Science Fiction / Anticipation
Nombre d'épisode
3 épisodes
Information
Cet fanfiction sera courte. Elle sera composée de quelques épisodes. Chaque épisode est centrée plus ou moins sur un personnage.
Synopsis
Dans une ville très étrange, la règle est ce qu'elle est et tous doivent s'y soumettre, cependant, Aurore n'est pas de cet avis ...
Commentaire
Le lien avec Stargate existe mais n'est pas présenté dans ce premier texte. (quand je l'ai écrit, je voulais que cette première histoire ait l'air isolé du reste de la série). Au fur et à mesure que l'histoire avance les liens avec la série apparaîtront même si cette fanfiction n'a que très peu de lien avec la série (aucun personnages, ou ennemis de Stargate n'apparaîtront)
Liste des épisodes
* Episode 1 - Aurore (écrit et publié)
* Episode 2 - Héla (écrit et publié)
* Episode 3 - La femme (écrit et publié)
La suite : ZENITH
Une suite est en préparation. Elle s'intitulera "Zénith" et sera centrée sur les enfants d'Héla. Elle se passera 20 ans plus tard. Elle sera composé de 3 épisodes.
* Episode 4 (ou 2x01) : Zénith
* Episode 5 (ou 2x02) : Tomohisa
* Episode 6 (ou 2x03) : L'homme
Voici le sypnopsis de la suite.
Spoiler
Le combat pour la liberté n'était que le début de la grande bataille qui s'ammorçait face à la machinerie qui se cache derrière ce monde. Zéntih, la fille d'Héla et Tomohisa, le fils adoptif d'Héla, vont mener ensemble une enquête sur le lieu où se cache l'ordinateur central et surtout sur ses motivations. Malheureusement, la vérité sera très dure à entendre.
Si peu de temps et tellement de choses à faire. Voilà qui résumerai la condition humaine. On passe notre temps à nous soucier du lendemain, sans vraiment savoir ce que aujourd'hui est fait. Une vie tellement monotone qui nous force à vivre entassés dans ces villes tentaculaires sans regarder la personnes en face de nous. Une ville si triste et vivante à la fois. Ces bruits assourdissants résonnent entre les murs des building. Chacun d'entre eux est le résultats de effervescence humaine, et pourtant, elle nous plonge un peu plus dans le chaos de la routine. Malgré cela, tout reste, rien ne change. Ainsi, un bon matin les premiers rayons de soleil éclairent les vitres de ces monstres de fer. Les voitures roulent dans ces rues tellement embouteillées. Les personnes avancent, tranquillement d'un pas décidé, vers leur lieu de travail. Dans les maisons, à peine éclairé par l'horaire matinale, les enfants s'assied autour de la table pour déguster leur petit déjeuner. L'heure continue de tourner. Les parents activent les enfants, encore et toujours pour ne pas qu'ils oublient le car scolaire. Malheureusement, cette journée là, elle, une fillette de 12 ans, oubliera le car scolaire. Cette jeune personne l'avait fait exprès. Non pas qu'elle ne voulait pas y aller, mais elle avait tellement peur. Elle savait qu'aujourd'hui, elle allait devoir y passer. Elle s'assied derrière le canapé, espérant que sa maman, attentionné mais très rigide pense qu'elle soit déjà partie à l'école. Cette femme était plutôt mince. Ses cheveux luisait à la lueur des rayons de soleil. Elle s'approcha de l'évier pour mettre de l'eau dans son verre d'eau. Elle récupéra dans l'armoire sa boîte de calmant et avala tout le contenu. Sa fille, assise, ne fit pas un mot. Quelques temps plus tard, sa mère s'écroula, vêtue d'une simple nuisette sur le rebord de la table de la cuisine. Ses yeux étaient grand ouvert, une flaque de sang lui servait de lit funéraire.
Aurore avait tout vu, mais ce qui l'attendait était tellement pire. Elle laissa sa mère, par terre. Elle s'approcha du canapé, prit son nounours préféré et alluma la télévision.
A l'extérieur, le car scolaire s'arrête juste devant, mais, n'ayant personne devant , il continua son chemin. Dans ce car, de nombreux enfants s'apprêtaient à aller à l'école. La chose la plus surprenant était le calme ambiant qui régnait dans ce car. Chaque enfant était assis à sa place et regardait l'écran du car. Rien ne s'affichait sur l'écran, et pourtant, tous le regardait. L'une des passagère de ce car, Héla, remarqua que sa meilleure amie, Aurore était absente. Elle faisait mine de ne pas s'en préoccuper. Pourtant, l'adulte qui les surveillait l'avait senti. Le car s'arrêta devant l'école "Fishi Center Esperance". Les élèves détournèrent les yeux de l'écran et descendirent du car. L'adulte sépara les garçons des filles. Puis, dans un élan de zèle, il créa 5 groupes suivant la taille des enfants. Les enfants, ainsi répartis , se rendirent dans l'école et se dirigèrent vers leur lieux de classe. L'ambiance dans cette école était sinistre. L'on pouvait entendre des bruits horribles dans le couloir sans jamais savoir d'où il provenait. Héla, marcha devant, et remarqua que l'une des portes était ouverte. Elle remarqua ce jeune garçon, probablement plus âgé qu'elle assit sur la chaise en larmes. Elle envisagea de le rejoindre mais ne put s'exécuter. Elle connaissait la sanction. Le groupe s'avança et se rendit vers la salle au fond du couloir. L'inquiétude régnait dans le groupe. Mais tous semblaient résignés...
Dans les rues de la ville, les personnes ressemblent à de petites fourmis préprogrammées. Tous se dirigent vers le quartier des affaires. La plupart sont habillées en costume-cravate. Il est presque impossible de discerner les hommes des femmes,tant leur tenue sont identiques. Deux hommes dans une rue très étroites se cachent attendant que la foule ait fini d'aller dans les tours. Le temps est long et la ville étant grande, chaque minute supplémentaire à être caché augmente le risque de se faire prendre. Ils attendaient, longtemps. Lorsque la foule eut fini de se rendre dans les tours, les deux hommes ouvrirent la porte en bois et rentrèrent dans une vielle battisse enfoncée à moitié dans le sol. Le plus drôle étant la fenêtre qui donnait sur rien du tout hormis de la terre. Ils entrèrent, et lorsque la porte se ferma, il savait que maintenant, il ne pouvait plus faire machine arrière.
Aurore éteignit la télévision. Elle s'avança vers le corps inerte de sa mère et récupéra sa clé magnétique. Elle prit des vêtement noirs et sorti dehors. Elle observa autour d'elle le calme de la rue, vide de vie. Personne! Aurore, s'avança vers l'ancienne gare. Elle commença alors son périple. Elle longea la longue voie de chemin de fer. Elle savait que ce parcours serait long. Elle se rendit dans une maison abandonné près de la voie et l'ouvrit grâce à la clé. Elle récupéra à l'intérieur un sac rempli de nourriture, de l'argent, un couteau ainsi qu'un révolver magnétique. Elle prit soin de mettre les bouchons magnétiques. Elle referma la porte et continua son périple sur cette longue et sinueuse voie de chemin de fer.
Dans les bureaux, tous avaient les yeux fixés sur les écran. Un compte à rebours s'étaient allumé peu de temps après l'arrivée de tout le monde. Lorsque le dernier chiffre fut zéro, un message apparu. A la lecture de ce dernier, tous étaient abattus. L'un deux, tristes lâcha quelques mots. Tous le fixèrent et tentèrent de fuir la salle. Lorsque le son de ses mots furent enregistrés et analysés par l'ordinateur central, un son strident envahit le bureau. Une onde magnétique si intense projeta tout le monde au sol. Leur corps étaient en train de bouillir. En quelques secondes, la salle brûla. les cendres sont évacuées aussitôt. Dans les rues, un son retentit. Il était trop léger pour être audible, pourtant, un groupe de personnes sorti de leur maison et se rendirent dans la salle. Ils s'assied devant les fameux ordinateurs et commencèrent le boulot. Une tâche simple mais fastueuses, remplir des formulaires avec des "un" ou des "zéros".
Aurore continua sa marche. Elle était toute proche d'un précipice. la voie de chemin de fer s'arrêtait là. Elle se posa et récupéra le couteau. Elle le posa délicatement contre son bras et avec un geste courageux se coupa le bras pour enlever la puce magnétique. Peu après cela elle balança la puce par terre et continua de s'approcher près du précipice. Le vent se mit à souffler.Les feuilles tombèrent, tout comme notre chère Aurore.
Dans la ville, les lumières se mirent à clignoter de toute part.Les tours brillaient d'un rouge angoissant. Le soleil changea de couleur et plongea la ville dans une pénombre marron. Le sol s'illumina. Les personne qui travaillaient ne firent pas cas du changement dehors. La seule réaction qu'ils eurent fut à 17h00 lorsque tous hochèrent la tête et dire "hoc".
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suite et fin
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L'école était fini mais aucun enfant n'en sorti. Le jeune garçon qui pleurait se retrouva face à Héla. Cette dernière ne le regardait pas directement dans les yeux. Il l'emmena dans la salle et referma la porte. Héla ne put s'empêcher de jeter une ultime larme d’innocence.
Après le comportement étrange des personnes, tous sortirent de leur bureau. Ils se rendirent chez eux d'un pas décidé, à nouveau. Les rues rougeâtres, et la pénombre les mirent néanmoins dans un état anxieux. Ils savaient ce qu'il s'était passé mais ils rentrèrent chez eux sans rien dire.
La particularité de cette ville est que tous travaillent dans les bureaux. L'ordinateur s'occupe de leur donner à manger et à leur produire des divertissement. La folie des 0 et 1. Il faut dire que plus personne n'aurait le temps de cultiver ou de faire autre choses que ce qu'il est prévue. Sur toutes les rues, est écrit le message suivant, et même si plus personne ne le lit, ce message reste.
6h30 - lever
6h47 - déjeuner Adulte
6h49 - déjeuner enfant
6h98 - partir au travail/école
11h00 - déjeuner summum
??? (il est impossible de lire ceci)
17h00 - fin travail/école
18h35-19h35 - divertissement multiples
19h36 ou 20h36 - diner
21h00 sommeil
Les deux hommes venaient de rentrer dans la salle principale. l'on pouvait voir de vieux écrans LCD ainsi que de vielles technologies comme des smartphones. L'un d'eux alluma l'un des ordinateurs et commença à rechercher quelque chose. L'autre homme, distrait par les multiples posters sur les murs remarqua que l'un des écran s'alluma en rouge. L'autre homme fut surpris et se mit à avoir peur. Du gaz sorti des trous des murs. Les deux hommes s'évanouissent. Le gaz se dissipa, et des personnes, portant un masque récupèrent les deux hommes. Les gens masqués les déshabillèrent et les jetèrent dans la fontaine. Ils récupèrent leur vêtement et se rendirent dans l'école.
A l'opposé du quartier des affaires, les pavillons commencèrent à allumer la télévision pour regarder leurs programmes préprogrammées. Tous avaient la même chaine et le même programme. L'heure passait, les plus vieux se mirent à table tandis que les plus jeunes, se rendirent dans des salles obscures placées au premier étage de chaque maison. Ils refermèrent la porte à clé laissant pour ceux qui en avaient, les enfants devant la télé, éteinte cette fois-ci.
Près du précipice, le sac d'Aurore gisait. La jeune fille avait sauté. Heureusement, ce précipice n'était qu'une illusion. Aurore continua sa longue marche et arriva dans l'ancienne ville. Les bâtiments étaient pour la plupart enfoncée dans le sol. Aurore se rendit dans la bibliothèque et commença à rechercher des informations. Elle voulait comprendre pourquoi sa vie est comme cela, pourquoi, faut-il respecter la règle.Au cours de sa recherche elle trouva sa réponse. Malheureusement, elle n'aimait pas la réponse.
Il faut respecter la règle, toujours, tout le temps n'importe où. Tu as désobéit, tu sera punie sévèrement. Cependant, tu vas connaître la vérité. L'écran s'éteint et la bibliothèque scintilla de rouge. Une voix s'éleva.
"Il n'y a qu'une vérité et qu'une vie. Chacun est unique mais la vérité est universelle. Notre ancien monde était basé sur l'inconnu, l'incertitude du lendemain. Un beau jour, notre erreur nous à plongé dans une période de chaos. Nous avons alors changé de point de vue et avons créé cette ville pour que plus jamais le chaos règne. Cette ville st notre avenir... tu représente notre terrible passé. Sale être."
Une onde électrique traversa le corps de cette chère petite fille. Elle s'évanouit mais n'était pas morte. Ses yeux se fermaient mais purent voir des êtres en combinaison avec le masque. il transportèrent la jeune fille vers la fontaine et la balancèrent à l'intérieur.
Le lendemain, tout reprenait son cours. Cependant, certaines choses avaient changées. Héla avait étrangement vieilli et était désormais une femme de 25ans. Elle était accompagnée par un homme qui ressemblait beaucoup au jeune garçon qui pleurait. Dans les rues, les gens se rendaient dans les bureaux. Au loin, un garçon qui avait réussi à fuir du car courra comme il pouvait vers la voie de chemin de fer. Malheureusement, une femme l'arrêta. Elle l'étrangla et laissa le corps par terre. Elle rejoignit la foule accompagné par deux hommes qui avançaient d'un pas décidé vers les bureaux.
Rien ne change tout reste pareil. Ce monde est bien étrange. On est devenu de simple fourmi... à moins que nous étions déjà de simple fourni rempli d'illusion. La seule chose certaine est que même si cette vérité est unique, les villes elles, sont nombreuses et disséminés sur toutes les planètes de ce système solaire. Tous sont observés par ces satellites qui virevoltent autour des soleils artificiels qui inondent de lumière ces villes si angoissantes. Personne ne s'opposera à ce monde, car ils ne savent plus comment faire.