Désolé la suite n'est pas encore toute prete, j'ai vraiment trop de boss en ce moment je sui overbooké " et il y en a qui dise qu'a la fac on boss pas" mdr
Mais surtout ne vous inquiétéz pas il y aura une suite ... a bientot.
Je viens de m'y remmettre, le chapitre 13 est quasiment terminé, on approche de la fin d fanfic parailleur quoique, bref le fait est que je ne m'étais pas replongé dedans depuis les vacances donc dur dur de s'y remettre mais c'est reparti la suite pendant les vacances et peut etre la fin par ailleurs, a moins que mes doigts me disent le contraire et ne s'arretent plus lol
"Deux choses sont infinies: l'univers et la bêtise humaine,
mais en ce qui concerne l'univers
je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue."
(Albert Einstein)
Résumé : La Terre après la destruction du SGC aux Etats-Unis, s’est doté d’un nouveau programme, mais cette fois-ci international. Woolsey en est un des principaux régisseurs, il a été nommé par la majorité des pays pour représenter et gérer ce programme. Quoiqu’il en soit, ses décisions ne sont pas acceptées par tous, notamment par Weir qui compte bien mettre son grain de sable dans ces affaires, afin d’éviter une démilitarisation totale de Pégase. Par ailleurs dans Pégase l’attente se fait longue, la station est prête mais elle ne peut venir dans la voie Lactée pour le moment sous peine de faire échouer le plan. Toutefois la découverte d’une citée sur Terre leur a permis de s’occuper un peu. De plus une expédition dirigée par Lorne a été envoyée dans le but de trouver et réactiver cette cité, bien évidement sans que le SGCI ne s’en aperçoive. Quant à O’Neill, il est parti pour exécuter sa mission avec l’aide de Ronon et Emmerson à bord d’un croiseur ancien, ils prirent la direction de Dakkara, mais une fois sorti d’hyperespace ils se retrouvèrent en plein dans une bataille qui opposent les Jaffas aux Oriis.
« -Bouclier à 85% général O’Neill dit Ronon qui ne semblait pas inquiet.
Soudain l’alarme du vaisseau s’activa, 9 vaisseaux s’apprêtaient à leur tirer dessus simultanément.
-Général le croiseur ne tiendra pas, les boucliers lâcheront dit Emmerson de vive voix.
Les vaisseaux Oriis venaient de tirer, les rayons se dirigeaient tout droit vers le croiseur… »
Le général O’Neill eu alors d’incroyable réflexe et heureusement pour eux le vaisseau ancien est très rapide et maniable. En effet O’Neill pris très vite les commandes du croiseur, il fit alors piquer le croiseur à une vitesse en direction de la planète, si bien que les tirent se heurtèrent violement créant une puissante onde de choc.
-Général bouclier à 65% nous ne pouvons rester ici plus longtemps, de plus on perd un temps précieux dit Ronon qui avait quand même eu quelques frayeur sur se coup là.
-Je sais, mais atterrir tout de suite serait du suicide surtout que les Oriis nous ont repéré dit O’Neill en fronçant les sourcils.
Jack était en train de réfléchir pour trouver un moyen sûr pour atteindre la cité.
-J’ai une idée, Emmerson vous prendrez le contrôle du vaisseau, pendant ce temps Ronon et moi nous nous téléporterons sur la planète, et vous colonel Emmerson vous passerez aussitôt en hyperespace vers n’importe qu’elle direction, du moment que vous vous éloigné dit Jack.
-Très bien général compté sur moi, je ne resterais pas trop dans les parages répondit Emmerson.
Alors que le croiseurs venait de recevoir 2 autres tirs de vaisseaux Oriis se qui produisit de nombreuses gerbes d’étincelles, O’Neill et Ronon se téléportèrent à l’entrée du temple de Dakara. Comme prévu Emmerson se dégagea du champ de bataille et passa illico en hyperespace. O’Neill et Ronon se retrouvèrent dans une foule complètement paniquée, les Oriis étaient sur le point de pénétrer dans la cité. Leur première préoccupation était de retrouver Teal’c qui n’était pas très loin par ailleurs, car Ronon le reconnut tout de suite.
-Teal’c comment allez-vous demanda O’Neill
-Bien, venez vite, suivez moi dit Teal’c quelque peu paniqué lui aussi, se qui ne rassura pas trop O’Neill.
Ils marchèrent un moment avant de se retrouver dans une grand pièce, ou ils y avaient de nombreux réfugiés. Teal’c se retourna alors vers Ronon et O’Neill.
-Ils i a quelque heures nous venons de perde une gigantesque bataille qui opposait des milliers de jaffas à des milliers de soldats Oriis. Se fut un véritable massacre et ils ne vont pas tarder à forcer les portes de la cité dit Teal’c.
-Oh ! La sa ne s’annonce pas bien alors, et je ne pense pas que la flotte Jaffas tiendra encore longtemps dit O’Neill.
-C’est bien vrai, à se qu’on en a vu ils étaient en train de se faire complètement détruire par la flotte Oriis rajouta Ronon.
-Vous devez donc partir, il serait trop dangereux pour vous de rester ici dit Teal’c.
-Nous ne pouvons pas partir, en fait je dois voir la chef de cette armée dit O’Neill.
-O’Neill aucun Jaffa n’a encor pu s’approcher d’Adria sans se faire tuer répondit Teal’c.
-Eh bien il va bien falloir et crois moi, on aura son attention, elle sait lire dans les pensées, je lui montrerais un aperçu de la flotte ennemie qui s’apprête à entrer dans la galaxie dit O’Neil sereinement.
Soudain une puissante explosa fit trembler toute l’infrastructure du temple. O’Neill, Ronon et Teal’c se dirigèrent vers la sorti pour voir se qu’il s’était passé. Et se qu’ils voyaient était impressionnant, les vaisseaux Oriis devaient tirer de l’espace car une pluie de rayon jaune s’abattait sur la cité.
-La flotte a du être détruite dit Ronon en regardant Teal’c.
Mais Teal’c ne répondit pas, les maisons se faisaient totalement désintégrer sous l’assaut des vaisseaux Oris. Teal’c réagit seulement au bout de quelques minutes, la situation devenait un peu trop dangereuse, il guida O’Neill et Ronon dans les sous sol de la cité qui eux tenaient le coup. Les vaisseaux ennemis perdirent de l’altitude, ils comptaient atterrir, la voie étant désormais libre.
Autant dire que la situation pour la nation Jaffas était désespérer, car en plus d’avoir subit de nombreuses défaites, la nation n’avait plus de chef, la rendant ainsi instable, mais surtout chaotique. En attendant Teal’c engagea la conversation.
-Nous sommes pris au piège ici, nous ne pouvons plus sortir, toutes les issues sont détruite dit Teal’c toujours soft.
-Et bien voyons le coté des choses nous sommes toujours vivant dit Ronon d’une voix grave mais sereine.
-En effet, mais je n’est plus aucun espoir pour mon peuple et notamment de sa survie, les Oriis son bien trop puissant dit Teal’c en baissant la tête.
-Ne vous laissé pas avoir, il y a toujours de l’espoir dit Ronon.
Ce dernier lui raconta se qu’il s’était passée sur Sateda sa planète natal, et lui raconta donc la destruction totale de celle-ci, et que pourtant à l’heur qu’il est il y a de l’espoir car les Wraiths ne sont plus dans la même position de force qu’il y a quelques années. Ronon rassura donc Teal’c.
-Les Oris sont comme tous les ennemis, ils sont destinés à être battu et détruit dit Ronon en posant sa main droite sur l’épaule gauche de Teal’c.
-Tu sembles vraiment sage et vu se que tu a vécu je te comprend, et suis près à te fais confiance Ronon dit Teal’c en faisant un signe de tête.
-Si je suis venu dans cette galaxie, c’est pour détruire mes ennemis, mais il se trouve que nous pouvons faire d’une pierre deux coup Teal’c, alors ne perdons pas espoir, la plus grande guerre qu’est connu cette galaxie est sur le point d’éclater, alors si nous voulons survivre il va falloir se battre dit Ronon, lui qui n’avait pas l’habitude de parler autant. La situation lui rappelait tant le siège de Sateda qu’il pouvait lui-même ressentir se que ressentais tous les Jaffas encore vivant.
Pendant ce temps O’Neill en avait profité pour chercher les mots qui allaient convaincre Adria d’une menace potentielle pour les Oris.
A l’extérieur une bataille faisait rage, le dernier bastion Jaffa se battait pour défendre l’unique entrée du temple. En effet les armées Oris s’étaient dirigé vers la cité maintenant totalement détruite par l’attaque des vaisseaux mères, des centaines et des centaines de soldat ennemis entraient, les Jaffas malgré leur courage exemplaire dans toutes les batailles qui ont précédé celle-ci sont destiné à perdre. Teal’c qui fut très rapidement mis au fait de la situation décida de se joindre au sien pour défendre l’entrée, malgré les contre indication d’O’neill. Par ailleurs Ronon, décida de se joindre à la cause Jaffa, comme il le disait «plutôt mourir au combat »
Malheureusement, les soldats ennemis arrivèrent sans difficulté à entrer dans le temple
-Attention Teal’c derrière toi hurla Ronon.
Ce dernier voyant que Teal’c ne pouvait s’occuper des 3 soldats Oris, se jeta sur ces dernier pour en faire de la chair à pâté. Croyez moi au final, il ne restait pas grands choses des soldats à ramasser ne serait se qu’a la petite cuillère. Mais malgré un long combat acharné, tout le temple du se rendre aux Oris.
-Bien, voila nous y sommes dit O’Neill qui veniat de rejoindre Ronon et Teal’c tous deux en compagnie de soldats Oris.
Ces derniers jours accumulèrent les plus grandes défaites que les Jaffas eu connu dans toute leur existence mais aussi dans l’histoire. L’espoir semble complètement disparu pour cette grande nation, qui se voit désormais à genoux en train de prier les Oris.
Les vaisseaux mères se posèrent déversant une nouvelle fois une flopés de soldats Oris bien décidé à suivre la voie d’origine et de détruire tous ceux qui s’y opposent. Adria la chef de la légion descendit d’un des vaisseaux pour se diriger vers l’entrée du temple, enfin ce qu’il en restait. Sur son chemin elle regardait tous ceux qui désormais étaient prisonniers, ils étaient à genoux, et bien que son visage ne refléta aucune expression, elle jubilait en elle de voir son plan se réaliser comme elle le souhaitait. Elle pressa le pas et entra dans le temple en regardant les vestiges de l’arme que les anciens avaient laissés derrière eux. Soudain un garde venu pour lui annoncer qu’un des prisonniers souhaitait lui parler. Un chef normale n’aurait sûrement pas accepté pensant que c’était tout simplement une façon de s’approcher pour le tué, mais Adria possédait des pouvoirs psychique et elle sentait que se qu’on devait lui annoncer était important et pour la première fois elle fronça les sourcils, elle était pour la première fois inquiète, mais elle s’en doutait car au fond d’elle elle pensait bien que cette croisade c’était trop bien déroulé jusqu'à présent. Peu de temps suivirent avant que O’Neill n’arrive à la hauteur d’Adria en compagnie de 4 soldats et un prêcheur.
-Adria c’est bien ça demanda O’Neill d’une façon plutôt désinvolte il faut bien avoué.
-En effet, très … perspicace de votre part …Général O’Neill dit elle en souriant quelque peu.
-N’est pas ! Bref je vois que vous connaissez mon nom, mais votre mère m’avait informé de vos … pouvoirs psychique dit O’Neill en la fixant droit dans les yeux.
-Ma mère va –t-elle bien ? demanda t-elle.
-A vrai dire cela fait bien longtemps que je n’est pas eu de nouvelle d’elle, mais la dernière fois que je l’ai aperçu elle se portait bien, mais si je suis venu ici se n’est pas pour parler famille Dit jack qui cette fois ci ne plaisantait plus.
- … En effet vos pensées bien que chaotique sont troublante je doit dire, nous devons parler, suivez moi dit Adria d’un ton sec.
O’Neill la suivit, il regarda alors Teal’c et Ronon et leur fit un clin d’œil qui était sensé les rassuré, mais se ne fut pas vraiment le cas, mais désormais les dès étaient jetés.
Pendant ce temps au SGCI, la tension était palpable, Woolsey était bien décidé à démilitariser la totalité du projet, bien que l’annonce faite par Weir eu un fort impact sur les représentants des Pays.
-Dr. Weir vous avez dit vous-même que les Wraiths étaient sur le point de rallier notre galaxie, alors il est d’autant plus important de rapatrier toutes nos forces militaires de Pégase dit Woolsey en regardant Weir d’un air malsain.
-Certes je conçois que les forces militaires seront bien plus utiles ici que dans Pégase, mais ne vous est-il pas venu à l’esprit que le projet fonctionnait uniquement parce qu’il était composé de 80% de militaire depuis ces derniers mois ! Et sans militaire la défense des infrastructures anciennes ne se feront pas toutes seules par ailleurs ! dit Weir dépité par les propos que Woolsey entretenait déjà depuis 1h30.
Le conseil international s’était de nouveau réuni autour des deux interlocuteurs écoutant à tour de rôle les cascades d’arguments, autant chez l’un que chez l’autre. Mais après 2h30 de discussions mouvementées Weir décida de passer le cap supérieur, car il fallait en finir une fois pour toute avec ce Woolsey qui n’en fait qu’a sa tête.
- Bien, écoutez-moi attentivement Mr. Woolsey, je vais être franche avec vous. Les Wraiths vont arriver dans cette galaxie dans très peu de temps comme vous le savez, et c’est en partie de notre faute … Dit Weir qui fut interrompu par Woolsey.
-Oh ! Mais crois moi docteur Weir je ne veux que le bien de la mission Atlantis alors quoique vous disiez je ne changerais pas d’avis sur cette démilitarisation dit Woolsey qui commençait sérieusement énerver Weir.
-Bien, après tout ce n’est pas vous que j’ai à convaincre mais le conseil international dit Weir, son regard fit le tour de la table pour attirer encore plus l’attention sur elle, mais vu les circonstances ce n’était pas la peine.
-Et bien faites donc répliqua sèchement Woolsey.
Weir se leva de l’immense siège en cuir noir sur lequel elle était assise depuis des heures. Elle paraissait encore plus impressionnante, mais l’expression sur son visage résumait extrêmement bien la gravité de la situation.
Elle passa alors ses deux mains dans ces cheveux, l’heure était aux révélations.
-Bien, comme vous le savez les Wraiths arrivent et les Oriis sont déjà ici, Le fait est que nous avons déjà préparé une sorte de plan pour les arrêter.
Des regards s’échangèrent entre les représentants, et Woolsey fronça les sourcils.
-Thor est venu nous prévenir de l’attaque des Oriis il y a quelques semaines alors que nous étions attaqués par les Wraiths sur Atlantis. Puis lorsque nous avons appris après leur départ et en plus qu’ils se dirigeaient ici vers la Terre nous avons tenté de trouver une solution, qui est la suivante dit Weir en faisant une courte pause. L’armada des anciens même au complet ne serait pas capable de détruire tout ces vaisseaux Oriis, par conséquent le but du plan est de laisser les Wraiths arriver dans la voie Lactée.
-Quoi ! Vous vous rendez compte du risque que vous prenez répliqua Woolsey complètement abasourdis par se qu’il venait d’entendre.
-Oui c’est risqué j’en conviens mais les Oriis sont à nos portes et vous êtes toujours incapable de trouver une solution pour les détruire, par ailleurs l’arme des anciens n’est toujours pas en notre possession. Il est temps d’agir, nous connaissons les coordonnées du lieu de ralliement des Wraiths dans cette galaxie et surtout quand ils vont arriver, alors il suffit juste que les Oriis soient à cet endroit et au même moment Dit Weir en scrutant l’ensemble du conseil.
-Ma parole vous êtes tous devenu complètement fous s’égosilla Woolsey. Comment comptez convaincre les Oriis de se trouver à un endroit précis sans qu’il sente le piège ?
-Oh ! Et bien désormais tout est entre les mains de O’neill dit Weir.
-Mais que voulez vous dire fit Woolsey qui commençait à être complètement dépassé par les évènements à vrai dire.
-il se trouve que O’neill est en ce moment sur Dakkara pour régler la question, et pour être franche je ne sais pas comment il va se débrouiller, mais une chose est sur faisons lui confiance dit elle en regardant tout le monde.
-Vous voulez dire qu’une mission est en cours et ce sans notre autorisation dit Woolsey.
-Et en plus pour une mission qui semble être suicidaire rajouta le représentant Anglais.
Weir fut prise par surprise car elle pensait que le conseil lui ferait confiance.
-Ecoutez moi tous, êtes vous pour la pais dans cette galaxie oui ou non ? demanda t-elle d’un ton sec. Vous n’avez pas trouvez ne serait se qu’une solution pour détruire la menace Oriis et la seule chose que vous êtes capable de dire quand on trouve un plan c’est qu’il est suicidaire ! J’avoue que l’on à organisé ça derrière votre dos, pour la simple et bonne raison c’est que vous n’auriez jamais accepté ce plan, mais sachez que pour le moment nous n’avons que cette opportunité qui s’offre à nous, alors soit vous êtes d’accord avec ces opérations ou soit vous ne l’êtes pas et dans ce cas là je crois que vous aller vous démerder tout seul dit Weir en s’énervant face à Woolsey et au conseil.
Le silence s’était alors abattus dans la salle de conseil, alors que certain baissait les yeux d’autre regardait Weir d’un air admiratif dans le sens ou ils étaient d’accord avec se qu’elle disait.
-Dr. Weir j’espère que vous mesuré vos propos que car a l’heure actuel je vous retire de la mission Atlantis, j’interprète tout ceci comme de la trahison, vous ne pouvez agir de la sorte dans le dos du comité internationale, vous n’avez même pas idée de l’erreur que vous venez de faire en nous avouant l’ensemble des actions que vous avez revendiqué et approuvé vous-même dit Woolsey en regardant Weir de sorte qu’elle comprenne que son futur ne sonnait pas très bon pour elle.
Les représentants se retournèrent alors vers Woolsey, les propos qu’il venait d’émettre eu ‘effet d’un marteau sur l’ensemble du corps internationale.
-Mr. Woolsey je conviens que vous ayez le pouvoir d’agir ainsi et ce uniquement parce que vous avez reçu l’approbation du comité internationale mais il me semble que vous aller trop loin dit le représentant français.
-Ah ! Oui vous pensez et vous savez aussi que je peux aussi demander à ce que certain représentant soit remplacé en cas de gros litiges répliqua Woolsey.
-Certes mais j’ai également lu qu’en cas d’abus de pouvoir du président du conseil, le conseil est en mesure de le destituer et ce à l’unanimité non ? dit Weir en souriant du coin des lèvres.
Woolsey ne rigolait plus désormais car il savait ou Weir voulait en venir.
-Eh bien, je vois que vous souhaitez en venir à de telles extrémités Dr. Weir et bien qu’attendez-vous pour faire appliquer cet article dit il de façon plutôt ironique. Vous savez comme moi qu’il vous sera impossible d’obtenir l’unanimité, vous n’avez certainement pas convaincu tous les membres du conseil.
-En effet mais en attendons une fois la procédure lancée vous n’avez plus aucune marche de main d’œuvre. Il y eu un silence même Woolsey ne répliqua pas. Par conséquent je vais demander à main levée combien souhaiterais une destitution du président du conseil sachant que seul 50% suffise pour mettre en route cette procédure !
Les mains commencèrent à se lever doucement, Woolsey n’osait même pas regarder et il avait bien raison car presque les ¾ du conseil avait levé la main, toutefois il voulu rajouté quelque chose.
-Vous n’êtes absolument pas conscient de se que vous venez de faire croyez moi je ne laisserais pas cette femme saborder le SGCI, son plan est ridicule, voyons il ne peut pas fonctionner dit Woolsey en regardant à tour de rôle les membres.
-Je crois Mr. Woolsey que vous êtes quelqu’un d’irascible et d’inflexible et c’est certainement pas avec quelqu’un comme vous que l’on va faire avancer les choses dit le représentant français Nous verrons le résultat, mais en attendant toutes les missions en cour vont être gelées, et nous devons prévenir nos chefs d’Etats respectifs pour leur exposer la situation.
Tous les autres firent un signe de la tête pour montrer leur approbation. Le Dr. Weir quant à elle jubilait, maintenant que la démilitarisation était annulée, elle réfléchissait déjà à des stratégies qui conduiront à la chute de Woolsey, elle sait que pour ça il va falloir convaincre l’unanimité du conseil et se n’est pas encore gagné ...
Dernière modification par Mik le 25 déc. 2006, 18:59, modifié 1 fois.
"Deux choses sont infinies: l'univers et la bêtise humaine,
mais en ce qui concerne l'univers
je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue."
(Albert Einstein)
Précédemment dans « la place Forte » : La situation au SGCI n’est pas si catastrophique que ça, Weir a réussi à mettre Woolsey sur un pied d’estale. Par conséquent Weir va devoir mettre les bouchers doubles pour l’achever pour ainsi dire. O’neill est quand à lui aux mains de la ravissante mais diabolique Adria en quête de réponse car elle sent bien que quelque chose se trame, mais quoi ? Quand à Lorne il fait toujours route en direction de la Terre à bord d’un croiseur ancien équipé comme le Titan de 3 Eppz, dont un était destiné à booster le vaisseau jusqu'à son arrivé sur Terre, d’où ils réactiveront les installations anciennes.
-Dr. Jean pouvez vous me dire ou se trouve exactement cette cité demanda Lorne qui venait juste de se rassoir sur le fauteuil destiné au commandant.
-Oh ! Appelez moi Liz major Lorne, et il nous faut aller en antarctique. Et oui je sais encore cet endroit, mais il faudrait analyser tout le site, car avec toutes les installations anciennes dans cette zone, tout laisse croire que les anciens s’étaient établis un moment sur ce continent dit Liz d’une seule traite.
-Et bien … Liz je vous remercie dit Lorne en la regardant en train de se baisser car elle avait fait tomber sont crayon … euh ! Et sinon dans combien allons nous arriver demanda t-il en « reprenant » ses esprits.
-Et dans quelques minutes, à vrai dire 16 minutes pour être plus précise.
-Ok merci, par ailleurs le Titan nous à contacté et apparemment la situation est tendue sur Terre donc, restons les plus discrets possible et mettons le cap sur la cité dès notre sorti d’hyperespace.
Le croiseur sorti d’hyperespace naturellement et plongea aussitôt en direction de la cité, bien évidement ils avaient brouillé leur arrivé, les vaisseaux anciens ne peuvent pas s’occulter mais ils peuvent tout de même devenir furtif. Sa descente fut très rapide, les boucliers furent naturellement nécessaire pour entrer dans l’atmosphère. Puis au bout de quelques secondes un étendu blanche immense s’offrait à l’heure yeux, ils étaient arrivés en antarctique. Par chance la cité était localisé à une centaine de kilomètre de l’avant poste des anciens ; mais surtout à environ 300 km du SGCI qui se trouve sur Bouvet Island qui est une île de l’antarctique et appartenant au norvégien.
-Major Lorne nous approchons de la cité, le seul souci est qu’elle est située à 150 km de profondeur, cela veut dire qu’elle n’est pas sous la glace mais sous la terre dit Liz qui semblait étonné de cette découverte.
-Sous la glace ! A croire que les anciens nous réservent encore beaucoup de surprise. Placez le vaisseau au-dessus de la cité ordonna Lorne
Le croiseur se mit à ralentir et se stoppa au milieu de nulle part dans cette immensité glacé. Les scientifiques présents s’étaient déjà empressé d’analyser l’installation ancienne, Liz venait à l’instant de récolter elle aussi des informations.
-Major il va falloir patienter quelques minutes avant de pouvoir pénétrer dans la cité dit Liz.
Elle fit alors apparaître sur un écran la cité qui ressemblait à Atlantis, toutefois elle était environ deux fois plus petite et ne possédait que trois ailes au lieu des cinq de la cité légendaire. Lorne scrutait l’écran, tout comme beaucoup de scientifique par ailleurs, Liz qui était à coté de la console se retourna vers Lorne.
-Major le vaisseau est en train d’analyser et de calibrer le téléporteur, le champ électromagnétique du noyau terrestre perturbe quelques peu la téléportation qui est tout de même possible ne vous inquiété pas fit remarquer Liz.
-Ok pas de soucis alors, emmené un Eppz avec vous je pense que cela suffira pour le moment, et dès que la téléportation est possible faites le moi savoir.
Et il ne fallut pas très longtemps pour que cette dernière soit réalisable, Une équipe de trente personnes dont dix militaires s’étaient préparé. La téléportation fut alors un succès après que Liz est pianotée sur la console du vaisseau atlante. Ils arrivèrent alors dans la tour qui servait comme sur Atlantis de salle de contrôle, sauf que contrairement à la première arrivée de l’expédition Atlantis, les lumières ne s’allumèrent pas et aucun système ne s’enclenchèrent. Liz contacta aussitôt le vaisseau.
-Major Lorne, je dois dire que cela m’étonne, car tout est éteint ici, je pense que la cité ne possède plus aucune source d’énergie, il va falloir que vous me téléportiez avec l’Eppz dans la salle d’alimentation de la cité, mais cela ne va pas être évident mais ce sera plus rapide que de forcer toutes les portes de la cité une par une dit Liz calmement.
-Aucun problème Liz, j’ai demandé aux scientifiques restant de s’affairer à la tâche dit Lorne.
-Oh ! Et ne tardez pas, il fait au moins 45° ici alors dépêchez-vous quand même je n’est pas envie de d’étouffer ici dit Liz en enlevant sans gilet en laine.
Il fallu environ une demi heure pour tout re-calibrer et ce juste pour téléporter une personne. Autant dire que tout le monde n’a pas forcement apprécié l’attente. Mais Lorne contacta enfin Liz pour lui annoncer que tout était ok pour la téléporter dans la salle d’alimentation de la cité.
-Eh ! bien il n’est pas trop tôt dit Liz d’un ton sarcastique.
Elle fut aussitôt téléporté avec l’Eppz dans ses bras, elle avait au dernier moment pensé à piquer une torche au militaire le plus proche qu’elle alluma dés son arrivé. Elle avança et se retrouva devant le moniteur d’alimentation situé devant le socle contenant trois Eppz complètement vide, ils étaient tous les trois sortis du socle, ce devait être un mécanisme naturel pensa t-elle. Elle enleva le premier Eppz vide qu’elle rencontra, puis elle posa le nouveau sur le socle. A cet instant les lumières s’allumèrent dans la pièce, mais uniquement dans la pièce car le noir dominait encore dans toute la cité. Puis de sa main droite elle appuya dessus et l’Eppz continua de rentrer dans le socle seul. LA cité commença tout doucement à s’éveiller, les lumières de la salle de contrôle s’activèrent ainsi que les commandes. Les scientifiques s’empressaient de pianoter sur les commandes, pendant que Liz revenait à la salle au moyen des téléporteurs de la cité, puis une fois arrivé dans la salle elle réactiva elle-même les communications pour prévenir Lorne de la situation.
-Major la cité est de nouveau sous tension, mais il nous faudra plusieurs heures pour avoir un aperçu de l’état de la cité, et surtout pour réactiver tout les fonctions dont la climatisation dit-elle en regardant méchamment un scientifique barbue qui avait cette tacha à réaliser, mais il ne semblait pas trop y arriver pour le moment.
-Très bien Liz, quand à nous, nous allons faire notre rapport au Titan dit Lorne puis il coupa la communication. J’en profiterais pour prendre des nouvelles du colonel O’neill par la même occasion dit il en marmonnant.
Après la bataille sur Dakkara O’neill avait suivit Adria qui l’avait emmené au milieu de nulle part pour être au final téléporté à bord d’un vaisseau Oriis. Il du traverser une multitude de couloir avant qu’Adria ne le fasse entrer dans une grande salle ou on pouvait voir deux rangé de table. Elle fit signe à O’neill de s’asseoir, chose que ce dernier ne tardât pas à faire, puis elle fit signe au soldat de les laisser tous les deux et elle vint s’asseoir à son tour.
-Eh ! bien je trouve votre déco un peu rustique, si vous voulez je connais quelqu’un qui connais quelqu’un et qui pourrait vous faire un prix sur… dit Jack qui n’eu pas le temps de finir ça phrase.
-Général O’Neill, arrêtez vos enfantillage, si vous êtes ici croyez moi se n’est pour rien, sino vous seriez mort depuis longtemps. Pour une raison que je n’arrive à expliquer, J’ai du mal à lire dans vos pensées et le peu dont j’ai eu accès m’ont paru assez intéressante je dois dire !
-Intéressante ? Ah ! Si vous parlez de la fois ou mon cousin m’a mis mon slip sur la tê… dit Jack qui n’eu encore pas le temps de finir sa phrase.
-Je crois que vous avez assez plaisantez pour aujourd’hui, sois vous me dites se que vous vouliez me dire sois je vous tue rien que par ma pensée.
-Oh ! Tient en parlant de menace, de destruction de planètes, de fins du monde et tout le tatouin, je dois vous annoncer que non ! Les Oriis ne vont plus être les maitres très longtemps dit Jack en fixant Adria dans le blanc des yeux.
-Puis-je savoir pourquoi, car rien ne peut arrêter la parole des Oriis, et surtout rien ne peut empêcher la réussite désormais totale de notre croisa général O’neill alors qu’elle est cette menace qui pourrait hypothétiquement venir nous défier ? demanda t-elle en fixant Jack.
-Je dois avouer que je suis surpris que les Oriis ne les ai pas vu venir. Et bien ma chère Adria une race monstrueuse est sur le point de débarquer dans la voie Lactée et dans un seul but … se nourrir des être humain, vous ceux que vous êtes en train de convertir mais qui d’ici peu vont servir de plats de résistance à une race presque aussi puissante que vous, mais surtout plus nombreuses dit-il en souriant du coin des lèvres.
-Mais voyons les Oriis connaissent tout, il est impossible qu’une armada qui est sur le point d’arriver sois invisible à leur yeux dit-elle, quand soudain elle fut prise de sorte de petite convulsion. Cela étonna quelques peu O’Neill qui ne comprit pas aussitôt se qu’il venait de se passer. Adria reprit ses esprits quelques secondes plus tard et se frotta les yeux avant de se retourner de nouveau vers Jack.
-Eh ! bien il se trouve que vous aviez raison, les Oriis ont localisé votre armada, elle est composée d’environ 120 vaisseaux et ils ont aussi déterminé ou ils allaient s’arrêter ! §N’est donc pas là le merveilleux plan que vous aviez orchestré O’Neill dit elle en regardant O’neill qui n’avait pas bronché d’un cil.
-Ah on ne peut rien vous cacher décidément à vous ! dit Jack en baissant les yeux !
-Le plus troublant dans l’affaire, c’est que malgré leurs règles les anciens ont tout de même tenté de nous cacher ces évènements. Mais ne vous inquiétez pas leur existence est désormais conté ! dit-elle en se levant. Et au fait votre plan va en effet avoir lieu, nous ne pouvons nous permettre à ces créatures de faire du mal à tous nos croyants.
-Bien je ne pensais pas que vous seriez convaincu aussi vite, quand je raconterais à Weir qu’il ne m’a fallu que quelques minutes pour faire ça elle va …
-Au fait je pense que vous aller être très utile maintenant. Je sais que les anciens nous cachent quelque chose, mais je suis sur que je réussirai à trouver tout ce que je veux et ce grâce à vous dit Adria en se levant et en laissant Jack tout seul dans la pièce.
Teal’c et Ronon quand à eux étaient toujours sur Dakkara aux mains des gardes Oriis. Ils avaient par ailleurs fait sortir tout le monde des galeries situés sous l’arme, pour assurer un meilleur contrôle des prisonniers. Teal’c qui avaient de nombreuses ecchymoses s’était assis par terre, le combat l’avait quelque peu fatigué. Bien qu’il avait subit bien pire que ça, l’accumulation de toutes ces défaites en cascade contre les Oriis commençaient à avoir raison de lui. Ronon s’était rapproché de lui et s’était assis par la même occasion voyant que Teal’c n’était pas au meilleur de sa forme.
-Alors ça va dit Ronon de sa voix grave.
-Pour être franc ; pas du tout j’ai combattu tout un tas d’ennemis dans ma vie mais là je me sens complètement impuissant et je sais que notre défaite est inéluctable dit Teal’c en baissant la tête.
Ronon mis un petit moment avant de lui répondre car même si il se souciait de son « nouvel » ami, il était en train d’observer les troupes et recherchait une faille qui leur auraient permis de s’enfuir. En attendant Teal’c était perdu dans ses pensées sans se soucier des soldats Oriis qui maltraitaient femmes et enfants. Ronon se tourna alors vers Teal’c et se pencha discrètement en direction de son oreille.
-Teal’c connaissez vous une adresse de porte des étoiles demanda t-il.
-Pour quelle raison Ronon, de plus nous sommes coincés ici dit Teal’c complètement démoralisé.
-Et bien mon vieux se n’est pas le moment de laisser tomber on à une ouverture par là-bas montra t-il d’un coup de tête. La porte des étoiles est à nous pendant quelques secondes-
Teal’c évalua à son tour la situation et bien qu’il pensa que s’était du suicide il trouva que c’était la seule solution. Se qui aurait pu le retenir se sont tous les prisonniers, mais il savait qu’ils ne seraient pas tué, enfin pas tout de suite, les Oriis essaieront avant de les convertir. C’était le moment ils devaient tous deux agir immédiatement.
-Aller c’est parti dit Ronon.
Ils se levèrent tous les deus tout doucement pour éviter d’attirer l’attention. Ils marchaient lentement en se cachant derrière les prisonniers qui ne faisaient même pas attention à eux, jusqu'à ce qu’un petit groupe de Jaffas s’approcha d’eux.
-Ou allez-vous comme ça chuchota le plus corpulent des 5.
-La porte des étoiles dit Teal’c, suivez nous mais discrètement.
Ils avancèrent tous en direction de la porte, le DHD était gardé par 4 gardes Oriis, mais ils savaient tous qu’ils en viendront à bout assez facilement. Ils s’immobilisèrent quelques secondes, Teal’c leur fit des signes Jaffas qui leur montrait une tactique d’attaque. Puis l’assaut fut lancé très rapidement, les 4 gardes n’eurent pas le temps de réaliser se qu’ils leur arrivaient. Ronon et les autres Jaffas empoignèrent les armes que possédaient les gardes Oriis après les avoir méchamment amochés. Teal’c quant à lui avait déjà commencé à activer la porte, et il ne fallut pas longtemps pour qu’ils se fassent tous remarquer. Enfin la porte s’ouvrit mais déjà des tirs fusaient dans tous les sens et déjà 2 des Jaffas étaient tombés. Teal’c et Ronon dans un dernier effort prirent la direction du vortex pour s’y engouffrer, mais au moment de passer la porte ils s’écrasèrent contre un champ d’énergie qui ressemblait au bouclier de la porte d’Atlantis, mais il était différent. Ils tombèrent tous deux à la renverse, il fallut que quelques secondes à Teal’c pour se relever, Ronon était encore assommé. Teal’c une fois debout se retourna et il comprit à l’instant se qu’il s’était passé. Un prêtre d’une taille immense pointait sont bâton lumineux en direction de la porte générant un bouclier. La porte se referma, Ronon se leva à son tour et s’immobilisa face au prêtre. Ce dernier abaissa son bâton et se mit à réciter des passages du livre des origines, pour finir avec …
-Tout ceux qui oseront se soulever face à la puissance des Oriis, seront anéantis dans les flammes.
Le prête commença à baisser son bâton, et les 3 Jaffas survivant et qui étaient resté à coté du DHD s’enflammèrent littéralement. Puis son regard se porta sur Teal’c et Ronon qui se regardèrent en signe d’adieu. Mais la chance leur sourit aussitôt, car il venait d’être téléporté à bord du croiseur ancien piloté par Emmerson.
-Colonel Emmerson je dois dire que vous tombé à pique dit Ronon en souriant.
-En effet merci beaucoup rajouta Teal’c.
Puis une voix féminine se fit entendre, c’était une communication radio.
-Avez-vous réussi à nous les ramener.
-Oui, enfin il manque juste le général O’neill que nous n’avons pas réussi à localiser colonel Carter répondit Emmerson.
Carter au vue des événements sur Terre, elle avait décidé de rejoindre O’Neill à bord du Gaïa. Cependant il y avait toujours l’armada Oriis au-dessus de Dakkara et les deux vaisseaux se faisaient déjà bombardés de toutes parts. Bien que les boucliers des deux vaisseaux fussent puissants, ils ne pouvaient rester ici bien longtemps. Ils commencèrent tous deux à slalomer pour éviter le plus de tirs possible. Des gerbes d’étincelles affluaient dans les deux vaisseaux.
-Colonel Carter nous devons partir tout de suite, nous viendront chercher O’Neill plus tard.
-Je pense qu’Adria la emmené dans un des vaisseaux rajouta Ronon qui avait briefé Emmerson avec l’aide de Teal’c sur tous les événements passées sur Dakkara depuis leur téléportation.
-Très bien, dégageons vite fait cria t-elle.
Les deux vaisseaux slalomèrent cette fois-ci non pas pour éviter les tirs, mais pour éviter les vaisseaux Oriis qui essaient de leur bloquer la route. Il fallut que quelques secondes pour qu’ils arrivent à se sortir de cette situation et renter en hyperespace en direction de la Terre.
Pendant ce temps Jack était toujours dans l’immense salle de conseil du vaisseau Oriis. Il était seul et cherchait un moyen pour s’éclipser, mais les issus ne couraient pas les rues, enfin les couloirs. Il du attendre environ 2h avant que a porte d’entrée ne s’ouvre pour laisser place à la majestueuse Adria qui s’était changé entre temps. Elle portait une robe d’un bleu saphir qui aurait rendu toutes les femmes jalouses. Sa démarche était impeccable et très habile, se qui la rendait encore plus jolie que jamais. Mais Jack n’oubliais pas que derrière se masque se cachait un monstre, capable d’anéantir toute la galaxie si elle ne se pliait pas à ses désires.
-Général O’Neill nous avons des choses à nous dire dit elle calmement en tournant autour de lui.
-Très bien je vous écoute répondit O’neill qui s’efforçait de bloquer toutes ses pensées.
-Eh ! bien il s trouve que vous avez plus à m’apprendre que vous ne le pensez O’Neill dit-elle d’un ton désinvolte qui laissait paraître une certaine anxiété tout de même. Nous ne savons d’où proviens cette armada et cela est d’autant plus inquiétant car malgré le fait que l’on l’ai découverte, les anciens nous cachent toujours son point de départ.
-Très bien, moi qui avais cru comprendre que les Oriis étaient capable de tout connaître, de tout comprendre et d’être omniscient et bien je dois avouer que je suis déçu.
Adria s’immobilisa alors devant O’Neill et commença à le fixer fortement. Ce dernier compris se qu’elle faisait et tenta de fermer au maximum sont esprit, chose qu’il commençait à avoir l’habitude de faire par ailleurs. Puis au bout d’un moment elle changea d’attitude.
-Vous êtes très fort O’Neill, mais j’ai désormais une autre question à vous poser…
O’Neill la regarda fixement dans l’espoir qu’elle n’est rien trouvée de véritablement important. Puis elle se tourna et lui demanda.
-Général O’Neill ou se trouve la cité des anciens alias … Atlantis.
Des chapitres, des chapitres et encore des chapitres lol, à la base j'avais prévu de faire que 5 chapitres, puis vu le succès du fanfic j'ai décidé de passer à 15, mais je me rend compte que se ne sera pas suffisant pour conclur comme je le souhaite donc, je pense que je vais continuer dans mon trip pendant encore je ne sais trop combien de chapitre.
Sinon merci pour vos petits messages ça fait toujours plaisir et surtout ça motive alors n'hésité pas à me faire des fleurs, car c'est pas tous les jours qu'on m'en fait lol.
Et tu les merites mec ces fleurs, comme tu dis j'espere et j'attends le chapitre 16 avec impatience, sur ceux bonne chance!!!!
et joyeuse fêtes à tous.
Je vais une nouvelle fois te féliciter car c'est vraiment très bien écrit et je vais attendre la suite avec impatience.
"Deux choses sont infinies: l'univers et la bêtise humaine,
mais en ce qui concerne l'univers
je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue."
(Albert Einstein)
on peu dire que c'est un retour en force,je suis toujours aussi fan.
bon ben il ne me reste plus qu'à te souhaiter bonne chance pour la suite,voila, je crois que j'ai tous dit
