Stargate Community : la grande destinée[/font]
Chapitre 17 : Course poursuite, seconde partie[/font]
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A des milliers d'années lumières de là, en hyperespace, l'Origine continue sa route. L'équipage est sur la passerelle. Jeanet informe de la situation ; la flotte est détruite et à la merci de l'ennemi.
- Ils sont cuits, dit Pears. Qu'allons-nous faire ?
- Nous allons nous battre, s'exclame Christophe. Il faut évacuer la station, si les habitations sont toujours intactes, nous pouvons les sauver. Pour l'équipage de l’Atlas, je pense qu'un corps à corps suffira.
- Et s'ils détruisent l'Atlas ? Demande Komarov.
- Nous sommes trop importants, répond Christophe. Ils ne détruiront pas le vaisseau, au pire, ils apporteront plus de renfort. Tu te sens près.
- On a des amis, dit Guillaume. On va leur rentrer dedans. J'ai d'ailleurs une réflexion.
- Laquelle ? Demande Pears.
- Les Hostiliens sont très fort, mais ils se sont montrés vulnérables devant nos capacités, dit Guillaume. Et j'ai remarque qu'Erebus avait réussi à leur tenir tête grâce à ses dons.
- Tu veux utiliser tes capacités en même temps que tes muscles, dit Christophe. J'imagine que c'est la meilleure chose que l'on peut faire et c'est une très bonne proposition.
- Ca peut faire la différence, s'exclame Lakmayer qui vient d'arriver sur la passerelle. L'E2PZ alimente tout le vaisseau, je propose un rechargement dans une étoile afin de disposer de toute la puissance nécessaire.
- Et le processus de déphasage ? Demande Christophe.
- Guillaume avait déjà fais l'essentiel ! S'exclame Lakmayer.
- Vous avez fais quoi ? Demande Komarov.
Christophe révèle qu'ils ont développé une technologie permettant de faire changer de dimension le vaisseau. Ce dernier pourrait avancer librement dans l'espace sans avoir à subir les assauts de l’ennemi.
- Je connais cette technologie, dit Jeanet. Le colonel Carter a utilisé cette technologie pour déphaser un village et même une planète Terre dans une autre réalité.
- J'ai vu la série, dit Christophe. Quand nous allons quitter le vaisseau, Komarov vous activerait le processus de déphasage et vous vous positionnerez suffisamment proche de l'Atlas. L’ennemi ne s'y attendra pas. Quand nous nous serons infiltrés dans le vaisseau, j'activerais le processus de téléportation de l'Atlas. Les survivants seront téléportés sur l'Origine qui sera revenu dans l'espace normal. Une fois la manœuvre terminé, vous réactiverez la commande de déphasage et nous serons saufs.
- On peut entrer en hyperespace en déphasage ? Demande Pears.
- Non, il faudra donc s'éloigner autrement, dit Christophe. Le vaisseau passera en VSL, c'est une autre manière de propulsion plus vite que la lumière, ce mode pourra fonctionner en déphasage contrairement à tout autre moyen de propulsion plus rapide que la lumière.
- Et la station ? Demande Jeanet.
- Et bien, dit Christophe. Lakmayer, Damien et vous serez à bord. Vous allez vous arranger pour lui faire un bond d'approximativement un millions d'années lumière. Vous attendrez six heures avant dans faire un second et rejoindre la superporte. Ca vous laissera le temps, je pense.
- Très bien, dit Komarov. On va au feu !
Le vaisseau Origine quitte l'hyperespace pour atteindre une étoile. C'est une étoile bleue.
- C'est une étoile bleue s'exclame Jeanet. On ne peut pas se recharger dans une étoile pareille, on va mourir.
- Le vaisseau dispose d'E2PZ et il est plus neuf que le Destiné, les systèmes de survie pourront compenser. Ne t'inquiète pas, explique Lakmayer.
- Nous sommes en approche sur l'étoile, dit le lieutenant Davidson. Je prépare les collecteurs.
Le vaisseau navigue sur la couronne solaire, les instances variations de puissance sont canalisées par le bouclier, les collecteurs sont sortis et s'illuminent fortement, c'est la preuve qu'ils se rechargent. Le processus dure plusieurs minutes, puis le vaisseau quitte l'étoile en passant de l'autre côté. Christophe ordonne le passage en hyperespace.
A bord de l'Origine, la tension monte. Christophe offre à Pears, Jeanet, Lakmayer, Damien, Barnes et Firth une chevalière en or. Il explique qu'en appuyant sur le symbole de la chevalière, une arme se matérialise. Elle est identique à celle qu'il utilise. Elle a une forme légèrement arrondie proposant un canon principal et deux petits canons supplémentaire au-dessus et en-dessous du principal. La main doit être glissée vers l'arrière, avec une simple pression de la main, le tir peut être envoyé. Il ajoute que l'arme à différentes fonctions notamment celle d'envoyer des balles à projectiles au coup par coup ou en rafale, le processus est similaire pour les décharges de plasma. L'arme peut également, en fonction de l'ordre donné, généré un champ de particules qui vient désintégrer la matière visée. L'arme en mode plasma peut aussi envoyer des tirs plus concentré offrant une capacité de destruction plus performante.
- Pourquoi ne pas nous en avoir donné plutôt ? Demande Pears. Elles sont géniales.
- Parce que je n’en avais pas, répond Christophe. Le vaisseau dispose d'un synthétiseur d'objet, ça m'a pris du temps pour les créer.
- Admettons, dit Pears. Je pilote la navette ? Ajoute-t-il voulant passer très vite à autre chose.
Le commandant Pears prend les devant, suivi de Damien, du docteur Lakmayer, de Jeanet, de Guillaume, de Barnes et de Firth. Christophe salut militairement Komarov puis, il quitte la passerelle. Tous embarquent dans l'une des trois navettes du vaisseau. Cette dernière a la même forme que le vaisseau mise à bord que les bords sont beaucoup plus arrondi et sa couleur à une teinte ocre. L'Origine quitte l'hyperespace, il est dans le vide stellaire bien loin de la zone de combat. La navette se désarrime et quitte la position du vaisseau et file dans l'espace lointain. Komarov, Davidson et Forman assistent à l'en voler de la navette. Puis le colonel demande la mise hors de phase. Le vaisseau semble pendant un temps s'effacer de la réalité puis disparaît de l'espace normal. L'équipage ne voit pas trop la différence. Davidson enclenche les propulseurs et suit la navette, pour les prochaines heures, ils seront indétectable.
Les membres d'équipage de la navette attendent assis, finalement le temps est la seule chose que rien n'ébranle. La navette arrive à porter de scanner, une communication s'établie entre la navette et l'Atlas. C'est le commander Hostilien en personne qui répond :
- Bien le bonjour. A qui ai-je l'honneur ?
- Je suis Christophe commandant suprême alias l'élu.
- Effectivement pour chaque prophétie, il y a un élu, répond le commander d'une voix bien fier. Mais le grade de commandant suprême est un peu exagéré, pour cela il vous faudrait une flotte digne de ce nom. Et pour le moment, vous n'avez plus rien.
- J'ai une requête ? S'exclame Christophe.
- Une seule ?
- Au fond de la navette se trouve trois civiles, je souhaite que vous les téléportiez dans la station. En échange, le reste du personnel militaire, mon bras droit et moi-même vous rejoindront sans résistance.
- Et bien qu'il en soit ainsi, semble se résigner le commander voulant semble-t-il privilégier la négociation et donc le compromis.
Soudain, Damien, Lakmayer et Jeanet disparaissent dans un rayon de téléportation. Ces derniers se retrouvent effectivement dans la station en plein coeur de la ville. Quelques membres de la communauté sont ici, au vu de leur visage, ils sont probablement chinois.
- Colonel Jeanet ! Dit un homme c'est bien vous.
- Jean-Paul est ici ? Demande le colonel. Il faut que je le retrouve.
- Je vais vous y conduire, s'exclame une femme un peu ronde et brune.
- Sandrine, dit Damien. C'est bien toi.
- Oui Daminou, dit-elle. Jean-Paul est avec Aurélie, Zelko et Cindy. Ils sont dans un immeuble.
- Une ancienne petite amie, sourit Lakmayer.
- Non, l'ex-femme de Christophe, s'exclame Damien.
Après tout ce temps, il n'avait pas remarquer qu'elle faisait parti du groupe. Damien se demande s'il y a encore des gens qu'il connaît et qu'il n'a pas vus.
Pendant ce temps, la navette a maintenu sa trajectoire et a intégré le hangar devenu presque vide. Seulement, cinq chasseurs Anciens y sont entreposés. En sortant de la navette, ils sont accueillis par 6 gardes Hostiliens portant un masque de fer, rien ne permet de distinguer leur visage. L’équipage de la navette est conduit sur la passerelle. Ils avancent tous dans des couloirs bien vide, certains endroits montrent des traces de brûler, d'autres montrent des pièces exposés au vide spatial.
- L'endroit n'a pas l'air trop endommagé ! S'exclame Pears.
- Tu n'as pas remarqué les quelques pièces sous mis au vide spatial, toi, dit Guillaume.
- Il s'agit du couloir central du vaisseau, c'est une véritable colonne vertébrale, c'est l'une des sections les plus protégé du vaisseau, répond Christophe.
L'un des soldats Hostiliens demande d'avancer plus vite, Christophe tourne la tête montrant sa désapprobation. Le groupe s'exécute tout de même. Ils arrivent sur la passerelle, on peut voir John et Frédéric à genou au centre de la pièce entourer par quatre soldats anonymes Hostiliens. Le commander Fragnus se tient devant eux, il les attendait. Barnes, Pears et Firth sont dirigés vers le côté de la passerelle, ils doivent rejoindre Isabelle, Sophie, Aude, Noémie, le docteur Weir et Janus. Christophe regarde le groupe captif alors qu'il s'avance vers le commander avec Guillaume.
- Bien le bonjour jeune homme. Nous attendions ce moment avec impatience.
- Mais tout le plaisir est pour vous, s'exclame Christophe faisant face au commander.
- Je ne ressens aucune frayeur en vous, dit le commander. Je doute que cela soit par ignorance.
- J'ai accepté la mort, dit Christophe. Je suis un parfait petit soldat.
- Grave erreur, commandant, dit-il. Nous ne sommes pas vos ennemis.
- Pourtant c'est un acte de guerre que vous avez opéré, s’exclame Guillaume.
- J'ai dis la même, rétorque Frédéric voulant se montrer dédramatisant.
- Vous ne pouvez pas comprendre nos motivations, explique l'alien.
- Nous ne les comprendrons pas si vous ne nous l'expliquez pas, s'exclame John.
Le commander s'éloigne du groupe obligeant Christophe et Guillaume à se mettre à genoux au côté de John et Frédéric. Après quelques pas dans un silence plutôt lourd, le commander exprime sa vision des choses
- Notre société a progressé avec la guerre. Alors que nous pensions la paix à notre porté, des éléments étrangers sont venus tout remettre en cause. Ce sont des générations d'Hostiliens qui ont vécu la peur de l'extermination. Elle est inscrite dans notre code génétique.
- Faites une thérapie génique, ironique Pears dans son coin.
Le commander esquisse un petit rire mais son expression montre bien le contraire, il se sent agresser par ses paroles.
- Imaginez vos femmes, vos enfants, voir leur proches mourir par radiation, déchiqueté par une bombe ou un faisceau laser parce que l'autre en face estime avoir plus raison que vous. La guerre est une absurdité des plus grandes mais elle est nécessaire pour survivre.
- Donc vous avez décidé d'envahir l'univers entier, dit Christophe.
- Bien des mondes l'ont voulu, dit le commander. Nous nous y sommes refusés. Nous avons colonisé des mondes vides de vie intelligentes et contrôlé les populations de monde inférieur ou vaincu. Autrefois, nous étions des exterminateurs, aujourd'hui, nous contrôlons les menaces.
Christophe tourne la tête montrant son désaccord, il ne sollicite pas la manière préventive que les Hostiliens ont appliqué.
- Vous n'êtes pas d'accord commandant.
- Pas vraiment, répond Christophe. Il y a d'autres solutions pour pallier les menaces extérieurs.
- Lesquels ? Nous en avons trouvé une. Nous déterminons qu'un peuple nous menace, on le démilitarise, réduisons ses ambitions d'expansions et les protégeons.
- Vous les protégez ? Demande Guillaume.
- Ils ont perdu la liberté, s'exclame John.
- Ils ont gardé la vie. Nous envahissons les mondes, limitons leur population en fonction de leur technologie et les intégrons à la fédération Hostilienne. Les nouvelles générations vivent en harmonie avec la notre et adopte notre modèle social et politique. L'empire Hostilien compte plus d'un million de galaxie où règne la paix, nous sommes en conflit dans des dizaines de millions d'autres mais à chaque avancer, nous garantissons la paix toujours un peu plus.
- Vous voulez le contrôle, dit John.
- Cette méthode est bien plus douce que d'autres qui ont adopté l'extermination totale des autres peuples pour faire prospérer uniquement leur race.
Christophe relève la tête, très étonné, la phrase du commander le choc et surtout cela réveille quelques choses qu'il sait déjà. Dans sa tête, il se pose la question à lui même :
- Cette histoire m'est familière.
- Cela s'est déjà produis et pas qu'une seule fois.
- Les ennemis des Cosmoniens ?
- Je vois que tu es au courant. Tu maîtrise de mieux en mieux le savoir qu'il est en toi.
- Mais comment lui est au courant ?
- As-toi de le découvrir ?
Le commander s'éloigne très calmement et semble intriguer par la manière physique de réagir de Christophe.
Pendant ce temps, Damien, Jeanet et Lakmayer sont menés dans un immeuble par Sandrine. A leur arrivé, il voit le général Nort debout regardant Jean-Paul, Aurélie et Zelko faire des manipulations sur des moniteurs. Jean-Paul voit le groupe arrivé et se ravit de les revoir. Jeanet lui demande ce qu'ils font.
- Nous cherchons un moyen d'avoir accès à la commande de bond vortex de la station, répond Jean-Paul. Le processus automatique ne sait pas activer et la passerelle de la station est détruite.
- C'est parfait, nous là pour ça, s'exclame Jeanet.
- Ah bon, vous savez comment ? S'exclame Jean-Paul.
- Qu'est-ce qui s'est passé ici ? Demande Damien.
- Après la destruction de la flotte, les Hostiliens ont téléporté tout le personnel militaire sur la station, répond Aurélie.
- Je leur ai ordonné de nous faire quitter les lieux, dit Nort.
- L'ennuie c'est que si nous faisons un bond, l'ennemi connaîtra nos intentions et nous en empêchera, s'exclame Jean-Paul.
- J'essaie de régler le problème, dit Nort. Le capitaine Ronson et le major Logan ont trouvé un Jumper et le moyen de quitté la station. A l'heure où je vous parle, ils vont essayer de faire une diversion avec le major fox qui est toujours dans l'espace avec son chasseur.
- Quel est votre plan ? Demande Jeanet.
- Nous allons faire exploser l'Atlas, s'exclame Nort. Ce sont les ordres de John. La perte du commander devrait nous laisser le temps de fuir.
- Le colonel Komarov est à bord d'un vaisseau déphasé, s'exclame Jeanet. Christophe et le reste du groupe sont sur l'Atlas. Si on se débrouille bien, nous seront en mesure de les téléporter.
- Et bien, cela demande juste de quoi adapter le plan, s'exclame Nort. Et bien transformons le plan A en plan B.
- Nos plans ne se déroulent jamais comme prévu, constate Jeanet.
Le général Nort entre en communication avec le major Logan qui est au commande d'un Jumper furtif. Le capitaine Ronson est avec lui ainsi que le docteur Josh.
- On vous écoute mon général, s'exclame Logan.
- Le colonel Jeanet et le docteur Lakmayer sont arrivés, ils disent être en mesure de rétablir le moteur à vortex. Cependant, nous avons un vaisseau déphasé dans les environs. Il devrait être en mesure de récupérer les membres présents dans l'Atlas.
- Et bien, ça ne sera peut donc pas une mission suicide pour nous, dis le major Logan.
- Josh a scanné le vaisseau, dit Ronson. Nous avons localisé les points faibles qui devraient faire exploser l'Atlas.
- Le colonel Jeanet m'informe qu'ils en ont pour moins d'une heure, dit Nort. Préparez votre offensive en conséquence.
Les communications se terminent. Le Jumper file en mode furtif entre les débris de la bataille spatiale précédente.
- T'en pense quoi ? Demande Ronson.
- Moi, j'en pense que c'est perdu d'avance, dit Josh. Je reste persuader que la destruction de l’Atlas est une erreur, si la station quitte la zone, nous n'aurions rien pour survivre.
- Tu as écouté où quoi ? Dit Ronson. Komarov est à bord d'un vaisseau déphasé.
- Mais le temps que le vaisseau passe en espace normal, nous rapatrie et qu'on entre en hyperespace est quasiment infaisable avec le temps de réactivité de la flotte ennemie.
- Je propose d'aller pas à pas, dit Logan. J'ai envoyé un message écris à Fox, ce dernier a bien enregistré les zones visées. Il faudra se tenir prêt.
Sur la station, le docteur Lakmayer et le colonel Jeanet ont modifié les protocoles, le quartier d'habitation est en mesure de quitter les lieux en faisant un bond vortex.
- Je vais informer Komarov et le major Logan de la situation.
- Et Christophe ? Demande Aurélie. Ils vont faire comment ?
- Il va affronter les Hostiliens à bord et se téléporter sur l'Origine, dit Damien. Je lui fais confiance, il y arrivera.
Damien se rapproche de Zelko et de Sandrine resté en arrière plan. Jeanet s'installe sur l'un des moniteurs tandis que Lakmayer se positionne sur une autre console. Aurélie propose de se positionner sur les scanners de la station pour déterminer l'évolution de la situation dehors. Jean-Paul s'occupera d'enclencher le moteur à vortex. Le colonel Jeanet donne son feu vert au général Nort qui décide donc d'ordonner l'attaque.
- J'ai une question ? Demande Damien. C'est quoi cette immeuble.
- C'est le centre névralgique des quartiers d'habitations mais aussi le noyau central de la station, répond Jean-Paul.
- Je l'ai découvert durant nos nombreuses interventions avec Jean-Paul sur la passerelle, ajoute Aurélie.
- N'ayant plus de passerelle, il semblait logique de se rendre ici, dit Jean-Paul.
Damien fait un signe de tête, Nort le regarde et lui fait un clin d'œil comme approuvant son comportement. En réalité, le générateur comprend maintenant que le personne civil commandé par Christophe est véritablement compétent. Il est conscient que les manipulations génétiques y soient pour quelques choses mais plus les jours passent et plus il comprend les dire du docteur Weir, il faut avoir confiance en ce groupe.
Sur la passerelle de l'Atlas, Christophe continue toujours de faire parler le commander Fragnus. Ce dernier a voulu mettre en avant ses valeurs et la raison pour laquelle, sa civilisation entreprenne cette campagne.
- Et vous espérez me convaincre. Vous nous avez fais capturé sur notre propre planète, vous avez détruis notre flotte et maintenant vous voulez me dire que c'était en un but parfaitement préventif.
- Commandant Christophe je comprends votre scepticisme, dit Fragnus. Mais vous êtes bel et bien une menace. Vous avez libéré les votre en usant de la guerre et non par la négociation. Vous avez tenté de détruire deux de nos vaisseaux-mères avec une planète. Mon propre frère, Fragnar, a bien failli cesser d'être.
- C'est un être supérieur qui est responsable de ce drame, s'exclame Pears. Vous êtes plus puissant que nous, qu'avez-vous à craindre.
- Un être supérieur qui n'est en rien une menace pour nous, tout juste une autre forme qu'il est facile de vaincre. Il est bien établi que vous êtes une menace galopante qui va remettre en cause notre supériorité et notre avenir, dit Fragnus. Je n'ose imaginer ce que cela peut impliquer pour notre civilisation et les milliers d'espèces que nous nous sommes juré de protéger.
Soudain, des secousses se font sentir sur le vaisseau, le chasseur de Fox le longe et tire avec ses phaseurs, des dizaines de boules d'énergie percutent la coque du vaisseau Atlas. Le Jumper réapparaît également, propulsant quelques drones. De multiples explosions apparaissent sur le vaisseau. Des dizaines de chasseurs Hostiliens les poursuivent.
- Logan, je crois que des manœuvres d'évitement s'imposent.
- Tu crois, 30 chasseurs contre un Jumper et un chasseur Ancien, ça va le faire, tu crois. J'ai une idée. Suis-moi !
Le Jumper et la chasseur de Fox quitte la zone de combat pour s'éloigner dans l'infini de l'espace. Josh panique, il fonce vers le fond de la navette. Il déclare qu'il va activer le bouclier du Jumper, ça va lui prendre quelques minutes. Les nombreuses manœuvres d'évitement ne suffisent pas, quelques impacts touchent le Jumper, rendant les manipulations très difficile pour le docteur. L'ennemi les surclasse en nombre, même avec les boucliers, ils ne tiendront pas longtemps. Soudain, l'Origine apparaît et décharge ses batteries de défenses sur la flotte de chasseurs. Une multitudes de chasseurs disparaissent dans des explosions imposantes, l'intervention permet au Jumper et au chasseur de gagner de la distance.
- Fox, Logan, vous ne pouvez plus rien faire. On se charge du reste. Vous rentrez sur la station, s'exclame Komarov.
- Mais monsieur, dit Fox.
- Je vous ai donné un ordre, major. Je suis toujours votre supérieur hiérarchique.
Logan et Fox commandent donc leur appareil en direction de la station qui commence à essuyer quelques tires de faibles intensité venant de la part d'un des chasseurs. Dans l'immeuble de contrôle, Aurélie informe de la situation :
- Une navette et un chasseur Ancien viennent vers nous. Le vaisseau de Komarov est apparu et attaque la flotte de chasseurs, les vaisseaux Hostiliens n'ont pas réagis.
- Faites-le bon dès que possible, s'exclame Nort. Komarov nous laisse une chance, qu'il ne se sacrifie pas pour rien.
- Je prépare le saut.
Très rapidement, l'énergie montre dans la station, la réaction des vaisseaux-mère est sans appel, de petits tirs viennent percuter la station, comme s'ils voulaient l'immobiliser sans la détruire le tout fait avec la plus grande prudence. A bord de l'Origine, Komarov s'est assis sur le siège de contrôle. Forman et Davidson s'occupent des commandes de pilotage et d'armement.
- Monsieur. Nous essuyions des tirs nourris de la part des chasseurs, dit Davison. Les v vaisseaux-mères n'ont pas réagis et attaquent la station en y envoyant des tirs de faible intensité.
- Ils veulent sûrement immobiliser la station sans la détruire, constate Komarov.
- Monsieur, je contiens les chasseurs mais certains de leur tirs ont abîmé des sections du vaisseau, hurle Forman. Je les isole.
Très vite Komarov analyse la situation, il sait que son vaisseau pourra éliminer les chasseurs, mais à l'inverse il sait aussi que les vaisseaux-mères ne feront qu'une bouché de leur vaisseau. Il ne voit qu'une solution.
- Ils n'auront pas le temps de fuir, s'exclame Komarov. Forman, il parait que vous êtes bon en bombe.
- Oui monsieur, répond Forman.
- Faites-moi de ce vaisseau une bombe géante, dit Komarov.
- Nous ne pourrons plus aider, le reste de l'équipage sur l'Atlas, dit Forman.
- Ils sont déjà perdu, il faut sauver les civiles, s'exclame Komarov.
- Si je comprends bien, on ne s'en sortira pas, dit Forman baissant la tête. Bien monsieur.
- Davidson, on va sur l'un des vaisseaux-mères, dit Komarov. On se rapproche de la passerelle pour qu'il ne puisse pas utiliser leurs armes principales
- Ca nous promet un voyage d'enfer, mon colonel, dit Davidson.
- C'est en bravant l'enfer que l'on contera nos exploits, dit Komarov. On mourra en héros.
L'Origine modifie sa trajectoire et se dirige vers l'un des vaisseaux-mères Hostiliens, il essuie toujours les tirs des chasseurs et commence à encaisser les tirs de défense des vaisseaux.
Pendant ce temps, l'équipage de l’Atlas est à terre sur la passerelle, les secousses viennent de prendre par surprise tout le monde. Pears, Barnes, et Firth matérialise les armes de leur chevalière. Christophe saisit son sabre à plasma par la pensée. Fragnus l'avait gardé accrocher à sa ceinture. Déchaînant son sabre, le commandant coupe en deux l'un des gardes, au niveau de la taille, à sa grande surprise, il découvre un métal liquide coulant le long de la coupure. Les soldats Hostiliens sont en réalité des être artificiels, des machines sophistiques basé sur des matériaux métalliques. Le robot Hostilien se ressoude très rapidement et se relève. Frédéric, Guillaume et John se débarrassent des gardes les entourant par leur dons télékinésiques, puis ils attirent à eux leur sabre, eux aussi, resté aux mains de l'ennemi.
Christophe, John, Frédéric et Guillaume se positionnent de dos formant ainsi un cercle.
- Bon, force et maîtrise les amis. Utilisez vos capacités en même temps que vos attaques.
Christophe fonce donc sur l'un des soldats ennemis, le frappant au visage et le propulsant contre un mur, ce dernier se relève, John commence à échanger des coups au sabre avec un soldat ennemi. Frédéric, quant à lui, affronte deux soldats en même temps, il les esquive, les frappe de son point, saute par dessus l'autre, il doit encaisser les intenses choc de l'ennemi. Guillaume s'est rapproché de Pears et du reste des militaires, ces derniers tirent comme ils peuvent sur les soldats ennemis qui semblent avoir des boucliers individuels.
- Ce n’est pas vrai, encore des boucliers perso, s'exclame Pears.
Christophe finit par affronter deux soldats et Fragnus. Contrairement à la dernière fois, il arrive à contrer les attaques au sabre, ses dons télékinésiques agissent comme une prolongation de sa force. Fragnus lui accroche le bras, le bloquant et l'empêchant de bouger.
- Vous m'étonnez commandant, aucune créature humanoïde n'a réussi à me surpasser.
Christophe ferme les yeux propulsant ses ennemis en arrière.
- Ce moment est révolu.
Christophe fonce sur Fragnus déchaînant d'important coup de sabre. Le combat est puissant, et très technique, l'un comme l'autre ont une bonne maîtrise de l'art du combat. Là encore, les Hostiliens montrent une plus grande maîtrise et une très bonne compréhension des lois de la physique.
Guillaume appuie les militaires, les soldats Hostiliens finissent par déchaîner leur armes à énergie. Le docteur Weir passe devant Janus afin qu'il évite le tir, la décharge d'énergie est absorbée par son corps de réplicateur. Guillaume regarde cela avec une grande surprise.
- T'inquiète, c'est un réplicateur, dit Frédéric à Guillaume.
Frédéric et John ne sont rassemblés, ils partagent 3 ennemis. Ils tournoient l'un avec l'autre afin de parer et éviter les tirs, et les coups ennemis. L'un des tir est absorbé par le sabre de plasma de Frédéric.
- Je ne suis pas d'accord, dans Star Wars les tirs rebondissent, s'exclame-t-il.
Pears évite les nombreux tirs, il se cache derrière une console quasiment détruite. Il en a marre, ses armes ne fonctionnent pas.
- Il a dis qu'on peut concentrer la décharge, alors on va concentrer.
Le militaire, active un programme sur son arme, on peut entendre le chargement de l'énergie. L'arme vibre, le militaire le pointe contre un soldat ennemi et lui tire dessus. La décharge blanchâtre quitte l'arme et se propulse sur un soldat ennemis, son bouclier est traversé, un peu comme une bulle, le robot Hostilien est éjecté en arrière, son corps est abîmé, on y voit de nombreuses traces du liquide métallique coulé sur le sol. La créature artificielle semble se reconstituer.
- Ah non, je veux pas, hurle Pears.
Il saute par dessus la console et tire une seconde décharge sur le robot qui disparaît en morceau, ou plutôt en éclaboussure. Pears esquive un autre tir et se jette à terre, le docteur Weir saute vers un soldat Hostilien et le désarme, il la projette contre le mur. Barnes et Firth, répliquent la manœuvre de Pears et tirent simultanément contre l'alien qui est éjecté au sol. Ils renvoient une seconde décharge éliminant le robot.
- Bon, on sait comment faire, s'exclame Barnes. Faites attention capitaine.
Les deux militaires s'éloignent, après chargement ils tirent sur un second soldat et un troisième soldat. Christophe lui combat toujours seul le commander Hostilien qui se montre particulièrement habile. Le commandant se s'avoue pas vaincu, il accentue ses attaques au sabre, en déclenchant toujours plus de puissance et de rapidité, l'alien finit par être vite dépassé. Il disparaît dans un éclair de téléportation. L'Atlas intervient :
- Commandant c'est un plaisir de vous revoir. Il faut supprimer les boucliers ennemis.
Christophe ne réfléchit pas trop au pourquoi, il demande d'envoyer une décharge d'énergie sur les soldats ennemis pour détruire leur bouclier. Le commandant dégaine son arme principal en activant sa chevalier, John, Frédéric et Guillaume échangent leur sabre par leur arme de poing. En quelques secondes, ils chargent leurs armes et propulsent des décharges de plasma sur les soldats ennemis. Les neufs soldats tombent tous à terre, et un rayon de téléportation les fait disparaître.
Quelques secondes plus tard, ils sont rematérialisés dans l'espace. John demande à Atlas pourquoi il n'est pas intervenu plutôt.
- L'ennemi est entré dans mes systèmes et a bloqué toutes les fonctions qui m'étaient accessible.
- Je croyais qu'en tant que conscience tu pouvais éviter cela, s'exclame Frédéric.
- Les Hostiliens ont des méthodes plus sophistiqué encore, répond Atlas. Commandant, le vaisseau est hors service, je ne sais pas ce qui se passe à l'extérieur. Nous ne pouvons pas nous propulser.
- On a un sauf conduit, tant fait pas, dit Christophe
Soudain, un hologramme apparaît, c'est le commander Fragnus.
- Excusez-moi pour mon départ précipité mais j'avais des obligations tout autre.
- Ce n'est pas grave, revenez, je suis sûr que l'on pourrait s'entendre, rétorque Christophe.
- Erreur ! C'est vous qui allez venir à moi, dit Fragnus. Depuis quelques minutes, votre station essuie les tirs de mes batteries de combat. Elle est gravement endommagée. Si vous ne vous rendez pas, je la détruis intégralement.
Christophe ne répond pas. Soudain, la communication est perturbée et se coupe. Une seconde communication par contre à lieu. Komarov utilise son interface neuronal pour communiquer directement avec Christophe.
- Commandant, je n'ai pas beaucoup de temps. Je dois faire un choix, vous sauvez ou sauver la station. J'espère seulement que d'autres pourront vous secourir. Je tenais à vous dire merci, j'ai beaucoup appris à vos côtés. Je vous souhaite bonne chance.
Christophe n'a pas le temps de répondre, les communications sont coupées. Komarov, Davidson et Forman sont sur la passerelle, leur vaisseau est très proche d'un des vaisseau-mère Hostilien. D'ailleurs, ils sont littéralement au-dessus. Ils essuient un feu nourri venant du dessus du vaisseau.
- Mon colonel, hurle Davidson. Nous sommes trop prêts pour qu'il utilise leur arme principal sur nous.
- 'hyperpropulsion est en surcharge, explique Forman. Je viens de dérouter toutes l'énergie de l'E2PZ dessus, l'explosion devrait être suffisamment concentrée pour faire d'énorme dégâts.
- On va pouvoir traverser le bouclier ? Demande Komarov.
- Affirmatif, j'ai réussi à déterminer leur fréquence et j'ai donc harmonisé notre bouclier avec le leur, dit Davidson.
- Et bien messieurs, ça aura été un honneur de servir avec vous.
L'Origine présente beaucoup de départ de feu à sa coque, des tourelles sont détruis tandis que d'autres fonctionnent encore. On arrive à peine à décerner la surface du vaisseau, les tirs en cachent les détails. A l'intérieur, les étincelles jaillissent de partout, des sections entier explosent, d'autres sont dépressurisés et donnent carrément dans l'espace. Le navire arrive à franchir le bouclier Hostilien très facilement. Komarov esquisse un sourire, son sacrifice ne sera pas vain.
- Voilà ce que les terriens sont capables de faire bande d'enfoiré, dit-il en Russe.
La pointe de l'Origine percute la coque du vaisseau ennemi, non loin de la passerelle ennemie, ces derniers d'ailleurs voient le bâtiment percuté le leur. Puis, l'Origine explose dans une formidable explosion de lumière blanchâtre, l'explosion est contenue entre la coque du vaisseau-mère et son bouclier. L'énergie ne peut sortir, elle se diffuse donc là où elle peut, c'est-à-dire sur les dizaines de kilomètres, des milliers de tonnes de métaux sont chauffés et éclatent pour se détacher de la coque. La passerelle ennemie explose presque entièrement, le vaisseau Hostilien présente de nombreux de dégâts, le champs magnétique recouvrant la coque n'a pu le protéger à cause de l'intensité de l'explosion. La puissance de l'explosion et l'imperméabilité du bouclier ont joué contre le vaisseau-mère Hostilien.
Après que l'explosion est fais ses ravages, on s'aperçoit très vite, que toute la surface de la coque du vaisseau sur sa partie supérieur est endommagé, il a même partiellement fondu. Ce sont des millions de degrés qui se sont dégagés quelques secondes. L'armement est détruit et malgré la mutilation apparente du vaisseau ce dernier n'est toujours pas détruit.
Sur la passerelle de l'Atlas, on n'a pas assisté au spectacle mais ils ont bien compris que le sacrifice était nécessaire. La station spatiale a pu profiter d'un peu de répits, son coeur a été suffisamment chargé. Dans un dernier élan, elle fait un bond quittant la zone de combat. La communauté est pour le moment sauve.
Sur l'Atlas, l'ambiance est très loin d'être festive. Christophe informe, à l'aide de son moniteur placé sur son bracelet, que la station a fais un bond et que l'Origine a cessé d'être. Maintenant, ils sont seul sans moyen de défense. Le commander Fragnus réapparaît sous sa forme holographique :
- Je suis impressionné ! Votre vaisseau a fais beaucoup de dégâts mais il n'a pas détruis le vaisseau pour autant. Des vies inutilement sacrifiés !
- Il aurait du viser celui où vous étiez, on se serait débarrassé de vous, répond Frédéric.
- Vous êtes une menace non négligeable, cet exemple est flagrant rare sont ceux qui ont réussi à nous infliger autant de dégât, rétorque Fragnus. Et quand une menace est avérée, on la supprime.
Soudain, l'hologramme disparaît. Christophe détecte une montée en puissance venant de la part du vaisseau Hostilien intacte.
- C'est vrai qu'il y a de quoi être fier, on a mutilé trois de leurs vaisseaux, dit Pears.
- Qu'est-ce qu'on fait, s'exclame Isabelle. On va mourir.
Christophe ne sait plus quoi faire, l'issu est fatal, il se pose donc la question.
- Y a-t-il un chemin pour sortir de là.
- Il y a toujours une solution, ne désespère pas.
- Les Euros ont dis qu'il viendrait.
- Ne compte pas sur leur aide. Mais tu as les atouts pour t'en sortir. Les Cosmoniens t'ont donné une technologie vraiment extraordinaire.
Soudain, Christophe relève très vite la tête, il a un déclic, il saisit dans sa poche plaque avec un écran digital. Il l'avait obtenu sur l'un des piliers lors de sa phase d'initiation sans savoir à cela pouvait servir.
- Je sais maintenant à quoi il sert, je m'en souviens, dit-il secouant l'objet qu'il tient dans les mains.
- Il fait quoi ? Demande John très rapidement.
- Il ouvre des vortex comme celui des portes des étoiles mais sans porte, répond Christophe.
Christophe procède à quelques manipulations sur l'écran, Pears demande pourquoi il ne l'a pas utilisé plutôt. Le commandant lui répond qu'il cherchait une solution et soudain, l'utilisation de l'objet lui a été révélée subitement. Soudain, le bracelet digital de Christophe fait un bip. John regarde le sien, et détecte qu'un objet est en approche.
- Je détecte deux vaisseaux supplémentaire, il envoi un projectile dans notre direction, dit John très alarmiste.
- Dépêches ! S'exclame Frédéric à Christophe.
- Je n'ai pas le temps de déterminer des coordonnées, dit Christophe se retournant.
Il regarde Isabelle, l'air désolé, le regard de Christophe montre pour la première fois, des signes de détresses. Deux nouveaux vaisseaux viennent d'arriver dans la zone de conflit, l'un de ces vaisseaux a envoyé un projectile, il s'agit d'un missile qui se dirige droit vers l'Atlas, le vaisseau ne peut faire aucune manœuvre d'évitement, il n'a plus de propulseurs ni aucun moyen d'interception. Le bouclier est inopérant.
- Je suis désolé, s'exclame Christophe à Isabelle.
Le projectile n'est plus qu'à quelques centaines de mètres du vaisseau Atlas, et le moyen qui leur permettrait de quitter les lieux demandent beaucoup trop de temps. Les derniers membres d'équipages sont impuissants face à cette situation.
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Et voilà un gros chapitre qui se termine répondant à pas mal de questions mais en soulevant de nouvelles. Le calme va doucement revenir au cours des deux prochains chapitres mais ils apporteront chacun leurs lots de surprise. Il faudra donc attendre le vendredi 5 juillet pour découvrir la première partie du chapitre 18 avec enfin l'apparition des Euros qui seront présent de façon permanente dans les prochains chapitres.
Chapitre 18 : Les Euros : L'équipage est à la merci des Hostiliens. Un allié de poids vient les secourir.
@Eaglestorm78
Aller, j'en profite pour te répondre sans créer de double post. Saches que Christophe dispose d'informations acquis bien avant qu'il soit capturé par les Borgs. Ces informations lui ont été implantée par Spyce après la dilatation temporelle, il a acquis notamment les coordonnées du monde où il a fais son initiation (chapitre 13), des connaissances de combat c'est pour cela qu'il a réussi à s'opposer au Borg dans le chapitre 1. mais tu as raison c'est étrange, peut être que cela veut dire bien plus
Spyce et Christophe sont bel et bien deux personnages distincts. Spyce a précisé qu'il a choisi Christophe car il était proche et qu'il avait confiance en lui donc ça peut être de la famille, mais aussi des amis de combat lors de la résistance contre l'ennemi.
On voit déjà Spyce chapitre 13 en hologramme. Bien sûr qu'on le rencontrera dans le tome II.
Alors pour moi, la réincarnation n'est pas un attribut à l'espèce Cosmonienne mais à tout être vivant y compris les animaux, les végétaux. Mais bon, il n'y a pas de possibilité de voir un homme se réincarner en chien. Enfin je détaillerais ce processus plus tard dans la fic, car en répondant davantage, je risque de lâcher des infos qui te mettra à coup sûr sur la voie et je gâcherais la surprise.
Pour Pégase, ce sont des rumeurs qui circulent d'ailleurs, Teyla prédit elle-même un retour des ancêtres dans SGA. Et le retour des Anciens se propagera comme une traîné de poudre.
Je le dis pour la 5e race. Chaque race a un devoir de protection. Il y a eu l'ère des Anciens, l'ère des Furlings, l'ère des Noxs et l'ère Asgarde. C'est autour des terriens. Ils vont protéger l'amas de galaxie ancienne sous influence des Anciens. En devenant la 5e race, ils vont être guider par les précédents races, l'apprentissage prendra des millénaires avant que les terriens soient vraiment autonome. Nous allons bientôt arrivé dans l'ère des terriens.
D'ailleurs, je vous invite à consulter le premier post que je mets régulièrement à jour concernant mes avancés, les projets et bien évidemment les synopsis de l'ensemble des chapitres du tome I
Cliquez ici
Très amicalement, Spyce.
Fan Fiction : Stargate Community tome I : La grande destinée (Terminé)
Stargate Community tome II : Aboutissement (en pause)
Stargate Universe saison 3 : La galaxie de tous les dangers (Terminé)
Stargate Universe saison 4 : Convergence
Mon blog : http://sg-fic.skyrock.com/
