CITATION
toujours aussi magnifique. mais dit moi, ta lu les bouquin halo??
Premierement merci pour tous vos messages super sympa.
Deuxiemement pour te repondre deadalus57, je ne connais pas ces livres, je voulais savoir pourquoi tu me demandais ça ? Y aurait-il des similitudes scénaristique ?
Allers salut, et quant à la suite de la fanfic je vais mettre plus de temps pour la finir. Je vais vraiment m'appliquer à l'écriture des derniers chapitres, bye
Suite courant avril , je suis overbooké, par le boulot a la fac, c'est impréssionant donc je ne peut continuer ma fanfic, enfin j'aurai bien un peu de temps mais vu que se sont les derniers chapitres je ne veux pas les bacler, surtout vu l'ampleur de la chose, avec un ultr combat épique, Wraiths vs Oris vs Terre vs Atlantis vs Asguards vs Jaffa + quelques nombreuses autres surprises qui trottent dans ma tête.
Et puis apres j'enchainerais sur le tome 2 qui sortira cet été !
voila les news. De toute façon avant d'enchainer sur les derniers chapitres j'en est un autre tres spéciaux a poster 'chapitre psychologique"
a bientot .
Il était dix huit heure trente environ quand les deux vaisseaux mère anciens quittèrent l’orbite terrestre. L’arrivée de la place forte dans la voie Lactée, avait suscité quelques émois dans le corps scientifique et militaire. Après la bataille, le major Lorne fut mis au courant de la situation actuelle. Bien qu’il eu souhaité participé aux derniers préparatifs de la bataille, Sheppard lui avait ordonné de continuer les recherches sur la nouvelle cité découverte. Il avait en leur possession, le croiseur avec lequel il était venu de la galaxie de Pégase.
Lorne était quelqu’un de plutôt énigmatique, timide et par ailleurs son dossier militaire était clean. Le Dr. Weir l’appréciait, il était très docile, jamais il n’avait remis en cause ses ordres contrairement à Sheppard, bien que ce dernier ce soit un peu calmé. Bref c’était un homme d’honneur qui était respecté et qui se faisait tout de même respecter. Le fait qu’on lui est donné cette petite expédition pour trouver et étudier la nouvelle cité, montrait tout simplement, la confiance que Sheppard lui accordait. C’est pourquoi même si il regrettait de ne pas être avec les autres sur le champ de bataille, il était plus que ravi de posséder plus de responsabilité.
Toutefois il n’était pas la seule personne la plus influente dans cette expédition, il y avait aussi Liz, une remarquable scientifique, qui n’avait d’égale que ça beauté. Elle avait beaucoup de caractère, mais il faut dire qu’en présence de Mc Kay, ce trait devenait presque indispensable. Elle était sûre d’elle et bien que Mc Kay la prenait pour une simple scientifique, elle était très intelligente. Si intelligente qu’elle égalait presque Samantha Carter. Le fait est, qu’elle fut plus que ravie d’être choisi pour partir à la découverte de cette nouvelle cité. Peut être que les connaissances qu’elle contient fera peser la balance de leur côté, contre la guerre entre les Oriis.
Après donc le départ des deux vaisseaux anciens, Lorne se téléporta sur la cité. Cette dernière était désormais alimentée par trois Eppz provenant du Titan. En effet souvenez vous Mc Kay avait fait une erreur en donnant à Lorne deux Eppz vides et un qui allait bientôt l’être.
-Eh ! bien c’est étrange, cette cité ne ressemble pas du tout à Atlantis marmonna Lorne une fois qu’il fut téléporté. Il se trouvait dans la salle de contrôle qui comme sur Atlantis se trouvait sur la tour central qui dominait toute les autres. Sauf que ; l’ambiance n’était absolument pas la même. La décoration était très différente, le design n’était pas conforme à se qu’il avaient vu dans la galaxie de Pégase. La deuxième chose qu’il remarqua se situait dans les couleurs. Couleurs qui tendaient plus vers l’orange que le jaune comme le prétendaient certains scientifiques. Sur Pégase, il était bien connue, que les lumières donnait des tons, bleu vert, voir turquoise, se qui avait l’habitude d’apaiser les esprits en générales. Ici, cet orange était vif, il captait très bien le regard, cela pouvait même être parfois assez déroutant. Lorne du mettre quelques instant avant de s’y habituer, il tournait la tête dans tous les sens, il quadrillait la salle de contrôle, cherchant à relever une possible ressemblance avec Atlantis, mais rien, on aurait même pu penser que cette cité fut construite par une autre race. Soudain il fut sortit de cette torpeur par Liz.
-Major Lorne venez ici je vous en prie.
-J’arrive.
Lorne s’avança lentement, la salle de contrôle était située en hauteur comme sur Atlantis, sauf que pour y accéder, deux chemins était possible. Il y avait ici deux grand escaliers de chaque coté de la salle de contrôle. Lorne prit celui de droite, monta les marche une à une, et vit Liz qui s’impatientait, et il s’en amusa lorsqu’il fit semblant de remettre ses lacets de chaussures en arrivant en haut des marches. Puis il se dirigea vers elle avec un grand sourire, Liz se douta alors de la mauvaise fois de Lorne, mais elle avait l’esprit ouvert, et n’hésitait pas elle-même à faire des blagues et des plaisanteries pour détendre l’atmosphère.
-Vous voilà enfin major Lorne, je suis sur que j’aurai eu le temps de traverser deux fois la galaxie puis de revenir ici avant que vous arriviez ! dit-elle de façon ironique.
Lorne ne rajouta rien, mais il se mit à sourire, puis à rire. Puis il se concentra et demanda à Liz.
-Qu’avez-vous trouvez ici ?
-Oh si vous saviez !! Eh bien je suppose que vous avez remarqué que la cité est assez différente de la déco ancienne que l’on a l’habitude de voir ?
-Oui j’ai vu ça, c’est étrange.
-Et bien nous avons fais quelques recherches, et il se trouve que nous connaissons vraiment mal ces anciens. Aprement en Antarctique il y a plus d’un million d’année, il n’y avait pas qu’Atlantis comme cité, mais environ six. Il semblerait qu’il y avait une puissante et immense cité en son centre, mais je n’est pas trouvé son nom. En tout cas se n’est pas Atlantis car elle est nommée dans un texte un peu plus loin.
-Mais ou sont les autres cités alors ? demanda Lorne qui portais toutes sont attention vers Liz.
-Pour être franche je n’en sais rien, il faudrait peut être des mois de recherche pour les trouver. Sinon je continue ; autour de cette immense cité, il y en avait cinq situé de façon à l’entouré, et l’une d’entre elles était Atlantis. Par ailleurs j’ai scanné l’Antarctique avec la cité, et a part l’avant poste je n’est trouvé aucune autre infrastructure ancienne. Je pense que les anciens fonctionnaient comme les Etats fédéralistes, ou chaque Etat est autonome. Cela expliquerait que les styles des anciens en matière d’art et d’architecture pouvaient différés entre eux.
-Et bien je crois que l’on va avoir de quoi s’occuper pendant notre temps libre. Mais j’ai une autre question qui n’a rien avoir avec tout ceci, mais y a-t-il une porte des étoiles dans cette cité.
-Oui nous en avons trouvé une, nous allions l’amener ici et la remettre en marche.
-Très bien, une fois que se sera fait, nous contacterons Atlantis.
La porte des étoiles n’était pas entreposée bien loin, et personne ne comprenait pourquoi, elle avait été déplacée. Liz la fit téléporter dans la salle de contrôle aussi vite que possible. Malheureusement, ils ne réussirent pas à l’activer. Liz pris alors la place du scientifique qui était devant le DHD. Elle pianota quelques instants, puis elle fronça les sourcils, puis pianota de nouveau sur la console ancienne et ouvrit grand les yeux puis dit :
-Les anciens ont condamné cette porte.
-Ah ! Et pourquoi demanda Lorne, y a-t-il moyen de la débloquer.
-Bien sur, mais je ne sais pas combien de temps je vais mettre, donc allez visiter la cité, je vous appellerais quand j’en aurais terminé avec cette porte.
-Très bien Liz, bon courage dit Lorne. Il se retourna et partit à la découverte des installations anciennes.
Il fallut alors plusieurs heures avant que Liz ne commence à comprendre comment débloquer la porte. Il fallut pianoter, pianoter et encore pianoter sur les claviers anciens. La sueur était visible sur son front, des gouttes d’eau commençaient à perler sur ses tempes. Bien qu’elle venait de comprendre comment les anciens avaient encodé le blocage de la porte, il lui restait encore beaucoup de boulot. Par ailleurs Lorne revint plusieurs fois pour savoir si elle était enfin débloquée, mais la réponse fut constamment négative.
Lorne regarda sa montre, il était deux heure cinq du matin et la porte n’était toujours pas déverrouillé. Il commençait à en avoir assez de piétiner et de visiter cette cité. En plus il n’tétait pas forcement aptes à comprendre toutes les subtilités anciennes qui ornait l’ensemble des salles de la cité. Après tout il n’était que militaire, il avait beau essayé de s’intéresser aux machines bien étrange qu’il découvrait, il s’ennuyait. Au bout du compte Lorne décida de retourner faire un tour dans le croiseur ancien, qui s’était désormais placé en orbite haute, de façon à repérer plus facilement l’ennemi s’il devait de nouveau revenir. Bien qu’il n’y avait rien à faire non plus sur le vaisseau, il s’intéressa au nombreux mouvement que les scientifiques avaient remarqué sur la place du SGCI désormais détruit. Apparemment l’ONU avait envoyé des secours, mais ils ont du se rendre compte assez vite, que dessous les débris, personne n’avaient réussit à survivre, Lorne s’en était de nouveau assurer à l’aide des capteurs du croiseur. Puis il se dirigea vers le siège de pilotage du comandant et s’assis. Au préalable il avait retiré tout l’attirail militaire qu’il portait, cela incluait les armes, les munitions, et il se dévêtit légèrement. Il s’assit donc, pencha sa tête en arrière, se passa les deux mains sur le visage et fermi les paupières. Ses pensées se centrèrent sur une femme et un enfant. La femme devait avoir la trentaine et l’enfant quant à lui ne devait pas avoir plus de cinq ans. Il se voyait s’approcher d‘eux puis les serrer dans ses bras, puis il parla :
-Angelina, que je suis content de te voir, cela fait si longtemps.
-Oui en effet beaucoup trop longtemps. Puis elle le regarda en souriant.
Lorne se tourna alors vers l’enfant.
-Alors !! Comment va le petit Tom ? Vient dans mes bras bout de choux.
Au moment où il allait enter en contact avec l’enfant le paysage changea brutalement. Il était seul, il pleuvait à plein temps, et il ne savait pas ou il était et pourtant d’un autre coté tout lui était familier. Il commença à marcher, d’abord doucement, puis de plus en plus rapidement, et enfin il se mit à courir… il se souvenait.
Des lumières rouges apparurent, puis bleus, pis de nouveau rouge. Lorne courait toujours aussi vite, l’eau coulait de part et d’autre de son visage. Soudain il s’arrêta et fixait la scène devant lui. Il se laissa tomber à genou, se mit à crier, puis à pleurer… il se souvenait.
Une agent de police alla à sa rencontre et le prit dans ces bras. Lorne pleurait toujours, il avait même du mal à rester debout, il tremblait de tout son corps. Puis dans le creux de l’oreille, l’agent de police lui murmura :
-Je suis désolé ! A l’arrivée des secours il était trop tard.
Il se décala alors, et commença à s’approcher. Sur le bas coté gisait deux cadavre métallique, l’un était un camion et l’autre un voiture familiale. En fait on pouvait voir uniquement le capot avant car le reste était coincé sous l’énorme camion. Il s’approcha, doucement et fini par se pencher, il ramassa alors dudy, c’était la peluche de son fils …
-Major Lorne, Major Lorne !!!
Il se réveilla soudainement en sursaut, il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits. Il passa alors ses mains sur ses joues et essuya les larmes qui avaient coulés alors même qu’il dormait. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas rêvé de sa femme et son fils, la douleur qu’il ressentait à chaque fois était énorme. C’est pour cette raison qu’il accepta quelques temps plus tard d’aller sur Atlantis, il fallait qu’il s’éloigne, et partir sur une autre galaxie l’avait bien aidé à oublier…
Celle qui l’avait réveillé était jeune, environ vint cinq ans. Elle le regardait et lui demanda sil il allait bien. Lorne avait tenté de dissimuler vite fait ses larmes, mais elle avait tout vu, mais ne lui demanda pas les causes de celles-ci et ce par politesse
-Major Lorne, le Dr. Jean à réussit à débloquer la porte elle vous attend.
-Très bien merci de m’avoir prévenu, au fait qu’elle heure est t-il ?
-Il va être huit heures Major.
Lorne ne pensait pas avoir dormit autant, mais une chose est sur, c’est qu’il ne s’est pas bien reposé. Il se téléporta donc directement dans la salle de contrôle, non loin de la porte des étoiles. Il marcha vers les escaliers, et arriva derrière Liz, qui commençait à somnoler drôlement.
-Et bien Liz, vous avez passé toute la nuit à débloquer la porte ?
-Oui Major, et de toute façon je n’aurais pas réussit à dormir, mais si cela ne vous dérange pas, je …
-Aller vous reposer sur le croiseur coupa Lorne. Cela vous fera du bien.
Liz le regarda, mais ne dit rien, elle contacta le vaisseau, se plaça non loin de la porte des étoiles et disparut.
Il était désormais en compagnie de trois scientifiques, qu’il reconnaissait parfaitement, il avait joué au poker contre eux, alors qu’il se dirigeait vers la voie Lactée, à la découverte de la cité. Il se tourna vers le plus proche :
-James c’est bien ça ?
-Euh oui répondit le scientifique prit au dépourvu. Il était le plus jeune des trois, il devait avoir le même âge que Lorne.
-Vous me devez un voyage en Egypte si je me souviens bien non ?
James se tourna complètement vers Lorne et s’affaira dans sa chaise.
-Et vous, vous me devez un voyage à Taïwan me semble t-il.
-Euh en effet j’avais complètement oublié dit Lorne en rougissant et en se frottant derrière la tête. Il réfléchit quelques instants, puis dit :
-Se serait amusant de remettre ça d’ailleurs.
-Oui pourquoi pas, une fois que nous serons de retour sur Atlantis.
-Ok pas de probl… Oh c’est vrai Atlantis !!!
Lorne avait oublié que Liz avait débloqué la porte. Il s’approcha du DHD, qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à celui d’Atlantis. Il commença donc à composer l’adresse, la porte s’activait comme sur Atlantis, elle était digitale. Toutefois il venait tout juste de faire attention, qu’elle était différente. Elle ressemblait plus aux portes de cette galaxie, qu’a celles de Pégase. Elle était d’un gris très clair, elle paraissait plus métallique que toutes les autres. Les symboles qui s’allumaient étaient orange. Soudain la porte s’ouvrit et il ne fit plus guère attention à ces détails.
-Atlantis, ici le Major Lorne, me recevez-vous.
Un petit temps mort eu lieu ou personne ne parla.
-Ici Teyla, nous vous recevons major. Vous nous contactez de la cité ancienne ? demanda t-elle.
-En effet, nous voulions avoir de vos nouvelles et aussi vous mettre au courant des actions en court.
- Allez-y Major, et j’espère que vous avez de bonne nouvelles, surtout en ce qui concerne Elisabeth, car nous n’avons pas de nouvelles depuis l’attaque des Oris sur le SGCI.
-Et bien le Dr. Weir va très bien, Ronon la téléporté à bord du Titan, juste avant la destruction totale de la base.
Ils parlèrent pendant au moins trois quart d’heure, ils avaient du rouvrir un vortex, car au bout de trente hui minute ce dernier se referma. Lorne rompit le contact. La connexion avec Atlantis fut longue : trois quart d’heure et ce pour une simple et bonne raison, ils avaient tout simplement fait télécharger sur Atlantis la base de donnée de cette cité. C’était une mesure de sécurité, au cas où ! Il ne savait plus trop quoi faire désormais. Personne ne lui avait donné d’ordre particulier à part étudier la cité.
Il contacta alors le croiseur, il semblait avoir eu soudainement une idée. Il demanda au responsable du croiseur de lui renvoyer Liz, une fois qu’elle serait réveillée. Il se retourna vers James et lui demanda :
-Dites moi, est ce que cette cité est en état de voler ?
Le couloir était bondé, des soldats se bousculaient, se précipitaient. La pression, et l’atmosphère était lourd, mais dans un sens tout le monde était excité. Puis soudain, elle apparut, le silence se fit, les hommes se calmèrent, non pas par respect mais par peur. Elle emprunta ainsi de nombreux couloirs, la tête haute, le regard fier. Sa robe était d »un vert émeraude, elle était si belle, et pourtant si cruelle. Elle semblait toutefois pressé, elle ne riait pas, on pouvait voir même de la colère sur son visage. Au bout d’un moment elle se tourna vers une porte qui s’ouvrit immédiatement, et entra dans la pièce sans même s’arrêter. Elle s’enfonça encore plus profondément dans cette salle, jusqu'à se qu’elle arrive à la hauteur d’un homme.
-Général O’Neill, avez-vous étudié ma proposition.
-Cher Adria, votre proposition, ne m’intéresse en aucune façon. Et vous pouvez toujours courir, je ne vous laisserais jamais trouvez la cité d’Atlantis.
Adria le regarda d’un air hautain, puis elle commença à tourner lentement autour d’O’Neill tout doucement. Ce dernier sentit après son passage une merveilleuse odeur, il se demanda quel pouvait bien être ce parfum si particulier. Puis il se tourna, Adria se trouvait alors derrière lui.
-Général O’Neill, vous devriez dans votre intérêt, me faire part de cette cité, le mal corrompt le cœur des humains. Je ne puis permettre qu’il le fasse davantage à travers leur héritage.
-Je ne crois pas un seul mot qui sort de votre bouche. Je pense plutôt que vous avez tout simplement peur.
Adria le regarda en fronçant les sourcils.
-Oui, j’ai bien dit peur, cette cité est une épine pour vous, et si vous ne la retirez pas elle risquerait de vous infecter. La technologie qui la compose est capable largement de rivaliser avec celle des Oris. Mais grâce à sa base de données, elle peut aussi nous permettre de créer l’arme capable de vous détruire.
Adria regardait toujours O’Neill, et elle semblait excessivement pensive. Elle s’éloigna puis se rapprocha de lui, ses yeux se mirent tout à coup à scintiller, ils étaient devenus moitié orange et moitié rouge.
-Cette fois ça suffit dit elle avec colère.
Elle s’approcha rapidement de Jack, et plaça ses deux mains sur les cotés de sa tête. Soudain le collier qu’elle portait s’illumina et devint tellement aveuglant que O’Neill du fermer les yeux et ne comprenait pas se qu’il se passait. Mais soudain la lumière disparut et laissa place à un silence total. Adria qui avait les yeux fermés les ouvrit brusquement, O’Neill fut surpris de voir qu’elle semblait toujours en colère, et peut être davantage. Puis soudainement l’expression de son visage, changea littéralement, elle se mit alors à sourire.
-Votre force mentale est impressionnante O’Neill.
-Euh … je dois admettre que je m’étonne moi-même, mais bon j’ai tellement reçu de main dans le crane et patati et patata pour savoir s que j’avais de précieux dans ma caboche que je commence à être roder.
-Seulement voilà, j’ai tenté d’utiliser les pouvoirs des Oris eux même pour creuser dans votre esprit quitte à vous tuer. Mais devinez se que j’ai trouvez ?
-Ah ! Et bien si c’est la fois ou j’ai fait pipi au lit, j’avais des circonstances atténuantes !
-O’Neill, trêve de plaisanterie. Son visage devint alors beaucoup plus sombre. Je crois tout simplement qu’il est impossible qu’un simple humain puisse contrer les pouvoirs des Oris. Il semblerait que vous ne soyez pas seul O’Neill, le mal est derrière vous, alors qu’il était sensé ne pas intervenir dans les affaires des humains.
-Vous voulez dire que les anciens me protègent, qu’ils bloquent mes pensées ?
-Oh ! Que oui, et ils semblent y mettre tout leur cœur.
-Et pourquoi les Oris ne sont pas intervenu à leur tour ? demanda O’Neill.
Adria ne répondit pas, elle se tourna et s’apprêtait à partir, quand O’Neill lui barra le passage.
-Je crois avoir compris. Les Oris ne sont toujours pas assez puissant, c’et pour ça qu’ils n’attaquent pas ! Ils ne se risqueront pas dans ne guerre ouverte, ou la victoire semblerait éphémère.
Adria ne disait toujours rien, elle n’avait même pas essayé de contredire Jack. Puis elle lui demanda :
- Suivez-moi, je vais vous montrer quelque chose.
Ils sortirent alors tous les deux de la salle. Dans le couloir les soldats se prosternaient devant Adria. Jack n’était pas très loin derrière et il trouvait ça vraiment très étrange qu’un si petit bout de femme puisse avoir autant de pouvoir. En attendant il la suivait sans rien dire, en fait il n’osait pas parler, en fait il ne savait pas quoi dire pour enclencher une conversation. En tout cas il se sentait beaucoup plus fort, il savait désormais que les anciens, ou du moins certain anciens avaient enfreins les règes de non intervention.
Ils marchèrent pendant au moins cinq minutes, Jacks eu l’impression d’avoir parcouru la totalité du vaisseau dans sa longueur. Une porte s’ouvrit alors, ils entrèrent dans une petite salle avec un siège en son milieu, c’était la salle de pilotage. Adria se retourna vers O’Neill.
-Regardez juste à temps.
O’Neill regardait à travers la baie vitré, mais ne vit rien, car le vaisseau était en hyperespace. Mais soudain ce dernier en sortit et là le spectacle qui s’offrait à lui était inimaginable.
Au milieu de nulle part dans l’espace, la flotte Oris s’était réunie comme il se devait. Toutefois Jack eu un petit haut le cœur, lorsqu’il compta plus de vaisseaux Oris qu’ils devaient y en avoir.
-Vous pouvez voir O’Neill, que j’ai pris quelques petite précaution. Vu que nous ne connaissons pas la nature de la flotte ennemie, j’ai fait venir des renforts. Nous avons construit une nouvelle porte des étoiles géante, regardez, elle est là-bas.
Elle lui montra du doigt, mais O’Neill ne broncha pas, il était complètement désemparé. Il se douta alors pourquoi les anciens avaient bloqués ses pensées, car même contre la puissante place forte, il n’avait aucune chance de battre une armada telle que celle-ci. Les Oris avaient perdu environ une dizaine de vaisseaux notamment face aux aisseaux mères anciens tels que le Titan et le Poséidon.
-J’ai fais venir l’intégralité de ma flotte, c'est-à-dire que nous voyons ici cent cinq vaisseaux, se qui est amplement suffisant pour vaincre la flotte à venir.
-En effet vous avez une infime chance de gagner désormais, mais je doute que votre victoire soit assurez, fac à nos « alliers »
O’Neill en rajoutait bien évidement, mais il ne pouvait pas s’en empêcher.
Adria posa son regard rapidement sr O’Neill, elle ne savait pas quoi penser de cette armada. Les Oris eux même n’avaient pas réussi à déterminer se qui les attendaient avec cette attaque bien surprenant d’une race qu’il ne connaissait pas et dont leur point d’origine était toujours un mystère.
Adria se tourna face à O’Neill, elle regardait toutefois dans le vide, comme ci elle pensait à autre chose. Puis soudain son collier s’illumina et ses yeux devinrent rouges.
-Il semble O’Neill que votre mort soit proche. D’après les Oris vous êtes une grande menace, et je dois par conséquent y remédier le plus vite possible.
O’Neill surpris recula de quelques pas, Adria ne bougea pas d’un pouce.
-Mais je croyais que vous vouiez mes connaissances ?
-Oh ! J’ai bien peur que nous les ayons jamais, le mal vous protège trop bien, mais quoi qu’ils en soient nous trouveront sans vous s que nous cherchons. Une fois mort, les anciens ne pourront plus rien nous cachés, ainsi Atlantis nous sera dévoilée.
Adria leva sa main et une boule d’énergie orange se forma dans le creux de sa paume. Un rayon d’énergie jaillit alors de sa main pour se diriger vers O’Neill. A sa grande surprise ce dernier ne ressentait rien, il rouvrit les yeux qu’il avait fermés. Adria s’efforçait de le tuer, mais il était protéger par un champ d’énergie. Puis voyant qu’il n’était toujours pas mort, elle leva son autre main et un nouveau rayon partit s’écraser contre le bouclier d’O’Neill. Soudain le collier se mit à luire de plus belle et avec beaucoup plus d’intensité. La puissance des rayons s’amplifièrent, les Oris aidaient Adria. Tout à coup un rayon d’un intense puissante partit du champ de force de O’Neill et percuta Adria de plain fouet, si bien qu’elle fut éjectée à l’autre bout de la salle. Jack était comme un spectateur, il ne faisait rien, mais il se doutait que les anciens étaient derrière tout ça. Adria se releva presque aussitôt, malgré la violence de l’impact, elle ne semblait avoir rien de casser ; O’Neill, se douta que les Oris l’avait protégé. Elle regarda attentivement O’Neill.
-Cela à assez duré, cette fois ci vous ne survivrez pas.
Une aura de feu apparut autour d’Adria, elle emmagasinait de la puissance à travers les Oris. Puis au moment ou elle s’apprêtait à envoyer toute cette accumulation d’énergie, O’Neill fut entouré d’une aura blanche et disparut. Adria s’avança et hurla de colère, ses yeux étaient plus rouge que jamais.
Encore une fois du grand art, si seulement tu pouvais travaillé avec les scenaristes de a serie, elle ne s'en perterait que bien mieux, mais bon l'eternelle to be continued, mais je pensai que tu allai mettre tout les chapitres d'un coup, comme tu l'avais dit précédemment il me semble??* Sinon encoreune fios toutes mes félicitations 19/20 pour ce chapitre 18.
Je suis bien content de ne pas avoir eu à attendre jusqu'en avril ^^
Encore une fois un chef d'oeuvre hors-pair! Mais tu nous laisses encore avec un cliffhanger pas croyable! C'est pas juste!
Pour info et pour que vous ne vous inquiétez pas le final qui sera en plusieurs parties ne sortira pas avant fin avril debut Mai désolé pour cette attente ...
