Yep, la vision du changement du continuum espace-temps varie pas mal.
Déjà lors du premier voyage dans le temps les personnages se retrouvaient vraiment au point de départ, même s'il n'y avait pas de porte (ce qui logiquement aurait d'ailleurs dû les faire réapparaitre dans le vide stellaire, m'enfin passons...).
Dans tous les épisodes suivants, il y a connexion et vortex stable entre deux portes même si le temps n'est pas au même endroit de part et d'autre du vortex.
La plupart des épisodes montrent une interaction avec la même porte. D'ailleurs dans The Last Man il y a, en plus de l'interaction M4S-587 -> Atlantis du futur, une interaction Atlantis du futur -> Atlantis du présent.
Ensuite l'interaction entre des portes différentes on la voit aussi dans Stargate Continuum (Il venait d'où le trou de ver de Baal?

).
En soit, l'éruption solaire n'empêche pas forcément le voyage vers une autre planète, elle dévie le chemin du vortex, ce qui peut la renvoyer vers la planète d'origine où l'envoyer vers une autre. Mais il apparait effectivement peu probable qu'on arrive à la porte espérée de toutes façons.
Autant Baal qui s'occupe de ses trous de vers en calculant bien à l'avance la moindre éruption solaire au centième de degré près, qu'il arrive bien sur terre, okay.
Autant Shepard qui voyage sans réfléchir, se retrouver exactement là où il veut...
Sinon, les contre-mesures des DHD c'est pour éviter que le trou de ver passe directement dans une étoile il me semble, ça n'empêche pas les voyages dans le temps si éruption solaire il y a...
Le premier épisode avec le voyage dans le temps est de mémoire le seul qui prenne en compte la théorie d'un continuum espace-temps linéaire.
Bien qu'assez poétique et très reprise par les œuvres de fiction, c'est celle qui présente le plus de faiblesses au niveau des paradoxes temporels (problèmes que contournent les réalités multiples, ou le continuum qui se restaure lui même) est n'est réellement cohérente que dans l'hypothèse, hélas très crédible, que le voyage dans le passé soit tout bêtement impossible.