Stargate Atlantis
Babylon
P.S: j'avais déjà publié ma fanfic dans la zone fan mais je l'ai,enfin, complété
Résumé : Le Lt col Sheppard et son équipe était à abord du Daedalus lorsque celui-ci fut attaqué par un vaisseau Wraith. Mais les wraith ne seront pas les seuls ennemis qu’ils affronteront.
Le Dédale est un des derniers vaisseaux terriens les plus perfectionnés depuis le Prométhée. Mais pour le moment il se contentait de faire le voyage entre la Terre et Atlantis avec à sa tête le colonel Caldwell.
Exceptionnellement, il avait dévié de sa route pour répondre à un appel de détresse lancé par l’équipe du colonel Sheppard.
Deux heures plus tard, toute l’équipe fut téléporté à l’infirmerie.
Passerelle
le Colonel est assis sur sa chaise et par l’intermédiaire de la radio s’adressa au médecin de l’infirmerie.
Caldwell : Comment vont nos invités ?
Le médecin : Plus de peur que de mal ! quelques égratignures mais ils peuvent quitter l’infirmerie, je n’y vois aucun inconvénient.
Caldwell : Que vous ai t’il arrivé col Sheppard?
Sheppard : On examinait tranquillement des ruines anciennes, on envisageait même de faire un pique nique sur l’herbe avec devant nous un décor somptueux et calme.
Mckay (dont la voix semblait surgir de dérrière un rideau ): Traduction il se prélassé pendant que je m’acharnais à trouver des technologies qui pourraient nous sauver la vie.
Sheppard reprit : Enfin bref, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire Les Wraiths avaient envahit la planète. La porte des étoiles étaient sous leur contrôle, les Darts jaillissaient sans fin. Et le jumper était hors de porté. Ces ruines se sont transformaient en meilleurs ligne de défense. On jonglait entre les faisceaux des Darts et les tirs des Wraiths à terre.
Mckay : traduction on était à ça d’y passer !
Sheppard : Mais j’étais confiant, je savais que vous arriveriez à temps.
Ronon toussa
Sheppard :… Bon d’accord presque sûr…
Teyla : Ce que le colonel veut dire c’est merci.
Caldwell : De rien, mais ce que je n’arrive pas à comprendre : c’est comment vous avez su que nous vous capterions ?.
Sheppard : c’est grâce à Zelenka !
Mckay offusqué: Quoi !!!!…. (il réfléchit) enfin… en partie, une toute petite partie…c’est quand même un miracle que je me sois souvenu que Zelenka attendait avec impatience le retour du Dédale. En effet un de ses…ça c’est la partie de la conversation que je n’écoutais pas tout ce que j’ai retenu c’était que Radek était si impatient de voir arrivé le Dédale qu’il avait calculé que il était entré dans Pégase il y a cinq jours et 23 heures et que donc il restait Six jours avant qu’il ne rejoigne Le système de Lantia et 15 minutes en espace conventionnel avant d’atteindre Atlantis. Donc j’avais utilisé mon ordinateur est établit un relais entre l’émetteur du colonel et le jumper pour émettre un signal subspatial. Maintenant, il suffisait d’attendre la cavalerie et… de rester en vie.
Là assis sur leur lits, ils avaient l’air serein mais ils savaient qu’ils avaient frôlé la mort et peut être pire. Donc ils n’étaient pas vraiment pressé de quitter l’infirmerie.
Sheppard : Vous avez entendu Mckay ! On peut sortir d’ici.
Le rideau de Mckay était entièrement tiré.
Mckay :Je refuse de quitter l’infirmerie tant que l’on n’aura pas trouvé une solution à mon problème.
Le médecin (sortait de derrière le rideau en enlevant ses gants): Si c’est ce qui m’attend sur Atlantis je démissionne tout de suite !
Teyla : si vous renoncez à la première difficulté…
Le médecin : je parle de son tempérament. Je suis biologiste spécialisé en milieu aquatique pas baby-sitter !
Mckay : j’ai entendu !!!
Teyla : Est-ce que c’est grave ?
Le biologiste : J’attendrai les résultats de mes analyses pour le moment ce n’est ni mortelle ni contagieux.
Ronon se leva pour ouvrir son rideau mais Mckay s’y opposa. La force physique du soldat était indéniable surtout que Rodney fut emporté par l’élan.
Sheppard : Je trouve que cette couleur vous va très bien !
Etalé sur le sol Rodney se leva énervé en réajustant son pyjama.
Ses bras nues étaient bleus et l’on devine le reste de sa peau sous son pyjama aussi. La coloration s’arrêtait au cou. l’émetteur était tombé dans un marais bizarre et maintenant Mckay savait pourquoi !
Si son visage n’était pas Bleu il était rouge de honte et vert de colère.
Sheppard allait ajouté quelque chose d’amusant mais le scientifique objecta avec son doigt.
Mckay : Surtout ne dites pas à quoi je ressemble !
Sheppard : Tout ce que je voulais dire c’est que si vous n’étiez pas entré dans cette mare on n’aurait pas shtroumpfé l’émetteur qui y était tombé.
Mckay imita avec ses mains un étranglement juste devant le colonel. Celui-ci se leva et recula vers la sortie.
Sheppard : je vais voir les dégâts sur mon Jumper !
Teyla : Shtroumpfé ?
Mckay la fusilla du regard
Teyla : je vais rejoindre le colonel Sheppard
Ronon assis sur son lit les bras croisés un grand sourire aux lèvres.
Il répondit qu’il était très bien là où il était. Après un grognement Mckay tira le rideau.
La salle de contrôle
Un officier : Mon colonel nous recevons un autre signal de détresse, ce n’est pas un des notre mais ce n’est pas Wraith non plus.
Novac (depuis la salle technique) : j’ai identifié ce signal et il possède le même encodage que celui de l’Aurora.
Caldwell : Vous pensez qu’il s’agit d’un vaisseau ancien
Novac : En faite, je l’ignore monsieur.
Le colonel réfléchie un instant puis ordonna que l’on fasse demi-tour et que l’on rejoigne la source du signal de détresse. Mais à peine sortit de l’hyperespace qu’il tombèrent nez à nez avec un vaisseau ruche.
Le Dédale ouvrit immédiatement le feu sans sommation. Après quelques minutes d’échange de tir et tandis que le bouclier présenté les premiers signes de faiblesse, le colonel ordonna le replie. Mais le vaisseau refusa d’avancer.
Caldwell : Que ce passe t’il ?
Son second : les moteurs ne répondent plus. Mais mes capteurs ne détectent pas l’origine du problème
L’officier (à sa droite) : Monsieur, le bouclier est maintenant tombé à 20%. Nous ne tiendrons plus longtemps à cette cadence.
En salle des machines :
Hermiod : je n’arrive pas à nous dégager et je n’arrive pas à prendre contact avec la salle des moteurs.
A cause des tirs de Wraiths qui secouait le vaisseau, Mckay rejoignit péniblement la salle des machines et examina les écrans de contrôle, lui non plus ne remarqua aucun problème.
Cependant, il eût idée de consulter les vidéos de la salle des moteurs et constata avec surprise ce qui les bloqué.
Les Wraiths n’étaient pas la seule menace qui pesait sur eux. En effet, une sorte de brume verte sortit de nulle part avait traversé le bouclier et bloqué les réacteurs empêchant toute fuite. Mais ce n’était pas tout, cette chose semblait progresser dans le vaisseau à une vitesse inquiétante. Niveau après niveau, elle paralysait les membres d’équipage les suspendant dans leur élan de fuite. La brume traversé absolument tout même le métal épais et hermétique des portes. Hermiod ne pouvait téléporter les pauvres victimes. Soudain, le vaisseau ruche cessa les tirs il envoya à la place les Darts terminer de neutraliser le bouclier. Le colonel Sheppard suggéra d’utiliser les chasseurs pour contrer les Darts. Dans le hangar, installé dans le chasseur il se préparait avec Teyla.
Teyla (hésitante): Vous tenez vraiment à ce que je vous accompagne ?
Sheppard : Ne vous inquiètes pas je suis un excellent pilote demandez à Mckay et de toute façon je ne tiens pas à vous laisser …ici.
Il ne termina pas sa phrase la porte extérieur du hangar était bloqué par cette fameuse chose. Les pilotes plus près de la porte tentaient de descendre de leur chasseur mais la brume les dévorait dans son inexorable ascension. Pendant ce temps, les Darts commençaient à télécharger les humains à bord tout en évitant la brume qui enveloppé l’extérieur immédiat du Dédale
Sheppard : D’accord, on descend maintenant !!!!.
Ils se détachèrent à grande vitesse et sautèrent précipitamment, Sheppard tiraient sur cette énorme entité tout en courant vers le sas de sortit comme les autres pilotes, les balles se suspendaient à l’intérieur mais il n’avait pas vu que Teyla ne le suivait pas elle s’était foulé la chenille en sautant. En courant, elle tomba derrière le jumper quand elle se releva l’horizon de la brume était à quelques centimètre d’elle. Elle n’eût d’autre choix que d’entrer dans le jumper. Sheppard revint sur ces pas il était devant le jumper il tira sur la vitre de sa navette mais rien ni fit. Teyla condamna la cloison.
Sheppard : Hermiod ! téléporté Teyla.
En salle des machines
Il venait tout juste de téléporté Ronon qui était lui aussi en mauvaise posture. Il était sur le point d’obeir quand soudain un faisceau Dart l’emporta.
Novac (sous le choc): Oh, mon dieu !!!
Sheppard : Alors qu’est-ce que vous attendez !
Mckay (perdant le souffle): On a perdu… l’Asgard !
Sheppard fixa Teyla dans les yeux désespéré. La brume traversait la porte.
Il tira une dernière fois sur la vitre jusqu’à vider son chargeur. Elle lui ordonna de partir. Il ne bougea pas. elle baissa les yeux puis les releva une dernière fois la tête haute le regard fière la brume l’engloutit.
Babylone
2ème partie : une vieille connaissance
C’est ainsi qu’un des vaisseaux les plus perfectionné se transformait en véritable piège pour ses hommes et femmes. La passerelle était vide, la plupart des salles étaient désertés, le colonel avait quitté son siège et ordonnait l’évacuation !
mais… pour où ?.
L’équipage fuyait dans les couloirs sans savoir où aller car il n’y avait aucune issue. Peut être les capsules de survie mais y aurait il assez de place ? et quelle garantit avaient ils qu’ils seraient secourut ?
Les trois quart du Dédale était noyé dans cette brume silencieuse et obscure et ce n’était qu’une question de minute avant que cette chose ne scelle le destin de tout le vaisseau. Les Darts se replièrent vers le vaisseau ruche.
Dans la salle des machines, il ne restait plus que Ronon, Novac, Mckay et Kavanaugh. Les autres techniciens avait déserté leur poste sur l’ordre du Colonel. D’après les vidéos de surveillance, la brume évolué droit sur eux. Kavanaugh, qui était sur le point de partir, ne comprenait pas pourquoi Rodney Mckay, qui était d’habitude d’une nature froussarde, restait au lieu de fuir.
Mckay : Pour aller où !?! m’enfermer dans une capsule de survie de la taille d’une noix en attendant qu’Atlantis reçoivent notre signal de détresse. Et ensuite quoi ?
Novac : Ensuite il viendront nous secourir !
Mckay (excédé): Comment ?
Ronon : En utilisant la porte des étoiles la plus proche
Mckay le regarda fixement.
Ronon : Il n’y a pas de porte des étoiles dans les environs, c’est ça !
Kavanaugh paniqua et se jeta sur un ordinateur pour vérifier si c’était bien vrai. Parce si c’était le cas, il n’avait aucune chance de survie !
Pendant ce temps, le Colonel Sheppard courait dans les couloirs avec les autres mais à chaque fois que ils passaient par une issue la brume les devançait.
Il contacta Mckay par radio :
Sheppard : Mckay, Je commence à en avoir assez !! alors, trouvez une idée géniale et je vous promet de ne plus vous taquiner !
Mckay (en s’adressant à Novac) : vous pouvez téléporter Sheppard ici ?
Novac : Je sais pas ?
Mckay : Vous avez travaillé avec Hermiod ! vous connaissez bien la technologie Asgarde
Novac : Oui, mais je suis pas..
Mckay : Oui me suffira et rapidement serait encore mieux !
Novac obéit et prit la place d’Hermiod, Ronon revint du couloir et s’arrêta dans l’interstice des deux portes.
Ronon : Cette chose arrive ! elle est à moins de deux minutes d’ici.
Kavanaugh : Attendez, attendez ! même si Atlantis ou la Terre envoyait une mission de sauvetage les Wraiths sont toujours là et dès que les capsules seront en orbite ils viendront nous récolté. Si nous n’avons aucune chance de survie pourquoi vous êtes si calme Dr Mckay ?
A cet instant, Sheppard apparut dans la salle de contrôle. Il regarda autour de lui et vit Novac devant la table de commande Asgarde, inquiet il s’examina pour voir si tout était à sa place.
Sheppard : Alors qu’est-ce qu’on a ?
Kavanaugh : A part, qu’on va tous mourir !
Sheppard (à bout de nerf) : Oui, à part ça !
Mckay : Je pense, mais ce n’est qu’une supposition, que le vaisseau ruche est à l’origine de cette chose.
Kavanaugh : N’importe quoi ! c’est basé sur quoi cette théorie farfelue.
Mckay : Je pense que notre seul moyen de survie est de se téléporter à bord du vaisseau Ruche.
En n’entendant cela, Novac eut un violent hoquet.
Sheppard : Je n’aurais pas mieux dit, (il se tourna vers le scientifique) Rodney, je vous ai dit une idée géniale pas suicidaire !.
Ronon : Quoique vous décidiez c’est maintenant ou jamais.
En effet Ronon apercevait un brouillard tout au fond du couloir. Sheppard réfléchit un dixième de seconde avant de prendre une décision.
Sheppard (s’adressant à Novac): Bon, vous pouvez nous téléporter sur le vaisseau Ruche.
Elle eut un hoquet.
Mckay : De préférence pas dans le réfectoire Wraith
Kavanaugh : C’est une plaisanterie c’est pire que d’être ici, on va être torturé et…
Ronon (il se rapprocha du centre en sortant son arme): Qui a dit que vous veniez avec nous !
Kavanaugh ravala sa salive.
Pendant que Novac faisait les bons calculs, Sheppard s’excusa de ne pas l’emmener avec eux.
Novac : Ce n’est pas grave.
Kavanaugh vit la brume traverser le mur derrière lui, il se précipita au centre avec les autres juste avant la téléportation. Quand tous eurent disparu dans la lumière, la jeune femme se retrouva seule dans la pièce, la brume avançait rapidement de autour d’elle mais elle n’eut pas de geste brusque elle ferma les yeux, interdite.
Novac : je suis sûr qu’ils trouverons une solution sauf s’ils flottent dans l’espace.
Elle eut un dernier hoquet avant d’être à son tour engloutit.
Tout le vaisseau était prisonnier de ce brouillard comme un objet enfermé dans une boule de cristal et en face se tenait l’immense vaisseau Wraith toujours là imposant et serein.
A L’intérieur, dans la salle de embarquement où se trouvé tous les chasseurs Wraiths une lumière apparut et toute le groupe arriva sain et entier sur une plate-forme.
Rodney eut un profond et bruyant soupir de soulagement.
Mckay : Est-ce que vous entendez mon cœur battre parce qu’on dirait un concert.
Sheppard se plaqua directement contre un mur tous le monde suivit le mouvement.
Kavanaugh : Maintenant qu’est-ce qu’on fait sans arme, ni détecteur de présence Wraith, ni carte.
Mckay : Maintenant, je regrette de ne pas avoir prit mes calmants tout à l’heure.
Sheppard : Eh bien moi aussi, maintenant on se tait j’aimerais autant ne pas finir au menu.
Ronon : Vous avez un plan ?
Sheppard : On va devoir marcher à l’aveugle mettez votre arme au maximum.
Il se redressa et marcha vers un des couloirs suivit de près par les deux scientifiques tandis que Ronon fermait la marche. Kavanaugh avait beau être agaçant il avait raison sans arme ni moyen de prévoir les allé venu de l’ennemi c’était suicidaire. Finalement leur petite mésaventure de P3R234 était de la rigolade à coté ça. Comment en est-on arrivé là ? un message de détresse mais personne à recourir ; un vaisseau Wraith mais qui utilise une technologie totalement nouvelle. Ils nageaient en plein brouillard et sans jeu de mot.
C’était un vaisseau Wraith aucun doute et ils auraient préfère de pas y être. Trop de mauvais souvenir l’année dernière avec Ford mais quelque chose était diffèrent cette fois-ci pas dans la structure même mais c’était plus une sensation générale, Ronon le ressentait au fur et à mesure qu’ils marchaient. Ils s’avançaient progressivement mais pas l’ombre d’un Wraith à l’horizon au contraire dans les couloirs régnaient un silence pesant, seul leur pas résonnaient ce qui faisait monter la pression du coté de Kavanaugh. Il n’arrêtait pas de marmonner qu’ils allaient tous mourir. A bout de patience,
Ronon l’agrippa par le col.
Ronon : Si vous n’arrêtez pas je réalise votre vœu maintenant !
Kavanaugh : Est-ce qu’il est obliger de garder l’arme.
Ils débouchèrent dans une sorte d’espace circulaire qui s’ouvrait sur plusieurs couloirs.
Sheppard : ça sent le piège à plein nez !
Et Il eût raison car tout de suite après toutes les issues se bloquèrent et un faisceau lumineux venant du plafond les heurta et ils tombèrent inconscient sur le sol.
John était dans la position assise les mains attachées dans le dos et toujours dans les vapes jusqu’à ce que quelqu’un lui versa un sceau d’eau sur la tête, il ouvrit les yeux instantanément. Quand il fut réhabitué à la lumière il reconnu ses compagnons d’infortune dans la même situation que lui mais qui étaient déjà réveillé et toujours en vie. Ils se trouvaient dans une pièce dépouillé avec une seule issue bien gardés mais c’étaient des hommes qui étaient posté devant l’entrée pas des Wraiths.
Sheppard : Je suis le Colonel John Sheppard et j’aimerai bien qu’on me détache !
Aucune réaction de leur part, il ajouta le s’il vous plaît mais rien n’y fit.
Ronon : Ca sert à rien il nous ignore depuis une heure.
Sheppard : Ce ne sont pas des Wraiths peut être qu’il travaille pour eux
(en s’adressant à eux). J’aimerai parler à votre reine ! je commence à avoir l’habitude !
Mckay : Quoi ! vous allez utiliser votre charme naturel ?
Sheppard : vous avez eu assez d’idée pour aujourd’hui si on laissait la méthode Sheppard faire ses preuves !
Mckay s’agitant: Mes démangeaisons recommencent, cette pommade n’a aucun effet : je suis entouré par des incapables !
Ils se tournèrent tous vers lui.
Mckay (gênée) : Je parlais des autres.
Un des gardes réclama le silence, les portes s’ouvrirent mais aucun Wraith ni reine n’apparu c’était au contraire un homme tout ce qu’ il y a de plus normal mais tout de même imposant. Il était grand d’une cinquantaine d’année, vêtu de cuir avec une barbe grisonnante et une cicatrice qui lui traversait le visage.
Et en entrant, il eut la réaction la plus inattendu qui soit : il se mit à rire aux éclats.
Tandis que Ronon s’agitait furieusement sur sa chaise, Sheppard jonglait entre la stupéfaction et l’inquiétude.
L’inconnu reprit un semblant de sérieux et s’éclaircie la gorge :
L’inconnu : D’habitude je n’aime pas les invités surprises en général je les congédie froidement ( il fit un signe de mort) mais qu’est-ce que je n’aurais pas donner en échange d’une tel surprise.
Sheppard : Bon d’accord temps mort : j’ai des milliers de question en tête et la première est : qu’est-ce qui se passe ici ?
Kavanaugh : On est prêt à vous donner tous ce que vous voulez pour survivre mais pitié ne me tuer pas.
Ronon : Il nous tuera sans hésitation parce que c’est une vermine de la pire espèce qui survivrait à une hécatombe !!
L’inconnu : Mais c’est ce que j’ai fait ! j’ai survécu à une Hécatombe, je suis impolie la moindre des choses et que je me présente : Je m’appelle Rayder Dex et vous êtes à bord de mon vaisseau,
Tous affichèrent une expression d’étonnement.
Rayder poursuivit : Nous sommes des pirates de l’espace et quoi que vous disiez, quoi que vous fassiez : considérez-vous comme en sursis jusqu'à ce que j’obtiennes tous ce que je veux. Quant à toi (en se tournant vers Ronon sa voix s’adoucit) je te réserve un sort bien plus atroce.
Ronon tenta de se lever de sa chaise mais le pirate lui donna un coup de pied qui le projeta en arrière. Il sortit son arme et tira une balle dans l’épaule de Kavanaugh qui tomba au sol.
Il repartit dans un fou rire.
Raider : Qu’on enferme les deux autres.
Les gardes les saisie. Sheppard s’arrêta au niveau de leur chef.
Sheppard (en colère) : Qu’allez-vous lui faire ?
Raider appuya son arme sur la joue de Sheppard mais ce dernier resta froid et immobile.
Raider (en murmurant) : Tu as l’air plus courageux… mais les hommes courageux ne vivent jamais longtemps, je parle par expérience, alors dis-le si tu veux en finir maintenant.
Sheppard resta implacable. Le pirate était sur le point d’appuyer sur la détente mais se rétracta au dernier moment et sourit. Il fit signe à ses hommes de l’emmener.
Sur le chemin, Sheppard était furieux mais il réfléchissait sur un moyen de s’en sortir ; il ne fallait pas sous-estimait leur ravisseur après tout il avait un vaisseau Wraith ! comment l’avait t’il obtenir est-ce de la même façon que le Dédale ? alors ils ont en leur possession une technologie non négligeable et peut être même bien plus. Cet homme se dit s’appeler Dex comme Ronon aurait-il un lien de parenté ?. Plus le transfère s’éternisait plus les questions s’accumulaient dans sa tête et il avait sacrément besoin d’action. Et bientôt il en aurait l’occasion. Arrivés au niveau de leur cellule, il aperçu les hommes du Dédale, il leur fit un signe de la tête.
Et désigna du regard l’homme qui tenait Mckay. Lorsque il s’ouvrit les liens Wraiths qui servaient de barreaux. Les militaires se jetèrent sur eux, Mckay tomba au sol tandis que Sheppard donna un coup de pied violent à son geôlier. En Quelque secondes, ils avaient maîtrisé la situation. Mais il ne fallait pas se réjouir pour autant le plus dur restait à faire.
Un lieutenant : Monsieur, il y a aucun Wraith ici !
Sheppard : Je sais, prenez leur armes !
Il obéit et les hommes enfermèrent les pirates dans leur cellule. Il était au nombre de dix mais ils ignoraient combien ils avaient été capturés au totale
Lieutenant : Sur le Dédale nous étions dans l’armurerie pour nous défendre contre ce brouillard quand on nous a téléchargé ;
Sheppard : où ont-ils mit vos armes ?
Le soldat lui montra la direction à suivre. Dans une salle, à peine plus loin, y était entreposé tout ce dont ils avaient besoin pour mener une petite guerre. Sur une table et contre les murs il y’ avait non seulement leurs armes et explosives mais aussi des armes Wraiths, des lances et technologie qui venaient d’autres mondes.
Mckay : il faut savoir comment fonctionne ce brouillard ou brume pour la désactiver et il faut retrouver Hermiod et il faut à tout prix, absolument, impérativement que je me soulage parce que ça devient vraiment insupportable !
John voulu mettre une arme de poing dans la main de Mckay mais celui-ce la laissa tomber au profit de ces démangeaisons qui prenaient le dessus sur tout le reste. Il ne voulu même pas la ramasser.
Il souleva la manche de son peignoir et aperçu à la surface de sa peau bleue des formes de cloques et d’autres chose dont la simple analyse lui donnait la nausée. Un dixième de seconde Il resta sous le choc ensuite il étouffa un cri et puis il enleva son peignoir et souleva sa chemise d’hôpital pour constater avec effroi qu’il en était totalement couvert mais personne ne semblait s’en préoccuper. Le Colonel Sheppard ordonna à une partie des hommes de retrouver les membres d’équipage et de les armer à leur tour pendant d’un autre disposé des explosifs Il se tourna vers Mckay complètement désespéré
Sheppard : Un peu d’optimisme on va s’en sortir !
Mckay : Je suis en train de muter en une sorte de monstre marin ou pire et je suis censé sourire !
Sheppard ne voulu même prendre la peine de trouver une réplique imparable à ça. Il ramassa son arme et la lui mit dans la main.
Pendant que les autres trouvaient les prisonniers, John et Rodney disposaient des explosifs tous les 100 mètres. Ils restait en liaison radio et cette fois-ci il avait un détecteur de vie. Mckay avait une mine dépité mais soudain il se redressa, son visage arborait une expression de curiosité.
Mckay : Ce pirate a dit s’appeler comme Ronon ?
Sheppard s’arrêta et se tourna vers Rodney l’air stupéfait.
Mckay : Oui, je sais mais c’est parce que c’est pas mon jour et que je suis fatigué.
Sheppard : il est de se temps de se réveiller parce que j’ai besoin de vous à 100% !
Il acquiesça de la tête. Sheppard posa les yeux sur le détecteur de vie et constata une présence dans une salle à proximité. Il demanda à Mckay de rester là.
Il avança prudemment et jeta un rapide coup d’œil à l’intérieur et trouva attaché sur une table de labo l’Asgard. Celui-ci se tourna vers lui.
Hermiod : Que faites-vous ici ?
Sheppard : Je vous cherchez et vous ?
Hermiod : J’attendais qu’on me trouve
Le petit groupe reprit le chemin.
Un de ses hommes le contacta par radio : On a retrouvé une dizaine de personne et On a rencontré de la résistance en chemin on va pas tardé à voir venir la cavalerie.
Sheppard : Dirigez-vous vers l’embarquement où se trouve les Darts. Et cherchez un moyen de quitter ce vaisseau quelque chose me dit qu’il n’ont pas que des Darts !
L’officier : Bien colonel !
Sheppard ajouta : Si vous n’arrivez pas tenir la position, n’hésitez pas à faire exploser les décharges.
Mckay : Et nous ?
Sheppard : Sans le Dédale, on ne peut aller nulle part !
Soudain, il entendit un bruit droit devant eux. Il leur ordonna de rester là. Il y avait une autre présence et cette fois, elle ne pouvait pas être amicale.
Il enleva la sécurité et doucement avança jusqu’à se retrouver nez à nez avec lui. Il se retint de tirer au dernier moment. En effet, en face de lui se trouvait un petit garçon qui n’avait pas plus de 8 ans. L’enfant resta interdit quelques secondes puis il se mit à courir dans la direction opposée. Sheppard le poursuivit. Le petit descendit des escaliers étroit, le colonel les descendit à son tour Mckay et l’Asgard le suivirent mais ils n’arrivaient pas à tenir la distance quand John arriva au bout des escaliers qui débouchait sur une lumière éblouissante, il n’en crut pas ses yeux. La bouche ouverte, abasourdit, devant le spectacle qui s’étalait sous ses yeux, à perte de vue un immense espace remplit pas des centaines de personnes qui circulait en long et en large autour de structure de béton marchant sur un sol de terre ou de galet mais surtout quand il levait les yeux au ciel il voyait un vrai ciel où d’une moins l’illusion d’un ciel. C’était si réel, les murs et le sol n’était plus ceux d’une structure classique Wraith :c’était une ville dans un vaisseau spatiale et peut être y avait-il des milliers de personnes…
A suivre…
Sous le choc, il n’entendait pas Mckay crier son nom. Mais lorsque ce-dernier arriva près de lui, le souffle lui manqua.
Pendant ce temps, Raider était dans la salle de commandement avec quelques uns de ses hommes et les membres d’équipages lorsqu’une femme d’une belle allure entra portant une robe de soirée. Les cheveux frisés et de très beaux yeux noisettes mais derrière cet air angélique se cachait un tempérament de feu. D’ailleurs en entrant elle commença à hurler à l’intention de leur chef.
La femme : Wally Coyten Dex !!
Tous le monde se retourna vers elle.
Raider en hurlant : Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme ça !
Raider se tourna vers les autres et leur ordonna de sortir.
Raider : Qu’est-ce que tu as Krishna ?
Krishna : Ronon est en vie ! et tu ne prends pas la peine de me le dire !!!
Raider : Il ne le restera pas longtemps.
Krishna en criant : Comment peux-tu être aussi haineux envers lui !?
Raider : C’est un traître envers notre famille. Comment toi tu oses l’oublier ?!
Krishna : C’était il y a des années, notre peuple a été exterminé ; énormément de chose…(elle marqua une pause pour reprendre son calme) il faut laisser le passé derrière nous.
Raider : C’est un signe du destin que de le retrouver sur ma route, je me vengerai et ce n’est pas toi qui te mettra en travers de mon chemin !
Sheena : Par tous les Dieux : C’est notre Frère !
Raider la gifla pour ces quelques mots puis regrettant son geste, prit son visage entre ses mains.
Il murmura :
Raider : Je t’interdis de le voir ! tu sais que je t’aime et que je fais ça pour te protéger, il a déjà détruit notre famille ne le laisse pas se mettre entre nous.
Il s’écarta d’elle et se tourna vers les écrans de contrôle.
Raider : Les prisonniers se sont échappés, la moitié de mes hommes sont déjà à leur poursuite. Je veux que tu montes sur leur vaisseau et que tu l’inspectes, prends qui tu veux avec toi !
Elle sortit de la pièce et les autres membres revinrent à leurs postes.
Une femme : Commandant, L’Asgard a disparu avec deux hommes selon les capteurs ils se dirigeaient vers la cité. Est-ce que l’on doit prévenir la sécurité ?
Raider : Non, au contraire laissons-les s’amuser un peu ils vont très vite comprendre par eux-même ce qui se passe quand on enfreint les règles : ils ne savent pas où ils sont tomber. Concentrez-vous sur les autres fugitifs
La femme : Il y a autre chose… juste avant d’entrer en conflit avec ce vaisseau j’avais capté un signal de détresse et… j’ai repris l’analyse il semble que ce soit nous qui l’ayons envoyé !
Entre temps, nos chères amis visitaient cette fameuse cité. Ils marchaient sur ce qui semblait être l’avenue principale. Il y avait beaucoup de monde beaucoup de commerces et personne ne semblait faire attention à eux, pas même à l’Asgard. Mais ce qui était le plus surprenant c’est qu’il n’y avait pas que des humains mais aussi d’autres races extraterrestres. Sheppard dévisageait l’un d’entre devant un commerce, il faisait un mètre cinquante une tête surdimensionnée, une peau couverte d’écaille et humide qui brillait à la lumière. Soudain, ce-dernier tourna la tête à 90 degrés et son cou s’allongea vers le Colonel Sheppard.
L’Alien : Qu’est ce que tu as à me regarder comme ça ?
Sheppard : Rien, je me suis perdu.
L’Alien : Va te perdre ailleurs !
Ils s’éloignèrent et continuèrent leur route.
Mckay : C’est quoi une dimension parallèle.
Sheppard : Vous me faites mal !
Mckay ne s’était pas rendu compte qu’il serrait le bras du Colonel trop fort.
Mckay : Désolé…une chose est sûr c’est que nous sommes toujours à bord au vaisseau. Ce que vous avons au dessus de la tête est une sorte d’illusion optique.
Sheppard : Et la théorie de la dimension parallèle ? non, oubliez, continuons !
Mckay : Regardez au fond de l’avenue une place !
En effet, les murs du fond touchait le ciel. Tandis que les immeubles dans la grande rue atteignait environ 5 mètres de hauteur. il abritait seulement les commerces. Sur la place en question s’ouvrait plusieurs grandes galeries, des passages de plusieurs mètres de hauteur et de largeur.
Sheppard : On se croyerait dans le décor de Total Recall
Mckay : Mais en plus sophistiqué… et en moins claustrophobe ; en tout cas on devrait l’explorer.
Sheppard : Même si cette découverte est fascinante, on n’a pas le temps on doit retrouver…Hermiod !
Il regarda tout autour de lui mais l’Asgard avait une fois de plus disparu ! ils revinrent sur leur pas ; de chaque coté de la rue, ils inspectaient les commerces. Mckay le repéra très vite à travers la vitrine d’un bar. Il voulu entrer mais heurta un homme qui sortait a ce moment-là. Ce dernier l’agrippa et le souleva du sol.
Sheppard :C’est bon, il ne l’a pas fait exprès !
L’homme : Mêle toi de tes affaires
Le barman sortit de derrière son comptoir.
Le barman : Je veux pas de problème comme la dernière fois Tollen !
John remarqua que cette brute portait les même insignes que les gardes qui les avaient capturé. Avant de partir qu’il ajouta d’un air menaçant qu’ils se reverront.
Sheppard voulu remercier le Barman mais il était déjà retourner derrière son comptoir en les ignorant.
En entrant, ils avaient déjà perdu de vu l’Asgard. ils traversèrent ce grand bar pour le retrouver. Le comptoir était près de la sortit mais en s’enfonçant on constatait que c’était fait de petit espace demi-circulaire donnant une impression d’isoler les clients tout en gardant l’espace ouvert sur la salle principale mais séparé entre elles par des décorations sommaires ou des sortes d’aquarium où nageait des poissons que nos chères terriens de naissance n’avait jamais vu jusqu’à présent. Ils retrouvèrent Hermiod devant une sorte de décoration de métal, cela ressemblait à de l’art avec des inscriptions étranges dessus.
Sheppard : Je vous ai dit qu’on devait rester grouper !
Hermiod : Non, vous ne l’avez pas dit !
Sheppard : Bon d’accord mais c’était l’évidence même. Qu’est-ce que vous regardez comme ça ?
Hermiod : Cette œuvre est Asgard.
Mckay : Ca ressemble à un papillon !
Sheppard : Moi, je dirais à une femme ! surtout au niveau ( il reproduit le geste avec sa main) On oublie !. Sincèrement, en d’autres occasions je serais content pour vous mais nous avons d’autres priorités.
Mckay regardait autour de lui et remarqua une femme ou du moins il croyait que c’était une femme qui le fixait du regard. Toute sa peau était bleue et si la partie supérieur avait un semblant d’humain sous les hanches elle avait des tentacules énormes a peine recouverte par un voile transparent. Mckay ravala sa salive d’autant plus qu’elle lui souriait et lui roulait des yeux.
Hermiod : Ce symbole est l’emblème d’un de nos vaisseaux d’exploration scientifique qui a disparu il y a des centaines d’années toutes nos recherches pour le retrouver ont échoué.
Sheppard : Il se peut qu’il ai été détruit et qu’il ne reste plus que ça.
La femme aux tentacules intervint dans la conversation :
« Ou peut être est-ce un signe du destin ! »
Sheppard et Hermiod se tournèrent vers elle.
Hermiod : Savez-vous comment il est arrivé ici ?
La femme fit un signe de tête à ses compagnons de table de partir et elle se tourna vers eux et les invita à s’asseoir près d’elle avec un regard insistant vers Rodney.
Mckay prit Le colonel à part : Très mauvaise idée ! vous connaissez le mythe de Méduse je suis sûr qu’il se sont inspiré d’elle… à moins que ce soit
20 000 lieue sous les mers ?
Sheppard : Je prends le risque après tout qu’est-ce qui peut nous arriver de pire !
Mckay : Et voilà vous l’avez dit ! si le ciel artificiel nous tombe sur la terre on remerciera qui ? Sheppard !
Krishna se dirigeait vers la salle d’embarquement des Darts avec sur elle une combinaison spéciale qui permet de se déplacer aisément dans la brume, arrivée près de son équipe, elle hésita ;
Un homme : Qu’est-ce que tu attends.
Elle lui donna le collecteur de donnée Wraith
Krishna : Tiens et allez-y sans moi et n’en parle pas à Raider.
Elle fit demi-tour et ce, en sachant les conséquences que cela entraînera de désobéir à son frère.
Elle avait beau aimer son frère de tout son cœur, son attitude avec les autres étaient effrayante. Cette dictature, sa puissance, ses colères qui étaient de plus en plus difficile à calmer car la source de cette colère était jusqu’à présent morte et donc difficile à assouvir. Krishna était la seule personne au monde à pouvoir raisonner son frère et c’est pour cela que tout les autres la respectait. Parfois elle regrettait de ne pas être morte sur Sateda. Elle avait une dette éternelle envers son frère qui jusqu’à une heure était sa seule famille et aujourd’hui devra t’elle fermer les yeux quand Raider tuera Ronon ?
Kavanaugh n’était plus allongé sur le sol au contraire maintenant il était assis sur une chaise et sa blessure commençait à cicatriser grâce à une femme qui le soignait avec une sorte de rayon guérisseur. Il reprenait doucement connaissance. Raider qui regardait à travers une vitre le vide spatial il frottait avec sa main droite son index gauche comme si il manquait quelque chose et cette sensation de manque lui ravivait de mauvais souvenir et il fallait qu’il garde son sang froid. Il entendit Kavanaugh se réveiller et il se tourna et s’approcha de lui.
Raider : J’espère que ma démonstration de tout à l’heure ne vous a pas trop effrayer.
Il resta silencieux car justement la frayeur l’empêchait de parler. La femme prit congé et donc Kavanaugh resta seule avec son bourreau. Raider prit un moment avant de continuer, à croire qu’il chercher quoi dire ou plutôt quelle question poser.
Raider : Quand et comment avez vous connu Ronon Dex ?
Kavanaugh (dérouté): Ronon ? vous ne voulez pas d’information sur le Dédale ou la technologie que nous avons ?
Raider fit semblant de réfléchir et regarda sévèrement le scientifique.
Raider : J’aime le Zèle et les lèches bottes sincèrement ! mais si on commençait par répondre aux questions.
Kavanaugh : Un an et demi il était pourchassé par les Wraiths pendant des années, on l’a recueilli par pitié… il peut être utile pour torturer les gens.
Raider : Deuxième question : que lui ont fait les Wraiths pendant ces années là ?
Ronon avait la tête à l’envers, les jambes suspendu par une corde et les bras attaché tendu dont les mains étaient appuyer sur le sol. Tout son corps était étiré subissant une véritable pression qui augmentait à chaque instant, son visage était rouge car le sang circulait mal ses bras tremblaient mais impossible de les plier et pour terminer la petite pièce était inondé d’une puissante lumière. Une véritable torture que subissait chaque un de ses membres.
Soudain, la porte s’ouvrit et une ombre féminin la traversa les larmes dans ses yeux troublaient sa vision ce ne fut que lorsqu’elle agenouilla devant son visage qu’il la reconnu : Krishna Dex, sa sœur et toujours en vie !.
Ronon en murmurant : Détache moi je t’en prie
Krishna (compatissante): Je ne peux pas il y a un systeme de sécurité il le saura immédiatement.
Ronon : Je t’en prie c’est insupportable !
Krishna (en larme ): Pour moi aussi ! Tu m’a tellement manqué chaque jour était une torture. Wally, enfin Raider comme il se fait appeler est sur le point d’exploser, maintenant que tu es en vie il va assouvir sa vengeance.
Ronon : Mes amis ?
Krishna : Ils se sont enfuit mais tout ceux qui se caché dans la salle d’embarquement on été neutralisé et ramené en cellule ce n’est qu’une question de temps avec de trouver les autres.
Ronon : Empêche le de les tuer ?
Krishna prit son visage dans ses mains.
Krishna : S’il pense que tu es attaché à eux il le fera sans hésité parce que quand tu l’a dénoncé devant le conseil militaire pour ses crimes. Père s’est senti déshonoré comme tu sais mais quand tu as disparu Père a refusé de lui pardonné et il lui a dit qu’il te considéré comme son seul héritier avant sa mort. Wally te le fera payé
Ronon : Et toi ?
Krishna secoua la tête : Pas ça ! ne m’oblige pas à choisir je perdrais de toute manière quelqu’un que j’aime mais quitte à ce que ça arrive, je veux que les chances soit équitable.
Elle sortit un couteau et coupa ses liens.
Dans la cité, Sheppard, Rodney et Hermiod étaient autour de la table de cette extraterrestre qui s’appelait Loya enfin le diminutif de son nom difficile à prononcer. Quand on leur servir les boissons, Loya commença à être plus bavarde.
Loya : Je vois bien que vous n’êtes pas d’ici. Du moins vous n’êtes pas arrivé récemment.
Sheppard : Oui et on aimerait repartir sans vouloir vous vexer ? que disiez vous a propos des Asgards ?
Loya : Que tout est lié, c’est vrai que votre race s’est perdu il y a très longtemps mais que ses vestiges vous permettrons de les retrouver
Mckay chuchota : c’est du Charabia allons nous-en !
Sheppard lui lança un regard sévère et Mckay ajouta à l’intention du colonel
« arrête de me pousser »
Sheppard : je n’ai rien fait !
Mckay réalisa qu’il s’agissait peut être d’une de ses tentacules, il fit un bond en arrière.
Hermiod : Où puis je trouver le reste du vaisseau ?
Loya : Il suffit de trouver la personne qui vous a contacté ?
Mckay : Le signa de détresse venait d’ici ? qui l’a envoyé ?
Loya : Vous le saurez en temps voulu la cité est grande ! laissez-le venir à vous ?
Sheppard : Qu’est-ce que c’est que cette endroit, exactement ?
Loya : Un lieu de convergence où sont réunie ses races en voie d’extinction menacé par un seul et même prédateur !
Sheppard : Les Wraiths ! c’est une sorte de lieu de refuse.
Loya : Autrefois, je vivais dans un immense océan sans être limité par des frontières et des murs comme vous les humains enfin je me pose encore des question à son sujet
Elle disait cela en regardant Rodney qui, en tee-shirt laissait paraître sa nouvelle couleur de peau et des cloques qui avait évolué depuis vers de nouvelle forme.
Mckay : Je suis humain ! ça c’est juste un accident !
Loya : « ça » comme vous dites sont des formes de vie microscopique marine qui se sont accroché à un hôte et qui absorbe l’eau de votre organisme pour survivre et muter…et je les entend m’appeler …et elles ont soif.
Elle passa une de ses tentacules sur l’épaule du Scientifique.
Mckay : Oh mon Dieu ! je le savais, pourquoi moi !
Sheppard : Est-ce qu’il y a un moyen de s’en débarrasser ? toujours sans vous vexer ?
Mais elle ne l’écoutait plus, elle éprouvait comme une sorte de jouissance en caressant la peau de Mckay. Elle commençait même à gémir de plaisir.
Les autres clients se tournérent vers eux. Sheppard et Hermiod se sentait gênait par la situation d’autant plus que Rodney sentait lui aussi d’étrange sensation il était en extase. Mais ce qui était le plus surprenant c’est que dans l’aquarium derrière Loya les poissons convergeait vers elle et même la boisson de leur verre se mettait à tournoyer. C’était un phénomène à la fois gênant et fascinant. Elle avait une interaction, une influence avec tout les éléments liquide environnant et les espèces aquatiques qui y vivent.
Sheppard essaya d’interrompre tout cela mais en vain. Quand elle eut fini tout redevint normal. Mckay avala un grand verre d’eau et évita le regard de ses compères.
Loya : Ses organisme marin s’en iront le moment venu !
Mckay (mal à l’aise) : Dans ce cas, n’insistons pas !
Il se leva pour partir.
Sheppard ajouta : Pourquoi les Wraith vous pourchassent ?
Loya : Parce que nous avons aidé les anciens dans leur guerre et notre technologie aurait pu les anéantir.
Sheppard (stupéfait) : Vous avez une arme qui pourrait les vaincre ?
Loya : Nous avions ! cette arme comme vous l’appelez était basé sur notre nombre et aujourd’hui je suis moi aussi le vestige d’un autre temps.
Sa voix se troubla et une larme bleue glissa sur sa joue et se solidifia. Elle tomba nette dans sa main, elle prit la main de Mckay et mit le petit cristal bleue dans le creux de sa paume.
Loya : En souvenir de moi, gardez-le !
Sheppard : Venez avec nous !
Loya : Personne n’est prisonnier ici et parmi ses exclu pourchassés comme moi, je me sens à ma place.
Sheppard : Raider est un pirate sanguinaire qui capture d’autres vaisseaux et les pille.
Loya : Raider ne contrôle pas la cité elle est autonome, sa seule responsabilité est de tenir à distance les Wraiths.
Sheppard : Cela ne durera pas !
Loya : cela dure depuis 200 ans, Raider est le successeur d’une longue lignée de commandant et tant qu’il remplit sa fonction, il peut faire ce qu’il veut.
Sheppard : Dans ce cas aidez-nous a sortir d’ici !
Loya : Mon rôle s’arrête ici, mais je peux vous promettre que vous survivrez à cette aventure.
Mckay : Attendez quand vous ditez « vous » vous parliez de moi aussi !
Sheppard : Allons y !
Mckay marcha derrière lui et se tourna une dernière fois vers Loya. Cette dernière lui tira la langue qui était très longue. Rodney rattrapa Le colonel à la sortit.
Mckay : Dites puisque vous allez vous en sortir faites-moi une faveur, quand vous écrierez votre rapport ne parlait pas de ce qui vient de se passer…vous savez
Sheppard : vous n’allez pas mourir !
Mckay : Raison de plus !
Ils empruntèrent une des galeries le plafond de verre étaient voûté et toujours cette illusion de ciel bleue. L’espace était suffisamment large pour permettre aux moyens de transport de circulé sans gêner le va et vient de la population. Ils traversèrent un pont qui était suspendu on pouvait voir dessous et dessus d’autres pont et d’autres galeries et aussi des parcs et un peu plus bas au fond on voyait un lac. Jamais ils n’auraient pensé un seul instant qu’un vaisseau mère Wraith, le foyer de ces prédateurs qui utilisent les humains comme nourriture, puisse abriter et protéger des milliers de vie venant de toute la galaxie. C’était à la fois magnifique et inimaginable même les cinq saisons de Babylon 5 soit environ 110 épisodes, six téléfilms et une série dérivé ne pouvaient matérialiser l’ampleur du phénomène qui s’étendait devant eux. Une cité qui ne voyait jamais le soleil se lever mais qui était libéré des contraintes de la terre et d’une récolte.
Mais cela aller bien au-delà, des civilisations déchu aux connaissances et aux technologies qui les ont condamné à fuir face à la domination de leur ennemis. Si les Anciens ont quitté Pégase pour la terre, où sont aller les descendants de ses puissantes civilisations ? peut être ici comme Loya ? Quand certaines questions trouvaient leur réponse, de nouvelles fait surface moins vital dans l’immédiat, certes. Mais lorsqu’il réussiront à fuir comme le présage Loya c’est avec le risque de perdre définitivement cette Babylon des temps modernes….
A suivre…
3ème partie
Sheppard et Mckay réfléchissaient à comment sortir d’ici. Le colonel n’arrivait plus à joindre par radio les autres, il s’inquiétait qu’il leur soit arrivé quelque chose. Pendant ce temps, Mckay remarqua deux agents de sécurité qui eux-mêmes les observaient. L’un d’entre eux regardait tour à tour l’écran du moniteur à sa main droite et les trois individus suspects qui avaient l’air totalement désorienté.
Mckay : Je crois qu’on a été repéré
Ils s’éloignèrent lentement puis plus rapidement mais les gardes étaient toujours derrière eux. Alors, ils se mirent à courir dans les couloirs.
Mais les assaillants étaient tenaces et à chaque fois que Rodney se retournait : ils étaient toujours là.
Enfin un homme de taille moyenne portant un capuchon bleu leur fit signe de le suivre. Il les fit entrer dans une boutique d’apothicaire et les cacha immédiatement dans un placard.
Les agents de sécurité s’arrêtèrent juste au niveau de la boutique. Il regardaient partout mais rien, l’un d’eux prit sa radio :
Le garde : Commandant, nous les avons perdu dans le marché…
Raider : Fouillez toutes les boutiques et les bazars, appelez du renfort
Le garde : Mais commandant aujourd’hui : c’est jour de marché et il est bondé !
Raider : Exécuté mes ordres !!
Les gardes s’éloignèrent vers le nord, le marchand fit sortirent le colonel et ses amis
Sheppard : Merci de nous avoir aidé, mais pourquoi l’avoir fait ?
Le marchand ne répondit pas, il se contenta de courber la tête en signe de respect. Il leur donna des tuniques bleues pour se couvrir et les invita à le suivre. John n’insista pas, il était clair que l’inconnu ne voulait pas parler.
Ils prirent des chemins étroits, peu fréquenté qui ressemblaient à des labyrinthes. En fait, il s’agissait de petites rues qui parcouraient l’arrière des habitations. Mckay n’arrivait pas à croire qu’il s’agissait d’un vaisseau ruche quand il levait les yeux au ciel, entre les linges étendu, il entrevoyait un ciel bleu. Ils marchèrent quelques minutes, descendirent d’interminable escaliers. John craignait qu’en cas de problème ils ne retrouvent pas le chemin de retour. Il ne cessait de penser à ses hommes. L’homme les conduit dans un appartement puis dans un grand salon. Un groupe d’individu s’y trouvait : des hommes, des femmes, des enfants, des bougies étaient disposé autour d’un homme mort et couvert d’un voile bleu. Il s’agissait d’une veillée funèbre. L’homme les conduit auprès d’un enfant assis sur une chaise portant un voile bleu. Sheppard et Mckay étaient décontenancé par la situation. Il se présenta à l’enfant mais dés qu’il prononça un mot tous les invités s’agitèrent et leur lancèrent des regards de colère. Leur guide leur fit signe de ne pas parler. L’enfant prit la main de Sheppard et la main d’Hermiod et les conduit dans une pièce vide Mckay les suivit.
L’enfant : Après la mort d’un proche nous devons respecter une période de silence. Mon père aurait voulu vivre jusqu’à votre arrivée mais son vœu ne sera pas réalisé. C’est à moi en tant que nouveau gardien que revient la tâche de transmettre un message qui est conservé par notre famille depuis des temps immémoriaux.
Mckay : C’est vous qui avait envoyé le signal de détresse ?
L’enfant : Mon père a détecté la signature énergétique d’un ancêtre, le signal de détresse s’est activé automatiquement il est rattaché aux message.
Mckay : Le gène des anciens, une petite partie de l’équipage le possède le détecteur a dû le confondre avec un vaisseau ancien
L’enfant prit un appareil posé sur un autel de prière, il le pointa sur Sheppard, l’appareil scanna le corps du colonel.
L’enfant : Vous n’étés pas un ancêtre à part entière !
Mckay : C’est compliqué disons que je descends d’une longue lignée d’humain et d’ « ancêtre » et que…,
A court d’idée se tourna vers Mckay
Mckay : …Mais il possède un gène ancien très fort plus fort que moi qui lui permet d’utiliser la technologie ancienne…
Il se tourna vers Hermiod.
Hermiod : Je n’ai rien à dire je suis un corps synthétique !
L’enfant baissa la tête songeur puis la releva remit son voile et retourna dans la pièce avec les autres invités.
Sheppard : Attends… petite, nous pourrions t’aider.
Les invités les fustigèrent du regard, l’enfant s’agenouilla près du corps de son père pour prier. Il ignora les étrangers et reprit son vœu de silence.
Des hommes les accompagna de force jusqu’à la sortie.
A nouveau Seuls :
Sheppard : Ce message était peut être important ?
Mckay : Si ce n’était pas le cas, les anciens n’aurait pas prit la peine de le transmettre à une personne de confiance pour qu’il perdure jusqu’à nos jours !
Sheppard : En tout cas cette fille ne nous le donnera jamais sauf si on lui prouve qu’on pourra en faire bon usage aussi bien que les anciens !
Mckay : Parce que c’était une fille !!! je croyais que c’était un garçon… à cause des cheveux court !
Sheppard : Ce n’est pas important Rodney !!
Mckay : J’ai une tendance à dévier du sujet ces temps-ci et j’ai soif, très soif !!
Hermiod : Je ne veux pas vous interrompre mais je crois que ces messieurs nous ont retrouvés !!
Sheppard et Mckay se tournèrent vers les gardes armés à peine deux mètres d’eux. Mckay leva les mains en l’air.
Pendant ce temps, Ronon déambulait dans les couloirs du vaisseau ruche. Il entra dans les quartiers d’un officier et tomba sur Le Dr Kavanaugh assis sur une chaise, inconscient mais toujours en vie.
Il le réveilla mais avant de le sortir d’ici, il remarqua une table une sorte d’appareil extraterrestre, sur l’écran de contrôle de l’appareil apparaissait le Dédale et la brume en rouge cette fois. L’image était accompagné de données écrites dans une langue inconnue et de chiffres étranges.
Kavanaugh (à moitié inconscient) : C’est cet appareil qui contrôle la brume, c’est une substance vaporeuse qui fige dans l’espace-temps tous les éléments organiques !
Ronon : Comment le savez-vous ?
Kavanaugh se leva et tira une décharge neutralisante sur Ronon qui tomba inconscient. Kavanaugh appuya sur une petite télécommande, il changea d’apparence et redevient Raider
Raider : Je le sais parce c’est moi qui contrôle tout ici !!
Sheppard se réveilla dans une arène. C’était un terrain circulaire, le sol était d’un gris métallique à l’extrémité du cercle deux tours haute se faisant face avec à leur sommet des pierres de cristal bleu. Il était entouré de centaines spectateurs à la fois placé autour du cercle de jeu et en hauteur dans des balcons.
Mckay et Hermiod se trouvaient au pied du terrain, sous bonne garde juste sous le balcon principal où se trouvait Raider et sa sœur. Cette disposition rappelait les anciens jeux romains et la place de raider correspondait à celle de l’empereur, en espérant que ce jeu soit moins sanglant pour notre colonel.
Mckay : qu’est-ce qu’on peut faire pour l’aider ?
Hermiod : Si ma mémoire ne me fait pas défaut je pense qu’il s’agit là d’une installation asgarde et ancienne qui date de l’époque de l’alliance des quatre.
Mckay : Qui sert à quoi ?
Hermiod : C’est un jeu qui utilise des artefacts barbares qui allient à la fois le combat et la technologie holographique.
Soudain, l’on fit monté l’adversaire du colonel Sheppard : un homme grand qui portait les attributs vikings mais ce qu’il ne savait pas c’est qu’en réalité il s’agissait de Ronon sous une apparence holographique. Hermiod et Mckay le voyait mais pas Sheppard. Tandis que de son coté Ronon voyait à la place de Sheppard son frère Raider alors qu’en réalité ce dernier était installé confortablement dans un fauteuil pour savourer le spectacle. Ni une ni deux Ronon se jeta sur Sheppard, ce dernier se défendit tant qu’il pu. Ronon prit le dessus presque immédiatement.
Rodney essaya de crier suffisamment fort que c’était une illusion mais en vain.
Ronon commença à étouffer John.
Ronon : Qu’est-ce qui t’arrive avant tu te battais mieux que ça, Wally !!
John ne comprenait pas un mot puisque c’était une langue étrangère qu’il entendait. Sheppard toucha du pied une sorte de dalle qui s’illumina sur le sol et une rafale d’énergie venant d’une des tours frappa Ronon le projetant à terre sans réellement le blesser. Sheppard reprit son souffle.
Hermiod : Nous avons banni ce jeu il y a longtemps, nous le trouvions trop barbare.
Mckay : Vraiment ?
Sheppard essaya de quitter la surface de jeu mais toute l’installation était protégé d’un champs de force. Il s’approcha de Mckay. Rodney lui expliqua en bref la situation alors que Ronon reprenait conscience et il courait déjà vers lui.
Hermiod : Il y a des touches au sol qui permet aux joueurs d’acquérir des armes pour se défendre.
Sheppard : Je n’en vois aucune !
Hermiod : Si elles étaient visibles ce serait trop facile ! vous y aurez accès lorsque vous poserez le pied…,
A cet instant, Ronon agrippa Sheppard par derrière, Il lui envoya un coup de tête. Ronon bascula vers l’arrière et marcha sur une dalle qui s’illumina et à cet instant une épée apparu.
Sheppard : Ronon arrêtez c’est moi Sheppard c’est une apparence holographique, je vous en prie !
Ronon entendait la voix de son frère.
Du haut de son balcon, il parlait à haute voix et les mots étaient les mêmes que ceux que Ronon entendaient.
Raider (furieux) : Tu as pris ma vie, tu m’as déshonoré !!
Ronon : Tu t’es déshonoré tous seul !
Sheppard ne comprenait pas un mot :
Sheppard : Ce serait trop facile si il pouvait me comprendre !?!
Raider : Tu m’a trahit, tu m’a déshonoré devant mon propre père !
Ronon : J’étais obligé de te dénoncer !
Raider : Tu as fait ça pour t’attirer les faveurs de mon père. Nous t’avons adopté tu étais devenu un membre de notre famille : je te considéré comme mon petit frère.
Ronon avait dû mal à respirer, les larmes lui monté aux yeux. Fébrile, il ramassa l’épée . Sheppard chercha une nouvelle dalle avant que Ronon ne se serve de sa lame tranchante.
Sheena regarda son frère troublé parlant tous seul.
Sheena : Qu’est-ce que tu fais ? je t’en prie arrête ça !
Il se tourna vers sa sœur le regard mauvais et l’agrippa par les cheveux :
Raider : Regarde le une dernière fois : ton preux chevalier, ton héros, ton amour inavoué ! regarde-le tuer son ami le plus cher parce que quand il réalisera son acte atroce… il ne pourra plus jamais vivre normalement, il suppliera qu’on le tue après ça.
Il lâcha brutalement sa sœur et se tourna à nouveau vers ce tragique spectacle. Un spectacle que le public clamé très fort, son cœur battait au même rythme que la foule en délire. Son regard était emprunt d’ une folie jouissif.
Sheppard trouva enfin une dalle et une nouvelle rafale d’énergie se dirigea sur Ronon mais il mit l’épée devant et l’arme absorba toute l’énergie. Il réappuya dessus mais rien, à apparemment les touches ne fonctionnaient qu’une seule fois.
Il évita les coups d’épée il couru à l’extrémité de la plate-forme.
Ronon : ça ne sert à rien de fuir, qu’est-ce qui te prends tu me parles d’honneur mais tu fuis comme un lâche !?!
Sheppard toucha une nouvelle dalle lumineuse et apparu un bouclier, il l’enfila immédiatement. Les coups que lui infligeaient Ronon ne lui fit aucun effet, le bouclier était très solide
Un homme d’âge mur se présenta sur le balcon d’où raider observait le combat. Deux gardes lui barrèrent le passage
L’homme : Laissez moi passer ! Je suis le gouverneur Dranell l’auriez vous oublié ?
les deux gardes obéir.
Le gouverneur : Qu’est-ce que c’est que ce foutoir, Commandant Raider ?
Raider ne répondit pas, il était beaucoup trop absorbé par le spectacle.
Ronon perdait l’avantage, le bouclier empêchait les coups fatales et les poing de Ronon se heurtait à un bloc dur. Sheppard trouva une nouvelle touche cette fois-ci Sheppard se rappela que l’appareil était à moitié ancien et donc il pouvait le contrôler par la pensée seulement s’il se concentrait très fort. Sheppard essaya cette méthode : il pensa à multiplier ses forces tout en appuyant en même temps sur la touche lumineuse. Soudain, cinq ou six Sheppard apparurent sur la surface au lieu d’accroître sa force : il avait créer de nouveaux hologrammes de lui. Ronon était déstabilisé il voyait partout des Raider. Le Sheppard proche de Mckay se tourna vers lui :
Hologramme de Sheppard : Qu’est-ce qui se passe encore ?
Hermiod : Ce doit être une fonction ancienne mais comme je l’ai déjà dit ma connaissance de ce jeu est limité mais je vous conseille de profiter de cet avantage tant qu’il dure.
Ronon se jeta sur un Sheppard mais il le traversa puisque il n’était pas tangible. A l’inverse, deux Sheppard agrippèrent Ronon sans problème, lui arrachèrent son épée et le tinrent solidement tandis que le vrai Sheppard s’approcha. Il prit l’épée la lui montra et puis la jeta loin de lui.
Le gouverneur : Arrêtez ce jeu immédiatement vous violez les lois de la citée en les faisant combattre contre leur volonté.
Raider : Je n’ai besoin de l’autorisation de personne : c’est moi qui dirige ici!!
Le gouverneur : Votre autorité dans la citée se limite à la sécurité… je vous interdis de tuer qui que ce soit en ces lieux.
Le gouverneur se dirigea vers le panneaux de contrôle devant Raider et le désactiva. Le champs de force et tous les hologrammes disparurent. Raider poussa un cri de fureur et poignarda le gouverneur.
Sheena : Mon dieu !! Raider qu’as tu fais ?!
Ronon regarda vers le balcon et vit son frère. Il se tourna de nouveau vers son adversaire et reconnu le colonel Sheppard.
Raider furieux réajusta l’appareil et lança une salve d’énergie plus puissante venant d’une tour droit sur Ronon. Sheppard s’interposa et malgré le bouclier fut projeté quelques mètres en arrière. Il perdit connaissance.
Sheena saisit une arme et tira sur son frère. Avant de perdre connaissance, il se tourna vers sa sœur le regard stupéfait.
Sheena reprend le contrôle de la situation et ordonne aux gardes d’emmener Raider et qu’il reste sous bonne garde. Ces derniers hésitèrent à obéir mais il était clair que leur commandant avait perdu l’esprit. Le gouverneur fut transporté d’urgence au centre médical.
Sheena libéra tous les prisonniers et le vaisseau terrien.
Mckay : Nous prions entamer des négociations commerciales, je ne suis pas très douée, mais nous pourrions nous apporter réciproquement…
Sheena : Notre cité se suffit à elle-même, elle a répond à des règles qui lui son propre et qui n’a pas d’égale dans l’univers… et en général nous prenons ce que nous voulons : nous ne demandons pas la permission alors je vous conseille de partir le plus rapidement possible !
Mckay : D’accord…je m’en doutais simplement je pourrais dire au Dr Weir que j’avais essayé. Mckay alla aider Ronon à transporter le colonel toujours inconscient.
Il s’arrêta devant sa sœur et lâcha le poids du colonel sur Mckay.
Ronon : Viens avec nous !
Sheena : Wally a échoué dans son rôle et c’est moi qui lui succède.
Je vis ici par choix, c’est ma nouvelle patrie. Tous comme toi j’ai trouvé une nouvelle famille.
Ronon : J’ai perdu la bague de notre père !
Sheena : Il te l’avait donné avant de mourir c’est peut être la raison pour laquelle Wally te déteste autant… va t’en maintenant.
L’enfant que Sheppard et Rodney avaient rencontré quelques heures auparavant se présenta devant Mckay qui- lui- tentait maladroitement de retenir Sheppard.
L’enfant : j’ai vu votre ami se battre avec un grand courage et utiliser la technologie des ancêtres pour se défendre seulement, je trouve cet acte très noble et digne des histoires que l’on me racontait sur les ancêtres.
Mckay : Je vais pas te mentir tous les anciens sont mort il y a bien longtemps
L’enfant : Vous n’en savais rien !
Mckay : Peut-être mais je sais que si ce message pouvait nous aider à combattre les Wraiths, les anciens accepteraient que tu nous le confie.
L’enfant : Si mon père était encore là il saurait quoi faire cette décision est trop lourde à porter.
Mckay : Ce message ne vous sert à rien ici et vous pouvait continuer à vivre de milliers d’année avant de rencontrer quelqu’un qui possède le gêne ancien ou avant que ce vaisseau ne soit détruit.
Le colonel John se réveilla à l’infirmerie entouré de Teyla, Ronon, du docteur qui s’était occupé de lui la première fois.
Avant qu’il ne prononce un mot il entendit la voix du colonel Caldwell :
Caldwell ( par l’interphone) : Alors, comment vont nos invités ?
Sheppard : Bien, je crois ! j’ai une sensation de déjà vu.
A sa gauche, le rideau est toujours tiré comme la première fois.
Ronon : Vous n’avez pas rêvé, tout était réel et nous revoilà à la case départ
Mckay sortit de derrière le rideau, la couleur bleu et les cloques de sa peau avait disparu.
Avant que Sheppard ne demande comment !
Mckay : J’ai pris une douche tous simplement ! moi, astronome et spécialiste en relativité, j’ai trouvée une solution simple à un problème où tous les médecins bardé de diplôme ce sont cassé les dents
Le médecin : C’est ça pavoisé vous êtes le plus fort maintenant où avez-vous mis les échantillons.
Le médecin : Oui, mais où ?
Mckay : Je crois que je les ai balancé dans les conduits d’évacuation !!
Le médecin : Quoi !!
Mckay ( souriant): Du calme, Je les ai mis dans le bac que vous m’avez donné pour la douche
Sheppard : …Et pour…
Ronon (triste): Raider ne fera plus de mal à personne ils sont repartit comme ils sont venu.
Mckay : Ils nous ont carrément jeté dehors,
Teyla : Bien sûr, une vrai promenade de santé
Sheppard : Et pour…
Mckay : … La boite noire, ce message est en réalité la boite noire d’un vaisseau explorateur. Une majeur partie des informations est crypté mais arrivé à la cité j’espère pouvoir le faire craquer.
Sheppard voulu répondre mais Ronon le coupa.
Ronon : pourquoi pas maintenant !
Mckay : Parce que vous vous souvenait que je vous ai parler de Radek qui attendait un collègue scientifique et que c’est pour cela qu’il avait calculé le temps que prendrait le Dédale pour rejoindre Atlantis
A cet instant, une ravissante jeune femme arriva à la porte de l’infirmerie
Elle avait un jolie accent tchécoslovaque.
Mckay sourit et salua tous le monde de la main avant de rejoindre sa nouvelle amie.
Sheppard (fronçant les sourcils) :Combien de temps est-ce qu j’ai dormi
Teyla et Ronon sourirent et saluèrent John avant de quitter l’infirmerie.
Sheppard préféra rester là pour dormir encore au moins jusqu’à ce qu’ils arrivent sur Atlantis. Ils avaient vécu tellement de chose en si peu de temps
qu’il ne pouvait réfléchire clairement. En tout cas, c’était un miracle qu’ils s’en soient sortir sans trop de dégât, à part pour Ronon. Quoique, John avait quelques questions encore sur tous ce qui leur était arrivé mais il savait aucun de ses amis ne pouvait y répondre. Peut être qu’il reverra cette citée babylonienne…
Fin
fanfic babylon 1er fanfic
Re: fanfic babylon 1er fanfic
Peut-être un peu... comment dire... court ?
- Mac kay4
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Re: fanfic babylon 1er fanfic
Oue ,ses trop court
,mais ses bien , continue et tu vas progresse. 


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PAROLE DE PRECHEUR
Je n'est honte de rien, je suis comme je suis et l'autodérision est ma devise
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Re: fanfic babylon 1er fanfic
Bonne idée. Mais un peu trop court. Tu pourrais plus développer et faire plus de chapitres.
Sur le message, de son utilité ...
Sur la description et le vaisseau, comment il l'ont "fait", comment se sont-il emparé du vaisseau ruche, comment ils l'ont adaptés, son organisation ?
On sait que la cité est 'indépendante du vaisseau mais pourquoi ? comment ?
Voilà quoi, sinon, bonne continuation ... et persévère.
Tu as déjà une bonne écriture, ce qui n'est (crois-moi !) pas l'apanage de tous.
Sur le message, de son utilité ...
Sur la description et le vaisseau, comment il l'ont "fait", comment se sont-il emparé du vaisseau ruche, comment ils l'ont adaptés, son organisation ?
On sait que la cité est 'indépendante du vaisseau mais pourquoi ? comment ?
Voilà quoi, sinon, bonne continuation ... et persévère.
Tu as déjà une bonne écriture, ce qui n'est (crois-moi !) pas l'apanage de tous.
Dernière modification par Earth99 le 23 nov. 2006, 13:50, modifié 1 fois.
"Si nous étions seuls dans l'univers,
Ce serai un beau gachis d'éspace."
"La vérité est ailleurs".
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