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Mais il n'y a pas que les prix de gro$oft qui sont discutables. Il y a aussi ce que l'on te répète depuis le début du sujet. C'est à dire que tu es à la merci de gro$oft. Si jamais tu souhaites continuer à utiliser XP par exemple alors que Billou et ses potes ont décidé que tu devais passer à Vista, et bien tu l'as dans le c** (certes, tu peux continuer jusqu'à ce que tu doives reformater ton disque et ensuite essayer de réactiver ton windows). Car cela m'étonnerai que l'activation de XP puisse toujours se faire quand le support de cet OS s'arrêtera. Ils sont pas fous les gars, car leur système d'activation est moins une protection anti-piratage qu'un moyen pour obliger les réfractaires à passer sur leur nouvel OS. Sinon, quand le support s'arrête, tu ne bénéficies plus des mises à jours de sécurité et tu ne peux pas les faire toi-même si tu en es capable car tu n'as pas le droit de toucher au programme puisqu'il est protégé par le copyright. En fait, c'est cela le véritable enjeu du libre. Il faut que l'on puisse avoir un droit de regard sur la moindre parcelle des logiciels que nous utilisons non seulement pour pouvoir palier aux déficiences de l'éditeur, mais aussi pour éviter d'avoir une grosse boîte noir qui pourrait faire pas mal de choses néfastes pour nous sans qu'on le sache.CITATION mais cela me renforce dans le fait que la seule chose qu'on reproche aux logiciels "fermés" (Surtout de Microsoft) d'être chers
Aller, un exemple:
Imagines que l'armée utilise windows pour faire tourner les ordis qui se chargent de la dissuasion nucléaire et que gro$oft décide de mettre une backdoor permettant aux américains de s'introduire dans nos ordinateurs pour empêcher toute action de notre part contre eux. Et bien comme windows est un logiciel propriétaire, il est impossible de virer cette saleté car si jamais des informaticiens bidouillent les softs pour régler le problème et que windows l'apprend, et bien windows peut assigner en justice l'armée et l'état français pour piratage. Bon, bien sûr cela ne se passerai pas comme cela dans la réalité puisque tout serait étouffé, mais cet exemple à le mérite de mettre le doigt sur un des plus gros défauts des logiciels non libres.