Le projet secret

[John.Shep]

Comme je l'ai dit dans la description c'est ma première fic donc n'hésiter pas à poster vos commentaires. J'espère quelle vous plaira et j'ignore encore combien elle comportera de partie. Attention, touts petits spoileurs de la saison 3 d'Atlantis.

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Le projet secret

Partie 1 : Une Nouvelle Quête

Par cette matinée ensoleillée sur Atlantis, John Sheppard arpentait au hasard les couloirs de la Cité, saluant gaiement les gens qu’il croisait. L’idée de se rendre au gymnase pour s’entraîner en compagnie de Teyla ou Ronon lui effleura un instant l’esprit mais une douleur soudaine à l’épaule, consécutive à un précédent entraînement avec le Satédien, le détourna bien vite de cet acte téméraire.

Allons plutôt voir ce que fabrique Rodney, pensa le militaire.

Taquiner le scientifique canadien lui sembla une bien meilleure alternative et surtout bien moins douloureuse. John arbora un large sourire en pensant aux nombreuses et variées façons de le faire enrager. Il fit un léger détour par les laboratoires où il apprit au près d’un Zelenka excédé d’avoir dû à nouveau faire face aux plaintes du docteur Kavanagh, que Rodney se trouvait en salle de contrôle. Mais alors qu’il s’apprêtait à questionner le Tchèque sur le travail du chef scientifique de la Cité, celui-ci s’engouffra dans un téléporteur à proximité pour échapper à un nouvel assaut de Kavanagh qui se contenta de lui jeter un regard noir.

Sans laisser la mauvaise humeur de Kavanagh gâcher sa joie, Sheppard emprunta le téléporteur à son tour pour rallier la salle de la Porte. Alors qu’il avançait d’un pas rapide dans les corridors, il croisa Elisabeth qui s’en allait dans la direction opposée, mais semblait partager sa béatitude d’esprit.

-Bonjour, Elisabeth. Vous allez bien ? questionna-t-il.
-On ne peut mieux, merci. Et vous ? répondit la diplomate.
-Ma foi, oui. Vous savez ce que c’est, je me balade, je profite du beau temps.
-Tant mieux pour vous. Vous alliez en salle de contrôle, non ? questionna-t-elle.
-Exact, l’histoire de voir si tout va bien, dit-il sur un ton peu convaincant.
-Moi qui pensais que vous comptiez me rendre la demi-douzaine de rapports de mission que vous avez en retard, fit-elle malicieusement.
-Vous savez Elisabeth, j’adore discuter avec vous mais…(le militaire fit mine de consulter sa montre), le temps file, j’ai peur de devoir vous laissez.
-Eh, bien, passez une bonne journée, John. (Le jeune femme se remit en marche mais se retourna au bout de quelques mètres pour lancer une dernière réplique au colonel en souriant). Au fait, essayez de ne pas trop embêter Rodney.
-Moi ? s’exclama John avec un air faussement outrée.

Sheppard reprit son chemin en direction de la salle de la Porte. Alors qu’il avait presque atteint sa destination, des cris et des éclats de voix lui parvinrent malgré la porte qui le séparait encore de la pièce. John passa sa main devant le panneau de commande et pénétra dans la salle de contrôle.

-Non, mais c’est pas vrai ! Vous pourriez faire attention, tout de même ! vociféra McKay.
-Oh ! Je suis vraiment désolé, docteur McKay ! s’excusa le pauvre technicien qui subissait les foudres de l’astrophysicien.

Sheppard grimpa les quelques marches qui le séparaient des deux interlocuteurs, et put enfin observer la raison de leur différent : Chuck, le technicien chargé du DHD, tenait une tasse vide tout en regardant, effaré, le docteur Rodney McKay qui arborait une impressionnante tâche marron sur son tee-shirt bleu. Les yeux de ce dernier jetaient des éclairs au jeune homme qui se confondait en excuses, finalement il grommela à l’objet de son courroux de reprendre son poste, et s’affala sur une chaise faisant face à un ordinateur relié à l’une des consoles Anciennes et tout cela sous le regard amusé du lieutenant-colonel.

-Hello, Meredith ! salua John en approchant.
-Il ne manquait plus que ça ! pesta le chef scientifique.
-Pardon, vous disiez ?
-Mais…rien du tout. Que me vaut le bonheur de votre visite, cher collègue ? questionna Rodney ironiquement en faisant pivoter sa chaise en direction du nouvel arrivant.
-Pour être franc, je pensais voler aux secours des pauvres gens qui ont l’immense tâche de vous supportez, répliqua-t-il tout sourire.
-Ah ! Ah ! Ah ! Votre sens de l’humour n’a égal que votre compréhension de la technologie des Anciens.
-Ne dites pas ça. J’étais un élève modèle à l’école, répondit Sheppard.
-C’est vrai ? demanda le Canadien, un instant déconcerté.
-En fait, tout dépend de ce que vous appelez élève modèle mais j’ai quand même été délégué trois fois.
-Je n’ai jamais été délégué. C’est pourtant pas faute d’avoir essayé, fit l’astrophysicien. (Il releva la tête et sembla se plonger dans ses pensées). D’après ma psychologue, ça aurait un rapport avec le fait qu’il m’arrive d’être condescendant.
- Eh, oh ! On se réveille ! (John claqua des doigts devant le visage de McKay qu’il sentait partir à la dérive). Si vous me montriez plutôt ce que vous faîtes, Mer.
-Arrêté de m’appeler comme ça, ordonna Rodney. Elisabeth m’a demandé de regarder dans la base de données des Anciens si il n’y avait pas d’adresses de porte où on pourrait trouver des choses utiles.
-Vous ne comptez pas regarder toutes les adresses ?
-Bien sur que non, répondit le scientifique en levant les yeux au ciel. Il y a plusieurs dizaines de milliers d’adresses dans cette liste. Je ne dois que jeter un coup d’œil.
-Merci, je sais. Je ne suis pas aussi idiot que vous le pensez, répliqua le militaire.
-Tiens, tiens, on dirait que c’est notre jour de chance, j’ai trouvé quelque chose, s’interrompit-il alors qu’une nouvelle réplique cinglante s’apprêtait à franchir sa bouche.
-Qu’est-ce que c’est ? demanda le colonel.

McKay désigna une des nombreuses séries de coordonnées qui s’affichaient sur l’écran de son ordinateur. Sheppard se pencha par dessus l’épaule de son compagnon et put distinguer une légende placée juste en dessous de la ligne de coordonnées : Pas de porte active.

-C’est plutôt étrange que les Anciens aient mentionné une planète n’appartenant pas au réseau de portes, fit John.
-Ils ne voulaient peut-être pas que n’importe qui puisse accéder à ce qui se trouve là-bas, supposa son équipier.
-Possible, approuva John. Dans tous les cas, on ne perds rien à en apprendre plus sur cette planète. Vous avez plus d’infos ?

Rodney double-cliqua sur la série de symboles, une nouvelle fenêtre s’ouvrit ne contenant q’une unique phrase indiquant qu’il s’agissait d’un avant-poste Ancien de recherche sur l’armement.

-Voilà qui est intéressant. Quoi que les Anciens aient développé dans ce labo, ça doit valoir le coup d’aller faire un tour avec le Dédale, s’enthousiasma John.
-Je n’aime pas ça, la dernière fois qu’on avait aussi peu d’information sur une expérience Ancienne, on est tombé sur les Réplicateurs, se plaignit Rodney.
-Allez, nous vous en faîtes pas ! Avec de la chance, nous allons trouvé un avant-poste rempli de jouets que vous et Zelenka pourraient démonter dans tous les sens, fit Sheppard en se dirigeant vers la sortie.
-Où allez-vous ? demanda McKay en criant pour se faire entendre.
-Demander l’autorisation de sortie à Elisabeth ! répondit son interlocuteur.

Le système solaire abritant cette planète qui attirait tant de convoitises n’avait par sa nature, rien de particulier. Sept planètes orbitaient autour d’un soleil jaune comme on pouvait en trouver des milliers à la fois dans notre galaxie et dans la galaxie de Pégase. Trois de ces planètes étaient des géantes gazeuses dont certaines des nombreuses lunes pouvaient concurrencer en matière de masse et de taille notre propre planète tandis que les quatre autres sphères étaient dites planètes telluriques, c’est à dire planète possédant une croûte terrestre. De tous ces mondes, mis à part les lunes-planètes, seul deux pouvaient accueillir la vie mais une seule pouvait permettre la vie telle que nous la connaissons. C’était sur cette boule de roc que autrefois une race que nous nommons les Anciens avaient choisi de miser leur dernier espoir contre un ennemi mortel.

Le vide stellaire sembla soudainement être déchiré de l’intérieur. De cette déchirure aux nuances allant du bleu au violet, jaillit un vaisseau dont la coque grise le camouflait presque dans le noir de l’espace. A bord de ce vaisseau, quatre êtres humains scrutaient la sphère brunâtre pointillée de vert à quelques rares endroits qui constituait leur destination. Quatre êtres humains aux origines différentes mais dont le destin s’était croisé et possédant le même noble objectif : Mettre fin au règne des Wraiths.

[atlantiss]

TA FAnfic commence trés bien on retrouve bien les différents caractères et les différentes réactions des personnages de la série se qui rend ta fanfic assez fidèle à la série ,continus comme sa l'idée de l'avant poste étudiant l'armement est pas mal du tout surtout si tu arrive à en faire quelque chose de bien.

[elaia gurialde]

Elle a l'air vraiment sympas ta fanfic, à la fois pleine de légereté et avec un petit rappel scientifique.
Les dialogues sont riches en verbes d'énonciation (peut-être même trop), ce qui rend leur comprehension plus aisée. Et ça, c'est vraiment un plus.
Par contre, deux petites notes négatives :
- Certaines phrases sont trop longues donc difficiles à suivre.
- De nombreuses fautes d'orthographes. Je sais c'est pas évident à tout corriger. Mais bon, quand on voit "est pénétra" ça nuit un peu au plaisir de lire ta fic.
Non, mais sinon j'aime bien, t'en fais pas

[Istar]

J'aime bien la façon dont tu décris l'univers.

Le système solaire abritant cette planète qui attirait tant de convoitises n’avait par sa nature, rien de particulier. Sept planètes orbitaient autour d’un soleil jaune comme on pouvait en trouver des milliers à la fois dans notre galaxie et dans la galaxie de Pégase. Trois de ces planètes étaient des géantes gazeuses dont certaines des nombreuses lunes pouvaient concurrencer en matière de masse et de taille notre propre planète tandis que les quatre autres sphères étaient dites planètes telluriques, c’est à dire planète possédant une croûte terrestre. De tous ces mondes, mis à part les lunes-planètes, seul deux pouvaient accueillir la vie mais une seul était apte à accueillir la vie telle que nous la connaissons. C’était sur cette boule de roc que autrefois une race que nous nommons les Anciens avaient choisis de miser leur dernier espoir contre un ennemi mortel.

C'est passionnant, je me demande ce qu'il y vont trouver,
j'attands impatiamment la suite.

[John.Shep]

Merci pour vos encouragements. J'ai corrigé la faute signalé par elaia gurialde mais si vous en voyez d'autres, signalez-le svp.

Je ne sais pas exactement quand je posterai la suite, étant donné que je passe le brevet blanc à la rentrée.

[Eddy]

Bravo ta fanfic commence très gbien !
J'ai bien aimé la façon d'on tu décris le système solaire
Bravo, continu

[Eloa]

C'est un très bon début !!!!!

Tu es vraiment fidèle à la série. On retrouve parfaitement les personnages, les dialogues sont très bien construit ce qui fait que ta fic est très agréable à lire.

L'histoire a l'air prometteuse et j'ai vraiment hate de lire la suite.

[Earth99]

Et beh, va pas falloir s'arreter en si bon chemin ...

A bientôt pour la suite.

A ceux qui lisent ce post : rien qu'en lisant le début, je le dis :

FANFIC A SUIVRE.

[John.Shep]

La suite ne devrait pas trop tardé maintenant.

[John.Shep]

Comme promis voici la suite, j'espère qu'elle vous plaira tout autant.

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Partie deux : Un Accueil Chaleureux

-Mettez le cap sur la planète, ordonna Caldwell.
-A vos ordres, mon colonel, répondit Kleinman.

Les mains du jeune homme, installé à droite du commandant du Dédale, se mirent à voler au-dessus des commandes de sa console. Seul une légère vibration et un faible grondement trahirent la mise en marche des moteurs subluminiques. Le bâtiment de guerre se mit en mouvement dans l’immensité spatial pour rejoindre son but.

-C’est bon, on devrait commencer à obtenir des données des détecteurs maintenant, fit Rodney. (Le scientifique avait relié son ordinateur portable à écran tactile aux système informatiques du vaisseau, et examinait les informations fournies par les instruments). Il semblerait que l’atmosphère soit respirable mais la température à la surface dépasse les quarante degrés Celsius.
-Au moins, on n’aura pas à se trimballer des combinaisons environnementales, observa Ronon. Je déteste ces trucs, c’est impossible de bouger là-dedans. (Adossé à l’une des parois de la passerelle, celui s’amusait à faire des moulinets à la John Wayne avec son pistolet comme toujours lorsqu’il s’ennuyait).
-Je suis d’accord avec vous, approuva John. Ces combinaisons sont étouffantes. Mais, arrêtez de jouer avec votre arme, vous allez blesser quelqu’un.

Dex rengaina son pistolet après un dernier moulinet sous le regard amusé de Teyla. McKay examinait toujours les données de la surface tandis que la planète grossissait de plus en plus à travers la verrière blindée du Dédale.

-Mon colonel, nous venons d’entrer en orbite géostationnaire autour de la planète, indiqua Kleinman, interrompant l’échange entre les membres de l’équipe.
-Des signes de vie ? questionna Caldwell.
-Oui mais il ne sont ni humain, ni Wraith. Sûrement des animaux.
-Y a-t-il des signes de l’avant-poste ? redemanda l’officier.
-J’ai deux nouvelles : une bonne et une mauvaise, intervint McKay sur l'habituel ton cinglant qu'il adoptait toujours en cas de contrariété. Laquelle voulez-vous en premier ?
-Que ce passe-t-il, Rodney ? demanda l’Athosienne.
-L’avant-poste est bien là, dans l’hémisphère Nord de la planète, mais malheureusement pour nous, il est entouré d’un bouclier qui bloque toute télépor….

Une violente secousse interrompit l’astrophysicien. Plusieurs consoles explosèrent vomissant composants et étincelles sur le personnel de la passerelle. L’un des terminaux s’embrassa mais un technicien eut la présence d’esprit d’éteindre le foyer d’incendie grâce à un petit extincteur prévu à cette effet. Rodney fut projeté à terre par une secousse plus puissante que les autres et se cogna durement la tête. Teyla se précipita vers le scientifique pour tâter son pouls, elle constata avec soulagement que le cœur de son ami battait encore bien qu’irrégulièrement. La jeune femme entendit le colonel Caldwell ordonnant l’activation des boucliers en hurlant pour couvrir le bruit assourdissant des alarmes. Sheppard était entrain d’éteindre une console éventrée en flammes tandis que son compagnon Satédien tournait le plus vite possible une valve pour stopper la pression d’un tuyau rompu qui diffusait son contenu toxique dans l’air du pont. Les vibrations se firent un peu moins brutales dès que le champ de protection du vaisseau fut levé.

-Activez l’hyperpropulsion ! cria le commandant du Dédale.
-Impossible, monsieur ! Nous avons subi trop de dégâts !
-Les moteurs conventionnels sont en état de marche ?
-Oui ! répondit Kleinman.
-Alors, dégagez-nous de là le plus vite possible ! ordonna son supérieur.

Aussi vite que le lui permettaient ses moteurs endommagés, le Dédale fit demi-tour et commença à s’éloigner de la planète tel un animal blessé poursuivit par un prédateur. Des salves d’énergie destructrice continuaient de quitter la surface de la planète pour aller s’écraser sur les boucliers Asgard de l’appareil. Les impacts commencèrent à perdre en puissance au fur et à mesure que le Dédale s’éloignait de son attaquant avant de finalement cesser. Le lieutenant-colonel Sheppard s’approcha de la console de Kleinman tout en soutenant un technicien qui avait été blesser lors de l’explosion d’un ordinateur, suivit de près par Ronon Dex. Teyla, accroupie, comprimait la blessure ensanglantée que Rodney arborait au crâne.

-Mais que s’est-il passé, bon sang ? ! aboya John.
-Nous avons été toucher par des tirs venant de l’avant-poste Ancien avant de pouvoir lever les boucliers, explica le jeune technicien.
-Des drones ? supposa Ronon.
-Non, des tirs à énergie.
-Quels sont les dommages ? questionna Caldwell.
-La coque a été percer aux ponts trois, quatre, six, huit, onze et douze. L’armement est hors service. De même pour l’hyperpropulsion et les communications subspatiales. Les boucliers sont à dix pour cent et notre réseau énergétique à trente pour cent de sa capacité maximal. Hermiod a déjà commencé à travailler sur l'hyperpropulsion. L'infirmerie nous signale plusieurs blessés graves et pas mal de blessés légers. Onze morts et sept disparus signalés, énuméra le jeune homme.
-Les systèmes de survie ? demanda Sheppard.
-Fonctionnels à cent pour cent.
-Nous devrions amener le docteur McKay tout de suite à l’infirmerie, son état semble sérieux.

Les interlocuteurs se tournèrent vers la personne qui venait de prendre la parole. Teyla était toujours penchée au-dessus du corps inanimé du Canadien, entrain d’essayer d’arrêter le flot d’hémoglobine. John remarqua alors avec horreur l’état de son équipier. Dans le feu de l’action, il n’avait pas vu son compagnon s’écrouler violemment contre le sol métallique.

-On va s’en occuper tout de suite, dit-il. (Il confia délicatement l’homme dont il s’occupait déjà à un infirmier qui venait d’arriver). Ronon, prenez lui les jambes. Allez y mollo. A trois, on le soulève. Un, deux et trois !

En parfaite coordination avec le Coureur, Sheppard souleva son ami tandis que Teyla s’occupait de maintenir sa tête bien droite. Ils auraient pu le confier à l’un des membres du corps médical déjà sur place mais John s’y connaissait suffisament pour savoir qu’avec une blessure de ce type, la vie ou la mort ne dépendait que de la rapidité avec laquelle la victime recevait des soins complets. Les équipiers commencèrent à transporter leur compagnon à travers les coursives du Dédale. Par chance, l’ascenseur d’urgence raccordé à l’infirmerie était encore en état de fonctionner. Le petit groupe s’engouffra dans l’ascenseur et le colonel martela le bouton de descente. Il ne pouvait s’empêcher de lancer des regards inquiets en direction de Rodney dont le teint était de plus en plus livide, même Ronon semblait inquiet. Après quelques secondes qui leurs semblèrent des heures, les portes s’ouvrirent sur l’infirmerie. La plupart des patients ne souffraient que de blessures légères mais certains avaient eu moins de chance. Quelques uns avaient été exposer au vide spatial durant un très bref laps de temps et souffraient des effets de la dépressurisation. D’autres s’étaient trouvés trop près de consoles transformées en véritables grenades à fragmentation par les surtensions. Le médecin en chef du Dédale, le docteur Fernandez, un grand homme d’origine hispanique, distribuait ses ordres au personnel soignant tel un général sur le champ de bataille. Les voyant arriver, celui-ci se dirigea vers eux.

-Que lui est-il arrivé ? demanda-t-il.
-Il s’est cogné la tête par terre en tombant, expliqua Teyla.
-On a préféré l’emmener tout de suite ici, rajouta le militaire.
-Vous avez bien fait, fit Fernandez après avoir examiné sommairement la blessure de McKay. Posez-le sur ce lit, je vais l’ausculter.

Sheppard et Dex déposèrent leur fardeau sur le lit à roulettes que venait de leur indiquer le médecin. Celui commença par vérifier les constantes de son patient.

-Il a perdu beaucoup de sang et son pouls est faible, observa le docteur. Je vais devoir l’emmener en salle d’opération pour arrêter l’hémorragie et lui faire des points de suture. Valérie ! Préparez le bloc numéro quatre et dites à Johnson et David de venir !

Fernandez s’apprêta à partir en direction du bloc opératoire quand il sentit une main ferme se refermée sur son biceps gauche.

-Docteur, va-t-il s’en sortir ? demanda Sheppard.
-Ça, seul Dieu le sait, fit-il.

Le docteur se dégagea doucement et repris son chemin, poussant le lit du docteur Rodney Meredith McKay vers un sort incertain tandis que dans une infirmerie bondée, trois compagnons réalisaient avec quelle rapidité le destin pouvait frapper.

[Lysiam]

Bonne histoire et je sens quelque chose de délirant pour la suite alors ne nous fait pas languire de savoir ce que le destin réserve a notre équipe

[Eddy]

Très bonne suite !
Mais continu, parceque là je, voudrais bie savoir ce qui va se passer

[John.Shep]

Bon maintenant que le brevet blanc est fini je pense pouvoir poster la suite avant la fin de lab semaine prochaine.

[Mac kay4]

Bon maintenant que le brevet blanc est fini je pense pouvoir poster la suite avant la fin de lab semaine prochaine.

J'espère qu'il ses bien passer moi ses la semaine prochaine

Pour en revenir a ta fanfic on est tout de suite mit dans l'action et Mckay le suspens, je ne peut pas attendre la suite .

Continue

[John.Shep]

Bon maintenant que le brevet blanc est fini je pense pouvoir poster la suite avant la fin de lab semaine prochaine.

J'espère qu'il ses bien passer moi ses la semaine prochaine

Pour en revenir a ta fanfic on est tout de suite mit dans l'action et Mckay le suspens, je ne peut pas attendre la suite .

Continue

Moyen pour le français mais bonne chance à toi.