5x05 : Episode 5 : POSEIDOPOLIS
Résumé : Dans l’épisode précédent, la Citée d’Atlantis se posa sur la planète sous certaines conditions des Agénorides.
Après avoir détecté une balise, nos amis décident de mener l’enquête. Mais c’est sans compter sur l’ambiance apparente de guerre froide avec la nouvelle race.
Atlantis
- Comment on reçoit un signal de détresse, fit Sheppard, nous ne captions rien depuis l’espace ?
- Il semblerait qu’elle vienne juste de s’activer !
- Rodney qu’elle est la localisation de cette balise ? Fit Weir.
- Euh, attendez, un petit calcul…Voilà j’affiche sur l’écran…
- Oh mon dieu…
- Cela provient du fond de l’océan, très profond, plusieurs milliers de mètres.
- Vous pouvez zoomer ? On dirait une forme de structure.
- Voilà !
Sur l’écran principal, la structure prit forme. Tous les membres présents restèrent la bouche grande ouverte, une telle chose était impossible, cela se comprend, qu’elle était la probabilité pour que nos amis tombent précisément sur la planète où au fond de l’océan, il y avait…
- Une Citée des Anciens comme Atlantis !
***
SGC, Terre
Autour de la table bien célèbre du SGC, il y avait bon nombre de personnages importants, d’un bout le président Hayes, venu visiter le complexe pour l’occasion, à l’autre bout, il y avait le Général Landry, sur les cotés, les généraux Hammond, Vidrine, le membre du CSI Woolsey. Visiblement tous attendaient un dernier membre…
- Ah ben te voilà ! Fit Landry.
- Messieurs, excusez mon retard, mais le matin vous savez ce que c’est...
- Oui Jack, c’est cela, bon allez assis toi je t’en prie.
Le général Oneill, devenu chef du Homeworld Security, c’est à dire responsable de la sécurité de la Terre, avait autorité sur les vaisseaux, Atlantis, le SGC, les colonies et autres mines, une belle promotion pour un héros désormais légendaire dans le programme pour avoir sauve bon nombre de fois la Terre et même les Asgards à leur époque…
Chacun était dans ses plus belles tenues de militaire et autre costard, la classe totale. Landry prit la parole :
- L’heure est grave, nous avons perdu le contact avec Atlantis et il nous est impossible de la localiser, nous supposons une panne du générateur hyper espace.
- T’inquiète, Carter retrouvera la Citée.
- J’aimerais partager votre optimisme Oneill, fit Woolsey.
- Alors partagez le… Oh non, c’est pas vrai !
- Qui a t’il ?
- J’ai oublié d’enregistrer les Simpson…
- Ne vous inquiétez pas Jack, j’ai ordonné à mes hommes de l’enregistrer.
- Merci monsieur le président, je vous adore !
Et la réunion continua…
***
Atlantis
- Il faut y aller Elizabeth !
- Oui je suis d’accord John, mais comment faire pour ne pas éveiller les soupçons des Agénorides ?
- Très simple, on met le jumper en mode furtif, et une fois dans l’eau, j’actionne le bouclier.
- Rodney cette Citée est elle à notre portée ?
- Et bien, c’est très profond, si on ouvre la porte, non seulement on se noie, mais avant on gèle sur place, et on éclate, mais oui c’est accessible en jumper.
- Merci Rodney… une dernière chose John, qu’elle était la probabilité que l’on tombe précisément sur cette planète, là où il y a une Citée des Anciens ?
- Très faible Elizabeth, vous avez une idée ?
- De plus en plus, je crois que nous ne sommes pas tombés ici par hasard.
- Vous pensez à un sabotage ?
- Je ne sais pas, mais faites très attention, on ne sait rien de ce peuple, ni de cette planète… Bonne chance John.
Comme à son habitude, John s’assit sur le fauteuil du jumper, alluma les commandes par la pensée, puis il s’assura que Rodney, Teyla et Ronon étaient bien installé, que le matériel était embarqué. Non en fait ce n’est pas vrai, il ne s’assura de rien.
Le jumper en mode occulté sorti par la porte du hangar, la manœuvre était faite assez fréquemment, on maniait donc la chose. De là nos amis purent constater le spectacle morbide.
A l’extérieur, des centaines de chars d’assaut Agénorides pointaient leurs fabuleux canon sur la Citée, qui avait son bouclier désactivé, obligation des négociations. Au loin, nos amis pouvaient voir apparaître de très nombreux autres engins, ressemblant à des navires de bonne taille, et surtout bien armés, qui arrivaient à vive allure vers la Citée. C’était une véritable ambiance de guerre froide, le moindre geste de l’un pouvait obliger l’autre à tirer.
Heureusement que nos amis étaient indétectables, le jumper s’enfonça dans l’eau, dans un petit éclatement sans gravité,
Sous l’eau, d’autres chars d’assaut, et même de petits engins par centaines proche de motos sous marines attendaient l’ordre d’attaque. Au total des milliers d’Agénorides étaient prêt à la guerre.
Après avoir attendu d’être suffisamment éloigné, John se décida à retirer l’occulteur pour le transformer en bouclier, il était temps l’eau commençait à attaquer les parois du jumper. A cette profondeur, si le verre se brisait, cela serait mortel, la pression de l’eau s’écrasait sur le bouclier, perdant toujours plus d’énergie à mesure que l’on s’enfonçait au fond de l’océan.
Par contre, Rondey fit une remarque intelligente, les Agénorides ne semblaient absolument pas craindre de telles profondeur, il n’était pas rare de croiser quelle motos sous marines même à 500 mètres de profondeur et même parfois plus profond, ainsi ils étaient forcément amphibie, et il ne serait pas étonnant qu’ils vivent dans des citées complètement sous marine, totalement indétectable et hors d’atteinte des Wraiths. Ce qui pourrait expliquer qu’ils ne connaissent pas nos ennemis préférés.
- Je détecte quelque chose, fit Sheppard.
- Oulah, sa semble gros, lui répondit Rodney.
- Sa se rapproche.
Le jumper fut balayé par une force colossale, heureusement que le bouclier avait amorti le choc, sinon la coque serait brisé sans aucun doute. La chose apparut au delà de l’avant du vaisseau.
- Merde ! C’est énorme !
- Un monstre sous marin ! Il nous attaque !
***
Quelque part dans la galaxie de Pégase
Le Dédale et l’Apollo voyageaient cote à cote dans l’hyper espace.
- Colonel Carter ?
- Colonel Cadwell ?
- Nous cherchons depuis bien longtemps, nous avons exploré toute les planètes proches du site alpha sans jamais trouver aucune trace de Atlantis, j’avoue commencer à perdre espoir…
- Non colonel, nous ne pouvons les abandonner…
- Excusez moi de vous interrompre mes colonels, mais nous n’avons explorer que les systèmes possédant des portes, peut être sont ils tombés autre part.
- Dans tous les cas Arnold, ils auraient pu nous contacter via la porte d’Atlantis.
- Je ne peux imaginer qu’ils se soient écraser.
- Colonel Carter, j’enregistre une baisse de puissance des moteurs.
- Comment ?
Ce fut très rapide, les deux vaisseaux furent éjectés de l’hyper espace pour une raison encore inconnu. A droite de l’écran principal, une surprise attendait les voyageurs :
- Mon colonel, je détecte un vaisseau ruche !
- Cadwell vous avez vu cela ?
- Vous croyez que c’est lui qui est à la base de notre sortie d’hyper espace ?
- Je l’ignore mon cher, comme vous je viens d’en sortir.
- Nous devrions fuir.
- Non attendez, un vaisseau ruche seul, c’est l’occasion rêvé de tester notre armement Asgard.
- Vous avez raison, Connor, amorcez la manœuvre !
Le vaisseau ruche s’avança, et tira le premier en direction du Dédale, fraîchement équipé de toutes les nouvelles technologies Asgards, dont un bouclier encore plus performants qu’à l’époque de sa première venue dans Pégase, le vaisseau trembla à l’impact des tirs Wraiths mais bien moins fort que jadis.
C’est à ce moment que de nombreuses boules à plasma bleues sortirent des deux vaisseaux terriens et vinrent à s’éclater contre la paroi de la ruche, le combat fut rapide, mais significatif, la ruche était détruite et vint rejoindre les nombreuses épaves, guère éloigné de sa position, qui avait détruit les ruches précédentes ? Celle ci ?
La réponse vint derrière nos amis…
Boum, boum…des boules bleues Wraiths venaient s’éclater sur nos deux vaisseaux.
- Colonel, deux autres ruches viennent d’apparaître derrière nous, ils sont à deux kilomètres et nous frappent à bout portant !
- Mais comment nos capteurs ne les ont pas découvert ?
- Parce qu’elles étaient furtive mon colonel.
En effet, juste derrière nos amis, deux vaisseaux ruches venaient d’apparaître, chacune visant son 304 préféré, mais comment ces derniers étaient ils parvenus à obtenir un occulteur ?
Les vaisseaux terriens redoublèrent de tirs, les armes Asgards et Wraiths avaient quasiment la même cadence de tir, quel serait l’issu de ce combat ?
Une nouvelle surprise atteint les cœurs de nos amis :
- Ils ont des boucliers ! Aucun de nos tirs ne passent leurs boucliers mon colonel !
- Mais c’est impossible ! Carter, le Dédale subit leurs tirs de plein fouet, boucliers déjà à 70%, fuite en hyper espace !
Les jeunes vaisseaux humains accélèrent, ayant le feu aux fesses, il fallait fuir, le doute s’emparait de chacun, nous étions si sur de vaincre…
- Ouf ! On a eu chaud. Mais comment est ce possible, fit Cadwell, jamais nous n’avions vu des ruches invisible, à si forte puissance de feu et encore moins avec des boucliers !
- Je crois avoir une idée, lui répondit Carter.
***
Dans l’océan glacial
Le jumper de Sheppard était attaqué par un monstre marin aussi fabuleux que terrifiant. Il atteignait facilement le quarante mètres de long, sa forme rappelait un crocodile de couleur blanche pourvu à quelques endroits de taches noires et vertes, des dents acérés certainement capable de broyer tout être passant à portée.
C’était le cas du jumper.
L’animal frappait constamment le jumper à l’aide de son museau mais heureusement le bouclier tenait bon. Sheppard eut une brillante idée, il commença par effectuer une série de zig zag pour éviter le contact avec le monstre. La manœuvre était délicate car la bête était particulièrement agile et rapide.
Une fois à une distance suffisante de la bête, Sheppard actionna par la pensée l’armement de son vaisseau. Deux drones en pleine mer filèrent vers la bête qui fut touché à la tête et dans le ventre, il fut ouvert à ces deux endroits, l’animal était hors de combat. Heureusement que les drones Ancien formidable technologie, fonctionnaient sous l’eau.
Tous les membres de l’équipe félicitèrent le pilote et poussèrent un grand souffle de soulagement. Teyla était de plus en plus impressionné…
Le vaisseau continua sa route, le phare de l’avant éclairait du mieux qu’il pouvait le fond sombre de l’océan, Rodney releva d’ailleurs que le jumper se trouvait déjà à deux milles mètres de fond. Parfois on pouvait entrevoir de grand serpent vert attaquant des bancs entiers de méduse rouge, osons dire méduses malgré leur nette différence avec celles terriennes. Le jumper se fraya un chemin le long des canyons aux parois faites de volcans endormi et les colosses de roches brillantes.
Le signal était suffisamment fort pour laisser Rodney diriger parfaitement la trajectoire du vaisseau. Le bouclier tenait, la seule raison à cela était le générateur à naquadah terrien branché à ses systèmes.
Enfin après un long voyage, nos amis pouvaient l’apercevoir depuis le hublot. Elle était gigantesque et comme totalement endormi, aucune énergie ne s’en dégageait, le bouclier de cette Citée engloutie devait avoir cédé depuis quelques temps.
- Poséidopolis, prononça Sheppard. Nous sommes arrivés.
- C’est incroyable ! Cette Citée semble du même type d’Atlantis mais ses mensurations sont un peu plus grande, regardez cela, il y a quatre hangars à drones au lieu de trois ! Et puis vous voyez les tours, Leurs surfaces sont plus vaste, et leurs sommets sont arrondis, cela fait encore plus avancé Fit Rodney.
- Peut être une Citée d’un modèle plus militaire en vue de la guerre contre les Wraiths, ajouta Teyla.
- Et je crois que vous n’avez pas tort ma chère, reprit Rodney, c’est incroyable regardez ces armatures, cette Citée est identique à Atlantis seulement en apparence. Une telle Citée devait consommer bien plus que trois ZPM.
- Que leur est il arrivé ?Questionna Ronon.
- Oh oh oh ! Et bien au début petit Satédien, euh…excuse moi, donc au début je t’aurais répondu que les Anciens qui habitaient là avaient sûrement du engloutir leurs Citées pour résister aux bombardements orbitaux mais les Agénorides ont affirmés qu’ils n’avaient jamais vu les Wraiths et surtout regardez bien, on voit des traces de combat et même de chute…
- Cette Citée serait tomber dans l’océan depuis l’espace ?
- Oui John, c’est incroyable. Oh attendez, le signal de détresse vient de redoubler en puissance, visiblement cette Citée a encore du jus, suivons la piste.
Le jumper se fraya un chemin entre les nombreuses tours de la Citée de Poséidpolis, une Citée encore plus impressionnante qu’Atlantis. Tout en douceur le vaisseau se posa dans le hangar habituel, nos amis s’équipèrent d’un matériel Ancien découvert récemment. Ces tuniques ressemblaient à des tenues de plongés équipés de petit boucliers pour résister à la pression.
Et ce fut le cas pour nos amis.
Sheppard avec Ronon examina la salle des jumpers, aucun était utilisable, tous étaient comme rouillés, certains, même hublot cassés, totalement inondé. Puis ensuite les deux combattants secs mais rigolard entrèrent dans la salle des ZPM, le socle était bien plus vaste, il abritait quatre ZPM totalement vide. Ronon fit remarquer à Sheppard, un cinquième coincé sur le plafond de la pièce, le ZPM flottait, malheureusement il était lui aussi, totalement vide.
Teyla accompagnait Mc Kay jusqu’à la salle de contrôle, il suivait la piste de la balise, le signal ne venait pas des ordinateurs, il provenait d’un petit cristal blanc tenant dans la paume de la main. Rodney le prit et d’un coup le cristal s’illumina :
- Sheppard ! Je crois que j’ai trouvé quelque chose !
- Eux nous aussi Meredith…
- Que veux tu dire ?
Très rapidement et dans un bruit bien faible, de nombreux guerriers Agénorides encerclaient nos amis et les menaçaient de leurs tridents.
Rodney dans un formidable réflexe de scientifiques, cacha le cristal dans sa tunique. Puis s’émerveilla de ces être qu’il qualifiait de si « dégeulasse », il remarqua qu’ils ne possédaient aucune assistance respiratoire ni même de tunique de protection, ces être résistaient à la pression à une telle profondeur, cela relevait du miracle…
Ronon tenta de s’emparer de l’un de ces aliens. Peine perdue, le premier s’avança et tira de son arme sur le Satédien. L’arme se vida d’une forte décharge électrique qui paralysa notre héros.
- RONON !
***
Atlantis
- Docteur Weir !
- Chuck ?
- Nous recevons une communication.
- Branchez.
- Docteur Weir ? Ici le roi Boulomane, imaginez notre surprise lorsque nos capteurs ont indiqué que l’un de vos vaisseaux, que vous étiez sensé nous confier, c’était engouffré dans notre lieu de culte le plus sacré, la Citée de Poséidopolis…
- Nous ignorions que c’était un endroit sacré, nous avions capter une balise, nous sommes simplement allé voir.
- Oui nous aussi, pourtant Achéron, fleuve des enfers, nous fait peur mais cette fois nous nous devions de prendre le risque de nous y rendre. Ceux qui y était parvenu avaient jusqu’ici été détruit, dévorés par les montres protégeant Poséidopolis mais cette fois nous y sommes arrivés et nous avons capturés votre équipe.
- Chuck, branchez le bouclier ! Et que comptez vous faire d’eux Boulomane ?
- On m’appelle, mon seigneur ou votre majesté…
- Mon seigneur…
- Bien. Je ne vous rendrais vos hommes que si vous nous donnez deux de vos vaisseaux, et qu’enfin vous partiez…
- C’est impossible, je vous l’ai dis ! Permettez moi de venir vous parler en face, nous résoudrons ce problème ensemble.
- Hum…d’accord.
Il fallut bien deux heures au docteur Weir, à bord de son jumper piloté par Lorne pour l’occasion, afin d’arriver aux portes de la ville des Agénorides. Ces derniers avaient allumés leurs armes aux bords d’Atlantis et avaient renforcés leurs effectifs, ils étaient prêt à la guerre.
A plus de deux kilomètres de profondeur, apparaissait enfin la ville secrète de ces aliens agressifs. D’ailleurs avouons le, ils avaient une bonne raison, pour eux nous étions les envahisseurs, ils nous voyaient comme des conquérants sanguinaires, ils ne faisaient que défendre leur peuple.
Une ville qui s’étendait sur des kilomètres, au delà de l’horizon, des constructions éclatante de beauté et de lumière, le fond de l’océan de la planète semblait recouvert par ce peuple. Plus haut vers la surface de nombreuses armées protégeaient la population des nombreux montres marins prêt à les dévorer.
Chaque bâtiment faisait au minimum une bonne dizaine de mètres de haut, plus on s’approchait du centre, plus il y avait de tours haute de cent mètres. Bon nombre de ces aliens nageaient entre les bâtiments, les enfants, plus rassurant que leurs parents aux regards agressifs, venaient frotter le bouclier du jumper.
Après avoir suivis les vaisseaux d’escorte, Lorne engouffra le vaisseau dans un sas particulier. A l’intérieur l’eau commença à disparaître, nos amis pouvaient sortir du jumper tranquillement.
Lorne fut contraint de ré embarquer dans le jumper tandis que Weir fut escorté par de nombreux soldats, arpenta de nombreux couloirs aux lumières blanches, les murs décorés de dessin de toutes les couleurs représentant ici la Citée de Poséidopolis, de là les Agénorides, d’autres des monstres marins.
Weir put longuement étudier leurs valeurs, pour elle ce peuple était fier, désireux de protéger le groupe. Visiblement à régime monarchique voir même une tendance au despotisme, cette civilisation semblait maîtriser sa planète. Pourtant les missiles envoyés sur Atlantis, les bâtiments, et d’autres technologies rapidement aperçu laissaient penser que leur niveau technologique se rapprochait du notre en l’an 2000. Autre fait ces aliens croyaient fort en un Dieu, ce Agénor était peut être un Ancien. Ce qui était sur, c’est que la religion dominait la vie quotidienne, partout des enfants priés dans d’immense salle.
D’ailleurs c’est dans la plus grande d’entre elle que Weir arriva. En face d’elle, le roi Boulomane assis sur une sorte de banc en verre transparent. Il était énorme, là où ses conseillers étaient tout aussi petit mais plutôt mince.
Les négociations n’allaient pas être facile…
***
Deux jours plus tard, sur Atlantis
Ils étaient nombreux à applaudir le retour des héros, la plupart des membres de l’expédition étaient dans la salle de la porte à accueillir les anciens otages, autant dire que l’ambiance était à la fête après toute cette tension.
Ronon semblait aller bien, il avait certes une blessure au bras, il semblait engourdi, mais il survivra, c’est ce qu’il disait à chaque fois. Quelque part à force, personne ne s’en préoccupait.
Evidemment Weir ne se priva pas de serrer bien fort son colonel préféré, là où Rodney était fier, il avait l’impression que tout le monde l’aimait, en conséquence il saluait tout le monde de la main.
- Elizabeth, expliquez moi tout, répondit Sheppard se séparant d'une Weir très collante. Allait il comprendre un jour ? Je ne crois pas…
- Ce fut difficile mais je suis parvenu à un accord avec les Agénorides. Ils acceptent que nous restions mais en échange nous avons du leur fournir deux jumpers, que nous ne leur avions pas donné, puis promettre de ne plus jamais nous rendre à Poséidopolis et enfin de leur donner toutes les données que nous avions sur Atlantis, dont la base de données.
- Pouah, c’est énorme, mais bon ils ne comprendront jamais.
- Oh que si, nous avons mis en place un programme de recherche en commun.
- C’est à dire ?
- Et bien l’une de nos équipes ira chez eux pour les aider à traduire la base de données, à manipuler les jumpers, et les aider à améliorer leur technologie. En contre partie ils sont heureux de nous offrir de l’Adiante…
- De l’Adiante ?
- C’est une herbe aquatique à la base de leurs technologie, cette herbe est non polluante, créé un vaste champ de lumière énergétique très proche de l’électricité. Cela peut nous être utile. Et ce n’est pas tout…
- Quoi encore ?
- Nous avons pour vous permettre d’être libre, remonté la porte des étoiles de Poséidopolis et leur avons confié, nous les aiderons à développer leur propre programme.
- Oui bon autant dire que vous vous etes fait avoir Elizabeth.
- Non, John ! Pas du tout, je crois seulement que c’est en travaillant ensemble que nous trouverons une entente qui pourrait déboucher sur de l’amitié. Vous savez leur société est proche de la notre, bien que leur système soit monarchique, ils restent capitaliste, et méfiant envers l’étranger. Même leur système éducatif se rapproche, excepté leur sexualité, ils pondent des œufs… Technologiquement ils me font penser à nous en 2000, de même que mentalement, bien qu’ils soient aussi très différend…
- J’espère que vous avez raison Elizabeth. Et pour leur flotte autour de la Citée ?
- Elle s’éloigne mais restera à proximité, de toute je pense que nous ne pourrions jamais les atteindre si nous attaquions, et nous serions très idiot de le faire…
- Hé hé hé, Youpiiiiiiiiiii !!!!!!!! C’est fantastique cria Rodney d’un coup.
- Mais qu’est ce qui vous prend ?
- Elizabeth c’est génial, pendant que vous faisiez votre discours, euh disons palpitant, moi je travaillais, et oui à peine revenu je travaille moi !
- Rodney…
- Oui bon, vous savez pour Poséidopolis c’est pas grave, cette Citée ne peut plus rien nous apporter. Par contre ce cristal que je viens de brancher à nos systèmes possède des capacités fantastique, regardez !
Viouuuuuuu !
Une fois le cristal branché près du DHD, un bruit puissant fit comprendre à l ‘équipe qu’il y avait un problème. Puis toutes les lumières, tous les ordinateurs s’éteignirent. Rodney prononça le mot le plus approprié à la situation :
- Merde !
Oubliez tout ce que vous avez appris, commencez par rever et le reve sera alors réalité..
Défenseur des épisodes sans P90 et des Anciens topics.