CITATION
Sauf que ce que tu dis est faux. Tu n'as pas a parler d'ennemi. Ce n'est pas un choix...
L'adhésion à l'UE n'est pas un préalable de dégradations effectives des relations turco-européennes. Les intérêts de chacun ont toujours supplanté le reste.
La Turquie est rentrée dans le processus d'adhésion, à partir de là, elle fait différents efforts pour entrer dans les critères d'une entrée dans l'Europe. Tout d'abord, si la Turquie a été admise dans le processus d'adhésion, cela signifie bien qu'à terme, l'objectif est l'adhésion. De plus, si les critères d'adhésion sont remplis, pourquoi l'UE s'opposerait-elle à une entrée de la Turquie? Un refus entraînerait très probablement un refroidissement des relations. Ennemi n'est certes pas le terme exacte, de ce côté là tu as raison. Cependant, demander des efforts et ne rien offrir derrière n'amène jamais une amélioration des relations.
D'ailleurs, tu parles d'intérêt mais je pense qu'aujourd'hui, dans les relations UE-Turquie, le mieux serait l'incorporation de cette dernière dans l'union pour les raisons que j'ai citées auparavant.
CITATION
Les sondages au sein de la population anglaise montre une bonne avance pour les euroseptiques; Je n'ai pas les chiffres en tête, mais c'est de l'odre de 60 ou 70 % si c'est pas plus.
Depuis Thatcher (voire avant), les anglais ont toujours montré un certain scepticisme envers l'UE, il n'y a qu'à voir leur position envers l'Euro. De toute façon le Royaume-Uni n'a jamais été réellement un moteur d'une coopération politique plus poussée.
Sans imagination, il ne pourrait y avoir création.
Il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser l'imperfection et l'atteindre.
Avant une guerre, la science militaire fait figure de science comme l'astronomie. Après une guerre, elle tient plus de l'astrologie.