L'arrivée

[guilain]

J'ai eu une idée pour faire une fanfic, mais je n'avais pas le temps de la faire auparant. L'idée générale est une équipe SG qui arrive par la porte pendant une bataille entre deux nations vivant a l'époque médiévals juste à la fin de l'empire romain. Leur arrivé cause beaucoup de trouble dans la guerre avec diverses autres péripécies. J'aimerais savoir ce que vous en pensé. Dès demain, je vais pouvoir commencer la rédaction surement.

Guide des épisodes:
Prologue
1- L'arrivé inoportune
2- Le bûcher (1ère partie en correction, 2e partie en rédaction)
3- Le sauvetage (rassemblement des idées)
4- Deuxième rencontre au sommet (a l'état de projet)

[Sempiternel]

Pourquoi pas ? L'idée est plaisante, mais gare aux fautes d'orthographe. Je te mets en garde en fonction de ton synopsis qui est lui-même remplit de fautes .

[guilain]

Les fautes d'orthographes c'est ma vie. J'en fais plein et je fais des efforts pour les diminuer. D'ailleurs toutes personnes qui voudra les indiquer serait apprécier par moi.

[Sempiternel]

Les fautes d'orthographes c'est ma vie.

Ne le prends pas mal . C'est un conseil pour rendre ta fiction plus appréciable pour les lecteurs. Une fiction ne se compose pas que d'une histoire interessante, elle necessite aussi une certaine application dans sa mise enforme, tant au niveau de l'ortographe, que de la syntaxe.

Bon courage pour la rédaction .

[guilain]

Et maintenant voici:

Le Prologue

En cette journée de mai peu après que la reine des Tok’ ra sois morte, une autre mission se prépare pour une équipe du SGC. L’équipe est en train de se préparer pour une mission de routine sur une planète possiblement déserte, donc ils se préparent pour une belle marche dans une belle prairie. Le M.A.L.P. qui a été sur la planète quelques heures plus tôt n’a rien vu de spécial sur la planète. Hammond a autorisé la mission d’une durée approximative de neuf heures, le temps d’explorer les alentours et de revenir. Les huit membres de l’équipe nouvellement augmentée en nombre pour cette mission spéciale qui est une forêt de conifères. L’équipe quitte finalement le vestiaire pour aller chercher leurs armes et l’équipement pour faire les derniers préparatifs et se retrouver devant la porte.
Dix minutes plus tard, il manque toujours deux soldats. Ceux-ci ont l’habitude d’aller jaser avec toutes les femmes qu’ils rencontrent, peu importe où ils sont. Même le général Hammond leur a dit et ils n’ont qu’arrêté pour un faible temps.
— Qu’est-ce qu’ils font encore ces deux-là? S’il recommence une autre fois, je jure que je les vire de l’équipe et même que je recommanderais leurs affectations le plus loin possible, s’exclame le colonel Majere en fureur.
— Je n’en sais rien mon colonel, appuie le sergent. Voulez-vous que j’aille les chercher?
— Vas-y donc Meloche, je te donne 5 minutes pour les trouver sinon on part sans eux, dit le colonel.
— J’y vais mon colonel, je serais de retour à temps pour la mission, dit Meloche en quittant la place d’embarquement.
Dans un des couloirs du SGC, les deux soldats recherchés par le colonel jasent avec une infirmière qui est en train de prévoir sa soirée avec une amie.
— Soldat Guimond et Lussier ramener vos fesses ici immédiatement on part dans trente secondes et si vous n’êtes pas là. Le colonel va vous tuer, s’écrie le sergent de l’autre côté du couloir.
— Oui sergent, s’écrient les soldats en courant pour arriver à la porte à temps avec le sergent.
Une fois de retour devant la porte et ayant entendu le point de vue du colonel sur ce qu’il pense d’eux. Le sergent Siler nomma l’enclenchement des chevrons un par un puisque Walter est en congé maladie depuis quelques jours. Quelques secondes plus tard, Siller dit « chevron sept verrouillé » ce qui permit à la porte de s’activer.
- En avant les enfants, s’exclame le colonel.
- Bonne chance, dit Hammond dans la salle de contrôle.
Toute l’équipe franchie la porte et suite à un petit parcours dans l’univers se retrouve sur une nouvelle planète inexplorée par la Terre.
- Attention mon colonel, une énorme boule de feu fonce droit sur nous.
- Voyons c’est impossible, Meloche tu le sais bien. La magie, ça n’existe pas.
Puis une immense boule en feu tombe directement ou se trouvait l’équipe qui se retrouva éjectée de plusieurs dizaines de mètres un peu partout autour de la porte. Pendant que deux armées regardent surpris la porte activer et plusieurs courent s’enfuyant devant se spectacle que leur Dieu leurs offrent.


Dite moi en des nouvelles c'est la première fois que j'écris une histoire. Je suis ouvert a tout.

[EvilLoki]

Pour le moment c'est un peu court pour pouvoir donner son avis, mais d'après le synopsis, l'histoire peut être interessante, donc continue et on verra. Voilà pour le fond.

Par contre en ce qui concerne la forme, il y a encore des fautes d'orthographes qui seraient selon moi évitable.

Une fois de retour devant la porte, on entendit les habituels «chevrons un enclencher» venant du sergent Siler puisque Walter est en congé maladie

Petite erreur, mais tu nous fait tout au passé et là il y a un présent au milieu de la phrase
Pour une intro, tu aurait pu faire un peu plus de description, on ne sait pas qui parle au début et qui sont les deux équipes qui partent. ( j'imagine qu'il y en a 2 puisqu'ils sont 8)

Ne le prends pas mal, c'est juste des petits conseils pour que ta fic soit plus agréable à lire. (ce qui est presque aussi important que l'histoire en elle même.)

Bon courage pour la suite, je sais que cela peut être compliqué d'écrire une fanfic mais amuses toi avant tout, c'est le plus important.

[jumper01]

Pas mal,mais tes ton prologue est trop court.Sinon bonne chance pour la suite.

[Thor94]

faudrais la suite pour donner un avis

[Sempiternel]

Bon alors...

Rythme bien trop rapide à mon goût, trop d'action contenue dans les quatre dernières lignes de ton prologue. Bon à voir comment tu vas gérer ça dans la suite.
Très peu crédible concernant les deux soldats dans le couloir. On est au SGC, pas dans une maison close .
L'orthographe pourrait être pire, ainsi que les accords, je ne vais pas me prononcer là-dessus étant donné que c'est très lisible.
Sinon l'histoire en elle-même part sur les chapeaux de roues, bien qu'un peu court. A toi de faire la part des choses.

Bonne chance pour la suite.

Edit: j'oubliais : ça le fait pas la faute dans le titre

[guilain]

Il va y avoir reprise de ce qui s'est passé dans les quatres dernières phrases dans le premier chapitre avec un rythme beaucoup plus lent. Je fais mon possible pour l'orthographe, merci pour les commentaires rapides.

[guilain]

Chapitre 1:
L’arrivé inopportune
La bataille faisait rage entre les deux nations sur la terre de Huma depuis plusieurs générations. Chaque nation voulait, dans les premières années de la guerre, c’était il y a de ça environ quarante ans, remporter la victoire pour prendre un royaume de plus. Mais depuis plusieurs années maintenant les choses ont changé. La suite des années de guerre n’a rien amené sauf la destruction et cette guerre n’est toujours pas finie. Les deux armées s’en viennent à bout de ressources et chaque armée ne veut pas abandonner pour ne pas perdre son honneur. Les batailles toujours aussi ravageuses font de plus en plus de veuves qui doivent chercher un nouveau mari. D'ailleurs, les maris libres sont justement le plus souvent partis à la guerre. Les armées continuaient à prendre des territoires et à les perdre les uns après les autres. Pendant une bataille pour contrôler une plaine ayant un bon emplacement stratégique pour la logistique de ravitaillement, l’anneau, qui est une pièce que les dieux ont laissée avant leurs départs pour pouvoir revenir juste à temps pour arrêter le grand cataclysme, émit un grand rayon de lumière et un vortex sortit de celui-ci. Le régent de l’armée Vingaars, Elzar ordonne à ses catapultes de détruire le vortex en question. Ainsi, plusieurs balles de foin en feu sont lancées directement sur l’anneau. Elzar est encore plus surpris lorsque juste avant que les balles de foin atteignent la cible, des hommes sortent de l’anneau. Tous sont frappés par les multiples balles qui tombent directement sur eux et ils sont tous précipités plusieurs mètres plus loin.
Ayant vu les hommes, Elzar se dit qu’il veut absolument savoir qui ils sont.
-Chef, envoyez un bataillon chercher les hommes qui sont sortis du grand anneau, dit Elzar en regardant toujours la bataille en cours.
-À vos ordres, régent
C’est ainsi qu’un bataillon de soldat charge en direction de l’anneau. Les forces ennemies ont aussi vu le vortex, mais ils sont plus longs à réagir. Alors lorsque les troupes Vingaars arrivent sur les lieux, les Trogols ont encore quelques minutes de retard.
-Sergents, nous devons nous dépêcher. Les Trogols approchent et nous ne tiendrons pas plus de quelques minutes contre eux
-C’est vrai soldat. Dépêcher vous à ramasser les hommes et amener les au général, moi et la moitié de troupes, nous essayerons de les maintenir à distance.
Une ligne de bouclier se forme ainsi pour résister à la charge trogolle qui arrive droit sur eux. Cette charge est composée de plus d’un millier d’hommes et arrivaient de telles sortes que la ligne serait vite défoncer. Les lances une fois dressées pour diminuer la force de charge ne servent à rien. Les Trogols défoncent littéralement la ligne de bouclier et le combat s’engagea. Les hommes d’Elzar sont en grande infériorité numérique et n’ont aucune chance de gagner. Comme de fait, au bout d’à peine cinq minutes, plus des trois quarts des Vingaars qui sont restés sur la position sont déjà morts et les autres vont les suivre sous peu. Les Trogols commencent ainsi à essayer de rattraper les hommes d’Elzar, mais la distance les séparant est trop grande. Une légion complète de chevaliers chargea les Trogols qui essayent de rattraper les hommes transportant l’équipe. La bataille fut courte et peu de chevaliers y ont laissé leur vie. Les heures s’écoulèrent et le jour fit place à la nuit pendant que l’équipe est enfermée dans le camp Vingaars. Dans la prison du campement Vingaars tard le soir, l’équipe commencent à reprendre connaissance.
- Mon colonel, réveillez-vous mon colonel, chuchotait le sergent tout en secouant le colonel Majere vigoureusement.
- Mumm que c’est-il passé sergent, demande le colonel tout en reprenant conscience. Nous avons fait toute une chute à la sortie de la porte. Avez-vous des souvenirs de ce qui sait passer?
- Des hommes comme ceux que tu peux voir là-bas nous tiennent prisonniers dans cette sorte de cellule, raconte le sergent. D'ailleurs, dire cellule n’est pas vraiment approprié vu que ce ne sont que des poteaux relier au sol dans une grande tente. D’après les habits qu’ils ont, je crois que c’est hommes sont a la fin de l’époque romaine juste avant ça chute. Je suis surpris de voir autant de monde alors que le M.A.L.P. n’a absolument rien vu.
- Je vois que tu en sais beaucoup Meloche, dit le colonel. La sonde n’a regardé qu’autour de la porte et il n’y avait rien lorsqu’elle est passée. Je me demande d’ailleurs si elle est encore devant la porte avec le DHD. Je ne me souviens que de mon entrée, sur cette planète ensuite c’est le noir total.
- Tout a fait normal colonel. Ils nous ont catapulté une balle de foin lorsque nous avons été matérialisés.
- Comment en sais-tu autant sergent, demande le colonel
- C’est parce que ça fait longtemps que je suis conscient, explique Meloche. J’ai repris connaissance lorsque les hommes nous ont amenés ici et ainsi j’ai pu en apprendre beaucoup.
- Parfait, raconte, moi tout et dis-moi comment va les autres membres de l’équipe.
- Il y a deux hommes manquants et tous les autres sont sains et saufs. Pour ce que je sais…
Pendant que le sergent raconte tout ce qu’il sait sur les mystérieux « Romains », les Vingaars ont une discussion dans la tente du régent de grande importance. Le prêtre qui fait les dernières cérémonies et qui bénit les soldats avant la bataille vient tout juste d’entrer dans la tente.
- Mais que se passe-t-il donc dans le camp? s’écrie le prêtre. On n’arrête pas de me parler d’étranges hommes habillés de façon bizarre et qui en plus seraient arrivés par le grand anneau. Régent comment peux-tu m’expliquer cela?
- C’est très simple mon père, dit Elzar, une grande lumière est sortie de l’anneau et l’archer qui s’y trouvait a disparue lorsque cette lumière est retournée vers l’anneau. Ensuite, il y avait encore un genre de disque et les hommes dont tu parles sont apparus en sortant de la lumière. J’avais envoyé des balles de foin enflammé quand j’ai vu la lumière et ensuite j’ai envoyé un bataillon. Les Trogols ont aussi vu cette lumière et eux ont envoyé 4 bataillons. C’est une chance qu’une légion de chevaliers devait passer par là sinon nous n’aurions pas réussi à ramener les hommes. J’ignore encore qui ils sont, mais dès que je vais le savoir je vais le dire.
- Je veux les interroger en personne, ordonne le prêtre.
- Alors, nous nous apprêtions justement à y aller. Voudriez-vous venir avec nous, mon père, interroge Elzar.
- Je vous suis.
Ainsi, Elzar, le chef des Vingaars, le prêtre et plusieurs soldats d’élite se dirigèrent vers la prison du campement. En chemin, Elzar réconforte les troupes, car ils avaient perdu maints hommes durant les batailles de la journée. Une fois arrivé à la prison qui ressemble étrangement à un enclos à cheval avec des hommes enchaîné sur des poteaux profondément encré dans la terre. Le prêtre est surpris de voir des hommes avec des habits si étranges et des équipements faits d’une matière totalement inconnue. Ce qui a encore plus surpris le prêtre c’est que les étrangers sont venus sans épée, sans de vraies armes. Ils sont arrivés avec juste des couteaux comme des voleurs.
- D’où peuvent bien venir ces hommes? Il ne ressemble à rien que je connaisse aussi loin que je suis allé dans les royaumes et tous savent que j’ai traversé presque la totalité des royaumes de la terre de Huma, déclare le prêtre tout en regardant soigneusement les hommes.
- Nous venons de…, dit le colonel
- JE ne vous es pas parlé espèce de fidèle du démon, s’écrie le prêtre. Nous allez parler uniquement lorsque je vous dirai de le faire sinon ça va aller très mal pour vous.
- Nous ne sommes pas des fidèles de Satan, vous saurez, s’écrie l’un des soldats
- Il ose dire le nom du démon, brûlons-le. Il ne mérite pas moins que la mort pour avoir osé prononcer le nom du mal. Le bûcher est sa seule voie possible.
- Soldats, préparer un bûcher pour cet homme, nous allons le brûler ce soir même, dit Elzar. Les troupes vont être contentes d’avoir de l’action le soir.
- Bien messire, disent quelques soldats et en se préparant a partir.
- Vous n’êtes qu’une bande de dégonflé, d’inculte, d’incapable, d’inefficace, vous ne savez pas vivre ou quoi?
- VOUS, taisez-vous sinon en plus de mettre votre compagnon au bûcher, tous y passeront.
Quelques soldats partent aller préparer un bûcher, il y aura de l’action ce soir.
- Les autres, garder les aux frais, nous les interrogerons chacun se soir après le souper.
- Bien messire.
Tous quittent la prison pour aller souper.

[Sempiternel]

Bon, bon, bon ...

On voit que tu as pris en compte le fait que ta fiction se déroulait trop rapidement, c'est un bon point, cela améliore la lisibilité et la compréhension de l'histoire.

l'orthographe n'est pas terrible, mais ton texte reste lisible dans l'ensemble. Par contre, fais attention aux temps, tu mélanges allégrement présent et passé. De plus, certaines constructions de tes phrases nuisent franchement au texte, de même que la façon dont tu traites certaines situations :

Mais les batailles font de plus en plus de veuves qui doivent chercher un nouveau mari pour augmenter la population des nations.

, par exemple.

Pour finir, tu ne manques pas d'imagination, mais il faut que tu revois quelque peu tes tournures, tes mises en situation, et que tu te relises plus attentivement, cela ne pourra qu'être bénéfique pour ta fiction.

Bonne chance.

[Thor94]

vivement la suite.
Mais fait les plus longues

[Mik]

Points - : Orthographe déplorable, mais surtout tournures de phrases horrible et incompréhensible.
De plus tu balances des noms de peuples à toutes "berzingues" du coup j'en suis perdu ...

points + : Le scénario à du potentiel, même si ça sent le réchauffé...

Bref de gros efforts à fournir, et comme tous fanficeur je t'encourage à continuer, car tu t'améliorera au fur et a mesure...

[guilain]

vivement la suite.
Mais fait les plus longues

Je vais faire mon possible pour les ralongers, mais je veux bien différencier les parties.

De plus tu balances des noms de peuples à toutes "berzingues" du coup j'en suis perdu ...

Très simple, deux nations les autres je vous en ferais grace. Il y a les Trogols et les Vingaars. Il y a des différences entre les deux, mais vous le saurez dans la suite.

En passant, je vais corriger de mon mieu l'orthographe un chapitre après l'autre. Je vais faire mon possible pour bien écrire dans l'avenir.

[guilain]

Voici la première partie du chapitre 2
Le bûcher :
Étant tous de religion catholique et le territoire actuel ayant une grande proportion de végétation. Le bûcher ne pris même pas une heure à être installé. Ce bûcher est en fait un grand arbre coupé et débranché pour pouvoir accueillir le fidèle de Satan. Le reste du bûcher est composé principalement de bois et d’une substance inflammable fabriqué par le prêtre dédié aux événements de ce genre.
Elzar ne savait pas quoi faire des choses restantes des hommes venu de l’anneau et il décida que tous les trucs ayant une forme ronde serait brulé le jour même ainsi que diverses armes aux allures étrange. Le reste attendrait le lendemain. Suite au souper, Elzar ordonna à ses hommes d’aller chercher le sorcier qui avait osé dire le nom du seigneur de l’ombre.
Une fois rendu à la prison, les hommes du SGC ne se laissèrent pas faire. Ils insultèrent les hommes de Elzar a un tel point qu’ils prirent un autre soldat du SGC et l’amenèrent a leur chef
-Chef, cet homme nous insulte de nom dont nous ne comprenons même pas, dit un soldat
- Homme venu du grand anneau, dite moi tout ce que vous savez et vous ne serez pas sur le bûcher comme votre ami. Par contre, si vous ne me dite rien je vous jure que vous le regretterez amèrement, ordonna Elzar
- Jamais je ne vous direz quoi que ce soit, dis le soldat du SGC
- Alors vous périrez comme votre ami. Garde amener le et bruler le.
Les hommes amènent les deux prisonniers et les installèrent pour la cérémonie. Lorsque l’heure arriva, tous n’attendait que cela. Chaque soldat qui n’est pas de garde est présent autour de ce bûcher pour montrer à tous la puissance des Vingaars.
- Que les flammes brûlent les infidèles, s’écrit le prêtre.
Partout autour du bûcher, les soldats lance toutes les torches qu’ils ont et les flammes montèrent. Les deux soldats du SGC commencent à crier si fort que partout dans le camp on les entend. Les prisonniers commencent alors à crier pour espérer que les hommes seraient relâchés, mais rien n’y fut. Le feu augmente en hauteur de sorte que les premières flammes touchèrent les hommes. Ceux-ci commencent ainsi à paniquer de telles sortes que les chaines sont mises à grande épreuve, mais résistèrent. Les hommes prirent ensuite feu et furent brûler totalement.
- Ainsi Dieu a voulu qu’aujourd’hui deux fidèles du démon soit détruits et demain lors de la bataille avec les Trogols il sera avec nous et nous pourrons vaincre pour la gloire de Dieu.
La déclaration du prêtre provoque un cri de victoire tellement éclatant que même l’armé des Trogols qui se trouve pourtant que l’autre côté de la vallée, les entend.
Peu après le bûcher, Elzar convoque le chef des hommes de l’anneau pour l’interroger. Le colonel Meloche n’a aucun autre choix que de répondre à la demande puisque la fatigue et la faim l’ont grandement diminué. De même que les hommes qui sont assez convainquant lorsque tu as une épée sous le cou.
Dix minutes plus tard dans la tente du haut conseil.
- Chef, les hommes sont arrivés.
- Faite rentrer le prisonnier dit Elzar.
- Oui chef.
Deux hommes encadrent le colonel Meloche lorsqu’il entre dans la tente du haut conseil. Le colonel tombe à genoux devant le chef sous la fatigue. Elzar s’approche du colonel en baissa et lui demande s’il aimerait avoir des fruits. Meloche répond qu’un bon camion de fraise ne serait pas de refus.
- Quelqu’est-ce qu’un camion de fraise? Demande Elzar
- À c’est vrai vous ne pouvez pas savoir. Mumm, pense Meloche. C’est comme une charrette qui avance avec un moteur. C’est très gros et ca sert à déplacer beaucoup d’objet. Mais puis-je avoir quelques choses à manger pour moi et mes hommes?
- Si vous répondez à quelques questions avant, vous êtes d’accord?
- J’ai l’air d’avoir le choix?
- C’est ce que je pensais. J’aimerais savoir qui vous êtes et ce que vous venez faire ici.
- Nous sommes des explorateurs venus de la Terre pour explorer l’univers et enrichir nos connaissances afin de combattre nos ennemis, commence le colonel
- Désolé de vous interrompre, mais qu’est-ce que la Terre?
- La Terre est notre planète et nous voyageons de planète en planète grâce à la porte des étoiles
- Vous voulez dire le grand anneau d’où un gros machin est sorti?
- Exactement, répondit le colonel. Pourrais-je savoir à qui je parle et pourquoi nous sommes vos prisonniers?
- Je suis Elzar, commandant des forces Vingaars et vous êtes prisonniers, car nous ne savons pas si vous êtes des ennemis alors en temps de guerre nous ne prenons aucune chance
- Une guerre contre qui, demande Meloche
- Une guerre contre les Trogols qui durent depuis plusieurs générations, mais je vous épargnerez les détails. Le principe étant que l’on ne veut pas leurs laisser prendre notre territoire. Mais pourriez-vous nous aider à gagner cette bataille? Vous avez l’air d’un homme bien et vous avez des armes étranges. D’ailleurs, ce soir j’ai failli lancer quelqu’une de vos armes dans le feu, mais a la dernière minutes je me suis ravisé que je ne devrais pas faire ca.
- Vous avez bien fait, si vous nous libéré moi et mes hommes et que vous nous donnez un lit et de la nourriture, nous pourrons vous montrez demain ce que nos armes peuvent faire.
- J’organise tout ca et demain à la première heure vous allez devoir nous montrez l’efficacité de vos armes contre nos ennemis. Si jamais elles n’ont aucun effet. Vous allez signer votre arrêt de mort.

La deuxième va parraître très prochainement vue que je suis forcé d'arrêter de travailler

[Sempiternel]

Hum, je voudrais quand même savoir si tu te relis. Je ne veux pas paraître désobligeant mais je crois que tu as vraiment un très gros problème de syntaxe et de temps de conjugaison. Je le répète, tu mélanges présent et passé, certains mots ne sont pas dans le bon contexte, il y a trop de fautes d'orthographe. Certaines phrases n'ont aucun sens.

Concernant le fond du texte, c'est une autre histoire... Il y a une incohérence monumentale :

Les hommes prirent ensuite feu et furent brûler totalement.

Vous avez bien fait, si vous nous libéré moi et mes hommes et que vous nous donnez un lit et de la nourriture, nous pourrons vous montrez demain ce que nos armes peuvent faire.

Bon là, tu constateras qu'il y a un gros problème. Un officier qui voit brûler ses hommes ne prête pas assistance sciemment aux tortionnaires.

De plus, tu as des expressions curieuses :

Elzar s’approche du colonel en baissa et lui demande s’il aimerait avoir des fruits. Meloche répond qu’un bon camion de fraise ne serait pas de refus.

Je suppose que ça a une vocation humoristique, mais il me semble que le but n'est pas particulièrement atteint...

Bref, une suite laborieuse, tu n'as pas tenu compte des remarques qui t'ont été faites auparavant.

En toute honnêteté, ce n'est pas très bon...


Edit : je me suis fait exactement les mêmes réflexions que Mat Vador

[mat vador]

Étant tous de religion catholique et le territoire actuel ayant une grande proportion de végétation. Le bûcher ne pris même pas une heure à être installé. Ce bûcher est en fait un grand arbre coupé et débranché pour pouvoir accueillir le fidèle de Satan.

Allô, SOS syntaxe j'écoute?

-Attention mon colonel, une énorme boule de feu fonce droit sur nous.
-Voyons c’est impossible, Meloche tu le sais bien.
Puis une immense boule en feu tombe directement ou se trouve l’équipe qui se retrouve éjecté de plusieurs mètres a côté de la porte.

Warf mon Dieu j'ai mal aux côtes

Mais les batailles font de plus en plus de veuves qui doivent chercher un nouveau mari pour augmenter la population des nations.

ça c'est de la perspective sociologique

[guilain]

J'ai pris certain conseil, mais c'était pas mal déja tout écris. Je vais faire plus comme vous me le sugérer par la fin. J'aime beaucoup le côté humoristique de tes réponces mat.

Je vais réécrire une grande partie du texte pour plus de compréhension de votre part. En ralentissant le rythme ca devrait normalement aller.

[guilain]

Et voila je viens de corriger le prologue et le chapitre un. La suite devrait arriver pendant la semaine prochaine et merci beaucoup pour vos commentaires j'espère que j'ai respecté vos conseils.