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2x09 SecretsMa note : 17,5/20
Aïlle ! Que tu es dur Atlanthor ! Mais je respecte tes goûts mon pote. Je me dois de défendre cet épisode et de lui remonter sa note, car il est à mes yeux l'un des épisodes les plus riches et des plus denses des deux premières saisons. Etendu sur une double intrigue (l'une à Washington et l'autre sur Abydos), l'épisode est particulièrement dynamique et captivant, du pré-générique, jusqu'à la dernière scène. "Secrets" injecte une énergie nouvelle à la série, et son scénario équilibre parfaitement les nouveaux éléments introduits avec du mystère, des révélations et des surprises.
C'est ici l'entrée en scène d'un de mes personnages secondaires favoris de Stargate : Jacob Carter ! J'ai toujours adoré l'idée de ce personnage et sa relation dans ses scènes avec Carter. Dans cet épisode aussi, Eric Avari nous fait le plaisir de reprendre le rôle de Kasuf qu'il tenait dans le film de 1994, et il n'y a pas à dire, l'acteur est excellent dans ce rôle !
Pour ceux qui voient l'épisode pour la première fois, ils retrouveront Sha're, à la surprise générale ! On découvre avec stupeur qu'elle est enceinte et sur le point d'accoucher d'un enfant prodige, un enfant dont l'existence est interdite mais pourtant très convoitée, et qui deviendra un nouveau fil rouge dans les saisons 3 et 4. Sh'are est définitivement un personnage maudit de la famille Stargate. Elle n'a jamais eu de chance et j'ai de la peine pour elle. Ses interactions avec Daniel sont pleine de justesse et même plutôt douloureuses. Le plus déconcertant à la fin, c'est de voir qu'Amonet aperçoit l'équipe SG-1 mais ne révèle pas leur position. Comme Skaara sur Klorel, Sha're garderait-elle de l'emprise sur Amonet ?
La fuite au sein du programme et l'idée d'une taupe dans les rangs du SGC est terrible car le journaliste est particulièrement bien informé, et que la population n'était pas prête, à ce stade de la série, à découvrir un projet qui est loin d'être encore maîtrisé par ses dirigeants. Nous n'avons jamais su qui était le commanditaire du meurtre du journaliste, mais il me plait de penser que le NID s'en est mêlé. Leurs méthodes incluent souvent le meurtre. Le plus déroutant à la fin, c'est d'entendre Hammond s'obstiner à dire que la mort du journaliste était un accident.
Et puis je ne pourrais pas conclure cette review sans dire un mot sur les apparitions succéssives de Heru'ur et Apophis, palpitantes et jouissives, qui jusqu'au bout contribuent à la dynamique de cet épisode. La confrontation au couteau entre Jack et Heru'ur était même extra ! Même si Heru'ur ne tiendra jamais sa promesse de vengeance sur O'Neill, cette correction m'a fait vibrer ! Et le pauvre Apophis, lui, est une fois de plus mis à mal et repart perdant, profiter de la fin de son règne qui s'achèvera bientôt.
) tient en haleine du début à la fin.
ce qui est marrant c'est que j'ai remarqué que quand j'aimé un épisode tu ne l'aimais pas et inversement, après chacun ses goûts 
c'est intéressant de voir que l'épisode ne fait pas le même "effet" selon le spectateur 
) pas à propos de l'enfant harsiesis. D'autant plus que par la suite, c'est lui qui sortira ce terme.
