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Albator la série c'est :
En fait c'est 12 mangas, 3 films et 10 séries animées, finalement, toi comme moi, avons beaucoup à apprendre du captain (en toute humilité bien sur)
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Un vaisseau unique, qui est une oeuvre artisanale
en fait 2 vaisseaux (l'ombre de la mort et l'arcadia) déclinés chacun sur plusieurs versions (10 pour l'arcadia)
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Une extra-terrestre présente aux cotés d'Albator, qui n'est pas un simple faire valoir, mais une personalité forte et autonome si nécessaire.
Tu parle de mimay ? qui dans le film que nous critiquons en ce moment explique justement la puissance de l'arcadia, qu'elle est due à son peuple disparu. Elle est loin d'être un "faire-valoir", elle et toshiro, certes brièvement (un peu trop) expliquent précisément le fait que l'arcadia soit imbattable, ce qui peux être compris par d'autres pour une flemme de concevoir une bataille spatiale. Même à 1000 contre 1 l'arcadia gagne, question d’énergie et de contrôle.
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Un Albator énigmatique, mais qui sait rester humain malgré tout, contrairement au film où ce n'est plus que noirceur...
Je te conseille "the endless odyssey", ou harlock est encore plus noir, plus torturé, sans parler de l'histoire et de la musique.
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Le film fait presque 2H, y avait moyen de ne pas le réduire, à des explosions et des batailles spatiales parfois interminables... typiquement le travers de certaines productions, avec explosions du cinema classique d'acteurs. (100% actions et explosions, voilà ce qu'ils en ont fait... pénible...)
c'est vrai que pour un space opéra, les batailles spatiales font tache ! Mais je te rejoins, il manque une histoire d'amour à 3 pour rameuter l’innombrable public de SGU.
Plaisanterie à part, dans le temps qu'il lui est donné, le film fait une relecture de l'univers, pose une histoire, de l'action...perso, j'ai même trouvé quelques longueurs dans le montage.