CITATION
(Linwelin,Dimanche 04 Mars 2007 11h50)
CITATION
(Dragmire,Dimanche 04 Mars 2007 11h40)
Enfin, la scène de fin avec Teal'c, c'est tout simplement ce show que Jacek voulait voir avec Vala. Dans mes sous-titres ça a été traduit Monologues du Frangin, Jacek a donc semble t'il mal compris le truc et a finalement refilé les tickets à Teal'c. Mais il se trouve que ce show est un show réel, couronné de succès partout dans le monde, qui s'appelle les Monologues du vagin où plusieurs femmes viennent parler de leur sexualité.
[HS]
En fait, la VO disait "Virginia Dialogues" au lieu de "Vaginal Monologues", ce qui est assez problématique à traduire, car soit on tente de conserver des sonorités proches, soit de prendre un prénom. On a opté pour des sonorités proches.
[fin du HS]
[HS quoique...]
Je viens de percuter. C'est fou ce que je peux être vive parfois.
Je ne reviens pas sur l'épisode en lui-même. J'ai dit ce que j'avais à dire là-dessus.
Je ne reviens pas non plus sur les sous-titres puisque je ne m'en sers que très rarement (avec tout le respect et la considération que j'ai pour l'équipe qui se crève le cul à les faire - bon boulot Messieurs Dames

).
Je reviens en revanche sur le choix de la pièce.
Je ne sais pas si chronologiquement ça fonctionne, mais il me semble que c'est soit un énorme coup de pub, soit un énorme clin d'oeil.
Eh oui, qui a joué les "Monologues du vagin" ("Vagina Monologues" pour les anglophones) pas plus tard que les 3 et 4 mars 2007 à Toronto ?
Qui ? Hein ?
Ben, c'est évident ! Amanda Tapping !
Ayant une (très) vague idée de ce à quoi peut ressembler le planning d'une star de série TV, l'affaire devait déjà être prévue au moment du tournage du dit épisode...
Eh oui, l'épisode est... ce qu'il est mais il est plein de clins d'oeil, c'est vrai.
[Fin... quoique

du HS]
Euh... ne me dites pas que je suis la seule à avoir capté ça. Je vais croire que je suis de nouveau à niveau et devoir vous imposer mon imposante présence

«Les gens qui ont des certitudes sont sûrs de se coucher le soir aussi cons qu’ils se sont levés le matin»
Lucien Jerphagnon