@ mon colonëËËËL :
CITATION
J'ai pas la sensation de parler à un littéraire ! Message -intention - contexte - lire entre les lignes ? Tu peux améliorer ces notions.
Mes compétences dans ces domaines ont été testées à plusieurs occasions, si cela te rassure. Peut-être ont-elles été mises à mal ces derniers temps par la lecture de tes messages, qui sont beaucoup trop clairs dans leur intention, pour proposer à mon cerveau ne serait-ce que le moindre exercice de décryptage
.
... Bref. Tu nous a montré avec une parfaite objectivé, et par un excellent argumentaire, que SGU est la série de trop, même pour son propre staff.
Le million de téléspectateurs fidèles qui la regarde? Complètement endormi par le soap.
Les fans qui la défendent? Ce sont des zombies.
Moi? Je ne suis même pas un littéraire, la créativité m'est inconnue. (ok, ça n'entre pas en ligne de compte
)
Les sondages de SGF? Toujours faussés par nature.
Les grands-mères? Toutes fans de soap et endormies par lui.
Le dénouement de SGU? Impossible.
On peut déterminer tout d'une série à partir du genre qu'on lui prête unilatéralement mais qui est nécessairement le sien parce que c'est ce que l'on pense.
On peut se mettre dans la tête des scénaristes, comme ça. Leurs messages "regardez SGU!" sont en fait, réflexion faite grâce à une analyse de texte capillotractée, des appels au secours, du genre "la chaîne nous tient en otage et nous oblige à faire une nullité".
La fin de SGU va nécessairement permettre la création d'une autre série (alors que les téléfilms ont un avenir incertain - mais ce n'est pas grave).
"Pour le coté multi-lectures" on peut ne pas [avoir] fait l'ascension" tout en déclarant que
toute l'analyse de SGU est faite depuis la S1).
Aimer un épisode typique de SF tout en aimant un épisode fondé sur les relations entre personnages, c'est une contradiction (notez bien l'idée : les goûts relèvent de la rationalité pure).
Tes opposants sont incapables de réfléchir ("Et vous dites que vous aimez la série parce qu'elle est plus adulte, qu'elle vous fait réfléchir, heureusement que vous n'avez pas à le faire sur le forum.") et ont forcément "la tête 'dans le U'", mais toi, non, tu es objectif, tu n'as pas la tête dans la hantise de SGU.
Le public de SF est rationnel et analytique, mais les autres publics...
Un épisode ("celui du décès de Spencer") est "insipide et navrant", objectivement, parce que tu penses qu'il l'est.
SGU n'a aucun rapport avec l'univers Stargate.
C'est un pur produit marketing.
Seuls les anti-SGU ne sont pas des moutons.
Il y a un "phénomène" SGUsucks - un phénomène, oui, vraiment, des millions de personnes qui disent que SGU ne vaut rien.
"c'est pas facile de se rendre compte qu'on s'est fait capter et endormir par du soap, comme les personnes agées par les feux de l'amour ou Dallas."
SGU n'a pas de scénario.
SGu est un soap.
Le soap, c'est mal.
Quant à Dallas, "quand on ne la regarde pas, on n'aimerait pas être 'dedans', mais si on commence, on est vite capté dedans. On pige pas pourquoi mais on n'arrive plus à en sortir"... à part toi puisque "tu ne veux pas être capté" et que tu as, toi seul, cette faculté de t'en extirper.
Il faudrait peut-être déclasser SGU par rapport à SG-1 et SGA sur ce site.
Seul le "vrai Stargate" peut avoir du succès.
SGU conserve une audience qui ne va pas en dessous du million, mais "elle a râté sa période de fidélisation".
On peut torturer la langue française pour parvenir à ses fins (voir le sujet "Interview de R. Carlyle).
Un fan de SGU n'est capable que de ressortir "le projet vendu par le staff" (même s'il n'a jamais auparavant regardé les interviews où ce projet est exposé).
C'est juste un petit résumé d'une partie de tes interventions, fait en remontant le sujet (j'ai retiré certaines choses, pour ne pas être trop méchant)... Heureusement qu'il y en a d'autres plus valables, mais ces derniers temps, ce n'est pas très convaincant (à mes yeux du moins) ; c'est plutôt lassant, et l'intérêt n'est plus vraiment là.