Voilà comme j'avais dit sur mon fixe, j'ai aussi une fic. (oui je me suis lancé dans l'écriture de plusieurs fics courtes mais la plupart dont Notre Vérité se trouve sur mon portable HS)
Cependant le week end je peux avoir le fixe à disposition pour écrire cette fic à laquelle je vais plutôt me consacrer uniquement pour l'instant. (Bien sûr si aucun problème externe)
Voilà c'est un cross over entre World invasion ( Battle los angeles 2011) et stagate.
Les personnages des deux univers ne m'appartiennent pas mais je me suis amusé à les utiliser sans aucun bénéfice autre que le plaisir.
Bien sûr ce sera plus du BL 2011 pour les deux premiers actes aux moins (il y en a cing) mais cela redeviens du stargate rapidement. En fait cela dépend de l'endroit ou se déroule l'action.
Bref, j'espère que ça plaira. Vous verrez le style est proche de Notre Vérité avec quelques exeptions.
Résumé :
Alors que la Terre vient de subir une attaque extra-terrestre sans précédent. On découvre que l'humanité avait les moyens de s'en prémunir. Et à présent engagée dans une guerre meurtrière ... de se défendre. Mais encore faut il savoir qui l'on combat pour savoir où frapper.
La fic :
Stargate : World Invasion

11 août 2011:
CNN :
...Une averse météorite sans précédent tombant au large de Tokyo, toute la ville...
...Situé à l'est de la vallée, le conseil que nous vous donnons est de rester...
Acte1 : Ruée vers l'eau
Los angeles, Santa monica:
...Bon mercredi matin, Voici les condition matinales de surf à la station...
-Force un peu! Vas-y !se dit il à lui même.
Après avoir fait sa série de pompe, ce dernier commença les abdos et les tractions.
L'homme, à la courte chevelure blonde se mit au footing sur la plage du camp Pendleton, sous le soleil californien.
Il courrait depuis un moment et il ressentait déjà la fatigue. Sa vitesse de course avait déjà diminuée de beaucoup, son organisme peinait à suivre sa volonté.
C'est alors qu'une file de jeunes recrues le doubla.
-Bonjours sergent! Saluaient ils en le dépassant à une vitesse humiliante. C'est alors que le dernier en difficulté vis a vis de ses camarades le rattrapa.
-Monsieur!
Le sergent-chef s'arrêta essouflé!
-Bonjours les petits gars.
Plus tard près des voitures, un des jeunes soldats le salua avec malice. Une bouteille froide à la main. Le sergent Michael Nantz sortit un sachet de glaçon qu'il montra à son subordonné. Puis la posa sur sa cuisse.
Un de ses collègues gradés et âgé lui adressa la parole de manière bon enfant.
-Vous savez ce qu'on dit sergent! C'est ce qu'on sent qui fait qu'on se sent vieux.
-Oui c'est ce qui m'inquiète, je ne sens plus rien nulle part. Répondit il à son collègue afro-américain devant la plage californienne.
Plus tard dans la voiture, alors que la radio parlait de Chute de météorites le vieux soldat repensait à sa vie, sa carrière. Vieux, c'est comme ça qu'il se trouvait. Mike pensait vraiment se reconvertir dans l'instruction des recrues. Le terrain n'était plus pour lui. Et puis, il devait peut-être penser à une vie de famille, trouver une femme.
Chine, Hong-Kong : En ce 11 août 2011 un homme se promenait dans les rues de Hong-Kong.
Il avait comme de nombreux jeunes chinois, un faible pour le gel et s'était hérissé des pics sur la tête. Habillé à l'occidental, chemise à fleure et jean on aurait même pu le prendre pour un touriste expatrié. Avec sa compagne, le jeune chinois marchait main dans la main, au coeur de la cité revenue sous l'emprise de l'empire du milieu après un long bail Britannique. Le passage anglais s'était fait ressentir dans l'architecture. Hong-Kong fut l'une des premières villes chinoises à ressembler aux métropoles occidentales. Ensuite en vue de la démographie et de l'économie galopante, ce style s'est rapidement répandue dans le reste de la république populaire de Chine.
Lui, il n'avait rien à reprocher à l'histoire. Il était certes un soldat mais il était surtout en permission.
D'ailleurs hormis son corps athlétique, peu de gens le prendraient pour un soldat. Il avait l'habitude d'être confondu avec ces nouveaux riches.
-Yen Que se passe t'il?
-Mon téléphone c'est Zao, il me dit de regarder la télé. Il dit que la base nous rappelle...il parle de maintien de l'ordre.
-Quoi? Lui répondit sa fiancée. Mais, c'est encore les manifestations? Cela ne te concerne pas toi... Lui dit elle se rappelant que ce dernier faisait partie des forces d'opération spéciales chinoises.
-Non Zu yi! Enfin je ne sais pas, il est pas clair.
Yen et sa bien-aimée rebroussèrent chemin vers un magasin multimédia qu'ils avaient dépassés.
Les médias parlaient de chutes de météorites imminentes et demandaient l'évacuation des zones côtières.
Ils comprirent alors que cette mission était bien plus que du maintien de l'ordre.
-Chérie je te veux loin d'ici.
Cité d'Atlantis baie de San Francisco:
Le soir s'était déjà couché sur cette journée.
Woolsey se dirigea vers lui d'un air résigné.
-Vous en êtes sûr Rodney?!
-Oui! Ca fait plusieurs mois qu'on cherche en vain. La boite noire du Sun tzu n'émet plus. Atlantis elle même ne capte pas le moindre signal résiduel. Le dernier petit signe reçut date de quelques jours après sa défaite face à la super-ruche.
-Autrement dit...une éternité. Termina Woolsey en se tournant vers les colonels Carter, Caldwell et Ellis.
Sam s'approcha de lui et inclina la tête.
-Nous avons fouillés la zone aux alentour d'où il pourrait se trouver, avec nos croiseurs respectifs. La recherche s'est révélée infructueuse. Et autant vous dire que la zone est immense.
-Cela ne va pas plaire à la chine. Répondit Richard Woolsey, sèchement mais sans agressivité.
-En effet! Ajouta Teal'c qui se tenait aux coté de samantha.
Le chef civil d'Atlantis faisait les cents pas dans la salle de commandement, sous les yeux de ses interlocuteurs et de l'expédition.
Il regardait autour de lui, le général Landry chef militaire de la cité était tout aussi inquiet de voir un vaisseau d'une telle importance technologique, porté manquant. Les colonels eux, le fixaient l'air d'attendre une décision des deux commandants. Tandis que les scientifiques présent montraient de plus en plus de mal à garder leur calme.
Le général Landry prit alors la parole, devançant son collègue civil.
-Et que donnent vos «sources» chez les Jaffas ou les Luxiens Teal'c? Demanda t'il avec une pointe d'espoir dans la voix.
-Je crains de vous décevoir Général Landry. Aucun Jaffa infiltré n'a mentionné une quelconque activité liée à votre appareil chez l'alliance Luxienne. La nation Jaffa dans son ensemble n'était elle même jusque là, pas au courant de l'existence de cet appareil.
Zelenka jusque là absorbé par son travail fit brusquement irruption dans la conversation.
-Messieurs...madame, je crois que...nous aurions du le voir il y a un moment déjà mais...
-Radek! Railla Mac Kay exaspéré par plusieurs heures de discussions stériles.
-Je crois que...enfin ce n'est pas obligatoirement une attaque...bref, des astéroïdes se dirigent vers nous...par milliers!
-Des astéroïdes?! Firent les autres en cœur.
Pendant qu'ils observaient l'écran du détecteur de la cité.
-Enfin je veux dire...c'est ce que l'ont croyait au départ. Mais à mesure qu'ils approchent nos détecteurs signalent plusieurs anomalies.
Rodney, repoussa Zelenka et prit sa place sur la console.
-Mais c'est impossible! Même la Nasa à sûrement déjà détecté ça. S'affola Mac Kay.
Une voix résonna alors au loin, Sheppard approchait rapidement en tenant son pad levé.
-Je ne vous le fait pas dire! La version officielle est une chute de météores qui devrait avoir lieu au large des côtes. Allez dîtes moi qu'ils ont raison...
Son ami et équipier le fixa d'un air circonspect.
-Il faut alerter l'armée, la population! Il n'ont rien de simple cailloux ce sont des engins mécaniques.
Chacun se regardait stupéfait, ils semblaient tous se dire «bon sang». Immédiatement après Woolsey et Landry se ruèrent vers leur bureaux mettre les hautes sphères au parfum. Tandis que Carter et ses deux acolytes se virent téléportés sur leurs bâtiments en orbite. Le reste de la cité était en ébullition, personne ne comprenait la situation.
Rodney tournait en rond dans la salle sous le regard médusés de Zelenka.
-Je ne comprends pas, comment se fait il que la cité n'ai rien détecté? Non...une fenêtre d'hyperespace aurait été détecté des semaines à l'avance...
-J'ai une hypothèse pour ça...
-Radek, vous savez bien qu'on a pas le temps de... Puis Mac Kay réfléchit et se décida à changer d'avis. Oui une hypothèse?! Allez y! Repris il.
Ce dernier releva ses lunettes du bout du doigt, tel un tique puis se mit à parler.
-Il est probable que ces engins n'aient jamais ouvert de fenêtres d'hyperespace...
-Mais d'où vienne il alors? Tout ce chemin? C'est incensé. Et puis vous n'allez pas me faire croire qu'Atlantis ne peux pas détecter des milliers d'astéroides en approche directe!
-Mais elle l'a fait, une fois notre système solaire pénétré, puis elle a identifié leur vrai nature mais c'est relativement tard.
-Attendez toute cette route, même sans hyperespace. Vous vous rendez compte que c'est ridicule si c'est une tentative d'attaque...et oubliez vous que nous avons le plus fabuleux détecteur de deux galaxies connues? S'insurgea alors le canadien.
-Mais notre galaxie est différente de pégase, elle regorge d'appareil spatiaux en tout genre, inconnus de la cité, la terre elle même possède un nombre impressionnant d'aéronefs. Si ces engins ne suivaient pas une route direct vers la terre, la cité les a peut être délaissé pour suivre les multiples fenêtre d'hypernavigation.
-Vous voulez dire qu'ils ont bifurqués et arrivent par milliers juste pour nous saluer?! Bien sûr...il se mis la main sur le front! Radek vous plaisantez?!
Sheppard intervint alors pour les séparer.
-On verra après d'où ils viennent! Je veux juste savoir s'ils représentent une menace et comment réagir.
Rodney pris son air exaspéré avant de répondre.
-Figurez vous que c'est ce qu'on fait. Et puis...bon sang ils sont des milliers.
-Ben on dirai pas! Je vais...
Landry et Woolsey arrivèrent précipitamment dans leur salle.
-Sur le siège des anciens colonel! Nos croiseurs en orbite vont à leur rencontre. Le colonel Mitchell est au commande de l'odyssey. Le Major Lorne sera à la tête d'une escadrille de … Jumper. C'est l'essentiel des directives pour nous. Mais la réaction à avoir est encore floue, on ne sait même pas s'il faut être agressif, prévenir la population de leur vrai nature ni même où diriger en priorité les forces militaires conventionnelles. Leur dit alors le général Hank Landry non sans inquiétude.
Woolsey prit alors la suite du briefing.
-C'est pour cela que vous, Rodney, Zelenka et tous les membres de cette expédition êtes priés de travailler cette prochaine heure à répondre à ces questions. Oui vous avez une heure, mesdames, messieurs, vous êtes à présent nos yeux et nos oreilles. Le docteur Jackson viens d'arriver, il pourra peut être nous aider si il y a tentative de communication.
Teal'c avança vers les deux chefs terriens.
-Je souhaiterai avertir la nation Jaffas de votre situation et si danger il y a, vous apporter notre soutien.
-Bien Teal'c, c'est ce que le président préconise. Fit le général en posant la main sur son épaule.
-Mais la CIS elle préconise que vous insistiez sur le fait que la menace n'est pas encore clairement définie et que la Terre serait encore apte à repousser toute traîtrise, si il devait y avoir une bataille nécessitant votre soutien.
Le Jaffa s'approcha de lui, droit, le regard noir.
-J'en prend note Richard Woolsey. Mais dîtes bien au CIS que douter de mon peuple ne motivera pas les troupes Jaffas. Le membre emblématique de SG1 se retourna puis partit vers la salle d'embarquement.
Woolsey baissa la tête légèrement, prit son souffle avant de la relever rapidement. Il n'approuvait pas non plus le comportement du comité de surveillance mais c'était son rôle. Le civil se reprit rapidement puis donna ses ordres aux scientifiques.
Bombay, Inde:
Le capitaine Mrija Moutoussamy était une magnifique jeune femme de Pondicherry, aux courbes plutôt parfaites. Son origine se reconnaissait à son nom et son faciès. D'ailleurs ses yeux d'un bruns très clair attiraient souvent l'attention. Malgré le traditionalisme familial indien elle avait réussi à faire preuve de caractère. Pour changer un temps des reproches de la famille elle avait intégré la fameuse Indian air force. Et avait réussie à se faire muter dans la zone de bombay.
Dans ce milieu d'hommes, dans ce pays aux traditions dures envers les femmes elle s'était taillé sa place parmis les pilotes les plus chevronnés du sous continent.
A présent elle se sentait libre mais pour combien de temps?! Ses long cheveux d'un noir profond lâchés et en tenue de ville, elle marchait rapidement vers ses quartiers dans la base. Rappelée à l'improviste.
Quelques pas la séparaient de sa chambre mais quelqu'un l'interpella.
-Mrija, enfin! Dépêche toi.
Cette dernière reconnut son amie, ayant à peu près le même parcours à la différence qu'elle venait de la zone frontalière du Pakistan. Elle était accompagné d'un jeune homme en tenue de pilote. Lunettes de soleil aux yeux, adossé au mur.
-Nalni, toujours aussi à cheval sur le règlement. Raj, tu ne l'aide pas à changer toi?! Dit elle moqueuse à ses camarades et subordonnés. Tandis que la jeune femme s'exaspéra et que l'aviateur sourit.
Une voie retentit alors. Un aviateur première classe les saluaient.
-Capitaine Moutoussamy, Caporal Amerabad et Ashparwa. Le général Jessing recommande votre présence d'urgence pour le briefing...immédiatement.
Atlantis:
Rodney s'approcha de Zelenka. Avec un air que le tchèque n'avait jusque là jamais vu.
-Radek! Laissez, je vais m'occuper du détecteur et de la communication.
-Ah bon?! Vous n'êtes plus trop...occupés? C'est mon rôle ça non? Répondit ironiquement son confrère.
-Aaah...écoutez moi enfin. Je voudrais que vous fassiez quelque chose pour moi. C'est urgent.
-Ben voyons, dîtes toujours.
Rodney, secoua les bras en signe d'approbation et de gêne.
-Vous vous souvenez de nos test avec la mise en relation de l'avant poste en Antartique et la cité? En théorie, on peut le faire...les simulations sont concluantes. Je voudrais que vous vous y atteliez.
-Quoi? Mais Woolsey à dit que...
-Je sais ce qu'a dit monsieur Woolsey. Mais on a pas le temps d'attendre la CIS, ni même d'attendre de savoir si on est menacé ou pas.
-Mais, D'après les simulations cela lèvera l'occultation. Si on s'est trompé sur la menace cela aura des répercussions terribles.
Rodney lui montra alors l'extérieur par la vitre, du bout de son doigt.
-Vous voyez la bas, c'est chez nous, il y a plein de gens dehors. Ecoutez le temps que vous mettrez à joindre les systèmes. On aura largement le temps d'identifier la menace. Si on s'est trompé c'est encore possible de vous arrêter, si on a raison vous imaginez à quel point vous aurez été important? C'est pour çà que je vous confie ce qui doit être fait le plus lentement et que je prend le plus urgent. Fini Mac Kay souriant et non sans un trait d'humour malsain.
-Je ferai de mon mieux même si cela vous tue de me demander quelque chose sans me rabaisser. Lui répondit Zelenka en marmonnant ensuite en tchèque.
Washington DC:
Le général était assis ou plutôt affalé dans son fauteuil. Au téléphone depuis un moment.
Il jouait en même temps avec sa plaque, marquée de Général J.J O'neill.
-Oui monsieur le président. La plupart des pays du monde évacuent leurs côtes. D'ailleur les capteurs des vaisseaux le confirment. Si les appareils continuent dans cette direction ils devraient aller dans les eaux un peu partout sur le globe. Officiellement on risque des petits raz de marrée mais vous savez que ce n'est pas aussi simple. Je préconise d'évacuer comme eux les villes côtières avec l'aide d'e l'armée et de diriger une partie de nos forces vers l'océan...Attendez monsieur! Il y a du nouveau.
Espace proche de l'orbite lunaire, croiseur Odyssey :
-Ici Colonel Cameron Mitchell pour l'Odyssey. On a une dizaine d'objet de tête en approche rapide. Toute communication est un échec. Je répète, la communication est un échec. Les échos montrent clairement un comportement intelligent. Trajectoire d'approche sur nos appareils.
-Ici le général Landry, approchez vous un peu.
-Bien monsieur.
L'Odyssey avança dans la direction des quatre objets lui étant dédiés tandis que les autres croiseurs comprenaient que deux seraient axés sur chacun d'eux. Les appareils étaient cylindrique avec une proue discale. Mais ils ne devaient pas être plus gros qu'un Airbus.
Une accumulation d'énergie fut détecté à leur proue. Puis rapidement des lasers de haute intensité furent stoppés par les boucliers.
-Nous sommes pris pour cibles. Les boucliers tiennent le coup. Informa Cameron plutôt calme.
-Ouvrez le feu. Lui intima Landry.
-Envoyez tous ce que nous avons comme nucléaire vers les groupes en position derrière les éclaireur. Armez les armes asgardes et les rail-guns.
-Bien monsieur.
Les dizaines de missiles à tête nucléaire, enrichie au naquada, filèrent vers les groupes à presque une centaine de kilomètres du croiseur. Les premiers missiles devraient effleurer la trajectoire des appareils agresseurs.
L'appolo, le Dédale et le Hammond se séparèrent rapidement afin d'avoir une meilleur couverture sur les échos ennemis plutôt dispersés. Puis tirèrent à leur tour.
Mais ils virent à leur dépend que, l'initiative des inconnus était loin d'être réduite au minimum.
Chaque éclaireur tiraient sur les missiles une salve laser, certains réussirent même à faire exploser deux d'entre eux à seulement quelques kilomètres du Dédale et de l'Odyssey.
-Ici colonel Caldwell pour le Dédale. Bouclier touché. L'onde de choc l'a drainé jusqu'à 70%.
-Reçu Colonel! Situation équivalente, boucliers à 80%. Major Marks, je voudrai que les armes à plasma abattent les appareils de tête.
-Fais monsieur.
La manœuvre fut répétée par les autres. Bien que les artefact semblaient doté d'une mobilité importante, quelques tirs seulement purent être évités. Un seul les réduisirent les un après les autres au néant.
Il ne semblaient pourtant pas effrayés. Une vingtaine de vaisseau du même type approchèrent rapidement.
-Abattez les! Et faites exploser les têtes restantes.
Marks s'executa et annonça rapidement que les la série d'explosion nucléaire avait détruit près de deux cent appareils ennemis dont deux vaisseaux d'attaque.
Carter et ses collègues ayant attendus un peu plus annoncèrent des chiffres supérieurs jusqu'à deux fois.
-Général, ici Mitchell. Le bilan de la première passe donne plus d'un millier d'échos détruit. Mais les dégâts dans l'ensemble de la flotte ennemie sont minimes. Des milliers d'autres sont en approche.
Les trois bâtiment ennemis d'attaque restant furent détruit mais bien que peu réactifs, les astéroides mécaniques n'en devaient pas moins être annihilés.
Les croiseurs firent décoller les chasseurs, tirèrent au missile d'interception et avec tous leurs canons possibles. Mais le bilan était là, ils étaient trop nombreux.
-Monsieur nous ne pourrons jamais tous les avoir.
-Nous l'avions compris, continuez la bataille. Atlantis se charge de prendre la relève.
-Monsieur le CIS a ralentit le transfert des drones sur la cité. Il n'y aura jamais assez...
-Woolsey nous a contacté, il a surpris un certain Zelenka forçant les codes de sécurités reliant le siège d'Atlantis aux drones du poste avancé. Il a tout notre soutien. Mais que nous soyons clairs, cela ne suffira pas. Nous réduiront probablement d'un bon tiers leur forces mais la bataille aura lieu chez nous. Le président dirige les forces armées vers les côtes afin d'accélérer l'évacuation. On essaie de prévenir la population mais les badauds sont très nombreux.
-Bien monsieur. On en abattra le plus qu'on pourra.
Un météore passant au dessus du bâtiment terrien et ayant évité les tirs multiples, se jeta sur le bouclier. On indiqua l'équivalant de presque deux gigatonne sur le bouclier.
Marks s'affola alors.
-Colonel. Boucliers à 40%.
Durban, afrique du sud :
Un homme à la carrure imposante avançait avec son unité. Il était de l'infanterie mais à coté d'eux des Tanks s'enfonçaient dans les rues de Durban. Si il enlevait son casque on l'appellerai Barracuda, à cause de la coupe qu'il avait adopté. Mais lui il préférait largement celui de Shaka, grand roi conquérant zoulou.
Le sergent Jacob Mawuku était venu avec les forces d'évacuations de la côte est et de protection des scientifiques.
Il croisa alors le regard d'une connaissance. Le docteur Nihasah Jahi prenait sa voiture pour se diriger vers la mer. Curieuse de voir ce qu'il se passera. Elle était une beauté africaine comme beaucoup le disaient. Mais lui n'aimait pas sa manière de défriser ses cheveux, cependant il admettait qu'elle était une femme plutôt respectable.
-Mademoiselle! Je sais que c'est très important pour vous mais je me permet de vous dire que je vous préférerai ailleurs...
Le ciel s'illumina alors, des météores se dirigeaient vers l'océan indien.
Elle le fixa souriante en entrant dans la voiture.
-Je vous promet de faire attention. Faites le pour moi aussi.
-Bien mad...
Un Tank passa alors l'empêchant de finir la discussion. Il se décida à accélérer la marche de son unité. Direction le port.
Cependant un de ses soldats arriva avec la radio. La nouvelle qu'il reçut de l'Etat major était inquiétante. Des Chasseurs JAS 39 Gripen, un hélicoptère Westland-super-lynx ainsi que quelques AH 2 approchaient en soutien, on lui annonçaient qu'il allait peut être devoir défendre la ville.
Il rechercha la doctoresse du regard mais ne la trouva pas. Elle devait déjà être loin.
Atlantis, baie de San francisco :
Rodney pressait Zelenka de finir lui rappelant que des pseudo astéroides s'écrasaient près des côtes.
Il y avait en fait non pas un objet mais de nombreux appareils regroupés en une immense grappe dans chaque météores. Vu leur taille s'il ne causaient pas plus de dégats c'est que ces derniers ralentissaient avant d'arriver.
Une lumière plutôt intense traversa les vitraux. Rodney se précipita vers le balcon le plus proche. Il rejoint alors Teyla et Ronon qui assistaient médusés à l'explosion d'un bâtiment de guerre.
Un météore s'était écrasé sur une frégate de l'US Navy, censé réglementer la zone autour de la cité.
Les autres bateaux déclenchèrent rapidement leur verrouillage et leurs missiles partaient abattre des objets plus haut dans le ciel.
Cependant ils n'avaient pas prévu que le danger venait de l'eau. Des engins de presque quatre de mètre pour les plus haut surgissaient sur certains navires et causaient des dégâts irréversibles.
De temps à autres l'un d'eux s'effondrait tiraillé par les tirs de tourelles ou par des lancement de missiles ratés.
Les frégates restantes et toutes les autres classes capable de manœuvre anti-sous-marine Se lançèrent dans une traque radar. Mais le mal était déjà fait. De nombreux appareils ennemis surgissaient.
Les trois atlantes se précipitèrent vers l'intérieur de la cité.
-Mac Kay allez donc presser Zelenka, je vais dire à Sheppard de ne pas l'attendre et de passer à l'action pour protéger votre flotte. Ordonna Dex en bifurquant.
-Moi je vais prévenir monsieur Woolsey et le général Landry du besoin de faire décoller les jumpers. Ajouta Teyla.
-Bien et dîtes lui donc que vous devriez poster des hommes lourdement armés sur les abords de la cité. Il faut se ruer vers l'eau.
Zelenka arriva alors en courant! Hurlant que c'était bon. Sheppard qui n'attendait que ça se concentra quelque peu puis plusieurs dizaines de drones décollèrent de la cité. Certains vinrent heurter les machines ennemies près de la flotte tandis que les autres montaient en Athmosphère détruire les météores arrivant.
Les quelques minutes de répit virent la flotte se rapprocher de la cité désoccultée. Devant les yeux inquiet des Atlantes. Woolsey et Landry arrièrent alors sur leurs balcons respectifs avant que le militaire ne parles.
-Ne vous inquiétez pas, ils ont été mis au courant. Ils viennent juste se mettre en position de défense autour de nous. Leur blessés seront téléportés par nos croiseurs ici. Alors préparez vous, la bataille ne fait que commencer, il va falloir défendre la cité. Lorne préservez vos Jumpers pour la prochaine vague.
Woolsey parla à son tour.
-Il semblerai que certaines forces ennemies ont amerris plus près des côtes et ont tenté une invasion de la ville de San francisco mais pour l'instant la défense tient bon. Cependant les pertes civiles sont nombreuses, l'évacuation est encore en cours. Si nous échouons il faudra détruire la cité et se téléporter vers l'intérieur des terres. Nous n'auront pas de quoi alimenter le bouclier avant que l'Etat major reprenne ses esprit alors courage.
Pendant qu'ils discutaient les autres drones de l'Antartique montaient vers la haute athmosphère et détruisaient des masses colossales d'ennemis. Mais ce ne fut comme prévu pas assez et presque une dizaine de milliers de grappes se dirigeaient encore vers les océans.
Cependant on observa une modification de trajectoire. Un bon cinquième avait détourné son chemin vers San Francisco tandis que les autres touchaient de nombreux endroits dans le monde. Près des côtes et des centres de population.
Cette fois ils semblaient impossible à stopper. Et rapidement les grappes revinrent heurter la baie de San francisco. Aux prises avec la marine et bientôt Atlantis.
Lorne et les autres pilotes aux jumper démangeaient déjà. Mais les ordres étaient d'attendre.
Plus loin les forces d'invasion débarquaient encore plus nombreuses sur la ville américaine.
Le Havre, France :
La nouvelle venait de tomber. Plusieurs villes de la côte normande étaient la cibles d'une attaque depuis que des météores avaient fais leur apparition, au dessus de la manche, de même de nombreux navires marchands n'ayant pas eu le temps de se dérouter envoyaient des signaux de détresse. Pire la Grande-Bretagne était aussi sous une attaque. Alors que la force maritime la plus proche était paralysée à Cherbourg on ne pouvait pas compter sur l'aide Britannique. Malgré les mises en gardes et les demandes d'évacuation de nombreux civils étaient encore sur place. Leur départ était toujours d'actualité malgré les pertes. Assis dans un des nombreux camions et blindés de transport, il le savait leur mission sera une fois l'évacuation terminée de tenir la ville du havre attendant les renforts terrestres et maritimes. Ils pouvaient compter sur les blindés déjà sur place et sur l'aviation.
Les transalls les avaient débarqués il y a peu non loin de la ville. Ils approchaient et voyaient déjà les fumées. A présent ils devaient aller au plus vite dans les zones proche de l'océan afin de contenir le débarquement ennemi. La ville était quasiment sans défense hormis quatre mirage 2000 arrivés récemment et de nombreux véhicules de particuliers fuyaient encore les zones envahies.
Le caporal Dimitri Dugard comme le reste son groupe d'une dizaine d'homme, commandé par le sergent Marc Mongin était équipé de la tenue de combat FELIN. A l'instar des soldats des trois autres sections toutes dans une compagnie commandes par le capitaine Chesnaut.
Ils ne pouvaient espérer pour l'instant du soutien que de deux escadrons de cavalerie, une patrouille de mirage 2000 et leur batterie de Caesar.
Ils arrivèrent rapidement dans la ville mais se rendirent comptent rapidement que l'ennemi avait déjà investi le centre ville et se déployait vers les zones encore épargnées.
Sa compagnie comprit qu'elle devait reprendre le cœur de la ville. Des rescapés leur faisaient état de massacres.
Les sections se séparèrent en divers groupes assistés par un ou plusieurs blindés selon les routes empruntées.
Le groupe de Dugard avait hérité d'un Leclerc et d'un VBCI dont ils se servaient pour la couverture.
On entendait au loin des explosions et on pouvaient observer la un équivalant de DCA ennemie essayer de détruire les mirages.
Pendant ce temps les météores arrivaient toujours en masse en dessinant de larges cercles de fumée dans le ciel.
-Dugard! Ecoutez, le but de toutes nos force sera de les repousser le plus vite possible vers la mer, ils n'ont que des forces terrestres. Mais en attendant les renforts notre compagnie n'est là que pour les contenir et faciliter l'évacuation civile. Interdiction de pénétrer dans les lignes. Vous ne quittez pas votre position! Ordonna le Sergent.
-Bien monsieur.
-Alors, je veux que vous preniez Chevalier et Aboukir sous votre commandement. On va laisser les blindés avancer dans la rue, on les couvrira dans le couvert des bâtiment. Les chasseurs signalent une importante formation à neuf heure après ce bâtiment! Je prendrai nos troupes pour les contenir depuis les fenêtres. Contournez la position, et demandez à Aboukir d'abattre leur dernière plateforme de combat mobile avec l'AT4. Finit le sergent Mongin.
-Aboukir, Chevalier avec moi!
Dugard avait conscience que la destruction de cette machine leur donnerai l'avantage sur l'infanterie adverse.
Il emprunta une ruelle avec son équipe tandis que les autres entraient dans le bâtiment. Le char et le VBCI approchaient de l'intersection mais si ils ne pouvaient pas identifier et détruire la plate forme ennemie les premiers, ils seraient la cible. Tout dépendait de Dugard.
Rapidement ce dernier déboucha sur la rue voisine. Notre soldat ordonna à ses hommes de stopper la course.
-Je le vois pas! Il n'y a que de l'infanterie. Contasta il.
-Caporal, derrière l'épicerie là bas. C'est une embuscade, ils servent d'appâts. Lui rétorque Aboukir.
Dugard Communiqua les informations au sergent qui proposa d'attirer le feu ennemi pendants qu'ils s'occuperaient de leur robot.
Chevalier leur fit signe que trois unités embusqués dans une ruelle, 200 mètres à 10 h risquaient de les faire repérer.
-Vous les avez sergent?
-Négatif caporal. Pouvez vous donner leur position?
-Oui monsieur je pense que ma caméra pourra transmettre leur position au char tout en assurant notre discrétion.
Aussitôt dit aussitôt fait, une violente explosion détruisit la facade cachée de l'épicerie. Et la caméra indiqua bien la destruction du groupe ennemi.
Juste après le chef de groupe, Mongin, engagea les troupes ennemies situées face à sa position.
-Réaction de la cible caporal?
Ce dernier se pencha de sorte à mettre sa caméra dans l'angle mais elle montra clairement que leur objectif n'avait pas mordu à l'hameçon. Ils devront comme prévu traverser la rue pour avoir une fenêtre de tir. Les blindés sortirent de leurs couvertures pour pilonner les positions de leur adversaire.
Les trois hommes avançaient cachés par les épaves de voitures civiles. Tandis que les envahisseurs tentaient de déloger leur collègues de leur couverture.
Les blindés avançaient sans craindre les armes légères ennemies.
-On y est presque... CONTACT. Hurla alors dimitri lorsque plusieurs unités sur un toit opposé les prirent pour cible. Ce dernier utilisa la caméra intégré de son FAMAS pour abattre un des huit opposant.
-Caporal, réaction de la machine ennemie. Je crois qu'elle nous a localisé.
-Bien utilisez votre lance grenade sur ce toit et on décampe de là.
A peine eurent t'ils le temps de s'executer et de dégager la position que la voiture explosa, les propulsant au sol.
-Aboukir, allez y, c'est maintenant...
il n'eut qua prononcer ces mots que la roquette fila vers la tête de l'appareil.
A terre. C'est ce qu'ils ont hurlés quand ils l'ont vu s'écrouler.
-Monsieur, leur infanterie se replie.
-Bien occupez leur positions, on les renforcera comme on peut. Leur escarmouche avait détruite de nombreuses façades.
Plus tard, les explosions redoublaient en fréquence mais cela faisait presque une vingtaine de minutes.
Ils observèrent leur ennemi, ces extra-terrestres étaient humanoïdes mais ne ressemblaient à rien de ce qu'ils imaginaient. Ces soldats venus de loin semblaient avoir leurs armes intégrés au corps. Nos humains essayaient de reconnaître des organes externes mais cela ne ressemblait rien de connu.
Atlantis, baie de San Francisco :
Evan Lorne avait décollé avec la majorité des jumpers. Seul quatre furent gardés en réserve.
Leurs drones avaient sauvés les navires à plusieurs reprises mais ils étaient à cours de munition à présent et l'ennemi était toujours en supériorité numérique.
Ils se résignèrent à rentrer en regardant une corvette se débattre avec deux structures ennemies.
Elle réussit à en détruire une avec ses tourelles mais la seconde lui tira une salve de missiles dans le réservoir de carburant.
-Bon sang. Ou sont les renforts? S'offusqua il.
-Quatre F-18 viennent de rejoindre notre position. Mais la majorité des appareils sont sur San Francisco. La ville est assailli de toute part. Les troupes au sol sont débordées et ne donnent plus signe de vie. Les seules informations que nous avons viennent de l'air force qui décrivent des groupes de soldats isolés en proie à l'annihilation. Les téléportations sont saturées. Il faudrait que vous les tiriez de là Major.
-Reçut général.
Les F-18 passèrent alors au dessus de leur formation tandis qu'ils continuaient vers la ville.
Sur Atlantis, Teyla observait horrifiée la scène se jouant devant elle. Des milliers de marins se faisait massacrer pour qu'elle et la cité aient plus de temps.
-Ils causent d'énormes pertes à ces saleté mais à peine on en détruit un que dix autres reviennent. S'énerva Ronon.
A leurs côtés une dizaine de marines partageaient le balcon. Dont un Rail gun, une mitrailleuse et deux AT4.
Woolsey vint observer la scène avec eux.
-La zone 51 vient de nous envoyer des générateur à naquada deuxième génération. On pourra alimenter le bouclier. Rodney essaie de faire au plus vite. Commença il en regardant Teyla.
Tout à coup une explosion retentit quelques étages plus bas. Une vingtaines d'engins de trois à cinq mètres de haut étaient sur les quais de la cité lentienne. L'infanterie ennemie arrivait par centaines.
-Teyla, rentrez dans la cité. Mettez toutes les personnes à l'abris.
-J'y vais tout de suite.
Une voix résonna alors au loin.
-Ronon c'est ça?
C'était Landry qui l'appelait avec un boîtier à la main.
-Qu'y a t'il?
-Vous êtes semble il un des meilleur guerrier ici?! La zone sud est en difficulté, les troupes ennemies y ont débarqués avec un nombre bien trop important de ces machines. Ceci est un boîtier laser. Prenez ces huit marines avec vous, il faudrait que vous puissiez les verrouiller. Cela guidera nos missiles sur eux. Détruisez en le plus possible.
-Vous pouvez comptez sur moi, pour ça. Répondit le satedan en ordonnant aux soldats de le suivre au pas de course.
La salle de la porte ressemblait à un immense hôpital avec des blessés au sol. Les infirmières ainsi que les docteurs Keller et Lam étaient débordées.
En effet il ne restait dehors que quatre navires valides.
Teyla était venue aider à les transporter vers les secteurs les plus solides d'Atlantis.
Rodney courait vers Woolsey affolé.
-Qui a t'il docteur Mac Kay?
-Nous détectons plusieurs dizaines d'Echos gigantesques au large.
-Pouvez vous les identifier?
-Non...mais ils semblent émettre énormément de signaux radio.
En orbite :
Quelques centaines de grappes continuaient à pénétrer l'athmosphère mais bientôt les croiseurs n'auront plus à les repousser.
Maintenant la bataille se jouait sur Terre. Mitchell écoutait impuissant les nouvelles. San Francisco et San Diego ne répondaient plus. On faisait état de violents combats et de lourdes pertes un peu partout dans le monde. L'attaque avait surprise mais rapidement des lignes de défense avaient été mises en place. Et elles tenaient, d'autant que les terriens avaient le contrôle du ciel.
Il avait été admis que l'eau était un objectif des agresseurs, car elle semblait être un élément en faveur de leur effort de guerre. C'est pourquoi il fallait faire comme eux, envoyer nos force vers elle pour les empêcher de prendre pied. Mais lui qui avait parfois écouté Carter parler d'Astrophysique, pensait comme elle que les suppositions des médias. Disant que c'était la ressource ayant attiré les convoitise étaient fausse. Il devait y avoir autre chose. Cameron l'admettait, elle leur était énormément profitable mais ce n'est pas, pour lui leur but principal.
-Mon commandant.
-Oui Major?
-On a un problème...
Chine, Hong Kong :
Il n'avait eut que le temps de passer un coup de fil à Zu yi pour s'assurer qu'elle était bien loin des prétendus météores. Cela l'avait rassuré car l'effroi qui s'empara de lui lorsque on lui dit que Hong Kong était attaquée aurait pu être pire. Yen était arrivé en retard lui et son commando auront donc pour mission de sécuriser une banque bravement défendue par la police et d'exfiltrer des membres du gouvernement s'y étant réfugiés avant que la ville ne soit divisée par une ligne de front.
Avant le bombardement massif.
Le bâtiment se trouvait derrière les lignes ennemies. Ils étaient escortés par des Shenyang J-11
Lui et sa section se trouvaient dans des hélicoptères de transport et avaient face à eux une vision d'horreur. Les grattes ciels étaient en feu. On observait des échanges de tirs dans les rues entre Tanks chinois, infanterie et les forces occupant Hong kong.
Au loin des Chengdu J-7 et J-10 écrasaient les positions ennemies. Ils détruisaient aussi toutes forces mécanisée approchant de la banque. Cependant cette dernière était toujours cernée par de l'infanterie équipée de matériel lourd. Ils perçaient lentement le cordon des blindés de la police.
Des tirs aliens tentaient de détruire les avions de la république populaire. Pendant que des policiers guettaient sur le toit de la bâtisse de trois étages.
-Bien on est au dessus, on va descendre en vol stationnaire à une dizaine de mètres du sol. Tenez vous prêts...allez.
Les hommes des forces spéciales glissaient le long des cordes.
Il ordonna au caporal Zao Lezhengian et neuf autres de descendre vers les étages inférieur prévenir les policiers non combattants et civils réfugiés de monter.
En effet les hélicos allaient devoir les évacuer pendant que les soldats attendraient leur retour afin d'être exfiltrés eux aussi.
Le caporal Dajie Chong Feng lui et neuf autres soldats devront rester sur le toit et couvrir Yen pendant qu'il allait soutenir le retrait des policiers de la rue.
Le lieutenant Tsang salua alors le chef de la police ayant protégé les VIP.
-Je suis honoré de votre bravoure vous et vos hommes avez beaucoup donné pour notre patrie. Nous sommes là maintenant. Faites monter tout le monde les hélicos vont se poser un à un. Le caporal Lezhengian vous aidera à porter les blessés.
-Merci. C'est moi qui suis honoré que vous nous sortiez de là.
A coté les hommes au bord du toit avaient ouvert le feu. Les dix neufs hommes restant se ruèrent avec Yen dans les escaliers. Certains avaient des lance roquettes au dos mais la plupart avaient juste leur QBZ-95, lance grenade.
Sur le toit les snipers mettaient au sol des unités ennemies embusquées ou pilotant d'après me visuel des chariots tirant des salves, comparables en terme de puissance à une roquette.
-Allez avancez. Shen prenez Yaw et Chau, déployez vous près du véhicule de police et aidez les à se replier vers la banque. Hurla alors le lieutenant natif de canton.
Il tira plusieurs rafales sur une créature face à lui avant que l'un de ses hommes ne détruisent la machine ennemie au lance grenade.
Il voyait les policiers remonter et dans le ciel les hélicos commençaient à s'en aller pour deux rotations encore.
-Bon sang il se relève celui là...la stupeur le pris voyant la créature se remettre debout même avec difficultée.
-C'est bon je l'ai eu mon lieutenant. Avec un chargeur ça devrais aller.
Une voiture explosa loin derrière eux, cible d'un tir énergétique. Deux Shenyang J-11 passèrent dans le ciel et rendit l'appareil à l'ennemi.
-Ca ne fait que commencer! Haha... S'amusa un soldat.
Bombay, Inde :
Mrija survolait Bombay dans son mirage 2000, elle escortait les Antonov transportant les troupes indiennes en renfort. Avec son escadrille dont faisaient partit Nalni et Raj.
Elle observait près de la côte des foyers d'incendies, plusieurs patrouilles de Mig-27 et de SPECAT Jaguar étaient aux prises avec les forces anti aériennes ennemies.
Mais les aéronefs jouaient leur rôle, ils retenaient sur la côte les troupes aliens. Pendant que l'armée de terre se dirigeait petit à petit vers eux.
-Vous avez vu ça les gars? On leur met la pâtée.
Mais la joie de Raj fut de courte durée. On avait détecté l'apparition d'un nombre important d'appareils et de gigantesque échos inconnus au large. Les premiers Mig-27 étaient déjà pris en chasse.
-Merde. Commandement ici Asmita leader. L'ennemi possède une force aérienne. Je répète force aérienne en présence, nous demandons des renforts adaptés. Rappelez les bombardiers.
-Reçu Asmita leader. Repoussez les, des renforts décollent pour vous aider.
-Ici Asmita leader à Parjee. C'est bon les gars on vous laisse là. On signale une forte activité près de la côte. Dit elle en s'adressant aux transporteurs.
-Ici Parjee. Reçu Asmita.
L'escadrille se dirigea alors vers l'océan. Tandis que les Antonov se dirigeaient vers le sol.
-Medabaar 3, je suis pris en chasse. La signature radar des ennemis est...
-Medabaar 3 ici Asmita leader répondez. Merde...
Le chasseur que l'inde avait commandé à la firme française Dassault se mit en formation avec trois autres aéronefs du même type. Tandis que ses amis faisaient de même dans les deux autres formations.
Le chasseur du lieutenant Raj Ashparwa, en tête de formation se lança au secours de Mig-27 poursuivi par des aéronef ressemblant tantôt à des disques épais tantôt à des part de camembert. Rapidement on comprit que les seconds se détachaient des premiers
-Ici Asmita 5. J'ai un visuel, j'engage l'ennemi.
-Je vous suis.
Sa formation le suivit et rapidement on vit le missile détruire la cible.
Mais une dizaine d'appareil supplémentaire venaient de se détacher.
Mrija Survola l'un des disques après lui avoir envoyé deux de ses missiles, en regardant en bas elle le vit s'effondrer quand ceux de ses subordonnés le touchèrent à leur tour.
-Wow, on est la chef.
Cependant une alerte résonna dans le cockpit.
Atlantis, baie de San Francisco:
Ronon avait déjà guidé les missiles au laser sur plusieurs cibles mais l'infanterie ennemie avançait toujours. Le site de lancement le plus proche avait été capturé. Et d'ailleurs ces explosions avaient endommagées une partie de la zone sud.
Soudain, quatre individus surgirent devant leur balcon, portés par des plates formes volantes.
-CONTACT. Un homme à terre. Hurla un des marines tandis que le groupe abattait l'ennemi au P90.
Ils avaient un homme à terre mais leur position tenait, cependant ils observaient au loin un étrange appareil abattant un Hornet. Ce dernier approchait la cité.
Dex voulut tester le laser sur lui et lorsque le missile détruisit la cible, il laissa apparaître un sourire de satisfaction.
Une multitudes d'appareils ennemis approchaient au loin.
-Merde on a plus de navires ici et maintenant c'est les Hornets qui dégustent...Merde ils nous prennent pour cible!
Ils s'étaient tous jetés à terre, lorsqu'ils virent que les tirs avaient été stoppés par le bouclier.
-La bataille est loin d'être finie. Il y en a qui ont réussi à entrer allez! Leur ordonna Ronon.
Dans le ciel les F-18 se retiraient pendant que l'escadrille de 302 arrivait.
-Ils devraient aider San Francisco plutôt...remarque un marines en faisant route avec les autres.
Woolsey faisait les cent pas. Si ce que Mitchell et Rodney disaient était vrai ils devaient impérativement détruire les structures au large des côtes. Les 302 auront du mal à passer.
Sheppard prenez Lorne avec vous et utilisez deux des jumpers, on pourra peut être en détruire quelques uns.
-Mon général?
-Je suis d'accords colonel, c'est impératif. Nos croiseurs ne peuvent pas entrer tout de suite en athmosphère. On multiplie les téléportations...
Une violente explosion se produisit alors dans la salle des Jumpers. Les engins ennemis sur les quais visaient la flèche centrale.
12 Août 2011 :
Live Los angeles CNN :
...Un ennemi non identifié à atteint nos côtes, dans une attaque...éclaire...il est impossible d'identifier ces ennemis mais une chose est sûre, le monde est en guerre...
...A 14h46 heure du pacifique, douze lieux différents à travers le monde ont été attaqué,au cours de ce qui semble être un assaut coordonné par un ennemi non identifié. Toutes les trouées ont été effectuées le long des côtes à travers ce qu'il semble être une campagne de domination éclaire.
Ceci est une invasion militaire dans les règles. Il y a de nombreuses victimes à New-York, Des lignes défensives sont mises en place à Boston et à 13 h 15 Zulu, nous avons perdus contact avec San francisco et San diego. Leur situation est inconnue, ce que nous savons c'est que nous sommes la dernière force offensive sur la côte ouest. Nous ne devons pas perdre Los Angeles.
A suivre : Acte 2 Nos foyers, nos familles et notre patrie.
