c'est le problème récurant dans tous les films de retour vers le futur, passé.... : la continuité temporelle. rien que dans SG on a trois version :
-1969 : le bond dans le passé c'est produit, il est nécessaire à notre réalité, la réalité n'est que le résultat de ce bond, bref, il ne s'est rien passé de bizarre.
c'est ce qui semble logique : on a remonter le temps et le temps que l'on connais est le résultat de ce retour dans le temps.
-2010 : Galère, on modifie le passé, pour que les évènements du futur ne surviennent pas, il y a mon incohérence que je peux replacer partout (dans continuum pas exemple )
si on modifie le passé, la raison pour laquelle on a modifié ne survient pas donc on ne remonte pas le temps pour modifier le passer et donc l'effet que l'on veux éviter survient effectivement.... et on se retrouve dans une boucle qui rends impossible l'écoulement du temps.... la seule explication c'est que lorsque l'on remonte le temps on déclenche la création d'une réalité alterné sinon on se trouve face à un paradoxe que l'univers ne dois pas pouvoir gérer.
-retour vers le futur, on va chercher l'EPPZ.... hum hum, en fait on peut voir les deux points de vue ci-dessus : on modifie le temps une première fois, donc on remonte le temps pour remettre à la normal....... et on se retrouve avec dans notre présent non pas avec un mais avec trois machines temporelles (des jumpers) et ça devient le bordel
....
les paradoxes...... difficile à gérer isn't it?
poursuivons : il y a la manière de remonter le temps : dans 1969 on remonte le temps mais on se déplace juste dans le temps : la porte disparait on se retrouve sous un missile.
quand on repart dans le futur on se déplace dans le temps et l'espace... aoutch, vous trouvez pas qu'il y a un problème là?
dans the last man.... on change carrément de porte..... pas facile, comme continuum.
bref je pense que c'est trop complexe à gérer pour les scénaristes et qu'il faut pas chercher
sinon, bon zode, j'aimerais juste savoir comme 400 ans plus tard Sheppard a pu traverser la zone à l’extérieur de la cité sous une étoile encore plus grosse sans même avoir un coup de soleil
