je bosse depuis quelques semaines.
Ne vous attendez pas a un chapitre par semaine mais voici déjà le prologue et je me met des que j'en est la force et l'envie sur le premier chapitre.
Déjà désoler si j'ai laissé passer trop de fautes d'orthographe (mais certaines se feront une joie de me le dire

Mes yeux s’ouvrent, j’émerge difficilement de se sommeil forcer. Je sens une odeur de plastic bruler, une forte chaleur caresse mon visage. Je vois au plafond une lumière orange danser. Lorsque je fais balader ma main j’arrive à attraper mon fusil. Malgré mes muscles engourdis je parviens à me mettre à genou. Plus je reprends conscience plus une douleur intense me transperce de la tête au pied des dizaines de coupures recouvres mon corps. Je vois autour de moi des centaines d’éclats de verres qui viennent surement de l’explosion de la verrière au dessus de moi. A deux mètres de moi il y a un tas de jetons qui brulent prêt d’une table de blackjack. Plus loin je discerne la silhouette d’un homme étendu parterre a travers l’épais nuage de fumer noir stagnant dans la pièce. Je parviens à me relever mais la fumer que je respire m’attaque les poumons. J’enlève donc ma veste pour men servir de masque. Je me dirige vers l’homme qui git non loin du guichet, mais plus j’avance plus la progression est difficile. Je découvre que des partis du toit sont tombés suite à des débuts d’incendie. Mes j’arrive enfin prêt du corps. Malheureusement l’homme est mort. Je ne sais plus où aller, je n’arrive plus à réfléchir. Mon temps est pourtant compter, les craquements dans le plafond me le rappellent. Je regarde autour de moi, après dix secondes de réflexion et d’observation je vois une brèche dans le bâtiment. Une chance pour moi le chemin est dégagé, je me sers tout de même de mon fusil comme une canne.
J’arrive enfin dehors, le ciel est rouge, la plupart des voitures sont accidentes. Je peux maintenant remettre ma veste, la température a chuté par rapport a dedans, on doit se trouver au alentour de dix. Je regarde ma montre il est presque dix-huit heures, d’après mes souvenirs je suis rentré dans se casino vers seize heures. J’ai du passer au moins deux heures évanoui. Dehors l’ambiance est pesante, une odeur de bruler flotte dans l’air. Le soleil est sur le déclin, je dois me trouver un abri. Touts les bâtiments sont abandonner, les portes et les fenêtres sont ouvertes ou détruites. J’espérai avoir croisé au moins une personne mais personne ne s’étais montre. Des corps jonches les rues, se spectacle macabre me laisse pensais que je l’un des derniers survivants dans ma petite ville.
Il est maintenant vingt heures et je trouve enfin mon abri pour la nuit, la banque de la ville m’a l’air abandonner. En y entrant je me dirige directement vers la chambre forte, endroit qui me parait le plus sur. Je longe les murs le centre de la banque. Le sol ne laisse pas beaucoup de place pour marcher. Le nombre de corps est encore plus important que dans la rue. Mais sur cela des traces étranges sont visibles sur le dos des victimes… Une marque de brulures circulaire, surement une arme à énergie. J’atteins la salle des coffres, moi qui espérais secrètement pouvoir en plus ramener quelques billets, je tombe devant une salle vide seulement une dizaine de billet traines parterre. Des pilleurs sont surement passés juste après les premières explosions. Je m’installe dans le fond en laissant la porte entre-ouverte. Une nuit que j’espérais qu’elle serait tranquille…
Un bruit sourd me réveille. Je regarde ma montre, il est quatre heures du matin. J’ouvre les yeux, la salle est plongée dans l’obscurité. La seul chose que je peux voir c’est la porte que j’avais laissé entre-ouverte est maintenant fermer. Je me lève, maintenant je me dis que si la salle avait été pleine je n’aurais pas pu atteindre la sortit. J’arrive à peine à pousser sur la porte qui me parait peser une tonne. Une fois dehors j’aperçois une lumière qui se ballade dans la pièce. Par reflexe je me mets a plat ventre. Je sui avec attention l’action qui se passe a dix mettre de moi prêt du guichet de la banque. Une troupe de cinq personnes sont arrêté devant un corps. Mais un frisson d’horreur s’empare de mon corps, l’homme qui est à terre respire encore. Je le vois cracher du sang, les hommes le regardent d’un regard dédaigneux. Puis une scène me confirme que je ne pourrais pas négocier ma libération si je suis capturé, l’un des hommes se recule brutalement de deux pas et pointe sont arme vers le pauvre homme, et la j’arrive à discerner trois mot venant de lui « Allez en enfer » puis la déflagration de l’arme retentit et me déchire le cœur. Un horrible spectacle, comment j’ai pu le laisser vivant la gisant sur le sol pendant que j’allais tranquillement dormir. Mais le bruit des pas des meurtriers me ramène vite à la réalité. Ils se dirigent vers moi. Je rampe vers la sorti en pensant au sort qui m’attend si ils venaient à m’attraper… mais je réalise que se pauvres homme m’a sauver la vit, les hommes ne se dirige pas vers moi mais vers la salle des coffres. D’après se que j’ai entendu de se qu’ils disaient, ils m’avaient trouvé endormis avant d’entendre l’homme blesser tousser et on donc décider de me garder pour plus tard et de refermer la porte, surement le bruit qui m’a réveiller. Je rampe vers la sorti quand j’entends les soldats donner l’alerte. Je me relève et je cours, non seulement pour leurs échapper mais surtout pour ma vis car il pourrait me tirer dessus de loin. J’atteint enfin la sorti mais le sont que je redouter le plus retentit dans le halle de la banque, la déflagration le la lance. Plein de choses se passes dans ma tête a se moment la alors que j’entends le rayon arriver vers moi… Mais par bonheur le projectile touche le mur a coter de moi et me permet de m’échapper. Maintenant il faut que je me cache malheureusement mon fusil est resté dans le coffre de la banque. Je plonge alors dans une benne a ordure derrière la banque, c’est donc la que je vais finir ma nuit avec plein de questions en tête et des blessures plein le corps.