Et voici comme promis, la suite.
Alors que le général Landry donnait ses derniers ordres, conseils et instructions au Colonel Telford, ce dernier s’était vêtu d’un habit de chasseur, et pour seule arme d’un zat’n’ktel. On le sentait légèrement tendu. Alors que le sergent Harriman annonçait :
- Chevron 6 verrouillé ! … Chevron 7 engagé ! … Chevron 7 verrouillé !
- Voila bonne chance colonel. Dit le général.
- Merci. J’en aurais bien besoin.
- Et n’oubliez pas que vous devez vous retirer sur le site beta seulement en cas d’absolu nécessité.
- Compris.
Il traversa la porte des étoiles et se retrouva sur P7S-639. Un village de simples paysans, était à une centaine de mètres de la porte vers lequel il se dirigea. Arrivé sur la place du village, un homme d’une cinquantaine d’années l’approcha :
-Qui êtes-vous ?
- Je…. Je m’appelle Norak, je viens de la planète Timora, j’étais parti à la chasse sur une autre planète et… et quand je suis revenu dans mon village, il y avait un énorme cratère, c’est certainement l’œuvre des Oris, car nous avions refusés de les vénérés. Je suis certainement le seul survivant.
- Je suis vraiment désolé de ce qui vous est arrivé… je me nome Torin, je suis le barman du village. Venez avec moi, vous mettre au chaud.
- Je vous remercie. Vous n’avez jamais eu de problèmes avec les Oris ?
- Si, mais un membre de l’alliance Luxienne est venu, il a dit que si nous leur obéissons, ils pourraient tous nous sauvés. Nous nous sommes donc soumis. Ils nous on fait évacué, nous sommes allés à bord de leurs vaisseaux, puis les Oris sont arrivés quelques heures après, et ils sont repartis, puisqu’il n’y avait personne. Depuis nous leurs fournissons du naquada et des hommes comme ils l’on ordonnés.
- Ils viennent donc souvent ?
- Oui, un de leurs chef doit venir après demain. Ils vont certainement demander des hommes.
- Je pense … je pense que je me porterais volontaire. Après tout je sais me battre et puis je n’ai plus rien à perdre, ma femme et mes deux fils sont morts. En rejoignant l’alliance Luxienne je pourrais combattre les Oris et venger leur mort.
- Faites ce que vous voulez, moi je ne les aime pas vraiment, ils sont violent et très impolis.
Deux jours plus tard, un groupe de Luxiens, firent irruption dans le village, ils escortaient un homme du nom de Massin. Celui-ci pris alors la parole. Et les villageois se rapprochaient autour de lui.
- Nous venons cherchez dix hommes et une once de naquada.
- Nous n’avons pas encore eu le temps de raffiner une once de naquada, dit Torin avec peur.
- C’est inadmissible ! dit il en lançant un regard menaçant à son lieutenant, Dannic, et celui-ci fit feu sur Torin.
- La prochaine fois, nous voulons deux onces, est-ce bien compris ? Maintenant que dix d’entre vous s’avancent. Et tout de suite
David s’avança devant Massin, la tête baissée, suivit de 9 autres personnes.
- Qui es-tu ?, lui demanda-t-il, d’un ton menaçant.
- Je suis Norak, je viens de la planète Timora, elle a été attaqué par les Oris, pendant que j’étais partis à la chasse sur une autre planète.
- Tout ce que je veux savoir c’est si tu sais te battre? lui dit-il d’un air supérieur.
- Je sais me servir des armes goa’uld.
- Très bien, emmenez-les à bord du vaisseau amiral.
Une fois les dix nouveaux membres à bord du vaisseau, ils leurs remirent à chacun une arme et une assignation. Telford fut assigné au poste de garde personnel de Massin. Un poste pratique, car il pourrait facilement écouter les conversations.
Après quelques jours de service, il prit sont transmetteur Tok’ Ra et commença à transmettre :
- Tout ce passe bien pour le moment. Je suis assigné au poste de garde personnel de Massin, un des bras droits de Nétan. Il possède environ dix Ha’tak, une trentaine d’Al’kesh, et plusieurs dizaines de planeurs de la mort. Pour le moment, je ne n’ai pas connaissance d’une mission contre la terre ou nos alliés. Je vous recontacterais si j’ai du nouveau. Terminé.
Voici les titres des 5 prochaines Chronicles:
C3 : MIS A JOUR
C4: ÉNERGIE
C5 : SUSPICION
C6 : L'EXPÉRIENCE D’UNE VIE
C7 : TRANSFERT
Et tu as tous mes remerciements pour ça, NOUT. C'était juste pour rire, je voulais vexer personne et je n'aurai pas l'arrogance de prétendre que je n'en fais jamais. 
