Eh eh ! Trop de la balle. J'ai hâte de voir les effets lors de la publication du premier épisode... Si pour un petit prologue maladroitement écrit, j'ai déjà autant de commentaire, ça s'annonce bien... J'espère qu'il vous plaira et oui, je tiens compte des critiques.
Le corps de l'histoire existe, je sais où je vais, il ne manque plus que donner de la matière dans l'histoire, sans trop donner de détails afin de laisser le lecteur libre de son imagination. Je peux vous confirmer que le style d'écriture du prologue n'a rien avoir avec l'épisode 1 qui n'est même pas à moitié terminé (oh déjà 3 pages). Aller j'y retourne.... Par contre, soyez gentil avec l'orthographe, sinon Je déconne. Bon, je peux me consoler dans le sens où la critique est positive.
Mais en faite, oublier le prologue.... ah non, faut pas.... Aller j'y retourne
CITATION
Si pour un petit prologue maladroitement écrit, j'ai déjà autant de commentaires, ça s'annonce bien...
De l'ironie !? En tous les cas, c'est vite dit. Par contre, il n'est pas dit que je revienne encore une fois. Sauf si j'entends dire que la qualité est nettement au-dessus de ce que j'ai lu aujourd'hui...
Dernière modification par Ihriae le 19 juil. 2011, 17:29, modifié 1 fois.
« Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve.» Antoine de Saint-Exupéry
Moi je serais beaucoup plus direct, quand on a affaire à un auteur de fanfic ça se ressent et là on ne ressent rien. C'est plat, déjà vu, trop rapide, etc.
Pour moi du Stargate ça ne se lit pas, ça se regarde...
Je m'explique, les fanfics sur Stargate me gavent au bout de 5 lignes alors qu'une fan série ou même un fan film me captiveront bien plus en raison de la difficulté de tournage et de l'originalité.
Bon après je n'ai pas lu les fanfics de Rufus, mais pour moi lire des fanfics c'est fini surtout quand j'en vois des comme ça.
CITATION
Pour moi du Stargate ça ne se lit pas, ça se regarde.
Bien sur que Stargate se lit. L'écrit est un merveilleux support pour la SF. Le problème vient simplement des auteurs. Des auteurs qui veulent faire du Stargate télévisuel justement. Beaucoup de dialogue, des descriptions minimalistes (qui ressemblent plus à des didascalies parfois), des introspections pour ainsi dire inexistantes. Évidemment, sans le support de l'image, tout cela est de peu d'intérêt.
Un roman (car, c'est à ça qu'aspire normalement un auteur de fanfic) ne s'écrit pas du tout de cette manière.
Regardez Star Wars. Ce n'est guère fondamentalement différent de Stargate mais pourtant, tout un univers s'est construit au travers du support papier.
CITATION
Je m'explique, les fanfics sur Stargate me gavent au bout de 5 lignes alors qu'une fan série ou même un fan film me captiveront bien plus en raison de la difficulté de tournage et de l'originalité.
Je ne pourrais être plus en désaccord sur ce point là. Les équipes de fanfilms manquent tout simplement de moyens pour pouvoir produire quelque chose de réellement intéressant. Je ne doute pas qu'ils se donnent à fond et font au mieux de leurs ressources mais sincèrement, j'attends encore de trouver un fanfilm Stargate ayant un quelconque intérêt.
Dernière modification par John.Shep le 29 juil. 2011, 00:21, modifié 1 fois.
Membre du Bureau des Emmerdeurs
Si la violence ne résout pas ton problème, c'est que tu n'as pas pris une arme assez grosse.
CITATION
Pour moi du Stargate ça ne se lit pas, ça se regarde.
Bien sur que Stargate se lit. L'écrit est un merveilleux support pour la SF. Le problème vient simplement des auteurs. Des auteurs qui veulent faire du Stargate télévisuel justement. Beaucoup de dialogue, des descriptions minimalistes (qui ressemblent plus à des didascalies parfois), des introspections pour ainsi dire inexistantes. Évidemment, sans le support de l'image, tout cela est de peu d'intérêt.
Un roman (car, c'est à ça qu'aspire normalement un auteur de fanfic) ne s'écrit pas du tout de cette manière.
Regardez Star Wars. Ce n'est guère fondamentalement différent de Stargate mais pourtant, tout un univers s'est construit au travers du support papier.
CITATION
Je m'explique, les fanfics sur Stargate me gavent au bout de 5 lignes alors qu'une fan série ou même un fan film me captiveront bien plus en raison de la difficulté de tournage et de l'originalité.
Je ne pourrais être plus en désaccord sur ce point là. Les équipes de fanfilms manquent tout simplement de moyens pour pouvoir produire quelque chose de réellement intéressant. Je ne doute pas qu'ils se donnent à fond et font au mieux de leurs moyens mais sincèrement, j'attends encore de trouver un fanfilm Stargate ayant un quelconque intérêt.
Le problème ces que souvent elle ne sont abandonnée a la fin.
Bonjour à tous ! L'épisode est presque terminé, ne reste plus qu'une relecture, correction grammaticale et sûrement diversification du vocabulaire. J'ai pris en considération vos attentes, même je suis conscient que pour beaucoup le prologue vous fasse penser au pire.
On est dans un monde de télé, et donc la référence de beaucoup d'auteur débutant voir amateur est de raconter une histoire comme un film ou une série d'où les maladresses... Il est difficile de juger un auteur suite à quelques lignes de présentation... De plus, une fic n'est pas un roman, c'est publié sur un forum en général ou un blog, il est donc normale d'avoir moins de description. Normalement ce week-end, l'histoire commence et vous pourrez juger de la qualité de l'histoire et de l'auteur, en espérant que je me ferais pas descendre dès le premier épisode.
Merci à tous, au moins j'ai le mérite d'avoir attiré l'attention... Quelques lignes et déjà deux pages de forum, qu'est-ce que ça va être si l'histoire vous plait.
Personne ne s'attend à une fic de la qualité d'un roman, cela va de soi, mais cela reste l'exemple et l'objectif de l'auteur. Il faut bien penser que les codes romanesques ont été créés justement pour rendre un récit intéressant et vivant. Sinon, en effet, les fanfics restent peu intéressantes comme le soulignait Soren.
Membre du Bureau des Emmerdeurs
Si la violence ne résout pas ton problème, c'est que tu n'as pas pris une arme assez grosse.
CITATION
Bonjour à tous ! L'épisode est presque terminé, ne reste plus qu'une relecture, correction grammaticale et sûrement diversification du vocabulaire. J'ai pris en considération vos attentes, même je suis conscient que pour beaucoup le prologue vous fasse penser au pire.
Justement non, je ne pense pas qu'Ihriae aurait donné de son temps si elle estimait qu'il n'y avait rien a faire avec ton texte.
CITATION
On est dans un monde de télé, et donc la référence de beaucoup d'auteur débutant voir amateur est de raconter une histoire comme un film ou une série d'où les maladresses... Il est difficile de juger un auteur suite à quelques lignes de présentation...
Tu aura remarquer que ma fic elle même est basé sur ce type de formats. Je ne te le reproche pas. Ceci dit le problème reste le même pour toi comme pour moi. Nous n'écrivons peut-être pas comme des romans, mais nous devons atteindre un seuil de qualité minimal. Si je n'ai pas sorti d'épisodes depuis des semaines, voir des mois pour l'odyssée, c'est bien parce que je suis embêté avec ça.
CITATION
De plus, une fic n'est pas un roman, c'est publié sur un forum en général ou un blog, il est donc normale d'avoir moins de description. Normalement ce week-end, l'histoire commence et vous pourrez juger de la qualité de l'histoire et de l'auteur, en espérant que je me ferais pas descendre dès le premier épisode.
Comme l'a dit John.shep, on doit tout de même se rapprocher le plus possible des codes du genre. Du moins si on est un minimum sérieux.
Et non personne ne t'en veux, arrête de croire que la Terre entière veut ta mort, tu n'es pas plus attendu qu'un autre. Enfin si, dans le bon sens du terme. Tu as posté un prologue acceptable et un paragraphe d'introduction ou tu expliques que tu veux faire une bonne fic. Donc on s'attend a quelque chose d'un autre niveau, à une évolution.
CITATION
Merci à tous, au moins j'ai le mérite d'avoir attiré l'attention... Quelques lignes et déjà deux pages de forum, qu'est-ce que ça va être si l'histoire vous plait. tongue.gif
On attend qu'elle ...
"Sais-tu que Flaubert voulait écrire un roman sur le néant? S'il t'avait connue, on aurait eu un grand livre. Quel dommage."
-Jep Gambardella, La Grande Bellezza
Du noir, on passe à la lumière. En réalité, c’est un homme qui vient de se réveiller. Mais où est-il ? Cette homme, au couleur de cheveux blond cendré, très court, de taille moyenne et à l’allure mince, habillé d'un jean et d'une chemise noire à manche longue, se lève. Il frappe l'ensemble de ces vêtements afin d'enlever toute trace de poussière. Il regarde autour de lui, perdu, se demandant ce qui lui était arrivé. Il est dans une pièce très grande, une salle au mur de pierre jaunâtre et à l’allure de temple. Il lève les yeux et voit un cercle bordé de lumière dans le plafond. Au loin, il peut voir 6 créateurs dans une combinaison métallique de forme humanoïde, rien de les distinguent, ils sont de tailles sveltes, une lance à la main, avec un casque métallique recouvrant l'intégrale de la tête, les yeux lumineux et une bouche en rectangle. Le jeune homme se retourne et voit au sol des dizaines de personnes à terre entrain de reprendre connaissance. Il fonce sur une jeune femme brune, forte poitrine habillé d'un pantalon noir et d'un chemisier blanc, il l'attrape par les épaules et lui dis :
Sandrine ma chérie, tu vas bien ?
Lâche-moi et arrête de m'appeler comme ça, je suis plus à toi, lui répond-t-elle ?
Je m'en moque, tu vas bien, rétorque le jeune homme.
Oui, lui répond-t-elle, d'un air agacé.
Christophe, entend-t-il d'une petite voix.
Il se retourne et voit une jeune femme châtain clair, d'allure sportive habillé d'un jean et d'un T-Shirt rose à côté un homme pas très grand d'allure sportive, brun quasiment rasé, lui aussi en jean avec un T-shirt noir.
John, Noémie, vous allez bien ? Demande Christophe. Ils vous ont capturé aussi ?
On était devant la télé, dis John. Et puis, on était là, par terre. Tu te souviens de quelques choses ?
Oui, répond Christophe. J'étais dans ma cour, j'ai vu quelques choses passé au-dessus de moi. Il y avait comme un champs d'énergie en dessous de lui, il est passé au-dessus de ma tête et ensuite j'étais là.
On s'est fais enlever, réplique Noémie.
Ca parait évident, dis Christophe. Mais pourquoi ?
Qui sont ces tout gens ? Demande John.
J'en connais une bonne partie, répond Christophe, qui regarde tout autour de lui, c'est bizarre. Je vais voir les autres, voir s'ils en savent plus et peut être les rassuré un peu
Le jeune homme se dirige successivement sur plusieurs personnes, leur sert la main où leur fait la bise. Il fait le tour de chacun, leur parle à tous, étrangement, ils sembleraient qu'ils connaissent tout le monde. Il s'attarde sur un homme plutôt grand, très mince, en pantalon noir et chemise blanche courte, à côté une jeune fille, châtain, en robe longue bleu :
Damien, tu n'as rien, demande Christophe. Et toi, Manon ?
Non, ça va, répond Damien. On va bien. Où on est ? Je me rappelle avoir vu à la télé, que des vaisseaux avaient été aperçus et je me suis retrouvé ici.
Je pense qu'ils nous ont téléporté, répond Christophe. Ensuite, je ne sais pas quoi dire, j'en sais rien.
Qu'est-ce qu'ils nous veulent, demande Manon. On n'a rien fais.
Si je le savais, dis Christophe. Tout ce que je sais, c'est que je connais la plupart des gens ici. On est 83 personnes, et il n'y a aucun blessé.
Christophe, cria Noémie accompagné de John et d'un couple. L'homme est très grand et musclé, au cheveux châtain court habillé d'un short et d'un marcelle, et la jeune fille châtain, cheveux mi-long au yeux bleu, porte un pantalon noir et un pull gris. J'ai retrouvé Guillaume et Aude.
Salut, mon grand, tu n'as rien ? Demande Christophe. Et toi ma belle ?
Où sommes-nous ? Demande Guillaume. Ce sont des extraterrestres ?
On dirait qu'on est dans un temple, répond Christophe. Enfin, dans un temple high-tech situé à l'autre bout de l'univers. Les extraterrestres, j'en ai pas encore vu et c'est type là, on dirait des robots. Ils n'ont pas bougé d'un centimètre depuis mon réveil. On dirait des "Iron Man".
Et qu'est-ce qu'ils veulent ? Demande Aude.
Soudain, le cercle situé au plafond s'ouvre dans un grondement et 5 anneaux descendent avec une lumière bleue à l'intérieur des cercles. Sept créatures apparurent dans la lumière. Les anneaux remontèrent et le cercle se referme. Il s'agit de sept créatures de la même race, leur peau est verdâtre foncé, leurs torses, leurs épaules et leurs dos sont nues avec des écailles semblables aux carapaces de tortues. Ce sont des créatures minces et grandes, environ 2 mètres de hauteur. Ils portent comme un pantalon de cuire de couleur noir avec une ceinture et un petit objet semblable à un manche sur le côté, Sur leur long bras, on peut apercevoir des bracelets bordés de lumières. Leurs visages sont agréable à regarder, une peau lisse, un crâne légèrement gonflé tiré vers l'arrière, de gros yeux noirs , des naseaux à la place du nez, une bouche tiré vers l'avant et toute petite et pour finir des cheveux roux attachés en queue de cheval. Les créatures se dispersent tandis que l'une d'elle reste sans bouger. Il regarde intensément la foule à la fois surprise et apeurer.
Bonjour, dis ainsi l'alien d'une voix douce et synthétique à la manière d’un ordinateur. Je suis le prince de la confédération militaires des Hostiliens. Ma civilisation est pacifique, vous êtes ici pour servir un très grand projet. Votre espèce primitive a le mérite d'avoir attiré notre attention pour nous permettre de garantir la paix au sein de l'empire pacifique des Hostiliens. N'essayer pas de résister. Dans le cas contraire, nous nuirons à votre intégrité physique.
Qu'est-ce qu'il veut dire par chuchote Noémie.
On est mort, répond discrètement Christophe
Un homme avance vers l'alien lui demandant à quoi se résumait tout ça. Ce dernier n'a aucune réaction. Il prend le manche autour de sa taille, il s'agit d'un manche blanc, avec des gravures décoratives en ondulations, et d'un geste du doigts, une lame se matérialise de la base jusqu'à la pointe, la lame est si poli, si brillante que la lumière se reflète dedans. Et d'un grand geste, l'alien coupe la tête du jeune homme, sa tête atteint le sol sous les cris horrifiés de quelques jeunes femmes. L'alien laisse le corps au sol, se retourne et avance en direction de l'autre côté de la salle sans dire un mot. Un long silence se fait ressentir. Mais que se passe-il ?
Après une heure d'un silence sourd, 8 autres gardes arrivent par les anneaux de téléportation et se placent sur toute la longueur de la salle et de chaque côté. Les otages parlent, ils règnent comme une atmosphère de crainte, de terreur, de mort. Christophe assit par terre, les genoux au niveau du cou lève les yeux devant Guillaume, et dit :
Ca le mérite d'être claire, ils vont se servir de nous, on est des choses. Il faut faire quelques choses.
Qu'est-ce que tu veux faire ? Demanda Sandrine, d'un ton agacé. On va mourir.
Je ne le permettrais pas, répond Christophe d'un air sérieux. Vous êtes tous aussi important pour moi, je ne le permettrais pas qu'il vous arrive quelques choses
C'est pas avec tes 60 kilos tout mouillé que tu feras quelques choses, dit Noémie. On peut rien faire.
Je t'aime Sandrine, dit Christophe qui se lève. Je sais que notre mariage est fini pour toi, je sais que ça n'a plus de sens, mais je t'aime.
Arrête, dit Sandrine. Arrête de m'embêter.
Il semble y avoir du mouvement, Christophe regarde au loin et avance comme si sa femme avait cessé d'être le centre de son intérêt, il se positionne en avant par rapport à ses amis afin de mieux regarder. Les gardes se positionnent tous devant la foule en ligne droite. Le jeune se retourne, regarde ses amis et sa femme, leur fait un sourire. Il regarde ensuite les gardes, la façons qu'ils tiennent leur lance, il regarde encore l'anneau dans le plafond là où sorte les anneaux de téléportation, il regarde très en détail la position de chacun, leur équipement, leur arme et cela, de façon insistante. Qu'as-il l'intention de faire ?
Christophe, dit Noémie. Qu'est-ce que tu fais ?
Je regarde, dit Christophe d'un air évasif. Après quelques secondes de silence, il ajouta. On doit attaquer.
Quoi ? Dit Sandrine. Tu es fou.
La seule folie, rétorque Christophe, c'est très d'être fou amoureux de toi. Guillaume est plutôt costaux, John est flic et moi, je connais deux ou trois choses en matière de combat. Si on les prend par surprise, on peut réussir....
A quoi, dit Aude. On va se faire tuer.
Et puis si on les bat, ajoute Noémie, on ne pourra pas sortir d'ici, encore moins rentrer chez nous.
Je vois, rétorque Christophe.
L'alien qui avait pris la parole s'approche d'un pas lent et lourd, et se met au milieu de la salle. Il appuie sur son bracelet et un petit pistolet se matérialise dans sa main. Une petite arme au canon long de couleur gris métallique, avec au dessus de la gâchette, une petite roulette qui pouvait tourner de son long doigt. De l'autre main, il prit son manche et matérialise son sabre. Christophe regarde ses amis, fait un sourire et dit à sa femme qu'il l'aime. Il se retourne et se met à courir en direction de l'alien sous les cris de ses amis sous le choc.
Christophe part dans une course aussi droite que rapide. Il fonce tête en avant sur le prince, les gardes se retournent aussitôt pointant leur lance sur Christophe. Le jeune homme percute de son épaule le torse du prince qui le retourne aussi sec, le bras sous la gorge. Le jeune homme impuissant se débat sans pouvoir se libérer. Les gardent baissent leurs lances comme si le prince semblait maitriser la situation. L’humain bloqué regarde sa femme dans les yeux, ferme les yeux, et mord le bras de l'alien qui a un recul et pousse un petit grognement. Christophe saisit le bras de l'alien sous le sien toujours dos à son assaillant. Il prend des deux mains le manche du sabre, le retirant ainsi des mains de ce cher prince, et se retourne aussi sec coupant dans sa manoeuvre l'alien en deux. Une fois à genou penché sur le corps, il s’empare du pistolet dans la main du prince et tire successivement tout en tournant sur chaque soldat. Du pistolet sort une décharge d'énergie orangeâtre, chaque coup faisait mouche avec un peu de fumer à l'impact. Les gardes tombent lourdement, les uns après les autre, à terre, ces derniers bougent encore, alors le jeune homme insiste encore et encore jusqu’à ce que ces machines d’un monde cessent de bouger. Une fois les gardes définitivement mis hors d'états de nuire, il se remet debout, le bras le long du corps, se retourne vers les six aliens qui avaient accompagné le prince. Ces derniers ne bougent pas comme s'ils étaient de simple spectateur. Ils se regardent, font quelques pas en avant et d'un geste rapide et gracieux, font un saut aussi gigantesque que majestueux tout en tournoyant sur eux-même pour atterrir tout autour de Christophe. Ils activent chacun leur sabre, le jeune homme d'un regard sombre dit alors :
La peur est inutile car j'ai accepté le fait que j'étais déjà mort. Alors, que le meilleur gagne.
Sur cette phrase, il active le sabre dérobé au prince et se met dans une position digne d'un samouraï, les jambes pliés, la lame du sabre devant le visage, les bras tendus. Et dans un cri de fureur, le combat peut commencer.
Chaque aliens font un saut, les uns derrière les autres, passant tel une chorégraphie synchronisé au-dessus de la tête du jeune homme, les sabres s'entrechoquent, Christophe bloque une parade venant de l'avant, se retourne et bloque une autre venant de derrière, tout en faisant tournoyer le sabre autour de son poignée, il pare une autre attaque, puis il fait passer le sabre au-dessus de sa tête, la lame dans le dos, puis une nouvelle fois pare une attaque frontale. Il se retourne un coup de pied en extension éloignant un des alien, il rebloque une attaque de dos, fais passer le sabre de la main droite à la main gauche derrière lui. D'un grand geste, il tourna sur lui même le bras tendu avec le sabre en prolongement et de la main droite tirant successivement sur chaque alien. C’est alors que deux d’entre eux tombent, les suivants parent l'attaque de leur bouclier qu'ils venaient d'activer.
Pas de bol, annonce le pauvre Christophe tout essoufflé. Il se remet en position, et crie d’un ton ironique : on remet ça.
Et de nouveau, la chorégraphie peut recommencer. Une attaque de face paré, une attaque dans le dos, le sabre tournoyant à l'avant, à l''arrière, passant de la main droite à la main gauche. Alors que deux aliens se positionne devant lui, un troisième arrive pas derrière. Comment s’en sortir ? Christophe positionne alors aussi rapidement que possible son sabre au dessus de sa tête et fait glisser ainsi la lame dans le ventre de l'alien qui se tenait derrière lui. Il retire la lame et repositionne son sabre face aux deux autres. Aller plus trois, se dit-il. L’ennuie dans un combat multiple, c’est que les coéquipiers peuvent se gêner mutuellement, mais le nombre diminuant, les aliens pouvaient donc être à plus à leurs aises et donc mieux être à l’affut de la situation. Les trois aliens se positionnent alors devant Christophe, arme au point qui se retourne et décide de courir dans la direction des deux aliens qu’ils avaient précédemment tués d’un coup de pistolet. Il s’empare alors d’un second sabre. A peine c’était-il retourné qu’il voit une lame s’approcher de sa tête par la droite menaçant de la lui couper. Il se baisse, se roule à terre et d’un grand geste, il coupe le bas des jambes de l’un des attaquants, les deux autres avaient eu le réflexe de faire un salto arrière afin d’éviter u regrettable coup bas de leur adversaire. L’alien hurlant de douleur à terre, Christophe se relève, se positionne au-dessus de la créature à terre et le transperce en pleine tête. Ne reste donc plus que deux aliens. Il avance d’un pas assuré, le regard fixant les deux aliens, tandis ses bras de chaque côté pour activer les deux sabres successivement. Le jeune homme avait le mérite d’avoir vaincu les gardes, le prince et quatre aliens et cela alors que la supériorité apparente venait des agresseurs.
Le silence règne, les otages ne pouvaient que regarder effrayer ou admiratif la scène. Activant une nouvelle fois leurs armes, l’un des aliens avance telle une flèche vers Christophe, tandis que le second fait un saut dernier le jeune humain, qui pare l’attaque de face avec son sabre de droite, et pare l’attaque arrière avec le sabre de gauche sans regarder l’ennemi. Les armes se déploient, dès qu’un coup était paré, il fallait parer le second, on pouvait assister à une redondance de coup, aussi inutile que fatiguant, c’est comme si les deux camps cherchaient à se fatiguer pour pousser l’autre à l’erreur. Et pourtant, c’est ce qui arriva. L’humain aussi vaillant que surprenant devient de plus en plus rouge, de plus en plus essoufflé mais s’il se relâche c’est sa vie qu’il perd. Rassemblant tout ce qu’il peut, il enchaine attaque et défense. Puis, ce fut le drame. Les aliens de face donnent un violent coup de sabre sur chacune des armes posséder par Christophe, ces dernières tombent à terre tandis que l’un des aliens fait un coup de pierre arrière sauté, propulsant le jeune humain sur quelques mètres en arrière. Ce même alien avance, le sabre tournoyant autour de la main, il avance lentement… et c’est alors, qu’on entend un gros bruit. C’était un jet de plasma sortant de nullement part qui percute bouclier arrière de l’alien menaçant. Ce dernier se retourne tout comme le second.
On pouvait alors voir John, une lance de garde à la main brandir l’arme face aux deux ennemis. Il recommence, un coup, puis quelques secondes plus tard un second. L’arme semblait se charger, comme si elle devait accumuler suffisamment de puissance pour tirer. John tire successivement sur chacun des aliens, il continue et continue. Ces derniers avancent et avancent plus vite et alors qu’on ne s’y attend pas, le bouclier cède. L’un des aliens est percuté de plein fouet par le jet d’énergie, propulsé à l’impact il atterrit plusieurs mètres en arrière avec une trace noire en plein ventre. C’était fini ! John continue alors l’attaque sur le second, le bouclier cède et le second alien tombe. Christophe se relève toujours aussi rouge et essoufflé, il regarde John, lui fait un sourire. Il lui avait la vie.
- Tu avais besoin d’aide, s’écria John.
- Tu aurais pu t’y prendre plus tôt, dit Christophe. Je serais moins fatigué. J’en ai bavé.
- Je m’en doute, rétorque John.
- Mais où as-tu appris à faire ça. Demande Noémie.
- J’avais besoin de me défouler, répond Christophe qui se penche sur le corps d’un des aliens et lui retire son bracelet. Je me suis inscris à des cours de sabres. On m’a dis que j’étais doué.
- On t’apprend à faire ? Dit John.
- Tu veux dire combattre des aliens aux sabres jusqu’à qu’ils n’en restent plus un, répond ironiquement Christophe. Euh, non. Bon, j’y vais.
- Où ça ? Demande Noémie.
- Je vais me téléporter par les anneaux, dit Christophe. Et voir si on a une chance d’en sortir vivant.
Le jeune terrien se positionne alors en-dessous des anneaux et les actionnent. Il regarde alors ses amis et dans une lumière bleue, il disparait. Il se retrouve matérialiser dans une petite salle, les murs d’un gris métallique avec des spots blancs de lumière un peu partout dans le plafond. Il avance d’un pas assuré et lent, le pistolet à la main. Il avance jusqu’à une porte, il tend le bras sur une sorte de gros bouton sur la droite de la porte quand soudain, derrière lui, les anneaux s’activent et matérialise John.
- Où tu vas comment ça ? Demande John.
- Selon toi, répond Christophe. Pourquoi je fais de l’exploration ?
- Je comprends ton action, s’exclame John. Mais, il faut être au moins deux. Guillaume et d’autres ont pris les armes, il faut être plusieurs.
- Non, attaque Christophe. Il faut être peu nombreux, j’accepte que tu m’accompagne.
- De toute façon, je ne t’aurais pas laissé le choix, répond John.
- Bon, suis-moi, dit Christophe.
Les deux hommes se mettent alors à l’exploration. Christophe appuie sur le bouton à côté de la porte qui s’ouvrit en deux. Les deux amies avancent donc dans un couloir long et de même tintent que l’entrée des anneaux. John s’étonne de ne pas voir de garde ou que personne n’arrive.
- Tu ne trouve pas ça bizarre, dit John. Pas un garde, même pas un système d’alarme.
- Je n’en suis pas sûr, répond Christophe. Mais on dirait que la station n’est pas à eux, ça colle pas avec le design des soldats. On dirait ça vient d’une autre civilisation.
- Euh Christophe, dit John. Je me mets d’un côté du couloir et toi de l’autre. Tu avance jusque là-bas et une fois que la voie est libre, tu me confirme que je peux avancer.
Ainsi Christophe longe le côté gauche du couloir sur environ dix mètres, puis il fait signe à John que tout va bien. Ce dernier avance le long du couloir côté droite, il arrive ensuite à la position de Christophe et continue d’avancer sur dix mètres, ensuite il indique à Christophe que tout va bien et avance. Ils répètent cela ainsi de suite, il était normal de rester prudent surtout dans un environnement inconnu. Après avoir parcourut d’innombrables couloirs sans voir personnes, les deux humains tombent sur la plus belle des images. Il était dans un couloir où l’un des murs est en verre, ou quelques choses de similaires, leurs mettant d’observer l’espace avec ses multiples étoiles, vers le bas, on pouvait apercevoir une planète, une planète sableuse et plus loin, un vaisseau arrimé. Ce dernier avait une coque très épaisse, il était allongés avec une base assez large et plus on avançait vers l’avant du vaisseau et moins il était large jusqu’à avoir un bout arrondi. Ils comprennent alors que les anneaux les ont menés dans une station spatiale.
- Alors ? On est dans une station, dit John.
- Ca parait évident, rétorque Christophe. On était sur la planète et les anneaux nous y ont mené tout droit.
- Il a l’air gigantesque ce vaisseau, s’exclame John. Tu crois qu’il est vide comme ces couloirs.
- Je peux me tromper, dit Christophe. Mais je crois que ce vaisseau n’est pas à ceux qui nous ont capturés
- Comment ça ? Dit John.
- Le vaisseau à l’air complètement différent des navettes qui nous ont téléporté, répond Christophe.
- Tu crois qu’il est vide, dit John. Je crois qu’il n’y a qu’une seule façon d’en être sûr.
Armes aux poings, John et Christophe courent dans les couloirs en direction du vaisseau inconnu. Ils arrivèrent alors par une passerelle et monte à bord du vaisseau. Puis prudemment, les deux compères avancent dans les couloirs en direction de l’avant du vaisseau. Après plusieurs minutes d’explorations, ils ouvrent une porte et tombent sur une salle de repos avec une table et banc. Le design du vaisseau était équivalent à la station spatiale, des murs gris métalliques, des sports au plafond et sur les murs, l’ambiance était sombre. Par moment, on pouvait apercevoir des bandes de lumières sur les murs et parois, on pouvait voir ce qui pourrait ressembler à une écriture avec des symboles. Après être tombé sur plusieurs pièces ayant que peu d’importance, les hommes tombent sur la passerelle. Il s’agit d’une grande pièce avec des ordinateurs sur les côtés, une table avec un écran noir sur un dès côté, un siège au milieu de la pièce et le clou du spectacle, une gigantesque vue sur l’avant du vaisseau.
- C’est la salle de commande, dit Christophe.
- On a un problème, dit John. Je n’ai pas appris à piloter un vaisseau. Et toi ?
- Moi non, répond Christophe. Mais il va bien falloir.
Les deux hommes qui sont restés au pas de la porte décide de rentrer et c’est alors que les ordinateurs se mettent à’ s’allumer. Avançant d’un pas méfiant, John et Christophe arrivent près du siège quand un rayon rougeâtre venant d’en haut se positionnent au-dessus de chacun d’eux. Dubitatif, John braque son arme en direction d’origine du rayon. Tout à coup, une lumière bleue apparut, il s’agit en faite d’un rayon de téléportation, un petit objet blanc se maintenait en lévitation, ça ressemblait à une oreillette Bluetooth. Puis, un hologramme d’un être humain apparut, il s’agissait d’une représentation holographique de Christophe indiquant que comment mettre l’oreillette. Cela indique clairement qu’il fallait poser l’objet sur le lob frontal droit. Christophe regarde John, lui pose la main sur l’épaule pour le rassurer, prit l’objet en lévitation et le positionne sur lob droit. Un petit bruit retentit et l’objet était fixé. John s’inquiète pour son ami qui ne semble pas avoir de réaction.
- Totof, dit John. Ca va ?
- Oui, mon grand, répond Christophe. Je crois savoir comment piloter le vaisseau
- Sérieux, répond John étonné.
- Plus que sérieux. L’oreillette me relie aux commandes du vaisseau et l’ordinateur communique avec moi, c’est comme si je pouvais communiquer avec le vaisseau par la pensée.
- Tu es sûr, dit John inquiet. Il n’y a pas de danger.
- Les êtres qui ont créé ce vaisseau étaient humains, répond Christophe. Tout va bien. Pour l’instant, je ne sais pas me servir du vaisseau, mais ça va venir. Mais grâce à l’ordinateur principal, je peux lui demander ce que je veux, et il s’exécutera.
C’est alors que Christophe et John partent une nouvelle fois dans les couloirs, en courant très vite. Durant le petit footing, Christophe explique à John que le vaisseau a été récupérés par les aliens et que ces derniers veulent s’en servir mais ne peuvent pas l’utiliser. Il avait besoin d’être capable d’utiliser le vaisseau et que notre espèce leur suffisait. Et là, surprise. Et les deux humains se retrouvent en pleine embuscade. Trois gardes étaient dans le couloir semblant s’interroger par des bruits, ces derniers avaient ouvert le feu sur les deux humains qui avaient eu le réflexe de se mettre sur le côté. Après un échange de tir infructueux pendant plusieurs minutes, Christophe se met alors en plein milieu du couloir tirant de gauche à droite sur chaque garde qui tombe au sol sans réaction.
- Qu’est-ce qui te prend ? Demande John. Tu ne recommence pas ça, tu ne risque pas ta vie inutilement.
- Il fallait agir, répond Christophe. Et ça a marché.
- Bon d’accord, dit John. Ils n’ont pas de bouclier ?
- Je crois que les gardent n’en non pas. Aller, on file aux anneaux, je crois que ça va bouger.
Puis les deux humaines repartent plus déterminer que jamais à retrouver les autres et à fuir. Christophe reste sur la station à faire le guet, tandis que John empreinte les anneaux pour rejoindre les aux captifs. Noémie et les autres amis de Christophe et de John avancent vers ce dernier. Puis, il parle à tous expliquant qu’ils avaient trouvé un vaisseau et que l’on pouvait le commander. Mais pour cela, il fallait utiliser les anneaux et se dépêcher de rejoindre le vaisseau. Successivement, les captifs montent par les anneaux de téléportation à bord de la station. Le groupe est si important qu’ils doivent sortir de la salle et se mettre dans le couloir.
John demande que tous ceux qui ont une arme se positionnent devant, derrière et sur les côtés du groupe. Ainsi le groupe d’humain avance dans les couloirs en direction de la seule issus possible pour enfin être libre de tout danger. C’est alors qu’arrivant de derrière, les gardes attaquent. Le groupe d’humain se positionne donc contre le mur gauche tandis que ceux disposant d’armes répliquent par un tir de barrage. Les gardes maintiennent leur position et le groupe d’humain décide d’avancer plus vite, c’est la panique, on entend des cris, des gens tombent. Puis une porte se ferme et condamne le couloir séparant les gardes du groupe d’humain. Christophe lui est un peu surpris et mettant à la tête de file, il dit :
- Bon, on se bouge, et dans le calme, une fois dans le vaisseau, on se tait et vous nous laissez gérer.
Puis le groupe avance, ce n’était pas évident de gérer une foule terrorisée dans un couloir avec des gardes armées à leur trousse et pourtant, il le fallait. Arriver à la passerelle séparant le vaisseau de la station, John demande au groupe de le suivre tandis que ceux qui avait des armes restent en arrière. C’est alors, que venant deux couloirs différents, des gardes arrivent par dizaine. Alors Christophe et les autres humains armées répliquent plaquer par les murs. Après plusieurs échanges de tire, une fois encore, des portent se referment les protégeant des attaques des gardes.
- Mais ça veut dire quoi, demande Guillaume.
- Le vaisseau a ordonné à la station de fermer les portes anti-souffle, répond Christophe.
- Comment ça, demande Frédéric un jeune homme habillé en gendarme.
- Le vaisseau me l’a dit, répond Christophe.
- Comment ça ? Demande Guillaume surpris.
- Je suis connecté au vaisseau, s’explique Christophe montrant l’objet fixé à son lob frontal. C’est un transmetteur, récepteur neurologique qui me lie au vaisseau par une connexion neurologique, je peux échanger avec le vaisseau. Il a vu qu’on était en danger et voilà. Suivez-moi.
Le dernier groupe avec Christophe à sa tête coure en direction de la salle des commandes, là où tous les autres captifs étaient.
- Tu aurais pu les mettre ailleurs, demande Christophe à John.
- Et où tu veux que je les mette, rétorque John agacé.
- Ouais, que personne me gêne.
C’est alors qu’un bruit se fait attendre, le siège s’illumine à la base d’une lumière bleuté, la table avec l’écran s’alluma, montrant un plan schématique du vaisseau. A travers la gigantesque baie vitrée, on pouvait voir les chasseurs s’approcher du vaisseau et en faire le tour. Les petits chasseurs cylindriques faisaient le tour du vaisseau comme des abeilles autour d’une ruche. Mais pourquoi n’attaque-t-il pas ? Christophe s’installe sur le siège, pose les mains sur les accoudoirs, le siège penche en arrière et le jeune humain ferme les yeux. Un autre bruit se fait alors attendre, c’est le vaisseau qui se désarrime de la station. Le vaisseau s’éloigne lentement, les chasseurs continuent leurs manœuvres. C’est alors que Christophe dit :
- Gravité et absorbeur inertiel pleine puissance.
- On avance, dit Noémie.
- Bouclier à cent pourcent de ses capacités, dit Christophe les yeux fermés.
Le vaisseau s’éloigne de la station, c’est alors que les chasseurs qui étaient jusque là restés passifs, attaquent le vaisseau. Ces chasseurs aux allures de cigare métallique déploiement comme deux propulseurs sur les côtés. Tandis que l’arrière semblaient propulsés le chasseur, la base avant du propulseur envoyait des boules d’énergies rougeâtre. Ces dernières frappèrent le boulier du vaisseau. L’impact était à peine perceptible par ses occupants, le bouclier blanchâtre était visible après chaque coup. A l’intérieur du vaisseau, c’était l’incompréhension. Des flashs de lumières pouvaient être perçu à travers la baie vitré à chaque impact, les gens à l’intérieur était terrorisé, ne savant quoi faire.
- Propulsion conventionnel pleine puissance, dit Christophe. Passage en hyper espace.
Sur ces mots, le vaisseau prit de la vitesse, c’est ainsi que de grande quantité de plasma sont éjectés par les propulseurs arrièrent du vaisseau. Progressivement, le vaisseau accélère s’éloignant de la station en direction du vide spatial interstellaire. Le vaisseau subit un assaut répété des chasseurs qui deviennent de plus en plus nombreux, ces derniers tournent autour de lui, tandis qu’un vaisseau se rapproche de la trajectoire de nos fuyards. Il s’agit du gigantesque vaisseau mère qui avait attaqué la Terre et transporté les otages humains jusqu’à ce monde. De son imposante carcasse métallique, les canons pointent en direction du vaisseau et tirent. Puis, le vaisseau accélère davantage, laissant derrière lui les chasseurs, un nuage blanchâtre électrifié apparait et le vaisseau fonce sur ce nuage disparaissant de l’espace normal évitant ainsi les armes à énergie. Le vaisseau avec ses occupants sont entrés en hyper espace, mais que leur réserve l’avenir.
Dernière modification par races-unis le 07 août 2011, 10:54, modifié 1 fois.
j'espère que l'épisode 1 va vous plaire, je suis plutôt lent quand il s'agit d'écrire, et il faut avouer qu'écrire n'est pas si simple, mais je pense que le rendu est plutôt convenable. Maintenant, je pense que la critique sera plus justifié que face à un prologue défectueux qui a mal lancé mon histoire.
Pour une fois, je prends le temps faire un petit commentaire.
L'ensemble de ce début d'intrigue semble largement ouvert à quelque chose de sympathique...
Mais, il y a un je-ne-sais-quoi qui me dérange...
Entre le prologue qui semble ne pas en être un comme si on nous jetait à la figure cinq minutes de vidéo directement retranscrite sur papier, et un rythme un peu bizarre de ton premier épisode...
Il y a un problème dans les temps utilisés pour la narration, la description et l'action... Cela donne quelque chose de bizarre...
En y regardant de plus près, j'ai la sensation que l'usage du présent continuellement me gène beaucoup... Cela provoque un manque dans la rythmique..
Cela me donne l'impression de voir simplement quelqu'un me décrire la scène, un script de film et non un récit écrit.
CITATION
Du noir, on passe à la lumière. En réalité, c’était un homme qui venait de se réveiller. Mais où était-il ? Cette homme aux cheveux blond cendré, très court, de taille moyenne et à l’allure mince, habillé d'un jean et d'une chemise noire à manche longue, se leva. Il frappa l'ensemble de ces vêtements afin d'enlever toute trace de poussière. Il regarda autour de lui, perdu, se demandant ce qui lui était arrivé. Il était dans une pièce très grande, une salle au mur de pierre jaunâtre et à l’allure de temple. Il leva les yeux et vit un cercle bordé de lumière dans le plafond. Au loin, il pouvait voir 6 créateurs (? créatures ?) dans une combinaison métallique de forme humanoïde, rien de les distinguent, ils étaient de tailles sveltes, une lance à la main, avec un casque métallique recouvrant l'intégrale de la tête, les yeux lumineux et une bouche en rectangle......:
J'en prends note pour le second épisode. Il faut être critique, j'avais fais le choix du présent, mais c'est gentil ton conseil... Je pense que je vais l'appliqué dès le second épisode. Merci pour l'info.
Dernière modification par races-unis le 10 août 2011, 13:04, modifié 1 fois.
Alors, je me suis qu'il était temps de donner plus d'indication sur la fic... Spoiler
Les humains ont fuis à bord d'un vaisseau ancien qui les dépasse. Ils vont devoir entreprendre le voyage de retour sur Terre et explorer le vaisseau. Ils apprendront également une triste vérité.
J'en profite aussi pour donner les titres des autres épisodes :
Episode 2 : Rentrer chez nous ?
Episode 3 : Ravitaillement
Episode 4 : La station spatiale
Episode 5 : Le plan
Episode 6 : Sauvetage
Episode 7 : Perdu
Episode 8 : La super Terre
Episode 9 : Mutinerie
Episode 10 : Révélation 1/2
Episode 11 : Révélation 2/2
Episode 12 : A la recherche de la porte des étoiles
Episode 13 : L'Odyssée
Episode 14 : La où tout à commencer !
Episode 15 : La cité en ruine
Episode 16 : Le vaisseau en perdition
Episode 17 : La troisième humanité
Episode 18 : Alliance 1/2
Episode 19 : Alliance 2/2
Episode 20 : Terra periculum
Bon, j'espère que l'histoire va vous captiver ainsi que ma façon décrire. Je vais réécrire mon prologue afin de satisfaire les insatisfaits. Donc, la suite prochainement.
Dernière modification par races-unis le 10 août 2011, 16:48, modifié 1 fois.