[FICTION] La Guerre d'Aikon
[FICTION] La Guerre d'Aikon
Salut à tous.
Voici ma nouvelle FanFic, que dis-je ma, premiere Fiction. Car en réalité, cette fiction n'a pas vraiment de liens avec l'univers Stargate, c'est juste une histoire de Science-Fiction de mon cru. J'èspere que cela vous plaira.
Nom: La Guerre D'Aikon.
Chapitre: Chapitre Premier.
Auteur: DucLeto.
Disclaimer: Tous les personnages et/ou lieux et/ou evenements ne sont la proprieté d'aucune marque.
Tous liens avec des faits réels ne sont que pures coincidences.
La Guerre d'Aikon.
Chapitre Premier : La Bataille pour le Letacal.
Fontenot : Journal de bord de l’amiral Fontenot, amiral de la flotte du vaisseau Aikonnien ASS - Letacal.
28 Sommas 458 du second cadran.
Cela fait maintenant deux semaines que nous patrouillons dans le secteur de Otomo IV après avoir suspecter que des vaisseaux rebelles croisent en cette zone.
Nous nous apprêtons à repartir vers Aikon pour la révision complète annuelle.
L’amiral Fontenot était un homme d’une soixantaine d’années, coiffé d’une chevelure blanche allant jusqu’aux épaules, assez massif, il un imposait le « respect naturel », avec ses deux mètres vingt (taille correspondant a notre mètre quatre-vingt-dix actuel) et ses quatre-vingt-quinze kilogrammes. Il était vêtu de l’uniforme blanc d’officier de passerelle, paré de nombreuses cordelettes, de médailles, de deux épaulettes brodées de cinq étoiles dorées chacune et d’un sabre dans son foureau. Il portait tout de même un pistolet 17mm à sa ceinture.
La passerelle de commandement principale du vaisseau amiral Letacal était une pièce rectangulaire de sept mètres de larges sur quinze mètres de long. Dans le fond le poste de l’amiral et de ses deux officiers en second, juste devant eux l’écrans principal, un mètre en avant, les portes gauches et droites puis jusqu’à l’autre bout de la pièce, le long des murs, les différent postes de commandements, chacun occupé en permanence par un officier de passerelle. L’emplacement de la passerelle dans le vaisseau ne vous sera pas révélé pour des raisons de sécurité.
La flotte du Letacal était composée du Vaisseaux amiral (Letacal), de cinquante croiseurs numérotés de ASSBC-USSL-01 à 50 et de deux grands transporteurs contenant chacun cinq cent chasseurs Tornade 546.
L’amiral termina l’enregistrement du journal de bord et pianota sur son clavier. L’alarme retentit une fois et tous les panneaux lumineux du vaisseau passèrent au bleu.
Fontenot : Ici l’amiral Fontenot. A toute la flotte, nous regagnons Aikon, que tout le personnel concerné se mette à son poste. On passe en code bleu.
F à son officier second assis à sa gauche (McKoenigel) : Mac, check list s’il vous plait.
McKoenigel : Tout les systèmes sont prêts amiral.
F : Très bien allons-y.
Tous les officiers s’activèrent sur leurs écrans dans une effervescence contenue.
McK : Propulsion, entrez le cap 94-64-158-026 ,vitesse 8.5
Un des officiers le long du mur droit : Bien reçu !
L’officier second à la droite de Fontenot (Schmidt) : Hyper propulsion, entrez les coordonnées de Aikon et préparez l’ouverture d’une fenêtre hyperespace.
Un autre officier : Bien reçu.
Les vaisseaux de la flotte se regroupèrent et se prirent les cap indiqué, mais au moment ou la fenêtre hyperespace pour Aikon s’ouvrit, une autre s’ouvrit brutalement derrière eux. Plus d’une centaine de croiseur rebelles en sortirent et se placèrent derrière la flotte du Letacal.
F : Fermez la fenêtre hyperespace !
La fenêtre se ferma.
F : Schmidt, rapport de situation
Schmidt : Cent cinquante croiseurs rebelles sont sortis de l’hyperespace et se mettent en position d’attaque, amiral.
F : Ouvrez un canal vers la flotte ennemie.
McK : Bien reçu canal ouvert, amiral.
F : Ici l’amiral Fontenot, commandant du vaisseau Aikonnien ASS-Letacal et amiral de la flotte du Lecatal, à la flotte rebelle. Vous êtes en état d’arrestation pour acte de rébellion, veuillez nous suivre jusqu’au spatioport le plus proche.
La réponse se fit attendre.
Voix dans la radio : Ici Collui de l’alliance rebelle (tiens tiens…) à l’amiral Fontenot. Va te faire foutre connard !!!
Le visage de l’amiral se scia en un sourire effrayant. Fontenot savait pertinemment que cent cinquante croiseurs ne feront jamais le poids contre un vaisseau amiral.
F : Code rouge ! Boucliers à 100% ! Canons à ions, canons à plasma, feu à volonté, préparez les salves de missiles MARK XIX ! Et alerte collision !
L’alarme retentit cinq fois, les panneaux lumineux virèrent au rouge vif. Le vaisseau se dirigea droit vers les croiseurs ennemis, mais les canons refusèrent de tirer.
F : Rapport avarie.
Schmidt : Armement et bouclier HS, amiral.
Mck : Un virus a été introduit dans le système.
F : Changement de cap, manœuvre d’évitement
F : Lancez le diagnostic
Mck : Un virus a été introduit dans les system offensifs et défensifs et il se propage à grande vitesse dans tout le système, on essaie de le détruire.
En effet, tout le personnel de passerelle était affairé sur leur écran.
S : Nous avons plus d’hyper propulsion non plus.
F : D’où a-t-il introduit ?
Mck : Attendez…
McKoenigel, sembla hésiter…
F : Mac !!!
Mck : Escusez-moi, mais il faut que je revérifie.
F : Faites vite.
Mac relança le diagnostic, son visage se blêmit.
F : Mac !!?
Mck : C’est incompréhensible … ce n’est pas possible.
F : Qu’est-ce qui n’est pas possible ?
McK : Le virus a été implanté a partir de la passerelle, du poste 06.
Le visage de Fontenot se durcit, il entra dans une colère noire, son cerveau démarra au quart de tour, ces mots résonnaient dans sa tête « Espion, traître, ‘culé !!!»
Fontenot se leva de son siège et hurla.
F : Werbruggen !!!
Le capitaine de corvette Werbruggen était l’officier responsable des systèmes de défense et avait accès à l’armement, c’était lui au poste 06.
F : Sécurité !!!
Une fois sa tache accomplie, Werbruggen pris son arme de poing, la plaça sur sa tempe, hésita, pensa à sa famille, et appuya sur la détente avant que la sécurité n’ai put faire quoi que se soit. Ses voisins furent recouverts de sang et de morceau de cervelle, ils ne comprirent qu’après quelques secondes que Werbruggen était un traître et qu’il s’était donné la mort après avoir accomplit sa mission, rendre le Letacal sans défense.
Maintenant le vaisseau était vulnérable, il ne fera pas long feu maintenant face aux rebelles, l’amiral le savait très bien.
F : Schmidt, rapport sur les forces ennemies.
Schmidt : Après notre maneuvre d’évitement, les croiseurs enemis nous ont prient en chasse.
F : Raport de menaces.
S : Aucun tir ennemis amiral, il ne veulent pas nous détruire, ils nous veulent vivant.
Mck : Je confirme, aucun tir.
F : Très bien, à tout les croiseurs, attaquez les poursuivants.
S : Mais amiral…
F : Je sais cinquante contre cent cinquante c’est le casse pipe assuré, vous avez mieux a proposer ?
Schmidt baissa la tête, honteux d’avoir tenu tête à Fontenot.
S : Non monsieur, il faut protéger le vaisseau amiral en gagnant du temps.
F : Bien.
F : Je réitère, à tout les croiseurs, autorisation d’ouvrir le feu.
Croiseur leader : Ici croiseur leader, bien reçu amiral.
Les cinquante croiseurs se mirent au niveau des rebelles et commenca une danse des plus impressionnantes, les croiseurs s’entrecroisèrent dans un desordre apparent clairsemé d’explosions et de tirs de missiles et de rayons; tout en suivant le Letacal.
Schmidt : Nous avons déjà perdu trois croiseurs, amiral
Croiseur leader : Ici croiseur leader, on se prends la branlée du siècle, amiral, ils sont bien trop nombr…
Mck : Transmission interrompue, amiral.
S : Croiseurs leader détruit, amiral.
F : A tous les pilotes, a vos chasseurs, allez en renfort avec les croiseurs.
Rouge leader : Ici rouge leader, prêt au décollage.
Vert leader : Paré amiral.
F : Très bien, décollage autorisé, bonne chance.
Les chasseurs se placèrent sur les pistes de lancement dans les transporteurs.
S : Amiral ! Deux missiles ennemis se dirigent droit sur nous !
Les deux missiles fondèrent cote à cote sur le vaisseau amiral, ces deux missiles suffiraient à détruire le Letacal maintenant sans bouclier.
F : Raport de menace.
S : Deux missiles MARK XVII nous ont accroché amiral, impossible de se dégager. Contact dans vingt-deux secondes, amiral
F : Depuis quand les rebelles ont des MARK XVII !!?
S : Aucune idée.
F : C’est pas une réponse.
S : Désolé.
F : Très bien. Contre mesures et réparez moi ce bouclier ! Tentez une riposte !
McK : Négatif, les contre mesures son HS, impossible d’éliminer le virus.
S : Contact dans dix secondes !
L’amiral entra dans une colère noire encore plus forte, mais senti la panique monter en lui. Il savait qu’il ne reverrait jamais Aikon.
Mck : Attendez, je reçois différents rapports sur un changement de trajectoire des missiles. Ils se dirigent... vers les transporteurs.
F : Ou en sont les chasseurs ?
McK : Ils décollent en se moment même
S : Trop tard, contact dans trois…deux...un…
Les missiles s’écrasèrent sur les boucliers des transporteurs, qui furent soufflés par l’explosion. On vit l’onde de choc déformer la coque des deux vaisseaux et furent désintégrés par deux énormes explosions qui secouèrent l’ensemble du Letacal.
F : Transporteurs, au rapport.
Mck : Les deux transporteurs ont été détruits par les missiles MARK XVII. Il n’y a aucun survivant.
S : Il ne nous reste plus que treize croiseurs.
Pendant ce temps la, le croiseurs se livraient une bataille des plus acharnées, Les boucliers étaient sans cesse sollicités par des tirs ou des collisions à très grandes vitesses et des explosions d’autres vaisseaux et les débris devenaient maintenant une réelle menace pour les coques de vaisseaux
McK : Plus qu’un croiseurs, amiral.
F : Dites lui de renter.
McK : Aucune réponse.
Le ASSBC-USSL-28, le dernier croiseur de la flotte n’avait plus ni bouclier, ni armement, ni propulsion, il dérivait dans les débris du champ de bataille, il fut achevé par un croiseur rebelle qui le heurta après avoir perdu le control. Le point lumineux lui correspondant sur l’écran principal de la passerelle disparu. L’amiral dans son fauteuil, s’affaissa sur lui-même.
F : Procédure d’autodestruction.
S : Négatif, le virus a atteint les systèmes concernés.
F : Très bien, il ne nous aurons pas, foncez vers le soleil de ce système solaire.
Tout le monde se tut sur la passerelle. Ils regardaient l’amiral avec un air d’incompréhension.
F : Exécution !
Le vaisseau changea de cap et alla droit sur l’astre lumineux.
Le silence régnait sur la passerelle, tous savait ce qui les attendait mais savait aussi qu’il n’avait pas d’autre échappatoire, il ne fallait surtout pas que l’ennemi capture le vaisseau, il y avait trop d’informations capitales a l’intérieur des systèmes.
McK : Amiral, une centaine de petits appareils arrivent vers nous par tribord.
F : Des chasseurs ?
Mck : Attendez…, non, des vaisseaux d’abordages.
F : Il seront là quand !!?
Mck : Dans vingt-cinq secondes, amiral, ils nous rattrapent.
Les officiers de la passerelle s’exténuaient à chercher de l’énergie à dériver vers la propulsion qui rencontrait de nombreux problèmes. Ils avaient oublié le corps dépourvus de sa tête de Wergruggen qui gisait encore sur le sol gris tâché de sang.
F : Qu’est-ce qui se passe avec la propulsion !!?
McK : Le virus infecte les systèmes mais nous parvenons à le ralentir.
F : Très bien. A tout le personnel combattant, rejoignez les armureries et préparez vous au combat, l’ennemi va aborder le vaisseaux.
F : A mon signal verrouilliez toutes les portes principales.
S : Rapports des unité armées : tous favorables, tout le monde est en place.
F : Verrouillez les portes.
Les portes principales du vaisseau s’abaissèrent pour isoler les différents compartiments.
Mck : Abordage dans dix secondes, neuf…huit…sept…six…cinq…quatre…deux…un… Abordage.
La centaine de petits vaisseaux s’accrochèrent à la coque du vaisseau, avec chacun un emplacement précis, décider a l’avance, ce qui le fit trembler dans la totalité. Chaque abordeur était équiper de chalumeaux au plasma qui commencèrent découper la paroi.
F : Unités armées, vous êtes autorisée à tirer.
Radio : Bien reçu, tirons à vue.
La fin du premier chapitre arrive rapidement.
Voici ma nouvelle FanFic, que dis-je ma, premiere Fiction. Car en réalité, cette fiction n'a pas vraiment de liens avec l'univers Stargate, c'est juste une histoire de Science-Fiction de mon cru. J'èspere que cela vous plaira.
Nom: La Guerre D'Aikon.
Chapitre: Chapitre Premier.
Auteur: DucLeto.
Disclaimer: Tous les personnages et/ou lieux et/ou evenements ne sont la proprieté d'aucune marque.
Tous liens avec des faits réels ne sont que pures coincidences.
La Guerre d'Aikon.
Chapitre Premier : La Bataille pour le Letacal.
Fontenot : Journal de bord de l’amiral Fontenot, amiral de la flotte du vaisseau Aikonnien ASS - Letacal.
28 Sommas 458 du second cadran.
Cela fait maintenant deux semaines que nous patrouillons dans le secteur de Otomo IV après avoir suspecter que des vaisseaux rebelles croisent en cette zone.
Nous nous apprêtons à repartir vers Aikon pour la révision complète annuelle.
L’amiral Fontenot était un homme d’une soixantaine d’années, coiffé d’une chevelure blanche allant jusqu’aux épaules, assez massif, il un imposait le « respect naturel », avec ses deux mètres vingt (taille correspondant a notre mètre quatre-vingt-dix actuel) et ses quatre-vingt-quinze kilogrammes. Il était vêtu de l’uniforme blanc d’officier de passerelle, paré de nombreuses cordelettes, de médailles, de deux épaulettes brodées de cinq étoiles dorées chacune et d’un sabre dans son foureau. Il portait tout de même un pistolet 17mm à sa ceinture.
La passerelle de commandement principale du vaisseau amiral Letacal était une pièce rectangulaire de sept mètres de larges sur quinze mètres de long. Dans le fond le poste de l’amiral et de ses deux officiers en second, juste devant eux l’écrans principal, un mètre en avant, les portes gauches et droites puis jusqu’à l’autre bout de la pièce, le long des murs, les différent postes de commandements, chacun occupé en permanence par un officier de passerelle. L’emplacement de la passerelle dans le vaisseau ne vous sera pas révélé pour des raisons de sécurité.
La flotte du Letacal était composée du Vaisseaux amiral (Letacal), de cinquante croiseurs numérotés de ASSBC-USSL-01 à 50 et de deux grands transporteurs contenant chacun cinq cent chasseurs Tornade 546.
L’amiral termina l’enregistrement du journal de bord et pianota sur son clavier. L’alarme retentit une fois et tous les panneaux lumineux du vaisseau passèrent au bleu.
Fontenot : Ici l’amiral Fontenot. A toute la flotte, nous regagnons Aikon, que tout le personnel concerné se mette à son poste. On passe en code bleu.
F à son officier second assis à sa gauche (McKoenigel) : Mac, check list s’il vous plait.
McKoenigel : Tout les systèmes sont prêts amiral.
F : Très bien allons-y.
Tous les officiers s’activèrent sur leurs écrans dans une effervescence contenue.
McK : Propulsion, entrez le cap 94-64-158-026 ,vitesse 8.5
Un des officiers le long du mur droit : Bien reçu !
L’officier second à la droite de Fontenot (Schmidt) : Hyper propulsion, entrez les coordonnées de Aikon et préparez l’ouverture d’une fenêtre hyperespace.
Un autre officier : Bien reçu.
Les vaisseaux de la flotte se regroupèrent et se prirent les cap indiqué, mais au moment ou la fenêtre hyperespace pour Aikon s’ouvrit, une autre s’ouvrit brutalement derrière eux. Plus d’une centaine de croiseur rebelles en sortirent et se placèrent derrière la flotte du Letacal.
F : Fermez la fenêtre hyperespace !
La fenêtre se ferma.
F : Schmidt, rapport de situation
Schmidt : Cent cinquante croiseurs rebelles sont sortis de l’hyperespace et se mettent en position d’attaque, amiral.
F : Ouvrez un canal vers la flotte ennemie.
McK : Bien reçu canal ouvert, amiral.
F : Ici l’amiral Fontenot, commandant du vaisseau Aikonnien ASS-Letacal et amiral de la flotte du Lecatal, à la flotte rebelle. Vous êtes en état d’arrestation pour acte de rébellion, veuillez nous suivre jusqu’au spatioport le plus proche.
La réponse se fit attendre.
Voix dans la radio : Ici Collui de l’alliance rebelle (tiens tiens…) à l’amiral Fontenot. Va te faire foutre connard !!!
Le visage de l’amiral se scia en un sourire effrayant. Fontenot savait pertinemment que cent cinquante croiseurs ne feront jamais le poids contre un vaisseau amiral.
F : Code rouge ! Boucliers à 100% ! Canons à ions, canons à plasma, feu à volonté, préparez les salves de missiles MARK XIX ! Et alerte collision !
L’alarme retentit cinq fois, les panneaux lumineux virèrent au rouge vif. Le vaisseau se dirigea droit vers les croiseurs ennemis, mais les canons refusèrent de tirer.
F : Rapport avarie.
Schmidt : Armement et bouclier HS, amiral.
Mck : Un virus a été introduit dans le système.
F : Changement de cap, manœuvre d’évitement
F : Lancez le diagnostic
Mck : Un virus a été introduit dans les system offensifs et défensifs et il se propage à grande vitesse dans tout le système, on essaie de le détruire.
En effet, tout le personnel de passerelle était affairé sur leur écran.
S : Nous avons plus d’hyper propulsion non plus.
F : D’où a-t-il introduit ?
Mck : Attendez…
McKoenigel, sembla hésiter…
F : Mac !!!
Mck : Escusez-moi, mais il faut que je revérifie.
F : Faites vite.
Mac relança le diagnostic, son visage se blêmit.
F : Mac !!?
Mck : C’est incompréhensible … ce n’est pas possible.
F : Qu’est-ce qui n’est pas possible ?
McK : Le virus a été implanté a partir de la passerelle, du poste 06.
Le visage de Fontenot se durcit, il entra dans une colère noire, son cerveau démarra au quart de tour, ces mots résonnaient dans sa tête « Espion, traître, ‘culé !!!»
Fontenot se leva de son siège et hurla.
F : Werbruggen !!!
Le capitaine de corvette Werbruggen était l’officier responsable des systèmes de défense et avait accès à l’armement, c’était lui au poste 06.
F : Sécurité !!!
Une fois sa tache accomplie, Werbruggen pris son arme de poing, la plaça sur sa tempe, hésita, pensa à sa famille, et appuya sur la détente avant que la sécurité n’ai put faire quoi que se soit. Ses voisins furent recouverts de sang et de morceau de cervelle, ils ne comprirent qu’après quelques secondes que Werbruggen était un traître et qu’il s’était donné la mort après avoir accomplit sa mission, rendre le Letacal sans défense.
Maintenant le vaisseau était vulnérable, il ne fera pas long feu maintenant face aux rebelles, l’amiral le savait très bien.
F : Schmidt, rapport sur les forces ennemies.
Schmidt : Après notre maneuvre d’évitement, les croiseurs enemis nous ont prient en chasse.
F : Raport de menaces.
S : Aucun tir ennemis amiral, il ne veulent pas nous détruire, ils nous veulent vivant.
Mck : Je confirme, aucun tir.
F : Très bien, à tout les croiseurs, attaquez les poursuivants.
S : Mais amiral…
F : Je sais cinquante contre cent cinquante c’est le casse pipe assuré, vous avez mieux a proposer ?
Schmidt baissa la tête, honteux d’avoir tenu tête à Fontenot.
S : Non monsieur, il faut protéger le vaisseau amiral en gagnant du temps.
F : Bien.
F : Je réitère, à tout les croiseurs, autorisation d’ouvrir le feu.
Croiseur leader : Ici croiseur leader, bien reçu amiral.
Les cinquante croiseurs se mirent au niveau des rebelles et commenca une danse des plus impressionnantes, les croiseurs s’entrecroisèrent dans un desordre apparent clairsemé d’explosions et de tirs de missiles et de rayons; tout en suivant le Letacal.
Schmidt : Nous avons déjà perdu trois croiseurs, amiral
Croiseur leader : Ici croiseur leader, on se prends la branlée du siècle, amiral, ils sont bien trop nombr…
Mck : Transmission interrompue, amiral.
S : Croiseurs leader détruit, amiral.
F : A tous les pilotes, a vos chasseurs, allez en renfort avec les croiseurs.
Rouge leader : Ici rouge leader, prêt au décollage.
Vert leader : Paré amiral.
F : Très bien, décollage autorisé, bonne chance.
Les chasseurs se placèrent sur les pistes de lancement dans les transporteurs.
S : Amiral ! Deux missiles ennemis se dirigent droit sur nous !
Les deux missiles fondèrent cote à cote sur le vaisseau amiral, ces deux missiles suffiraient à détruire le Letacal maintenant sans bouclier.
F : Raport de menace.
S : Deux missiles MARK XVII nous ont accroché amiral, impossible de se dégager. Contact dans vingt-deux secondes, amiral
F : Depuis quand les rebelles ont des MARK XVII !!?
S : Aucune idée.
F : C’est pas une réponse.
S : Désolé.
F : Très bien. Contre mesures et réparez moi ce bouclier ! Tentez une riposte !
McK : Négatif, les contre mesures son HS, impossible d’éliminer le virus.
S : Contact dans dix secondes !
L’amiral entra dans une colère noire encore plus forte, mais senti la panique monter en lui. Il savait qu’il ne reverrait jamais Aikon.
Mck : Attendez, je reçois différents rapports sur un changement de trajectoire des missiles. Ils se dirigent... vers les transporteurs.
F : Ou en sont les chasseurs ?
McK : Ils décollent en se moment même
S : Trop tard, contact dans trois…deux...un…
Les missiles s’écrasèrent sur les boucliers des transporteurs, qui furent soufflés par l’explosion. On vit l’onde de choc déformer la coque des deux vaisseaux et furent désintégrés par deux énormes explosions qui secouèrent l’ensemble du Letacal.
F : Transporteurs, au rapport.
Mck : Les deux transporteurs ont été détruits par les missiles MARK XVII. Il n’y a aucun survivant.
S : Il ne nous reste plus que treize croiseurs.
Pendant ce temps la, le croiseurs se livraient une bataille des plus acharnées, Les boucliers étaient sans cesse sollicités par des tirs ou des collisions à très grandes vitesses et des explosions d’autres vaisseaux et les débris devenaient maintenant une réelle menace pour les coques de vaisseaux
McK : Plus qu’un croiseurs, amiral.
F : Dites lui de renter.
McK : Aucune réponse.
Le ASSBC-USSL-28, le dernier croiseur de la flotte n’avait plus ni bouclier, ni armement, ni propulsion, il dérivait dans les débris du champ de bataille, il fut achevé par un croiseur rebelle qui le heurta après avoir perdu le control. Le point lumineux lui correspondant sur l’écran principal de la passerelle disparu. L’amiral dans son fauteuil, s’affaissa sur lui-même.
F : Procédure d’autodestruction.
S : Négatif, le virus a atteint les systèmes concernés.
F : Très bien, il ne nous aurons pas, foncez vers le soleil de ce système solaire.
Tout le monde se tut sur la passerelle. Ils regardaient l’amiral avec un air d’incompréhension.
F : Exécution !
Le vaisseau changea de cap et alla droit sur l’astre lumineux.
Le silence régnait sur la passerelle, tous savait ce qui les attendait mais savait aussi qu’il n’avait pas d’autre échappatoire, il ne fallait surtout pas que l’ennemi capture le vaisseau, il y avait trop d’informations capitales a l’intérieur des systèmes.
McK : Amiral, une centaine de petits appareils arrivent vers nous par tribord.
F : Des chasseurs ?
Mck : Attendez…, non, des vaisseaux d’abordages.
F : Il seront là quand !!?
Mck : Dans vingt-cinq secondes, amiral, ils nous rattrapent.
Les officiers de la passerelle s’exténuaient à chercher de l’énergie à dériver vers la propulsion qui rencontrait de nombreux problèmes. Ils avaient oublié le corps dépourvus de sa tête de Wergruggen qui gisait encore sur le sol gris tâché de sang.
F : Qu’est-ce qui se passe avec la propulsion !!?
McK : Le virus infecte les systèmes mais nous parvenons à le ralentir.
F : Très bien. A tout le personnel combattant, rejoignez les armureries et préparez vous au combat, l’ennemi va aborder le vaisseaux.
F : A mon signal verrouilliez toutes les portes principales.
S : Rapports des unité armées : tous favorables, tout le monde est en place.
F : Verrouillez les portes.
Les portes principales du vaisseau s’abaissèrent pour isoler les différents compartiments.
Mck : Abordage dans dix secondes, neuf…huit…sept…six…cinq…quatre…deux…un… Abordage.
La centaine de petits vaisseaux s’accrochèrent à la coque du vaisseau, avec chacun un emplacement précis, décider a l’avance, ce qui le fit trembler dans la totalité. Chaque abordeur était équiper de chalumeaux au plasma qui commencèrent découper la paroi.
F : Unités armées, vous êtes autorisée à tirer.
Radio : Bien reçu, tirons à vue.
La fin du premier chapitre arrive rapidement.
Dernière modification par DucLeto le 07 oct. 2006, 15:16, modifié 1 fois.
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Merci de poster vos commentaires (favorables ou non) et de m'indiquer les incoherences ou fautes que vous aurez vu dans mon texte.
Merci
Merci
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Personnellement, j'ai adoré ta Fiction sauf peut-être ce moment:
Je ne suis pas vraiment doué pour donner des commentaires, mais le capitaine n'est t-il pas un peu **** ? Envoyer des milliers de personnes à la mort...CITATION Ses voisins furent recouverts de sang et de morceau de cervelle
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Désolé mais des moments gores j'en ai prevu plein d'autres. lol. Avis au amateurs.CITATION QUOTE
Ses voisins furent recouverts de sang et de morceau de cervelle
Il existe un paragraphe que j'ai jugé inutile et donc que j'ai effacé (oups), celui-ci explique que Fontenot a suivi le protocole car il les rebelles ne doivent pas posseder le vaisseaux amiral et les infos a bord.CITATION peu **** ? Envoyer des milliers de personnes à la mort...
En plus ils sont un peu seuls contre tous.
Je pense expliquer tout ca dans la suite.
Dernière modification par DucLeto le 07 oct. 2006, 16:01, modifié 1 fois.
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
cest tres bien, cest tres accrocheur, je veux lire la suite^^
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Merci a Great_xam et SG_fan
Bon allez les gens dites quelquechose.
Dites si vous avez aimé
Si vous n'avez pas aimé
Si mon histoire je peux me la mettre dans le ***
Si vou voulez une suite
Mais dite qqchose.
Merci.
Bon allez les gens dites quelquechose.
Dites si vous avez aimé
Si vous n'avez pas aimé
Si mon histoire je peux me la mettre dans le ***
Si vou voulez une suite
Mais dite qqchose.
Merci.
- Jack Mckay
- Major Général
- Messages : 1879
- Inscrit : 15 mars 2006, 10:19
- Pays : France
-
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Au p*****,j'ai adoré!
C'est bien,c'est accrocheur.
J'ai adoré ton moment gore!
Je veux lire la suite,vite!

C'est bien,c'est accrocheur.
J'ai adoré ton moment gore!
Je veux lire la suite,vite!
De John.Shep: "Est-ce un avion ? est-ce un oiseau ? est-ce une fusée ? Non ! C'est super-Jack McKay !"
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Merci Jack McKay.
J'ai deja commence a ecrire la suite elle va bientot arriver (d'ici la fin de la semaine).
Toute fois j'ai un peu les glandes, vous n'etes que trois a avoir laissé votre opinion je pers un peu de motivation.
Alors si vous voulez une suite manifestez vous!!
J'ai deja commence a ecrire la suite elle va bientot arriver (d'ici la fin de la semaine).
Toute fois j'ai un peu les glandes, vous n'etes que trois a avoir laissé votre opinion je pers un peu de motivation.
Alors si vous voulez une suite manifestez vous!!
Dernière modification par DucLeto le 07 oct. 2006, 19:57, modifié 1 fois.
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon


C'est clair? lol
J'adore ton histoire et tu peux ne pas te la foutre dans le c**
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Super ! Vraiment bravo c'est très bien ! Je veux la suite tout de suite, c'est un ordre 
Il y a juste une incohérence c'est que les chasseurs sortent si tard. En infériorité numérique ils auraient du sortit dès le début

Il y a juste une incohérence c'est que les chasseurs sortent si tard. En infériorité numérique ils auraient du sortit dès le début
http://www.ssandsun.com/recrutement.php?id=23831
- lord Petrus
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- Inscrit : 01 févr. 2005, 09:13
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- Lieu : Paris
-
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
La guerre des quoi?CITATION La Guerre d'Aikon

Oui.CITATION Dites si vous avez aimé
Si vous n'avez pas aimé
Si mon histoire je peux me la mettre dans le ***
Si vou voulez une suite
Mais dite qqchose.
Merci.
Si.
On est en pays libre.
Oui.
C'est fait.
De rien.
Tu nous offres un futur ultramilitarisé. Le plus intéressant, c'est que pour le moment on ne peut pas vraiment dire qui sont les gentils, qui sont les méchants, ni même s'il y a moyen de faire un tel classement. Allez, continue, soldat!
- marpire
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Tu ma dis de le lire et je sais pourquoi, c'est excellent, original, une super fic en gros.
Bye
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
.CITATIONLa guerre des quoi?CITATION
La Guerre d'Aikon
Ta pus voir dans l'histoire que Aikon c'est la planette des Aikonniens, les peoprietaires du Letacal, le vaisseaux amiral. lol
C'est vrai que je n'avais pas pensé a cet aspect, j'y veillerai dans le futur.CITATION Il y a juste une incohérence c'est que les chasseurs sortent si tard. En infériorité numérique ils auraient du sortit dès le début
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Salut à tous.
Voici la suite (et non la fin) du chapitre 1 de La Guerre d'Aikon.
La bataille pour le Latacal
SUITE
.....Quelques secondes plus tôt.
Chaque abordeur pouvait transporter deux cent cinquante hommes, tout comme celui qui commença a découper la paroi métallique de plusieurs mètres d’épaisseur au niveau du couloir CB-05 que contrôlait le capitaine Norman et ses cent cinquante marines, dont cinquante faisant partie des équipes médicales.
Le Capitaine Norman était un homme massif, le visage rude, mal rasé, et marqué d’une cicatrice sur sa joue gauche. Vêtu de l’uniforme des unité tactiques, une sorte d’armure noire en un métal extrêmement léger et solide, bien qu’un peu encombrante, elle assurait au marines une protection des plus efficace contre des tirs ennemis.
Il s’exprima d’une voix sereine, grave et assurée.
Norman : Soldats ! Enfilez votre casques, tirez la culasse et retirez la sécurité, mettez vous en place. Et par pitié, faites gaffe aux ricochets!
Les soldats à l’unisson : Oui chef !
Ils enfilèrent tous un casque intégral noir ne laissant que le visage à l’air libre et armèrent leur fusils d’assaut ESCQ-956, une arme des plus puissantes, vomissant des chargeurs de cent projectiles de titane propulsé au gauss avec une cadence de deux mil trois cent coup par minute. Sur le dessus, il y avait un petit écran à affichage bleu indiquant le nombre de balles restantes dans le chargeur, les objectifs, des données atmosphériques et si le canon était en face d’une menace s’il passait au rouge.
Norman enfila sont casque, mais celui-ci avait un « II » peint en jaune pour pouvoir l’identifié en tant que capitaine. Il appuya sur quelque touches de son écran tactile, placé à l’intérieur de son avant-bras, et des murets sortirent du sol et montèrent jusqu’au niveau de la ceinture des soldats, derrière lesquels, ils se réfugièrent.
Le couloir CB-05, était en temps normal, une artère principale ou circulaient sans cesse le personnel et des véhicules. Il mesurait quatre vingt dix mètres de large, ce qui permit au cent soldats de se placer en ligne. Habituellement, il mesure plusieurs kilomètres de long mais les portes étant fermées, il était séparé en zone cinquante mètre de long chacune.
Les cinquante médecins restèrent en retrait.
Tous visèrent la zone indiquée sur le mur par des pointeurs laser encastrés dans les murs correspondant à l’endroit ou le vaisseau rebelle creusait.
Le découpage de la paroi d’un vaisseau par un chalumeau au plasma était une opération très délicate, que seule des robots très perfectionnés pouvait pratiquer. Un tremblement et une brèche se forme se qui entraîne la dépressurisation des deux appareil.
Sur la passerelle :
Schmidt : Amiral, le virus a pris le contrôle des systèmes de propulsion conventionnelle.
Fontenot : Le protocole est clair, l’ennemis ne doit pas s’emparer du vaisseau, il faut le détruire.
S : Je sais amiral, mais nous avons épuisé toutes les ressources, l’autodestruction est HS et nous pouvons plus atteindre le soleil.
F : Et l’hyper propulsion ?
S : Toujours HS, amiral. La fuite reste impossible. Et le virus avance.
F : Nous a-t-il fait changer de cap ?
S : Négatif.
F : C’est bon signe ?
S : Non, le système de la salle des machines demande plusieurs confirmations quand un ordre vient du circuit lui-même. Cette procédure dure plusieurs dizaines de secondes.
Quelques secondes se passèrent
McKoenigel : Attention ! Changement de cap !
Le Letacal s’arrêta brusquement, ce qui fit tituber tout l’équipage et déstabilisa l’abordeur creusant dans le couloir BC-05. Le chalumeau dévia de trois centimètre.
Les capteurs atmosphériques du fusil de Norman s’affolèrent. Il regarda son écran tactile et vit le mot « BRECHE » s’afficher en très grosses lettres.
Norman : Attention matelots ! Il y a une brèche, dépressurisation en cour, passez en mode autonome.
Tous les marines appuyèrent sur le un bouton sur le côté de leur casque et une surface teintée recouvra leurs visages. Ils respirent tous maintenant le dyoxigène que leur fournissaient les deux bouteille placées dans leurs dos.
Norman : Ici Bravo Charly 05, à passerelle de commandement.
Le visage de McKoenigel apparut sur l’écran du fusil du capitaine.
McK : Au rapport Bravo Charly 05.
N : Monsieur, une brèche s’est formée dans la paroi, il y a dépressurisation.
MCK : Bien reçu, Bravo Charly 05, j’abbesse la cloison secondaire qui se trouve devant vous, cela devrait empêcher la dépressurisation.
La cloison devant le groupe de marines commença a s’abaisser mais arrivée a mi-hauteur elle bloqua, il restait un passage assez grand pour laisser passer un enfant de douze ans sans qu’il ai à se baisser.
N : Monsieur, la porte ne se ferme pas complètement.
Mck : Le virus infecte de plus en plus de sous-systèmes. Mais s’il y veut garder le vaisseau en bon état il fermera la porte.
N : Quand !?
Mck : Vous le savez aussi bien que moi Norman.
N : Bien reçu, Bravo Charly 05, terminé.
Le virus ne fermera la porte que quand tous les marines présents se seront fait aspirer par le vide ou que leurs réserves de dioxygène se soit epuisé.
La brèche grossissait millimètre par millimètre mais déjà des petits objets tels que des bouts de papiers commencèrent déjà à glisser sous la porte. Mais quand l’abordeur aura été dépressurisé, il explosera et la brèche se transformera en un trou béant dans la paroi. Ils pourront se protéger de l’aspiration en se cramponnant derrière les murets de protection, mais leurs réserves de dioxygene ne dépassaient pas les soixante secondes.
L’abordeur explosa.
Un trou béant se forma alors.
Tous objet non fixés furent projeté vers l’extérieur à une vitesse folle.
Norman fit plusieurs gestes avec sa main et le marine Ramirez, quelque mètre plus loin, appuya sur un bouton de son écran tactile et une colonne jaillit doucement du sol juste devant lui. Une fois arrivée à hauteur de ses yeux. Le coté de la colonne face à lui s’ouvrit et un bras métallique lui tendit un énorme fusil équipé d’un rouleau entouré d’un câble métallique. Ramirez pris le fusil et rendit son fusil conventionnel au bras métallique et la colonne se retira. Il visa le mur devant lui et tira, une sorte palet emmena le câble métallique jusqu'à celui-ci et il s’y fixa tel un aimant. Il accrocha le fusil à son armure. Il se leva et déroula la câble, centimètre par centimètre pour ne pas lui exercer une trop forte tension, vers un panneau de contrôle se trouvant sur le mur droit. Son affichage tête haute lui indiquait qu’il ne lui restait plus que cinquante seconde de dioxygène.
Ce que n’avait pas remarqué Norman, c’était le panneau métallique de trente centimètre par trente, épais de quelques millimètre, mal vissé à un mur, était en train de se détaché.
Ramirez était arrivé au panneau de contrôle. Il appuyait avec aisance sur le clavier holographique malgré la situation.
La plaque métallique se détacha. Les quatre boulons qui la soutenaient partirent en premier. Tout en gardant leur position les uns par rapport au autres, il foncèrent vers la poitrine de Brown. Ils s’écrasèrent sur son armure. Quelque centièmes de seconde plus tard, c’est le coin de la plaque métallique qui heurta le marine au même endroit. Cette foi-ci l’armure se fit pourfendre. Il y eu une giclée de sang abominable, immédiatement aspirée, ce qui rendit la scène encore plus étrange. Ses muscles se crispèrent de douleur et son index appuya de toutes ses forces sur la cachette de son fusil. Dans un tonnerre assourdissant, les balles fusèrent dans tous les sens, ricochant, ricochant encore et encore. Norman s’activait sur son écran. Quand l’écran fusil du soldat mourant afficha trois balles restantes, le fusil s’arrêta net et parla d’une voix féminine.
Fusils : Tir non autorisé.
F : Plus que – trois – balles, rechargez.
Norman poussa un soupire de soulagement.
Le soldat glissa sur le coté et sorti de zone de protection offerte par le muret et fut aspiré. Son buste s’écrasa sur le bas de la porte a moitié fermée, ensuite ses jambes toujours sous le joug de l’aspiration le firent glisser. Il rebondi sur le sol puis sa tête s’emplafonna sur le bas de la porte enfin, il disparu dans le vide. Une grande flaque de sang était plaqué contre la porte.
Norman hurla dans la radio.
N : Unités au rapport.
Radio : Unité 1. OK.
Radio : Unité 2. Wakaï est touché à la tête, la balle a traversé la visière.
Radio : Unité 3. OK.
N : Bien reçu. Equipes médicales tenez-vous prêts.
N : Ramirez ?
Ramirez : Je suis touché à la cuisse, capitaine.
N : Vous pouvez quand même continuez ?
Il regarda son affichage tête haute : trente secondes.
R : Ca fritte pas mal mais je peux continuer.
N : Bien reçu.
Ce qu’ils n’avaient pas vu, c’est qu’une des balles avait frotté contre le câble métallique et qu’il était en train de s’effilocher.
R : Voila j’ai presque fini.
Dans un claquement métallique, le câble céda. Ramirez eu tout juste le temps d’appuyer sur « ENTER » et fut emporté. Il réussit à s’agripper à un tuyau contre le mur. Mais il était juste en dessous de la porte. Elle allait le couper en deux au niveau du ventre. La porte s’abaissait lentement. Il tira de toutes ses forces pour se dégager mais il n’y parvint pas. L’affichage des casques de marines clignotait.
5…4…3…
Ils ressentaient déjà des difficultés respiratoires.
2…
La porte atteignit Ramirez. Et le coupa en deux dans un craquement os horrible et des cris assourdissants poussés par le marine.
1…
La porte se ferma complètement et le pauvre marine poussa un dernier râle.
0…
Il y eu un bruit de vérin hydraulique dans le couloir. Et les indicateurs atmosphériques des fusils redevinrent normaux. Les marines s’empressèrent d’ouvrir leur casque et prirent la plus grande bouffée d’air de toute leurs vie. Certains étaient complètement bleus de visage. Norman accourut vers Ramirez. Il ouvrit son casque.
Trop tard.
Norman : Ici Bravo Charly 05, à passerelle de commandement.
Ayant laissé son fusil derrière le muret, le visage de Schmidt apparut en haut a gauche de l’affichage tête haute du capitaine.
Schmidt : Vous avez réussi à fermer la porte Bravo Charly 05 ?
N : Affirmatif, la zone est maintenant inattaquable par l’ennemi monsieur. Attendons instructions.
Dit-il d’une voix froide, en évitant de regarder Ramirez
S : Norman : Le équipes défendant la passerelle sont sous le feu de l’ennemi. Soutenez-les en renfort par le couloir Charly November 19. Je vous envoie l’itinéraire. En route marines !
N : Bien reçu. Bravo Charly 05, terminé.
A suivre.
PS: Signalez mes fautes [d'ortografe] et d'accord merci
Voici la suite (et non la fin) du chapitre 1 de La Guerre d'Aikon.
La bataille pour le Latacal
SUITE
.....Quelques secondes plus tôt.
Chaque abordeur pouvait transporter deux cent cinquante hommes, tout comme celui qui commença a découper la paroi métallique de plusieurs mètres d’épaisseur au niveau du couloir CB-05 que contrôlait le capitaine Norman et ses cent cinquante marines, dont cinquante faisant partie des équipes médicales.
Le Capitaine Norman était un homme massif, le visage rude, mal rasé, et marqué d’une cicatrice sur sa joue gauche. Vêtu de l’uniforme des unité tactiques, une sorte d’armure noire en un métal extrêmement léger et solide, bien qu’un peu encombrante, elle assurait au marines une protection des plus efficace contre des tirs ennemis.
Il s’exprima d’une voix sereine, grave et assurée.
Norman : Soldats ! Enfilez votre casques, tirez la culasse et retirez la sécurité, mettez vous en place. Et par pitié, faites gaffe aux ricochets!
Les soldats à l’unisson : Oui chef !
Ils enfilèrent tous un casque intégral noir ne laissant que le visage à l’air libre et armèrent leur fusils d’assaut ESCQ-956, une arme des plus puissantes, vomissant des chargeurs de cent projectiles de titane propulsé au gauss avec une cadence de deux mil trois cent coup par minute. Sur le dessus, il y avait un petit écran à affichage bleu indiquant le nombre de balles restantes dans le chargeur, les objectifs, des données atmosphériques et si le canon était en face d’une menace s’il passait au rouge.
Norman enfila sont casque, mais celui-ci avait un « II » peint en jaune pour pouvoir l’identifié en tant que capitaine. Il appuya sur quelque touches de son écran tactile, placé à l’intérieur de son avant-bras, et des murets sortirent du sol et montèrent jusqu’au niveau de la ceinture des soldats, derrière lesquels, ils se réfugièrent.
Le couloir CB-05, était en temps normal, une artère principale ou circulaient sans cesse le personnel et des véhicules. Il mesurait quatre vingt dix mètres de large, ce qui permit au cent soldats de se placer en ligne. Habituellement, il mesure plusieurs kilomètres de long mais les portes étant fermées, il était séparé en zone cinquante mètre de long chacune.
Les cinquante médecins restèrent en retrait.
Tous visèrent la zone indiquée sur le mur par des pointeurs laser encastrés dans les murs correspondant à l’endroit ou le vaisseau rebelle creusait.
Le découpage de la paroi d’un vaisseau par un chalumeau au plasma était une opération très délicate, que seule des robots très perfectionnés pouvait pratiquer. Un tremblement et une brèche se forme se qui entraîne la dépressurisation des deux appareil.
Sur la passerelle :
Schmidt : Amiral, le virus a pris le contrôle des systèmes de propulsion conventionnelle.
Fontenot : Le protocole est clair, l’ennemis ne doit pas s’emparer du vaisseau, il faut le détruire.
S : Je sais amiral, mais nous avons épuisé toutes les ressources, l’autodestruction est HS et nous pouvons plus atteindre le soleil.
F : Et l’hyper propulsion ?
S : Toujours HS, amiral. La fuite reste impossible. Et le virus avance.
F : Nous a-t-il fait changer de cap ?
S : Négatif.
F : C’est bon signe ?
S : Non, le système de la salle des machines demande plusieurs confirmations quand un ordre vient du circuit lui-même. Cette procédure dure plusieurs dizaines de secondes.
Quelques secondes se passèrent
McKoenigel : Attention ! Changement de cap !
Le Letacal s’arrêta brusquement, ce qui fit tituber tout l’équipage et déstabilisa l’abordeur creusant dans le couloir BC-05. Le chalumeau dévia de trois centimètre.
Les capteurs atmosphériques du fusil de Norman s’affolèrent. Il regarda son écran tactile et vit le mot « BRECHE » s’afficher en très grosses lettres.
Norman : Attention matelots ! Il y a une brèche, dépressurisation en cour, passez en mode autonome.
Tous les marines appuyèrent sur le un bouton sur le côté de leur casque et une surface teintée recouvra leurs visages. Ils respirent tous maintenant le dyoxigène que leur fournissaient les deux bouteille placées dans leurs dos.
Norman : Ici Bravo Charly 05, à passerelle de commandement.
Le visage de McKoenigel apparut sur l’écran du fusil du capitaine.
McK : Au rapport Bravo Charly 05.
N : Monsieur, une brèche s’est formée dans la paroi, il y a dépressurisation.
MCK : Bien reçu, Bravo Charly 05, j’abbesse la cloison secondaire qui se trouve devant vous, cela devrait empêcher la dépressurisation.
La cloison devant le groupe de marines commença a s’abaisser mais arrivée a mi-hauteur elle bloqua, il restait un passage assez grand pour laisser passer un enfant de douze ans sans qu’il ai à se baisser.
N : Monsieur, la porte ne se ferme pas complètement.
Mck : Le virus infecte de plus en plus de sous-systèmes. Mais s’il y veut garder le vaisseau en bon état il fermera la porte.
N : Quand !?
Mck : Vous le savez aussi bien que moi Norman.
N : Bien reçu, Bravo Charly 05, terminé.
Le virus ne fermera la porte que quand tous les marines présents se seront fait aspirer par le vide ou que leurs réserves de dioxygène se soit epuisé.
La brèche grossissait millimètre par millimètre mais déjà des petits objets tels que des bouts de papiers commencèrent déjà à glisser sous la porte. Mais quand l’abordeur aura été dépressurisé, il explosera et la brèche se transformera en un trou béant dans la paroi. Ils pourront se protéger de l’aspiration en se cramponnant derrière les murets de protection, mais leurs réserves de dioxygene ne dépassaient pas les soixante secondes.
L’abordeur explosa.
Un trou béant se forma alors.
Tous objet non fixés furent projeté vers l’extérieur à une vitesse folle.
Norman fit plusieurs gestes avec sa main et le marine Ramirez, quelque mètre plus loin, appuya sur un bouton de son écran tactile et une colonne jaillit doucement du sol juste devant lui. Une fois arrivée à hauteur de ses yeux. Le coté de la colonne face à lui s’ouvrit et un bras métallique lui tendit un énorme fusil équipé d’un rouleau entouré d’un câble métallique. Ramirez pris le fusil et rendit son fusil conventionnel au bras métallique et la colonne se retira. Il visa le mur devant lui et tira, une sorte palet emmena le câble métallique jusqu'à celui-ci et il s’y fixa tel un aimant. Il accrocha le fusil à son armure. Il se leva et déroula la câble, centimètre par centimètre pour ne pas lui exercer une trop forte tension, vers un panneau de contrôle se trouvant sur le mur droit. Son affichage tête haute lui indiquait qu’il ne lui restait plus que cinquante seconde de dioxygène.
Ce que n’avait pas remarqué Norman, c’était le panneau métallique de trente centimètre par trente, épais de quelques millimètre, mal vissé à un mur, était en train de se détaché.
Ramirez était arrivé au panneau de contrôle. Il appuyait avec aisance sur le clavier holographique malgré la situation.
La plaque métallique se détacha. Les quatre boulons qui la soutenaient partirent en premier. Tout en gardant leur position les uns par rapport au autres, il foncèrent vers la poitrine de Brown. Ils s’écrasèrent sur son armure. Quelque centièmes de seconde plus tard, c’est le coin de la plaque métallique qui heurta le marine au même endroit. Cette foi-ci l’armure se fit pourfendre. Il y eu une giclée de sang abominable, immédiatement aspirée, ce qui rendit la scène encore plus étrange. Ses muscles se crispèrent de douleur et son index appuya de toutes ses forces sur la cachette de son fusil. Dans un tonnerre assourdissant, les balles fusèrent dans tous les sens, ricochant, ricochant encore et encore. Norman s’activait sur son écran. Quand l’écran fusil du soldat mourant afficha trois balles restantes, le fusil s’arrêta net et parla d’une voix féminine.
Fusils : Tir non autorisé.
F : Plus que – trois – balles, rechargez.
Norman poussa un soupire de soulagement.
Le soldat glissa sur le coté et sorti de zone de protection offerte par le muret et fut aspiré. Son buste s’écrasa sur le bas de la porte a moitié fermée, ensuite ses jambes toujours sous le joug de l’aspiration le firent glisser. Il rebondi sur le sol puis sa tête s’emplafonna sur le bas de la porte enfin, il disparu dans le vide. Une grande flaque de sang était plaqué contre la porte.
Norman hurla dans la radio.
N : Unités au rapport.
Radio : Unité 1. OK.
Radio : Unité 2. Wakaï est touché à la tête, la balle a traversé la visière.
Radio : Unité 3. OK.
N : Bien reçu. Equipes médicales tenez-vous prêts.
N : Ramirez ?
Ramirez : Je suis touché à la cuisse, capitaine.
N : Vous pouvez quand même continuez ?
Il regarda son affichage tête haute : trente secondes.
R : Ca fritte pas mal mais je peux continuer.
N : Bien reçu.
Ce qu’ils n’avaient pas vu, c’est qu’une des balles avait frotté contre le câble métallique et qu’il était en train de s’effilocher.
R : Voila j’ai presque fini.
Dans un claquement métallique, le câble céda. Ramirez eu tout juste le temps d’appuyer sur « ENTER » et fut emporté. Il réussit à s’agripper à un tuyau contre le mur. Mais il était juste en dessous de la porte. Elle allait le couper en deux au niveau du ventre. La porte s’abaissait lentement. Il tira de toutes ses forces pour se dégager mais il n’y parvint pas. L’affichage des casques de marines clignotait.
5…4…3…
Ils ressentaient déjà des difficultés respiratoires.
2…
La porte atteignit Ramirez. Et le coupa en deux dans un craquement os horrible et des cris assourdissants poussés par le marine.
1…
La porte se ferma complètement et le pauvre marine poussa un dernier râle.
0…
Il y eu un bruit de vérin hydraulique dans le couloir. Et les indicateurs atmosphériques des fusils redevinrent normaux. Les marines s’empressèrent d’ouvrir leur casque et prirent la plus grande bouffée d’air de toute leurs vie. Certains étaient complètement bleus de visage. Norman accourut vers Ramirez. Il ouvrit son casque.
Trop tard.
Norman : Ici Bravo Charly 05, à passerelle de commandement.
Ayant laissé son fusil derrière le muret, le visage de Schmidt apparut en haut a gauche de l’affichage tête haute du capitaine.
Schmidt : Vous avez réussi à fermer la porte Bravo Charly 05 ?
N : Affirmatif, la zone est maintenant inattaquable par l’ennemi monsieur. Attendons instructions.
Dit-il d’une voix froide, en évitant de regarder Ramirez
S : Norman : Le équipes défendant la passerelle sont sous le feu de l’ennemi. Soutenez-les en renfort par le couloir Charly November 19. Je vous envoie l’itinéraire. En route marines !
N : Bien reçu. Bravo Charly 05, terminé.
A suivre.
PS: Signalez mes fautes [d'ortografe] et d'accord merci
Dernière modification par DucLeto le 18 oct. 2006, 13:50, modifié 1 fois.
- Jack Mckay
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Enfin la suite du chapitre 1!
C'est suite est excelente
,avec ses moments gores toujours aussi...gores!
J'attend la suite avec impatience.
C'est suite est excelente


J'attend la suite avec impatience.
De John.Shep: "Est-ce un avion ? est-ce un oiseau ? est-ce une fusée ? Non ! C'est super-Jack McKay !"
Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Ouh! tres impatient. lol.CITATION Enfin la suite du chapitre 1!
Désolé, je fait ce que je peux parce que maintenant que je suis dans un Lycée catho j'ai nettement plus de devoirs alors c'est pas facile.


Ahahahah du sang!!!! encore du sang!!!CITATION ,avec ses moments gores toujours aussi...gores!



- marpire
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Je te signal une faute comme tu le demande si gentiment.CITATION (DucLeto,Mercredi 18 Octobre 2006 à 12h46) de titane propulsé au gauss avec une cadence de deux mil
sinon ta fic est toujours aussi bien, je dirais même excellente.
Bye
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
Désolé c'est correct : on peut tres bien écrire "deux mil trois cent" et "deux mille trois cent"CITATIONCITATION de titane propulsé au gauss avec une cadence de deux mil
Cela dit, il est vrai que la deuxieme formule est plus courante, mais bon... j'ai voulu me démarquer des autres...
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
très interessant, ta fic se lit très bien, c'est fluide. Les passages gores ne le sont pas tant que ça (pas de détails qui peut vraiment choqués). Vivement la suite.
O'neil : Dîtes quelque chose
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Re: [FICTION] La Guerre d'Aikon
h bon. J'en ai jamais entendu parler. Mais pour moi "mil" est faux mais c'est mon opinion d'adolescent borné.
bye et merci pour le cours
bye et merci pour le cours
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